Actualités 2012
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
Prothèse dentaire : Un nouveau kit de traçabilité
Alors que les dentistes s’engagent à plus de transparence sur l’origine des prothèses, les associations de consommateurs dénoncent l’opacité des tarifs sur les soins dentaires.
Les Français devraient bientôt avoir droit à une meilleure transparence sur l’origine des 11,4 millions de prothèses dentaires posées chaque année. La Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD) a présenté mardi un « kit de transparence » que les dentistes pourront remettre à leurs patients « d’ici quelques mois ». Grâce à ce nouveau dispositif légal, inscrit au Code de santé publique, les patients disposeront d’une information détaillée leur garantissant la conformité et la sécurité des matériaux utilisés, ainsi que le lieu de fabrication. « On demande bien l’origine lorsqu’il s’agit d’un pull-over ou d’un aliment, je ne vois pas pourquoi cela ne serait pas le cas pour les prothèses dentaires », a affirmé mardi Roland L’Herron, président du CNSD. L’association de Défense des consommateurs de soins et prothèses dentaires (DCSP) regrette toutefois que la question de la transparence des tarifs des soins dentaires n’ait pas été prise en compte. « La loi française exige que les praticiens indiquent le prix d’achat, pourtant, la plupart s’y refusent !, s’insurge Joël Dubois, son président. Pour une prothèse dentaire par exemple, le prix passe du simple au double, selon le dentiste. »
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Alors que les dentistes s’engagent à plus de transparence sur l’origine des prothèses, les associations de consommateurs dénoncent l’opacité des tarifs sur les soins dentaires.
Les Français devraient bientôt avoir droit à une meilleure transparence sur l’origine des 11,4 millions de prothèses dentaires posées chaque année. La Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD) a présenté mardi un « kit de transparence » que les dentistes pourront remettre à leurs patients « d’ici quelques mois ». Grâce à ce nouveau dispositif légal, inscrit au Code de santé publique, les patients disposeront d’une information détaillée leur garantissant la conformité et la sécurité des matériaux utilisés, ainsi que le lieu de fabrication. « On demande bien l’origine lorsqu’il s’agit d’un pull-over ou d’un aliment, je ne vois pas pourquoi cela ne serait pas le cas pour les prothèses dentaires », a affirmé mardi Roland L’Herron, président du CNSD. L’association de Défense des consommateurs de soins et prothèses dentaires (DCSP) regrette toutefois que la question de la transparence des tarifs des soins dentaires n’ait pas été prise en compte. « La loi française exige que les praticiens indiquent le prix d’achat, pourtant, la plupart s’y refusent !, s’insurge Joël Dubois, son président. Pour une prothèse dentaire par exemple, le prix passe du simple au double, selon le dentiste. »
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Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
Valognes : Le convoi de déchets nucléaires prêt à partir
Un convoi de déchets nucléaires allemands hautement radioactifs doit partir ce mercredi de Valognes. Les militants antinucléaires se sont mobilisés pour empêcher ce départ.
« Nous ne voulons pas que ce train parte. Il y a un risque pour les personnes, pour la nature, pour tout le monde. C'est une honte, il faut absolument en finir avec ce genre de transport », explique un militant écologiste très remonté. Pour lui, une seule solution, bloquer le train. Pourtant, ce convoi de déchets nucléaires allemands hautement radioactifs devrait partir de Valognes à l'heure dite. « Pour le moment, le départ du train est toujours prévu pour mercredi 14h20 », a indiqué Yannick Rousselet, chargé des questions nucléaires de Greenpeace.
Départ avancé ou retardé, les rumeurs les plus contradictoires circulaient mardi au sujet de ce 12e et dernier convoi de déchets nucléaires allemands, retraités par Areva, à destination de Gorleben en Basse-Saxe. Areva a confirmé que 11 wagons de déchets allemands retraités à Beaumont-Hague (Manche) étaient arrivés à Valognes. En attendant, la manifestation antinucléaire organisée mardi soir à l'appel de Greenpeace, Sortir du nucléaire et Europe Ecologie les Verts (EELV) a rassemblé une centaine de personnes. Parallèlement, 200 à 250 personnes selon la police, au moins 500 selon les organisateurs, avaient rejoint mardi soir le camp organisé dans un champ privé à quelques kms de Valognes.
Routes bloquées, aucun déplacement
Plusieurs membres de collectifs appellent à bloquer le train. Il a fixé un rassemblement mercredi à 10h00 à Lieusaint, à 4,5 km de Valognes. « Il n'est pas question de partir dans un affrontement avec les forces de l'ordre. S'il y a des violences, elles viendront de la police », a déclaré un militant. « Il faut arrêter de croire qu'un arrêt du nucléaire sortira des élections. On l'a vu la semaine dernière, EELV s'est complètement étalé devant le PS et le lobby nucléaire. Il faut nuire aux intérêts du lobby nucléaire», a-t-il estimé.
En attendant, la préfecture a interdit toute manifestation mardi et mercredi à Valognes, ainsi que à 500 mètres de part et d'autre de la voie ferrée que doit emprunter le train dans la Manche, soit 70 kilomètres. Une mesure très exceptionnelle. Un important dispositif de sécurité s'est mis en place dans la discrétion lundi et mardi, alors que les militants arrivaient au compte goutte mais de façon régulière au camp. Un hélicoptère de gendarmerie survole Valognes et ses environs depuis lundi. La SNCF a annulé ses trains mercredi entre Cherbourg et Lison, situé à la limite de la Manche et du Calvados
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Un convoi de déchets nucléaires allemands hautement radioactifs doit partir ce mercredi de Valognes. Les militants antinucléaires se sont mobilisés pour empêcher ce départ.
« Nous ne voulons pas que ce train parte. Il y a un risque pour les personnes, pour la nature, pour tout le monde. C'est une honte, il faut absolument en finir avec ce genre de transport », explique un militant écologiste très remonté. Pour lui, une seule solution, bloquer le train. Pourtant, ce convoi de déchets nucléaires allemands hautement radioactifs devrait partir de Valognes à l'heure dite. « Pour le moment, le départ du train est toujours prévu pour mercredi 14h20 », a indiqué Yannick Rousselet, chargé des questions nucléaires de Greenpeace.
Départ avancé ou retardé, les rumeurs les plus contradictoires circulaient mardi au sujet de ce 12e et dernier convoi de déchets nucléaires allemands, retraités par Areva, à destination de Gorleben en Basse-Saxe. Areva a confirmé que 11 wagons de déchets allemands retraités à Beaumont-Hague (Manche) étaient arrivés à Valognes. En attendant, la manifestation antinucléaire organisée mardi soir à l'appel de Greenpeace, Sortir du nucléaire et Europe Ecologie les Verts (EELV) a rassemblé une centaine de personnes. Parallèlement, 200 à 250 personnes selon la police, au moins 500 selon les organisateurs, avaient rejoint mardi soir le camp organisé dans un champ privé à quelques kms de Valognes.
Routes bloquées, aucun déplacement
Plusieurs membres de collectifs appellent à bloquer le train. Il a fixé un rassemblement mercredi à 10h00 à Lieusaint, à 4,5 km de Valognes. « Il n'est pas question de partir dans un affrontement avec les forces de l'ordre. S'il y a des violences, elles viendront de la police », a déclaré un militant. « Il faut arrêter de croire qu'un arrêt du nucléaire sortira des élections. On l'a vu la semaine dernière, EELV s'est complètement étalé devant le PS et le lobby nucléaire. Il faut nuire aux intérêts du lobby nucléaire», a-t-il estimé.
En attendant, la préfecture a interdit toute manifestation mardi et mercredi à Valognes, ainsi que à 500 mètres de part et d'autre de la voie ferrée que doit emprunter le train dans la Manche, soit 70 kilomètres. Une mesure très exceptionnelle. Un important dispositif de sécurité s'est mis en place dans la discrétion lundi et mardi, alors que les militants arrivaient au compte goutte mais de façon régulière au camp. Un hélicoptère de gendarmerie survole Valognes et ses environs depuis lundi. La SNCF a annulé ses trains mercredi entre Cherbourg et Lison, situé à la limite de la Manche et du Calvados
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Re: Actualités concours 2012
La colocation, un choix de vie
C'est une maison qu'ils appellent "le lavomatic". A une époque, ils accueillaient, le temps d'une lessive, des amis en panne de machine à laver. Le nom est resté. Dans cette maison de plain-pied du quartier de Figuerolles, à Montpellier, vivent deux filles et deux garçons âgés de 23 à 30 ans. Il y a Sarah, qui travaille dans une association de vulgarisation scientifique, Pauline, employée d'une association culturelle, Jérôme, infirmier, et Simon, le dernier venu, qui étudie le journalisme à Montpellier. Ils ont chacun leur chambre à l'étage et se partagent le rez-de-chaussée et la courette qu'on imagine comme une agréable extension du salon à la belle saison
Quand on arrive, un soir de semaine, une compote de pommes — format familial — mijote dans la cuisine ouverte sur le séjour. C'est presque l'heure du repas et on attend Jérôme l'infirmier le seul à "avoir des horaires un peu particuliers". Sans plus de cérémonie, on ajoute deux assiettes pour les auteurs de ce blog. On nous explique qu'ici viennent pas mal de gens, des copains des uns et des autres ou d'anciens colocataires qui passent par là, comme Quentin, étudiant en science, qui partagera le plat de nouilles à la bolognaise. Un hasard que ce cliché de la vie étudiante puisqu'ils mettent un point d'honneur à diversifier et équilibrer leur alimentation.
S'ils ont choisi de vivre ensemble, c'est évidemment pour des raisons économiques. Un loyer de 1 200 euros à couper en quatre est un argument de poids quand le moindre studio se loue plus de 400 euros dans le centre de la ville, à une dizaine de minutes à pied de là. Mais, ils insistent sur ce point, "c'est aussi un choix de vie" plus qu'une contrainte puisqu'ils pourraient presque tous "se payer un petit appartement". Ils partagent plus qu'un loyer et profitent d'une vie commune, d'une grande maison et de l'esprit qui va avec.
Ici on partage tout. Les courses sont faites en commun et on divise le tout par quatre chaque mois. En théorie. Parfois les tickets de caisse traînent quelques semaines de plus, au risque de déséquilibrer des budgets serrés. Mais, ils en ont la certitude : "au final, tout s'équilibre". C'est la seule règle à peu près établie. Le reste se conçoit en bonne intelligence, sans qu'il y ait besoin de l'écrire noir sur blanc. Un peu comme dans une famille.
La propriétaire et ses enfants ont quitté Montpellier il y a quelques années après une séparation et un héritage. Elle a accepté de louer à de jeunes gens. Ce n'était pas eux. Ils sont arrivés les uns après les autres, remplaçant peu à peu l'équipe originelle. Sarah est la plus ancienne. Originaire de la région parisienne, elle est arrivée alors qu'elle "ne connaissait personne à Montpellier". Les autres ont suivi, recrutés par affinité et jamais par petite annonce. Pauline parce que la maison où elle habitait, en colocation déjà, a été vendue ; Simon et Jérôme parce qu'ils arrivaient dans la ville. Il n'y a pas eu de "procédure de recrutement" particulière. "Je connaissais Sarah. Je suis venu pour dîner, avec une bouteille de vin. C'était juste une discussion, pas un entretien", se souvient Simon qui a posé sa valise début 2011.
La propriétaire s’accommode de ce va-et-vient. "On fait une lettre pour obtenir un avenant à l'état des lieux, on organise une rencontre", raconte Sarah qui a vu arriver tout ce petit monde. Il y eut à une époque quelques frictions, se souvient Quentin, mais celle qui possède la villa a apprécié que les lieux soient bien tenus et entretient depuis de "bons rapports".
Jérôme est rentré. Le repas est prêt. Nous avons juste eu le temps d'aller à l'épicerie du coin acheter une bouteille de vin pour honorer nos hôtes. Dans ce quartier populaire en pleine gentrification, on trouve à peu près de tout, à toute heure. Autour de la table, on discute de sa journée et de celle du lendemain, de la pluie, du beau temps et du concept de colocation choisie, puisque nous sommes venus pour ça. A les entendre, c'est du velours. "On dîne ensemble, on discute, on regarde un film de temps en temps. On ne fait pas trop de fêtes la semaine", détaille Simon.
"On se respecte beaucoup plus qu'avec certains précédents colocataires", renchérit Sarah qui fait allusion aux mœurs noctambules des "anciens" de la villa. Et quid des révisions pour l'étudiant du groupe ? "Je n'ai aucun problème pour bosser, même si la maison n'est pas silencieuse. Je peux m'isoler dans ma chambre et descendre le temps d'une pause cigarette", se réjouit Simon. Les grosses fêtes, on les réserve pour le week-end en prenant soin de prévenir le voisinage. La dernière en date remonte à huit jours. Ils avaient invité 80 personnes pour fêter... l'arrivée d'un lave-vaisselle, cédé par un proche. "Ça révolutionne la vie", rigolent-ils en chœur.
C'est l'heure de la tisane, rituel immuable des fins de soirée au "lavomatic". A Montpellier, il existe des centaines de colocations, qu'elles se soient formées par nécessité économique ou par choix. Beaucoup de leurs amis ont choisi le même mode de vie et l'idée leur est venue de se lier. "On essaye de monter un réseau d'entraide sur le modèle des coopératives agricoles [les CUMA]", note Pauline. Pour le moment, l'idée n'est formalisée que par un document partagé, mais ils ont l'ambition de mutualiser tout ce qu'ils peuvent : les appareils qui ne servent que de temps en temps, les compétences des uns et des autres, les achats en gros... Parce qu'au-delà de la colocation, le modèle de société auquel ils aspirent commence par là.
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C'est une maison qu'ils appellent "le lavomatic". A une époque, ils accueillaient, le temps d'une lessive, des amis en panne de machine à laver. Le nom est resté. Dans cette maison de plain-pied du quartier de Figuerolles, à Montpellier, vivent deux filles et deux garçons âgés de 23 à 30 ans. Il y a Sarah, qui travaille dans une association de vulgarisation scientifique, Pauline, employée d'une association culturelle, Jérôme, infirmier, et Simon, le dernier venu, qui étudie le journalisme à Montpellier. Ils ont chacun leur chambre à l'étage et se partagent le rez-de-chaussée et la courette qu'on imagine comme une agréable extension du salon à la belle saison
Quand on arrive, un soir de semaine, une compote de pommes — format familial — mijote dans la cuisine ouverte sur le séjour. C'est presque l'heure du repas et on attend Jérôme l'infirmier le seul à "avoir des horaires un peu particuliers". Sans plus de cérémonie, on ajoute deux assiettes pour les auteurs de ce blog. On nous explique qu'ici viennent pas mal de gens, des copains des uns et des autres ou d'anciens colocataires qui passent par là, comme Quentin, étudiant en science, qui partagera le plat de nouilles à la bolognaise. Un hasard que ce cliché de la vie étudiante puisqu'ils mettent un point d'honneur à diversifier et équilibrer leur alimentation.
S'ils ont choisi de vivre ensemble, c'est évidemment pour des raisons économiques. Un loyer de 1 200 euros à couper en quatre est un argument de poids quand le moindre studio se loue plus de 400 euros dans le centre de la ville, à une dizaine de minutes à pied de là. Mais, ils insistent sur ce point, "c'est aussi un choix de vie" plus qu'une contrainte puisqu'ils pourraient presque tous "se payer un petit appartement". Ils partagent plus qu'un loyer et profitent d'une vie commune, d'une grande maison et de l'esprit qui va avec.
Ici on partage tout. Les courses sont faites en commun et on divise le tout par quatre chaque mois. En théorie. Parfois les tickets de caisse traînent quelques semaines de plus, au risque de déséquilibrer des budgets serrés. Mais, ils en ont la certitude : "au final, tout s'équilibre". C'est la seule règle à peu près établie. Le reste se conçoit en bonne intelligence, sans qu'il y ait besoin de l'écrire noir sur blanc. Un peu comme dans une famille.
La propriétaire et ses enfants ont quitté Montpellier il y a quelques années après une séparation et un héritage. Elle a accepté de louer à de jeunes gens. Ce n'était pas eux. Ils sont arrivés les uns après les autres, remplaçant peu à peu l'équipe originelle. Sarah est la plus ancienne. Originaire de la région parisienne, elle est arrivée alors qu'elle "ne connaissait personne à Montpellier". Les autres ont suivi, recrutés par affinité et jamais par petite annonce. Pauline parce que la maison où elle habitait, en colocation déjà, a été vendue ; Simon et Jérôme parce qu'ils arrivaient dans la ville. Il n'y a pas eu de "procédure de recrutement" particulière. "Je connaissais Sarah. Je suis venu pour dîner, avec une bouteille de vin. C'était juste une discussion, pas un entretien", se souvient Simon qui a posé sa valise début 2011.
La propriétaire s’accommode de ce va-et-vient. "On fait une lettre pour obtenir un avenant à l'état des lieux, on organise une rencontre", raconte Sarah qui a vu arriver tout ce petit monde. Il y eut à une époque quelques frictions, se souvient Quentin, mais celle qui possède la villa a apprécié que les lieux soient bien tenus et entretient depuis de "bons rapports".
Jérôme est rentré. Le repas est prêt. Nous avons juste eu le temps d'aller à l'épicerie du coin acheter une bouteille de vin pour honorer nos hôtes. Dans ce quartier populaire en pleine gentrification, on trouve à peu près de tout, à toute heure. Autour de la table, on discute de sa journée et de celle du lendemain, de la pluie, du beau temps et du concept de colocation choisie, puisque nous sommes venus pour ça. A les entendre, c'est du velours. "On dîne ensemble, on discute, on regarde un film de temps en temps. On ne fait pas trop de fêtes la semaine", détaille Simon.
"On se respecte beaucoup plus qu'avec certains précédents colocataires", renchérit Sarah qui fait allusion aux mœurs noctambules des "anciens" de la villa. Et quid des révisions pour l'étudiant du groupe ? "Je n'ai aucun problème pour bosser, même si la maison n'est pas silencieuse. Je peux m'isoler dans ma chambre et descendre le temps d'une pause cigarette", se réjouit Simon. Les grosses fêtes, on les réserve pour le week-end en prenant soin de prévenir le voisinage. La dernière en date remonte à huit jours. Ils avaient invité 80 personnes pour fêter... l'arrivée d'un lave-vaisselle, cédé par un proche. "Ça révolutionne la vie", rigolent-ils en chœur.
C'est l'heure de la tisane, rituel immuable des fins de soirée au "lavomatic". A Montpellier, il existe des centaines de colocations, qu'elles se soient formées par nécessité économique ou par choix. Beaucoup de leurs amis ont choisi le même mode de vie et l'idée leur est venue de se lier. "On essaye de monter un réseau d'entraide sur le modèle des coopératives agricoles [les CUMA]", note Pauline. Pour le moment, l'idée n'est formalisée que par un document partagé, mais ils ont l'ambition de mutualiser tout ce qu'ils peuvent : les appareils qui ne servent que de temps en temps, les compétences des uns et des autres, les achats en gros... Parce qu'au-delà de la colocation, le modèle de société auquel ils aspirent commence par là.
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Re: Actualités concours 2012
Les vols avec violence contre les femmes en hausse
Par C.H- Le 22/11/2011
De plus en plus de femmes se déclarent victimes de vols ou de tentatives de vols avec violences ou menaces. Une hausse de 35% en deux ans a en effet été constatée. C’est l’un des enseignements de la cinquième étude de victimation de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) réalisée auprès de 17 000 personnes. Selon cette étude qui mesure la délinquance telle que la vivent réellement les Français, 4 millions de vols sont déclarés contre 1,5 million rapportés dans les chiffres officiels de la police et de la gendarmerie.
Viol par un mineur
Si les violences physiques et sexuelles sont par ailleurs en baisse, les violences au sein du ménage s’élèvent quand même à quelque 820 000, sur deux ans. 380 000 personnes, en grande majorité des femmes, affirment avoir été victimes de violences sexuelles et physiques d’un conjoint.
Le viol est la première cause de condamnation de mineurs pour crimes, selon les statistiques de l'ONDRP. En 2010, il y a eu 5 388 viols de mineurs pour lesquels 3 833 personnes ont été « mises en cause », dont 1 566 mineurs, soit 40,9% des personnes impliquées.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Par C.H- Le 22/11/2011
De plus en plus de femmes se déclarent victimes de vols ou de tentatives de vols avec violences ou menaces. Une hausse de 35% en deux ans a en effet été constatée. C’est l’un des enseignements de la cinquième étude de victimation de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) réalisée auprès de 17 000 personnes. Selon cette étude qui mesure la délinquance telle que la vivent réellement les Français, 4 millions de vols sont déclarés contre 1,5 million rapportés dans les chiffres officiels de la police et de la gendarmerie.
Viol par un mineur
Si les violences physiques et sexuelles sont par ailleurs en baisse, les violences au sein du ménage s’élèvent quand même à quelque 820 000, sur deux ans. 380 000 personnes, en grande majorité des femmes, affirment avoir été victimes de violences sexuelles et physiques d’un conjoint.
Le viol est la première cause de condamnation de mineurs pour crimes, selon les statistiques de l'ONDRP. En 2010, il y a eu 5 388 viols de mineurs pour lesquels 3 833 personnes ont été « mises en cause », dont 1 566 mineurs, soit 40,9% des personnes impliquées.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
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Re: Actualités concours 2012
La violence diminue en France, pas pour certaines professions
Par Reuters - Mardi 22 novembre, 13h55
PARIS (Reuters) - La violence a diminué en France en 2010, mais les agressions contre certains professionnels comme les gendarmes ou les médecins ont en revanche augmenté, rapporte mardi l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP).
Seules 1,3% des personnes interrogées par l'observatoire disent avoir subi des violences physiques en 2010, un taux "significativement plus faible" que celui des années précédentes.
L'organisme relève cependant une hausse de près de 20% des agressions physiques contre des membres de la gendarmerie nationale entre 2009 et 2010 et une augmentation de 79,7% des "incidents" déclarés par des médecins, notamment généralistes.
Il souligne en outre une hausse de 7,3% des signalements émis par les hôpitaux. Seule profession où les agressions reculent, la police nationale, avec une baisse de 1,2% des atteintes aux biens et aux personnels, la première depuis 2006.
"Il y a (...) des éléments de dégradation relativement sensibles sur tout ce qui est représentatif d'une forme d'autorité même quand elle ne procède pas à des contrôles d'identité", a déclaré le président de l'ONDRP, Alain Bauer.
Mais ces chiffres sont à manier avec précaution, a-t-il nuancé sur France Info.
Cette étude, intitulée "cadre de vie et sécurité", est la cinquième enquête annuelle menée par l'ONDRP et l'Insee. Près de 17.000 personnes ont été interrogées en France métropolitaine entre janvier et avril.
Si l'enquête relève une baisse des coups et blessures, elle note une augmentation de 0,2 point des vols et tentatives de vols avec violences ou menaces entre 2008 et 2010, avec une "hausse très significative" chez les femmes.
Les violences physiques et sexuelles restent stables par rapport aux enquêtes précédentes. "La tendance à la hausse observée entre 2007/2008 et 2008/2009 pour les femmes se déclarant victimes de violences sexuelles hors ménage ne se confirme pas en 2009/2010", note le rapport, qui souligne une tendance similaire pour les violences intra-ménage.
Le rapport note par ailleurs que la proportion de personnes se sentant en insécurité à leur domicile ou dans leur quartier ou leur village a globalement stagné.
Mais après avoir baissé "très significativement" entre 2007 et 2009, le nombre de Français citant la délinquance comme le problème le plus préoccupant dans la société a connu deux hausses successives de trois points, atteignant un niveau supérieur à celui mesuré dans les quatre enquêtes précédentes.
Chine Labbé, édité par Gilles TrequesserÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Par Reuters - Mardi 22 novembre, 13h55
PARIS (Reuters) - La violence a diminué en France en 2010, mais les agressions contre certains professionnels comme les gendarmes ou les médecins ont en revanche augmenté, rapporte mardi l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP).
Seules 1,3% des personnes interrogées par l'observatoire disent avoir subi des violences physiques en 2010, un taux "significativement plus faible" que celui des années précédentes.
L'organisme relève cependant une hausse de près de 20% des agressions physiques contre des membres de la gendarmerie nationale entre 2009 et 2010 et une augmentation de 79,7% des "incidents" déclarés par des médecins, notamment généralistes.
Il souligne en outre une hausse de 7,3% des signalements émis par les hôpitaux. Seule profession où les agressions reculent, la police nationale, avec une baisse de 1,2% des atteintes aux biens et aux personnels, la première depuis 2006.
"Il y a (...) des éléments de dégradation relativement sensibles sur tout ce qui est représentatif d'une forme d'autorité même quand elle ne procède pas à des contrôles d'identité", a déclaré le président de l'ONDRP, Alain Bauer.
Mais ces chiffres sont à manier avec précaution, a-t-il nuancé sur France Info.
Cette étude, intitulée "cadre de vie et sécurité", est la cinquième enquête annuelle menée par l'ONDRP et l'Insee. Près de 17.000 personnes ont été interrogées en France métropolitaine entre janvier et avril.
Si l'enquête relève une baisse des coups et blessures, elle note une augmentation de 0,2 point des vols et tentatives de vols avec violences ou menaces entre 2008 et 2010, avec une "hausse très significative" chez les femmes.
Les violences physiques et sexuelles restent stables par rapport aux enquêtes précédentes. "La tendance à la hausse observée entre 2007/2008 et 2008/2009 pour les femmes se déclarant victimes de violences sexuelles hors ménage ne se confirme pas en 2009/2010", note le rapport, qui souligne une tendance similaire pour les violences intra-ménage.
Le rapport note par ailleurs que la proportion de personnes se sentant en insécurité à leur domicile ou dans leur quartier ou leur village a globalement stagné.
Mais après avoir baissé "très significativement" entre 2007 et 2009, le nombre de Français citant la délinquance comme le problème le plus préoccupant dans la société a connu deux hausses successives de trois points, atteignant un niveau supérieur à celui mesuré dans les quatre enquêtes précédentes.
Chine Labbé, édité par Gilles TrequesserÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
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Re: Actualités concours 2012
Une infirmière soupçonnée de fraude à la Sécurité sociale pour 700 000 euros
Une infirmière libérale âgée de 52 ans, qui exercait son métier à Condé-sur-l'Escaut, près de Valenciennes, a été mise en examen et placée sous contrôle judiciaire, mercredi, pour une escroquerie supposée à la Sécurité sociale. Il s'agirait d'environ 700 000 euros détournés depuis au moins trois ans.
Déjà poursuivie pour fraude fiscale entre 2006 et 2008, cette femme a été laissée libre sous contrôle judiciaire, assorti d'une série de conditions telles que l'interdiction d'exercer en tant qu'infirmière, d'entrer en contact avec ses anciens patients ou son comptable. Il lui est également interdit de signer des chèques.
"FAILLES DE CERTAINS SYSTÈMES DE CONTRÔLE"
L'enquête a été initiée cet été. C'est le régime social des indépendants (RSI) qui a signalé au comité opérationnel départemental anti-fraude (Codaf) du Nord l'activité anormale de l'infirmière condéenne.
De fait, l'audition des différentes caisses de sécurité sociale escroquées a révélé des modes opératoires aussi différents qu'efficaces, note le quotidien La Voix du Nord : surcotation des actes, déclaration d'actes médicaux fictifs ou indemnités kilométriques erronées. "Elle s'était rendu compte des failles de certains systèmes de contrôle des caisses de sécurité sociale", a indiqué Marie-Madeleine Alliot, procureure de la République à Valenciennes.
Ainsi, après quatre mois d'enquête, la division économique et financière de la police judiciaire de Lille a procédé aux interpellations de la mise en cause et de son mari. Déférés dans l'après-midi de mercredi devant le parquet de Valenciennes, ils ont été présentés à un juge d'instruction qui leur a signifié leur mise en examen, respectivement pour escroquerie et recel d'escroquerie, précise toujours le quotidien du Nord.
Le couple posséderait son domicile dans le Nord ainsi que des biens immobiliers à Bruxelles mais aussi dans le sud de la France et à Paris. "Nous avons demandé la saisie des biens immobiliers", les comptes bancaires ayant déjà été confisqués, a déclaré la procureure.
Le Monde.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Une infirmière libérale âgée de 52 ans, qui exercait son métier à Condé-sur-l'Escaut, près de Valenciennes, a été mise en examen et placée sous contrôle judiciaire, mercredi, pour une escroquerie supposée à la Sécurité sociale. Il s'agirait d'environ 700 000 euros détournés depuis au moins trois ans.
Déjà poursuivie pour fraude fiscale entre 2006 et 2008, cette femme a été laissée libre sous contrôle judiciaire, assorti d'une série de conditions telles que l'interdiction d'exercer en tant qu'infirmière, d'entrer en contact avec ses anciens patients ou son comptable. Il lui est également interdit de signer des chèques.
"FAILLES DE CERTAINS SYSTÈMES DE CONTRÔLE"
L'enquête a été initiée cet été. C'est le régime social des indépendants (RSI) qui a signalé au comité opérationnel départemental anti-fraude (Codaf) du Nord l'activité anormale de l'infirmière condéenne.
De fait, l'audition des différentes caisses de sécurité sociale escroquées a révélé des modes opératoires aussi différents qu'efficaces, note le quotidien La Voix du Nord : surcotation des actes, déclaration d'actes médicaux fictifs ou indemnités kilométriques erronées. "Elle s'était rendu compte des failles de certains systèmes de contrôle des caisses de sécurité sociale", a indiqué Marie-Madeleine Alliot, procureure de la République à Valenciennes.
Ainsi, après quatre mois d'enquête, la division économique et financière de la police judiciaire de Lille a procédé aux interpellations de la mise en cause et de son mari. Déférés dans l'après-midi de mercredi devant le parquet de Valenciennes, ils ont été présentés à un juge d'instruction qui leur a signifié leur mise en examen, respectivement pour escroquerie et recel d'escroquerie, précise toujours le quotidien du Nord.
Le couple posséderait son domicile dans le Nord ainsi que des biens immobiliers à Bruxelles mais aussi dans le sud de la France et à Paris. "Nous avons demandé la saisie des biens immobiliers", les comptes bancaires ayant déjà été confisqués, a déclaré la procureure.
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Re: Actualités concours 2012
Une femme porteuse d'implants mammaires PIP est morte
Une femme, ancienne porteuse des prothèses mammaires Poly Implant Prothèse (PIP), une entreprise du Var mise en liquidation judiciaire et dont le patron est soupçonné de fraude, est morte, indique l'Association des porteuses de prothèses PIP (PPP) dans un communiqué ajoutant qu'"Edwige, ancienne porteuse de prothèses mammaires défectueuses PIP rompues, [qui] avait contracté au contact des implants un lymphome [cancer du système lymphatique]", est morte lundi.
La présidente de l'association, accompagnée du médecin-expert de l'association, le docteur Dominique-Michel Courtois, sera reçue le 14 décembre au ministère de la santé "pour y exposer les faits et exiger des solutions adaptées".
LES PRATIQUE DE PIP MISES EN CAUSE
Une enquête préliminaire du pôle santé du parquet de Marseille avait été ouverte en mars 2010, parallèlement au retrait du marché de prothèses défectueuses par l'Agence des produits de santé (Afssaps) et à la mise en liquidation judiciaire de PIP. L'affaire avait été révélée fin mars quand l'Afssaps avait suspendu l'utilisation des prothèses mammaires à base de gel de silicone fabriquées par PIP.
En cause : un taux de rupture anormal, de l'ordre du double en termes de fréquence comparé aux autres fabricants, sachant que les implants ont habituellement une durée de vie d'une dizaine d'années.
Selon les éléments recueillis sur le site par les enquêteurs, PIP utilisait un gel de silicone différent de celui qui avait été déclaré aux autorités sanitaires. Des inspecteurs dépêchés sur place avaient repéré des fûts de matière première suspects et recueilli des confidences de salariés. Il a depuis été établi que le silicone utilisé n'était pas destiné à un usage médical, mais industriel, d'où une gélification favorisant les fuites à travers l'enveloppe de l'implant et pouvant la fragiliser jusqu'à la rupture.
Le nombre de femmes porteuses de prothèses PIP est évalué en France à 30 000, alors qu'une grande partie de la production de la société, un temps troisième fabricant mondial, a aussi été exportée, notamment en Grande-Bretagne et en Espagne. Quelque 1 400 plaintes ont été déposées auprès du procureur de la République de Marseille par des femmes porteuses de ces implants.
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Une femme, ancienne porteuse des prothèses mammaires Poly Implant Prothèse (PIP), une entreprise du Var mise en liquidation judiciaire et dont le patron est soupçonné de fraude, est morte, indique l'Association des porteuses de prothèses PIP (PPP) dans un communiqué ajoutant qu'"Edwige, ancienne porteuse de prothèses mammaires défectueuses PIP rompues, [qui] avait contracté au contact des implants un lymphome [cancer du système lymphatique]", est morte lundi.
La présidente de l'association, accompagnée du médecin-expert de l'association, le docteur Dominique-Michel Courtois, sera reçue le 14 décembre au ministère de la santé "pour y exposer les faits et exiger des solutions adaptées".
LES PRATIQUE DE PIP MISES EN CAUSE
Une enquête préliminaire du pôle santé du parquet de Marseille avait été ouverte en mars 2010, parallèlement au retrait du marché de prothèses défectueuses par l'Agence des produits de santé (Afssaps) et à la mise en liquidation judiciaire de PIP. L'affaire avait été révélée fin mars quand l'Afssaps avait suspendu l'utilisation des prothèses mammaires à base de gel de silicone fabriquées par PIP.
En cause : un taux de rupture anormal, de l'ordre du double en termes de fréquence comparé aux autres fabricants, sachant que les implants ont habituellement une durée de vie d'une dizaine d'années.
Selon les éléments recueillis sur le site par les enquêteurs, PIP utilisait un gel de silicone différent de celui qui avait été déclaré aux autorités sanitaires. Des inspecteurs dépêchés sur place avaient repéré des fûts de matière première suspects et recueilli des confidences de salariés. Il a depuis été établi que le silicone utilisé n'était pas destiné à un usage médical, mais industriel, d'où une gélification favorisant les fuites à travers l'enveloppe de l'implant et pouvant la fragiliser jusqu'à la rupture.
Le nombre de femmes porteuses de prothèses PIP est évalué en France à 30 000, alors qu'une grande partie de la production de la société, un temps troisième fabricant mondial, a aussi été exportée, notamment en Grande-Bretagne et en Espagne. Quelque 1 400 plaintes ont été déposées auprès du procureur de la République de Marseille par des femmes porteuses de ces implants.
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Re: Actualités concours 2012
Des bracelets électroniques contre les violences conjugales
Amiens, Strasbourg et Aix-en-Provence sont les trois villes choisies pour expérimenter dès 2012 des bracelets électroniques chargés de tenir à distance des conjoints violents, a annoncé la ministre des solidarités, Roselyne Bachelot, dans un entretien au quotidien 20 Minutes à paraître jeudi 24 novembre.
Ce bracelet "sera testé sur les auteurs de violences graves ou de tentative de meurtre sur leur conjointe, condamnés à au moins cinq ans de prison. (...) Il sera expérimenté à Amiens, Strasbourg et Aix-en-Provence. Et si le test est concluant, nous le généraliserons", explique la ministre, à la veille du lancement d'une nouvelle campagne contre les violences faites aux femmes.
La France s'inspire de l'Espagne, où une soixantaine de conjoints violents sont munis d'un bracelet électronique contrôlé par GPS. La victime est dotée d'un boîtier qui sonne si son agresseur s'approche du domicile. Lequel boîtier est muni d'un dispositif lui permettant d'alerter la police dès lors qu'elle est menacée.
DÉLIT DE VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE
Par ailleurs, la loi contre les violences faites aux femmes de juillet 2010 a créé le délit de violence psychologique et l'ordonnance de protection des victimes de violences conjugales qui permet à celles-ci de les soustraire en urgence à leur conjoint. Cette ordonnance de protection est inégalement inappliquée selon les associations. "C'est la raison pour laquelle nous allons avec Michel Mercier, garde des sceaux, engager un important travail d'information auprès des magistrats", dit Mme Bachelot.
Concernant l'annonce de la création dans chaque département d'un accueil de jour spécialisé censé permettre aux femmes de préparer éventuellement un déménagement ou une réinsertion professionnelle, Mme Bachelot assure que cela sera effectif "à l'horizon 2013". "Nous allons aussi mettre en place des lieux de visites familiaux entre les parents auteurs de violences et leurs enfants, dans tous les départements qui n'en disposaient pas", ajoute la ministre.
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Amiens, Strasbourg et Aix-en-Provence sont les trois villes choisies pour expérimenter dès 2012 des bracelets électroniques chargés de tenir à distance des conjoints violents, a annoncé la ministre des solidarités, Roselyne Bachelot, dans un entretien au quotidien 20 Minutes à paraître jeudi 24 novembre.
Ce bracelet "sera testé sur les auteurs de violences graves ou de tentative de meurtre sur leur conjointe, condamnés à au moins cinq ans de prison. (...) Il sera expérimenté à Amiens, Strasbourg et Aix-en-Provence. Et si le test est concluant, nous le généraliserons", explique la ministre, à la veille du lancement d'une nouvelle campagne contre les violences faites aux femmes.
La France s'inspire de l'Espagne, où une soixantaine de conjoints violents sont munis d'un bracelet électronique contrôlé par GPS. La victime est dotée d'un boîtier qui sonne si son agresseur s'approche du domicile. Lequel boîtier est muni d'un dispositif lui permettant d'alerter la police dès lors qu'elle est menacée.
DÉLIT DE VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE
Par ailleurs, la loi contre les violences faites aux femmes de juillet 2010 a créé le délit de violence psychologique et l'ordonnance de protection des victimes de violences conjugales qui permet à celles-ci de les soustraire en urgence à leur conjoint. Cette ordonnance de protection est inégalement inappliquée selon les associations. "C'est la raison pour laquelle nous allons avec Michel Mercier, garde des sceaux, engager un important travail d'information auprès des magistrats", dit Mme Bachelot.
Concernant l'annonce de la création dans chaque département d'un accueil de jour spécialisé censé permettre aux femmes de préparer éventuellement un déménagement ou une réinsertion professionnelle, Mme Bachelot assure que cela sera effectif "à l'horizon 2013". "Nous allons aussi mettre en place des lieux de visites familiaux entre les parents auteurs de violences et leurs enfants, dans tous les départements qui n'en disposaient pas", ajoute la ministre.
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Re: Actualités concours 2012
Médecine : conférences payantes de l'internat
Les étudiants en médecine, même quand ils réussissent leur concours d'entrée en 2e année, n'en ont pas fini avec les concours. En fin de 6e année les attendent les difficiles épreuves classantes nationales (ECN, ex-concours de l'internat), course de fond à l'enjeu majeur : du rang auquel ces 7 000 étudiants en sortiront dépend leur choix parmi trente spécialités, ainsi que le lieu de leur futur poste d'interne en centre hospitalier et universitaire (CHU).
Aujourd'hui, la discipline reine, parce que la plus lucrative, est la radiologie, puis l'ophtalmologie, tandis que la médecine générale, la psychiatrie et la santé publique figurent en bas de tableau.
Partenariats
Afin d'être mieux classés, les étudiants qui le peuvent suivent, en plus de leurs cours et souvent le soir, des conférences, assurées par des professeurs d'université, suivies, pour s'entraîner, de concours blancs. Ces conférences sont payantes et font l'objet de partenariats.
Les conférences baptisées "Hippocrate" sont en partie financées par la Fondation Servier - dont les services n'ont pas souhaité s'exprimer à ce sujet, pas plus que l'Association nationale des étudiants en médecine - et chaque étudiant acquitte, à l'entrée et en liquide, une contribution de 5 ou 10 euros, devant servir à rémunérer les correcteurs des copies.
D'autres cycles de conférences, appelées "Hermès" ou "Khalifa", demandent aux étudiants une participation aux frais de 255 euros pour 18 sessions. A quoi il faut ajouter 215 euros par concours blanc, pour Hermès.
Isabelle Rey-Lefebvre
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Les étudiants en médecine, même quand ils réussissent leur concours d'entrée en 2e année, n'en ont pas fini avec les concours. En fin de 6e année les attendent les difficiles épreuves classantes nationales (ECN, ex-concours de l'internat), course de fond à l'enjeu majeur : du rang auquel ces 7 000 étudiants en sortiront dépend leur choix parmi trente spécialités, ainsi que le lieu de leur futur poste d'interne en centre hospitalier et universitaire (CHU).
Aujourd'hui, la discipline reine, parce que la plus lucrative, est la radiologie, puis l'ophtalmologie, tandis que la médecine générale, la psychiatrie et la santé publique figurent en bas de tableau.
Partenariats
Afin d'être mieux classés, les étudiants qui le peuvent suivent, en plus de leurs cours et souvent le soir, des conférences, assurées par des professeurs d'université, suivies, pour s'entraîner, de concours blancs. Ces conférences sont payantes et font l'objet de partenariats.
Les conférences baptisées "Hippocrate" sont en partie financées par la Fondation Servier - dont les services n'ont pas souhaité s'exprimer à ce sujet, pas plus que l'Association nationale des étudiants en médecine - et chaque étudiant acquitte, à l'entrée et en liquide, une contribution de 5 ou 10 euros, devant servir à rémunérer les correcteurs des copies.
D'autres cycles de conférences, appelées "Hermès" ou "Khalifa", demandent aux étudiants une participation aux frais de 255 euros pour 18 sessions. A quoi il faut ajouter 215 euros par concours blanc, pour Hermès.
Isabelle Rey-Lefebvre
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Re: Actualités concours 2012
Plan grand froid : 15 000 places d'hébergement et des médecins retraités mobilisables
Près de 15 000 places d'hébergement pour les SDF seront mobilisables cet hiver en cas de grand froid et, nouveauté, des "médecins retraités réservistes" pourront appuyer les associations, a annoncé mercredi 23 novembre le secrétaire d'Etat au logement Benoist Apparu.
"Alors qu'en moyenne 9 300 places ont été mobilisées l'hiver dernier, ce sont près de 15 000 places d'hébergement et de mise à l'abri qui pourront l'être cette année, si des périodes de grand froid le justifient", a-t-il annoncé en Conseil des ministres, selon le texte de son allocution.
Par ailleurs, "pour la première fois cette année, grâce à une action conjointe des ministères du logement et de la santé, il est prévu de faire appel, en cas de grand froid, à des médecins retraités réservistes, pour appuyer les équipes mobiles qui vont à la rencontre des personnes sans abri", a ajouté M. Apparu.
RENFORCER LES ÉQUIPES DE MARAUDES AVEC UN SAVOIR-FAIRE MÉDICAL
Ces médecins "volontaires" qui "renforceront les équipes de maraudes avec un savoir-faire médical" seront "dispatchés auprès des associations", essentiellement dans les grandes villes où les sans-abri sont plus nombreux, a précisé à l'AFP le secrétariat d'Etat. Ce nouveau dispositif correspond selon lui à "une demande de longue date des associations" en faveur d'un renforcement de leur travail avec, notamment, des professionnels de santé. Aucune estimation du nombre de médecins réservistes n'est disponible pour l'heure.
Les 15 000 places mobilisables pendant l'hiver, du 1er novembre au 31 mars, s'ajoutent aux quelque 116 000 qui restent ouvertes pendant toute l'année. Outre les moyens déployés par les collectivités locales, "des locaux appartenant à l'Etat" seront notamment mis à disposition des associations par les ministères du budget, de la santé et de la défense en cas de grand froid, a souligné M. Apparu. En Ile-de-France, la préfecture prévoit l'ouverture hivernale de 5 000 places d'hébergement d'urgence, soit un peu plus que l'hiver précédent, avait annoncé en septembre le préfet de région, Daniel Canepa.
En 2006, selon l'Insee, il y avait 133 000 SDF en France. Selon plusieurs associations et collectifs, comme Les Morts de la Rue, les sans abri ne meurent pas plus en hiver qu'en été.
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Près de 15 000 places d'hébergement pour les SDF seront mobilisables cet hiver en cas de grand froid et, nouveauté, des "médecins retraités réservistes" pourront appuyer les associations, a annoncé mercredi 23 novembre le secrétaire d'Etat au logement Benoist Apparu.
"Alors qu'en moyenne 9 300 places ont été mobilisées l'hiver dernier, ce sont près de 15 000 places d'hébergement et de mise à l'abri qui pourront l'être cette année, si des périodes de grand froid le justifient", a-t-il annoncé en Conseil des ministres, selon le texte de son allocution.
Par ailleurs, "pour la première fois cette année, grâce à une action conjointe des ministères du logement et de la santé, il est prévu de faire appel, en cas de grand froid, à des médecins retraités réservistes, pour appuyer les équipes mobiles qui vont à la rencontre des personnes sans abri", a ajouté M. Apparu.
RENFORCER LES ÉQUIPES DE MARAUDES AVEC UN SAVOIR-FAIRE MÉDICAL
Ces médecins "volontaires" qui "renforceront les équipes de maraudes avec un savoir-faire médical" seront "dispatchés auprès des associations", essentiellement dans les grandes villes où les sans-abri sont plus nombreux, a précisé à l'AFP le secrétariat d'Etat. Ce nouveau dispositif correspond selon lui à "une demande de longue date des associations" en faveur d'un renforcement de leur travail avec, notamment, des professionnels de santé. Aucune estimation du nombre de médecins réservistes n'est disponible pour l'heure.
Les 15 000 places mobilisables pendant l'hiver, du 1er novembre au 31 mars, s'ajoutent aux quelque 116 000 qui restent ouvertes pendant toute l'année. Outre les moyens déployés par les collectivités locales, "des locaux appartenant à l'Etat" seront notamment mis à disposition des associations par les ministères du budget, de la santé et de la défense en cas de grand froid, a souligné M. Apparu. En Ile-de-France, la préfecture prévoit l'ouverture hivernale de 5 000 places d'hébergement d'urgence, soit un peu plus que l'hiver précédent, avait annoncé en septembre le préfet de région, Daniel Canepa.
En 2006, selon l'Insee, il y avait 133 000 SDF en France. Selon plusieurs associations et collectifs, comme Les Morts de la Rue, les sans abri ne meurent pas plus en hiver qu'en été.
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Re: Actualités concours 2012
Afssaps : l'ex-experte du Mediator retire sa candidature
Par Anne Jouan - le 23/11/2011
La promotion de l'ancien médecin en charge du Mediator à l'agence, par ailleurs ex-salariée de Servier, a créé des remous. Cette dernière a finalement retiré sa candidature.
Les révélations du Figaro sur la promotion à l'agence du médiament (Afssaps) de celle qui a été en charge de l'évaluation du Mediator de 1998 à 2009 à l'agence, Catherine Rey-Quinio, ont animé hier soir les débats à l'Assemblée nationale. Les députés discutaient, en nouvelle lecture, de la loi sur le projet de loi relatif au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé. Ce texte, modifié par le Sénat, avait été examiné mardi 15 novembre par la commission mixte paritaire, qui n'avait pu parvenir à un accord.
Outre son manque de réactivité flagrant vis-à-vis du Mediator quand elle en avait la charge à l'Afssaps, c'est sa fonction précédente qui a cristalisé les critiques. En effet, avant 1998, Catherine Rey-Quinio a travaillé plusieurs années chez Servier où elle était médecin produit Isoméride. Or, ce coupe -faim de Servier, retiré du marché en 1997, est le cousin du Mediator en raison de sa proximité chimique. Les deux molécules se transforment dans l'organisme en norfenfluramine, une substance toxique pour les valves du coeur.
La faute au cabinet de recrutementUn peu avant minuit mardi soir, le ministre de la Santé, Xavier Bertrand a pris la parole devant les députés et a demandé à ce que la promotion de Catherine Rey-Quinio ne soit pas entérinée. «Je dois revenir sur la nomination de madame Rey-Quinio. Je n'aime pas ce type de nomination dans la mesure où j'estime que même si cette dame travaillait avant à l'Afssaps, elle a aussi travaillé chez Servier et pas sur n'importe quel médicament, sur l'Isoméride. Je pense qu'il n'est pas bon qu'elle puisse occuper un futur poste de direction».
Xavier Bertrand a par ailleurs rapporté s'être entretenu avec le patron de l'Afssaps, Dominique Maraninchi, qui aurait mis en cause le cabinet de recrutement en charge des postes à pourvoir à l'agence. «C'est un cabinet de recrutement qui a fait le préfiltre, a expliqué le ministre. Je m'interroge sur la qualité de ce cabinet de recrutement. Il doit savoir les antécédents de cette personne (Catherine Rey-Quinio)».
Le conseil d'administration de l'Afsspas ne validera pas la promotionFinalement, Catherine Rey-Quinio a retiré mercredi matin sa candidature, a indiqué le patron de l'Afssaps, le professeur Dominique Maraninchi.
L'article du Figaro revenait également sur la nomination à l'Agence régionale de santé (ARS) d'Anne Castot, ancienne chef du service de la gestion des risques et de l'information sur les médicaments à l'Afssaps qui avait particulièrement mal géré le Mediator. Xavier Bertrand a promis de demander à Claude Evin, le patron de l'ARS Ile-de-France «quelles sont les conditions précises du travail d'Anne Castot à l'ARS».
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Par Anne Jouan - le 23/11/2011
La promotion de l'ancien médecin en charge du Mediator à l'agence, par ailleurs ex-salariée de Servier, a créé des remous. Cette dernière a finalement retiré sa candidature.
Les révélations du Figaro sur la promotion à l'agence du médiament (Afssaps) de celle qui a été en charge de l'évaluation du Mediator de 1998 à 2009 à l'agence, Catherine Rey-Quinio, ont animé hier soir les débats à l'Assemblée nationale. Les députés discutaient, en nouvelle lecture, de la loi sur le projet de loi relatif au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé. Ce texte, modifié par le Sénat, avait été examiné mardi 15 novembre par la commission mixte paritaire, qui n'avait pu parvenir à un accord.
Outre son manque de réactivité flagrant vis-à-vis du Mediator quand elle en avait la charge à l'Afssaps, c'est sa fonction précédente qui a cristalisé les critiques. En effet, avant 1998, Catherine Rey-Quinio a travaillé plusieurs années chez Servier où elle était médecin produit Isoméride. Or, ce coupe -faim de Servier, retiré du marché en 1997, est le cousin du Mediator en raison de sa proximité chimique. Les deux molécules se transforment dans l'organisme en norfenfluramine, une substance toxique pour les valves du coeur.
La faute au cabinet de recrutementUn peu avant minuit mardi soir, le ministre de la Santé, Xavier Bertrand a pris la parole devant les députés et a demandé à ce que la promotion de Catherine Rey-Quinio ne soit pas entérinée. «Je dois revenir sur la nomination de madame Rey-Quinio. Je n'aime pas ce type de nomination dans la mesure où j'estime que même si cette dame travaillait avant à l'Afssaps, elle a aussi travaillé chez Servier et pas sur n'importe quel médicament, sur l'Isoméride. Je pense qu'il n'est pas bon qu'elle puisse occuper un futur poste de direction».
Xavier Bertrand a par ailleurs rapporté s'être entretenu avec le patron de l'Afssaps, Dominique Maraninchi, qui aurait mis en cause le cabinet de recrutement en charge des postes à pourvoir à l'agence. «C'est un cabinet de recrutement qui a fait le préfiltre, a expliqué le ministre. Je m'interroge sur la qualité de ce cabinet de recrutement. Il doit savoir les antécédents de cette personne (Catherine Rey-Quinio)».
Le conseil d'administration de l'Afsspas ne validera pas la promotionFinalement, Catherine Rey-Quinio a retiré mercredi matin sa candidature, a indiqué le patron de l'Afssaps, le professeur Dominique Maraninchi.
L'article du Figaro revenait également sur la nomination à l'Agence régionale de santé (ARS) d'Anne Castot, ancienne chef du service de la gestion des risques et de l'information sur les médicaments à l'Afssaps qui avait particulièrement mal géré le Mediator. Xavier Bertrand a promis de demander à Claude Evin, le patron de l'ARS Ile-de-France «quelles sont les conditions précises du travail d'Anne Castot à l'ARS».
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Re: Actualités concours 2012
Deux réseaux d'immigration clandestine démantelés
Depuis le début de l'année, 5500 organisateurs et passeurs, membres de 162 structures organisées, ont été interpellés.
Engagé dans une lutte sans merci contre les trafics internationaux de clandestins, l'Office central pour la répression de l'Immigration irrégulière et de l'emploi d'étrangers sans titre (OCRIEST) vient de porter deux rudes coups à de vastes réseaux en une semaine. Dans le cadre de l'opération « Nham-Pai », les policiers ont démantelé une structure vietnamienne faisant transiter des candidats à l'exil via la République tchèque, la Hongrie et l'Allemagne.
Dans ce dernier pays, où réside une forte population vietnamienne en raison des liens historiques avec l'ex-RDA, les clandestins étaient regroupés avant d'être conduits vers la France puis l'Angleterre. «Le Royaume-Uni est souvent le point d'aboutissement de ces filières criminelles qui exploitent chaque jour la misère humaine», a observé mercredi le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, au siège parisien de la Police aux frontières (PAF). Les organisateurs proposaient deux types de voyages : une formule « VIP », où le voyageur en situation irrégulière était pris en charge de manière assez confortable et individuelle moyennant un ticket allant jusqu'à 35.000 euros, et une formule «low cost» de 6000 euros où les passeurs entassaient leur marchandise humaine par groupes entiers dans des remorques.
Au total, 18 trafiquants présumés agissant depuis la France ont été interceptés. Sur un autre front mais dans le même temps, les policiers de l'OCRIEST ont par ailleurs mis au jour une filière ukrainienne qui multipliait les entrées illicites en zone Schengen grâce de faux papiers d'identité, passeports parfaitement imités et visa fantaisistes. Depuis le début de l'année, pas moins de 162 filières structurées ont été démantelées par les services de sécurité français, 90 % ayant été en particulier traitées par la Police aux frontières.
Au total 5500 organisateurs, passeurs et fournisseurs de faux documents ont été appréhendés. À cette occasion, Claude Guéant a rappelé qu'il avait relevé l'objectif des expulsions de 28.000 à 30.000. Avant de préciser : «nous sommes parfaitement en ligne avec les prévisions et ce chiffre sera dépassé de plusieurs centaines à la fin de l'année.»
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Depuis le début de l'année, 5500 organisateurs et passeurs, membres de 162 structures organisées, ont été interpellés.
Engagé dans une lutte sans merci contre les trafics internationaux de clandestins, l'Office central pour la répression de l'Immigration irrégulière et de l'emploi d'étrangers sans titre (OCRIEST) vient de porter deux rudes coups à de vastes réseaux en une semaine. Dans le cadre de l'opération « Nham-Pai », les policiers ont démantelé une structure vietnamienne faisant transiter des candidats à l'exil via la République tchèque, la Hongrie et l'Allemagne.
Dans ce dernier pays, où réside une forte population vietnamienne en raison des liens historiques avec l'ex-RDA, les clandestins étaient regroupés avant d'être conduits vers la France puis l'Angleterre. «Le Royaume-Uni est souvent le point d'aboutissement de ces filières criminelles qui exploitent chaque jour la misère humaine», a observé mercredi le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, au siège parisien de la Police aux frontières (PAF). Les organisateurs proposaient deux types de voyages : une formule « VIP », où le voyageur en situation irrégulière était pris en charge de manière assez confortable et individuelle moyennant un ticket allant jusqu'à 35.000 euros, et une formule «low cost» de 6000 euros où les passeurs entassaient leur marchandise humaine par groupes entiers dans des remorques.
Au total, 18 trafiquants présumés agissant depuis la France ont été interceptés. Sur un autre front mais dans le même temps, les policiers de l'OCRIEST ont par ailleurs mis au jour une filière ukrainienne qui multipliait les entrées illicites en zone Schengen grâce de faux papiers d'identité, passeports parfaitement imités et visa fantaisistes. Depuis le début de l'année, pas moins de 162 filières structurées ont été démantelées par les services de sécurité français, 90 % ayant été en particulier traitées par la Police aux frontières.
Au total 5500 organisateurs, passeurs et fournisseurs de faux documents ont été appréhendés. À cette occasion, Claude Guéant a rappelé qu'il avait relevé l'objectif des expulsions de 28.000 à 30.000. Avant de préciser : «nous sommes parfaitement en ligne avec les prévisions et ce chiffre sera dépassé de plusieurs centaines à la fin de l'année.»
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Re: Actualités concours 2012
Les contrats de 7 heures testés dès décembre
Les nouveaux contrats de 7 heures destinés aux bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) ont été présentés mercredi par le gouvernement.
Ces contrats de 7 heures hebdomadaires sont censés améliorer le dispositif du RSA, en vigueur depuis 2009. Réservés aux populations les plus éloignées du marché du travail, ils seront testés, parfois dès décembre, dans douze départements candidats, tous de droite : les Alpes-Maritimes, la Savoie, la Haute-Savoie, la Vendée, la Manche, le Rhône, le Haut-Rhin, le Bas-Rhin, la Côte-d’Or, la Marne, la Haute-Marne et Maine-et-Loire. Les bénéficiaires seront payés au SMIC et percevront en plus une partie du RSA socle, diminué du fait de la reprise du travail mais complété par le RSA activité. Selon le cabinet de Mme Bachelot, ils toucheront donc environ 130 € supplémentaires au simple RSA socle (ex-RMI, soit environ 410 € pour une personne seule). Le contrat sera un « contrat unique d’insertion » (CUI), aidé à 95 % par l’Etat et les conseils généraux.
La mesure ne fait pas l’unanimité. Ainsi Matthieu Angotti, directeur général de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars), se méfie-t-il d’une « mesure minuscule, l’archétype même de la mesurette ».
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Ces contrats de 7 heures hebdomadaires sont censés améliorer le dispositif du RSA, en vigueur depuis 2009. Réservés aux populations les plus éloignées du marché du travail, ils seront testés, parfois dès décembre, dans douze départements candidats, tous de droite : les Alpes-Maritimes, la Savoie, la Haute-Savoie, la Vendée, la Manche, le Rhône, le Haut-Rhin, le Bas-Rhin, la Côte-d’Or, la Marne, la Haute-Marne et Maine-et-Loire. Les bénéficiaires seront payés au SMIC et percevront en plus une partie du RSA socle, diminué du fait de la reprise du travail mais complété par le RSA activité. Selon le cabinet de Mme Bachelot, ils toucheront donc environ 130 € supplémentaires au simple RSA socle (ex-RMI, soit environ 410 € pour une personne seule). Le contrat sera un « contrat unique d’insertion » (CUI), aidé à 95 % par l’Etat et les conseils généraux.
La mesure ne fait pas l’unanimité. Ainsi Matthieu Angotti, directeur général de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars), se méfie-t-il d’une « mesure minuscule, l’archétype même de la mesurette ».
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Re: Actualités concours 2012
Nucléaire : Le train radioactif est parti mais...
Après de nombreux heurts entre militants antinucléaires et forces de l’ordre, le train de déchets radioactifs a finalement pris le chemin de l’Allemagne, mercredi après-midi.
Mercredi, 16 heures, terminal ferroviaire d’Areva à Valognes (Manche). Le convoi transportant 2.000 tonnes de déchets nucléaires à destination de l’Allemagne s’ébranle enfin. Un long périple de plus de 1.500 km commence.
A quelques kilomètres derrière le périmètre de sécurité, les heurts entre manifestants antinucléaires et forces de l’ordre n’ont pas cessé depuis le début de la matinée. Un fourgon de CRS a même brûlé, non loin des voies, près de Valognes, après avoir été « a priori » incendié par des manifestants munis de cocktails Molotov, selon la préfecture. Les militants ont tout fait pour retarder le transfert : rail soulevé, boîtiers électriques incendiés, dégâts divers… En réponse, les forces de l’ordre ont fait un usage abondant de gaz lacrymogènes, chargeant parfois pour déloger les militants qui essayaient de dégrader la voie ferrée… Le départ était prévu à 14 h 30. Mais, selon le préfet de la Manche, Adolphe Colrat, il faudra deux heures pour réparer la voie. En milieu d’après-midi, tout rentre dans l’ordre.
"Casseurs"
Les échauffourées, violentes, ont fait des victimes de part et d’autre : un gendarme et deux manifestants ont été blessés. Seize militants, dont six femmes, sont interpellés et placés en garde à vue. « On a plutôt affaire à des casseurs qu’aux habituels antinucléaires », explique le procureur de la République de Cherbourg, Eric Bouillard. Il précise que deux machettes ont été saisies.
C’est le collectif Valognes Stop Castor (Castor pour Cask for Storage and Transportation of Radioactive Material, le nom des conteneurs en anglais). qui appelait au blocage du convoi. La préfecture de la Manche avait interdit par arrêté toute manifestation à proximité de la voie ferrée pour deux jours et sur les 70 premiers kilomètres au départ du terminal où étaient stationnés les 11 wagons de déchets nucléaires vitrifiés. De 200 à 250 personnes s’étaient mobilisés, 400 à 500 selon les organisateurs. Dans le camp des protestataires, installé près de Valognes, on croisait surtout des Français, mais aussi des Anglais, des Allemands, des Espagnols et des Belges. Côté forces de l’ordre, plus de 3.000 gendarmes étaient chargés d’assurer la sécurité de convoi sur la partie française.
"Retour légitime"
Areva, l’affréteur du convoi, a dénoncé les violences « inacceptables » qui « ont perturbé le fonctionnement de toute une région ». « C’est incompréhensible puisque ces déchets qui sont issus des combustibles usés doivent retourner dans leur pays d’origine », déclare Christophe Neugnot, porte-parole de l’opérateur nucléaire.
Ces protestations ont trouvé un écho inattendu chez Greenpeace, qui n’avait pas appelé au blocage du train et qui a condamné « toute forme de violence », tant du côté des antinucléaires que des policiers. Mais, au passage, le mouvement écologiste en profite pour rappeler que « tout cela, c’est le résultat du nucléaire, du combustible MOX, et du choix du retraitement qui est effectué par la France ».
Un autre mouvement écologiste, Robin des bois, prend également ses distances vis-à-vis du collectif Valognes Stop Castor qui avait appelé à manifester : en s’opposant au « retour légitime » du train de déchets vers l’Allemagne qui en a la responsabilité, les militants « favorisent à terme l’exportation des déchets nucléaires » par les pays qui les ont produits, déplore Robin des Bois.
Désormais, le combat des militants va se poursuivre en Allemagne, où plusieurs dizaines de milliers de manifestants antinucléaires sont attendus sur le trajet du convoi
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Mercredi, 16 heures, terminal ferroviaire d’Areva à Valognes (Manche). Le convoi transportant 2.000 tonnes de déchets nucléaires à destination de l’Allemagne s’ébranle enfin. Un long périple de plus de 1.500 km commence.
A quelques kilomètres derrière le périmètre de sécurité, les heurts entre manifestants antinucléaires et forces de l’ordre n’ont pas cessé depuis le début de la matinée. Un fourgon de CRS a même brûlé, non loin des voies, près de Valognes, après avoir été « a priori » incendié par des manifestants munis de cocktails Molotov, selon la préfecture. Les militants ont tout fait pour retarder le transfert : rail soulevé, boîtiers électriques incendiés, dégâts divers… En réponse, les forces de l’ordre ont fait un usage abondant de gaz lacrymogènes, chargeant parfois pour déloger les militants qui essayaient de dégrader la voie ferrée… Le départ était prévu à 14 h 30. Mais, selon le préfet de la Manche, Adolphe Colrat, il faudra deux heures pour réparer la voie. En milieu d’après-midi, tout rentre dans l’ordre.
"Casseurs"
Les échauffourées, violentes, ont fait des victimes de part et d’autre : un gendarme et deux manifestants ont été blessés. Seize militants, dont six femmes, sont interpellés et placés en garde à vue. « On a plutôt affaire à des casseurs qu’aux habituels antinucléaires », explique le procureur de la République de Cherbourg, Eric Bouillard. Il précise que deux machettes ont été saisies.
C’est le collectif Valognes Stop Castor (Castor pour Cask for Storage and Transportation of Radioactive Material, le nom des conteneurs en anglais). qui appelait au blocage du convoi. La préfecture de la Manche avait interdit par arrêté toute manifestation à proximité de la voie ferrée pour deux jours et sur les 70 premiers kilomètres au départ du terminal où étaient stationnés les 11 wagons de déchets nucléaires vitrifiés. De 200 à 250 personnes s’étaient mobilisés, 400 à 500 selon les organisateurs. Dans le camp des protestataires, installé près de Valognes, on croisait surtout des Français, mais aussi des Anglais, des Allemands, des Espagnols et des Belges. Côté forces de l’ordre, plus de 3.000 gendarmes étaient chargés d’assurer la sécurité de convoi sur la partie française.
"Retour légitime"
Areva, l’affréteur du convoi, a dénoncé les violences « inacceptables » qui « ont perturbé le fonctionnement de toute une région ». « C’est incompréhensible puisque ces déchets qui sont issus des combustibles usés doivent retourner dans leur pays d’origine », déclare Christophe Neugnot, porte-parole de l’opérateur nucléaire.
Ces protestations ont trouvé un écho inattendu chez Greenpeace, qui n’avait pas appelé au blocage du train et qui a condamné « toute forme de violence », tant du côté des antinucléaires que des policiers. Mais, au passage, le mouvement écologiste en profite pour rappeler que « tout cela, c’est le résultat du nucléaire, du combustible MOX, et du choix du retraitement qui est effectué par la France ».
Un autre mouvement écologiste, Robin des bois, prend également ses distances vis-à-vis du collectif Valognes Stop Castor qui avait appelé à manifester : en s’opposant au « retour légitime » du train de déchets vers l’Allemagne qui en a la responsabilité, les militants « favorisent à terme l’exportation des déchets nucléaires » par les pays qui les ont produits, déplore Robin des Bois.
Désormais, le combat des militants va se poursuivre en Allemagne, où plusieurs dizaines de milliers de manifestants antinucléaires sont attendus sur le trajet du convoi
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
coucou memo est ce que tu fais des fiches d'actualités
je sais pas quoi faire????
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je sais pas quoi faire????

on y va pour 2012 INCHALLAH que ce sera la bonne annee
On y croit a fond!!!
On y croit a fond!!!