Culture Générale
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour,
avez-vous pensé à consulter http://www.maculturegenerale.fr, le site gratuit de préparation à l'épreuve de culture générale aux concours? Il comporte, outre les outils basés sur le principe de QCM, de nombreuses fiches de synthèse dont beaucoup dans le domaine sanitaire et social.
Bonnes révisions!
avez-vous pensé à consulter http://www.maculturegenerale.fr, le site gratuit de préparation à l'épreuve de culture générale aux concours? Il comporte, outre les outils basés sur le principe de QCM, de nombreuses fiches de synthèse dont beaucoup dans le domaine sanitaire et social.
Bonnes révisions!
Re: Question culture G
salut,
Je prépare aussi le concours IFSI et j'ai trouvé une application Mobile qui est un excellent complément pour réviser de manière ludique et en suivant les évolutions technologiques, moi en tout cas j'adore
plein de QCM dans les trois principale matière demandé au concours : Culture générale / Aptitude numérique (test psychotechniques) / aptitude verbale, je pense que tu pourra y voir plus clair.
Voici le lien : https://play.google.com/store/apps/deta ... cm1pZXIiXQ..
Bonne chance
Je prépare aussi le concours IFSI et j'ai trouvé une application Mobile qui est un excellent complément pour réviser de manière ludique et en suivant les évolutions technologiques, moi en tout cas j'adore

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Bonne chance
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- Forcené
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Re: Fiches Culture Générale 2013
salut les loulous
suis un peu en retard pour le résumé L10 et pour la L11 car j'ai des problèmes perso je me sépare de mon ami ....donc c'est vraiment pas facile
Je vais sûrement être un peu lente mais vous comprendrez et puis chloé il faut qu'on se motive car je crois qu'on est plus que 2 pour le moment espérons que notre chany va vite revenir...
je vous fais de gros bisous
louloute
suis un peu en retard pour le résumé L10 et pour la L11 car j'ai des problèmes perso je me sépare de mon ami ....donc c'est vraiment pas facile
Je vais sûrement être un peu lente mais vous comprendrez et puis chloé il faut qu'on se motive car je crois qu'on est plus que 2 pour le moment espérons que notre chany va vite revenir...
je vous fais de gros bisous
louloute

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- Forcené
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- Inscription : 05 sept. 2012 18:09
Re: Fiches Culture Générale 2013
Voici le résumé de la L10
L10 : Grossesses (les différents types), allaitement, prématurés
I) La Grossesse
1) La durée de la grossesse est calculée de deux façons
• En semaines d’aménorrhées, c’est-à-dire en semaines sans règles, comptée à partir du premier jour des dernières règles constatées.
• En semaines de grossesse réelle : débute au commencement de la 3ème semaine d’aménorrhée, à la fécondation. Les semaines de grossesse correspondent à l’âge réel du bébé.
C’est le a) qui est retenu comme traité international pour toutes les données de la grossesse.
- La date de l’accouchement peut varier de deux semaines dans un sens ou dans l'autre.
L’accouchement se situant normalement à 40 semaines : 25% des femmes accouchent à 38 ou 39 semaines alors que 30% n'accouchent qu'à la 42ème.
2) Symptômes habituels : la nausée, les brûlures d’estomac, les œdèmes, et les migraines, il existe d’autres complications qui peuvent se présenter :
Complications peuvent être mineures et facilement traitées par médicaments, ou sont sans risque pour la mère et le bébé
Ou des complications plus importantes :
3) Les grossesses à risques
Surveillance plus étroite et particulière.
a) Les facteurs de la grossesse à risques :
• L’âge de la femme enceinte
- Si future mère a moins de 18 ans, certains risques sont + importants que chez une femme plus âgée :
risque de toxémie gravidique (convulsions accompagnées d’une hypertension) est multiplie par 3,
risque de l'accouchement prématuré par 2,
risque de moralité périnatale par 2,
risque d'avoir un enfant trisomique est augmenté.
- Quand la femme a + de 38 ans :
Hypertension et maladies rénales qui peuvent avoir un retard dans le développement de l'enfant.
Taux de césarienne plus élevé
Risque de fausse couche très élevé.
Risque le plus grave reste la trisomie 21.
Amniocentèse est presque systématiquement pratiquée pour dépister toute anomalie de cet ordre.
•Le nombre de grossesses précédentes
A partir du 4ème enfant : risque d’accouchement difficile augmente car utérus se contacte moins bien
Hémorragies plus fréquentes.
Femme qui attend son 4ème ou 5ème enfant surveille moins sa grossesse
•Les grossesses multiples : Particulièrement surveillées
En début de grossesse, les probabilités d'avortement spontané sont assez grands.
Accouchement prématuré est à craindre
L'hospitalisation est nécessaire dans ce cas.
•Les maladies de la future mère
Peuvent entrainer souffrance fœtale, malformations, avortement ou accouchement prématuré.
Les maladies incriminées sont
L’alcoolisme, anémie, diabète, hépatite virale, herpès, hypertension artérielle, incompatibilité rhésus, infection urinaire, listériose, rubéole, Sida.
Surveillance toute particulière pendant toute la durée de leur grossesse.
•Problèmes de constitution de la mère
Anomalies du bassin : trop petit, malformé de naissance ou encore déformé à la suite d'un accident.
Utérus trop petit avec un ou plusieurs kystes ou encore d'utérus rétroversé.
b) Les risques d'avoir un enfant anormal
Cf a) et :
Risques augmentés quand :
- maladie héréditaire dans l'une ou l'autre des familles.
- Si problèmes lors d'une grossesse précédente.
- Plus la future maman est âgée et plus il y a de risques d'aberrations chromosomiques.
- Les mariages consanguins
Pour prévenir les anomalies : le diagnostic prénatal diminue largement le risque de mettre au monde un enfant handicapé : 97 % des grossesses aboutissent à la naissance d'un bébé en bonne santé.
En cas d'anomalie grave, une interruption de grossesse peut être envisagée.
4) Les types de problèmes de naissance
1 enfant sur 33 souffre d’une maladie congénitale à la naissance.
Une maladie congénitale = déficience physique ou mentale causée par une anormalité présente à la naissance de l’enfant.
→Les plus répandues st :
- la fente labiale (ou bec de lièvre) qui touche 1 enfant sur 1000
- le syndrome de Down ou trisomie 21 : en moyenne 1 sur 1000 : (varie selon âge de la mère).
→Autres maladies congénitales communes :
- la « transposition des gros vaisseaux » (TGV) qui est une malformation cardiaque,
- la spina bifida
→ Causes de ces maladies congénitales : multifactorielles comme la génétique ou l’environnement.
Plusieurs substances dans l’environnement : l’alcool, les infections, les drogues et les médicaments.
Dans environ 70% des cas, les causes de la maladie congénitale resteront inconnues.
5) Autres problèmes et cas particuliers :
•La grossesse extra utérine nécessite une surveillance particulière.
Grossesse extra utérine ou grossesse tubaire : complication anormale qui arrive quand l’ovule fécondé s’implante en dehors de l’utérus, le + souvent dans les trompes de Fallope.
→ grossesse non viable (il n y aura pas de développement embryonnaire).
→Si fausses couches auparavant, il faut faire une échographie au début de la grossesse.
→Symptômes ressentis pendant les six premières semaines de grossesse. S’ils sont détectés à temps, la femme peut être guérie et le bébé sauvé grâce à des médicaments ou une opération chirurgicale.
→Les Causes :
- les pilules progestatives microdosées qui diminuent la mobilité de la trompe
- le tabac
- les séquelles d'infections des trompes (salpingite)
- les antécédents de microchirurgie des trompes ou de grossesse extra-utérine.
- le stérilet empêche les grossesses intra-utérines de s'implanter dans la cavité, mais n'empêche pas une grossesse extra-utérine de se développer.
•LE DENI DE GROSSESSE
→ Définition et chiffres
•Définition : Être enceinte, sans avoir les symptômes d’une grossesse, pas de ventre rond, pas de nausées, pas de maux de ventre, pas de fatigue. Ne pas être consciente de sa grossesse.
- Il n’est pas reconnu comme une vraie pathologie.
- Le déni est partiel si la grossesse est découverte pendant la grossesse et total ou absolu s’il se poursuit jusqu’à l’accouchement
- Au sens de Freud = mode de défense permettant au sujet de refuser de reconnaître une réalité considérée comme traumatisante.
• Chiffres :
1 à 3 cas pour 1 000 naissances en France = entre 600 à 2 000 dénis de grossesses par an, mais chiffres assez incertains.
→Dans les cas observés :
- Les signes habituels de la grossesse ne se manifestent pas
- Les règles continuent parfois avec la prise de la pilule ou des saignements sont pris comme tels.
- La prise de poids est faible : de l’ordre de 4 à 5kg.
La future mère a pris peu de ventre et la prise de poids se concentre sur d’autres parties du corps. Chez les femmes rondes, on n’observe parfois aucun changement de taille. - Le fœtus se loge contre la colonne vertébrale de la femme, le ventre ne gonfle donc pas.
- Le fœtus bouge peu et se développe comme en secret
→Le rôle de l’entourage
Du fait de l’absence de signes de grossesses, l’entourage passe à côté de la grossesse.
Le compagnon ou le mari, les parents, les amis, même l’entourage très proche ne se rend compte de rien.
→Les révélateurs
Des douleurs au ventre, au dos poussent souvent la personne à consulter.
Parfois, la femme pense à une colite néphrétique, une infection urinaire, une gastro-entérite, voire une appendicite. La patiente découvre sa maternité quand elle commence à perdre les eaux ou est confrontée à des contractions ou à des saignements.
→Un profil-type ?
• Pas vraiment selon une étude réalisée auprès de deux maternités du Nord-Pas-de-Calais auprès de 2550 femmes, a observé 56 cas de dénis de grossesse.
- 50% étaient un déni partiel
- 50% étaient un déni total
- Dans près de la moitié des cas, la patiente était déjà mère d’un ou deux enfants.
- Tous les milieux sociaux étaient concernés.
• Autre étude réalisée au CHU de Poitiers (en 1993) sur 9815 accouchements dont 18 dénis massifs, les femmes les plus exposées étaient :
Jeunes : âge moyen de 22, 9 ans
Primipares (67,8%)
Célibataires (69,7%)
Etudiantes (21,5%) ou sans profession (41%)
Vivant chez leurs parents (51,8%)
En couple (28,6%)
→Les causes du déni de grossesse
- Une stérilité supposée
- Des grossesses très rapprochées
- Le contexte familial, notamment pour les adolescentes
- L’enfant d’une liaison extraconjugale
- Un bébé non désiré
- Le souhait d’une grossesse non médicalisée
- Une grossesse résultant d’une agression sexuelle.
En réalité, on ne peut vraiment généraliser, chaque déni de grossesse à sa propre histoire.
→ Conséquences dont Le risque d’infanticide
• Conséquences psychologiques pour les mères très lourdes (culpabilité sur le fait de ne pas avoir vu leur grossesse, crises de paniques, déboussolées).
• Certaines mères ne se sentent pas d’assumer leur rôle de mère car elles n’y ont pas été préparées :
- Quand le déni est total, l’accouchement s’accompagne d’un état de sidération : choc psychologique très important, surtout quand la patiente n’a pas recours à son entourage.
- travail très souvent rapide et perçu comme un besoin d’aller à la selle : bébés naissent souvent dans les toilettes…
• Mort du nourrisson accidentelle (manque de soins, pas assez d’information sur nouveaux nés)
• Rarement infanticide = concernerait moins de 10% des dénis de grossesse.
• La mère se met fortement en danger avec les risques d’hémorragies consécutifs à l’accouchement.
• Dans certains cas, la mère croit sont enfant mort-né et s’en débarrasse alors qu’il est encore vivant = Double drame : la mère réalise brutalement qu’elle était enceinte sans le savoir mais de + que son bébé est mort : problème de justice : cette femme est souvent jetée en prison…
→ Législation, solutions :
- Loi de 1994, l’homicide de mineur de 15 ans est passible de la perpétuité. Des femmes ont été condamnées à plusieurs années de prison pour un déni de grossesse avec décès du nouveau né.
Solutions :
- L’Association Française pour la Reconnaissance du Déni de Grossesse (AFRDG) dénonce un traitement inadapté de la justice qui ne croit pas à l’irresponsabilité de ces femmes punit comme des meurtrières d’enfant.
L’AFRDG se bat pour que le déni de grossesse soit reconnu comme une pathologie, et essaye de faire changer les mentalités sur ce sujet mal connu et perçu.
- Aide médicale et psychologique à l’accouchement.
- Soutient de la famille, favorise l’acceptation.
II) ALLAITEMENT
•Chiffres :
Chiffres pour 2006 et 2007, on constate une hausse régulière : 64 % d'allaitement à la naissance en 2004, 65,9 % en 2006 et 66,3 % en 2007.
Ces chiffres cachent des disparités importantes : de 90 % d'allaitement en Guyane et en Guadeloupe, et 78 % à 86 % en Ile-de-France, à 43 % dans le Pas-de-Calais…
Causes des disparités : les différences culturelles (l'allaitement est la norme ou pas dans leur entourage), sociales (on allaite + dans les grandes villes et dans les CSP les plus diplômées), peut-être historiques (départements ruraux, où traditionnellement les mères allaitaient peu).
•Recommandations de l’OMS
→ Dans le monde : moins de 40% des nourrissons de moins de 6 mois sont allaités exclusivement au sein. Si les mères et les familles encouragées à allaiter au sein= de nombreuses vies pourraient être sauvées.
→ L’OMS recommande l’allaitement au sein exclusif pendant les six premiers mois de vie.
De 6 mois à 2 ans, voire plus, l’allaitement doit être complété par une autre alimentation. En outre:
- l’allaitement au sein doit commencer dans l’heure suivant la naissance;
- l’enfant doit être allaité «à la demande», aussi souvent qu’il le désire, nuit et jour;
- les biberons ou les tétines sont à éviter.
•Avantages pour les mères
Lorsqu’il est exclusif,
- il entraîne souvent un arrêt des règles= une méthode naturelle (pas infaillible) de contrôle des naissances (98% de protection au cours des 6 mois suivant l’accouchement).
- Atténue le risque de cancer du sein et de l’ovaire à un âge plus avancé
- Aide les femmes à retrouver plus vite leur poids d’avant la grossesse
•Avantages à long terme pour les enfants
Aide à rester en bonne santé tout au long de la vie :
Souvent les pers allaitées au sein ont souvent une tension artérielle et une cholestérolémie plus basses et souffrent plus rarement de surpoids, d’obésité ou de diabète de type 2.
•Bienfaits pour la santé des nourrissons
-apporte tous les nutriments nécessaires à leur développement
- contient des anticorps qui les protègent de maladies courantes telles que la diarrhée et la pneumonie : les 2 1ères causes de mortalité de l’enfant dans le monde.
- lait maternel disponible de suite donc nourrissons allaités reçoivent une alimentation suffisante.
•VIH/sida et allaitement maternel
Allaitement maternel + traitement antirétroviral = amélioration des chances pour l’enfant de ne pas être infecté par le VIH.
•Les mères ont absolument besoin de soutien
- les femmes rencontrent des difficultés au début. (mal aux mamelons, peur de pas avoir assez de lait)
- Certains établissements de santé mettent à disposition des conseillers qualifiés. Grâce à OMS et UNICEF, il existe aujourd’hui, plus de 20 000 établissements «amis des bébés», dans 152 pays.
•Allaitement et activité professionnelle
Souvent retour au travail = arrêt de l’allaitement avant les 6 mois car pas d’assez de temps ou d’endroits adéquats pour allaiter ou tirer et conserver le lait au travail.
Conditions propices au travail peuvent les aider : par ex, congé maternité rémunéré, travail à temps partiel, crèches sur le lieu de travail, des locaux pour tirer et conserver le lait, pauses pour allaiter
•Introduction de nouveaux aliments
Lorsque l’enfant atteint l’âge de six mois il faut introduire de nouveaux aliments. L’OMS préconise:
- de ne pas diminuer le nombre de tétées,
- de donner les aliments à la cuillère ou dans une tasse, pas au biberon;
- de laisser suffisamment de temps aux enfants pour apprendre à manger des aliments solides.
III) LES NAISSANCES PREMATUREES
Définitions :
Parfois le bébé nait avant les 41 semaines d’aménorrhée, notamment en cas de grossesse à risque
Si le bébé nait entre 37ème et 41ème semaine d’aménorrhée, il sera considéré comme « né à terme ».
S’il naît avant 37 semaines d’aménorrhée, il sera considéré comme « prématuré »= « né trop tôt ».
On distingue 3 niveaux différents :
- la prématurité moyenne pour les bébés nés entre la 33ème semaine et la 37ème semaine d’aménorrhée - la grande prématurité pour les bébés nés entre la 28ème et la 32ème semaine d’aménorrhée (incluse) ;
- l’extrême prématurité pour les bébés nés avant la 28ème semaine d’aménorrhée
Les chiffres :
- en Europe : 500 000 naissances prématurées par an (soit environ 7 % des naissances)
- en France, sur + de 800000 naissances par an (830 000 en 2010) : 6 et 8 % sont prématurées
- en France grands prématurés = environ 1,6 % des naissances
De plus en plus de naissances prématurées chaque année car :
- augmentation de l’âge moyen des femmes enceintes
- évolution des modes de vie
- recours à la PMA donc naissance de jumeaux de triplés
Chances de survie des bébés prématurés augmentent en même temps que le nombre de prématurés
IV) l’Accouchement sous X :
1) -Définition:
Cette procédure permet à toute future mère de mettre son enfant au monde et de le proposer à l'adoption sans obligation de dévoiler son identité. L'accouchement sous X prive à jamais l'enfant de toute possibilité de retrouver ses origines quand sa mère n'a pas jugé utile de laisser des informations.
2) But :
‐Limiter le nombre d'infanticide (En France: entre 60 et 80 /an.)
‐ Permettre à la mère et l'enfant une bonne condition de naissance.
• La procédure à la maternité:
- Femme qui doit se présenter à la maternité (public, privé, conventionné ou non)
- Pas d’obligation de divulguer son identité. Elle doit avertir l'équipe médicale de son souhait. Alors aucune pièce d'identité ne peut lui être demandée, ni aucune enquête menée.
- Mais dispositions en cas d'accident: identité de la future mère et nom d'une personne à prévenir en cas d’urgences sont remis à l'administration sous enveloppe cachetée rendue à la femme à son départ.
- Femme informée des conséquences juridiques de l'abandon de l'enfant et de l'importance pour celui‐ci qu'ont les informations sur son histoire et sur son origine.
- Si la mère le souhaite, elle peut mettre sous enveloppe cachetée (gardée ensuite par l'administration) toutes les informations qu'elle désire transmettre à l'enfant au cas où celui‐ci, devenu adulte, désirerait connaître son identité biologique (photo, lettre...). La mère est invitée à laisser des renseignements sur ; sa santé et celle du père ; les circonstances de la naissance de l'enfant ; les origines de l'enfant ; identité de la mère si elle le veut
- Si accouchement secret, déclaration de naissance faite par le personnel hospitalier (son identité n’apparaît pas dans l’acte de naissance). Aucune mention ne sera faite sur les registres d'Etat Civil concernant la mère, ni le père. Les rubriques concernant les parents ne sont simplement pas remplies.
- Si la mère n'a pas voulu s'exprimer au moment de la naissance, elle pourra toujours le faire à tout moment. De même, la mère qui n'a pas demandé le secret lors de son admission peut le demander dans les 3 jours qui suivent l'accouchement.
- 3 prénoms attribués à l'enfant, le troisième faisant office de patronyme jusqu'à une adoption éventuelle. Ces prénoms seront choisis par la mère si elle le désire, sinon par l'officier d'état civil . Tout prénom inscrit dans l'acte de naissance peut être choisi comme prénom usuel.
• Le délai de réflexion:
- L'abandon initial de l'enfant demeure provisoire pendant 2 mois après l'accouchement, délai accordé à la mère pour revenir sur sa décision et reconnaître l'enfant même si elle a déjà signé l'acte de remise de son enfant.
-Le père a les mêmes droits, dans la mesure où il connaît l'identité sous laquelle l'enfant a été déclaré
- Durant cette période, l'enfant n'est pas adoptable. 8 semaines passées, l'enfant est admis comme pupille de l'Etat et peut alors être proposé à l'adoption.
- La femme a le choix de confier l'enfant à l'Aide Sociale à l'Enfance (ASE)ou à une association d'adoption agréée par l'Etat avec qui des contacts peuvent avoir été établis avant l'accouchement soit par la femme, soit par le professionnel accompagnant, à la demande de la femme.
- La loi prévoit la prise en charge, par le service de l’ASE du département siège de l'établissement, des frais d'hébergement et d'accouchement pour les femmes qui confient leurs enfants en vue d'adoption sans demander le secret de leur identité. De même, pour celles qui ont demandé le secret.
3) La loi :
La loi dite " loi Royal" du 22 janvier 2002, a créé le Conseil National pour l'Accès aux Origines Personnelles (CNAOP).
=> Les mères sont invitées à remettre au CNAOP une déclaration concernant l'histoire ou l'identité de l'enfant qui pourra être ultérieurement consultée par l'enfant. Le CNAOP peut également recueillir des informations déposées par des descendants ou ascendants proches ou collatéraux.
=>Il peut recueillir des informations sur la santé de l'enfant sans qu'il soit fait allusion
=> peut informer la mère qui voudrait savoir si son enfant a engagé des recherches pour la retrouver.
Renseignements collectés par l'organisme seront divulgués seulement sur demande de l'enfant né dans le secret et avec l'autorisation expresse de la mère ou du père.
Si le parent de naissance identifié est décédé: le CNAOP peut communiquer son identité à l'enfant ou entrer en relation avec des proches. Après le décès des parents de naissance, un enfant qui en fait la demande pourra accéder à l'histoire de ses origines ou entrer en relation avec des proches, sous réserve que ses parents de naissance ne s'y soient pas opposés formellement de leur vivant.
4) Chiffres:
‐500 enfants environ naissent sous X chaque année en France
‐400 000 personnes ne connaissent pas leurs origines.
‐ Le rôle du CNAOP est matériellement limité : en 2004, sur 394 femmes ayant choisi l’accouchement sous X, 40 % ont refusé de laisser leur nom
Enquête menée en 1999 par le service du droit des femmes auprès de 47 maternités en Ile‐de‐ France:
‐ Les deux tiers ont moins de 25 ans ;
‐ La moitié est sans profession, sans autonomie et sans ressources propres ;
‐ 1 sur 4 vit chez ses parents : le recours à l’accouchement sous X semble commandé par la crainte de la réaction parentale lorsque la grossesse n’est pas découverte, par la pression parentale lorsqu’elle l’est
‐ Env. 10 % séparées ou divorcées, plus de 35 ans avec enfants à charge, en grandes difficultés économiques.
5)Actualité : L'anonymat remis en cause
=>Dans une ordonnance rendue le 9 octobre 2012, le juge des référés du tribunal d'Angers a accordé aux parents d'une jeune fille qui avait accouché sous X le droit de prouver leur lien de filiation avec l'enfant grâce à une expertise de sang. Se pose alors la question d'une éventuelle adoption. Dans cette dernière affaire, si les expertises de sang établissent le lien de sang entre l'enfant né sous X et ses grands‐parents présumés, ces derniers pourront‐ils adopter l'enfant ?
V) Accouchement à domicile:
Nombre de naissances : 830 000 en 2010 et 821 000 en 2009, baisse par rapport à 2008(-0,9%).
La France = en tête des pays européens en termes de fécondité, avec l'Irlande et le Royaume-Uni, avec un taux de fécondité de 2 en 2010.
Aujourd’hui, 1 % à 2 % des femmes françaises font le choix d’Accouchement à Domicile.
1) Motifs de ce choix:
=> Accoucher est un évènement physiologique, il est sans complication dans la majorité des cas.
=> Insatisfaction sur le suivi de grossesse : hyper technicisation et médicalisation de l’accouchement, systématisation des gestes comme l’épisiotomie, manque d’accompagnement humain, elle est coûteuse. Soins non justifiés = communication insuffisante et manque de respect des patientes
=> Liberté et Sentiment de confort et de sérénité à son domicile
=> L’accueil du bébé en douceur, pas retiré immédiatement à la mère, soins sont visibles et établis sur la mère ou à côté, ne subis pas de procédure choc immédiate (lavage, désobstructions, administration de substances médicamenteuses...)
2) Législation :
==> Aucune législation entourant l’accouchement à la maison
==> L’Association Nationale des Sages‐Femmes Libérales (ANSFL) a établi une charte de l’accouchement à domicile qui énonce les conditions qui le rendent possible ou non :
‐L’A à D est possible qu’entre 37 et 42 semaines d’aménorrhée,
‐ Exclu dans certaines situations : présentation du bébé par le siège, de grossesse gémellaire, antécédent de césarienne.
- Pas de recours possible à une anesthésie péridurale.
==> Inscription dans une maternité proche préconisée par l’ANSFL en cas de transfert voulu
==>En France, compagnies d’assurance ne couvrent pas les sages‐femmes pour ces actes.
Pour s’assurer, celles‐ci doivent s’engager sur leurs biens personnels. Seule une 30 aine de ces professionnelles acceptaient encore de pratiquer des accouchements à domicile.
3) Solutions apportées :
=> meilleure écoute des patientes dans certaines maternités qui développent nouvelles obstétricales (mobilisation et multiplicité des positions d’accouchement) et qui s’intéressent à l’allaitement maternel et à l’accueil des nouveau‐nés.
=> Accepter accouchements à domicile et autoriser création de maisons et centres de naissance (confiés aux sages‐femmes, dont le métier = suivre les grossesses physiologiques) pour se réapproprier la naissance de son enfant, être respectés en tant que parents :
‐ Implication du père (matérielle et émotionnelle), dans l'accouchement et dans sa préparation
‐ Naissance non‐violente pour l'enfant (lumière tamisée, cordon coupé lorsqu'il ne bat plus, mise au sein à la demande selon les besoins de l'enfant)
=> suivi post‐partum à domicile en famille favorisant le repos, le bien‐être des autres enfants
On remarque plus faible occurrence de la dépression post‐natale.
4) Concernant les maisons de naissance :
A l'heure actuelle, il n'existe aucun texte de loi relatif aux maisons de naissance. Ce concept n'est officiellement pas reconnu, d'où la difficulté pour les sages‐femmes et les associations intéressées de se faire entendre. Le corps médical est encore trop souvent hostile à l'alternative que représente la maison de naissance, et le soutien des obstétriciens ‐ qui devraient pouvoir être considérés comme partenaires nécessaires ‐ est quasi inexistant.
Elles existent depuis 1975 aux USA et au Canada.
Voilà c'est assez complet mais ça traite de pas mal de sujet qui sont déjà tombés dans les concours genre le déni de grossesse c'est tombé à L'AP-HP marseille en 2012!!!
je file faire la L11 pour éviter de penser....
louloute
L10 : Grossesses (les différents types), allaitement, prématurés
I) La Grossesse
1) La durée de la grossesse est calculée de deux façons
• En semaines d’aménorrhées, c’est-à-dire en semaines sans règles, comptée à partir du premier jour des dernières règles constatées.
• En semaines de grossesse réelle : débute au commencement de la 3ème semaine d’aménorrhée, à la fécondation. Les semaines de grossesse correspondent à l’âge réel du bébé.
C’est le a) qui est retenu comme traité international pour toutes les données de la grossesse.
- La date de l’accouchement peut varier de deux semaines dans un sens ou dans l'autre.
L’accouchement se situant normalement à 40 semaines : 25% des femmes accouchent à 38 ou 39 semaines alors que 30% n'accouchent qu'à la 42ème.
2) Symptômes habituels : la nausée, les brûlures d’estomac, les œdèmes, et les migraines, il existe d’autres complications qui peuvent se présenter :
Complications peuvent être mineures et facilement traitées par médicaments, ou sont sans risque pour la mère et le bébé
Ou des complications plus importantes :
3) Les grossesses à risques
Surveillance plus étroite et particulière.
a) Les facteurs de la grossesse à risques :
• L’âge de la femme enceinte
- Si future mère a moins de 18 ans, certains risques sont + importants que chez une femme plus âgée :
risque de toxémie gravidique (convulsions accompagnées d’une hypertension) est multiplie par 3,
risque de l'accouchement prématuré par 2,
risque de moralité périnatale par 2,
risque d'avoir un enfant trisomique est augmenté.
- Quand la femme a + de 38 ans :
Hypertension et maladies rénales qui peuvent avoir un retard dans le développement de l'enfant.
Taux de césarienne plus élevé
Risque de fausse couche très élevé.
Risque le plus grave reste la trisomie 21.
Amniocentèse est presque systématiquement pratiquée pour dépister toute anomalie de cet ordre.
•Le nombre de grossesses précédentes
A partir du 4ème enfant : risque d’accouchement difficile augmente car utérus se contacte moins bien
Hémorragies plus fréquentes.
Femme qui attend son 4ème ou 5ème enfant surveille moins sa grossesse
•Les grossesses multiples : Particulièrement surveillées
En début de grossesse, les probabilités d'avortement spontané sont assez grands.
Accouchement prématuré est à craindre
L'hospitalisation est nécessaire dans ce cas.
•Les maladies de la future mère
Peuvent entrainer souffrance fœtale, malformations, avortement ou accouchement prématuré.
Les maladies incriminées sont
L’alcoolisme, anémie, diabète, hépatite virale, herpès, hypertension artérielle, incompatibilité rhésus, infection urinaire, listériose, rubéole, Sida.
Surveillance toute particulière pendant toute la durée de leur grossesse.
•Problèmes de constitution de la mère
Anomalies du bassin : trop petit, malformé de naissance ou encore déformé à la suite d'un accident.
Utérus trop petit avec un ou plusieurs kystes ou encore d'utérus rétroversé.
b) Les risques d'avoir un enfant anormal
Cf a) et :
Risques augmentés quand :
- maladie héréditaire dans l'une ou l'autre des familles.
- Si problèmes lors d'une grossesse précédente.
- Plus la future maman est âgée et plus il y a de risques d'aberrations chromosomiques.
- Les mariages consanguins
Pour prévenir les anomalies : le diagnostic prénatal diminue largement le risque de mettre au monde un enfant handicapé : 97 % des grossesses aboutissent à la naissance d'un bébé en bonne santé.
En cas d'anomalie grave, une interruption de grossesse peut être envisagée.
4) Les types de problèmes de naissance
1 enfant sur 33 souffre d’une maladie congénitale à la naissance.
Une maladie congénitale = déficience physique ou mentale causée par une anormalité présente à la naissance de l’enfant.
→Les plus répandues st :
- la fente labiale (ou bec de lièvre) qui touche 1 enfant sur 1000
- le syndrome de Down ou trisomie 21 : en moyenne 1 sur 1000 : (varie selon âge de la mère).
→Autres maladies congénitales communes :
- la « transposition des gros vaisseaux » (TGV) qui est une malformation cardiaque,
- la spina bifida
→ Causes de ces maladies congénitales : multifactorielles comme la génétique ou l’environnement.
Plusieurs substances dans l’environnement : l’alcool, les infections, les drogues et les médicaments.
Dans environ 70% des cas, les causes de la maladie congénitale resteront inconnues.
5) Autres problèmes et cas particuliers :
•La grossesse extra utérine nécessite une surveillance particulière.
Grossesse extra utérine ou grossesse tubaire : complication anormale qui arrive quand l’ovule fécondé s’implante en dehors de l’utérus, le + souvent dans les trompes de Fallope.
→ grossesse non viable (il n y aura pas de développement embryonnaire).
→Si fausses couches auparavant, il faut faire une échographie au début de la grossesse.
→Symptômes ressentis pendant les six premières semaines de grossesse. S’ils sont détectés à temps, la femme peut être guérie et le bébé sauvé grâce à des médicaments ou une opération chirurgicale.
→Les Causes :
- les pilules progestatives microdosées qui diminuent la mobilité de la trompe
- le tabac
- les séquelles d'infections des trompes (salpingite)
- les antécédents de microchirurgie des trompes ou de grossesse extra-utérine.
- le stérilet empêche les grossesses intra-utérines de s'implanter dans la cavité, mais n'empêche pas une grossesse extra-utérine de se développer.
•LE DENI DE GROSSESSE
→ Définition et chiffres
•Définition : Être enceinte, sans avoir les symptômes d’une grossesse, pas de ventre rond, pas de nausées, pas de maux de ventre, pas de fatigue. Ne pas être consciente de sa grossesse.
- Il n’est pas reconnu comme une vraie pathologie.
- Le déni est partiel si la grossesse est découverte pendant la grossesse et total ou absolu s’il se poursuit jusqu’à l’accouchement
- Au sens de Freud = mode de défense permettant au sujet de refuser de reconnaître une réalité considérée comme traumatisante.
• Chiffres :
1 à 3 cas pour 1 000 naissances en France = entre 600 à 2 000 dénis de grossesses par an, mais chiffres assez incertains.
→Dans les cas observés :
- Les signes habituels de la grossesse ne se manifestent pas
- Les règles continuent parfois avec la prise de la pilule ou des saignements sont pris comme tels.
- La prise de poids est faible : de l’ordre de 4 à 5kg.
La future mère a pris peu de ventre et la prise de poids se concentre sur d’autres parties du corps. Chez les femmes rondes, on n’observe parfois aucun changement de taille. - Le fœtus se loge contre la colonne vertébrale de la femme, le ventre ne gonfle donc pas.
- Le fœtus bouge peu et se développe comme en secret
→Le rôle de l’entourage
Du fait de l’absence de signes de grossesses, l’entourage passe à côté de la grossesse.
Le compagnon ou le mari, les parents, les amis, même l’entourage très proche ne se rend compte de rien.
→Les révélateurs
Des douleurs au ventre, au dos poussent souvent la personne à consulter.
Parfois, la femme pense à une colite néphrétique, une infection urinaire, une gastro-entérite, voire une appendicite. La patiente découvre sa maternité quand elle commence à perdre les eaux ou est confrontée à des contractions ou à des saignements.
→Un profil-type ?
• Pas vraiment selon une étude réalisée auprès de deux maternités du Nord-Pas-de-Calais auprès de 2550 femmes, a observé 56 cas de dénis de grossesse.
- 50% étaient un déni partiel
- 50% étaient un déni total
- Dans près de la moitié des cas, la patiente était déjà mère d’un ou deux enfants.
- Tous les milieux sociaux étaient concernés.
• Autre étude réalisée au CHU de Poitiers (en 1993) sur 9815 accouchements dont 18 dénis massifs, les femmes les plus exposées étaient :
Jeunes : âge moyen de 22, 9 ans
Primipares (67,8%)
Célibataires (69,7%)
Etudiantes (21,5%) ou sans profession (41%)
Vivant chez leurs parents (51,8%)
En couple (28,6%)
→Les causes du déni de grossesse
- Une stérilité supposée
- Des grossesses très rapprochées
- Le contexte familial, notamment pour les adolescentes
- L’enfant d’une liaison extraconjugale
- Un bébé non désiré
- Le souhait d’une grossesse non médicalisée
- Une grossesse résultant d’une agression sexuelle.
En réalité, on ne peut vraiment généraliser, chaque déni de grossesse à sa propre histoire.
→ Conséquences dont Le risque d’infanticide
• Conséquences psychologiques pour les mères très lourdes (culpabilité sur le fait de ne pas avoir vu leur grossesse, crises de paniques, déboussolées).
• Certaines mères ne se sentent pas d’assumer leur rôle de mère car elles n’y ont pas été préparées :
- Quand le déni est total, l’accouchement s’accompagne d’un état de sidération : choc psychologique très important, surtout quand la patiente n’a pas recours à son entourage.
- travail très souvent rapide et perçu comme un besoin d’aller à la selle : bébés naissent souvent dans les toilettes…
• Mort du nourrisson accidentelle (manque de soins, pas assez d’information sur nouveaux nés)
• Rarement infanticide = concernerait moins de 10% des dénis de grossesse.
• La mère se met fortement en danger avec les risques d’hémorragies consécutifs à l’accouchement.
• Dans certains cas, la mère croit sont enfant mort-né et s’en débarrasse alors qu’il est encore vivant = Double drame : la mère réalise brutalement qu’elle était enceinte sans le savoir mais de + que son bébé est mort : problème de justice : cette femme est souvent jetée en prison…
→ Législation, solutions :
- Loi de 1994, l’homicide de mineur de 15 ans est passible de la perpétuité. Des femmes ont été condamnées à plusieurs années de prison pour un déni de grossesse avec décès du nouveau né.
Solutions :
- L’Association Française pour la Reconnaissance du Déni de Grossesse (AFRDG) dénonce un traitement inadapté de la justice qui ne croit pas à l’irresponsabilité de ces femmes punit comme des meurtrières d’enfant.
L’AFRDG se bat pour que le déni de grossesse soit reconnu comme une pathologie, et essaye de faire changer les mentalités sur ce sujet mal connu et perçu.
- Aide médicale et psychologique à l’accouchement.
- Soutient de la famille, favorise l’acceptation.
II) ALLAITEMENT
•Chiffres :
Chiffres pour 2006 et 2007, on constate une hausse régulière : 64 % d'allaitement à la naissance en 2004, 65,9 % en 2006 et 66,3 % en 2007.
Ces chiffres cachent des disparités importantes : de 90 % d'allaitement en Guyane et en Guadeloupe, et 78 % à 86 % en Ile-de-France, à 43 % dans le Pas-de-Calais…
Causes des disparités : les différences culturelles (l'allaitement est la norme ou pas dans leur entourage), sociales (on allaite + dans les grandes villes et dans les CSP les plus diplômées), peut-être historiques (départements ruraux, où traditionnellement les mères allaitaient peu).
•Recommandations de l’OMS
→ Dans le monde : moins de 40% des nourrissons de moins de 6 mois sont allaités exclusivement au sein. Si les mères et les familles encouragées à allaiter au sein= de nombreuses vies pourraient être sauvées.
→ L’OMS recommande l’allaitement au sein exclusif pendant les six premiers mois de vie.
De 6 mois à 2 ans, voire plus, l’allaitement doit être complété par une autre alimentation. En outre:
- l’allaitement au sein doit commencer dans l’heure suivant la naissance;
- l’enfant doit être allaité «à la demande», aussi souvent qu’il le désire, nuit et jour;
- les biberons ou les tétines sont à éviter.
•Avantages pour les mères
Lorsqu’il est exclusif,
- il entraîne souvent un arrêt des règles= une méthode naturelle (pas infaillible) de contrôle des naissances (98% de protection au cours des 6 mois suivant l’accouchement).
- Atténue le risque de cancer du sein et de l’ovaire à un âge plus avancé
- Aide les femmes à retrouver plus vite leur poids d’avant la grossesse
•Avantages à long terme pour les enfants
Aide à rester en bonne santé tout au long de la vie :
Souvent les pers allaitées au sein ont souvent une tension artérielle et une cholestérolémie plus basses et souffrent plus rarement de surpoids, d’obésité ou de diabète de type 2.
•Bienfaits pour la santé des nourrissons
-apporte tous les nutriments nécessaires à leur développement
- contient des anticorps qui les protègent de maladies courantes telles que la diarrhée et la pneumonie : les 2 1ères causes de mortalité de l’enfant dans le monde.
- lait maternel disponible de suite donc nourrissons allaités reçoivent une alimentation suffisante.
•VIH/sida et allaitement maternel
Allaitement maternel + traitement antirétroviral = amélioration des chances pour l’enfant de ne pas être infecté par le VIH.
•Les mères ont absolument besoin de soutien
- les femmes rencontrent des difficultés au début. (mal aux mamelons, peur de pas avoir assez de lait)
- Certains établissements de santé mettent à disposition des conseillers qualifiés. Grâce à OMS et UNICEF, il existe aujourd’hui, plus de 20 000 établissements «amis des bébés», dans 152 pays.
•Allaitement et activité professionnelle
Souvent retour au travail = arrêt de l’allaitement avant les 6 mois car pas d’assez de temps ou d’endroits adéquats pour allaiter ou tirer et conserver le lait au travail.
Conditions propices au travail peuvent les aider : par ex, congé maternité rémunéré, travail à temps partiel, crèches sur le lieu de travail, des locaux pour tirer et conserver le lait, pauses pour allaiter
•Introduction de nouveaux aliments
Lorsque l’enfant atteint l’âge de six mois il faut introduire de nouveaux aliments. L’OMS préconise:
- de ne pas diminuer le nombre de tétées,
- de donner les aliments à la cuillère ou dans une tasse, pas au biberon;
- de laisser suffisamment de temps aux enfants pour apprendre à manger des aliments solides.
III) LES NAISSANCES PREMATUREES
Définitions :
Parfois le bébé nait avant les 41 semaines d’aménorrhée, notamment en cas de grossesse à risque
Si le bébé nait entre 37ème et 41ème semaine d’aménorrhée, il sera considéré comme « né à terme ».
S’il naît avant 37 semaines d’aménorrhée, il sera considéré comme « prématuré »= « né trop tôt ».
On distingue 3 niveaux différents :
- la prématurité moyenne pour les bébés nés entre la 33ème semaine et la 37ème semaine d’aménorrhée - la grande prématurité pour les bébés nés entre la 28ème et la 32ème semaine d’aménorrhée (incluse) ;
- l’extrême prématurité pour les bébés nés avant la 28ème semaine d’aménorrhée
Les chiffres :
- en Europe : 500 000 naissances prématurées par an (soit environ 7 % des naissances)
- en France, sur + de 800000 naissances par an (830 000 en 2010) : 6 et 8 % sont prématurées
- en France grands prématurés = environ 1,6 % des naissances
De plus en plus de naissances prématurées chaque année car :
- augmentation de l’âge moyen des femmes enceintes
- évolution des modes de vie
- recours à la PMA donc naissance de jumeaux de triplés
Chances de survie des bébés prématurés augmentent en même temps que le nombre de prématurés
IV) l’Accouchement sous X :
1) -Définition:
Cette procédure permet à toute future mère de mettre son enfant au monde et de le proposer à l'adoption sans obligation de dévoiler son identité. L'accouchement sous X prive à jamais l'enfant de toute possibilité de retrouver ses origines quand sa mère n'a pas jugé utile de laisser des informations.
2) But :
‐Limiter le nombre d'infanticide (En France: entre 60 et 80 /an.)
‐ Permettre à la mère et l'enfant une bonne condition de naissance.
• La procédure à la maternité:
- Femme qui doit se présenter à la maternité (public, privé, conventionné ou non)
- Pas d’obligation de divulguer son identité. Elle doit avertir l'équipe médicale de son souhait. Alors aucune pièce d'identité ne peut lui être demandée, ni aucune enquête menée.
- Mais dispositions en cas d'accident: identité de la future mère et nom d'une personne à prévenir en cas d’urgences sont remis à l'administration sous enveloppe cachetée rendue à la femme à son départ.
- Femme informée des conséquences juridiques de l'abandon de l'enfant et de l'importance pour celui‐ci qu'ont les informations sur son histoire et sur son origine.
- Si la mère le souhaite, elle peut mettre sous enveloppe cachetée (gardée ensuite par l'administration) toutes les informations qu'elle désire transmettre à l'enfant au cas où celui‐ci, devenu adulte, désirerait connaître son identité biologique (photo, lettre...). La mère est invitée à laisser des renseignements sur ; sa santé et celle du père ; les circonstances de la naissance de l'enfant ; les origines de l'enfant ; identité de la mère si elle le veut
- Si accouchement secret, déclaration de naissance faite par le personnel hospitalier (son identité n’apparaît pas dans l’acte de naissance). Aucune mention ne sera faite sur les registres d'Etat Civil concernant la mère, ni le père. Les rubriques concernant les parents ne sont simplement pas remplies.
- Si la mère n'a pas voulu s'exprimer au moment de la naissance, elle pourra toujours le faire à tout moment. De même, la mère qui n'a pas demandé le secret lors de son admission peut le demander dans les 3 jours qui suivent l'accouchement.
- 3 prénoms attribués à l'enfant, le troisième faisant office de patronyme jusqu'à une adoption éventuelle. Ces prénoms seront choisis par la mère si elle le désire, sinon par l'officier d'état civil . Tout prénom inscrit dans l'acte de naissance peut être choisi comme prénom usuel.
• Le délai de réflexion:
- L'abandon initial de l'enfant demeure provisoire pendant 2 mois après l'accouchement, délai accordé à la mère pour revenir sur sa décision et reconnaître l'enfant même si elle a déjà signé l'acte de remise de son enfant.
-Le père a les mêmes droits, dans la mesure où il connaît l'identité sous laquelle l'enfant a été déclaré
- Durant cette période, l'enfant n'est pas adoptable. 8 semaines passées, l'enfant est admis comme pupille de l'Etat et peut alors être proposé à l'adoption.
- La femme a le choix de confier l'enfant à l'Aide Sociale à l'Enfance (ASE)ou à une association d'adoption agréée par l'Etat avec qui des contacts peuvent avoir été établis avant l'accouchement soit par la femme, soit par le professionnel accompagnant, à la demande de la femme.
- La loi prévoit la prise en charge, par le service de l’ASE du département siège de l'établissement, des frais d'hébergement et d'accouchement pour les femmes qui confient leurs enfants en vue d'adoption sans demander le secret de leur identité. De même, pour celles qui ont demandé le secret.
3) La loi :
La loi dite " loi Royal" du 22 janvier 2002, a créé le Conseil National pour l'Accès aux Origines Personnelles (CNAOP).
=> Les mères sont invitées à remettre au CNAOP une déclaration concernant l'histoire ou l'identité de l'enfant qui pourra être ultérieurement consultée par l'enfant. Le CNAOP peut également recueillir des informations déposées par des descendants ou ascendants proches ou collatéraux.
=>Il peut recueillir des informations sur la santé de l'enfant sans qu'il soit fait allusion
=> peut informer la mère qui voudrait savoir si son enfant a engagé des recherches pour la retrouver.
Renseignements collectés par l'organisme seront divulgués seulement sur demande de l'enfant né dans le secret et avec l'autorisation expresse de la mère ou du père.
Si le parent de naissance identifié est décédé: le CNAOP peut communiquer son identité à l'enfant ou entrer en relation avec des proches. Après le décès des parents de naissance, un enfant qui en fait la demande pourra accéder à l'histoire de ses origines ou entrer en relation avec des proches, sous réserve que ses parents de naissance ne s'y soient pas opposés formellement de leur vivant.
4) Chiffres:
‐500 enfants environ naissent sous X chaque année en France
‐400 000 personnes ne connaissent pas leurs origines.
‐ Le rôle du CNAOP est matériellement limité : en 2004, sur 394 femmes ayant choisi l’accouchement sous X, 40 % ont refusé de laisser leur nom
Enquête menée en 1999 par le service du droit des femmes auprès de 47 maternités en Ile‐de‐ France:
‐ Les deux tiers ont moins de 25 ans ;
‐ La moitié est sans profession, sans autonomie et sans ressources propres ;
‐ 1 sur 4 vit chez ses parents : le recours à l’accouchement sous X semble commandé par la crainte de la réaction parentale lorsque la grossesse n’est pas découverte, par la pression parentale lorsqu’elle l’est
‐ Env. 10 % séparées ou divorcées, plus de 35 ans avec enfants à charge, en grandes difficultés économiques.
5)Actualité : L'anonymat remis en cause
=>Dans une ordonnance rendue le 9 octobre 2012, le juge des référés du tribunal d'Angers a accordé aux parents d'une jeune fille qui avait accouché sous X le droit de prouver leur lien de filiation avec l'enfant grâce à une expertise de sang. Se pose alors la question d'une éventuelle adoption. Dans cette dernière affaire, si les expertises de sang établissent le lien de sang entre l'enfant né sous X et ses grands‐parents présumés, ces derniers pourront‐ils adopter l'enfant ?
V) Accouchement à domicile:
Nombre de naissances : 830 000 en 2010 et 821 000 en 2009, baisse par rapport à 2008(-0,9%).
La France = en tête des pays européens en termes de fécondité, avec l'Irlande et le Royaume-Uni, avec un taux de fécondité de 2 en 2010.
Aujourd’hui, 1 % à 2 % des femmes françaises font le choix d’Accouchement à Domicile.
1) Motifs de ce choix:
=> Accoucher est un évènement physiologique, il est sans complication dans la majorité des cas.
=> Insatisfaction sur le suivi de grossesse : hyper technicisation et médicalisation de l’accouchement, systématisation des gestes comme l’épisiotomie, manque d’accompagnement humain, elle est coûteuse. Soins non justifiés = communication insuffisante et manque de respect des patientes
=> Liberté et Sentiment de confort et de sérénité à son domicile
=> L’accueil du bébé en douceur, pas retiré immédiatement à la mère, soins sont visibles et établis sur la mère ou à côté, ne subis pas de procédure choc immédiate (lavage, désobstructions, administration de substances médicamenteuses...)
2) Législation :
==> Aucune législation entourant l’accouchement à la maison
==> L’Association Nationale des Sages‐Femmes Libérales (ANSFL) a établi une charte de l’accouchement à domicile qui énonce les conditions qui le rendent possible ou non :
‐L’A à D est possible qu’entre 37 et 42 semaines d’aménorrhée,
‐ Exclu dans certaines situations : présentation du bébé par le siège, de grossesse gémellaire, antécédent de césarienne.
- Pas de recours possible à une anesthésie péridurale.
==> Inscription dans une maternité proche préconisée par l’ANSFL en cas de transfert voulu
==>En France, compagnies d’assurance ne couvrent pas les sages‐femmes pour ces actes.
Pour s’assurer, celles‐ci doivent s’engager sur leurs biens personnels. Seule une 30 aine de ces professionnelles acceptaient encore de pratiquer des accouchements à domicile.
3) Solutions apportées :
=> meilleure écoute des patientes dans certaines maternités qui développent nouvelles obstétricales (mobilisation et multiplicité des positions d’accouchement) et qui s’intéressent à l’allaitement maternel et à l’accueil des nouveau‐nés.
=> Accepter accouchements à domicile et autoriser création de maisons et centres de naissance (confiés aux sages‐femmes, dont le métier = suivre les grossesses physiologiques) pour se réapproprier la naissance de son enfant, être respectés en tant que parents :
‐ Implication du père (matérielle et émotionnelle), dans l'accouchement et dans sa préparation
‐ Naissance non‐violente pour l'enfant (lumière tamisée, cordon coupé lorsqu'il ne bat plus, mise au sein à la demande selon les besoins de l'enfant)
=> suivi post‐partum à domicile en famille favorisant le repos, le bien‐être des autres enfants
On remarque plus faible occurrence de la dépression post‐natale.
4) Concernant les maisons de naissance :
A l'heure actuelle, il n'existe aucun texte de loi relatif aux maisons de naissance. Ce concept n'est officiellement pas reconnu, d'où la difficulté pour les sages‐femmes et les associations intéressées de se faire entendre. Le corps médical est encore trop souvent hostile à l'alternative que représente la maison de naissance, et le soutien des obstétriciens ‐ qui devraient pouvoir être considérés comme partenaires nécessaires ‐ est quasi inexistant.
Elles existent depuis 1975 aux USA et au Canada.
Voilà c'est assez complet mais ça traite de pas mal de sujet qui sont déjà tombés dans les concours genre le déni de grossesse c'est tombé à L'AP-HP marseille en 2012!!!
je file faire la L11 pour éviter de penser....

louloute
Re: Question culture G
Si possible connaître l'actualité concernant la santé publique, l'actualité sur la santé, mais surtout maitriser la méthodologie de CG ! Bon courageulyo a écrit :faut-il connaitre tous les sujets d'actualités ou bien maitriser la méthode de culture générale ?

İDE urg
Re: Préparation concours IFSI 2013
Bonsoir,
Je commence a préparer le concours ifsi, pour le mois de mars, j etais en medecine jusqu'a maintenant, mais ca ne m interesse plus..
Je voulais avoir quelques infos, sur des eventuels livres que vous auriez eu besoin, pour préparer vos concours, ainsi que comment vous faites vos fiches de culture gé ? Car je ne suis pas du tout doué pour ca, je n arrive pas a mettre en evidence seulement les choses importantes, et a partir de quoi vous fesiez vos fiches ? (Livres, etc...)
Merci d avance de vos reponses.
Je commence a préparer le concours ifsi, pour le mois de mars, j etais en medecine jusqu'a maintenant, mais ca ne m interesse plus..
Je voulais avoir quelques infos, sur des eventuels livres que vous auriez eu besoin, pour préparer vos concours, ainsi que comment vous faites vos fiches de culture gé ? Car je ne suis pas du tout doué pour ca, je n arrive pas a mettre en evidence seulement les choses importantes, et a partir de quoi vous fesiez vos fiches ? (Livres, etc...)
Merci d avance de vos reponses.
- Miss Cakahuette 26
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Louloute21L13 a écrit :salut les loulous
suis un peu en retard pour le résumé L10 et pour la L11 car j'ai des problèmes perso je me sépare de mon ami ....donc c'est vraiment pas facile
Je vais sûrement être un peu lente mais vous comprendrez et puis chloé il faut qu'on se motive car je crois qu'on est plus que 2 pour le moment espérons que notre chany va vite revenir...
je vous fais de gros bisous
louloute
haaan Louloute, je suis vraiment désolée pour toi :s
on peut reporter le temps que ça aille mieux si tu veux ?
à moins que ça ne t aide à penser à autre chose

je te donne tout mon soutiens ma belle

j espère que ça va aller, si tu veux, je suis là, comme tu as été là pour moi, chacun son tour de se faire réconforter :/
Franchement, faut avouer que le vie n'est pas facile en ce moment mais heureusement qu on se soutien nous tous ^^
bisoux tout plein ma Louloute !!!!
se prépare aux concours de printemps de 2013
terminale st2s
Objectifs:
* avoir le concours
* avoir le bac
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Re: Fiches Culture Générale 2013
sinon Will, comment vas-tu?
ET toi, Chany? j espère que tt vas bien pr toi
tu nous manques bcp (surtout à moi, XD)
reviens viiite
bisoux à tous
au passage, ma L11, ce sera pr demain je pense :s
(ralala, tjrs à la dernière minute la Chloé)
et aussi je ferai le résumé de la L11 si vs êtes OP :p
bisouuuuus
ET toi, Chany? j espère que tt vas bien pr toi

tu nous manques bcp (surtout à moi, XD)
reviens viiite

bisoux à tous
au passage, ma L11, ce sera pr demain je pense :s
(ralala, tjrs à la dernière minute la Chloé)
et aussi je ferai le résumé de la L11 si vs êtes OP :p
bisouuuuus
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Ca va, ça va. Et toi l'histoire avec ta copine?Miss Cakahuette 26 a écrit :sinon Will, comment vas-tu?
ET toi, Chany? j espère que tt vas bien pr toi
tu nous manques bcp (surtout à moi, XD)
reviens viiite
bisoux à tous
au passage, ma L11, ce sera pr demain je pense :s
(ralala, tjrs à la dernière minute la Chloé)
et aussi je ferai le résumé de la L11 si vs êtes OP :p
bisouuuuus
Chany t où?
Chefe Louloute comment vas tu?
- Miss Cakahuette 26
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Re: Fiches Culture Générale 2013
ouais sa peut aller une phrase est vrai:
ignorer peut être pire que de se parler méchant ( c est pas exactement ça mais c est ds ce style)
ignorer peut être pire que de se parler méchant ( c est pas exactement ça mais c est ds ce style)
se prépare aux concours de printemps de 2013
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Oh
Je vois
En tout cas nous on te fera jamais ça.

Je vois

En tout cas nous on te fera jamais ça.

Re: Question culture G
Si tu cherches un truc gratuit pour réviser ta culture générale, tu as aussi ce site, culture générale ifsi, qui propose une newsletter par semaine et toute l'actu sanitaire et sociale collectée sur le web, la presse nationale et internationale 
Ca pourra te permettre de suivre l'actu sans rien louper (et surtout sans dépenser un centime)

Ca pourra te permettre de suivre l'actu sans rien louper (et surtout sans dépenser un centime)
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Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou les loulous
@chloé merci de ton soutien c'est la merde ... c'est très dure mais je dois continuer à bosser ça m'aide..oki que tu fasses le résumé de la l11 je le mets ce soir en ligne suis en train de la faire.
j'espère que c'est pas trop dure avec ta copine...
@will comme tu vois ça va pas trop.. mais bon il faut avancer on est obligé, je me suis mise sur le undi pour le mag de la santé comme ça ça m'évite de penser quand je travaille
bisous forts à tous
célinette

@chloé merci de ton soutien c'est la merde ... c'est très dure mais je dois continuer à bosser ça m'aide..oki que tu fasses le résumé de la l11 je le mets ce soir en ligne suis en train de la faire.
j'espère que c'est pas trop dure avec ta copine...
@will comme tu vois ça va pas trop.. mais bon il faut avancer on est obligé, je me suis mise sur le undi pour le mag de la santé comme ça ça m'évite de penser quand je travaille
bisous forts à tous
célinette


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Re: Fiches Culture Générale 2013
Louloute21L13 a écrit :coucou les loulous
@chloé merci de ton soutien c'est la merde ... c'est très dure mais je dois continuer à bosser ça m'aide..oki que tu fasses le résumé de la l11 je le mets ce soir en ligne suis en train de la faire.
j'espère que c'est pas trop dure avec ta copine...
@will comme tu vois ça va pas trop.. mais bon il faut avancer on est obligé, je me suis mise sur le undi pour le mag de la santé comme ça ça m'évite de penser quand je travaille
bisous forts à tous
célinette![]()
Oh non chefe Louloute.












CELINETTE.









