Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Fiches Culture Générale 2013
J'ai passé un temps fou à lire ces 30 pages mais franchement un grand merci à toutes celles qui ont le courage de faire des fiches pour les partager!
Par contre j'ai une petite question, que pensez vous du "Mega Guide Concours IFSI" Masson en ce qui concerne la Culture G ?
Encore merci les filles (garçons?
)

Par contre j'ai une petite question, que pensez vous du "Mega Guide Concours IFSI" Masson en ce qui concerne la Culture G ?
Encore merci les filles (garçons?

- supercuisto
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Merci Hindi et n'hésite pas à poster tes fiches !
moi j'ai le livre maxi guide concours infirmier chez nathan et je trouve que les sujets de CG sont assez bien traités (mais il manque quelques thèmes je trouve) par contre les annales j'aime pas du tout ! leur style d'écriture ne me plais pas, du coup j'accroche pas donc j'ai du mal a me lancer sur ces sujets ! D'autant que le problème avec les livres c'est que personne n'est là pour te corriger !

moi j'ai le livre maxi guide concours infirmier chez nathan et je trouve que les sujets de CG sont assez bien traités (mais il manque quelques thèmes je trouve) par contre les annales j'aime pas du tout ! leur style d'écriture ne me plais pas, du coup j'accroche pas donc j'ai du mal a me lancer sur ces sujets ! D'autant que le problème avec les livres c'est que personne n'est là pour te corriger !
ESI 2013 / 2016 a Tours CHRU
En reconversion professionnelle... j'y crois !!!
S1 : EHPAD - 30 ECTS/30
S2 : DERMATOLOGIE
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Re: Fiches Culture Générale 2013
@Supercuisto
Je ne m'y suis pas encore mise mais dès que tout est en route pour moi j'essayerai
Moi aussi il me semble que mon livre est assez complet dans les thèmes qu'il propose néamoins il manque des thèmes comme pour toi ! En même temps il y en a tellement..
Je ne m'y suis pas encore mise mais dès que tout est en route pour moi j'essayerai

- chachadu83
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Re: Entraînement culture générale 2013
bonjour,
j arrive un peu en retard sur le forum.
j' ai traité la question 2 sur commenter le taux de fécondité en France.. et posterai une fois terminer la 3
. En tout cas, très bonne idée d entrainement pour le concours pour se mettre en condition d examen 
2) Le taux de fécondité est la proportion en moyenne qu'une femme à d'enfant dans un pays par ménage. On constate de nos jours qu'il atteint en France env 2.1, ce qui démarque la France de ces voisins européens. On peut donc se demander comment peut t on expliquer ce phénomène?
Tout d'abord, les aides proposées par certains organismes comme les prestations reçues par la CAF, permettent aux françaises un complément de revenu.
De plus, la législation en vigueur peut par la présence du congé maternité ou du système de santé de mieux se préparer à la naissance de l'enfant à venir, mais aussi
une prise en charge médical pouvant pallier d'éventuel contraintes médicales survenu durant la grossesse.
D'autre part, la femme peut être plus sereine pour procréer ou élever son futur enfant, et décider par la présence d'un congé parental de participer à son éducation tout en ayant des prestations compensatoires de revenu afin de limiter le manque de moyen.
En définitive, le taux élevé de fécondité en France peut s' expliquer par les aides perçues, le législations en vigueur et les alternatives psychologiques et physiques que peut ressentir la femme française en abordant la questions. ( 25 L sur papier souvent demandé aux concours)
Voila ma rédaction si çà peut aider certain pour structurer les idées
, je viens de voir dans la correction proposé que l'idée sur la religion chrétienne est un bon argument aussi, je l ai pas mis pour rester fidèle à ma rédaction de départ.
j arrive un peu en retard sur le forum.
j' ai traité la question 2 sur commenter le taux de fécondité en France.. et posterai une fois terminer la 3


2) Le taux de fécondité est la proportion en moyenne qu'une femme à d'enfant dans un pays par ménage. On constate de nos jours qu'il atteint en France env 2.1, ce qui démarque la France de ces voisins européens. On peut donc se demander comment peut t on expliquer ce phénomène?
Tout d'abord, les aides proposées par certains organismes comme les prestations reçues par la CAF, permettent aux françaises un complément de revenu.
De plus, la législation en vigueur peut par la présence du congé maternité ou du système de santé de mieux se préparer à la naissance de l'enfant à venir, mais aussi
une prise en charge médical pouvant pallier d'éventuel contraintes médicales survenu durant la grossesse.
D'autre part, la femme peut être plus sereine pour procréer ou élever son futur enfant, et décider par la présence d'un congé parental de participer à son éducation tout en ayant des prestations compensatoires de revenu afin de limiter le manque de moyen.
En définitive, le taux élevé de fécondité en France peut s' expliquer par les aides perçues, le législations en vigueur et les alternatives psychologiques et physiques que peut ressentir la femme française en abordant la questions. ( 25 L sur papier souvent demandé aux concours)
Voila ma rédaction si çà peut aider certain pour structurer les idées

esi 2013-21016 enfin 

- chachadu83
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- Inscription : 07 mai 2011 19:13
comme promis, j'ai traité la question 3 ( j avoue que niveau idée à la seconde partie sur les dangers d'une population qui se renouvelle pas dans les pevd, j étais pas trop inspiré
)
Le taux de fécondité est la proportion en moyenne qu'une femme à d'enfants par ménage. De nos jours, les pays en voie de développement (pevd) ont ce taux élevé 5,9 enfants par femmes pour la région de Kanugu, mais aussi un taux de mortalité important. On peut donc ce demander quel impact peut avoir cette surpopulation et les conséquences du renouvellement de celle- ci ?
Tout d'abord, le manque alimentaire souvent présent dans les PEVD peuvent accroitre le pb de malnutrition et de besoin en nourriture.
D' autre part, l'absence de moyen sanitaire que dispose ces pays pour se soigner peut élever les pbs d’hygiène et de sante et la propagation des maladies par contact.
De ce fait, la population reste " vieillissante" est aura du mal à se renouveller.
Ainsi, ce phénomène peut engendrer le déclin d'une population active nécessaire pour le développement économique du pays.
De plus, l économie étant moins performantes, le niveau de vie baisse et peut avoir des conséquences sociales et sanitaires plus importantes sur l'ensemble de la population.
En définitive, la surpopulation dans les pevd a des impacts alimentaires, sanitaire et un fort taux de mortalité des jeunes, ce qui peut mettre à mal les ressources et le renouvellement de la population.
NB : pour sisi 97,j ai jeté un coup d œil sur tes résumer, ils sont simples et concis dc bien
c est peu être pour çà que les gens ne disent rien 

Le taux de fécondité est la proportion en moyenne qu'une femme à d'enfants par ménage. De nos jours, les pays en voie de développement (pevd) ont ce taux élevé 5,9 enfants par femmes pour la région de Kanugu, mais aussi un taux de mortalité important. On peut donc ce demander quel impact peut avoir cette surpopulation et les conséquences du renouvellement de celle- ci ?
Tout d'abord, le manque alimentaire souvent présent dans les PEVD peuvent accroitre le pb de malnutrition et de besoin en nourriture.
D' autre part, l'absence de moyen sanitaire que dispose ces pays pour se soigner peut élever les pbs d’hygiène et de sante et la propagation des maladies par contact.
De ce fait, la population reste " vieillissante" est aura du mal à se renouveller.
Ainsi, ce phénomène peut engendrer le déclin d'une population active nécessaire pour le développement économique du pays.
De plus, l économie étant moins performantes, le niveau de vie baisse et peut avoir des conséquences sociales et sanitaires plus importantes sur l'ensemble de la population.
En définitive, la surpopulation dans les pevd a des impacts alimentaires, sanitaire et un fort taux de mortalité des jeunes, ce qui peut mettre à mal les ressources et le renouvellement de la population.
NB : pour sisi 97,j ai jeté un coup d œil sur tes résumer, ils sont simples et concis dc bien


esi 2013-21016 enfin 

Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour à tous et merci pour vos réponses...
j'ai du mal à retenir les chiffres surtout, je mélange tout... m'enfin...
moi j'ai entendu parler du méga guide en grand bien...
donc voila mon R14
j'ai résumée résumée...lol c mon premier poste la dessus... donc désolé d'avance
R14 :IST/ MST
Les infections sexuellement transmissibles (IST) ou maladies sexuellement transmissibles (MST) sont des infections extrêmement contagieuses qui se transmettent lors des rapports sexuels. Les IST peuvent être graves, faute de traitements rapide ou efficace y compris du partenaire.
Constat :
On assiste a une augmentation des infections et représente un facteur de risques supplémentaire de transmission du VIH notamment chez les homosexuels masculins.
Il y a 300 millions de cas dans le monde.
Cause :
Cause social :
- relâchement du comportement
- manque d’information
- facilité de voyage
- situation sociaux économiques
Cause médical :
- bactérie (syphilis, chlamydias,…)
- virus (VIH, hépatite B et C ; herpès génital,…)
- champignon ou mycoses
- parasites (morpions)
Conséquence :
Si il n’y a pas de traitements, il y aura transmission d’IST/ MST.
Quelques symptômes :filles> brûlures en urinant, douleurs vaginales, pertes vaginales inhabituels qui sentent mauvais et qui démanges, …
Garçons> écoulement inhabituels au niveau du pénis, brûlure ne urinant, douleurs dans les testicules, …
Les MST ont des conséquences importantes en santé. Non traités ou mal traité, elles peuvent être responsable de complication : > loco régional avec atteintes tubaire d’ovarienne ou pelviennes responsables de pluvi-pé-vitorite, de stérilité tubaire et de grossesse extra utérine (chlamydias,…)
>purement local avec risque de contamination du ou des partenaires (candida, HPV, …), risque d’évolution vers une lésion précancéreuses ou cancéreuse avec certaines papillomavirus, HPV
>enfin transmission verticale materno-fœtal avec atteinte du nouveau-né (chlamydia,…)
Solutions apportés :
Prévention :
- bonne hygiène intime
- limitation des comportements sexuels à risques (moins de partenaires)
- usage du préservatif (tous types de rapport sont concernés)
- après usage retiré rapidement, nouer et jeter
- vaccination hépatite B
j'ai du mal à retenir les chiffres surtout, je mélange tout... m'enfin...
moi j'ai entendu parler du méga guide en grand bien...
donc voila mon R14
j'ai résumée résumée...lol c mon premier poste la dessus... donc désolé d'avance
R14 :IST/ MST
Les infections sexuellement transmissibles (IST) ou maladies sexuellement transmissibles (MST) sont des infections extrêmement contagieuses qui se transmettent lors des rapports sexuels. Les IST peuvent être graves, faute de traitements rapide ou efficace y compris du partenaire.
Constat :
On assiste a une augmentation des infections et représente un facteur de risques supplémentaire de transmission du VIH notamment chez les homosexuels masculins.
Il y a 300 millions de cas dans le monde.
Cause :
Cause social :
- relâchement du comportement
- manque d’information
- facilité de voyage
- situation sociaux économiques
Cause médical :
- bactérie (syphilis, chlamydias,…)
- virus (VIH, hépatite B et C ; herpès génital,…)
- champignon ou mycoses
- parasites (morpions)
Conséquence :
Si il n’y a pas de traitements, il y aura transmission d’IST/ MST.
Quelques symptômes :filles> brûlures en urinant, douleurs vaginales, pertes vaginales inhabituels qui sentent mauvais et qui démanges, …
Garçons> écoulement inhabituels au niveau du pénis, brûlure ne urinant, douleurs dans les testicules, …
Les MST ont des conséquences importantes en santé. Non traités ou mal traité, elles peuvent être responsable de complication : > loco régional avec atteintes tubaire d’ovarienne ou pelviennes responsables de pluvi-pé-vitorite, de stérilité tubaire et de grossesse extra utérine (chlamydias,…)
>purement local avec risque de contamination du ou des partenaires (candida, HPV, …), risque d’évolution vers une lésion précancéreuses ou cancéreuse avec certaines papillomavirus, HPV
>enfin transmission verticale materno-fœtal avec atteinte du nouveau-né (chlamydia,…)
Solutions apportés :
Prévention :
- bonne hygiène intime
- limitation des comportements sexuels à risques (moins de partenaires)
- usage du préservatif (tous types de rapport sont concernés)
- après usage retiré rapidement, nouer et jeter
- vaccination hépatite B
concours 2013...AP
toujours: MOTIVATION
un jour je serais infimière
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- supercuisto
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Re: Fiches Culture Générale 2013
merci bloulisle !
ça nous fait 3 fiches sur R14 ! Il y a pu qu'à résumer... (euh les ptits nouveaux si vous voulez vous lancer dans un résumé....
)
On va pouvoir passer à la R15 sur le sida!
J'ai pas mal de truc là dessus donc je vais la mettre cet aprem (apres le magazine de la santé je pense) !!
ça nous fait 3 fiches sur R14 ! Il y a pu qu'à résumer... (euh les ptits nouveaux si vous voulez vous lancer dans un résumé....

On va pouvoir passer à la R15 sur le sida!
J'ai pas mal de truc là dessus donc je vais la mettre cet aprem (apres le magazine de la santé je pense) !!
ESI 2013 / 2016 a Tours CHRU
En reconversion professionnelle... j'y crois !!!
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Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou les filles et les garcons !!!
je veux bien me lancé dans le resumer de la R14 ( j'essayerais de la mettre en ligne demain midi-debut aprem) mais par contre je tiens a vous prevenir je suis pas très douer dans la synthese lool donc hesiter a me dire vos critiques elles me utile pour le concours
par contre je suis désolé j'ai été absente tout l'été
et je suis en train de rattraper mon retard et j'ai remarqué qu'il manquait 2 resumer, la R9 et la R10 c'est parce qu'il y en avait qu'une?? je suis un peu perdu meme si j'ai relu vos postes
et il la faut pour quand la R15??
merci

je veux bien me lancé dans le resumer de la R14 ( j'essayerais de la mettre en ligne demain midi-debut aprem) mais par contre je tiens a vous prevenir je suis pas très douer dans la synthese lool donc hesiter a me dire vos critiques elles me utile pour le concours
par contre je suis désolé j'ai été absente tout l'été


et il la faut pour quand la R15??
merci

- supercuisto
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Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou Elody ! Merci de te lancer dans la synthèse de la R14 ! (pas de panique, il te suffit de classer les données et je te conseille de choisir une des fiches comme point de départ, et de compléter avec les données que tu trouve sur les autres fiches) !
sinon oui, celles qui n'ont pas de synthèse c'est celles qui n'avaient qu'un seul exemplaire !
La R15 normalement c'est jusqu'à mercredi !
Voici d'ailleurs la mienne !
R15 Le Sida
1. DEFINITION :
• Syndrome d'ImmunoDéficience Acquise, provoquée par un virus, le VIH (virus d'immunodéficience humaine) qui pénètre dans l'organisme et s'attaque aux lymphocytes T, composant essentiellement le système immunitaire.
• Le VIH fait parti des rétrovirus (la contamination passe inaperçue).
• Le sida est la 1ère cause de mortalité en Afrique.
• Le Sida est considéré comme une pandémie (épidémie susceptible de toucher toute la population) et une endémie (maladie durablement présente et persistante).
2. CAUSES (public, transmission…)
• Public le plus touché : migrants, homosexuels, Afrique.
• Transmission : Le virus est présent dans les liquides biologiques (sang, sperme et liquide séminal pour les hommes, sécrétions vaginales et lait maternel pour les femmes). Pour pénétrer l'organisme, il lui faut une porte d'entrée (muqueuses dans rapport non protégé ; voie sanguine avec seringue ; mère/enfant pendant la grossesse ; voie cutanée en cas de blessure et de contact avec un objet souillé).
3. CONSEQUENCES :
• Les défenses naturelles de l'organisme sont alors fragilisées et le corps n'est plus capable de lutter contre certains virus, bactéries, tumeurs. Le développement de ces maladies opportunistes finit par entrainer la mort de la personne infectée.
• Discrimination.
• Phases de la maladie :
- Primo infection : dans les semaines qui suivent le début de l'infection (fièvre et maux de tête)
- Phase asymptomatique : période où les effets du virus sont contrôlés par l'organisme.
- Phase symptomatique : marque le début de l'affaiblissement du système immunitaire (fièvre, diarrhées persistantes, amaigrissement de 10%, fatigue anormale et intense)
4. PREVENTION - LUTTE
• Prévention :
- Information dans les écoles, à la TV, au planning familial… (Sidaction + campagne "free hugs", affiches...)
- Distribution de préservatifs, mise à disposition de trousses de prévention pour toxicomanes et vente libre de seringue stériles en pharmacie
- Contrôle lors de dons (organes, sang, sperme…)
- Gratuité et anonymat du dépistage
• Lutte par traitement : maladie chronique traitée par multithérapie (plusieurs médicaments associés) = aide à mieux vivre mais contraignant.
• Vaccin contre le Sida en test aux USA et en France.
5. ACTUALITES - ORGANISMES
• Téléphone : Sida Info service et Sida Info Droit
• CRIPS (centre régional information et prévention sida)
• Sidaction, Sol en si, Act up, Solidarité sida
• Campagne "free hugs" de l'INPES
6. CHIFFRES CLES
• En 2012 : 34 millions de personnes infectées par VIH dans le monde (60% hétéros, 38 % homos, 2% toxicos) = 7 000 nouvelles infections par jour dans le monde !
• 1.8 million de décès des suites du sida dans le monde en 2010
• 150 000 personnes infectées par le VIH en France
• 6 300 nouveaux cas en 2010 en France
• 50 000 français infectés qui l'ignorent
• 1978 : 1er cas
• 1985 : dépistage obligatoire pour don du sang
• 1987 : dépistage gratuit et anonyme
sinon oui, celles qui n'ont pas de synthèse c'est celles qui n'avaient qu'un seul exemplaire !
La R15 normalement c'est jusqu'à mercredi !
Voici d'ailleurs la mienne !
R15 Le Sida
1. DEFINITION :
• Syndrome d'ImmunoDéficience Acquise, provoquée par un virus, le VIH (virus d'immunodéficience humaine) qui pénètre dans l'organisme et s'attaque aux lymphocytes T, composant essentiellement le système immunitaire.
• Le VIH fait parti des rétrovirus (la contamination passe inaperçue).
• Le sida est la 1ère cause de mortalité en Afrique.
• Le Sida est considéré comme une pandémie (épidémie susceptible de toucher toute la population) et une endémie (maladie durablement présente et persistante).
2. CAUSES (public, transmission…)
• Public le plus touché : migrants, homosexuels, Afrique.
• Transmission : Le virus est présent dans les liquides biologiques (sang, sperme et liquide séminal pour les hommes, sécrétions vaginales et lait maternel pour les femmes). Pour pénétrer l'organisme, il lui faut une porte d'entrée (muqueuses dans rapport non protégé ; voie sanguine avec seringue ; mère/enfant pendant la grossesse ; voie cutanée en cas de blessure et de contact avec un objet souillé).
3. CONSEQUENCES :
• Les défenses naturelles de l'organisme sont alors fragilisées et le corps n'est plus capable de lutter contre certains virus, bactéries, tumeurs. Le développement de ces maladies opportunistes finit par entrainer la mort de la personne infectée.
• Discrimination.
• Phases de la maladie :
- Primo infection : dans les semaines qui suivent le début de l'infection (fièvre et maux de tête)
- Phase asymptomatique : période où les effets du virus sont contrôlés par l'organisme.
- Phase symptomatique : marque le début de l'affaiblissement du système immunitaire (fièvre, diarrhées persistantes, amaigrissement de 10%, fatigue anormale et intense)
4. PREVENTION - LUTTE
• Prévention :
- Information dans les écoles, à la TV, au planning familial… (Sidaction + campagne "free hugs", affiches...)
- Distribution de préservatifs, mise à disposition de trousses de prévention pour toxicomanes et vente libre de seringue stériles en pharmacie
- Contrôle lors de dons (organes, sang, sperme…)
- Gratuité et anonymat du dépistage
• Lutte par traitement : maladie chronique traitée par multithérapie (plusieurs médicaments associés) = aide à mieux vivre mais contraignant.
• Vaccin contre le Sida en test aux USA et en France.
5. ACTUALITES - ORGANISMES
• Téléphone : Sida Info service et Sida Info Droit
• CRIPS (centre régional information et prévention sida)
• Sidaction, Sol en si, Act up, Solidarité sida
• Campagne "free hugs" de l'INPES
6. CHIFFRES CLES
• En 2012 : 34 millions de personnes infectées par VIH dans le monde (60% hétéros, 38 % homos, 2% toxicos) = 7 000 nouvelles infections par jour dans le monde !
• 1.8 million de décès des suites du sida dans le monde en 2010
• 150 000 personnes infectées par le VIH en France
• 6 300 nouveaux cas en 2010 en France
• 50 000 français infectés qui l'ignorent
• 1978 : 1er cas
• 1985 : dépistage obligatoire pour don du sang
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- angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2013
angelito94 a écrit :Exercice 4 partie 1/2: (Questions de résumé,synthèse, étude de texte) Proposition de réponse .
PROTECTION DE L'ENFANCE : AVRIL 2012
Prévenir les conduites suicidaires précoces
Le « suicide » des enfants, rare et complexe, est désormais reconnu par l’Etat. Associations et professionnels réclament des mesures.
En 2009, selon l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), 37 enfants âgés de moins de 14 ans se sont suicidés. A ce sujet tabou, le plus souvent relégué aux pages des faits divers, Boris Cyrulnik a consacré un livre (*). En mettant en lumière cet acte, qui serait à l'origine de 3,8 % des décès chez les 5-14 ans, le neuropsychiatre, reprenant un rapport commandé par le secrétariat d'Etat chargé de la Jeunesse, pourrait impulser une dynamique de prévention inédite.
En l'absence de données épidémiologiques précises - chez les 5-12 ans, seuls les suicides « aboutis » sont comptabilisés -, l'ampleur du phénomène reste incertaine. « Au sein de nos urgences pédiatriques, 10 % des 250 tentatives de suicide enregistrées entre 2007 et 2010 concernaient des enfants de 8 à 11 ans », explique le docteur Richard Delorme, pédopsychiatre à l'hôpital Robert-Debré, à Paris. Un chiffre à relativiser, étant donné la forte proportion d'enfants pris en charge par l'établissement. Néanmoins, le praticien souligne « l'augmentation de la prévalence [des tentatives de suicide] chez les adolescents ces quatre dernières années. [...] Difficile d'imaginer qu'il n'en soit pas de même chez les plus jeunes ».
Mécanismes mal connus
A l'association Phare enfants-parents, qui propose aux familles un soutien téléphonique et des groupes de parole, la question est soulevée depuis deux ans. « En 2011, 24 % des appels reçus concernaient des moins de 15 ans. Et, parmi eux, 10 % étaient âgés de moins de 10 ans, indique Joanna de Lagarde, responsable du service écoute. Parfois, un parent nous appelle, désemparé, après que son enfant a saisi un couteau à la suite d'une dispute. »
Si le caractère suicidaire de telles conduites fait débat, les professionnels de santé s'accordent sur un point : lorsqu'un enfant tente de se tuer, la violence des moyens généralement employés (pendaison, strangulation, défenestration, etc.) révèle un désir de mort moins « mentalisé », plus pulsionnel, et donc plus difficile à repérer. Dans son rapport, Boris Cyrulnik affirme d'ailleurs que certains décès considérés comme accidentels cachent une pulsion suicidaire.
S'il maîtrise encore mal les mécanismes du suicide chez l'enfant, le corps médical est armé pour pallier le mal-être, qui en constitue l'une des principales causes. « Tout tourne autour des notions d'attachement et de sécurité intérieure », explique le psychiatre Jean-Jacques Chavagnat, président du Groupement d'études et de prévention du suicide (GEPS) et responsable d'une unité d'hospitalisation mère-bébé au CH Henri-Laborit, à Poitiers.
Vulnérabilité
La prise en compte des problématiques familiales est déterminante. « Il a été montré qu'une mère dépressive et un père absent ou aux attitudes disqualifiantes peuvent entraîner des manifestations névrotiques, poursuit Jean-Jacques Chavagnat. En une dizaine de séances, nous pouvons améliorer les choses, grâce à la parole, voire à un traitement. » Le problème réside davantage dans la prévention et la détection de ces souffrances. Des missions qui incombent à l'ensemble des acteurs du monde de l'enfance, professionnels ou non.
Dans cette logique, Boris Cyrulnik formule plusieurs propositions. « La petite enfance est un moment déterminant, non pas du suicide, mais de l'acquisition d'une vulnérabilité émotionnelle. » D'où l'importance de la formation - selon le neuropsychiatre, très « disparate » - des puériculteurs, psychologues, infirmiers, éducateurs et auxiliaires. Et d'appeler à la création d'une « université de la petite enfance », une proposition soutenue par les infirmières puéricultrices (lire l'encadré ci-contre). L'accent est également mis sur l'école primaire qui, contrairement au collège, ne propose aucune action de prévention du suicide.
Rappelant que « l'enseignant ne peut pas tout faire », Boris Cyrulnik insiste sur l'importance des « structures périscolaires éducatives » et recommande de retarder « la notation stigmatisante ». Enfin, « l'engagement affectif, familial et culturel constitue la plus efficace protection contre le désir de mourir, à condition que la société organise les institutions et les lieux de rencontre où vont se tisser les liens. »
Cinq mois après la publication du rapport, le suicide des enfants figure dans le Programme national d'actions contre le suicide 2011-2014, qui prévoit « un guide pour le repérage de la souffrance psychique et des troubles du développement chez l'enfant et l'adolescent à destination des professionnels du soin et de l'action sociale non médecins ». Quant au plan Psychiatrie et santé mentale 2011-2015, il instaure, pour les médecins, des formations « au repérage précoce des signes de souffrance psychique et des troubles du développement ». Et sur le terrain, l'Etat ne manque pas de relais. « A la demande du ministère de la Santé, nous répertorions tous les formateurs actifs, en lien avec les agences régionales de santé [ARS] », explique le président du GEPS, qui envisage par ailleurs de mener des actions de prévention dans les écoles. De son côté, Phare enfants-parents oriente « les parents vers des structures d'aide proches de chez eux, tout en leur donnant, d'abord, la possibilité de discuter », explique Joanna de Lagarde.
D'autres obstacles restent cependant à franchir. « Le programme national contre le suicide ne va pas suffisamment loin concernant le milieu scolaire : il faut expliquer aux enfants comment agir lorsqu'un camarade exprime son mal-être », estime Thérèse Hannier, présidente de l'Union nationale pour la prévention du suicide (UNPS), qui préconise « un site Internet permettant aux enseignants de repérer les signes suicidaires. »
Lettre aux candidats
Selon Richard Delorme, il est urgent de créer un observatoire et une unité de soins propres : « Aucun lieu en France n'accueille spécifiquement les petits, contrairement aux adolescents et aux adultes. » La balle est désormais dans le camp politique, à qui il revient, dans un premier temps, de coordonner les actions existantes. En février, Phare enfants-parents a publié une lettre aux candidats à l'élection présidentielle, les sommant de « prendre position pour une politique ambitieuse de prévention du suicide chez les jeunes ».
Antoine Lannuze
Source : http://www.gazette-sante-social.fr/juri ... -8515.html
Questions :
1) Présentez le sujet.
Article publié en avril 2012 sur le site gazette santé social.fr et écrite par antoine lannuze.
2) Quel est le thème du sujet ?
Protection de l'enfance sur le suicide.
3) Résumez le sujet à 1/4 de son contenu.
D'après l'Inserm en 2009, 37 enfants se sont suicidés. Pour la première fois un neuropsychiatre Boris Cyrnulink s'appuyant sur un rapport demandé par le secrétariat d'Etat chargé de la jeunesse, pourrait promouvoir un élan de prévention des suicides chez les 5-14ans.
D'après les professionnels de santé et l'association phare-parent, le point commun à ce phénomène est le caractère impulsif de la tentative ce qui rend le repérage difficile, cependant les spécialistes ont les moyens de soulager certaines des causes principales comme le manque d'estime de soit, et le mal être sociale.
Les solution serraient d'après eux de détecter le plus tôt les douleurs psychiques de l'enfant tout d'abord en prenant compte du contexte familiale qui peut être un indicateur important (parents dépressifs), mais aussi en formant tout les professionnels en contact avec les enfants (université de la petite enfance) et pas seulement les professeurs mais aussi les structures périscolaires. De plus ils insistent sur le fait permettre aux familles de remplir leur rôle de protection affective (institutions , structures, organisations).
Désormais ce phénomène fait parti du programme national d'actions contre le suicide (2011-2014) et du plan Psychiatrie et santé mentale (2011-2015) tout deux reprenant certaines mesures citées auparavant.
Mais les professionnels le trouve incomplet et demande une meilleur sensibilisation des élèves à l'école primaire ainsi que la création d' observatoire et de service de soins dédiés aux petits enfants , ainsi dans une lettre aux candidats a la présidentielle l'association phare-parent leur somme de donner leurs avis sur le sujet.
ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
Re: Fiches Culture Générale 2013
ok merci pour les conseils !!!
ok bon ba tant pis pour la R9 et R10
je vous fait ca le plus vite possible !!!
ok bon ba tant pis pour la R9 et R10

je vous fait ca le plus vite possible !!!
Re: Fiches Culture Générale 2013
un post rapide pour vous (re)donner ma R15 (que j'avais mixé à ma R14 à la base... #bizu
)
R15 - VIH et Sida :
- Quelques données :
• Environ 40 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde.
• Environ 8.000 morts / jours dans le monde du au sida. + de 28 millions de morts depuis 1981.
- VIH : Virus de l'Immunodéficience Humaine.
• Il s'attaque au système de défense de l'organisme (cellules T CD4 qui coordonnent la réponse immunitaire quand un virus se présente)
→ déficit immunitaire qui rend l'organisme inapte à lutter contre les infections. Leurs évolutions sont différentes pour chaque personne (multiplication et vitesse).
• Il se transmets par les liquides corporels : sang, sperme, sécrétions vaginales et lait maternel.
• La polythérapie (association de plusieurs médicaments) permet de ralentir l'infection et de rallonger l'espérance de vie en limitant la prolifération du virus.
- Évolution de la maladie :
Plusieurs phases entre le VIH et le sida.
• 1 : Primo-infection : symptômes semblables à ceux de la grippe ou de la mononucléose → fièvre, maux de tête, de gorge, rougeurs sur la peau, fatigue, douleurs musculaires...
• 2 : infection asymptomatique : le virus peut vivre des années sans se provoquer de symptôme. La personne devient séropositive (anticorps dans le sang) 1 à 3 mois après l'infection.
• 3 : infection symptomatique : fatigue, fièvre, diarrhée, gonflements des ganglions, pertes de poids... les symptômes apparaissent.
• 4 : Syndrome d'ImmunoDéficience Acquise = SIDA : nombre de cellule immunitaires trop bas. Symptômes alors apparents et constants, et les infections opportunistes peuvent causer de nombreux problème de santé.
- Pénalisation de la transmission du sida :
• Depuis quelques années dans certains pays, des personnes porteuses de la maladie ont été condamnés pour l'avoir caché et transmis à leur partenaire.
→ Il semble judicieux de faire reconnaître la responsabilité des personnes ayant transmis leur virus en toute connaissance de cause puisqu'il y a préjudice sur autrui, qui sont alors des victimes. La démarche de procédure judiciaire est compréhensible.
Cependant, pour les opposants, les partenaires doivent assumer autant l'un que l'autre les risques dans leur relation. De plus, condamner une personne atteinte reviendrait à stigmatiser la maladie, faisant de tous les séropositifs des criminels potentiels aux yeux de l'opinion publique. Une image négative des malades empêcherait sans doute les gens de se faire dépister.
→ Certaines associations proposent que les malades ayant transmis leur virus n'aillent pas en prison, mais qu'ils soient soumis à une injonction de soins et une prise en charge sociale et psychologique.
Améliorer l'accès aux soins pour les personnes atteintes du sida.
• Urgence sanitaire mondiale : près de 50 millions de personne vivent avec le sida dans le monde.
• Les traitements antirétroviraux qui ont fait chuter la mortalité due au sida dans les pays riches sont inaccessibles aux pays pauvres sans une prise en charge caritative de très grande ampleur, impliquant ONG, OMS et les grands laboratoires qui déterminent le coût des médicaments.
• Le recours aux médicaments génériques :
→ l'expérience brésilienne : 1er pays à avoir fait plier les puissantes entreprises pharmaceutiques quant à la production de médicaments génériques. Il est en tête d'un réseau mondial d'experts sur l'accès aux soins et il produit ses propres médicaments génériques (marché international uniquement). Il a réussit à faire baisser le prix des traitement de 50%.
→ le problème africain : négociations très difficiles, malgré l'aide d grandes puissances et organisations internationales. ONU-Sida a mis en évidence que la compétition entre les producteurs de médicaments (Brésil, Inde) est le moyen le plus efficace de faire baisser les prix du marché.
→ Accords entre Afrique du Sud et grands laboratoires : traitements génériques à $200/an et par patient. Beaucoup de pays d'Afrique subsaharienne ont ainsi accès aux génériques.
• L'amélioration des systèmes de santé.
→ De nombreuses analyses doivent être faites avant de permettre l'accès aux antirétroviraux (ARV), notamment pour mesurer la charge virale des patients. Équipement de labo cher et peu répandu même dans les pays riches, trop cher également par rapport aux revenus des malades.
→ Risque d'effets secondaires importants qui rend indispensable le suivi médical, notamment pour surveiller une alimentation équilibrée et adaptée. Adaptation thérapeutique possible en cas de résistance au traitement.
• Développement du dépistage : il est important de travailler sur la baisse du prix des dépistages, la diffusion des médicaments à dosage pédiatrique et les traitement pour lutter contre les maladies opportunistes qui accompagnent le sida.
- Lien Sida – Toxicomanie :
Les usagers de drogues par voie intraveineuse sont un groupe à risque pour le VIH et l'Hépatite C.
• Prévention des risques de transmission virale :
→ information : presse, pubs... pour les dépistages et les modes de transmission des virus.
→ accès aux matériels d'injections : distribution de seringues, préservatifs et trousses de prévention « stéribox ».
→ Aide à la survie : assistance auprès des personnes sans abris ou clandestines, plus touchées par la prise de drogue.
• Prise en charge de la toxicomanie :
→ traitement de substitution
→ réduction des risque en milieu carcéral
→ création de centre de toxicomanie.
J'essaierai de voir si j'ai plus d'info dessus ! Vu que je cumule 2 boulots dans la journée et que j'ai ma fille, je ferai ça mercredi si j'ai le temps ! ^^


R15 - VIH et Sida :
- Quelques données :
• Environ 40 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde.
• Environ 8.000 morts / jours dans le monde du au sida. + de 28 millions de morts depuis 1981.
- VIH : Virus de l'Immunodéficience Humaine.
• Il s'attaque au système de défense de l'organisme (cellules T CD4 qui coordonnent la réponse immunitaire quand un virus se présente)
→ déficit immunitaire qui rend l'organisme inapte à lutter contre les infections. Leurs évolutions sont différentes pour chaque personne (multiplication et vitesse).
• Il se transmets par les liquides corporels : sang, sperme, sécrétions vaginales et lait maternel.
• La polythérapie (association de plusieurs médicaments) permet de ralentir l'infection et de rallonger l'espérance de vie en limitant la prolifération du virus.
- Évolution de la maladie :
Plusieurs phases entre le VIH et le sida.
• 1 : Primo-infection : symptômes semblables à ceux de la grippe ou de la mononucléose → fièvre, maux de tête, de gorge, rougeurs sur la peau, fatigue, douleurs musculaires...
• 2 : infection asymptomatique : le virus peut vivre des années sans se provoquer de symptôme. La personne devient séropositive (anticorps dans le sang) 1 à 3 mois après l'infection.
• 3 : infection symptomatique : fatigue, fièvre, diarrhée, gonflements des ganglions, pertes de poids... les symptômes apparaissent.
• 4 : Syndrome d'ImmunoDéficience Acquise = SIDA : nombre de cellule immunitaires trop bas. Symptômes alors apparents et constants, et les infections opportunistes peuvent causer de nombreux problème de santé.
- Pénalisation de la transmission du sida :
• Depuis quelques années dans certains pays, des personnes porteuses de la maladie ont été condamnés pour l'avoir caché et transmis à leur partenaire.
→ Il semble judicieux de faire reconnaître la responsabilité des personnes ayant transmis leur virus en toute connaissance de cause puisqu'il y a préjudice sur autrui, qui sont alors des victimes. La démarche de procédure judiciaire est compréhensible.
Cependant, pour les opposants, les partenaires doivent assumer autant l'un que l'autre les risques dans leur relation. De plus, condamner une personne atteinte reviendrait à stigmatiser la maladie, faisant de tous les séropositifs des criminels potentiels aux yeux de l'opinion publique. Une image négative des malades empêcherait sans doute les gens de se faire dépister.
→ Certaines associations proposent que les malades ayant transmis leur virus n'aillent pas en prison, mais qu'ils soient soumis à une injonction de soins et une prise en charge sociale et psychologique.
Améliorer l'accès aux soins pour les personnes atteintes du sida.
• Urgence sanitaire mondiale : près de 50 millions de personne vivent avec le sida dans le monde.
• Les traitements antirétroviraux qui ont fait chuter la mortalité due au sida dans les pays riches sont inaccessibles aux pays pauvres sans une prise en charge caritative de très grande ampleur, impliquant ONG, OMS et les grands laboratoires qui déterminent le coût des médicaments.
• Le recours aux médicaments génériques :
→ l'expérience brésilienne : 1er pays à avoir fait plier les puissantes entreprises pharmaceutiques quant à la production de médicaments génériques. Il est en tête d'un réseau mondial d'experts sur l'accès aux soins et il produit ses propres médicaments génériques (marché international uniquement). Il a réussit à faire baisser le prix des traitement de 50%.
→ le problème africain : négociations très difficiles, malgré l'aide d grandes puissances et organisations internationales. ONU-Sida a mis en évidence que la compétition entre les producteurs de médicaments (Brésil, Inde) est le moyen le plus efficace de faire baisser les prix du marché.
→ Accords entre Afrique du Sud et grands laboratoires : traitements génériques à $200/an et par patient. Beaucoup de pays d'Afrique subsaharienne ont ainsi accès aux génériques.
• L'amélioration des systèmes de santé.
→ De nombreuses analyses doivent être faites avant de permettre l'accès aux antirétroviraux (ARV), notamment pour mesurer la charge virale des patients. Équipement de labo cher et peu répandu même dans les pays riches, trop cher également par rapport aux revenus des malades.
→ Risque d'effets secondaires importants qui rend indispensable le suivi médical, notamment pour surveiller une alimentation équilibrée et adaptée. Adaptation thérapeutique possible en cas de résistance au traitement.
• Développement du dépistage : il est important de travailler sur la baisse du prix des dépistages, la diffusion des médicaments à dosage pédiatrique et les traitement pour lutter contre les maladies opportunistes qui accompagnent le sida.
- Lien Sida – Toxicomanie :
Les usagers de drogues par voie intraveineuse sont un groupe à risque pour le VIH et l'Hépatite C.
• Prévention des risques de transmission virale :
→ information : presse, pubs... pour les dépistages et les modes de transmission des virus.
→ accès aux matériels d'injections : distribution de seringues, préservatifs et trousses de prévention « stéribox ».
→ Aide à la survie : assistance auprès des personnes sans abris ou clandestines, plus touchées par la prise de drogue.
• Prise en charge de la toxicomanie :
→ traitement de substitution
→ réduction des risque en milieu carcéral
→ création de centre de toxicomanie.
J'essaierai de voir si j'ai plus d'info dessus ! Vu que je cumule 2 boulots dans la journée et que j'ai ma fille, je ferai ça mercredi si j'ai le temps ! ^^
ESI 2013-2016
1 : EHPAD / Consult cardio / Psychiatrie
2 : Post-urgence pédiatrique / SSIAD / Chirurgie Orthopédique
3 : Hépato - Gastroentérologie / Plaie et cicat / Néonatalogie
IDE 2016 !
1 : EHPAD / Consult cardio / Psychiatrie
2 : Post-urgence pédiatrique / SSIAD / Chirurgie Orthopédique
3 : Hépato - Gastroentérologie / Plaie et cicat / Néonatalogie
IDE 2016 !
Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour à tous...
Voila vite fait mon R15:
à compléter avec de l'actualité...
R15 : SIDA
Le syndrome de l'immunodéficience acquise, plus connu sous son SIDA ou sida, est un ensemble de symptômes consécutifs à la destruction de plusieurs cellules du système immunitaire par un rétrovirus. Le sida est le dernier stade de l'infection par ce virus et finit par la mort de l'organisme infecté, des suites de maladies opportunistes. En France, il est question de sidéen ou sidaïque pour désigner une personne malade du sida.
Il y a deux étapes :
- transmission du virus, VIH (virus d’immunodéficience humaine) par voie sanguine lors d’un rapport sexuel non-protégé, mère-enfant (grossesse-allaitement). On dit de ses personnes qu’elles sont séropositives.
- Disparition du système immunitaire au profit des « maladies opportunistes ». ce n’est que là que le patient est atteint de SIDA ;
Etre séropositif n’implique pas être atteint du SIDA. Une personne peut vivre avec le VIH de nombreuses années sans être infectée par la SIDA car son système immunitaire continu a lutter.
La Journée mondiale du sida est organisée le 1er décembre .Entre 2011 et 2015, la Journée mondiale de lutte contre le sida aura pour thème «Objectif zéro: zéro nouvelle infection à VIH, zéro discrimination, zéro décès lié au sida».
Phases de la maladie :
- Primo infection : dans les semaines qui suivent le début de l'infection (fièvre et maux de tête)
- Phase asymptomatique : période où les effets du virus sont contrôlés par l'organisme.
- Phase symptomatique : marque le début de l'affaiblissement du système immunitaire (fièvre, diarrhées persistantes, amaigrissement de 10%, fatigue anormale et intense)
Constat :
Il y a 34 millions de personnes dans le monde infecté par la VIH ( plus les femmes), 3,4 millions d’enfants vivent avec le VIH.
On estime que 2.7 millions de personnes ont été infectées par le virus en 2010.
Depuis les années 1981 > 20 millions de morts du au SIDA, 5 millions affecté par le VIH chaque année. L’Afrique subsaharienne à 60% de sa population touché par le VIH (25 millions d personnes, et l’Asie 7 millions.
En France 160 000 personnes infectés.
Le VIH/sida reste l’un des principaux problèmes de santé publique dans le monde, particulièrement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.
Solutions apportés :
Il n’existe aucun traitement pour éliminer le VIH alors prévention :
Il existe plusieurs de moyens de prévenir la transmission du VIH.
Principaux moyens:
• avoir des rapports sexuels à moindre risque, par exemple en utilisant des préservatifs (;
• se soumettre à un dépistage des infections sexuellement transmissibles, y compris l’infection à VIH, et se faire traiter le cas échéant; (gratuit et anonyme)
• éviter de prendre des drogues injectables ou, si on le fait, toujours utiliser des aiguilles et des seringues jetables neuves;
• veiller à ce que le sang et les produits sanguins dont on pourrait avoir besoin aient été testés pour y détecter la présence éventuelle du VIH.
• campagne
OMS
Des réponses pour le VIH :
Dans les 48 h de la contamination, prescription de traitement d’urgence.
Les polythérapies antirétrovirales empêchent le VIH de se multiplier dans l’organisme.
Si le virus arrête de se reproduire, les cellules immunitaires peuvent vivre plus longtemps et de protéger l’organisme contre les infections.
Grâce aux récents progrès concernant l’accès au traitement antirétroviral, les séropositifs peuvent maintenant vivre plus longtemps et en meilleure santé. Fin 2010, 6,65 millions de séropositifs avaient eu accès à un traitement antirétroviral dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.
A long terme, une vaccination est envisagée pour limiter la contamination et réduire les risques d’infection.
voili voilou...
bisous bisous...
Voila vite fait mon R15:
à compléter avec de l'actualité...
R15 : SIDA
Le syndrome de l'immunodéficience acquise, plus connu sous son SIDA ou sida, est un ensemble de symptômes consécutifs à la destruction de plusieurs cellules du système immunitaire par un rétrovirus. Le sida est le dernier stade de l'infection par ce virus et finit par la mort de l'organisme infecté, des suites de maladies opportunistes. En France, il est question de sidéen ou sidaïque pour désigner une personne malade du sida.
Il y a deux étapes :
- transmission du virus, VIH (virus d’immunodéficience humaine) par voie sanguine lors d’un rapport sexuel non-protégé, mère-enfant (grossesse-allaitement). On dit de ses personnes qu’elles sont séropositives.
- Disparition du système immunitaire au profit des « maladies opportunistes ». ce n’est que là que le patient est atteint de SIDA ;
Etre séropositif n’implique pas être atteint du SIDA. Une personne peut vivre avec le VIH de nombreuses années sans être infectée par la SIDA car son système immunitaire continu a lutter.
La Journée mondiale du sida est organisée le 1er décembre .Entre 2011 et 2015, la Journée mondiale de lutte contre le sida aura pour thème «Objectif zéro: zéro nouvelle infection à VIH, zéro discrimination, zéro décès lié au sida».
Phases de la maladie :
- Primo infection : dans les semaines qui suivent le début de l'infection (fièvre et maux de tête)
- Phase asymptomatique : période où les effets du virus sont contrôlés par l'organisme.
- Phase symptomatique : marque le début de l'affaiblissement du système immunitaire (fièvre, diarrhées persistantes, amaigrissement de 10%, fatigue anormale et intense)
Constat :
Il y a 34 millions de personnes dans le monde infecté par la VIH ( plus les femmes), 3,4 millions d’enfants vivent avec le VIH.
On estime que 2.7 millions de personnes ont été infectées par le virus en 2010.
Depuis les années 1981 > 20 millions de morts du au SIDA, 5 millions affecté par le VIH chaque année. L’Afrique subsaharienne à 60% de sa population touché par le VIH (25 millions d personnes, et l’Asie 7 millions.
En France 160 000 personnes infectés.
Le VIH/sida reste l’un des principaux problèmes de santé publique dans le monde, particulièrement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.
Solutions apportés :
Il n’existe aucun traitement pour éliminer le VIH alors prévention :
Il existe plusieurs de moyens de prévenir la transmission du VIH.
Principaux moyens:
• avoir des rapports sexuels à moindre risque, par exemple en utilisant des préservatifs (;
• se soumettre à un dépistage des infections sexuellement transmissibles, y compris l’infection à VIH, et se faire traiter le cas échéant; (gratuit et anonyme)
• éviter de prendre des drogues injectables ou, si on le fait, toujours utiliser des aiguilles et des seringues jetables neuves;
• veiller à ce que le sang et les produits sanguins dont on pourrait avoir besoin aient été testés pour y détecter la présence éventuelle du VIH.
• campagne
OMS
Des réponses pour le VIH :
Dans les 48 h de la contamination, prescription de traitement d’urgence.
Les polythérapies antirétrovirales empêchent le VIH de se multiplier dans l’organisme.
Si le virus arrête de se reproduire, les cellules immunitaires peuvent vivre plus longtemps et de protéger l’organisme contre les infections.
Grâce aux récents progrès concernant l’accès au traitement antirétroviral, les séropositifs peuvent maintenant vivre plus longtemps et en meilleure santé. Fin 2010, 6,65 millions de séropositifs avaient eu accès à un traitement antirétroviral dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.
A long terme, une vaccination est envisagée pour limiter la contamination et réduire les risques d’infection.
voili voilou...
bisous bisous...
concours 2013...AP
toujours: MOTIVATION
un jour je serais infimière
toujours: MOTIVATION
un jour je serais infimière
Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou les filles (et les garcons !!
)
alors voila le resumé de la fiche R14 !!! dite moi ce que vous en pensez car je la trouve très longue quand meme !!!
R14 – IST et MST
Définition :
Les infections sexuellement transmissibles (IST) ou maladies sexuellement transmissibles (MST) sont des infections extrêmement contagieuses qui se transmettent lors des rapports sexuels. Les IST peuvent être graves, faute de traitements rapide ou efficace y compris du partenaire.
Ses origines :
3 origines
- virus
.VIH
.Hépatite B : pas toujours de sympôme.
Fièvre ou formation de jaunisse.
Elle peut provoquer cirrhose et parfois cancer du foie.
. Herpes génital : éruptions cutanées récidivantes
Pas de traitement.
.condylome génital: petites verrues avec démangeaisons au niveau des organes génitaux.
Vaccin recommandé chez les jeunes femmes de 14 ans.
Il peut provoquer le cancer du col de l'utérus.
- bactéries
. Chlamydiose : du par la bactérie chlamydiae = inflammation, écoulements et douleurs apparaissent 1 à 2 semaines après la contaminations.
Non traitée, elle peut engendrer cancers ou stérilité.
.Blennorragie (« chaude-pisse ») : écoulements et inflammations.
Non traitée, elle peut provoquer stérilité et grossesse extra-utérine.
.syphilis: éruption sans démangeaison sur la peau et les muqueuses. Elle peut être latente (pas de déclaration de symptôme).
Non traitée et déclarée, elle peut provoquer des dommages au cerveau, au coeur, au système nerveux et aux yeux.
- Champignons
.Candidose et trichomonas : écoulements, démangeaisons et brûlure.
Constat :
On assiste a une augmentation des infections et représente un facteur de risques supplémentaire de transmission du VIH notamment chez les homosexuels masculins.
Il y a 300 millions de cas dans le monde.
Cause:
Recrudescence importantes des IST pour deux facteurs
. sociaux économiques
.facilité de voyages
.plus d’immigrés (vivent dans de mauvaises conditions)
. culturels
.liberté des mœurs
.expansion homosexuelle
.manque d’informations
Consequence
Si il n’y a pas de traitements, il y aura transmission d’IST/ MST.
Quelques symptômes :filles> brûlures en urinant, douleurs vaginales, pertes vaginales inhabituels qui sentent mauvais et qui démanges, …
Garçons> écoulement inhabituels au niveau du pénis, brûlure ne urinant, douleurs dans les testicules, …
Les MST ont des conséquences importantes en santé. Non traités ou mal traité, elles peuvent être responsable de complication : > loco régional avec atteintes tubaire d’ovarienne ou pelviennes responsables de pluvi-pé-vitorite, de stérilité tubaire et de grossesse extra utérine (chlamydias,…)
>purement local avec risque de contamination du ou des partenaires (candida, HPV, …), risque d’évolution vers une lésion précancéreuses ou cancéreuse avec certaines papillomavirus, HPV
>enfin transmission verticale materno-fœtal avec atteinte du nouveau-né (chlamydia,…)
Prévention :.
Les IST peuvent être évité grâce à:
Une meilleure hygiène
.une baisse du nombre de partenaires
. une Utilisation de préservatif
. une vaccination (hépatite B)
.etre attentif aux symptomes
.un traitement
. une prévention d’une éventuelle rechute
.une Education
• En France, la prévention des IST subit un relâchement. Pourtant, nous avons les moyens d'éviter la transmission : les préservatifs masculins et féminins.
Facteurs de risques :
• Rapports sexuels non protégés ;
• Syphilis et hépatite B transmissible au foetus pendant la grossesse ;
• Par le sang pour le VIH et les hépatites.
Les IST peuvent causer la stérilité chez les hommes. La syphilis peut poser de graves troubles neuro (30% des cas)
Conséquences des IST sur la grossesse :
- Contamination du foetus :
• syphilis : risque d'avortements ou de maladies graves ;
• herpès génital : risque d'atteinte graves lors de l'accouchement (notamment la cécité des yeux).
- Accouchements à risques :
• Gonocoque et chlamydiae : contamination lors de la délivrance et risque de conjonctivites.
• Poussée d'herpès qui entraîne une césarienne
Apports du Planning Familiale dans la prévention :
- Association qui a pour objectif d'être un lieu de parole concernant la sexualité et les relations amoureuses. (~ 1.000 centres en France).
Campagnes de santé publiques : vulgarisation des méthodes de préventions des IST les mieux adaptées :
• services de conseil et d'éducation.
• développement de la promotion des diverses méthodes de protection (préservatifs, spermicides...)
• services anonymes et volontaires de conseil et de détection du VIH.
- Actions auprès des pouvoirs de santé :
• Formation de personnes pour les activités de l'info, de consultations et de conseils en matière de sexualité ;
• Animation de stages sur les questions de sexualité, qui ont pour but d'informer et de sensibiliser les personnels médicaux et paramédicaux ;
• Gérance de nombreux centres médicaux : consultation médicales gratuites sur la contraception et les rapports sexuels protégés pour les jeunes, réunions de groupe hebdomadaires pour les informer.
Quelques Chiffres.
300 millions de cas dans le monde
. des centaines de milliers de cas en France
. Entre 98 et 2000, augmentation des cas e Syphilis (de 4 à 25 cas – ¾ homosexuels)
. Herpes + 1 millions de nouveaux cas/an en France.
~ 40 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde.
~ 8.000 morts / jours dans le monde du au sida. + de 28 millions de morts depuis 1981.
~ 330 millions de nouveaux cas d'IST enregistrés dans le monde / an.

alors voila le resumé de la fiche R14 !!! dite moi ce que vous en pensez car je la trouve très longue quand meme !!!
R14 – IST et MST
Définition :
Les infections sexuellement transmissibles (IST) ou maladies sexuellement transmissibles (MST) sont des infections extrêmement contagieuses qui se transmettent lors des rapports sexuels. Les IST peuvent être graves, faute de traitements rapide ou efficace y compris du partenaire.
Ses origines :
3 origines
- virus
.VIH
.Hépatite B : pas toujours de sympôme.
Fièvre ou formation de jaunisse.
Elle peut provoquer cirrhose et parfois cancer du foie.
. Herpes génital : éruptions cutanées récidivantes
Pas de traitement.
.condylome génital: petites verrues avec démangeaisons au niveau des organes génitaux.
Vaccin recommandé chez les jeunes femmes de 14 ans.
Il peut provoquer le cancer du col de l'utérus.
- bactéries
. Chlamydiose : du par la bactérie chlamydiae = inflammation, écoulements et douleurs apparaissent 1 à 2 semaines après la contaminations.
Non traitée, elle peut engendrer cancers ou stérilité.
.Blennorragie (« chaude-pisse ») : écoulements et inflammations.
Non traitée, elle peut provoquer stérilité et grossesse extra-utérine.
.syphilis: éruption sans démangeaison sur la peau et les muqueuses. Elle peut être latente (pas de déclaration de symptôme).
Non traitée et déclarée, elle peut provoquer des dommages au cerveau, au coeur, au système nerveux et aux yeux.
- Champignons
.Candidose et trichomonas : écoulements, démangeaisons et brûlure.
Constat :
On assiste a une augmentation des infections et représente un facteur de risques supplémentaire de transmission du VIH notamment chez les homosexuels masculins.
Il y a 300 millions de cas dans le monde.
Cause:
Recrudescence importantes des IST pour deux facteurs
. sociaux économiques
.facilité de voyages
.plus d’immigrés (vivent dans de mauvaises conditions)
. culturels
.liberté des mœurs
.expansion homosexuelle
.manque d’informations
Consequence
Si il n’y a pas de traitements, il y aura transmission d’IST/ MST.
Quelques symptômes :filles> brûlures en urinant, douleurs vaginales, pertes vaginales inhabituels qui sentent mauvais et qui démanges, …
Garçons> écoulement inhabituels au niveau du pénis, brûlure ne urinant, douleurs dans les testicules, …
Les MST ont des conséquences importantes en santé. Non traités ou mal traité, elles peuvent être responsable de complication : > loco régional avec atteintes tubaire d’ovarienne ou pelviennes responsables de pluvi-pé-vitorite, de stérilité tubaire et de grossesse extra utérine (chlamydias,…)
>purement local avec risque de contamination du ou des partenaires (candida, HPV, …), risque d’évolution vers une lésion précancéreuses ou cancéreuse avec certaines papillomavirus, HPV
>enfin transmission verticale materno-fœtal avec atteinte du nouveau-né (chlamydia,…)
Prévention :.
Les IST peuvent être évité grâce à:
Une meilleure hygiène
.une baisse du nombre de partenaires
. une Utilisation de préservatif
. une vaccination (hépatite B)
.etre attentif aux symptomes
.un traitement
. une prévention d’une éventuelle rechute
.une Education
• En France, la prévention des IST subit un relâchement. Pourtant, nous avons les moyens d'éviter la transmission : les préservatifs masculins et féminins.
Facteurs de risques :
• Rapports sexuels non protégés ;
• Syphilis et hépatite B transmissible au foetus pendant la grossesse ;
• Par le sang pour le VIH et les hépatites.
Les IST peuvent causer la stérilité chez les hommes. La syphilis peut poser de graves troubles neuro (30% des cas)
Conséquences des IST sur la grossesse :
- Contamination du foetus :
• syphilis : risque d'avortements ou de maladies graves ;
• herpès génital : risque d'atteinte graves lors de l'accouchement (notamment la cécité des yeux).
- Accouchements à risques :
• Gonocoque et chlamydiae : contamination lors de la délivrance et risque de conjonctivites.
• Poussée d'herpès qui entraîne une césarienne
Apports du Planning Familiale dans la prévention :
- Association qui a pour objectif d'être un lieu de parole concernant la sexualité et les relations amoureuses. (~ 1.000 centres en France).
Campagnes de santé publiques : vulgarisation des méthodes de préventions des IST les mieux adaptées :
• services de conseil et d'éducation.
• développement de la promotion des diverses méthodes de protection (préservatifs, spermicides...)
• services anonymes et volontaires de conseil et de détection du VIH.
- Actions auprès des pouvoirs de santé :
• Formation de personnes pour les activités de l'info, de consultations et de conseils en matière de sexualité ;
• Animation de stages sur les questions de sexualité, qui ont pour but d'informer et de sensibiliser les personnels médicaux et paramédicaux ;
• Gérance de nombreux centres médicaux : consultation médicales gratuites sur la contraception et les rapports sexuels protégés pour les jeunes, réunions de groupe hebdomadaires pour les informer.
Quelques Chiffres.
300 millions de cas dans le monde
. des centaines de milliers de cas en France
. Entre 98 et 2000, augmentation des cas e Syphilis (de 4 à 25 cas – ¾ homosexuels)
. Herpes + 1 millions de nouveaux cas/an en France.
~ 40 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde.
~ 8.000 morts / jours dans le monde du au sida. + de 28 millions de morts depuis 1981.
~ 330 millions de nouveaux cas d'IST enregistrés dans le monde / an.
Re: Entraînement culture générale 2013
Angélito,
Je propose qu'on finisse tout de même les exercices proposés pour ensuite revenir à ton planning.
Je propose qu'on finisse tout de même les exercices proposés pour ensuite revenir à ton planning.
Concours Nancy Laxou Automne 2012
Concours APHP Automne 2012
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