Entraînement aux cas concrets (concours pour AS)
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
On t'attend Papillon
Corrigé du cas de Mme C, 93 ans:
I. Au brouillon
En vous appuyant sur le texte, cibler chaque élément à l’origine de la rougeur qui est le premier stade de l’escarre ; puis
les développer en expliquant le lien avec le développement de l’escarre.
Exemple : l’alimentation est insuffisante en protéines, les protéines sont nécessaires pour régénérer les tissus ; il sera
donc difficile de restaurer l’état cutané.
Dans un second temps, envisager les actions à mettre en oeuvre en regard de chaque information identifiée dans le texte.
Exemple : du fait de la maigreur et des escarres présentées par Mme C., installer un matelas anti-escarre est essentiel.
Avec cette méthode, vous aurez une approche exhaustive du texte, vous n’oublierez aucune information donnée et ainsi
aucun soin à réaliser.
II. Réponse rédigée
Explications de la situation de Mme C
Mme C. est fatiguée, n’assure plus les activités du quotidien (toilette, habillage) ; elle reste alitée. Mme C. se mobilise peu
et l’immobilisation prolongée fragilise son état cutané en limitant la circulation sanguine dans les tissus. Une escarre est
en train de se constituer au niveau du sacrum, liée à l’appui prolongé qui entraine un écrasement des tissus entre l’os et
le plan dur constitué par le lit (sommier et matelas classiques).
La position adoptée au niveau des jambes et plus particulièrement des pieds conduit à des frottements entre les tissus et
la literie, cela peut expliquer la rougeur qui est apparue au niveau du talon droit sous l’effet de la pression du calcanéum
sur le plan du lit.
Mme C. pèse 40 kg pour 1,66 m. Mme C. est maigre, les reliefs osseux sont d’autant plus saillants et cela accentue le
risque d’escarre par compression des tissus entre le plan osseux et le lit.
Du fait de son âge, 93 ans, la peau de Mme C. est plus fragile, plus fine, plus déshydratée et la circulation sanguine est
parfois déficiente.
Mme C. présente une incontinence urinaire et fécale. L’humidité, la macération fragilise l’état cutané et favorise
l’apparition d’escarre.
Son alimentation (yaourts et compotes) est déséquilibrée et son hydratation (400 mL d’eau par jour) est insuffisante.
La ration alimentaire apporte du calcium (yaourts), des protéines (yaourts) et des glucides (compotes et yaourts), mais
contient trop peu de protéines car Mme C. ne consomme ni viande ni poisson. Cet apport suffisant en protéines constitue
un facteur de risque d’escarres, car celles-ci sont indispensables à la reconstitution du tissu cutané. De même, la
déshydratation augmente le risque de formation d’escarres.
Tous ces facteurs expliquent les escarres qui apparaissent au niveau du talon droit et du sacrum.
La rougeur est le premier stade de l’escarre, elle n’est pas associée à une lésion cutanée. Ce stade est réversible si des
soins sont mis en oeuvre, sinon il survient une phlyctène (stade 2), puis une escarre superficielle (stade 3) enfin une
escarre profonde (stade 4) avec nécrose tissulaire et atteinte des tissus profonds.
Actions réalisées par l’AS seule ou en collaboration avec l’IDE dans le but de traiter les escarres présentées par
Mme C. et de prévenir l’apparition d’autres escarres
Compte tenu de la dégradation de l’état de santé de Mme C. et en particulier des problèmes cutanés qu’elle présente, les
actions suivantes sont indispensables :
– alerter l’infirmière afin qu’elle puisse évaluer la situation et informer le médecin qui va établir la prescription
nécessaire ;
– réaliser les soins locaux en collaboration avec l’infirmière ;
– prévenir les autres zones sensibles constituées par les reliefs osseux : réaliser des effleurages avec des produits
adaptés au niveau de la colonne vertébrale, de la nuque, des os iliaques, des omoplates, du talon gauche de même
que les zones de frottement entre les malléoles internes ou entre les genoux ;
– effectuer la réfection du lit en évitant les plis ;
– installer un matelas anti-escarre (par exemple, un matelas à mémoire de forme) ;
– si Mme C. reste alitée, assurer des changements de position régulièrement toutes les deux heures pour modifier les
zones d’appui et établir une fiche de suivi ;
– encourager Mme C. à boire de l’eau à plusieurs reprises dans la journée ; consigner les quantités bues ;
– assurer une toilette minutieuse de cette personne et sécher avec précaution afin d’éviter tout problème de macération
(si la personne se souille par exemple) ;
– utiliser des protections et surveiller les selles et les urines de façon régulière ;
– mobiliser Mme C. avec douceur et essayer de l’installer au fauteuil de courts moments
afin de protéger certains
points d’appui ; installer un coussin anti-escarre sur le siège du fauteuil ;
– observer l’état cutané de cette personne avec attention lors de tout soin : toilette, change, changement de position …
– encourager Mme C. à manger des aliments protéinés sous forme de compléments protéinés semi-liquides ou de
crèmes parfumées ; établir une fiche de surveillance d’alimentation ;
– encourager Mme C. à boire de l’eau à plusieurs reprises dans la journée ; consigner les quantités bues ;
– noter les informations concernant les surveillances et les soins dans le dossier de soin ; transmettre les informations
à l’équipe lors des transmissions orales.
III. Conseils
Réviser la définition et les stades de l’escarre : le module 3 du programme de formation des aides-soignants.
Exemple : la rougeur est le premier stade de l’escarre sans lésion cutanée. Ce stade est réversible mais si des soins ne
sont pas mis en oeuvre, il peut survenir une phlyctène, puis une escarre superficielle et enfin une nécrose tissulaire et
atteinte des tissus profonds.

Corrigé du cas de Mme C, 93 ans:
I. Au brouillon
En vous appuyant sur le texte, cibler chaque élément à l’origine de la rougeur qui est le premier stade de l’escarre ; puis
les développer en expliquant le lien avec le développement de l’escarre.
Exemple : l’alimentation est insuffisante en protéines, les protéines sont nécessaires pour régénérer les tissus ; il sera
donc difficile de restaurer l’état cutané.
Dans un second temps, envisager les actions à mettre en oeuvre en regard de chaque information identifiée dans le texte.
Exemple : du fait de la maigreur et des escarres présentées par Mme C., installer un matelas anti-escarre est essentiel.
Avec cette méthode, vous aurez une approche exhaustive du texte, vous n’oublierez aucune information donnée et ainsi
aucun soin à réaliser.
II. Réponse rédigée
Explications de la situation de Mme C
Mme C. est fatiguée, n’assure plus les activités du quotidien (toilette, habillage) ; elle reste alitée. Mme C. se mobilise peu
et l’immobilisation prolongée fragilise son état cutané en limitant la circulation sanguine dans les tissus. Une escarre est
en train de se constituer au niveau du sacrum, liée à l’appui prolongé qui entraine un écrasement des tissus entre l’os et
le plan dur constitué par le lit (sommier et matelas classiques).
La position adoptée au niveau des jambes et plus particulièrement des pieds conduit à des frottements entre les tissus et
la literie, cela peut expliquer la rougeur qui est apparue au niveau du talon droit sous l’effet de la pression du calcanéum
sur le plan du lit.
Mme C. pèse 40 kg pour 1,66 m. Mme C. est maigre, les reliefs osseux sont d’autant plus saillants et cela accentue le
risque d’escarre par compression des tissus entre le plan osseux et le lit.
Du fait de son âge, 93 ans, la peau de Mme C. est plus fragile, plus fine, plus déshydratée et la circulation sanguine est
parfois déficiente.
Mme C. présente une incontinence urinaire et fécale. L’humidité, la macération fragilise l’état cutané et favorise
l’apparition d’escarre.
Son alimentation (yaourts et compotes) est déséquilibrée et son hydratation (400 mL d’eau par jour) est insuffisante.
La ration alimentaire apporte du calcium (yaourts), des protéines (yaourts) et des glucides (compotes et yaourts), mais
contient trop peu de protéines car Mme C. ne consomme ni viande ni poisson. Cet apport suffisant en protéines constitue
un facteur de risque d’escarres, car celles-ci sont indispensables à la reconstitution du tissu cutané. De même, la
déshydratation augmente le risque de formation d’escarres.
Tous ces facteurs expliquent les escarres qui apparaissent au niveau du talon droit et du sacrum.
La rougeur est le premier stade de l’escarre, elle n’est pas associée à une lésion cutanée. Ce stade est réversible si des
soins sont mis en oeuvre, sinon il survient une phlyctène (stade 2), puis une escarre superficielle (stade 3) enfin une
escarre profonde (stade 4) avec nécrose tissulaire et atteinte des tissus profonds.
Actions réalisées par l’AS seule ou en collaboration avec l’IDE dans le but de traiter les escarres présentées par
Mme C. et de prévenir l’apparition d’autres escarres
Compte tenu de la dégradation de l’état de santé de Mme C. et en particulier des problèmes cutanés qu’elle présente, les
actions suivantes sont indispensables :
– alerter l’infirmière afin qu’elle puisse évaluer la situation et informer le médecin qui va établir la prescription
nécessaire ;
– réaliser les soins locaux en collaboration avec l’infirmière ;
– prévenir les autres zones sensibles constituées par les reliefs osseux : réaliser des effleurages avec des produits
adaptés au niveau de la colonne vertébrale, de la nuque, des os iliaques, des omoplates, du talon gauche de même
que les zones de frottement entre les malléoles internes ou entre les genoux ;
– effectuer la réfection du lit en évitant les plis ;
– installer un matelas anti-escarre (par exemple, un matelas à mémoire de forme) ;
– si Mme C. reste alitée, assurer des changements de position régulièrement toutes les deux heures pour modifier les
zones d’appui et établir une fiche de suivi ;
– encourager Mme C. à boire de l’eau à plusieurs reprises dans la journée ; consigner les quantités bues ;
– assurer une toilette minutieuse de cette personne et sécher avec précaution afin d’éviter tout problème de macération
(si la personne se souille par exemple) ;
– utiliser des protections et surveiller les selles et les urines de façon régulière ;
– mobiliser Mme C. avec douceur et essayer de l’installer au fauteuil de courts moments
afin de protéger certains
points d’appui ; installer un coussin anti-escarre sur le siège du fauteuil ;
– observer l’état cutané de cette personne avec attention lors de tout soin : toilette, change, changement de position …
– encourager Mme C. à manger des aliments protéinés sous forme de compléments protéinés semi-liquides ou de
crèmes parfumées ; établir une fiche de surveillance d’alimentation ;
– encourager Mme C. à boire de l’eau à plusieurs reprises dans la journée ; consigner les quantités bues ;
– noter les informations concernant les surveillances et les soins dans le dossier de soin ; transmettre les informations
à l’équipe lors des transmissions orales.
III. Conseils
Réviser la définition et les stades de l’escarre : le module 3 du programme de formation des aides-soignants.
Exemple : la rougeur est le premier stade de l’escarre sans lésion cutanée. Ce stade est réversible mais si des soins ne
sont pas mis en oeuvre, il peut survenir une phlyctène, puis une escarre superficielle et enfin une nécrose tissulaire et
atteinte des tissus profonds.
Infirmière DE 2016 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
Nouveau sujet:
Léa, 9 ans, est hospitalisée en service de traumatologie pour un traumastisme crânien suite à une chute à vélo (sa tête a heurté un trottoir).
Elle portait un casque et n'a pas perdu connaissance.
Léa présente:
- Un traumatisme crânien sans perte de conscience
- une plaie à l'épaule gauche
- des égratignures au visage, aux jambes et aux mains
Question: synthétiser sous forme d'un tableau les problèmes posés par cette petite fille et les soins et surveillances que vous mettez en oeuvre seule ou en collaboration avec l'infirmière.
Léa, 9 ans, est hospitalisée en service de traumatologie pour un traumastisme crânien suite à une chute à vélo (sa tête a heurté un trottoir).
Elle portait un casque et n'a pas perdu connaissance.
Léa présente:
- Un traumatisme crânien sans perte de conscience
- une plaie à l'épaule gauche
- des égratignures au visage, aux jambes et aux mains
Question: synthétiser sous forme d'un tableau les problèmes posés par cette petite fille et les soins et surveillances que vous mettez en oeuvre seule ou en collaboration avec l'infirmière.
Infirmière DE 2016 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
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Re: Entrainement cas concret 2012 pour AS et AP
Bonjour,
Pour le problème de la fièvre, un coussin rafraîchissant peut aidé l'enfant à se tenir mieux et à trouver sommeil.
Pour le problème de la fièvre, un coussin rafraîchissant peut aidé l'enfant à se tenir mieux et à trouver sommeil.
Dernière modification par ninie.221 le 05 oct. 2012 12:44, modifié 1 fois.
Re: Entrainement cas concret 2012 pour AS et AP
Vous travaillez en secteur de chirurgie générale et gynécologique. Vous prenez vos fonctions ce matin à 6h30. la matinée débute par les transmissions avec toute l'équipe de travail : infirmières, vos collègues et l'ASHQ du secteur.
Vous prenez un secteur en charge avec votre collègue infirmière, Isabelle P ; vous avez 10 patientes à charge, ce matin :
* 3 blocs sont prévus
* 2 patientes sont à J1
* les autres patientes sont à J3 ou plus et proche de leur sortie à domicile.
Madame P, 48 ans, une de vos patientes, a subi, la veille, une hystérectomie par voie basse, sous rachianesthésie. La visite du matin avec chirurgien et médecin anesthésiste prévue en début de matinée, doit apporter la prescription du retrait de la sonde urinaire et l'autorisation de lever.
Vers 9h00, vous frappez à la chambre de madame P. pour reprendre son plateau de petit-déjeuner et lui proposer de l'installer pour l'aide à la toilette. Vous prenez des informations sur son état.
La patiente vous informe que le chirurgien vient de lui rendre visite et a prescrit l'ablation de la sonde urinaire ; de ce fait, elle souhaite faire sa toilette dans le cabinet de toilette de la chambre et non au lit.
En lien avec cet élément nouveau, vous détaillerez les éléments de votre prise en charge de madame P. ce jour
Vous prenez un secteur en charge avec votre collègue infirmière, Isabelle P ; vous avez 10 patientes à charge, ce matin :
* 3 blocs sont prévus
* 2 patientes sont à J1
* les autres patientes sont à J3 ou plus et proche de leur sortie à domicile.
Madame P, 48 ans, une de vos patientes, a subi, la veille, une hystérectomie par voie basse, sous rachianesthésie. La visite du matin avec chirurgien et médecin anesthésiste prévue en début de matinée, doit apporter la prescription du retrait de la sonde urinaire et l'autorisation de lever.
Vers 9h00, vous frappez à la chambre de madame P. pour reprendre son plateau de petit-déjeuner et lui proposer de l'installer pour l'aide à la toilette. Vous prenez des informations sur son état.
La patiente vous informe que le chirurgien vient de lui rendre visite et a prescrit l'ablation de la sonde urinaire ; de ce fait, elle souhaite faire sa toilette dans le cabinet de toilette de la chambre et non au lit.
En lien avec cet élément nouveau, vous détaillerez les éléments de votre prise en charge de madame P. ce jour
Re: Entrainement cas concret 2012 pour AS et AP
Sujet n°3 concours 2012 IFSI Le Havre
"Je me rappelle de madame B. Au départ, la toilette était un enfer, sa religion y était pour quelque chose. Elle était réticente. Elle avait beaucoup d'hésitation avant de se déshabiller. Que pouvait bien être la toilette, pour elle ?
Pour cette femme, très pudique, se déshabiller devenait un calvaire. Je respectais ses idées. Jour après jour, je prenais le temps de lui expliquer pourquoi il fallait se laver.
Puis, un jour, elle a accepté qu'on lui passe le gant de toilette sur le corps.
Lorsqu'il s'agit de la toilette intime, c'est bien sûr gênant pour le patient, mais aussi pour nous, soignants."
En vous appuyant sur votre expérience, quelles réflexions vous suggère cette situation ?
"Je me rappelle de madame B. Au départ, la toilette était un enfer, sa religion y était pour quelque chose. Elle était réticente. Elle avait beaucoup d'hésitation avant de se déshabiller. Que pouvait bien être la toilette, pour elle ?
Pour cette femme, très pudique, se déshabiller devenait un calvaire. Je respectais ses idées. Jour après jour, je prenais le temps de lui expliquer pourquoi il fallait se laver.
Puis, un jour, elle a accepté qu'on lui passe le gant de toilette sur le corps.
Lorsqu'il s'agit de la toilette intime, c'est bien sûr gênant pour le patient, mais aussi pour nous, soignants."
En vous appuyant sur votre expérience, quelles réflexions vous suggère cette situation ?
Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
Vous travaillez en secteur de chirurgie générale et gynécologique. Vous prenez vos fonctions ce matin à 6h30. la matinée débute par les transmissions avec toute l'équipe de travail : infirmières, vos collègues et l'ASHQ du secteur.
Vous prenez un secteur en charge avec votre collègue infirmière, Isabelle P ; vous avez 10 patientes à charge, ce matin :
* 3 blocs sont prévus
* 2 patientes sont à J1
* les autres patientes sont à J3 ou plus et proche de leur sortie à domicile.
Madame P, 48 ans, une de vos patientes, a subi, la veille, une hystérectomie par voie basse, sous rachianesthésie. La visite du matin avec chirurgien et médecin anesthésiste prévue en début de matinée, doit apporter la prescription du retrait de la sonde urinaire et l'autorisation de lever.
Vers 9h00, vous frappez à la chambre de madame P. pour reprendre son plateau de petit-déjeuner et lui proposer de l'installer pour l'aide à la toilette. Vous prenez des informations sur son état.
La patiente vous informe que le chirurgien vient de lui rendre visite et a prescrit l'ablation de la sonde urinaire ; de ce fait, elle souhaite faire sa toilette dans le cabinet de toilette de la chambre et non au lit.
En lien avec cet élément nouveau, vous détaillerez les éléments de votre prise en charge de madame P. ce jour
Vous prenez un secteur en charge avec votre collègue infirmière, Isabelle P ; vous avez 10 patientes à charge, ce matin :
* 3 blocs sont prévus
* 2 patientes sont à J1
* les autres patientes sont à J3 ou plus et proche de leur sortie à domicile.
Madame P, 48 ans, une de vos patientes, a subi, la veille, une hystérectomie par voie basse, sous rachianesthésie. La visite du matin avec chirurgien et médecin anesthésiste prévue en début de matinée, doit apporter la prescription du retrait de la sonde urinaire et l'autorisation de lever.
Vers 9h00, vous frappez à la chambre de madame P. pour reprendre son plateau de petit-déjeuner et lui proposer de l'installer pour l'aide à la toilette. Vous prenez des informations sur son état.
La patiente vous informe que le chirurgien vient de lui rendre visite et a prescrit l'ablation de la sonde urinaire ; de ce fait, elle souhaite faire sa toilette dans le cabinet de toilette de la chambre et non au lit.
En lien avec cet élément nouveau, vous détaillerez les éléments de votre prise en charge de madame P. ce jour
Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
Sujet n°3 concours 2012 IFSI Le Havre
"Je me rappelle de madame B. Au départ, la toilette était un enfer, sa religion y était pour quelque chose. Elle était réticente. Elle avait beaucoup d'hésitation avant de se déshabiller. Que pouvait bien être la toilette, pour elle ?
Pour cette femme, très pudique, se déshabiller devenait un calvaire. Je respectais ses idées. Jour après jour, je prenais le temps de lui expliquer pourquoi il fallait se laver.
Puis, un jour, elle a accepté qu'on lui passe le gant de toilette sur le corps.
Lorsqu'il s'agit de la toilette intime, c'est bien sûr gênant pour le patient, mais aussi pour nous, soignants."
En vous appuyant sur votre expérience, quelles réflexions vous suggère cette situation ?
"Je me rappelle de madame B. Au départ, la toilette était un enfer, sa religion y était pour quelque chose. Elle était réticente. Elle avait beaucoup d'hésitation avant de se déshabiller. Que pouvait bien être la toilette, pour elle ?
Pour cette femme, très pudique, se déshabiller devenait un calvaire. Je respectais ses idées. Jour après jour, je prenais le temps de lui expliquer pourquoi il fallait se laver.
Puis, un jour, elle a accepté qu'on lui passe le gant de toilette sur le corps.
Lorsqu'il s'agit de la toilette intime, c'est bien sûr gênant pour le patient, mais aussi pour nous, soignants."
En vous appuyant sur votre expérience, quelles réflexions vous suggère cette situation ?
- papillon54
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Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
Sujet très compliqué pour moi, je n'ai jamais travaillé auprès des enfantsLenalan a écrit :Nouveau sujet:
Léa, 9 ans, est hospitalisée en service de traumatologie pour un traumastisme crânien suite à une chute à vélo (sa tête a heurté un trottoir).
Elle portait un casque et n'a pas perdu connaissance.
Léa présente:
- Un traumatisme crânien sans perte de conscience
- une plaie à l'épaule gauche
- des égratignures au visage, aux jambes et aux mains
Question: synthétiser sous forme d'un tableau les problèmes posés par cette petite fille et les soins et surveillances que vous mettez en oeuvre seule ou en collaboration avec l'infirmière.

DE infirmière Mars 2018
DE aide-soignante 2007
DE aide-soignante 2007
Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
Moi non plus, mais il faut qu'on maîtrise aussi le métier d'AP, on peut avoir un sujet concernant un enfant (j'ai vu un sujet sur un nourrisson de 3 jours et des difficultés d'allaitement pour la maman, à prendre en charge).papillon54 a écrit :Sujet très compliqué pour moi, je n'ai jamais travaillé auprès des enfantsLenalan a écrit :Nouveau sujet:
Léa, 9 ans, est hospitalisée en service de traumatologie pour un traumastisme crânien suite à une chute à vélo (sa tête a heurté un trottoir).
Elle portait un casque et n'a pas perdu connaissance.
Léa présente:
- Un traumatisme crânien sans perte de conscience
- une plaie à l'épaule gauche
- des égratignures au visage, aux jambes et aux mains
Question: synthétiser sous forme d'un tableau les problèmes posés par cette petite fille et les soins et surveillances que vous mettez en oeuvre seule ou en collaboration avec l'infirmière.
Dans le cas de Léa 9 ans un indice: ses problèmes se prennent en charge de la même manière que si ça avait été un adulte ou point de vue soins, mais pour le côté psychologique ne pas oublier que c'est un enfant de 9 ans

Infirmière DE 2016 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
Léa, 9 ans, est hospitalisée en service de traumatologie pour un traumatisme crânien suite à une chute à vélo (sa tête a heurté un trottoir).
Elle portait un casque et n'a pas perdu connaissance.
Léa présente:
- Un traumatisme crânien sans perte de conscience
- une plaie à l'épaule gauche
- des égratignures au visage, aux jambes et aux mains
Question: synthétiser sous forme d'un tableau les problèmes posés par cette petite fille et les soins et surveillances que vous mettez en oeuvre seule ou en collaboration avec l'infirmière.
je l'ai posé comme ça faute de tableau
Données :
Un traumatisme cranien sans perte de connaissance
Soins:
Rassurer la petite ainsi que ses parents leur donné le livret d’accueil pour qu’ils soient informer du fonctionnement du service, leur expliquer e fonctionnement de la chambre, proposer un lit pour le parent qui souhaite rester présent pour la nuit.
Expliquer à la petite de nous signaler tous ce qui lui paraît anomal au niveau visuel, sensation, que nous allons la surveiller un peu pour écarter tous risques éventuels avec des mots claires et audibles et voir si la fillette à bien compris en reformulant mes propos.
Expliquer aux parents dans la limite de mes compétences comment va se dérouler la prise en charge de leur fille et si ils souhaites d’autres informations le médecin l’infirmière ou le cadre du service sont là pour répondre à leur demande.
Leur montrer la sonnette d’appel si besoin d’aide.
Nous appeler si ils remarque tous signes inhabituels chez leur enfant.
Surveillance :
Des paramètres vitaux : t° ( 37 °c) pouls mn ( 60 à 90 ) TA ( 12.
SAT (99%) FR 15à 20 mvt par mn
Surveillance régulière de l’état Conscience.
Surveillance de la coloration faciès extrémités.
Surveillance de nausée.
Données
Une plaie à l’épaule gauche
Soins :
Il sera important de maintenir des soins d’hygiène avec une aide totale effectué par le personnel soignant en l’absence de ses parents, apporter une aide totale dans les gestes de la vie quotidienne. De maintenir une literie propre.
Il sera important de la bonne prise du traitement et expliquer pourquoi il est prescrit, faire participer les parents.
Il sera important de veiller à ce que l’enfant ne touche pas son pansement expliquer à l’enfant le pourquoi.
Surveillance:
De la douleur, faire exprimer l’enfant ou évaluer avec l’échelle evs de 0 à 4 ou évaluer selon le comportement de l’enfant crispation, crie, pleur … afin de réévaluer le traitement mis en place par le médecin.
Surveillance du pansement toujours adhérent, pas de rougeur, pansement propre et sec.
Donnée:
Egratignures au visage, aux jambes et aux mains.
Soins :
Rassurer l’enfant et lui expliquer que ce n’est pas grave que d’ici quelques temps cela va partir il est néanmoins nécessaire d’effectuer des gestes doux aux moments de la toilette utiliser du savon de marseillais pH neutre moins irritant et ne pas frotter bien rincer et sécher. Bien laissé à l’air libre pour que cela sèche.
De ne pas gratter les croûtes pour éviter les traces sur la peau disgracieux surtout au niveau du visage.
Surveillance :
Des égratignures pas de rougeur, de couleur et d’odeur nauséabonde.
Surveillance de signe de grattage
Transmission de mes soins sur la journées dans le cadre de la prise en charge de l’enfant effectuer en collaboration de l’infirmière : donnée action et résultat, date heure nom et fonction écrit sur le dossier de patiente ainsi qu’aux équipes lors des relèves.
Franchement je mis lance mais je ne suis pas sur de moi …..et je pense qu’il manque des éléments .
Elle portait un casque et n'a pas perdu connaissance.
Léa présente:
- Un traumatisme crânien sans perte de conscience
- une plaie à l'épaule gauche
- des égratignures au visage, aux jambes et aux mains
Question: synthétiser sous forme d'un tableau les problèmes posés par cette petite fille et les soins et surveillances que vous mettez en oeuvre seule ou en collaboration avec l'infirmière.
je l'ai posé comme ça faute de tableau
Données :
Un traumatisme cranien sans perte de connaissance
Soins:
Rassurer la petite ainsi que ses parents leur donné le livret d’accueil pour qu’ils soient informer du fonctionnement du service, leur expliquer e fonctionnement de la chambre, proposer un lit pour le parent qui souhaite rester présent pour la nuit.
Expliquer à la petite de nous signaler tous ce qui lui paraît anomal au niveau visuel, sensation, que nous allons la surveiller un peu pour écarter tous risques éventuels avec des mots claires et audibles et voir si la fillette à bien compris en reformulant mes propos.
Expliquer aux parents dans la limite de mes compétences comment va se dérouler la prise en charge de leur fille et si ils souhaites d’autres informations le médecin l’infirmière ou le cadre du service sont là pour répondre à leur demande.
Leur montrer la sonnette d’appel si besoin d’aide.
Nous appeler si ils remarque tous signes inhabituels chez leur enfant.
Surveillance :
Des paramètres vitaux : t° ( 37 °c) pouls mn ( 60 à 90 ) TA ( 12.

Surveillance régulière de l’état Conscience.
Surveillance de la coloration faciès extrémités.
Surveillance de nausée.
Données
Une plaie à l’épaule gauche
Soins :
Il sera important de maintenir des soins d’hygiène avec une aide totale effectué par le personnel soignant en l’absence de ses parents, apporter une aide totale dans les gestes de la vie quotidienne. De maintenir une literie propre.
Il sera important de la bonne prise du traitement et expliquer pourquoi il est prescrit, faire participer les parents.
Il sera important de veiller à ce que l’enfant ne touche pas son pansement expliquer à l’enfant le pourquoi.
Surveillance:
De la douleur, faire exprimer l’enfant ou évaluer avec l’échelle evs de 0 à 4 ou évaluer selon le comportement de l’enfant crispation, crie, pleur … afin de réévaluer le traitement mis en place par le médecin.
Surveillance du pansement toujours adhérent, pas de rougeur, pansement propre et sec.
Donnée:
Egratignures au visage, aux jambes et aux mains.
Soins :
Rassurer l’enfant et lui expliquer que ce n’est pas grave que d’ici quelques temps cela va partir il est néanmoins nécessaire d’effectuer des gestes doux aux moments de la toilette utiliser du savon de marseillais pH neutre moins irritant et ne pas frotter bien rincer et sécher. Bien laissé à l’air libre pour que cela sèche.
De ne pas gratter les croûtes pour éviter les traces sur la peau disgracieux surtout au niveau du visage.
Surveillance :
Des égratignures pas de rougeur, de couleur et d’odeur nauséabonde.
Surveillance de signe de grattage
Transmission de mes soins sur la journées dans le cadre de la prise en charge de l’enfant effectuer en collaboration de l’infirmière : donnée action et résultat, date heure nom et fonction écrit sur le dossier de patiente ainsi qu’aux équipes lors des relèves.
Franchement je mis lance mais je ne suis pas sur de moi …..et je pense qu’il manque des éléments .
Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
Non non c'est super Val, c'est très proche du corrigé, je le mettrai tout à l'heure 

Infirmière DE 2016 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
Merci Lenalan
A bientôt pour lire le corrigé ....

A bientôt pour lire le corrigé ....
Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
Vous travaillez en secteur de chirurgie générale et gynécologique. Vous prenez vos fonctions ce matin à 6h30. la matinée débute par les transmissions avec toute l'équipe de travail : infirmières, vos collègues et l'ASHQ du secteur.
Vous prenez un secteur en charge avec votre collègue infirmière, Isabelle P ; vous avez 10 patientes à charge, ce matin :
* 3 blocs sont prévus
* 2 patientes sont à J1
* les autres patientes sont à J3 ou plus et proche de leur sortie à domicile.
Madame P, 48 ans, une de vos patientes, a subi, la veille, une hystérectomie par voie basse, sous rachianesthésie. La visite du matin avec chirurgien et médecin anesthésiste prévue en début de matinée, doit apporter la prescription du retrait de la sonde urinaire et l'autorisation de lever.
Vers 9h00, vous frappez à la chambre de madame P. pour reprendre son plateau de petit-déjeuner et lui proposer de l'installer pour l'aide à la toilette. Vous prenez des informations sur son état.
La patiente vous informe que le chirurgien vient de lui rendre visite et a prescrit l'ablation de la sonde urinaire ; de ce fait, elle souhaite faire sa toilette dans le cabinet de toilette de la chambre et non au lit.
En lien avec cet élément nouveau, vous détaillerez les éléments de votre prise en charge de madame P. ce j
Dans un premier temps il est de mon devoir d’informer la patient que le premier levé doit être fait avec l’infirmière car c'est une prescription médicale et du rôle prescrit de l'infirmière et par prévention nous devons nous assurer que tous va bien se passer je lui explique le déroulement et comment nous allons procéder étape par étape dans la limite de mes compétences ensuite j’apporterai le matériel pour la prise des paramètres vitaux et l’échelle evs et m'ocuperai également de la préparation du fauteuil et des affaires personnelles ( hygiène et vêtement pour la salle de bain).
Ensuite concernant le retrait de la sonde il est plus pratique que le retrait soit effectué au lit afin que l’infirmière procède au retrait en respectant les règles d’hygiène de confort de sécurité. Je lui explique dans la limite de mes compétences comment cela va se passer respecter la pudeur et la dignité de la paersonne.
Une fois la sonde ôtée il sera important de contrôler si la patiente urine correctement, qu’une petite gêne risque d’être ressentie.
Qu’elle nous signale toutes anomalies ( douleur, saignement).
Les urines déjà émises seront quantifiés et observés et seront transmisse dans le dossier de lapatiente.
Donc une fois que l’infirmière aura procéder au retrait de la sonde à demeure et que le premier lever sera effectuer sans problème si Mme P se sent bien nous pourrons la conduire l’infirmière et moi même dans la salle de bain afin qu’elle effectue une toilette corporelle sans trop d’effort.
Selon la douleur et la fatigue la patiente aura le choix de rester au fauteuil ou d’appeler pour être aidé à se recoucher.
Pour conclure les transmissions sur les soins effectuer en collaboration seront transmit sur le dossier de la patiente données actions et résultat date heure ciblé les problématiques si problèmes rencontrés le comportement de la patiente mettre le nom fonction et signé. les transmissions oraux concernant les soins seront effectuer également lors des relèves entre équipes.
En voilà un autre ……
Vous prenez un secteur en charge avec votre collègue infirmière, Isabelle P ; vous avez 10 patientes à charge, ce matin :
* 3 blocs sont prévus
* 2 patientes sont à J1
* les autres patientes sont à J3 ou plus et proche de leur sortie à domicile.
Madame P, 48 ans, une de vos patientes, a subi, la veille, une hystérectomie par voie basse, sous rachianesthésie. La visite du matin avec chirurgien et médecin anesthésiste prévue en début de matinée, doit apporter la prescription du retrait de la sonde urinaire et l'autorisation de lever.
Vers 9h00, vous frappez à la chambre de madame P. pour reprendre son plateau de petit-déjeuner et lui proposer de l'installer pour l'aide à la toilette. Vous prenez des informations sur son état.
La patiente vous informe que le chirurgien vient de lui rendre visite et a prescrit l'ablation de la sonde urinaire ; de ce fait, elle souhaite faire sa toilette dans le cabinet de toilette de la chambre et non au lit.
En lien avec cet élément nouveau, vous détaillerez les éléments de votre prise en charge de madame P. ce j
Dans un premier temps il est de mon devoir d’informer la patient que le premier levé doit être fait avec l’infirmière car c'est une prescription médicale et du rôle prescrit de l'infirmière et par prévention nous devons nous assurer que tous va bien se passer je lui explique le déroulement et comment nous allons procéder étape par étape dans la limite de mes compétences ensuite j’apporterai le matériel pour la prise des paramètres vitaux et l’échelle evs et m'ocuperai également de la préparation du fauteuil et des affaires personnelles ( hygiène et vêtement pour la salle de bain).
Ensuite concernant le retrait de la sonde il est plus pratique que le retrait soit effectué au lit afin que l’infirmière procède au retrait en respectant les règles d’hygiène de confort de sécurité. Je lui explique dans la limite de mes compétences comment cela va se passer respecter la pudeur et la dignité de la paersonne.
Une fois la sonde ôtée il sera important de contrôler si la patiente urine correctement, qu’une petite gêne risque d’être ressentie.
Qu’elle nous signale toutes anomalies ( douleur, saignement).
Les urines déjà émises seront quantifiés et observés et seront transmisse dans le dossier de lapatiente.
Donc une fois que l’infirmière aura procéder au retrait de la sonde à demeure et que le premier lever sera effectuer sans problème si Mme P se sent bien nous pourrons la conduire l’infirmière et moi même dans la salle de bain afin qu’elle effectue une toilette corporelle sans trop d’effort.
Selon la douleur et la fatigue la patiente aura le choix de rester au fauteuil ou d’appeler pour être aidé à se recoucher.
Pour conclure les transmissions sur les soins effectuer en collaboration seront transmit sur le dossier de la patiente données actions et résultat date heure ciblé les problématiques si problèmes rencontrés le comportement de la patiente mettre le nom fonction et signé. les transmissions oraux concernant les soins seront effectuer également lors des relèves entre équipes.
En voilà un autre ……
Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
je continue la suite à toutes 

Re: Entrainement cas concret 2013 pour as et ap
J'avais commencé à rédiger comme toi jusqu'au moment ou je me suis aperçue qu'il n'était indiqué nulle part que le chirurgien avait prescrit le levé de la patiente.
C'est juste indiqué la prescription pour l'ablation de la sonde urinaire.
Du coup, dans le doute, j'ai refais mon sujet en expliquant à la patiente que le chirurgien n'avait pas prescrit son levé et qu'il fallait qu'elle fasse sa toilette au lit encore aujourd'hui.
Qu'en penses tu ?
C'est juste indiqué la prescription pour l'ablation de la sonde urinaire.
Du coup, dans le doute, j'ai refais mon sujet en expliquant à la patiente que le chirurgien n'avait pas prescrit son levé et qu'il fallait qu'elle fasse sa toilette au lit encore aujourd'hui.
Qu'en penses tu ?