La synthèse d'un article CG par jour
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Pour ce qui concerne la méthodologie, tu as introduis (mais à savoir que le jour où j'ai eu cet article le jour du concours, nous ne savions qu'il s'agissait d'un professeur). L'article était tiré du "Monde" en date du 21/07/2012 avec le nom et prénom de l'auteur.futurinfi a écrit :oui je suis d'accord avec toi car en écrivant ces phrases,j'ai ressenti que je me suis mal exprimé mais sinon pour l'argumentation,est ce quelle est correcte?
au niveau de la méthodologie?les connecteurs?
Donc je reprends, tu as introduis, c'est ce qu'il faut faire, par contre, il n'y a aucun mot de liaison entre tes paragraphes. C'est comme si tu faisais une énumération sans les tirets. Au final, tu balances tes idées un peu comme ça et c'est au correcteur de se débrouiller avec. Pas bien ! Il faut que tu mettes impérativement des mots de liaison, ainsi la personne qui viendras à te lire, ne se demandera pas pourquoi tu passes du point A au point B voire C sans lien de cause à effet.
J'espère avoir été claire

18/20
Admise à l'IFAS Greta Bassens (Savoie)
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
mille merci je vais le graver dans a mémoire pour samedi les mots de liaisons impérativementnajat73 a écrit :Pour ce qui concerne la méthodologie, tu as introduis (mais à savoir que le jour où j'ai eu cet article le jour du concours, nous ne savions qu'il s'agissait d'un professeur). L'article était tiré du "Monde" en date du 21/07/2012 avec le nom et prénom de l'auteur.futurinfi a écrit :oui je suis d'accord avec toi car en écrivant ces phrases,j'ai ressenti que je me suis mal exprimé mais sinon pour l'argumentation,est ce quelle est correcte?
au niveau de la méthodologie?les connecteurs?
Donc je reprends, tu as introduis, c'est ce qu'il faut faire, par contre, il n'y a aucun mot de liaison entre tes paragraphes. C'est comme si tu faisais une énumération sans les tirets. Au final, tu balances tes idées un peu comme ça et c'est au correcteur de se débrouiller avec. Pas bien ! Il faut que tu mettes impérativement des mots de liaison, ainsi la personne qui viendras à te lire, ne se demandera pas pourquoi tu passes du point A au point B voire C sans lien de cause à effet.
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1 ère année : crèche - EHPAD - SSR
2 ème année : Psychiatrie - Médecine Interne
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
voila je mets un nouveau sujet;
Re: La synthèse d'un article CG par jour
LA PNEUMONIE.PREMIERE CAUSE DE LA MORTALITE INFANTILE EN AFRIQUE
la vaccination est un moyen efficace de lutte contre l’infection. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) s’est félicitée, vendredi dernier, des résultats obtenus en matière de lutte contre la rougeole grâce notamment à des campagnes de vaccination en Afrique sub-saharienne. Une région du monde également frappée par une complication possible de la rougeole, la pneumonie. Elle est la première cause de décès chez les enfants de moins de 5 ans, mais la vaccination constitue, là aussi, une arme efficace.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé, la semaine dernière, qu’elle avait, depuis 1999, réduit de 60% le nombre de décès liès à la rougeale. Cette victoire, obtenue grâce notamment à des campagnes de vaccination systématiques, rend optimiste quant à la lutte contre l’une des graves complications de la rougeole, la pneumonie. Une maladie contre laquelle la vaccination constitue également un moyen de prévention efficace pour sauver la vie de centaines de milliers d’enfants, notamment en Afrique sub-saharienne. La pneumonie, comme partout dans le monde, y est la première cause de mortalité infantile, mais la région est l’une des plus touchées par le fléau. Devant le paludisme et le sida et plus que les deux maladies réunies, la pneumonie a tué, en 2004, plus d’un million d’enfants de moins de cinq ans, soit la moitié de ceux qu’elle tue chaque année dans les pays en voie de développement. Plus les enfants sont en bas âge, plus ils sont prompts à développer l’une des trois maladies infectieuses qui les frappent : la pneumonie, la diarrhée et le paludisme. « Le risque est encore plus élevé quand les enfants ont moins d’un an », explique-t-on au Département de la santé et du développement de l’enfant de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Le Nigeria et l’Ethiopie ont enregistré les nombres de cas les plus élevés sur le continent africain en 2004.
L’allaitement et la vaccination, deux moyens de prévention efficaces
La malnutrition, les complications de la rougeole et le cadre de vie augmentent le risque pour les enfants de contracter la maladie. L’allaitement est déjà un excellent moyen de lutter contre la pneumonie chez le nourrisson. Dans les pays en voie de développement, constate un rapport de l’OMS publié sur la question, « seul un tiers des nourrissons sont allaités exclusivement au sein jusqu’à l’âge de six mois ». Ceux qui ne le sont pas courraient « cinq fois plus de risques de mourir de pneumonie que les autres et un risque subsiste pour les nourrissons de 6 à 11 mois si la mère ne les allaite plus du tout ». Les enfants malnutris ne disposent pas d’un système immunitaire performant et leurs muscles respiratoires sont incapables d’évacuer les sécrétions qui les encombrent.
Mais dans beaucoup de cas, l’allaitement exclusif n’est pas pratiqué dans les six premiers mois de la vie de l’enfant, souvent à cause de considérations culturelles ou sociales. Il est couplé dans beaucoup de familles avec d’autres types de lait ou de l’eau. Les parents estiment, par exemple, que les enfants ont besoin d’être hydratés à cause de la chaleur. De plus, sur le continent africain, comme en Asie du Sud où la pneumonie est aussi un fléau, les familles sont entassées dans des espaces réduits, ce qui favorise le développement de la maladie. La fumée issue de la cigarette ou la pollution à l’intérieur des maisons quand la cuisine s’y fait avec des sources traditionnelles de chaleur sont autant de facteurs aggravants. De même, les enfants qui souffrent d’une carence de zinc, de la drépanocytose, qui sont déjà malades du sida, du paludisme ou encore de la rougeole sont encore plus fragiles face à la pneumonie.
Plus de 4 milliards pour aider les pays africains
Outre l’allaitement, la vaccination reste le meilleur moyen de prévenir l’expansion d’une maladie sur un continent où seulement 41% des enfants infectés seront adressés à une structure de santé pour être soignés. La pneumonie bactérienne est une infection aigüe des voies respiratoires causée principalement par deux d’agents pathogènes contre lesquels des vaccins existent. Le vaccin anti-Hib permet de lutter contre l’Haemophilus influenzae type b et le vaccin antipneumococcique conjugué contre le Streptococcus pneumoniae. Le vaccin contre la rougeole s’impose, lui, pour éviter les pneumonies qui se déclarent suite à cette maladie.
Selon de récents essais cliniques réalisés en Gambie, la vaccination contre le Hib permet d’éviter 20% des cas graves de pneumonie et celle contre le Streptococcus pneumoniae réduit de 16% la mortalité infantile. Un rencontre a été organisée la semaine dernière par l’OMS, à Brazzaville (Congo), pour sensibiliser les pays africains à la nécessité de mettre en place une stratégie de lutte contre la pneumonie chez les enfants qui s’appuie sur la prévention par la vaccination. D’autant plus que l’obstacle financier auquel sont confrontés les pays africains dans le conduite de leurs politiques sanitaires est levé grâce à l’appui de l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (Gavi) et son fonds. Il met à disposition du continent africain, jusqu’en 2015, plus de 4 milliards de dollars, pour permettre aux Etats concernés d’acquérir à moindre coût les précieuses doses de vaccin.
la vaccination est un moyen efficace de lutte contre l’infection. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) s’est félicitée, vendredi dernier, des résultats obtenus en matière de lutte contre la rougeole grâce notamment à des campagnes de vaccination en Afrique sub-saharienne. Une région du monde également frappée par une complication possible de la rougeole, la pneumonie. Elle est la première cause de décès chez les enfants de moins de 5 ans, mais la vaccination constitue, là aussi, une arme efficace.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé, la semaine dernière, qu’elle avait, depuis 1999, réduit de 60% le nombre de décès liès à la rougeale. Cette victoire, obtenue grâce notamment à des campagnes de vaccination systématiques, rend optimiste quant à la lutte contre l’une des graves complications de la rougeole, la pneumonie. Une maladie contre laquelle la vaccination constitue également un moyen de prévention efficace pour sauver la vie de centaines de milliers d’enfants, notamment en Afrique sub-saharienne. La pneumonie, comme partout dans le monde, y est la première cause de mortalité infantile, mais la région est l’une des plus touchées par le fléau. Devant le paludisme et le sida et plus que les deux maladies réunies, la pneumonie a tué, en 2004, plus d’un million d’enfants de moins de cinq ans, soit la moitié de ceux qu’elle tue chaque année dans les pays en voie de développement. Plus les enfants sont en bas âge, plus ils sont prompts à développer l’une des trois maladies infectieuses qui les frappent : la pneumonie, la diarrhée et le paludisme. « Le risque est encore plus élevé quand les enfants ont moins d’un an », explique-t-on au Département de la santé et du développement de l’enfant de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Le Nigeria et l’Ethiopie ont enregistré les nombres de cas les plus élevés sur le continent africain en 2004.
L’allaitement et la vaccination, deux moyens de prévention efficaces
La malnutrition, les complications de la rougeole et le cadre de vie augmentent le risque pour les enfants de contracter la maladie. L’allaitement est déjà un excellent moyen de lutter contre la pneumonie chez le nourrisson. Dans les pays en voie de développement, constate un rapport de l’OMS publié sur la question, « seul un tiers des nourrissons sont allaités exclusivement au sein jusqu’à l’âge de six mois ». Ceux qui ne le sont pas courraient « cinq fois plus de risques de mourir de pneumonie que les autres et un risque subsiste pour les nourrissons de 6 à 11 mois si la mère ne les allaite plus du tout ». Les enfants malnutris ne disposent pas d’un système immunitaire performant et leurs muscles respiratoires sont incapables d’évacuer les sécrétions qui les encombrent.
Mais dans beaucoup de cas, l’allaitement exclusif n’est pas pratiqué dans les six premiers mois de la vie de l’enfant, souvent à cause de considérations culturelles ou sociales. Il est couplé dans beaucoup de familles avec d’autres types de lait ou de l’eau. Les parents estiment, par exemple, que les enfants ont besoin d’être hydratés à cause de la chaleur. De plus, sur le continent africain, comme en Asie du Sud où la pneumonie est aussi un fléau, les familles sont entassées dans des espaces réduits, ce qui favorise le développement de la maladie. La fumée issue de la cigarette ou la pollution à l’intérieur des maisons quand la cuisine s’y fait avec des sources traditionnelles de chaleur sont autant de facteurs aggravants. De même, les enfants qui souffrent d’une carence de zinc, de la drépanocytose, qui sont déjà malades du sida, du paludisme ou encore de la rougeole sont encore plus fragiles face à la pneumonie.
Plus de 4 milliards pour aider les pays africains
Outre l’allaitement, la vaccination reste le meilleur moyen de prévenir l’expansion d’une maladie sur un continent où seulement 41% des enfants infectés seront adressés à une structure de santé pour être soignés. La pneumonie bactérienne est une infection aigüe des voies respiratoires causée principalement par deux d’agents pathogènes contre lesquels des vaccins existent. Le vaccin anti-Hib permet de lutter contre l’Haemophilus influenzae type b et le vaccin antipneumococcique conjugué contre le Streptococcus pneumoniae. Le vaccin contre la rougeole s’impose, lui, pour éviter les pneumonies qui se déclarent suite à cette maladie.
Selon de récents essais cliniques réalisés en Gambie, la vaccination contre le Hib permet d’éviter 20% des cas graves de pneumonie et celle contre le Streptococcus pneumoniae réduit de 16% la mortalité infantile. Un rencontre a été organisée la semaine dernière par l’OMS, à Brazzaville (Congo), pour sensibiliser les pays africains à la nécessité de mettre en place une stratégie de lutte contre la pneumonie chez les enfants qui s’appuie sur la prévention par la vaccination. D’autant plus que l’obstacle financier auquel sont confrontés les pays africains dans le conduite de leurs politiques sanitaires est levé grâce à l’appui de l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (Gavi) et son fonds. Il met à disposition du continent africain, jusqu’en 2015, plus de 4 milliards de dollars, pour permettre aux Etats concernés d’acquérir à moindre coût les précieuses doses de vaccin.
Re: La synthèse d'un article CG par jour
1. présentez le thème du sujet abordé.dégagez la problématique par rapport au contexte général.
2.présentez les principales idées du texte,votre réponse doit être structurée
commentez la phrase"l'allaitement est déjà un excellent moyen de lutter contre la pneumonie chez le nourrisson" en donnant votre avis personnel
3.quelles mesures pourraient prendre les pays en développement pour mieux maitriser la mortalité infantile?
2.présentez les principales idées du texte,votre réponse doit être structurée
commentez la phrase"l'allaitement est déjà un excellent moyen de lutter contre la pneumonie chez le nourrisson" en donnant votre avis personnel
3.quelles mesures pourraient prendre les pays en développement pour mieux maitriser la mortalité infantile?
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Ok j'essaie de le faire demainfuturinfi a écrit :1. présentez le thème du sujet abordé.dégagez la problématique par rapport au contexte général.
2.présentez les principales idées du texte,votre réponse doit être structurée
commentez la phrase"l'allaitement est déjà un excellent moyen de lutter contre la pneumonie chez le nourrisson" en donnant votre avis personnel
3.quelles mesures pourraient prendre les pays en développement pour mieux maitriser la mortalité infantile?
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
il faut que je m’entraîne sur les ta mais si j'ai le temps je le fais avec vous
3 bouts de chou
concours Remiremont 2014
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
najat73 a écrit :Je regarderais le reste plus tard, je vais aller au boulot.la_rollie a écrit :La mort est le destin tragique de l'homme. De nos jours, l'espérance de vie est plus longue grâce aux progrès de la recherche et de la médecine. Malgré tout l'on est confronté à la mort, comment inclure la mort dans notre parcours professionnel?
est ce que je me suis améliorée dis moi
Alors pour le 1er paragraphe :
- le mot tragique est à bannir
- "l'on", dans ta phrase n'est pas approprié, il faudrait écrire "nous serons amené à être confronté à la mort un jour ou l'autre.
- "comment..." mal écrit. Il faudrait écrire "de ce fait, il serait bon de nous demander comment intégrer cette notion de mort dans notre parcours professionnel.
Voili, voilou, mais ça c'est ma façon de penser, d'écrire. Ca n'engage que moi, je peux me tromper, je ne suis pas parfaite.
alors voila mon avis :
comme najat , il faut absolument bannir si cela est possible les "on" et les remplacer par "nous"
c'est une manière de s'approprier le sujet, on des professionnelles en devenir.
les transitions logiques et connecteurs sont a utilisés, mais c'est sur que pour une base anglophone c'est plus dur. seul problème les correcteurs se le savent pas et n'en tiendront pas compte

il faut aérer le texte, une écriture fluide, des alinéas a chaque idée nouvellement développées.
La phrase doit être construite simplement, sujet , verbe et compléments
ne pas essayer d'en dire trop, faire deux phrases.
rester proche du texte, sauf si on nous demande un avis, auquel cas , c'est intro, développement, conclusion.
c'est tout ce que je relève, et c'est vrai que tu as du vocabulaire, un atout certain

je me reconnais dans tes copies, je me suis fait corriger les miennes par une formatrice de l’école d’infirmière et les conseils viennent d'elle, elle est aussi correctrice pour les concours.
je croyais avoir fait du super boulot en entrainement , cela valait tout juste un 12, pour toutes ses raisons et pour mon malheur, l’orthographe!
pourtant j'avais relu

demain je vais essayer avec vous si il me reste du temps après les TA
j’espère que je vous ai aidé....
3 bouts de chou
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
meloradanan a écrit :najat73 a écrit :Je regarderais le reste plus tard, je vais aller au boulot.la_rollie a écrit :La mort est le destin tragique de l'homme. De nos jours, l'espérance de vie est plus longue grâce aux progrès de la recherche et de la médecine. Malgré tout l'on est confronté à la mort, comment inclure la mort dans notre parcours professionnel?
est ce que je me suis améliorée dis moi
Alors pour le 1er paragraphe :
- le mot tragique est à bannir
- "l'on", dans ta phrase n'est pas approprié, il faudrait écrire "nous serons amené à être confronté à la mort un jour ou l'autre.
- "comment..." mal écrit. Il faudrait écrire "de ce fait, il serait bon de nous demander comment intégrer cette notion de mort dans notre parcours professionnel.
Voili, voilou, mais ça c'est ma façon de penser, d'écrire. Ca n'engage que moi, je peux me tromper, je ne suis pas parfaite.
alors voila mon avis :
comme najat , il faut absolument bannir si cela est possible les "on" et les remplacer par "nous"
c'est une manière de s'approprier le sujet, on des professionnelles en devenir.
les transitions logiques et connecteurs sont a utilisés, mais c'est sur que pour une base anglophone c'est plus dur. seul problème les correcteurs se le savent pas et n'en tiendront pas compte![]()
il faut aérer le texte, une écriture fluide, des alinéas a chaque idée nouvellement développées.
La phrase doit être construite simplement, sujet , verbe et compléments
ne pas essayer d'en dire trop, faire deux phrases.
rester proche du texte, sauf si on nous demande un avis, auquel cas , c'est intro, développement, conclusion.
c'est tout ce que je relève, et c'est vrai que tu as du vocabulaire, un atout certain![]()
je me reconnais dans tes copies, je me suis fait corriger les miennes par une formatrice de l’école d’infirmière et les conseils viennent d'elle, elle est aussi correctrice pour les concours.
je croyais avoir fait du super boulot en entrainement , cela valait tout juste un 12, pour toutes ses raisons et pour mon malheur, l’orthographe!
pourtant j'avais relu![]()
demain je vais essayer avec vous si il me reste du temps après les TA
j’espère que je vous ai aidé....
Mille merci pour tes conseils je vais les noter, et me l'enfoncer dans le crâne.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
et moi jai pas le droit à des commentaires?
Re: La synthèse d'un article CG par jour
t'inquiète elle va le faire je l'ai presque harceléfuturinfi a écrit :et moi jai pas le droit à des commentaires?

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Re: La synthèse d'un article CG par jour
oui moi aussi la culture générale est mon point faible
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Désolée pour le double-post...
Dernière modification par Analia le 15 mars 2013 15:09, modifié 2 fois.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Bonjour à tous je viens de m'inscrire et de trouver ce topic.
Je vais donc commencer par le début. Je vous présente ma synthèse de l'article 1.
(Je remercie les personnes ayant fait ce sujet)
Comme tout les ans l'hiver est une période où la mortalité augmente. Cet article nous présente une étude sur les facteur favorisant cette surmortalité hivernale: tout d'abord les vagues de froid, puis les épidémies saisonnières comme la gastro-entérite. De plus à ces facteurs s'ajoutent les facteurs tel que l'isolement qui influent sur le moral des personnes âgées et peuvent causer à terme leur mort.
Les chiffres recueillit lors de cette étude parlent d'eux-même, une augmentation de 6000 décès a été observée en février 2012. On notera également que ce phénomène est assez homogène, il touche quasiment toute la France. Nous pouvons donc conclure sur le fait que cet hiver a été particulièrement difficile et ces résultats nous amènent donc à réfléchir sur les dispositifs qui pouvant être mis en place afin d'éviter de tel taux de surmortalité.
Je vais donc commencer par le début. Je vous présente ma synthèse de l'article 1.
(Je remercie les personnes ayant fait ce sujet)
Ma synthèse :maistre7 a écrit :C'est alors sur cette introduction que je propose le tout premier article:
Un hiver 2012 particulièrement meurtrier pour les personnes âgées
Le Monde.fr avec AFP | 04.09.2012
Près de 6 000 décès supplémentaires ont été enregistrés en février-mars durant la vague de froid et les épidémies saisonnières, selon une estimation de l'Institut de veille sanitaire (InVS). "Entre le 6 février et le 18 mars 2012, un excès de près de 6 000 décès (+ 13 %) a été estimé, comparativement aux effectifs enregistrés les années précédentes", selon les données de l'InVS publiées mardi dans son Bulletin épidémiologique hebdomadaire.
La surmortalité touche plus particulièrement les personnes âgées de plus de 85 ans, avec 2 850 décès en excès (+ 18 %) chez les personnes âgées de 85 à 94 ans et un millier de décès en excès (+ 31 %) chez les personnes de 95 ans ou plus. Les comparaisons ont été effectuées avec les années 2008, 2010 et 2011 et non avec l'année 2009, qui avait déjà connu un phénomène similaire, avec près de 6 000 décès excédentaires observés au cours des six premières semaines de l'année, également marquées par une vague de froid.
VAGUE DE FROID ET ÉPIDÉMIES SAISONNIÈRES
Selon Anne Fouillet, la statisticienne qui a dirigé l'étude, "la survenue concomitante de plusieurs facteurs (vague de froid et épidémies saisonnières, notamment grippale)" en février-mars dernier "peut, au moins en partie, expliquer ce phénomène, mais leur part respective dans cette augmentation reste à évaluer".
La France a connu du 1er au 13 février une vague de froid "tout à fait exceptionnelle", selon Météo France, la première aussi intense depuis janvier 1987. Elle avait frappé principalement le nord de la France, avec des températures chutant localement jusqu'à - 18 °C, mais le sud n'avait pas été épargné. La période avait également été marquée par une épidémie de gastro-entérite suivie d'une épidémie de grippe saisonnière, qui a atteint un pic fin février-début mars. La surmortalité a augmenté brutalement à partir du 6 février pour se stabiliser à un niveau élevé à la fin février, suivie d'une diminution en mars, précise l'InVS.
TOUTES LES RÉGIONS CONCERNÉES, SAUF LA CORSE
La quasi-totalité des régions, à l'exception de la Corse, a enregistré des excès de décès variant de + 8 % en Alsace à + 22 % en PACA. Les régions les plus touchées se trouvaient majoritairement dans le sud de la France, alors qu'en 2009, le Nord-Ouest et la région Languedoc-Roussillon étaient les plus concernées.
Plusieurs pays européens ont observé des situations analogues à celle de la France au cours de la même période, avec une surmortalité d'intensité marquée en Espagne, Portugal, Suède et Belgique, et plus modérée aux Pays-Bas, Suisse, Finlande, Hongrie, Irlande et Grèce.
Les 6 000 décès supplémentaires français ont été estimés à partir des données fournies par les 1 042 communes qui transmettent électroniquement les certificats de décès à l'Insee, mais cette estimation, basée sur 70 % des décès enregistrés en France métropolitaine, ne permet pas de "quantifier avec exactitude l'excès total des décès", reconnaît l'étude.
PRUDENCE SUR LES CAUSES DE LA MORTALITÉ
Les chercheurs restent d'autant plus prudents sur les causes précises de la surmortalité qu'ils disposent pour l'instant d'informations sur les causes médicales de seulement 5 % des décès. "Nous ne sommes pas à ce stade en mesure d'établir une analyse fiable", reconnaît Mme Fouillet, qui travaille pour le réseau de surveillance Sursaud (Surveillance sanitaire des urgences et des décès). Ce système a été mis en place après la canicule de 2003, qui avait entraîné 15 000 décès supplémentaires en France. Des bases de données complètes sur les causes des décès de l'hiver dernier devraient être disponibles d'ici à un an, un an et demi.
Comme tout les ans l'hiver est une période où la mortalité augmente. Cet article nous présente une étude sur les facteur favorisant cette surmortalité hivernale: tout d'abord les vagues de froid, puis les épidémies saisonnières comme la gastro-entérite. De plus à ces facteurs s'ajoutent les facteurs tel que l'isolement qui influent sur le moral des personnes âgées et peuvent causer à terme leur mort.
Les chiffres recueillit lors de cette étude parlent d'eux-même, une augmentation de 6000 décès a été observée en février 2012. On notera également que ce phénomène est assez homogène, il touche quasiment toute la France. Nous pouvons donc conclure sur le fait que cet hiver a été particulièrement difficile et ces résultats nous amènent donc à réfléchir sur les dispositifs qui pouvant être mis en place afin d'éviter de tel taux de surmortalité.
ESI 2013-2016
Re: La synthèse d'un article CG par jour
coucou tout le monde,
J'ai été démoralisé par le concours de samedi et je ne suis passé ici où en êtes vous?
Bonne journée
J'ai été démoralisé par le concours de samedi et je ne suis passé ici où en êtes vous?
Bonne journée
ESI 2013-2016 AHPM nord
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