Culture Générale

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chany18
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par chany18 »

Coucou, voila le résumé de la R23, j'espere que ca ira :).
A plus tard pour la suite de nos aventures :) hihi.

L'éthique en santé

Définitions:

Ethique,vient du grec éthos= moeurs

D'après Paul ricoeur(http://pierre.coninx.free.fr/lectures/ethiquemorale.htm),la morale recouvre des normes:
==>les principes du permis et du défendu,
==>du bien et du mal
==>le sentiment d'obligation d'un sujet face à ces normes


L'éthique : une interrogation de l'individu qui prend de la distance par rapport:
==>à son milieu,
==>aux mœurs de son époque
==>aux normes

==>un processus de prise de décision individuel et collectif pour les grandes questions de société.
==>Donc, une démarche intellectuelle où chacun se réfère à ses repères religieux,juridiques,philosophiques,culturels et à ses valeurs professionnelles pour faire un choix.

Le droit:
==>concerne le domaine des obligations sanctionnées par la loi que l'on trouve dans les codes(Code civil,code pénal,code de la santé publique).

La déontologie:
==>ensemble des règles de pratiques professionnelles d'un corps de métiers(avocat,médecin)
==>le code de déontologie régit les rapport entre le praticien et le patient=c'est en quelque sorte un code"de bonne conduite" selon les valeurs édictées par la corporation.

Le mot bioéthique a été récemment formé à partir de deux termes du grec ancien:
=>bio=la vie,le vivant
=>êthikê dérivé lui même du mot ethos=caractère et comportement,manière d’être:éthologie=science du comportement animal

Ethos opposition à pathos="affection"(fait d'être affecté par quelque chose),"passion" d'où: souffrance,d'où:la maladie.

La bioéthique peut se définir comme l'éthique appliquée aux nouvelles techniques d'intervention sur le vivant.
L'agence de biomédecine la définit comme "une réflexion sur les problèmes moraux liés à la recherche sur le vivant et ses applications".

On peut donc faire de la bioéthique sans le savoir.
ex:tout le monde peut choisir sa contraception,ou accompagner un parent lors d'une phase terminale de maladie.

En effet,il apparait que,pour résoudre ces pb éthiques actuels,on ne peut utiliser des solutions du passé.Il faut réinventer sans cesse la morale.

Principes fondateurs de l'éthique en santé:

==> le serment de Hippocrate : 1er texte faisant apparaitre des principes d'éthique médicale:
->"d'abord ne pas nuire"
->principe du secret médical
->principe de bienfaisance

Le Code de déontologie médical actuel s'inspire tjrs de ces préceptes auxquels s'est rajouté,entre autres,le concept de primauté de la personne.

==>La déclaration des droits de l'homme et du citoyen en 1789 fonde les principes de liberté et d'égalité.

==>en 1948 (suite au choc de la seconde guerre mondiale),La déclaration universelle des droits de l'homme introduit:
->le principe d'égale dignité de tous les êtres humains,
->l'universalité et l’indivisibilité des droits de l'homme
==>Code de Nuremberg(1947):position des principes fondamentaux de protection des personnes prêtant à la recherche médicale:
->Consentement volontaire et éclairé du sujet,
->nécessité de lui éviter toute souffrance inutile,
->liberté de faire interrompre l'expérience s'il estime avoir atteint le seuil de résistance.

Ces principes ont inspiré par la suite l'ensemble des conventions internationales élaborées par les états unis: Charte des Nations Unies,traité de Rome,Charte du droit de l'enfant.


La bioéthique

La bioéthique est une réflexion morale sur les pb posés dans les domaines de la protection,de la promotion de la santé et de la vie humaine.
En France,plus précisément dans les domaines de la biologie et de la médecine.

On parle aussi de l'éthique de la biomédecine ou encore de l"éthique biomédicale".

La biomédecine cherche à résoudre des pb éthiques que pose la mise en œuvres des recherches et des technique biomédicales impliquant des élément du corps humains.

Elle a vocation à déterminer les règles qui doivent régir ces recherches et les nouvelles pratiques médicales rendues ainsi possibles, de manière à assurer le respect de la dignité humaine.

La réflexion sur la bioéthique s'interroge aussi sur les principes que le droit doit se garantir, de sorte que l'évolution des pratiques, liées au développement incessant de la recherche, reste conforme aux valeurs qui fondent une conception de la personne humaine,soucieuse notamment de la protection des plus vulnérables contre toute forme d’exploitation ou instrumentalisation.

La réflexion engagée en ce sens,par nature multidisciplinaire(philosophique,médicale,juridiques,et anthropologique),s'inscrit aujourd'hui dans la perspective du réexamen de la loi de bioéthique.

Problèmes:

==>l’extrême rapidité des progrès scientifiques : la législation doit être révisée régulièrement. Il s'agit de ne pas entraver la recherche, ni priver les malades des nouvelles thérapeutiques, tout en protégeant les droits fondamentaux de la personne.

==>Des retards dans l'application et la révision de la législation : A cause d'un très grand nombres de questions et un consensus difficile à atteindre, un mécanisme législatif et réglementaire trop lourd et des alternances politiques qui freinent l'avancement des réformes.

==>La conséquence est que la recherche française est parfois pénalisé et les malades ou les familles privés du droit de bénéficier de certaines avancées de la science ou de la loi.

==>L'absence de législation international : la plupart de nos voisins européens ont une législation plus libéral.
->Par exemple, la Suède et la Norvège ont levé l'anonymat sur le don de sperme.

Solutions:

Comités:

==>23 février 1983 :Le Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et la santé (CCNE):
organisme indépendant placé auprès des ministres de la Recherche et de la Santé, qui l'a chargé de " donner son avis sur les problèmes moraux qui sont soulevés par la recherche dans les domaines de la biologie, de la médecine et de la santé, que ces problèmes concernent l'homme, des groupes sociaux ou la société tout entière ".

==>en 1993,:Comité international de bioéthique (CIB):
composé de 36 experts indépendants qui encadrent les progrès des recherches dans les sciences de la vie et leurs applications en veillant au respect des principes de dignité et de liberté de la personne humaine.

Le CIB constitue la seule instance de portée mondiale de réflexion en matière de bioéthique.

==>en 1998:création du Comité intergouvernemental de bioéthique (CIGB),
en vertu de l'article 11 des Statuts du Comité international de bioéthique (CIB).
->Il est composé de 36 États membres dont les représentants se réunissent au moins une fois tous les deux ans pour examiner les avis et recommandations du CIB.
->Il informe le CIB de son point de vue et soumet ses opinions, ainsi que ses propositions concernant la suite à donner aux avis et recommandations du CIB, au Directeur général de l'UNESCO afin qu'il les transmette aux États membres, au Conseil exécutif et à la Conférence général

la législation:

La France a été un des premier pays a réfléchir sur la bioéthique.

-1975 : loi Veil dépénalise l’interruption de grossesse.

-1976 : loi Caillavet fixe les conditions du don d'organes (impose l’anonymat, et interdit tout commerce de produits humains)

-1983, création du Comité Consultatif National d’Ethique : CCNE :
Composé de nombreux experts du monde médical. En 1994 on reconnaît son existence et on lui donne mission de recommandations. . Il a un rôle uniquement consultatif. Il doit concilier respect de la connaissance et respect de la personne.

-Loi dite « Huriet » de décembre 1988 : Vise à Protéger les personnes qui se prêtent à la recherche médicale.

Les progrès scientifiques et techniques dans le domaine des sciences de la vie ont soulevé des questions éthiques, sociales et juridiques.
Ainsi, en France, depuis le début des années 1980, ces questions ont alimenté un débat public qui a abouti à l’adoption des "lois de bioéthique" de 1994, elles ont pour but d’encadrer le développement du progrès biomédical pour protéger les droits fondamentaux de la personne.

-"lois de bioéthique" de 1994:

Quatre volets la compose:

==>loi relative au corps humain a posé des principes intangibles :

*inviolabilité du corps humain
*indisponibilité, non instrumentalisation et non commercialisation du corps humain
*gratuité et anonymat des dons
*protection du patrimoine génétique

==>la loi relative au don et a l'utilisation des éléments et produits du corps humain, à l'assistance médicale et à la procréation et au diagnostic anténatal

==>la loi relative au traitement de données nominatives ayant pour fin la recherche dans le domaine de la santé

==>la loi relative à la protection des personnes se prêtant, sans profit personnel, à des recherches biomédicales.

-2002: loi du 4 mars, sur les droit des malades et de la qualité du système de santé à pour la 1ère fois inscrit et organisé les droits des malades.

-Loi de bioéthique du 6 aout 2004 : Loi de révision des lois de 1994:

=>Met en place un cadre législatif pour toutes les questions relatives à la médecine et à la morale, aux droits de la personne et ses caractéristiques génétiques, aux règles sur le don d’organe et l’AMP.
- Le clonage reproductif y est qualifié de « crime contre l’espèce humaine »
- Le clonage thérapeutique demeure interdit en France
- La recherche sur l’embryon humain est très strictement encadrée
- La sélection d’embryon par DPI (diagnostic préimplantatoire) à but thérapeutique, c’est à dire quand ils sont susceptibles de donner naissance à un « bébé médicament », est autorisée
- Elargissement des dons d’organes en vue de greffe à la famille élargie du receveur
- Création de l’agence de la biomédecine compétente dans les domaines de la greffe, de la reproduction, de l’embryologie et génétique humaine. Elle remplace l’établissement français des greffes.
-Maintien l'interdiction du clonage humain
-interdiction de principe de faire des recherches sur les cellules souches embryonnaires
-interdiction de protéger par un brevet un gène mais possibilité de protéger une invention biotechnologie, et interdiction de procéder à l'identification d'une personne par ses empreintes génétiques si elle s'y refuse ou s'y était refusée de son vivant;

-2005: loi du 22 avril relative aux droits de malades et à la fin de vie dite loi de Léonitti

-2010 : projet de loi, propose la levée de l'anonymat concernant le don de gamète, ainsi que la possibilité de dons croisés d’organes.

-2011 : révision des lois de 94,2004
Loi du 7 juillet 2011 : Loi relative à la bioéthique révisant la loi de 2004.
Principales modifications :
- Autorisation de don croisé d’organes, concernant essentiellement les greffes de rein
- Encadrement du prélèvement de sang de cordon et la recherche sur l’embryon

Les domaines de la bioéthique:

==>Le génie génétique avec l’étude des gènes et le clonage que nous verrons dans cette fiche

==>Les malades et la fin de vie quel que soit l’âge de la personne concernée (pas dans cette fiche)

==>L’assistance médicale à la procréation (pas dans cette fiche)

==>L’intervention sur le corps humain : prélèvements, greffes, dons d’organes (pas dans cette fiche)

Génie génétique :

Ensemble des techniques de biologie moléculaire qui ont pour objet d’isoler des gènes d’intérêt thérapeutique et d’en déterminer la structure, afin de les transférer ou de les modifier par mutation contrôlée, dans un cellule ou un organisme hôte.

Cette technique permet donc d’assembler des gènes d’individus différents en raison de l’universalité du code génétique.

L’addition définitive des gènes étrangers au génome (ensemble des gènes caractéristique d’une espèce) par transgénèse est réalisable à l’échelle industrielle chez les végétaux (mais par exemple) mais reste expérimentale chez l’animal.
Les animaux ou plantes qui sont alors porteurs de gènes étrangers sont dits transgéniques.

Tests génétiques:

C’est l’ensemble des techniques de manipulation des génomes (ensemble des gènes caractéristique d’une espèce) de l’homme ou de l’animal qui rend possible l’étude des gènes, le clonage.

Ces techniques appliquées à la médecine permettent :
- Le diagnostic prénatal (DP) (in utero) repose sur l’analyse biologique de l’ADN sur l’embryon ou le fœtus qui permettent de déceler des anomalies
- Le diagnostic préimplantatoire (DPI) consiste à dépister d’éventuelles anomalies chromosomiques ou génétiques sur les embryons lors d’une fécondation in vitro pour n’implanter que des embryons indemnes
- La médecine prédictive : à partir des tests génétiques, la médecine prédictive permet d’évaluer le risque de développer telle ou telle maladie avant toute manifestation de leurs symptômes. Pour autant, la médecine prédictive n’est que probabiliste, et n’a pas valeur de certitude. Maie cette médecine n’est que probabiliste et ne permet en aucun cas d’affirmer que son évaluation est sûre.

La thérapie génique:

Traitement qui consiste à manipuler le matériel génétique de l’homme ou de l’animal. Et donc d’intervenir sur des gènes « défectueux » : On peut donc par exemple, introduire un gène dans une cellule pour qu’elle acquière la propriété de se défende, ou encore dans le cas d’une maladie génétique, un gène manquant dans les cellules du malade.

Les enjeux du génie génétique:

• Les enjeux éthiques :
-A-t-on le droit de manipuler des espèces vivantes ?
-Risque de tromperie du consommateur
-Risque d’eugénisme
-Risque d’introduction de virus résistants

• Les enjeux juridiques :
-Interdiction ou encadrement des manipulations génétiques ?
-Commercialisation d’organes ou du génome humain

• Les enjeux économiques :
-Développement du rendement des espèces
-Développement d’espèces résistantes aux virus, aux herbicides, aux insecticides…
-Production d’espèces aux qualités nutritionnelles modifiées
-Développement d’espèces produisant des substances incorporées dans des médicaments
-Risques écologiques, pour les espèces vivantes ou pour la biodiversité

Le Clonage:

Réalisation de copies conformes, c’est à dire d’embryons détenteurs du même patrimoine génétiques.

En génétique le terme clonage désigne plus particulièrement l’opération qui consiste à isoler et à multiplier une bactérie dans laquelle a été inséré un gène provenant d’une espèce animale ou végétale : on parle de clonage de gènes.

Le clonage constitue donc une forme particulière de manipulation génétique qui consiste à transférer le patrimoine génétique vers une autre cellule préalablement énuclée (dont on a enlevé le noyau).

II existe deux types de clonages :
- Le clonage reproductif : mode de reproduction asexuée comportant une manipulation génétique et visant la reproduction d’un être vivant dans son intégralité.
- Le clonage thérapeutique, mode de reproduction cellulaire qui permet la constitution de lignée cellulaire ou d’organes pouvant être utilisés dans le cas de greffes ou de transplantations.

Le clonage d’un mammifère est devenu une réalité, avec la naissance, en février 1997 de la brebis Dolly. Si cette naissance n’a pas révolutionné la génétique, elle a fait entrevoir de nouvelles perspectives dans le domaine de la maitrise de vivant.

Cadre législatif du clonage :

•Depuis 1998, le Conseil de l’Europe interdit le clonage. Des poursuites seraient engagées contre les pays qui pratiqueraient le clonage humain.

•En février 2001, la commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) s’oppose au clonage humain thérapeutique.

De nombreux scientifiques combattent l’interdiction actuelle du clonage thérapeutique car il permettrait des avancées dans la connaissance de certaines pathologies (diabète, Alzheimer, etc..)

•La loi de 2011 n’a pas légiféré sur le clonage.
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elody44
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par elody44 »

merci les filles pour ces résumés...
la R24 est a faire pour quand??
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elody44
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par elody44 »

j'essaye de la faire pour se soir...
Louloute21L13
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par Louloute21L13 »

merci pour le résumé R23 moi je ferai R24 pour demain soir bises
presci974
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par presci974 »

Coucou :coucouc:
Je suis désolé mais j'ai pas pu vous rejoindre... :oops:
En passant par la j'ai vu vous étiez à la bioéthique... Je peux pas participer régulièrement mais je voudrai partager avec vous quelque infos...

LES LOIS DE BIOETHIQUE

La bioéthique accompagne l’ensemble des avancées scientifiques et médicales qui ont un lien avec la biodiversité: espèces humaine, animale et végétale.
Les lois de bioéthique régissent tout ce qui concerne :
 La greffe d'organe, de tissus, de moelle osseuse
 L'Assistance Médicale à la Procréation qui fait appel au don d'ovules et de sperme
 Les recherches ayant pour objet l'embryon et les cellules embryonnaires
 La génétique : le dépistage des maladies faisant appel aux gènes, mais aussi les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM)
 Les neurosciences

Ces lois cherchent à répondre le mieux possible aux questions morales soulevées par le progrès scientifique et technique au regard des valeurs de notre société. Elles cherchent à garantir le respect de la dignité humaine et la protection des plus vulnérables contre toute forme d'exploitation. Elles devraient être régulièrement révisées. La dernière révision a eu lieu en 2011. Les précédentes : 2004 et 1994

Le CCNE (Comité Consultatif National d’Ethique) : son rôle et ses règles

 Mener une réflexion éthique face à la progression rapide des connaissances dans les domaines de la biologie, de la médecine et de la santé.
 Ne doit pas avoir d'intérêt avec les parlementaires, les politiques.
Doit rester une autorité indépendante.
 Aider les citoyens et décideurs de ce pays quelles que soient leurs origines et familles religieuses ou de pensée.

Débats en cours:

 Grossesse post-mortem moralement condamnable ?
 Jusqu'où l’être humain peut-il aller pour concevoir des enfants : mère porteuse pour couples stériles ou couples homosexuels ?
 Risques d’eugénisme : jusqu’à quel point intervenir sur les gènes pour concevoir des créatures « parfaites » : enfants, produits génétiquement modifiés.. ?
 En ce moment, Commission de réflexion sur la fin de vie, à la demande du gouvernement, présidée par l’ancien Directeur du CCNE, Didier Sicard (consultation des citoyens)



Les OGM

Définition :
Les Organismes génétiquement modifiés sont des micro-organismes, des plantes ou des animaux auxquels on a modifié le génome, c’est-à-dire l’ADN (support de l’information génétique formant les chromosomes).
Cette modification consiste en général à ajouter (parfois retrancher) un gène d’un autre micro-organisme, végétal ou animal, gène qui aura la vertu de conférer une nouvelle propriété à l’OGM.

Législation :

Les principales dispositions de la loi 2008

- La liberté de produire et de consommer « avec ou sans » organismes génétiquement modifiés est instituée, mais pas appliquée en France, sauf pour nourriture animale.

- La transparence. Toute parcelle d'OGM devra, désormais, être rendue publique. Un registre national des localisations des parcelles sera rédigé.

- Un haut conseil des biotechnologies sera chargé de l'expertise. Il comprendra des scientifiques et des représentants de la société civile.

- Le « délit de fauchage » prévoit une peine de deux ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende. La peine est portée à trois ans de prison et l'amende à 150 000 €, quand il s'agit d'une parcelle consacrée à la recherche.

- L'indemnisation des cultures « contaminées » par des OGM est prévue par la loi. Ce sont les cultivateurs d'OGM qui en assumeront eux-mêmes la charge, s'ils ont « contaminé » la parcelle voisine d'un exploitant non-OGM

- Tous les produits doivent être étiquetés pour leur caractère génétiquement modifié, sauf en cas de présence fortuite avec teneur inférieure à 0,9% en application du règlement 1829/2003 relatif aux denrées alimentaires et aliments pour animaux génétiquement modifiés.

Monsanto :
Entreprise américaine spécialisée dans les biotechnologies végétales.
Fondée en 1901 par John Francis QUEENEY. Monsanto précurseur en ce qui concerne l’agriculture OGM (avec une autre entreprise japonaise).
En 1982 les chercheurs de Monsanto réussissent à modifier gènes d’une plante.
C’est son herbicide Roundup qui est inclus dans les maïs génétiquement modifiés, afin qu’ils deviennent plus résistants aux insectes et ils y voient donc un intérêt économique.
Le round-up est par ailleurs vivement contesté pour les dommages irréversibles qu’il cause aux nappes phréatiques et à l’ensemble de l’écosystème


Rapport Seralini :

Une équipe de chercheurs français menée par Gilles-Eric Séralini ont secrètement mené une étude sur l’incidence de la consommation du maïs OGM NK603. Pendant 2 ans et avec financements privés et non publics)
Les études menées par Monsanto ne dépassent pas les 90 jours.
Le 19 septembre 2012 cette étude a été publiée dans la très sérieuse revue américaine « Food and chemical toxicology » et a créé une véritable bombe dans le domaine scientifique.
Les 200 rats montrent un surnombre de tumeurs.
Cette étude, qui fait scandale, a tout d’abord été réfutée par la haute autorité européenne (Efsas) mais lien avéré avec Monsanto…
Louloute21L13
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par Louloute21L13 »

merci pour ce rapprochement avec l'actualité c'est très intéressant !!!
bonne soirée
louloute
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karinette64
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par karinette64 »

BONJOUR!!!

Comme promis, je vous mets ma fiche sur les dons d'organes etc....
en espérant que cela pourra aider pour la fiche résumé! j'ai pris les grands points communs qui existe sur tous les dons.
LES DONS D ORGANES,DE SANG, DE MOELLE OSSEUSE, DE LAIT, DE SPERMES ET D OVOCYTES

DEFINITIONS

Allogreffe : greffe par laquelle un malade reçoit le greffon d’une tierce personne, un donneur familial ou non apparenté.

Autogreffe : le malade reçoit sa propre moelle osseuse après qu’elle ait été traitée (sang, cellules, plaquettes…).

Aphérèse : il s’agit du prélèvement de cellules de sang nécessitant l’utilisation d’une machine nommée aphérèse mais également appelée séparateur de cellules. EFS s’en sert souvent pour séparer les plaquettes. Les autres parties du sang est restitué au donneur.

Cellules souches hématopoïétiques (CSH) : cellules mères. Elles se trouvent dans la moelle osseuse mais aussi dans le sang périphérique (après injection de médicaments) et dans le sang du cordon . C’est une cellule totipotente qui permet la production de cellules sanguines aux fonctions différentes (GR, GB, plaquettes).

Le greffon est le terme général qui désigne l’élément du corps humain qui doit être greffé. Cela peut être un organe, un tissu ou encore des cellules

HLA : le système HLA : Human Leucocyte Antigen. Ou antigène d’histocompatibilité humaine. C’est la carte d’identité génétique tissulaire d’un individu pour partie héritée de son père et de sa mère.
Les médicaments immunosuppresseurs Le rejet est prévenu et combattu en bloquant partiellement le fonctionnement du système de défense immunitaire. On utilise pour cela des médicaments dit « immunosuppresseurs ».
Chaque patient greffé se voit administrer un traitement combinant plusieurs molécules avec différents modes d’action, qui conditionne sa survie et sa qualité de vie. La combinaison médicamenteuse est adaptée en fonction du type de greffe, de l’état du patient et de sa tolérance aux médicaments.
De plus en plus efficaces et maîtrisés, les traitements immunosuppresseurs ont de nombreux effets indésirables. En premier lieu, ils ont l’inconvénient de rendre l’organisme plus vulnérable aux maladies infectieuses (virales, bactériennes, fongiques) et aux tumeurs cancéreuses. L’adaptation du traitement année après année et la lutte contre les pathologies opportunistes astreignent chaque personne greffée à un suivi médical à vie.
Le rejet : L’introduction dans l’organisme d’un organe qui n’a pas le même système HLA est immédiatement perçue comme une agression. Il déclenche une réaction de type immunitaire, comme s’il s’agissait d’un virus ennemi. C’est le phénomène de rejet.
Il existe deux types de rejet :
• le rejet aigu, qui correspond à la réponse immunitaire décrite ci-dessus ;
• le rejet chronique, ou maladie chronique du greffon, qui apparaît plusieurs années après la greffe. Il combine des phénomènes immunitaires à d’autres causes d’altération du greffon.
Le rejet est un risque permanent, il doit être contré par des médicaments durant toute la vie de la personne greffée.
Sang placentaire : le sang provenant du placenta contient également des cellules souches hématopoïétique que l’on peut prélever après la naissance de l’enfant sans danger ni pour lui ni pour sa mère.

DATES IMPORTANTES

1952 : 1ère tentative de greffe de rein avec un donneur vivant à l’hôpital NECKER avec l’équipe du professeur Jean HAMBURGER. Cependant le jeune homme décéda 21 jours après.
Fin année 50’s : 1ère greffe réussie et réalisée aux USA avec un donneur décédé et traitement immunosuppresseur.

Fin des années 60’s : greffes d’autres organes et notamment le cœur.

22décembre 1976 : Loi CAILLAVET : 1ère grande Loi sur le don d’organes avec le consentement présumé. Cad toute personne décédée est un donneur potentiel à moins d’avoir donner son refus dans le registre national des refus ou en avoir fait part à son entourage proche.

1994 : Légalisation du don d’ovocytes.

Mars 1999 : Légalisation de recueil ou d’accueil d’embryon pour le don dans une banque.

6 août 2004 : Loi sur la Bioéthique.

2005 : Création de l’Agence de la Biomédecine qui régule tous les dons d’organes.

2009 : 1ère greffe visage et mains mais patient décède qqs temps après.

7 juillet 2011 : Révision de la LOI sur la Bioéthique de 2004 rajoutant les principes de l’anonymat et la gratuité du don.

LES ORGANISMES

LES LACTARIUMS (ADLF) : 18 en France. Le but est de promouvoir l’allaitement maternel, d’améliorer les conditions de collecte et de distribution ainsi que la qualité du lait humain en France.

CECOS Un CECOS est un centre implanté dans un Centre Hospitalier Universitaire (CHU).
Un CECOS a plusieurs missions au service des patients, dont les deux plus importantes sont :
• permettre à des couples ayant des problèmes de stérilité, des contre-indications à une grossesse obtenue avec leurs gamètes, de fonder une famille avec l’aide d’une procréation par don. Il peut s’agir de don de spermatozoïdes, d’un don d’ovocytes ou d’un accueil (don) d’embryons. Le CECOS met tout en œuvre dans ce cas pour assurer la gestion du don et permettre au couple receveur de procréer,
• permettre la préservation de la fertilité pour des hommes, des femmes, des enfants, qui vont avoir un traitement ou une circonstance présentant un risque pour la fertilité future.

AGENCE DE BIOMÉDECINE L’Agence de la biomédecine est une agence publique nationale de l’État créée par la loi de bioéthique de 2004. Elle est actuellement dirigée par Emmanuelle Prada-Bordenave. L’Agence exerce ses missions dans les domaines du prélèvement et de la greffe d’organes, de tissus et de cellules, ainsi que dans les domaines de la procréation, de l’embryologie et de la génétique humaines.



ETABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG : EFS :
L’Etablissement Français du Sang est l’opérateur civil unique de la transfusion en France. La transfusion sanguine, dont l’EFS a le monopole depuis 2000, comprend le don de sang, le don de plasma et le don de plaquettes.

QUELQUES CHIFFRES SURLE DON D’ORGANES

Ces chiffres concernent la période 1991-2011 : 20 ans de greffes !!

• En 1991 : 3 523 personnes ont été greffées.
• En 2011 : 4 945 personnes ont été greffées.
• Le nombre de personnes greffées a augmenté de plus de 41 % en 20 ans.

L’évolution du nombre de greffes d’organes en 20 ans varie en fonction des organes :

• Le rein est l’organe le plus greffé avec une hausse de 87 % sur 20 ans, suivi par le foie qui a augmenté de plus de 50 %.
• La greffe de poumon a fait un bond spectaculaire de 20,4 % entre 2010 et 2011 grâce à des critères de prélèvement redéfinis en profondeur.
• La greffe du cœur, entre 1991 et 2000, diminue en raison de l’amélioration de techniques alternatives.
• Les greffes de l’intestin et du pancréas, des pratiques plus rares, progressent doucement

Du côté des donneurs :

• En 1996, la moyenne d’âge des donneurs était de 37 ans.
• En 2011, la moyenne d’âge des donneurs était de 53 ans.
Du côté des receveurs :

• En 1991, la moyenne d’âge des receveurs était de 42 ans.
• En 2011, la moyenne d’âge des receveurs était de 50 ans.

Cependant, l’augmentation du nombre de greffes ne suffit pas à résorber l’attente :

• En 1997, 8 733 personnes étaient en attente d’une greffe.
• En 2011, 16 371 personnes étaient en attente d’une greffe.

Le second plan greffe 2012-2016 a pour ambition de soutenir et promouvoir l’activité de greffe dans les années à venir.

LES ORGANISMES

LES LACTARIUMS (ADLF) : 18 en France. Le but est de promouvoir l’allaitement maternel, d’améliorer les conditions de collecte et de distribution ainsi que la qualité du lait humain en France.

CECOS Un CECOS est un centre implanté dans un Centre Hospitalier Universitaire (CHU).
Un CECOS a plusieurs missions au service des patients, dont les deux plus importantes sont :
• permettre à des couples ayant des problèmes de stérilité, des contre-indications à une grossesse obtenue avec leurs gamètes, de fonder une famille avec l’aide d’une procréation par don. Il peut s’agir de don de spermatozoïdes, d’un don d’ovocytes ou d’un accueil (don) d’embryons. Le CECOS met tout en œuvre dans ce cas pour assurer la gestion du don et permettre au couple receveur de procréer,
• permettre la préservation de la fertilité pour des hommes, des femmes, des enfants, qui vont avoir un traitement ou une circonstance présentant un risque pour la fertilité future.

AGENCE DE BIOMÉDECINE L’Agence de la biomédecine est une agence publique nationale de l’État créée par la loi de bioéthique de 2004. Elle est actuellement dirigée par Emmanuelle Prada-Bordenave. L’Agence exerce ses missions dans les domaines du prélèvement et de la greffe d’organes, de tissus et de cellules, ainsi que dans les domaines de la procréation, de l’embryologie et de la génétique humaines.

ETABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG : EFS :
L’Etablissement Français du Sang est l’opérateur civil unique de la transfusion en France. La transfusion sanguine, dont l’EFS a le monopole depuis 2000, comprend le don de sang, le don de plasma et le don de plaquettes.

LES GRANDS PRINCIPES DU DON EN FRANCE
ANONYMAT entre le donneur et le receveur pour protéger la famille du donneur et le receveur.
GRATUITÉ DU DON : afin d’enrayer le trafic d’organes.
INFORMATION donnée au donneur en tout état de cause.
CONSENTEMENT LIBRE ET PRÉSUMÉ. Toute personne décédée est potentiellement un donneur. Cependant la personne a le droit de s’opposer à ce don en s’inscrivant au registre national des refus ou en le disant à ses proches. L’équipe de coordination est obligée d’avoir le consentement de la famille avant de recueillir les organes.
LES RÈGLES D’ATTRIBUTION.
Selon l’arrêté en vigueur, “les règles de répartition et d’attribution de ces greffons doivent respecter les principes d’équité, d’éthique médicale et viser l’amélioration de la qualité des soins.”
La répartition tient compte des priorités médicales et des déplacements géographiques auxquels seront soumis les greffons.
Certains patients de la liste d’attente sont prioritaires :
 Les enfants.
 les receveurs dont la vie est menacée à très court terme,
 les receveurs pour lesquels la probabilité d’obtenir un greffon est très faible du fait de caractéristiques morphologiques ou immunogénétiques particulières.
LES DONS DE VIVANT
Toute personne ayant 18 ans révolus peut donner son rein, son sang, ses plaquettes, sa moelle osseuse.
Le donneur doit être en BONNE SANTÉ
Il faut cependant que le donneur ai été informé en tout état de cause sur les principes, et, il faut qu’avant tout acte chirurgical donner son approbation près d’un TGI. (don de rein, de moelle osseuse). Ceci afin de le protéger, et, de se faire rembourser les frais d’hospitalisations ou ITT relatifs au don= LIBERTÉ DE CHOIX
Pour certains dons comme par exemple le rein, il faut qu’il y ait un lien familial ou affectif entre le donneur et le receveur= LIEN FAMILIAL OU AFFECTIF
Procédure par exemple dans le cas de don d’organes ou de moelle osseuse :
-Entretien avec un médecin qui va tout d’abord informer le donneur et réaliser au préalable un examen.
-Si aucune contre indications toute une batteries d’analyse vont être effectuées pour éviter tout risque d’infections virales ou bactériennes : règles très strictes suite aux différents scandales comme le sang contaminé.
- accueil en CHU en vue d’un acte chirurgical et prélèvement de l’organe (rein ou partie du foie) ou de la moelle osseuse sous anesthésie générale.
- Contrôle post opératoire
- suivi effectué 1, 3, 6 mois et un an après afin de vérifier que le donneur ,n’est aucun problème suite à son don ;
LE DON POST MORTEM
a) Qui peut donner ??
Les prélèvements se font sur des donneurs décédés suite à un arrêt cérébral (AVC), bien que l’on essaie ces dernières années d’élargir à d’autres donneurs décédés dans d’autres circonstances. Car le nombre de décès par AVC est de 1%.

Tout le monde peut être donneur, cependant pour les mineurs de moins de 17 ans, la décision incombe aux parents de consentir aux dons.
En 2011,
4,6 % des donneurs avaient 17 ou moins,
31,6 % de 18 à 49 ans,
34,1 % de 50 à 64 ans
29,7 % plus de 65 ans

b) Les étapes
1 Un donneur potentiel décède
2 Le corps du défunt est sous surveillance en réanimation
3 L’équipe de coordination du prélèvement consulte le registre national des refus. Conformément à la loi, l’équipe médicale consulte les proches. Ils acceptent donc le prélèvement
4 Le laboratoire analyse le sang du donneur. L’état des organes est également examiné grâce aux clichés pris par imagerie médicale (échographie, scanner) qui vont mettre en évidence la taille des organes et leur qualité. Chaque organe fait ensuite l’objet d’examens spécifiques.
5 Coordination et régulateur organisent le prélèvement et les greffes
6 Les organes du donneur sont prélevés. Après l’opération, le corps est habillé avec ses effets personnels et rendu à la famille, qui peut réaliser les obsèques qu’elle souhaite. Aucun frais n’est demandé à la famille du défunt.
7 Les organes sont transférés dans les hôpitaux où des receveurs attendent d’être greffés.
Chaque heure est comptée. Entre le moment où l’organe est prélevé et le moment où il est greffé, il ne faut pas dépasser. Ces délais sont des moyennes qui dépendent de l’état de l’organe.
3 à 4 heures pour un cœur
12 à 18 heures pour un foie,
6 à 8 heures pour un poumon,
24 à 36 heures pour un rein.
8 Les chirurgiens procèdent à la greffe. La greffe se déroule au bloc opératoire dans les conditions d’une opération chirurgicale de pointe. Quand l’organe du donneur arrive, l’équipe de greffe est déjà prête à opérer.
9 une nouvelle vie commence

c) Une équipe spécialisée
 Le médecin réanimateur
 La coordination hospitalière du prélèvement
Le prélèvement d’organes est organisé par l’équipe de coordination hospitalière du prélèvement. Elle a plusieurs rôles :
• favoriser le recensement des défunts / personnes décédées à l’hôpital et susceptibles d’être prélevés / donneuses,
• accueillir les familles et recueillir leur témoignage sur le choix du défunt concernant le don d’organes,
• s’assurer que les examens biologiques et médicaux nécessaires au prélèvement sont réalisés,
• prendre tous les contacts et toutes les informations nécessaires à l’attribution des organes et à l’organisation de leur transport,
• coordonner le prélèvement des différents organes au bloc opératoire.
• s’assurer du respect de l’aspect du corps défunt et réaliser la toilette mortuaire avant de restituer le coprs du défunt à la famille
 Les équipes de greffe
 La direction prélèvement greffe organes-tissus de l’Agence de la biomédecine. Elle est composée :
 du pôle national de répartition des greffons
 de 4 entités régionales, les services de régulation et d’appui.


PÉNURIE DE DONS : QUELQUES CAUSES.

 Manque de communication sur le choix du défunt : d’où la campagne d’information « il faut le dire !! »

 Le décès = un moment douloureux +++ dans la vie de la famille et des proches. Il est très difficile de communiquer à ce sujet.

 Certains scandales comme « l’affaire du sang contaminé »

 Des croyances religieuses comme l’Hindouisme contre le don.

 Le tourisme médical : certains pays européens sont plus large sur l’éthique.

DES SOLUTIONS….
Donner une légitimité à la carte de donneur, càd la légaliser comme l’opposition au registre des refus.
Harmoniser les principes éthiques sur le don du modèle français à l’ensemble des pays membres de l’ UE afin d’éviter le tourisme médical au sein de l’UE.
Parler avec ses proches et peut être avec son médecin traitant lors d’une consultation afin de l’enregistrer sur le dossier médical du patient.
Maman de 2 petites fripouilles de4et 6 ans
EAS au GRETA BAYONNE 2014-2015
C'est parti pour 10 mois de folie!!!
Louloute21L13
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par Louloute21L13 »

coucou je posterai que demain la R24 désolée uu peu chargée cette semaine et mon homme vient de revenir après 2 semaines d'absence.. je vois qu'il n'y en a pas encore de poster donc ça va :clin:
Des bises
Louloute célinette
Louloute21L13
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par Louloute21L13 »

euh si en fait une de poster j'avais pas rafraichi la page!!!
chany18
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par chany18 »

coucou !

Profites-en louloute lol :).

Un film super à voir en lien avec les dons/ greffes: 7 sept vies avec will smith:).

A plus tard. bonne soirée.
Tytoune45
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Re: thèmes concours infirmier 2011-2012

Message par Tytoune45 »

Oups dsl pour cette reponse tardive.
J'ai en effet un peu de mal avec ce site. lol
DOnc non j'ai vraiment du mal à trouver des choses ici.
On m'a dit que c'était super interessant, complet pour les concours.
Je n'ai pas encore eu le temps d'y preter attention.

Merci de ta réponses en tout cas.
Donc tu passe le concours en 2013 sur Tours ? Moi j'hésite encore...
Tu en passes combien ?
et moi aussi parcours atypique je viens d'un bac pro secrétariat, bts assistante manager. Donc CG bof bof, et tout le reste zero. mdr Mais ma prépa (depuis un mois) ce passe merveilleusement bien ! j'adore les cours, et on a déjà eu notre concours blanc (toutes les semaines) il y a deux jours.
Voilouu :D
2012 Prépa Concours Infirmier
2013 : Concours Chalette/Loing / Bourges / Nevers
--> Etudiante IFSI 2013-2016 =D
Louloute21L13
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par Louloute21L13 »

coucou les filles,
pas grand monde en ce moment sur ce blog....
Ben voilà ma R24 Les dons

R24 DONS DES PRODUITS DU CORPS HUMAIN : organes, tissus et sang.
En1952 : date de la première transplantation, depuis les possibilités de greffe se sont multipliées, et meilleure efficacité car maîtrise des techniques de chirurgie et de l’immunosuppression, et du suivi médical.

A. DONS D’ORGANES ET DE TISSUS
I) DÉFINITIONS ET DONNEES STATISTIQUES
==>Définitions
On peut réaliser 3 sortes de greffes :
Autogreffe : transplantation de tissu sain d’une région du corps à une autre
Allogreffe : à partir d’un greffon prélevé sur un donneur
Xénogreffe : quand le donneur et le receveur appartiennent à des espèces différentes

•Le greffon
est le terme général qui désigne l’élément du corps humain qui doit être greffé. Cela peut être un organe, un tissu ou encore des cellules

•Le don des produits du corps humain: consiste à prélever, principalement sur un individu décédé par mot encéphalique ou plus rarement après arrêt cardiaque, ou beaucoup plus rarement sur le vivant, un greffon pour le transplanter sur une personne malade dans le but de la soigner.
Les dons sont utilisés pour des transplantations d’organes (cœur, poumons, foie, rein, pancréas, intestins), des greffes (peau, cornée, etc…) ou des transfusions (éléments sanguins).
• En ce qui concerne la greffe d’organes : Les organes les plus greffés sont le rein et le foie viennent ensuite le cœur et es poumons selon l’Agence de biomédecine (voir ensuite).
• La greffe de tissus :
Principaux tissus greffés : peau, cornée, veines, artères et valves cardiaques. Ces tissus sont conservés dans des banques de tissus hébergés dans les centres hospitaliers le plus souvent.
•La greffe de cellule souches : il en existe plusieurs types :
- Les cellules souches adultes multipotentes capables de donner naissance à plusieurs types cellulaires, elles sont présentes dans la moelle osseuse (à l’origine des cellules sanguines), dans les épithéliums des cavités du corps et de la peau, et celles du liquide amniotique et du cordon ombilical. Elles sont utilisées pour le traitement des leucémies, les lymphomes, des déficits immunitaires, de la drépanocytose.
- Les cellules souches pluripotentes ou cellules souches embryonnaires sont prélevées sur des embryons dits surnuméraires, c’est à dire conçu invitro lors d’une procréation médialement assistée ne faisant plus l’objet d’un projet parental et ne peuvent être utilisées actuellement que dans le cadre de la recherche et non du traitement thérapeutique.
• Le don de sang : traité en 2ème partie

==>Données statistiques :
• Plus de 16000 personnes en attente de greffes en 2011, ce chiffre augmente d’année en année.
• Environ 4900 greffes réalisées en 2011 : 2976 greffes de reins, 1164 greffes de foie, 398 greffes de cœur et 312 greffes de poumons.
• Pus de 49000 personnes sont porteuses d’un greffon fonctionnel en 2012
• En 2009 : plus de 430 malades décédés faute de greffon.


II) LÉGISLATION ET ETABLISSEMENT

==>Loi Cavaillet de décembre 1976 :
Elle a affirmé le principe du consentement présumé : le prélèvement post-mortem ne peut se faire que si la personne n’a pas fait connaître de son vivant son refus d’un tel prélèvement. Mais avis de l’entourage important.
Pour un mineur décédé : consentement écrit des parents.
Si consentement au don, la personne peut porter une carte de donneur (juste valeur témoin non juridique).
Un registre national automatisé de dons d’organes post-mortem consultable 24H/24 crée en 1998 : pour s’opposer de son vivant à tout prélèvement d’organes ou de tissus. En réalité les médecins continuent de respecter le refus des familles même si le défunt pas inscrit.
Un fichier des volontaires de don de moelle osseuse.
==>Les Lois de bioéthique de 1994 et 2004 :
Elles ont précisé les règles applicables aux dons d’organes et transplantation d’organes.
•Gratuité et anonymat des dons y sont affirmés
•Garanties sanitaires : test de dépistage des MST sur les greffons
• Conditions de prélèvements post-mortem:
- que si recueil de la volonté du défunt et uniquement à des fins thérapeutiques
- uniquement dans des établissements de santé autorisés
- prélèvement que après constat de la mort cérébrale pas des médecins non « greffeurs »
- aucune rémunération particulière du médecin
- restauration complète du corps par le médecin ayant prélevé le greffon
• Conditions de prélèvements sur une personne vivante:
- donneur doit faire partie de la famille du receveur ou famille élargie (cousins, gds-parents…)
- donneur doit être majeur
- donneur doit être informé sur les risques et doit consentir par écrit au don devant TGI (tribunal de grande instance)

==> Loi de bioéthique du 7 juillet 2011 :
Loi révisant-la loi de 2004. Principales innovations :
• Autorisation de don croisé d’organes et don par un ami proche surtout pour les greffes de rein
• Encadrement du prélèvement de sang de cordon et la recherche sur l’embryon

==>L’Agence de Biomédecine mise place en 2005:

La gestion et la coordination des dons et des greffes d’organes ont été placées sous l’autorité directe des pouvoirs publics, pour confiance du public et médecins peuvent travailler librement sans critique.
Ses missions :
• Promouvoir les dons en développant l’info du public
• Répartir les greffes en fonction d’une liste d’attente nationale (critères médicaux et géographiques)
•Contrôler la qualité des greffons avec l’ANSM : Agence national de sécurité du médicament (a remplacé l’AFSSAPS ce 1er mai 2012)
• Evaluer l’activité de greffe et ses résultats

III) LES PROBLEMES
==>Manque cruel de greffons:
Causes :
• Demande croissante de greffons (vieillissement population, recours fréquent à cette thérapeutique)
• Raréfaction des donneurs potentiels (grâce à prévention des accidents de la route, des AVC, des suicides et peu de prélèvements chez les donneurs âgés
• Ambiguïté de la loi sur les dons post-mortem : qui malgré le consentement présumé, laisse aux proches la possibilité de refuser au nom du défunt.
• Taux de refus assez élevé et en hausse (32,2%) en France car :
- Accompagnement insuffisant des familles devant la mort brutale d’un proche agressivité, colère
- Ignorance de la position du défunt sur le sujet (2 refus sur 3)
- Raisons religieuses
- Craintes que le corps soit mutilé, profané, que prélèvements non autorisés se fassent en plus..
- Manque de confiance dans les médecins
• Réanimateurs-préleveurs pas toujours très motivés car éloignés des malades receveurs mais devant assumer toutes les difficultés (convaincre, prolonger artificiellement la vie, prélever le greffon) et surchargés dans les autres activités de réanimation

Conséquences :
Arrivées à un prodigieux degré de réussite, les transplantations d’organes stagnent en nombre
• Bcp de malades meurent ou attendent un greffon pendant des années avec qualité de vie médiocre
• Il existe des risques :
- Attribution de greffe sur des critères éthiquement non acceptables : en fonction des chances de réussite de la greffe, ou sur critères sociaux (piston) ou économique ou de nationalité…
- développement du trafic d’organes ou de tissus en provenance des pays pauvres : Ethiquement et médicalement intolérable car c’est une marchandisation du corps humain.
• Nombre de greffes à partir de donneurs vivants augmente surtout pour les greffes de rein.

==>Des problèmes éthiques:
• Prélèvement d’un organe sur une personne vivante et bien portante : problème moral quant à la liberté du donneur face à la possibilité de sauver un proche , n’y est-il pas obligé ?
• Les greffes de deux mains, d’un partie du visage ont soulevés des polémiques : révélation de l’identité du donneur, exploitations des photos du receveur, traitement anti-rejet très lourd et très coûteux


IV) LES REMEDES

==>Des actions de sensibilisation du public:
Moyens :
• Le don d’organe déclaré grande cause nationale en 2009
- campagne de sensibilisation dan les médias
- numéro vert d’information (08002022 24)
- guide d’information dispo dans les centres hospitaliers et sur internet
• La loi de bioéthique du 7 juillet 2011 : prévoit campagnes d’information dans les lycées et certains établissements d’enseignement supérieur

Buts :

• Inciter les personnes à exprimer leur position sur le don d’organes
•Apporter une info claire sur le prélèvement d’organes (corps restauré dans son intégrité, anonymat...)
• Développer les arguments en faveur de ce don (solidarité, générosité, mort moins inutile…)

==>Développement de l’activité de prélèvements:

• Intégration, par la loi bioéthique de 2004, du prélèvement dans les missions de service public des établissements de santé pour le rendre obligatoire.
• Meilleur recensement des morts encéphaliques
• Augmentation du nombre de centres et des personnes habilitées à faire ces prélèvements
• Prélèvements plus fréquents de greffons sur les pers de plus de 65 ans ou chez des donneurs en arrêt cardiaque.
• Augmentation de recours aux donneurs vivants.
- selon la loi de bioéthique de 2004, tout prélèvement sur un donneur vivant doit être soumis à comité d’experts. (donner aux donneurs info sur risques physiques, psycho, conséquences éventuelles)
- Loi de bioéthique de juillet 2011 autorise le don croisé d’organe et le don par un ami proche

==>Progrès médicaux porteurs d’espoir:
Greffes intrafamiliales et surtout non apparentées de cellules souches hematopoïétiques se prélevant dans la moelle osseuse, le sang circulant ou le sang du cordon ombilical sont en constante progression : pour traitement leucémies, myélomes, lymphomes etc..

==>Déclaration d’Istanbul sur le trafic d’organes et le tourisme de transplantation:

Rédigée en mai 2008, elle condamne ces pratiques et demande aux gouvernements de prendre mesures contre ces dernières.


B. LE DON DE SANG

I) DEFINITION ET INTÉRETS

•Il est possible entre 18 et 65 ans et uniquement dans un centre agrée. On prélève 250 à 400mL de sang ou de composés du sang (comme le plasma, les plaquettes, les globules rouges)
•La transfusion sanguine est indispensable pour traiter les leucémies, d’autres maladies sanguines et les hémorragies importantes survenant pendant les accouchements, en intervention chirurgicale, ou lois d’accidents…

II) DONNEES STATISTIQUES

• 3,2 millions de personnes ont donné leur sang en 2011 dont plus de 365600 nouveaux donneurs
• Chaque année 1 million de malade sont transfusés
• 17 établissements de transfusion sanguine en 2011
• 40 000 collectes mobiles en 2011
•151 sites de collectes fixes en 2011

III) LEGISLATION ET ETABLISSEMENTS

==> Loi sur la bioéthique de 1994:

Cette loi dispose que le corps humain ne peut pas faire l’objet de commerce, donc le don de sang est anonyme et gratuit : ainsi qualité du don respecté (sinon risques de donc répétés, donneurs à risques)

==> L’Etablissement français du sang (EFS):

• Créé en 1999, c’est un service public qui a pour mission de garantir l’autosuffisance nationale en produits sanguins. Il est l’opérateur civil unique de la transfusion en France.
• Il repose sur la générosité des français.
• La transfusion sanguine, dont l’EFS a le monopole depuis 2000, comprend le don de sang, le don de plasma et le don de plaquettes.
• Il est le garant de la sécurité de la chaîne transfusionnelle, du donneur au receveur. Il contribue à soigner plus d'1 million de malades chaque année. L’EFS est présent sur l’ensemble du territoire (dont DOM)

==> Le dispositif de sécurité transfusionnelle:

• L’ANSM est chargée de vérifier la qualité des tests et des produits, et les bonnes pratiques dans les centres de transfusion.
• Le dispositif visant à limiter le risque de transmission d’une maladie infectieuse lors d’une transfusion :
Questionnaire pour éliminer les dons de personnes à risques
Tests de sécurité visant à éliminer le risque de transmission d’un grand nombre de maladies bactériennes et virales (VIH, hépatite B ou C, syphilis, HTLV,…),parasitaires (paludisme)
Recours à l’autotransfusion pour une intervention chirurgicale programmée
• Un fond d’indemnisation a été crée en 1991 pour indemniser les hémophiles et les transfusés victimes d’une contamination à la suite d’une transfusion et leurs proches

IV) PROBLEME : Insuffisance de dons
• Dons de sang insuffisants pour couvrir la demande croissante : car vieillissement de la population et progrès de la médecine
Il faudrait 100000 dons par jour pour avoir un stock optimal or il n’y en a qu’entre 8000 et 9000 par jour.
Causes : peur du don, négligence de trop de pers par rapport au don, sélection sévère des donneurs.
• Collecte de don du sang placentaire ou sang de cordon pas assez développé pourtant ce sang est riche en cellules souches hématopoïétiques qui sont utilisées pour le traitement des leucémies, les lymphomes, des déficits immunitaires et de la drépanocytose.

V) SOLUTIONS

• Campagne de sensibilisation au don de sang : actions dans les médias, journées dans les lycées et dans l’enseignement supérieur, sur les lieux de vacances pour sensibiliser à la pénurie et inciter à donner : Campagnes insistent sur l’efficacité de cet acte plus que sur l’aspect d’acte généreux.
• Amélioration des collectes : Collectes mobiles sur les lieux de travail, amélioration de l’accueil.
Collecte de sang placentaire : ce dernier ne devrait plus être considéré comme un « déchet » mais comme une « ressource thérapeutique »
• Renforcement de la sécurité de transfusions : techniques d’inactivation virale appliqués aux produits fabriqués à partir du plasma.



Actualités 2012:


- l'Agence de biomédecine a placé le développement de la greffe, essentiellement de rein et dans une moindre mesure de lobe de foie, parmi ses quatre priorités stratégiques des années 2011-2013. Une ambition que l'on retrouve dans le plan greffe 2012-2016 lancé en mars 2012 .
- Un premier Plan greffe 2012-2016 lancé en mars 2012 :augmenter de 5% le nombre de greffe en France, dveloppement des greffes de rein à partir de donneurs vivants, hausse du nombre de greffe de cellules souches hématopoïétiques, amélioration du suivi des donneurs et des receveurs.
- Journée mondiale du don d'organes et de la greffe le 18 octobre 2012 : La fondation Greffe de vie, à cette occasion, a calculé que le pays pourrait économiser jusqu'à 9,6 milliards d'euros sur quatorze ans (durée de vie moyenne du greffon), si l'on parvenait à baisser d'un tiers le taux de refus de prélèvement d'organes et à porter à 25 % du total des greffes la part des greffes avec donneur vivant.
- L’EFS a lancé une campagne de rentrée pour le don de sang :
Du 17 au 21 septembre, l’EFS met en place une campagne de rentrée pour le don de sang. Un spot radio reprenant le thème du sport collectif - avec pour slogan : « Donner son sang, c’est jouer collectif ! » - a été diffusé plus de 500 fois au cours de la semaine.

Voilou ben du coup on a deux fiches sur les dons qui veut faire le résumé R24?
Sinon on prévoit de faire la R25 pour quand?
IL faut se remotiver car ce blog peut pas fonctionner si on est genre 4 ou même moins ces derniers temps :(
Allez on se motive!!
Dites moi les filles si vous pensez que vous pourrez plus trop participer
bisous
Célinette
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elody44
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par elody44 »

coucou les filles
j'avou très peu de monde en ce moment et je n'es pas été très presente en ce moment c'est que mon ordi est casi mort et il est très très long a charger une page internet donc c'est prise de tete mais le probleme est régler la semaine prochaine j'ai commader un nouveau ordi donc je serai active des que j'ai mon nouveau ordi en attendant je fais de mon mieux !!!

sinon je propose qu'on mette une fiche en ligne le mercredi et une le dimanche comme on faisait au debut de ce topic. ca fait une fiche tout les 3 jours histoire qu'on a un rythme de travail et tant pis si on est que 4 après tout !!! c'est juste une baise de motivation je pense que des personnes reviendront au fur et a mesure :D
chany18
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par chany18 »

coucou !!
R24 pour qd svp? si personne pour le résumé de la 24 je la ferai pour mercredi alors?
chany18
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Re: Fiches Culture Générale 2013

Message par chany18 »

louloute tkt pas, c est une petite baisse de motive ...Je fais résumé R24 demain.
Pour la R25 pour mercredi c est ok ?
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