Culture Générale

Le forum de l'admission en IFSI

Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI

Répondre
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Bonne chance kysa pour demain!!

Encadrement des loyers : une mesure provisoire en attendant la loi


Un simple décret. La ministre du logement, Cécile Duflot, annonce, lundi 4 juin, dans les colonnes de Libération, qu'elle aura recours à un article de la loi de 1989 sur les rapports locatifs pour mettre en place, par décret, une limitation de la hausse possible du loyer en cas de relocation.

"Il s'agit d'une disposition d'urgence pour répondre à la crise du logement qui pèse sur les ménages", précise la ministre écologiste. Le décret, qui serait publié à la mi-juillet et entrerait en vigueur dès la rentrée, va imposer une limitation des prix dans certaines zones de tension immobilière.

ENCADRER LES RELOCATIONS


La loi existe déjà depuis longtemps. L'article 18 de la loi de juillet 1989 "tendant à améliorer les rapports locatifs" prévoit que "dans la zone géographique où le niveau et l'évolution des loyers (...) révèlent une situation anormale du marché (...), un décret en Conseil d'Etat (...) peut fixer le montant maximum d'évolution des loyers des logements vacants".

Jusqu'ici, cette disposition est appliquée de façon limitée. Ainsi, dans certaines zones - notamment la région parisienne -, la hausse des prix des loyers est limitée par un décret renouvelé chaque année, mais seulement en cas de renouvellement de bail avec le même locataire. Le propriétaire doit alors rester dans une fourchette de prix correspondant à l'indice de référence des loyers (IRL).

Ce graphique montre l'évolution de cet indice de référence depuis 2007 :







En revanche, dès lors que le locataire change, le propriétaire est libre de fixer le prix qu'il souhaite avec son nouveau locataire.

UN RETOUR À LA SITUATION D'AVANT-1997


L'idée est donc d'étendre l'application de cet article 18 aux relocations. Mais ce que Mme Duflot ne précise pas, c'est qu'il s'agit en fait d'un retour à la situation qui existait avant 1997. Avant cette date, et sauf pour les logements neufs ou ayant fait l'objet de travaux, la loi prévoyait que le gouvernement présente un rapport "d'exécution permettant d'établir la comparaison entre l'évolution des loyers des logements vacants". En clair, pour louer au-dessus de l'IRL, le bailleur devait justifier la hausse en fonction de l'évolution des loyers du voisinage.

Et paradoxalement, c'est à cause de la gauche que cette législation a été abandonnée. Comme le rappelle l'Agence nationale pour l'information sur le logement (ANIL), "l'Assemblée nationale ayant été renouvelée en juin 1997, le nouveau gouvernement de l'époque n'a pas soumis de projet de loi au Parlement avant le 31 juillet 1997. De ce fait, le dispositif (...) est tombé mécaniquement", explique l'ANIL. Depuis, le prix des loyers est fixé librement dès lors qu'il s'agit d'une relocation.

Cette dernière est devenue l'un des facteurs de la spirale haussière constatée dans certaines grandes agglomérations et zones très attractives : le "turn-over" des locataires, qui changent d'appartement tous les trois ou quatre ans en moyenne, permettrait de faire grimper les prix, comme le montrent ces graphiques extraits d'un rapport sénatorial de 2011.



"UNE MESURE D'URGENCE"


La proposition de décret serait temporaire. La loi fixe la limitation des loyers à une durée maximale d'un an, renouvelable. Il s'agit donc "d'une mesure d'urgence", comme le précise Mme Duflot dans Libération, en attendant une loi qui puisse modifier plus durablement la situation.

Pour le moment, décret que prépare la ministre présente des lacunes. Il ne statue pas, notamment, sur le cas des logements neufs ou ayant fait l'objet de travaux importants. Ces derniers représentent une proportion non négligeable du marché : selon l'observatoire "Clameur", 30 % des relocations se font après travaux.

Il faut dire que les travaux, dès lors qu'ils représentent un montant supérieur à un an de loyer, permettent d'augmenter les prix au-delà de l'indice de référence, même en cas de renouvellement de bail avec le même locataire.

La loi qui suivra le décret, selon Mme Duflot, sera plus ambitieuse. La ministre compte auparavant collecter "des données très précises" sur les loyers en France, condition sine qua non pour pouvoir envisager un encadrement pérenne de l'évolution des loyers, mais aussi engager une concertation "avec tous les acteurs" du secteur, publics et privés, associations de propriétaires ou de locataires.

Samuel Laurent
Le monde
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Des lunettes qui vous aident à manger moins

Par le figaro.fr - le 05/06/2012
VIDÉO - Des scientifiques japonais ont mis au point des lunettes intelligentes qui modifient la perception du goût et de la taille de ce que l'on avale.

Même si l'invention n'en est qu'au stade du prototype, elle pourrait réjouir les découragés des régimes. Des scientifiques de l'Université de Tokyo ont développé diverses montures bourrées de technologies informatiques et de systèmes de réalité augmenté, afin de tromper les sens du porteur.

L'une d'elles modifie la vision. Elle envoie l'image de l'objet scruté à un ordinateur, qui les retravaille et les renvoie devant les yeux du porteur de lunettes, qui n'aperçoit donc que la réalité modifiée par informatique. Au final, un gâteau tenu dans la main peut apparaître à l'utilisateur beaucoup plus gros (ou plus petit) qu'il n'est en réalité. Lors d'essais, les cobayes ont mangé en moyenne 10% de biscuits en moins lorsqu'ils apparaissaient 50% plus gros grâce à ces lunettes trompeuses. Ils ont mangé 15% de gâteaux en plus lorsqu'ils semblaient deux-tiers plus petits qu'en vrai.






Projet plus ambitieux, l'équipe a développé un «meta cookie», un système comportant un casque couvrant les yeux mais aussi des tubes reliés à des flacons de parfum. Il vise à tromper la vue par la réalité augmentée ainsi que l'odorat via l'envoi d'effluves vers le nez, ce qui influence in fine la sensation du goût.

L'utilisateur peut ainsi avoir l'impression de manger un gâteau au chocolat ou à la fraise alors qu'il est en train de croquer un biscuit sans saveur. «La réalité, c'est dans votre esprit», s'amuse à dire le chef des chercheurs, le professeur Michitaka Hirose, pour qui la façon la plus simple de tromper un sens consiste à l'abuser via d'autres sens. Il précise que 80% des sujets ayant testé son «meta cookie» ont été bernés.

Son équipe n'a pas l'ambition de commercialiser ses inventions pour l'instant, mais elle cherche une éventuelle application de ces systèmes aux personnes voulant perdre du poids.

(Avec AFP)
Le figaro
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

La télémédecine s'installe en France

Par Armelle Bohineust - le 04/06/2012
Après dix ans de tâtonnement et plus de 250 expériences mises en œuvre, chaque agence régionale de santé doit proposer des programmes adaptés aux cinq priorités nationales.

En cas d'attaque cérébrale, la rapidité du diagnostic est cruciale. Mais peu d'urgentistes sont en mesure de réaliser l'examen neurologique qui s'impose face à un patient souffrant de troubles de la parole et d'autres signes annonciateurs de l'AVC (accident vasculaire cérébral). Pour y remédier, le service neurologie du CHU de Besançon a misé sur le télédiagnostic.

Ses spécialistes mènent à distance, via une plate-forme logicielle et une caméra motorisée, une véritable consultation du patient recueilli aux urgences de Pontarlier ou d'une autre ville du Doubs. Et décident, en connaissance de cause, s'il faut ou non le transférer dans un service spécialisé. Mené par le professeur Moulin, c'est l'un des huit projets sélectionnés en avril par le ministère de la Santé pour être déployés, dans le futur, à l'échelle nationale.

Car les autorités s'intéressent plus que jamais à la télémédecine. Près de 300 expériences ont été recensées dans l'Hexagone et 25 d'entre elles, considérées comme particulièrement réussies, sont scrutées par l'Anap, une instance publique. Mieux, le programme de santé en cours d'élaboration dans toutes les agences régionales de santé (ARS) doit inclure un volet télémédecine, intégrant les cinq priorités nationales définies il y a un an, en particulier l'imagerie médicale et les AVC.

Mais l'application des technologies numériques à la santé se fait sans précipitation. En 2012, l'objectif est «d'optimiser les projets pour passer ensuite à la vitesse supérieure», expliquait il y a quelques semaines une collaboratrice de l'ex-secrétaire d'État à la santé Nora Berra, en soulignant que «la France est l'un des premiers pays européens à bénéficier d'une réglementation définissant et encadrant la télémédecine».

Quand il s'agit de réalisations concrètes, pourtant, l'Hexagone se situe très loin derrière la Grande-Bretagne, l'Allemagne et l'Espagne, affirme le cabinet d'études AMR International. Les autorités britanniques ont, par exemple, mis en place NHS Direct, un système de conseil médical par Internet et téléphone, qui a reçu 10 millions d'appels et de connexions au Web l'an dernier. De quoi éviter 1,1 million de passages aux urgences et 1,6 million de consultations en cabinet, assure-t-on outre-Manche.

Réduction des dépenses

En dépit du bond en avant que représentent la loi Hôpital, patients, santé et territoires de 2009 et le décret d'application d'octobre 2010, les freins à la télémédecine sont encore nombreux en France. À commencer par la facturation des actes, loin d'être modélisée. «La Sécurité sociale est frileuse», expliquent des observateurs, car elle redoute «une inflation des coûts avec l'arrivée du numérique». Pourtant, «le recours à la télé expertise économise les frais de transport des patients», assurent les responsables de projets dans les ARS.

Une réduction «des dépenses prises en charge par l'Assurance-maladie et par les régimes complémentaires» est d'ailleurs attendue dans le cadre du programme ­Vigisanté lancé par le groupe de prévoyance Malakoff Médéric et sélectionné par le ministère de l'Industrie. Ce plan de dépistage en entreprise et télémédecine, le premier à grande échelle, inclut des dispositifs médicaux communicants placés au domicile des patients (auto-tensiomètre, pilulier électronique…), une plate-forme d'accompagnement sur Internet et un système expert pour faciliter le suivi du patient par son médecin traitant.

De toute façon, rappelle le docteur Laurent Treluyer, responsable de la télémédecine à l'ARS Ile-de-France, «on n'attend pas des économies de la télémédecine, plutôt une amélioration de l'accès aux soins». «La télémédecine confère le don d'ubiquité», souligne de son côté Hervé Barge, directeur des systèmes d'information de l'ARS de Franche-Comté. Elle devrait apporter des solutions à la désertification médicale, aux problèmes de démographie dans certaines spécialités et au vieillissement de la population. Elle facilitera la prise en charge à domicile, en particulier pour les maladies chroniques.

Reste à savoir comment le nouveau gouvernement accélérera le processus. Fleur Pellerin, devenue ministre déléguée à l'Économie numérique, avait dénoncé en avril «cinq ans d'enlisement numérique» en matière de santé et promis «de faire rentrer notre système de santé dans le XXIe siècle».

--------------------------------------------------------------------------------

De quoi parle-t-on?

• La télémédecine n'a pas grand-chose à voir avec les sites d'information médicale qui se développent sur Internet. La télémédecine met en rapport, grâce aux technologies nouvelles, le patient et des professionnels de santé, ou plusieurs professionnels de santé entre eux.

• Elle permet d'établir un diagnostic, d'assurer un suivi des patients à risque, de requérir un avis spécialisé, de faire des prescriptions et de surveiller l'état des patients.

• 5 actes sont possibles: la consultation à distance, la téléexpertise (qui sollicite l'avis de spécialistes), la télésurveillance (un médecin analyse à distance les données d'un patient), la téléassistance (un professionnel de santé est secondé à distance par un autre professionnel au cours d'un acte) et la régulation médicale (Samu, etc.).
Le figaro
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Espacer les lettres pour aider les enfants dyslexiques

Par Jean-Luc Nothias - le 05/06/2012
Grâce à une méthode trouvée par une équipe de recherche franco-italienne, les victimes de ce trouble améliorent leurs performances de lecture.

Comment aider les enfants dyslexiques à surmonter leurs difficultés? Une équipe de recherche franco-italienne vient de trouver un moyen simple et efficace pour améliorer la vitesse et la qualité de la lecture chez les enfants souffrant de ce trouble: augmenter l'espace des lettres et des mots les conduit à lire 20 % plus vite et à faire deux fois moins d'erreurs (publié dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Science , PNAS).

La dyslexie, dont l'origine reste controversée, se traduit par des difficultés dans l'identification des mots sans qu'il n'y ait de déficiences physiques auditives ou visuelles. La dyslexie entraîne des confusions phonétiques, des inversions de lettres ou des adjonctions et une lenteur dans le traitement des éléments lus. Un enfant dyslexique lit en une année ce qu'un «normo-lecteur» lit en deux jours. Elle peut également entraîner des troubles de l'écriture.

Rompre un cercle vicieux

L'équipe de recherche, codirigée par Johannes Ziegler du Laboratoire de psychologie cognitive (CNRS/Aix-Marseille Université), a testé les effets de l'espacement des lettres sur la lecture chez 54 enfants dyslexiques italiens et 40 enfants dyslexiques français, âgés entre 8 et 14 ans. Ils devaient lire un texte composé de 24 phrases dans lesquelles l'espacement était soit normal, soit plus grand. Résultat: l'augmentation de l'espacement a permis aux enfants dyslexiques d'améliorer leur lecture en vitesse et en précision.

Ce résultat pourrait devenir une nouvelle méthode importante dans la rééducation de la dyslexie. En effet, un enfant dyslexique qui lit très difficilement et lentement vit un sorte de supplice. Il se décourage donc et n'a plus envie de lire. L'«astuce» des chercheurs peut, disent-ils «rompre ce cercle vicieux en permettant aux enfants de lire correctement plus de mots en moins de temps».

«Nous ne voulons absolument pas prendre partie ou choisir un camp dans les controverses sur les origines ou les méthodes de remédiation de la dyslexie, nous a précisé Johannes Ziegler. Nous présentons un résultat de recherche qui pourrait améliorer ces méthodes d'amélioration de ce trouble de la lecture». Comment cette idée de travailler sur l'espacement des lettres est-elle née? «En fait, nous savions que des expériences avaient été faites sur la taille des lettres, sans résultat. Nous avons donc pensé à agir sur l'espacement pour réduire l'effet de ce que l'on appelle l'encombrement perceptif».

Une application de test sur iPad et iPod



Parallèlement, une application iPad/iPod, nommée «DYS» a été développée par Stéphane Dufau (laboratoire de psychologie cognitive du CNRS). Elle est téléchargeable gratuitement sur l'Apple store. Les parents, et les enfants, peuvent ainsi facilement manipuler l'espacement des lettres et des mots et tester l'efficacité de la méthode. Les données ainsi recueillies à grande échelle devraient permettre aux chercheurs d'affiner leurs résultats et de déterminer s'il y a un espacement optimal en fonction de l'âge de la personne et du niveau de lecture.

«Nous espérons effectivement pouvoir recueillir de nouvelles données, reconnaît le chercheur. Le test est simple: il faut juste donner son âge, dire si l'on est droitier ou gaucher et lire quelques phrases. Cela devrait nous aider à mieux analyser les effets de l'espacement des lettres sur les enfants dyslexiques. Car le résultat de 20 % d'amélioration de la vitesse de lecture est un résultat de groupe. Ce qui veut dire que certains enfants peuvent avoir eu une amélioration plus importante et d'autres moins».
Le Figaro
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

L'escroquerie des alicaments

Le Point.fr - Publié le 04/06/2012 à 10:42 - Modifié le 04/06/2012 à 10:43

Pour le docteur Chevallier, les allégations santé des aliments industriels ne sont que du marketing. Il faudrait donc les interdire.

Le terme alicament est communément utilisé pour désigner les produits alimentaires industriels transformés, modifiés avec ajouts d'éléments divers qui sont supposés avoir des vertus de prévention, voire curatives pour la santé : baisse supposée du cholestérol avec certaines margarines enrichies en stérol, renforcement de l'immunité avec certains produits laitiers dont des souches spécifiques de bactéries ont été introduites... Les autorités utilisent le terme d'"allégation santé". Des milliers de demandes ont été faites auprès de l'Europe et la Commission européenne en a autorisé récemment 222. Il y en avait de surprenantes comme celle d'une célèbre marque de chocolat qui proposait, concernant son chocolat au lait, "aide les enfants à grandir".


La Commission vient de rendre un rapport de 750 pages. A priori, il pourrait sembler rassurant qu'elle ait sélectionné et interdit des allégations qui pouvaient paraître trompeuses aux yeux du consommateur ou sans fondement scientifique. Mais regardons de plus près ce qui se prépare. Il faut d'abord constater que la Commission n'a analysé que les études fournies par les industriels, ce qui pose, comme pour les OGM, la question de savoir si la totalité des études, notamment celles négatives, ont été communiquées.

Effets pervers


Mais, allons plus loin, la Commission européenne n'aurait-elle pas dû tout simplement s'interdire d'autoriser la moindre allégation santé ?

En effet, ce n'est pas parce qu'un élément supposé bénéfique est ajouté que le produit transformé est bon dans son ensemble, car il peut aussi concentrer des résidus de pesticides, des cocktails colorants et autres additifs insuffisamment étudiés en termes d'interactions, avoir des emballages inadéquats... L'Europe n'a pas pris en compte cette dimension.

Il y a aussi des effets pervers, car mener à bien des études, même partielles, voire partiales avec le vernis scientifique adéquat, est fort onéreux. Qui peut et pourra les financer, si ce n'est uniquement les très grands groupes industriels ? Veut-on clairement cautionner cette démarche ?

Par ailleurs, le chercheur à l'Inserm Pierre Meneton (1) a clairement alerté sur le fait que les études financées par les industriels pouvaient, sans être fausses, être biaisées et que la source de financement directe et indirecte devait être prise en compte dans l'évaluation de toutes les études. Par exemple, il indique : "Les types de paramètres mesurés sont autant de facteurs susceptibles d'influencer les résultats... et d'orienter les conclusions des études."

Refuser les allégations


Si, grâce au marketing des grandes entreprises qui utilisent ces études - car c'est leur finalité essentielle : servir à la promotion des produits -, les consommateurs adhèrent ou se font piéger, ceux-ci ne risquent-ils pas en plus de déséquilibrer leurs rations alimentaires en ayant tendance à surconsommer ce produit au détriment d'autres pouvant assurer un meilleur équilibre nutritionnel ?

Il est ahurissant de laisser encore certaines grandes entreprises agro-alimentaires s'autoproclamer défenseurs de la santé des consommateurs à des fins purement mercantiles.

Insistons sur le fait que la bonne attitude pour l'Europe devrait probablement être de refuser le principe même des allégations pour éviter d'ouvrir la porte ouverte à de multiples dérives. Ne doit-elle pas mettre son énergie et ses moyens financiers à promouvoir les produits bruts frais ou surgelés, à lutter contre les souillures chimiques des aliments aux multiples conséquences en termes de surpoids, de diabète, de troubles de la fertilité, et de renforcer des campagnes de prévention ? N'oublions pas que le simple coût du diabète au niveau européen est de 90 milliards d'euros (OCDE 2012), 13 milliards pour la France pour cette unique pathologie avec des souffrances humaines incalculables : environ 10 000 amputations par an sont liées à cette maladie en France. Et, selon l'OMS, toutes les 30 secondes dans le monde, quelqu'un est amputé d'un membre inférieur à cause du diabète.

Le changement de stratégie que doit adopter l'Europe vis-à-vis de l'industrie agro-alimentaire et de la protection des consommateurs, c'est maintenant que la France devrait l'imposer.

(1) "L'aveuglement de la communauté scientifique et des agences sanitaires" Biofutur 320. Avril 2011.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Primaire : l'aide personnalisée, inadaptée ?

Le Point.fr - Publié le 05/06/2012 à 15:23 - Modifié le 05/06/2012 à 15:24

Les professeurs des écoles jugent le dispositif inefficace et appellent le gouvernement à le repenser totalement.

L'aide personnalisée (AP) créée en 2009 dans les écoles maternelles et élémentaires est inefficace à résoudre les difficultés scolaires, selon une enquête du SNUipp-FSU, principal syndicat du primaire, qui appelle le ministre, Vincent Peillon, à "totalement la repenser". À 80 %, les professeurs des écoles jugent que "l'efficacité" de la mesure phare du quinquennat précédent pour lutter contre l'échec en primaire n'est pas satisfaisante : 63 % "peu ou pas" et 17 % "pas du tout", selon cette enquête via Internet, rendue publique mardi, à laquelle ont répondu du 21 avril au 21 mai 18 600 enseignants (sur 320 000).

Il y a plusieurs raisons à cela : les journées sont fatigantes, l'aide n'est pas adaptée aux différentes écoles et il y a eu confusion entre le traitement des difficultés légères et celui des plus lourdes. Ainsi, 44 % des enseignants jugent que certains élèves bénéficiant de l'AP auraient besoin de professeurs Rased spécialisés contre les difficultés lourdes, mais ne sont pas pris en charge. Parmi les effets négatifs pour les élèves, 80 % des enseignants citent l'allongement de la journée et 66 % la fatigue. Après la suppression du samedi matin et le passage à la semaine de quatre jours dans la quasi-totalité des écoles, l'AP a été organisée avant 8 h 30, sur la pause déjeuner ou après 16 h 30, ce qui a alourdi les journées des élèves les plus faibles. Enfin, le dispositif est "une cote mal taillée", a expliqué lors d'une conférence de presse le secrétaire général du SNUipp-FSU, Sébastien Sihr : ces deux heures hebdomadaires pour trois à cinq élèves peuvent paraître "superflues" dans des écoles de centre-ville mais à l'inverse "du saupoudrage" dans celles "qui concentrent les difficultés scolaires".

Vers plus de maîtres que de classes


Principal point positif cependant, cité par 48,7 % des enseignants : pouvoir travailler "avec un petit groupe d'élèves", par exemple pour stimuler les élèves peu à l'aise à l'oral. "L'enquête montre très clairement les limites du dispositif. Il ressort que l'aide personnalisée a vécu, tant ses défauts sont criants", a résumé Sébastien Sihr. "À l'heure où le ministre ouvre une concertation, cette enquête va compter pour que l'aide à la difficulté scolaire soit totalement repensée. Elle devra être assurée à l'avenir sur le temps commun à tous les élèves et, pour cela, nous comptons sur la promesse de François Hollande d'avoir 'plus de maîtres que de classes'", a-t-il ajouté.

Au ministère, on a indiqué mardi que l'enquête serait "une contribution supplémentaire au débat sur les rythmes et la longueur des journées". Lors de sa campagne, François Hollande a dit que le primaire serait la "priorité", la France connaissant un fort taux d'élèves en difficulté en fin de CM2. "Plus de maîtres que de classes", cela permettrait notamment que le maître fasse cours pendant qu'un deuxième professeur suit de plus près quelques élèves. Mais à la question des aménagements possibles à ce sujet, les enseignants sont divisés : 37 % souhaitent d'abord une baisse du nombre élèves par classe, 34 % un travail en petits groupes avec "plus de maîtres que de classes". Par ailleurs, 53 % souhaitent renforcer la place des Rased (dont des milliers de postes ont été supprimés) et 43 % demandent "du temps pour se concerter, travailler en équipe et rencontrer des familles". Du coup, le SNUipp est partant pour "redéfinir le temps de service" des professeurs du primaire "en ajoutant des missions comme la concertation collective et la rencontre avec les parents", mais dans le temps actuel de 27 heures par semaine dans l'école.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Avatar de l’utilisateur
kysa
Insatiable
Insatiable
Messages : 422
Inscription : 06 nov. 2011 12:40

Re: Actualités 2012

Message par kysa »

Merci Mémo! :D
DE 2015
IBO en Guadeloupe
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Je t'en prie.
Je viens de me rendre compte qu'il te restait des concours en lisant ta signature :lol:
De mon côté j'ai fini les miens. Mais promis demain je penserais à toi. :clin:
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
picabou
Adepte
Adepte
Messages : 117
Inscription : 28 déc. 2011 16:44

Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra

Message par picabou »

Bonjour à tous :) Je vous propose un sujet à la fois très "vaste" et très riche ! Je suis tombé dessus lors d'un oral la semaine dernière, j'avais tellement d'idées que j'ai eu du mal à formuler mes arguments correctement ... J'aimerai bien avoir vos avis ! Merci d'avance !!!!

Qu'est ce que soigner ?
ESI 2012/2015 à l'IFSI de Béziers
TP 12.5 / CG 15.5 / ORAL 16
Classée 12ème !!
Avatar de l’utilisateur
kysa
Insatiable
Insatiable
Messages : 422
Inscription : 06 nov. 2011 12:40

Re: Actualités 2012

Message par kysa »

Memo a écrit :Je t'en prie.
Je viens de me rendre compte qu'il te restait des concours en lisant ta signature :lol:
De mon côté j'ai fini les miens. Mais promis demain je penserais à toi. :clin:
Ouais mais vendredi soir ça serait fini \o/ Après le plus long sera l'attente jusqu'aux résultats! ;)
DE 2015
IBO en Guadeloupe
stepit42
Accro
Accro
Messages : 1041
Inscription : 13 févr. 2011 00:19

Re: Actualités 2012

Message par stepit42 »

Merci pour ces actualités! :D
Avatar de l’utilisateur
mel73
Fidèle
Fidèle
Messages : 192
Inscription : 04 avr. 2012 09:13

Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra

Message par mel73 »

Qu'est-ce que soigner ?

INTRO : Le soin et donc soigner a pour but de rétablir, préserver la santé d'un individu. Il est présent dans beaucoup de profession médicales (médecin, pharmacien) et para -médicale (ergothérapeute). Pour répondre à la problématique, qu'est-ce que soigner je m’intéresserais au soin de le cadre de la profession d'infirmière.
I) ACTE MÉDICAL
- Analyser une situation de soin, établir un diagnostic
- Aider une personne dans les soins quotidiens
- Acquérir compétences et savoir-faire pour la qualité
- Savoir évaluer l'acte médical
- Traiter des données médicales
II) CONTEXTE DE SOIN
- Apprendre à gérer son stress, ses émotions
- Communiquer avec le patient
- Rôle propre inf : Soins de bien être et de confort, surveillance de base
- Communiquer avec la famille du patient
- Communiquer, organiser les interventions avec l'équipe soignante
III) DANS DIFFÉRENTS ENVIRONNEMENTS
- Humanitaire
- Inf à l'armée
- Inf libérale
- Établissement hospitalier
- Inf scolaire
CONCLUSION : Ouverture sur la prévention qui est très importante dans le domaine de la santé.

Et voici pour moi :) ... Comme tu l'as précisé Picabou, ce sujet est très vaste, j'ai visé un point précis de ce domaine afin de ne pas m'éparpiller et pouvoir restée claire,concise et organisée...

En espérant avoir visé juste!
"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"

"Le mieux est l'ennemi du bien"
Avatar de l’utilisateur
Jonathan1
Accro
Accro
Messages : 1185
Inscription : 08 mai 2012 17:36

Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra

Message par Jonathan1 »

Clémantine a écrit :
Jonathan1 a écrit :
Clémantine a écrit :Moi j'ai eu un sujet c'était une photo, je trouve cela assez atypique..... :arcenciel:

Beaucoup de personne on t-ils eu des sujets photos ?
Moi j'ai eu un sujet photo : avec un sous-titre "la maladie mentale dans la société"
On pouvait voir un homme, les cheveux grisonnants, assis à son bureau et devant son agenda. Il se tenait la tête dans les mains et on pouvait pas voir son visage. C'est tout.
Oui on peut penser a Alzaimer, les cheveux grissonnants nous évoque la veillesse et ne pas voir le visage nous évoque la perte d'identité lié a la maladie
Donc en idée j'aurais mis:

-OMS Veillesse début 65 ans
-Marc Denzon ancien directeur OMS "sans santé mentale et sans bien être il n'y a pas de vrai santé"
-plan solidarité grand-age 2007-2012 finance parkinson et alzaimer
-APA d'après la grille AGGIR financé par les Conseils régionnaux
-Canicule de 2003 polémique aide les personnes dépendantes
-3 types de veillesse (réussis, physiologique et pathologique)
-centres MAPAD EHPAD maison de retraite foyer-logement
-HAD et SSIAD

dans le désordre après j'aurais mis sa dans un plan...
Mais tu ne parles que d'Azhleimer, pas des maladies mentales en général dans les sociétés.

Par contre j'ai trouvé très bien l'idée du fait qu'il a le visage dans les mains, du coup on peut prendre ça comme une perte d'identité ! C'est très bien trouvé ![/quote]


Je pense que tu confond déficience mentale, ce qui est inné c'est à dire depuis la naissance et maladie mentale ce qui est acquis, c'est extrement different
Ce qui est acquis ce sont les niaco-dépression, la bipolarité, alzaimer, ....mais il serait abérant de parler de la trisomie, ou autre cela ne fait pas partie des maladies mentale.
De plus les cheveux grissonant donc la veillesse sont la pour te mettre sur la voie, ....
Infirmier depuis le 24 juillet 2015.
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

De rien stepit!! :D

École : les notes à nouveau contestées

Vincent Peillon, le ministre de l'Éducation, s'est déclaré favorable à une «évolution de la notation» devant le congrès de la Peep,


La période préélectorale n'étant pas propice aux annonces fracassantes - les syndicats enseignants s'étaient fait fort de le rappeler à leur ministre à propos de la semaine de cinq jours - Vincent Peillon se contente de lancer quelques pistes qui pourraient enfin permettre de cerner les orientations concrètes de sa politique.

Devant le congrès de la Peep, fédération de parents d'élèves classée à droite, il a donc évoqué, samedi, au détour d'une phrase, l'idée de «faire évoluer la notation» à l'école, celle-ci étant, selon lui, source de trop de «souffrance». Une déclaration suivie d'un silence ministériel désormais de rigueur, du moins jusqu'au 17 juin, puisqu'on précise Rue de Grenelle qu'elle n'appelle aucun commentaire supplémentaire et n'implique aucun calendrier.

Le public plébiscite les notes

La question des notes a pourtant fait l'objet, depuis trois ans, de polémiques récurrentes et de débats acharnés. En novembre 2010, une pétition rédigée par l'Afev, Association d'aides aux devoirs pour enfants défavorisés, était publiée par Le Nouvel Observateur et signée par une vingtaine de personnalités, d'Axel Kahn à Boris Cyrulnik et de Daniel Pennac à Richard Descoings. «Fissuration de l'estime de soi, absence de valorisation de leurs compétences, détérioration des relations familiales et, à terme, souffrance scolaire», tels étaient les maux dont se rendait coupable, selon le texte, un système de notation sur 20 accusé de pousser les élèves à la compétition. À la rentrée précédente, le livre du journaliste anglais Peter Gumbel, On achève bien les écoliers, remportait les suffrages des médias en accusant l'école française de traumatiser les enfants à coup de notes et d'humiliations.

Le débat serait donc miné? Pas forcément, puisqu'à l'époque, si Luc Chatel s'était dit farouchement opposé à la suppression des notes, d'autres voix s'étaient fait entendre à l'UMP, qui suggéraient que, sur ce sujet, comme sur d'autres, le clivage n'était pas si net: Jacques Grosperrin, auteur d'un rapport parlementaire, ou Camille Bedin, secrétaire nationale à l'égalité des chances…

Du côté des associations de parents, même consensus: FCPE et Peep se rejoignent dans la dénonciation des souffrances infligées aux enfants. Mais l'opinion publique, elle, plébiscite les notes. Et les syndicats d'enseignants sont fortement divisés. Car la polémique sur la notation recouvre une question bien plus vaste: celle de l'évaluation des élèves, et donc des buts assignés à l'école elle-même. «Le ministre parle de refondation, plaide ainsi Christian Chevalier, secrétaire général du SE-Unsa, syndicat partisan de la «rénovation» pédagogique, et la refondation passe par là. C'est sans doute un ballon d'essai de Vincent Peillon, et pourquoi pas. Il faut dépassionner ce débat. D'autant que le problème n'est pas le même au primaire, au collège et au lycée.»

Le collège fait débat

À l'école primaire, il est à peu près admis que les notes doivent arriver relativement tard et se limiter à une échelle sur dix. De sorte que l'inévitable exemple finlandais, où les élèves ne sont notés qu'à partir de 11 ans, n'est pas un horizon si lointain. Au lycée, les notes sont généralement admises. Reste le collège. En fait, la logique des notes rentre en contradiction avec celle de l'évaluation des compétences, qui a investi l'école depuis la loi Fillon de 2005.

En instaurant le socle commun de connaissances et de compétences, elle induit, à terme, une évaluation par un système de validation des acquis matérialisé par le livret de compétences, aujourd'hui généralisé dans les écoles et collèges (voir ci-dessous).

Pourtant, un rapport de l'inspection générale datant de 2007 soulignait que ce système d'enseignement prôné par l'OCDE et l'Union européenne, s'il fonctionnait bien en Finlande, obtenait des résultats plus que contrastés en Suisse ou au Québec, où il avait été généralisé.

En confirmant qu'il suivra la ligne déjà engagée de transformation du système éducatif, Vincent Peillon prend pour l'heure peu de risques. Les termes précis de la loi d'orientation, cet automne, permettront de poser le débat avec plus de clarté.
Le figaro
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
manoune77
Régulier
Régulier
Messages : 41
Inscription : 02 mai 2012 09:04

Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra

Message par manoune77 »

stepit42 a écrit :
manoune77 a écrit :Coucou me re voila lol
j'ai passe mon dernier oral hier a coulommiers (77) et comme je l'avais prevue xd
j'ai eu un sujet concernant le tabac:

" l'interdiction de fumer dans les lieux publics est elle une mesure legislative intolerable ou respectueuse d'autrui ?".



Heyy oui hier c'etait la journee nationale sans tabac fallais bien s'en douter. C'est un sujet en or serieux j'espere avoir tout dechirer lol
C'est un sujet qui m'as grave inspiré !


J'ai meme eu le choix entre 2 sujet enfin voila si vous voulez vous entrainer allez y xd
Pourrais-tu mettre ton plan s'il te plait? Car en ce moment, il n'y a presque personne qui fait de sujet (pour la plupart l'oral c'est passé) mais moi j'aimerais bien savoir quels arguments tu as mis dans tes parties! :D

Désole de te répondre si tard :s mais ayant fini mes oraux j'avais completement décrocher. Ca fait tellement du bien de plus avoir à réviser !

Alors ej vais essayer de me souvenir xd car il m'ont gardés mon brouilon :)


" l'interdiction de fumer dans les lieux publics est elle une mesure legislative intolerable ou respectueuse d'autrui ?".


Intro :
L'interdiction de fumer dans les lieux publics date de quelques années et a suciter beaucoup de divergence.C'est pourquoi nous allons voir par la suite dans un premier temps l'intolerance suciter par cette lois et puis dans un deuxieme temps le respect d'autrui quelle entraine.

I. Une mesure legislative intolerante

- cela concerne plutot les fumeur
- atteinte de leur liberté
-> onbliger de sortir dehors
- tous les lieux public ne sont pas doter de lieu fumeur
-> contrainte
- mecontentement des buraliste
-> baisse de conso = baisse de chiffre d'affaires
- il s'agissait d'un plaisir de pouvoir fumer en buvant un verre avec des amis au bar
-> plus possible

II. une mesure legislative respectueuse d'autrui

- cela concerne plutot les non fumeur
- plus d'odeur insuportable, plus de fumée
- meilleur hygiene
-> lieux publics plus de megots par terre de cendre.
-> dents jaunie, main jaunie
- tabagisme passif
- respecter ceux qui ont choisi de ne pas fumer
- respect des asthmatique, ..

CCL : liens avec la profession = prevention contre les risque du tabac



Voila, Voila j'ai peut etre oublié quelques truc mais je n'ai plus mo brouillon.

Bon courage !
Répondre