Actualités 2012
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
Internet : un numéro pour parents désemparés
La secrétaire d'État à la Famille, Claude Greff, lance aujourd'hui le service InfoFamille Net écoute.
Souvent désarçonnés, parfois démunis face à un outil en perpétuelle évolution, les parents peinent à accompagner les pas de leurs petits sur la Toile. Et ce en dépit des campagnes de prévention qui se sont multipliées ces dernières années. Pour les aider à gérer l'irruption du numérique dans la vie de leurs enfants, la secrétaire d'État à la Famille, Claude Greff, a décidé de passer à la vitesse supérieure. Elle lance aujourd'hui un numéro vert, gratuit et anonyme, le 0800.200.000.
«Mieux informer les parents des dangers liés à Internet et aux jeux vidéo, c'est leur permettre d'exercer pleinement leur mission éducative, il y a là un véritable enjeu de protection de l'enfance», explique Claude Greff. Ce numéro, baptisé InfoFamille Net écoute, sera assorti du site Netecoute.fr, conçu pour donner des réponses réactives en fiches à toutes les nouvelles interrogations sur ces pratiques. Le tout sera géré par e-Enfance. L'association voit ainsi se transformer le numéro Indigo qu'elle avait créé en décembre 2008 en ligne de téléphonie sociale. «Rien n'est statique sur la Toile, c'est pourquoi nous avons voulu apporter une réponse dynamique en ligne et par téléphone. Un nouveau réseau social ? De nouveaux modes de micropaiements pour les jeux en ligne ? Quelles vont être les implications dans la vie quotidienne de leurs enfants? Il faut “outiller” les parents pour leur permettre, dans ce domaine aussi, d'engager un véritable dialogue avec leurs enfants et d'exercer efficacement leur rôle», plaide Claude Greff.
Prévention
Insultes, question de droit à l'image avec des photos qui circulent sans autorisation, de piratage et détournement de compte Facebook ou MSN… «Aujourd'hui, nous sommes avant tout sollicités sur la question du cyberharcèlement», souligne une écoutante d'e-Enfance. Justine Atlan, directrice de l'association, met pour sa part en garde contre l'émergence de la vente en ligne ciblant les mineurs: «Les parents n'envisagent pas leur enfant comme un consommateur, qui va être la cible d'un marketing commercial très agressif. Les modes de paiement détournés qui leur sont destinés, dès l'âge de 6 ans, se démultiplient.» En cliquant sur un pictogramme par exemple, un enfant peut effectivement acheter une image ou une nouvelle sonnerie, via un numéro de téléphone, sans avoir à donner un numéro de carte. Sans même s'en rendre compte, il pourra même contracter un abonnement mensuel à un service. «Ces pratiques ne sont pas illégales et les parents ne peuvent pas porter plainte. La prévention est donc indispensable», avertit Justine Atlan. Nadine Ficheux, la maman d'un jeune Valentin, habitué du jeu vidéo en ligne Dofus en a fait les frais l'année dernière. Sans s'en douter, le garçonnet de 12 ans a fait grimper la facture de téléphone familiale de plus de 400 euros en deux mois. Une somme que l'opérateur a refusé de rembourser ou de réduire après la découverte du pot aux roses. «Valentin est tombé de haut, raconte sa mère. C'est un enfant sans problème et il ne s'était pas imaginé avoir dépensé ces sommes.» Le petit internaute a contribué au paiement de la facture avec son argent de poche. Depuis, il s'est désinscrit du jeu…
«Ami-ami» sur Facebook?
Faut-il devenir «ami» de ses enfants sur le réseau social? La question n'en finit pas d'empoisonner des parents pris en étau entre l'envie de suivre la vie virtuelle de leur couvée et la peur de s'immiscer dans leur intimité. «C'est comme si je lisais son journal, comme si j'écoutais ses conversations au téléphone», soupire Sylvie, maman d'une adolescente de 14 ans, accro au réseau social. «Attention, c'est le piège, souligne Justine Atlan, d'e-Enfance. Il faut bien se rendre compte qu'Internet, ce n'est pas l'intime.»
Reste que pour une majorité de psys, les adultes n'ont pas à devenir «ami» de leur enfant sur Facebook. Ils doivent rester dans leur rôle de parents, sur la Toile comme à la maison. Seuls 22% d'entre eux pensent à devenir amis avec leurs enfants sur Facebook, selon une étude récente de l'éditeur Trend Micro. «Mieux vaut différer l'ouverture d'un compte jusqu'à 13 ou 14 ans puis laisser ses enfants en liberté sur les réseaux sociaux», conseille la psychologue Béatrice Copper-Royer, cofondatrice d'e-Enfance. Certains parents, pour contourner l'obstacle, demandent à un proche de la famille de se faire accepter sur le Facebook de leur ado. D'autres exigent le mot de passe de leur chérubin pour aller consulter son profil. Ils sont aussi nombreux à craindre, à l'inverse, de voir leur enfant assister aux échanges de plus ou moins mauvais goût qui sont les leurs sur la Toile!
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La secrétaire d'État à la Famille, Claude Greff, lance aujourd'hui le service InfoFamille Net écoute.
Souvent désarçonnés, parfois démunis face à un outil en perpétuelle évolution, les parents peinent à accompagner les pas de leurs petits sur la Toile. Et ce en dépit des campagnes de prévention qui se sont multipliées ces dernières années. Pour les aider à gérer l'irruption du numérique dans la vie de leurs enfants, la secrétaire d'État à la Famille, Claude Greff, a décidé de passer à la vitesse supérieure. Elle lance aujourd'hui un numéro vert, gratuit et anonyme, le 0800.200.000.
«Mieux informer les parents des dangers liés à Internet et aux jeux vidéo, c'est leur permettre d'exercer pleinement leur mission éducative, il y a là un véritable enjeu de protection de l'enfance», explique Claude Greff. Ce numéro, baptisé InfoFamille Net écoute, sera assorti du site Netecoute.fr, conçu pour donner des réponses réactives en fiches à toutes les nouvelles interrogations sur ces pratiques. Le tout sera géré par e-Enfance. L'association voit ainsi se transformer le numéro Indigo qu'elle avait créé en décembre 2008 en ligne de téléphonie sociale. «Rien n'est statique sur la Toile, c'est pourquoi nous avons voulu apporter une réponse dynamique en ligne et par téléphone. Un nouveau réseau social ? De nouveaux modes de micropaiements pour les jeux en ligne ? Quelles vont être les implications dans la vie quotidienne de leurs enfants? Il faut “outiller” les parents pour leur permettre, dans ce domaine aussi, d'engager un véritable dialogue avec leurs enfants et d'exercer efficacement leur rôle», plaide Claude Greff.
Prévention
Insultes, question de droit à l'image avec des photos qui circulent sans autorisation, de piratage et détournement de compte Facebook ou MSN… «Aujourd'hui, nous sommes avant tout sollicités sur la question du cyberharcèlement», souligne une écoutante d'e-Enfance. Justine Atlan, directrice de l'association, met pour sa part en garde contre l'émergence de la vente en ligne ciblant les mineurs: «Les parents n'envisagent pas leur enfant comme un consommateur, qui va être la cible d'un marketing commercial très agressif. Les modes de paiement détournés qui leur sont destinés, dès l'âge de 6 ans, se démultiplient.» En cliquant sur un pictogramme par exemple, un enfant peut effectivement acheter une image ou une nouvelle sonnerie, via un numéro de téléphone, sans avoir à donner un numéro de carte. Sans même s'en rendre compte, il pourra même contracter un abonnement mensuel à un service. «Ces pratiques ne sont pas illégales et les parents ne peuvent pas porter plainte. La prévention est donc indispensable», avertit Justine Atlan. Nadine Ficheux, la maman d'un jeune Valentin, habitué du jeu vidéo en ligne Dofus en a fait les frais l'année dernière. Sans s'en douter, le garçonnet de 12 ans a fait grimper la facture de téléphone familiale de plus de 400 euros en deux mois. Une somme que l'opérateur a refusé de rembourser ou de réduire après la découverte du pot aux roses. «Valentin est tombé de haut, raconte sa mère. C'est un enfant sans problème et il ne s'était pas imaginé avoir dépensé ces sommes.» Le petit internaute a contribué au paiement de la facture avec son argent de poche. Depuis, il s'est désinscrit du jeu…
«Ami-ami» sur Facebook?
Faut-il devenir «ami» de ses enfants sur le réseau social? La question n'en finit pas d'empoisonner des parents pris en étau entre l'envie de suivre la vie virtuelle de leur couvée et la peur de s'immiscer dans leur intimité. «C'est comme si je lisais son journal, comme si j'écoutais ses conversations au téléphone», soupire Sylvie, maman d'une adolescente de 14 ans, accro au réseau social. «Attention, c'est le piège, souligne Justine Atlan, d'e-Enfance. Il faut bien se rendre compte qu'Internet, ce n'est pas l'intime.»
Reste que pour une majorité de psys, les adultes n'ont pas à devenir «ami» de leur enfant sur Facebook. Ils doivent rester dans leur rôle de parents, sur la Toile comme à la maison. Seuls 22% d'entre eux pensent à devenir amis avec leurs enfants sur Facebook, selon une étude récente de l'éditeur Trend Micro. «Mieux vaut différer l'ouverture d'un compte jusqu'à 13 ou 14 ans puis laisser ses enfants en liberté sur les réseaux sociaux», conseille la psychologue Béatrice Copper-Royer, cofondatrice d'e-Enfance. Certains parents, pour contourner l'obstacle, demandent à un proche de la famille de se faire accepter sur le Facebook de leur ado. D'autres exigent le mot de passe de leur chérubin pour aller consulter son profil. Ils sont aussi nombreux à craindre, à l'inverse, de voir leur enfant assister aux échanges de plus ou moins mauvais goût qui sont les leurs sur la Toile!
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Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
Espacer les mammographies diminue les surdiagnostics
Par Anne Prigent - le 18/10/2011
Le dépistage du cancer du sein tous les deux ans et non chaque année permettrait d'éviter de nombreux «faux positifs».
Début octobre, le livre No mammo ouvrait une polémique sur le dépistage généralisé du cancer du sein en France. Selon l'auteur, il est à l'origine d'un surdiagnostic : un certain nombre femmes à qui l'on affirme qu'elles ont une tumeur maligne, en réalité n'en ont pas. Elles doivent néanmoins subir des examens complémentaires, voire des traitements lourds.
Difficile de faire disparaître totalement les faux positifs (les examens faussement positifs), mais il est possible d'en éviter un grand nombre. Comment ? En s'en tenant à une mammographie de dépistage tous les deux ans à partir de 50 ans, répondent les auteurs d'une étude publiée le 17 octobre dans les Annales de médecine Interne.
Les chercheurs se sont appuyés sur le modèle américain. Aux Etats-Unis, la mammographie de dépistage du cancer du sein est recommandée tous les deux ans après 40 ans depuis seulement 2010. Mais avant cela, les femmes passaient une mammographie chaque année.
Or cette nouvelle étude démontre que, sur une décennie, plus de la moitié des femmes sans cancer qui subissent une mammographie annuelle passeront des examens complémentaires à cause d'un résultat faussement positif. Pire, une sur douze subira une biopsie, un examen traumatisant. Or, en passant à un rythme bisannuel, les «faux positifs» diminuent d'un tiers, principalement chez les femmes entre 40 et 50 ans. De quoi alimenter le débat qui oppose, par études interposées, les radiologues, partisans du dépistage annuel, et les épidémiologistes.
Dans notre pays aussi, certaines femmes font trop de mammographies. En France, le dépistage généralisé s'adresse aux femmes à partir de 50 ans et se déroule tous les deux ans. Une pratique qui n'écarte pas tous les faux positifs. Le Dr Brigitte Seradour, ex-présidente de la Société française de sénologie, qui a participé à la mise en place dans les années 1990 du dépistage généralisé, estime à 10% le taux de surdiagnostic. «Mais contrairement aux Etats-Unis, en cas de doute, les examens complémentaires se font sur place le même jour, n'entraînant pas de stress supplémentaire», assure-t-elle.
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Par Anne Prigent - le 18/10/2011
Le dépistage du cancer du sein tous les deux ans et non chaque année permettrait d'éviter de nombreux «faux positifs».
Début octobre, le livre No mammo ouvrait une polémique sur le dépistage généralisé du cancer du sein en France. Selon l'auteur, il est à l'origine d'un surdiagnostic : un certain nombre femmes à qui l'on affirme qu'elles ont une tumeur maligne, en réalité n'en ont pas. Elles doivent néanmoins subir des examens complémentaires, voire des traitements lourds.
Difficile de faire disparaître totalement les faux positifs (les examens faussement positifs), mais il est possible d'en éviter un grand nombre. Comment ? En s'en tenant à une mammographie de dépistage tous les deux ans à partir de 50 ans, répondent les auteurs d'une étude publiée le 17 octobre dans les Annales de médecine Interne.
Les chercheurs se sont appuyés sur le modèle américain. Aux Etats-Unis, la mammographie de dépistage du cancer du sein est recommandée tous les deux ans après 40 ans depuis seulement 2010. Mais avant cela, les femmes passaient une mammographie chaque année.
Or cette nouvelle étude démontre que, sur une décennie, plus de la moitié des femmes sans cancer qui subissent une mammographie annuelle passeront des examens complémentaires à cause d'un résultat faussement positif. Pire, une sur douze subira une biopsie, un examen traumatisant. Or, en passant à un rythme bisannuel, les «faux positifs» diminuent d'un tiers, principalement chez les femmes entre 40 et 50 ans. De quoi alimenter le débat qui oppose, par études interposées, les radiologues, partisans du dépistage annuel, et les épidémiologistes.
Dans notre pays aussi, certaines femmes font trop de mammographies. En France, le dépistage généralisé s'adresse aux femmes à partir de 50 ans et se déroule tous les deux ans. Une pratique qui n'écarte pas tous les faux positifs. Le Dr Brigitte Seradour, ex-présidente de la Société française de sénologie, qui a participé à la mise en place dans les années 1990 du dépistage généralisé, estime à 10% le taux de surdiagnostic. «Mais contrairement aux Etats-Unis, en cas de doute, les examens complémentaires se font sur place le même jour, n'entraînant pas de stress supplémentaire», assure-t-elle.
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Re: Actualités concours 2012
La ville grignote les campagnes
Désormais, la France est sous la coupe des villes. Seuls 5% des Français ne dépendent pas d'un centre urbain. Ces quelque trois millions de personnes vivent et travaillent à la campagne ou dans les zones de montagne. Ailleurs, la ville avance. À grand pas, selon l'étude rendue publique par l'Insee mardi. Les bâtiments fleurissent dans les champs, à mesure que les couples avec enfants s'éloignent des centres pour trouver plus d'espace et devenirs propriétaires, quand ils le peuvent. Confirmant une tendance déjà ancienne, «les couronnes ne cessent de s'élargir autour des grandes cités, mais aussi des villes moyennes», explique Bernard Morel, chef du département de l'Action régionale. Devenues banlieues de la banlieue, elles s'étendent plus vite que toutes les autres zones et couvrent maintenant 28,6% du territoire.
Partout, les trajets s'allongent
En région parisienne, où 12 millions d'habitants sont regroupés, la ville est déjà tentaculaire. Mais ce mouvement d'extension se poursuit. Ce sont souvent les habitants de la périphérie et notamment de banlieues difficiles qui cherchent la tranquillité plus loin encore, en Seine-et-Marne notamment.
Ailleurs, les aires de Lyon, Bordeaux, Nantes et Rennes se sont étalées de 50% en dix ans ! Les pavillons surgissent à côté des anciennes maisons de campagne. Jusqu'à les entourer, puis former des quartiers. Car la population ne cesse d'augmenter sur la façade atlantique et dans l'axe rhodanien. À Lille, où les possibilités de croissance sont limitées, les populations se concentrent. Enfin, autour de villes de 20.000 habitants, les couronnes s'étendent aussi. Désormais, les grands centres urbains et leurs lointaines banlieues couvrent la moitié du territoire et rassemblent près de 85% la population et des emplois. Car les entreprises et les administrations restent au cœur des agglomérations.
Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie.
Partout, les trajets s'allongent, entre le travail, toujours au centre et le logement. En moyenne, on compte désormais 15 kilomètres entre le lieu de travail et la résidence, précise l'Insee. Les grandes agglomérations ont développé des transports en commun qui balisent d'ailleurs l'extension territoriale, puisque les nouveaux arrivants s'installent le long des voies. Ailleurs, la voiture devient le mode de transport principal, avec un coût non négligeable, que les familles n'évaluent pas toujours lorsqu'elles décident d'acheter un pavillon en grande couronne.
Le désir d'une maison à soi
Une étude de la Datar montrait combien les couples avaient sous-estimé le temps de transport et le budget. Il n'était pas rare que l'épouse arrête de travailler pour limiter les déplacements et organiser la vie de la famille, moins bien prise en charge à mesure que la ville se dilate pour s'éparpiller en lotissements et petits immeubles isolés ; «Nous sommes sur un modèle à l'américaine d'étalement urbain qui pose des problèmes pour les pouvoirs publics, regrette l'urbaniste Jean-Loup Msika, hostile à ce développement horizontal. Car cela coûte beaucoup plus cher d'amener les services dans des zones éloignées et peu densément peuplées.» Même ainsi, cette dynamique engagée depuis trente ans ne faiblit pas, portée par la flambée du foncier, les contraintes du travail et le désir intact d'une maison à soi. Jusqu'à redessiner la carte sociale, selon le géographe Christophe Guilluy, avec d'une part la France des grandes métropoles, et celle qui démarre dans le périurbain et rassemble l'essentiel des classes populaires.
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Désormais, la France est sous la coupe des villes. Seuls 5% des Français ne dépendent pas d'un centre urbain. Ces quelque trois millions de personnes vivent et travaillent à la campagne ou dans les zones de montagne. Ailleurs, la ville avance. À grand pas, selon l'étude rendue publique par l'Insee mardi. Les bâtiments fleurissent dans les champs, à mesure que les couples avec enfants s'éloignent des centres pour trouver plus d'espace et devenirs propriétaires, quand ils le peuvent. Confirmant une tendance déjà ancienne, «les couronnes ne cessent de s'élargir autour des grandes cités, mais aussi des villes moyennes», explique Bernard Morel, chef du département de l'Action régionale. Devenues banlieues de la banlieue, elles s'étendent plus vite que toutes les autres zones et couvrent maintenant 28,6% du territoire.
Partout, les trajets s'allongent
En région parisienne, où 12 millions d'habitants sont regroupés, la ville est déjà tentaculaire. Mais ce mouvement d'extension se poursuit. Ce sont souvent les habitants de la périphérie et notamment de banlieues difficiles qui cherchent la tranquillité plus loin encore, en Seine-et-Marne notamment.
Ailleurs, les aires de Lyon, Bordeaux, Nantes et Rennes se sont étalées de 50% en dix ans ! Les pavillons surgissent à côté des anciennes maisons de campagne. Jusqu'à les entourer, puis former des quartiers. Car la population ne cesse d'augmenter sur la façade atlantique et dans l'axe rhodanien. À Lille, où les possibilités de croissance sont limitées, les populations se concentrent. Enfin, autour de villes de 20.000 habitants, les couronnes s'étendent aussi. Désormais, les grands centres urbains et leurs lointaines banlieues couvrent la moitié du territoire et rassemblent près de 85% la population et des emplois. Car les entreprises et les administrations restent au cœur des agglomérations.
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Partout, les trajets s'allongent, entre le travail, toujours au centre et le logement. En moyenne, on compte désormais 15 kilomètres entre le lieu de travail et la résidence, précise l'Insee. Les grandes agglomérations ont développé des transports en commun qui balisent d'ailleurs l'extension territoriale, puisque les nouveaux arrivants s'installent le long des voies. Ailleurs, la voiture devient le mode de transport principal, avec un coût non négligeable, que les familles n'évaluent pas toujours lorsqu'elles décident d'acheter un pavillon en grande couronne.
Le désir d'une maison à soi
Une étude de la Datar montrait combien les couples avaient sous-estimé le temps de transport et le budget. Il n'était pas rare que l'épouse arrête de travailler pour limiter les déplacements et organiser la vie de la famille, moins bien prise en charge à mesure que la ville se dilate pour s'éparpiller en lotissements et petits immeubles isolés ; «Nous sommes sur un modèle à l'américaine d'étalement urbain qui pose des problèmes pour les pouvoirs publics, regrette l'urbaniste Jean-Loup Msika, hostile à ce développement horizontal. Car cela coûte beaucoup plus cher d'amener les services dans des zones éloignées et peu densément peuplées.» Même ainsi, cette dynamique engagée depuis trente ans ne faiblit pas, portée par la flambée du foncier, les contraintes du travail et le désir intact d'une maison à soi. Jusqu'à redessiner la carte sociale, selon le géographe Christophe Guilluy, avec d'une part la France des grandes métropoles, et celle qui démarre dans le périurbain et rassemble l'essentiel des classes populaires.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Le défi de l’habitat face au vieillissement de la population
Le maintien à domicile est le souhait majoritaire des personnes âgées
Le Centre d’analyse stratégique (CAS), qui conseille le gouvernement, a préconisé mardi l’« adaptation » du parc de logements existant au vieillissement et à la dépendance, afin de retarder, voire éviter, les placements en maisons de retraite. L’Agence nationale de l’habitat (Anah) évalue à près de 2 millions le nombre de personnes âgées de plus de 60 ans qui auraient besoin d’une adaptation de leur logement, du fait du degré de perte d’autonomie de leurs occupants, et à 24 milliards d’euros le coût total des travaux.
Certains territoires vont être particulièrement confrontés au vieillissement sans y être nécessairement préparés, prévient le rapport, citant les centres des villes moyennes et les quartiers d’habitat social. Pour « relever le défi du vieillissement », le rapport préconise notamment de maintenir sur le flux des logements neufs de fortes obligations pour les parties communes (notamment la présence d’un ascenseur ou l’accessibilité) pour permettre l’adaptation ultérieure des habitations, mais de n’imposer de produire des logements adaptés que pour un pourcentage des programmes de construction (20 % ou 30 % par exemple).
En contrepartie, il suggère de renforcer de manière importante l’effort sur le parc de logements anciens. Autre proposition : « inclure dans les conventions d’utilité sociale entre l’Etat et les organismes HLM un objectif d’adaptation du parc au vieillissement de sa population, afin de généraliser les bonnes pratiques à l’ensemble des bailleurs ». Le CAS convient que les propriétaires individuels doivent pouvoir disposer « des moyens de financer les travaux d’adaptation », le rapport préconise un meilleur accès à l’emprunt pour les personnes âgées. Actuellement, la France dispose de 6 % de logements adaptés pour les plus de 65 ans, ce qui la situe juste dans la moyenne des pays de l’Union européenne, note le CAS
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le maintien à domicile est le souhait majoritaire des personnes âgées
Le Centre d’analyse stratégique (CAS), qui conseille le gouvernement, a préconisé mardi l’« adaptation » du parc de logements existant au vieillissement et à la dépendance, afin de retarder, voire éviter, les placements en maisons de retraite. L’Agence nationale de l’habitat (Anah) évalue à près de 2 millions le nombre de personnes âgées de plus de 60 ans qui auraient besoin d’une adaptation de leur logement, du fait du degré de perte d’autonomie de leurs occupants, et à 24 milliards d’euros le coût total des travaux.
Certains territoires vont être particulièrement confrontés au vieillissement sans y être nécessairement préparés, prévient le rapport, citant les centres des villes moyennes et les quartiers d’habitat social. Pour « relever le défi du vieillissement », le rapport préconise notamment de maintenir sur le flux des logements neufs de fortes obligations pour les parties communes (notamment la présence d’un ascenseur ou l’accessibilité) pour permettre l’adaptation ultérieure des habitations, mais de n’imposer de produire des logements adaptés que pour un pourcentage des programmes de construction (20 % ou 30 % par exemple).
En contrepartie, il suggère de renforcer de manière importante l’effort sur le parc de logements anciens. Autre proposition : « inclure dans les conventions d’utilité sociale entre l’Etat et les organismes HLM un objectif d’adaptation du parc au vieillissement de sa population, afin de généraliser les bonnes pratiques à l’ensemble des bailleurs ». Le CAS convient que les propriétaires individuels doivent pouvoir disposer « des moyens de financer les travaux d’adaptation », le rapport préconise un meilleur accès à l’emprunt pour les personnes âgées. Actuellement, la France dispose de 6 % de logements adaptés pour les plus de 65 ans, ce qui la situe juste dans la moyenne des pays de l’Union européenne, note le CAS
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Re: Actualités concours 2012
Euthanasie : une famille partie civile contre le Dr Bonnemaison
C'est une première dans l'affaire du docteur Bonnemaison, soupçonné d'avoir abrégé la vie de sept de ses patients par «euthanasie active». Une famille a décidé de se constituer partie civile, révèle ce mercredi matin la radio RTL.
Le médecin urgentiste de l'hôpital de Bayonne est mis en examen suite à plusieurs décès suspects mais a été laissé libre sous contrôle judiciaire.
«C'est le fils d'une femme décédée en avril dernier au centre hospitalier de la côte basque qui a décidé de faire un autre choix et d'être le premier à se constituer partie civile dans le dossier, détaille RTL. Sa mère avait 86 ans quand sa mort a été constatée au sein du service dans lequel travaillait le docteur Bonnemaison.» L'avocat de la famille explique que son client souhaite en savoir plus sur les conditions de ce décès.
«Une famille s'est portée partie civile il y a quelque temps», a confirmé le procureur adjoint de Bayonne, Marc Mariée, sans toutefois préciser de date.
Depuis le 12 août, Nicolas Bonnemaison est mis en examen pour quatre cas d’«empoisonnement sur personnes particulièrement vulnérables» et soupçonné pour trois autres décès, signalés par des personnels de son service et sur lesquels les investigations sont en cours.
Le praticien de Bayonne avait reconnu avoir administré volontairement «une injection létale» à quatre de ses patients en fin de vie pour «abréger leurs souffrances». «Dans le cadre de la fin de vie, on vit des choses fortes avec les familles. Souvent ça se fait dans un regard, une poignée de mains», avait-il expliqué. Le président du Conseil national de l'Ordre des Médecins a déposé plainte devant la juridiction disciplinaire à l'encontre de l'urgentiste.
LeParisien.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
C'est une première dans l'affaire du docteur Bonnemaison, soupçonné d'avoir abrégé la vie de sept de ses patients par «euthanasie active». Une famille a décidé de se constituer partie civile, révèle ce mercredi matin la radio RTL.
Le médecin urgentiste de l'hôpital de Bayonne est mis en examen suite à plusieurs décès suspects mais a été laissé libre sous contrôle judiciaire.
«C'est le fils d'une femme décédée en avril dernier au centre hospitalier de la côte basque qui a décidé de faire un autre choix et d'être le premier à se constituer partie civile dans le dossier, détaille RTL. Sa mère avait 86 ans quand sa mort a été constatée au sein du service dans lequel travaillait le docteur Bonnemaison.» L'avocat de la famille explique que son client souhaite en savoir plus sur les conditions de ce décès.
«Une famille s'est portée partie civile il y a quelque temps», a confirmé le procureur adjoint de Bayonne, Marc Mariée, sans toutefois préciser de date.
Depuis le 12 août, Nicolas Bonnemaison est mis en examen pour quatre cas d’«empoisonnement sur personnes particulièrement vulnérables» et soupçonné pour trois autres décès, signalés par des personnels de son service et sur lesquels les investigations sont en cours.
Le praticien de Bayonne avait reconnu avoir administré volontairement «une injection létale» à quatre de ses patients en fin de vie pour «abréger leurs souffrances». «Dans le cadre de la fin de vie, on vit des choses fortes avec les familles. Souvent ça se fait dans un regard, une poignée de mains», avait-il expliqué. Le président du Conseil national de l'Ordre des Médecins a déposé plainte devant la juridiction disciplinaire à l'encontre de l'urgentiste.
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Re: Actualités concours 2012
Appareils à bronzer : un sur cinq n'est pas aux normes
Un appareil à bronzer sur cinq n’est pas aux normes et est susceptible de provoquer des brûlures à ceux qui les utilisent. Ce constat alarmant, qui sera dévoilé ce mercredi par les pouvoirs publics au LNE, le laboratoire national d’études de Trappes (Yvelines), résulte des contrôles effectués au sein des centres de bronzage dans le cadre de la récente loi sur la protection des consommateurs portée par Frédéric Lefebvre.
Les tests effectués dans ces centres ont montré que 20 % des équipements émettaient des quantités d’UVA et UVB supérieures aux limites autorisées, précise l’étude menée par le LNE à la demande de la direction générale de la santé.
Cette étude lancée en septembre 2010 a permis de cartographier 45 000 solariums en France et d’observer les pratiques des onze sociétés désignées pour le contrôle des cabines. L’enquête vise aussi à renforcer la santé et la sécurité des consommateurs pour les soins esthétiques prodigués hors des circuits des professionnels de santé et des dispositifs médicaux, comme les épilateurs flash qui peuvent eux-aussi être synonymes de risques pour la peau s’ils sont mal utilisés. Les travaux du LNE font ainsi apparaître qu’il est nécessaire de renforcer les systèmes de sécurité de ces appareils.
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Un appareil à bronzer sur cinq n’est pas aux normes et est susceptible de provoquer des brûlures à ceux qui les utilisent. Ce constat alarmant, qui sera dévoilé ce mercredi par les pouvoirs publics au LNE, le laboratoire national d’études de Trappes (Yvelines), résulte des contrôles effectués au sein des centres de bronzage dans le cadre de la récente loi sur la protection des consommateurs portée par Frédéric Lefebvre.
Les tests effectués dans ces centres ont montré que 20 % des équipements émettaient des quantités d’UVA et UVB supérieures aux limites autorisées, précise l’étude menée par le LNE à la demande de la direction générale de la santé.
Cette étude lancée en septembre 2010 a permis de cartographier 45 000 solariums en France et d’observer les pratiques des onze sociétés désignées pour le contrôle des cabines. L’enquête vise aussi à renforcer la santé et la sécurité des consommateurs pour les soins esthétiques prodigués hors des circuits des professionnels de santé et des dispositifs médicaux, comme les épilateurs flash qui peuvent eux-aussi être synonymes de risques pour la peau s’ils sont mal utilisés. Les travaux du LNE font ainsi apparaître qu’il est nécessaire de renforcer les systèmes de sécurité de ces appareils.
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Re: Actualités concours 2012
Prison de Montmédy : la prise d'otage a pris fin sans blessé
La prise d'otage au centre de détention de Montmédy (Meuse) «est terminée et il n'y a pas de blessé», a annoncé mardi soir sur place un responsable syndical de l'Ufap-Unsa, Eric Gemmerlé. «La prise d'otage s'est déroulée paisiblement, le détenu s'est rendu sans condition et le médecin qui avait été séquestré est sain et sauf», a déclaré la préfète de la Meuse Colette Desprez, ajoutant que le détenu n'avait «fait aucune revendication». «C'est le négociateur du GIGN qui a su trouver le moment opportun pour dénouer la crise», a-t-elle précisé.
La prise d'otage, commencée vers 9H30 s'est achevée peu après 20H00. Le détenu, âgé de 37 ans, retenait un médecin de la prison d'une soixantaine d'années sous la menace d'un poinçon. L'otage maîtrisait parfaitement la situation du fait de sa bonne connaissance du détenu, selon une source syndicale à l'intérieur du centre de détention. L'homme, originaire d'Alsace, avait d'ailleurs été décrit par le procureur Yves Le Clair comme «un détenu sans histoires qui ne s'est jamais fait remarquer». Fadik Djaidja n'était pas dangereux mais souffrait psychologiquement et prenait beaucoup de médicaments.
Il risque trois ans de prison supplémentaires
Des équipes régionales d'intervention et de sécurité (ERIS) - unités chargées de la sécurité dans les établissements pénitentiaires dépendant du ministère de la Justice - venues de Strasbourg, ainsi que deux équipes du GIGN, des profileurs et des négociateurs avaient pris place à l'intérieur et autour de l'établissement. Une cellule de crise avait également été mise en place par le préfet et le procureur, ainsi qu'un impressionnant dispositif de sécurité autour de la prison, fort d'une vingtaine de véhicules, avait été déployé sous les cris des autres détenus à leur fenêtre.
Condamné à deux ans de prison et incarcéré en juillet pour escroquerie à la sécurité sociale dans le cadre d'un trafic de Subutex, produit de substitution à l'héroïne, il devait être libérable en février 2013, selon la préfecture de police de Strasbourg. De source syndicale, le détenu a maintenant été placé en quartier disciplinaire et risque désormais trois ans de prison supplémentaires, en plus de la peine qu'il purge actuellement.
Montmédy : «capharnaüm», «jungle», «poudrière»
Selon Eric Gemmerlé, secrétaire général dans le grand Est du syndicat de surveillants pénitentiaires UFAP-Unsa, le centre de détention de Montmédy est «un véritable capharnaüm». «On assiste à des agressions, à des vols, des trafics, et certains endroits de la prison sont devenus des zones de non-droit, a-t-il affirmé. C'est un établissement en cours de restructuration, qui avait besoin qu'on y remette de l'ordre».
Selon une autre source syndicale qui souhaite garder l'anonymat, cette prise d'otage était «prévisible», «Montmédy, c'est la jungle. Les détenus y circulent comme ils veulent, d'un bâtiment à un autre», souligne-t-elle.
Selon le bâtonnier des avocats de Verdun, Me Fabrice Hagnier, «c'est une prison dans laquelle le climat s'est durci depuis quelques années, pour arriver aujourd'hui à une situation de poudrière». «On se rend compte que les cas d'agressions et de menaces sur le personnel sont en augmentation, les commissions de discipline sont fréquentes et bien remplies», a-t-il expliqué. Autrefois réservé aux détenus purgeant de longues peines, le centre de détention accueille désormais une population plus jeune, pour des peines plus courtes, souvent transférée d'autres établissements. «L'état d'esprit a changé: c'était autrefois calme, désormais la confrontation entre ces deux types de population tourne parfois à la violence», a souligné Me Hagnier.
Le centre de détention de Montmédy, construit en 1990, accueille actuellement 290 détenus, pour une capacité de 328. Contactée par l'AFP, la direction régionale des services pénitentiaires basée à Strasbourg, n'a «pas souhaité communiquer sur cette affaire pour des raisons de sécurité».
Les prises d'otage en prison se terminent généralement sans effusion de sang par la reddition de l'agresseur. La dernière en date remonte au 8 septembre. Un psychologue de la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne) avait été retenu en otage pendant plus de cinq heures par un détenu de 17 ans, déjà auteur d'une prise d'otage en prison il y a quelques mois dans le Rhône.
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La prise d'otage au centre de détention de Montmédy (Meuse) «est terminée et il n'y a pas de blessé», a annoncé mardi soir sur place un responsable syndical de l'Ufap-Unsa, Eric Gemmerlé. «La prise d'otage s'est déroulée paisiblement, le détenu s'est rendu sans condition et le médecin qui avait été séquestré est sain et sauf», a déclaré la préfète de la Meuse Colette Desprez, ajoutant que le détenu n'avait «fait aucune revendication». «C'est le négociateur du GIGN qui a su trouver le moment opportun pour dénouer la crise», a-t-elle précisé.
La prise d'otage, commencée vers 9H30 s'est achevée peu après 20H00. Le détenu, âgé de 37 ans, retenait un médecin de la prison d'une soixantaine d'années sous la menace d'un poinçon. L'otage maîtrisait parfaitement la situation du fait de sa bonne connaissance du détenu, selon une source syndicale à l'intérieur du centre de détention. L'homme, originaire d'Alsace, avait d'ailleurs été décrit par le procureur Yves Le Clair comme «un détenu sans histoires qui ne s'est jamais fait remarquer». Fadik Djaidja n'était pas dangereux mais souffrait psychologiquement et prenait beaucoup de médicaments.
Il risque trois ans de prison supplémentaires
Des équipes régionales d'intervention et de sécurité (ERIS) - unités chargées de la sécurité dans les établissements pénitentiaires dépendant du ministère de la Justice - venues de Strasbourg, ainsi que deux équipes du GIGN, des profileurs et des négociateurs avaient pris place à l'intérieur et autour de l'établissement. Une cellule de crise avait également été mise en place par le préfet et le procureur, ainsi qu'un impressionnant dispositif de sécurité autour de la prison, fort d'une vingtaine de véhicules, avait été déployé sous les cris des autres détenus à leur fenêtre.
Condamné à deux ans de prison et incarcéré en juillet pour escroquerie à la sécurité sociale dans le cadre d'un trafic de Subutex, produit de substitution à l'héroïne, il devait être libérable en février 2013, selon la préfecture de police de Strasbourg. De source syndicale, le détenu a maintenant été placé en quartier disciplinaire et risque désormais trois ans de prison supplémentaires, en plus de la peine qu'il purge actuellement.
Montmédy : «capharnaüm», «jungle», «poudrière»
Selon Eric Gemmerlé, secrétaire général dans le grand Est du syndicat de surveillants pénitentiaires UFAP-Unsa, le centre de détention de Montmédy est «un véritable capharnaüm». «On assiste à des agressions, à des vols, des trafics, et certains endroits de la prison sont devenus des zones de non-droit, a-t-il affirmé. C'est un établissement en cours de restructuration, qui avait besoin qu'on y remette de l'ordre».
Selon une autre source syndicale qui souhaite garder l'anonymat, cette prise d'otage était «prévisible», «Montmédy, c'est la jungle. Les détenus y circulent comme ils veulent, d'un bâtiment à un autre», souligne-t-elle.
Selon le bâtonnier des avocats de Verdun, Me Fabrice Hagnier, «c'est une prison dans laquelle le climat s'est durci depuis quelques années, pour arriver aujourd'hui à une situation de poudrière». «On se rend compte que les cas d'agressions et de menaces sur le personnel sont en augmentation, les commissions de discipline sont fréquentes et bien remplies», a-t-il expliqué. Autrefois réservé aux détenus purgeant de longues peines, le centre de détention accueille désormais une population plus jeune, pour des peines plus courtes, souvent transférée d'autres établissements. «L'état d'esprit a changé: c'était autrefois calme, désormais la confrontation entre ces deux types de population tourne parfois à la violence», a souligné Me Hagnier.
Le centre de détention de Montmédy, construit en 1990, accueille actuellement 290 détenus, pour une capacité de 328. Contactée par l'AFP, la direction régionale des services pénitentiaires basée à Strasbourg, n'a «pas souhaité communiquer sur cette affaire pour des raisons de sécurité».
Les prises d'otage en prison se terminent généralement sans effusion de sang par la reddition de l'agresseur. La dernière en date remonte au 8 septembre. Un psychologue de la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne) avait été retenu en otage pendant plus de cinq heures par un détenu de 17 ans, déjà auteur d'une prise d'otage en prison il y a quelques mois dans le Rhône.
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Re: Actualités concours 2012
Rapt et mariage forcé : six mois avec sursis pour les trois frères
Trois frères de 19, 25 et 26 ans, originaires de Tunisie et habitant en banlieue de Lyon, soupçonnés d'avoir voulu marier de force leur soeur de 18 ans, ont été condamnés mardi soir à six mois de prison avec sursis et deux ans de mise à l'épreuve pour l'avoir enlevée, séquestrée et frappée.
«Je l'ai vue par hasard dans le bus, elle avait l'air amaigrie», a déclaré le plus jeune des frères, le seul à avoir la double nationalité. «On a donné un coup de main pour essayer de la ramener à la famille», a-t-il ajouté, les bras croisés comme ses frères. Selon une de leurs avocates, Ingrid Poulet, ils leur fallait choisir entre «être un bon frère en respectant le désir d'indépendance de Mouna», ou «être un bon fils en faisant plaisir aux parents», qui maintenaient sur eux «une pression morale permanente».
Ce matin-là, le 16 septembre, dans le quartier Grange Blanche à Lyon, Mouna avait été contrainte par ses aînés de monter dans la voiture paternelle qu'ils conduisaient, alors qu'elle se rendait à son travail. La jeune femme d'1,50 m et 45 kg s'était débattue et plusieurs témoins de cette scène violente avaient pu alerter les secours. Grâce à la plaque d'immatriculation, la police l'avait retrouvée une heure et quarante minutes après chez ses parents. Elle avait alors expliqué aux enquêteurs qu'elle tentait d'échapper à un mariage forcé en Tunisie.
A la barre, Salaheddine, Badreddine et Hassein, qui comparaissaient libres sous contrôle judiciaire, ont d'une seule voix expliqué avoir voulu ramener Mouna, qui ne donnait plus de nouvelles, à ses parents pour une fête religieuse.
«On l'a un peu poussée», a admis Salaheddine, alors que la victime déclarait avoir reçu un coup de poing et bénéficié d'un jour d'interruption temporaire de travail (ITT).
Terrorisée, la victime ne s'est pas présentée à la barre
Trois mois auparavant, la jeune fille avait quitté le domicile familial à Vaulx-en-Velin pour habiter à Villeurbanne, chez sa soeur Safa de 21 ans, elle-même mariée de force depuis un an à un «membre de la famille», en Tunisie, d'après Chrystelle Panzani, qui défend les deux soeurs. L'aînée, qui vit aujourd'hui séparée de son époux, souhaite faire annuler son mariage. «Mouna ne va avoir d'autre choix que de rompre avec sa famille», a déploré leur avocate, saluant le courage de cette jeune fille qui «veut vivre sa vie comme elle la choisit».
Terrorisées, les deux soeurs ne sont pas venues témoigner devant le tribunal mais la procureure, Anne Lacombe, qui avait demandé cette peine «significative, dissuasive et protectrice», a dénoncé les actes de ces trois frères «bras armés du père, de la famille au sens élargi, de la tradition». Outre la peine de prison avec sursis, les frères auront l'interdiction de rencontrer la jeune fille durant deux ans et devront lui verser 2.000 euros de dommages et intérêts. En revanche, le tribunal a relaxé le frère accusé du vol du passeport de l'ainée de Mouna.
La famille, arrivée en France en 1994, compte dix enfants dont quatre filles. Aucun des garçons prévenus n'avait d'antécédent judiciaire et les trois ont une activité professionnelle.
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Trois frères de 19, 25 et 26 ans, originaires de Tunisie et habitant en banlieue de Lyon, soupçonnés d'avoir voulu marier de force leur soeur de 18 ans, ont été condamnés mardi soir à six mois de prison avec sursis et deux ans de mise à l'épreuve pour l'avoir enlevée, séquestrée et frappée.
«Je l'ai vue par hasard dans le bus, elle avait l'air amaigrie», a déclaré le plus jeune des frères, le seul à avoir la double nationalité. «On a donné un coup de main pour essayer de la ramener à la famille», a-t-il ajouté, les bras croisés comme ses frères. Selon une de leurs avocates, Ingrid Poulet, ils leur fallait choisir entre «être un bon frère en respectant le désir d'indépendance de Mouna», ou «être un bon fils en faisant plaisir aux parents», qui maintenaient sur eux «une pression morale permanente».
Ce matin-là, le 16 septembre, dans le quartier Grange Blanche à Lyon, Mouna avait été contrainte par ses aînés de monter dans la voiture paternelle qu'ils conduisaient, alors qu'elle se rendait à son travail. La jeune femme d'1,50 m et 45 kg s'était débattue et plusieurs témoins de cette scène violente avaient pu alerter les secours. Grâce à la plaque d'immatriculation, la police l'avait retrouvée une heure et quarante minutes après chez ses parents. Elle avait alors expliqué aux enquêteurs qu'elle tentait d'échapper à un mariage forcé en Tunisie.
A la barre, Salaheddine, Badreddine et Hassein, qui comparaissaient libres sous contrôle judiciaire, ont d'une seule voix expliqué avoir voulu ramener Mouna, qui ne donnait plus de nouvelles, à ses parents pour une fête religieuse.
«On l'a un peu poussée», a admis Salaheddine, alors que la victime déclarait avoir reçu un coup de poing et bénéficié d'un jour d'interruption temporaire de travail (ITT).
Terrorisée, la victime ne s'est pas présentée à la barre
Trois mois auparavant, la jeune fille avait quitté le domicile familial à Vaulx-en-Velin pour habiter à Villeurbanne, chez sa soeur Safa de 21 ans, elle-même mariée de force depuis un an à un «membre de la famille», en Tunisie, d'après Chrystelle Panzani, qui défend les deux soeurs. L'aînée, qui vit aujourd'hui séparée de son époux, souhaite faire annuler son mariage. «Mouna ne va avoir d'autre choix que de rompre avec sa famille», a déploré leur avocate, saluant le courage de cette jeune fille qui «veut vivre sa vie comme elle la choisit».
Terrorisées, les deux soeurs ne sont pas venues témoigner devant le tribunal mais la procureure, Anne Lacombe, qui avait demandé cette peine «significative, dissuasive et protectrice», a dénoncé les actes de ces trois frères «bras armés du père, de la famille au sens élargi, de la tradition». Outre la peine de prison avec sursis, les frères auront l'interdiction de rencontrer la jeune fille durant deux ans et devront lui verser 2.000 euros de dommages et intérêts. En revanche, le tribunal a relaxé le frère accusé du vol du passeport de l'ainée de Mouna.
La famille, arrivée en France en 1994, compte dix enfants dont quatre filles. Aucun des garçons prévenus n'avait d'antécédent judiciaire et les trois ont une activité professionnelle.
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Re: Actualités concours 2012
Les patrons sensibilisés au trouble musculo-squelettique
Ces maladies professionnelles du type lombalgie ou tendinite concernent plus d'un travailleur sur cinq. Le gouvernement lance une nouvelle campagne de sensibilisation à destination des chefs d'entreprise. .
Tendinites de l'épaule, lombalgies, syndromes du canal carpien, arthrose du coude : les troubles musculo-squelettiques (TMS) restent la première cause de maladies professionnelles en France. Une épidémie d'une ampleur inquiétante qui justifie la nouvelle campagne de sensibilisation. A partir de jeudi, des spots radio et des publications dans la presse inviteront les chefs d'entreprises à s'informer sur la prévention des TMS auprès du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé.
Favorisées par des mouvements répétitifs et un travail en position statique, ces affections touchent surtout les muscles, les tendons et les nerfs. «Une grande part des individus en âge de travailler en France sont ou seront directement affectés par des TMS au cours des prochaines années, ce qui aura des répercussions sociales et économiques conséquentes pour les individus et leur famille», prédit un rapport de l'Institut d'études européen Work Foundation paru en 2009. Les populations les plus vulnérables sont les ouvriers et les employés peu qualifiés.
Des marges de progrès importantesPour faire passer le message, la campagne 2011 -la quatrième sur les TMS- opte pour un ton décalé. L'un des spots radio diffusés jusqu'au 29 octobre joue la carte de l'ironie en parodiant une émission de télé-achat :«Dites STOP aux douleurs de dos de vos employés ! La solution? Le trampopulseur 3000! Propulsez toutes vos charges les plus lourdes par rebond à quinze mètres en ligne droite!». Une voix plus sobre rappelle ensuite que «prévenir les troubles musculo-squelettiques ne s'improvise pas. Découvrez les vraies bonnes méthodes sur www.travailler-mieux.gouv.fr».
Même idée dans la presse, où des dessins mettent en scène des salariés utilisant des méthodes absurdes pour prévenir les TMS comme une femme saucissonnée de coussins pour être plus à l'aise sur son poste de travail.
Jean-Denis Combrexelle, directeur général du travail, a rappelé mardi que l'objectif du gouvernement, qui a fait de la lutte contre les TMS une priorité depuis 2005, était de «stabiliser le nombre de maladies professionnelles». «Il y a des marges de progrès importantes» sur la question des TMS, a-t-il souligné. «On ne réfléchit pas suffisamment dans l'entreprise sur les conditions de travail».
Selon la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAMTS), les TMS, qui continuent d'augmenter, représentent 85% des causes de maladies professionnelles reconnues pour les actifs du régime général. En 2010, ces maladies, qui touchent tous les secteurs d'activité, ont engendré la perte de 9,7 millions de journées de travail et coûté 930 millions d'euros.
Le Figaro.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Ces maladies professionnelles du type lombalgie ou tendinite concernent plus d'un travailleur sur cinq. Le gouvernement lance une nouvelle campagne de sensibilisation à destination des chefs d'entreprise. .
Tendinites de l'épaule, lombalgies, syndromes du canal carpien, arthrose du coude : les troubles musculo-squelettiques (TMS) restent la première cause de maladies professionnelles en France. Une épidémie d'une ampleur inquiétante qui justifie la nouvelle campagne de sensibilisation. A partir de jeudi, des spots radio et des publications dans la presse inviteront les chefs d'entreprises à s'informer sur la prévention des TMS auprès du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé.
Favorisées par des mouvements répétitifs et un travail en position statique, ces affections touchent surtout les muscles, les tendons et les nerfs. «Une grande part des individus en âge de travailler en France sont ou seront directement affectés par des TMS au cours des prochaines années, ce qui aura des répercussions sociales et économiques conséquentes pour les individus et leur famille», prédit un rapport de l'Institut d'études européen Work Foundation paru en 2009. Les populations les plus vulnérables sont les ouvriers et les employés peu qualifiés.
Des marges de progrès importantesPour faire passer le message, la campagne 2011 -la quatrième sur les TMS- opte pour un ton décalé. L'un des spots radio diffusés jusqu'au 29 octobre joue la carte de l'ironie en parodiant une émission de télé-achat :«Dites STOP aux douleurs de dos de vos employés ! La solution? Le trampopulseur 3000! Propulsez toutes vos charges les plus lourdes par rebond à quinze mètres en ligne droite!». Une voix plus sobre rappelle ensuite que «prévenir les troubles musculo-squelettiques ne s'improvise pas. Découvrez les vraies bonnes méthodes sur www.travailler-mieux.gouv.fr».
Même idée dans la presse, où des dessins mettent en scène des salariés utilisant des méthodes absurdes pour prévenir les TMS comme une femme saucissonnée de coussins pour être plus à l'aise sur son poste de travail.
Jean-Denis Combrexelle, directeur général du travail, a rappelé mardi que l'objectif du gouvernement, qui a fait de la lutte contre les TMS une priorité depuis 2005, était de «stabiliser le nombre de maladies professionnelles». «Il y a des marges de progrès importantes» sur la question des TMS, a-t-il souligné. «On ne réfléchit pas suffisamment dans l'entreprise sur les conditions de travail».
Selon la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAMTS), les TMS, qui continuent d'augmenter, représentent 85% des causes de maladies professionnelles reconnues pour les actifs du régime général. En 2010, ces maladies, qui touchent tous les secteurs d'activité, ont engendré la perte de 9,7 millions de journées de travail et coûté 930 millions d'euros.
Le Figaro.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Recul de l'accès à la contraception : l'appel de 2 mutuelles.
Des moyens de contraception peu ou pas remboursés, des centres de planification de moins en moins nombreux, un accès à l’IVG qui n’est pas égal pour toutes : ce mardi, la LMDE – mutuelle nationale étudiante -, et la Mutuelle générale de l’éducation nationale, la MGEN, ont lancé un appel aux pouvoirs publics pour les alerter sur la pauvreté des moyens mis à disposition des femmes en matière de contraception et d'avortement.
Un meilleur suivi gynécologique
« Les moyens et les organisations actuels du système de santé ne garantissent plus l’accès de toutes les femmes à ces droits fondamentaux », peut-on lire dans ce texte, diffusé sur Internet. Face à ces constats, la LMDE et la MGEN, « mutuelles engagées dans la lutte pour les droits des femmes », appellent de leurs vœux différentes mesures. Ainsi, elles réclament le développement des « programmes de prévention à tous les âges de la vie, de la maternelle, au grand âge, s’appuyant sur la relation à l’autre, le respect des choix de vie, de l’orientation sexuelle et des identités de genre ». Autres points soulevés : le « suivi gynécologique » facilité et garanti sur tout le territoire, et la « gratuité de l’ensemble des moyens de contraception disponibles ».
Trente-six ans après la loi Veil, force est de constater que l’accès à l’IVG n’est pas aisé pour toutes. Les deux mutuelles entendent également défendre le droit à l’avortement, « en garantissant l’existence et l’accès aux structures de proximité capables de prendre en charge les femmes dans les délais prévus par la loi ».
Elisabeth Badinter signataire
« De trop nombreux centres de planification ferment, les interruptions volontaires de grossesse (IVG) concernent de plus en plus les jeunes filles, l'assurance-maladie prend insuffisamment en charge les contraceptifs, l'éducation sexuelle n'est que trop rarement enseignée à l'école », déplorent les deux mutuelles. Selon un sondage MGEN-LMDE réalisé par Opinion Way, une femme sur cinq ne bénéficie d'aucun suivi gynécologique régulier.
Soutenu par le Collège national gynécologues et obstétriciens français et la Fédération nationale des collèges de gynécologie médicale, l’appel a d’ores et déjà été signé par plusieurs personnalités dont Elisabeth Badinter, Gisèle Halimi ou encore le gynécologue Isräel Nisand qui doit bientôt remettre au gouvernement un rapport sur la contraception et l'avortement des jeunes filles.
Magazine ElleÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Des moyens de contraception peu ou pas remboursés, des centres de planification de moins en moins nombreux, un accès à l’IVG qui n’est pas égal pour toutes : ce mardi, la LMDE – mutuelle nationale étudiante -, et la Mutuelle générale de l’éducation nationale, la MGEN, ont lancé un appel aux pouvoirs publics pour les alerter sur la pauvreté des moyens mis à disposition des femmes en matière de contraception et d'avortement.
Un meilleur suivi gynécologique
« Les moyens et les organisations actuels du système de santé ne garantissent plus l’accès de toutes les femmes à ces droits fondamentaux », peut-on lire dans ce texte, diffusé sur Internet. Face à ces constats, la LMDE et la MGEN, « mutuelles engagées dans la lutte pour les droits des femmes », appellent de leurs vœux différentes mesures. Ainsi, elles réclament le développement des « programmes de prévention à tous les âges de la vie, de la maternelle, au grand âge, s’appuyant sur la relation à l’autre, le respect des choix de vie, de l’orientation sexuelle et des identités de genre ». Autres points soulevés : le « suivi gynécologique » facilité et garanti sur tout le territoire, et la « gratuité de l’ensemble des moyens de contraception disponibles ».
Trente-six ans après la loi Veil, force est de constater que l’accès à l’IVG n’est pas aisé pour toutes. Les deux mutuelles entendent également défendre le droit à l’avortement, « en garantissant l’existence et l’accès aux structures de proximité capables de prendre en charge les femmes dans les délais prévus par la loi ».
Elisabeth Badinter signataire
« De trop nombreux centres de planification ferment, les interruptions volontaires de grossesse (IVG) concernent de plus en plus les jeunes filles, l'assurance-maladie prend insuffisamment en charge les contraceptifs, l'éducation sexuelle n'est que trop rarement enseignée à l'école », déplorent les deux mutuelles. Selon un sondage MGEN-LMDE réalisé par Opinion Way, une femme sur cinq ne bénéficie d'aucun suivi gynécologique régulier.
Soutenu par le Collège national gynécologues et obstétriciens français et la Fédération nationale des collèges de gynécologie médicale, l’appel a d’ores et déjà été signé par plusieurs personnalités dont Elisabeth Badinter, Gisèle Halimi ou encore le gynécologue Isräel Nisand qui doit bientôt remettre au gouvernement un rapport sur la contraception et l'avortement des jeunes filles.
Magazine ElleÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
IDE depuis Juillet 2015
Echange de fiches
Bonjour a tous,
Je m' appelle déborah et je vais passer le concours en mars prochain a paris! APHP. Je souhaiterai savoir si certain serait interressés pour un echange de fiches! J'ai déjà pas mal avancé mais il y a certain thèmes que j'ai du mal a boucler!
Byebye : )Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je m' appelle déborah et je vais passer le concours en mars prochain a paris! APHP. Je souhaiterai savoir si certain serait interressés pour un echange de fiches! J'ai déjà pas mal avancé mais il y a certain thèmes que j'ai du mal a boucler!
Byebye : )Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités concours 2012
deborahb a écrit :Bonjour a tous,
Je m' appelle déborah et je vais passer le concours en mars prochain a paris! APHP. Je souhaiterai savoir si certain serait interressés pour un echange de fiches! J'ai déjà pas mal avancé mais il y a certain thèmes que j'ai du mal a boucler!
Byebye : )
Bonjour déborah!
Est ce que tu es allée voir le post fiches culture générale 2012?Les filles mettent des super fiches ça aide bien!
bonne soirée!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Re: Actualités concours 2012
Salut Debella!
...Je viens de tout lire y'a de quoi faire!
Oui on a pas mal d'exercices différents à faire pour la semaine et sinon c'est que le vendredi maths le matin et culture gé ou entrainement à l'oral l'aprem.Donc je compte surtout sur mon travail personnel parce qu'on à pas le temps de traiter beaucoup de choses;
du coup je me fais mon planning à moi!
20h c'est super!en plus ça à l'air varié comme cours tu dois être contente
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...Je viens de tout lire y'a de quoi faire!

Oui on a pas mal d'exercices différents à faire pour la semaine et sinon c'est que le vendredi maths le matin et culture gé ou entrainement à l'oral l'aprem.Donc je compte surtout sur mon travail personnel parce qu'on à pas le temps de traiter beaucoup de choses;

20h c'est super!en plus ça à l'air varié comme cours tu dois être contente

J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Re: Actualités concours 2012
Deborah, comme a dit Mouchou, le post des fiche est trés bien fait et celui de 2010 et trés bien aussi. Des fois je prends appui dessus pour mes plans.
Ah oui s'est concentré ta prépa Mouchou, mais si tu as le moindre doute ou un conseils hésite pas, on est la. Sur les posts, en MP ...Comme tu veux
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Ah oui s'est concentré ta prépa Mouchou, mais si tu as le moindre doute ou un conseils hésite pas, on est la. Sur les posts, en MP ...Comme tu veux

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
La gastro-entérite touche déjà cinq régions françaises
Avec seulement 132 cas pour 100.000 habitants, l'activité de gastro-entérite a été faible au cours de la semaine du 10 au 16 octobre derniers, selon le dernier bulletin du réseau Sentinelles, publié mercredi 19 octobre. Cinq régions de l'Hexagone sont toutefois fortement touchées par la maladie avec une incidence supérieure au seuil épidémique fixé à 204 cas pour 100.000 habitants. Il s'agit du Poitou-Charentes (212 cas), du Languedoc-Roussillon (250 cas), du Centre (250 cas), de l'Alsace (371 cas) et du Limousin (723 cas).
Les crises d'asthme et la varicelle, autres maladies surveillées par les médecins Sentinelles, sont également bien installées dans certaines régions françaises, notamment en Poitou-Charentes (68 cas pour 100.000 habitants) pour les crises d'asthme, et en Haute-Normandie (65 cas) et en Champagne-Ardenne (62 cas) pour la varicelle.
En revanche, la grippe saisonnière n'a fait l'objet que d'une activité faible au cours de cette même semaine. Seuls des cas sporadiques ont été observés sur le territoire français.
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Avec seulement 132 cas pour 100.000 habitants, l'activité de gastro-entérite a été faible au cours de la semaine du 10 au 16 octobre derniers, selon le dernier bulletin du réseau Sentinelles, publié mercredi 19 octobre. Cinq régions de l'Hexagone sont toutefois fortement touchées par la maladie avec une incidence supérieure au seuil épidémique fixé à 204 cas pour 100.000 habitants. Il s'agit du Poitou-Charentes (212 cas), du Languedoc-Roussillon (250 cas), du Centre (250 cas), de l'Alsace (371 cas) et du Limousin (723 cas).
Les crises d'asthme et la varicelle, autres maladies surveillées par les médecins Sentinelles, sont également bien installées dans certaines régions françaises, notamment en Poitou-Charentes (68 cas pour 100.000 habitants) pour les crises d'asthme, et en Haute-Normandie (65 cas) et en Champagne-Ardenne (62 cas) pour la varicelle.
En revanche, la grippe saisonnière n'a fait l'objet que d'une activité faible au cours de cette même semaine. Seuls des cas sporadiques ont été observés sur le territoire français.
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