Actualités 2012

Le forum de l'admission en IFSI

Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI

Verrouillé
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Selon un sondage, 60 % des salariés disent avoir refusé un arrêt maladie

A l'heure où le gouvernement affirme sa volonté de lutter contre la fraude sociale, un sondage Obea Obea/InfraForces révèle que 60 % des salariés français déclarent avoir déjà refusé de prendre un arrêt de travail.
Selon ce sondage, à paraître dans le prochain numéro de Santé Magazine, 26 % des Français ayant une activité professionnelle disent même n'avoir jamais pris d'arrêt maladie. Et pour 32 % des personnes ayant déjà pris un arrêt maladie, celui-ci était inférieur à trois jours, soit le délai de carence pendant lequel la sécurité sociale ne verse pas d'indemnités journalières. Pour 40 %, l'arrêt était supérieur à trois jours et pour 28 % supérieur à un mois.


Autre révélations du sondage : une forte majorité de salariés (66 %) estime que leur médecin donne "rarement" des arrêts maladie alors qu'un sur quatre pense que le médecin n'hésite pas à l'arrêter lorsqu'il est malade.

En outre, 22 % des Français, salariés ou non, jugent que les arrêts maladie sont toujours justifiés, 35 % pensent qu'ils le sont "le plus souvent" et 39 % estiment que "tous les arrêts maladie ne sont pas justifiés". Une importante majorité des Français (75 %) pense qu'il faudrait davantage de contrôles. Parmi les personnes ayant déjà eu un arrêt pour maladie, 85 % déclarent ne jamais avoir été contrôlées pendant cette période.

Le mondeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

Prothèses mammaires PIP : neuf cas de cancers suspects

Par le figaro.fr - le 14/12/2011

Le ministère de la Santé révèle en avoir comptabilisé huit auxquels vient s'ajouter celui d'une femme décédée dans le Gers.
La soupçons qui pèsent sur les prothèses mammaires défectueuses PIP se renforcent. Le ministère de la Santé a relevé huit signalements de cancers suspects chez des femmes porteuses de ces implants. Parmi ces huit cas, cinq cancers du sein (adénocarcinomes, le plus courant) ont été déclarés. Le directeur de la Santé, le Pr Jean-Yves Grall, releve aussi un cas de lymphome rare du sein (la femme est décédée), un cas de lymphome de l'amygdale et un cas de leucémie. Ce décompte n'inclut pas le cas de cancer détecté dans le Gers (un autre lymphome rare) qui a provoqué la mort de la patiente. C'est pourtant ce décès qui était à l'origine de l'ouverture d'une information judiciaire à Marseille sur les prothèses PIP. Son dossier n'aurait toujours pas été transmis aux autorités sanitaires, d'après les médecins.
Tous les cancers mentionnés ne sont pas nécessairement imputables aux prothèses frauduleuses, a toutefois insisté le patron de l'Institut national du Cancer (INCa), Dominique Maraninchi. Le comité de suivi des femmes porteuses de prothèses mammaires, créé à la demande du gouvernement, précise que l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) «a rapporté les signalements d'effets indésirables graves observés chez des femmes porteuses de prothèses PIP avec notamment, aujourd'hui, huit cas de cancers signalés, sans qu'à ce jour l'imputabilité n'ait été établie entre ces cas de cancer et le port de prothèses mammaires PIP».
523 retraits de prothèses depuis mars 2010
Depuis mars 2010 et le retrait du marché de ces implants PIP par l'Afssaps, le comité a recensé 523 retraits de prothèses. La ministre Roselyne Bachelot a promis que la sécurité sociale couvrirait les frais de remplacement pour toutes les femmes qui le souhaitaient. Le Numéro Vert (0800 636 636) mis en place pour les femmes concernées par ces prothèses PIP a reçu plus de 5000 appels en deux semaines environ. L'INCa émettra «d'ici huit jours» une série de recommandations aux professionnels de santé sur la conduite à tenir, notamment au plan chirurgical.
Environ 30.000 femmes porteraient ces prothèses défectueuses. Quelque 80% d'entre elles y ont eu recours à des fins esthétiques, les 20% restantes à titre de reconstruction après un cancer du sein, selon l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Le parquet de Marseille, qui a déjà reçu plus de 2000 plaintes de porteuses de ces implants, a décidé d'ouvrir une information judiciaire pour «blessures et homicide involontaire».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

Le RSA réduit la pauvreté mais moins le chômage

Par Marc Landré 15/12/2011 lefiagor.fr

La prestation sociale qui a remplacé le RMI a permis de sortir 150.000 personnes de la pauvreté l'année dernière, malgré la crise. Sa montée en charge reste toutefois lente et le taux de non-recours, très élevé.

Roselyne Bachelot ne cache pas sa joie. Le bilan présenté par le comité d'évaluation du RSA, deux ans après son lancement, est on ne peut plus positif. «Il n'y a aucun doute de l'impact de cette prestation sur la pauvreté et les craintes qui avaient été anticipées sur le marché du travail n'ont pas été validées, s'enthousiasme la ministre des Solidarités. Le RSA est une grande avancée sociale du quinquennat de Nicolas Sarkozy.»
Selon le rapport présenté mercredi par l'économiste François Bourguignon, président du comité d'évaluation, la prestation (qui a remplacé le RMI et l'allocation parent isolé dans sa version «socle» et assure aux travailleurs pauvres de garder 62% de leur revenu d'activité dans sa version «activité») a permis à 150.000 personnes de sortir de la pauvreté en 2010. Et donc fait reculer le taux de pauvreté de 0,2 point.
L'impact sur le marché du travail et notamment l'incitation financière à reprendre un emploi est, en revanche, plus difficile à évaluer en raison de la crise qui a secoué l'Hexagone ces deux dernières années. Mais il n'est pas totalement nul. «Le passage au RSA a pu avoir un impact sur certains groupes de bénéficiaires», confirme François Bourguignon qui estime à 3% par mois la part des allocataires ayant repris une activité grâce à la prestation. Un taux toutefois identique à celui du RMI…
Quant à l'effet sur le pouvoir d'achat des bénéficiaires, le comité note que «le revenu annuel médian par unité de consommation des ménages ayant perçu au moins une fois durant l'année le RSA activité est accru, du fait de la prestation, de 11%.»
Défaut de communication
Reste un point noir: la montée en charge du dispositif. Si l'augmentation du nombre de bénéficiaires du RSA socle a été conforme aux prévisions, il en est autrement pour les allocataires du RSA activité. «Il semblerait que le RSA activité n'ait pour l'instant atteint qu'une partie de sa cible», note François Bourguignon. Sur 1,5 million de bénéficiaires éligibles, seul un tiers perçoit en effet la prestation. Soit «un taux de non-recours» de 68%, près du double de celui du RSA socle.
Plusieurs facteurs expliquent cette défaillance du nombre de bénéficiaires: «un manque de connaissance précise du dispositif» lié à l'absence de campagne de communication depuis le lancement de la prestation en juin 2008, «le sentiment de se débrouiller financièrement» et aussi «le souhait de ne pas dépendre d'une aide sociale» ou «la crainte de démarches compliquées».
En revanche, le faible montant de la prestation (467 euros de RSA socle par mois pour une personne seule et 230 euros en moyenne de RSA activité) ou la peur de perdre des droits connexes, comme les allocations logement ou la gratuité dans les transports, apparaissent «comme des motifs marginaux» de renoncement au RSA.
Les conséquences ne sont pas neutres. Si le dispositif touchait toute la cible, la facture s'alourdirait de 5 milliards par an -«qu'il faudrait trouver», reconnaît Roselyne Bachelot-, soit 50% de plus que les 10 milliards de dépenses actuelles. À l'inverse 400.000 personnes franchiraient le seuil de pauvreté. D'où la priorité, selon le comité d'évaluation, «de diminuer sensiblement le taux de non-recours» même si cela fait grimper la note en flèche…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

L’hormone du sommeil décryptée

14-12-2011 Par Joël Ignasse

Des chercheurs canadiens ont découvert le récepteur de la mélatonine dans le cerveau qui favorise le sommeil profond. Ils espèrent mettre au point un nouveau traitement contre l’insomnie.
La mélatonine, souvent dénommée hormone du sommeil, est surtout connue comme étant l’hormone centrale de régulation des rythmes chronobiologiques, elle est secrétée par la glande pinéale (située dans le cerveau), en absence de lumière. Des chercheurs de l'Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) ont découvert un récepteur cérébral MT2 qui lorsqu’il est activé par la mélatonine favorise le sommeil profond. « La précision du rôle des MT2 de la mélatonine représente une percée scientifique importante qui les placent comme nouvelle cible prometteuse pour de futurs traitements de l'insomnie. Cette découverte explique également l'effet hypnotique et peu concluant des comprimés de mélatonine en vente sans ordonnance, qui agissent sur les deux récepteurs aux effets opposés» explique Gabriella Gobbi, psychiatre.
Leur étude, publiée dans le Journal of Neuroscience, relate aussi la mise au point d’une substance (UCM 765) qui active spécifiquement ce récepteur et augmente les phases de sommeil profond chez le rat et la souris. De plus, cette molécule agit dans la région du cerveau du thalamus réticulaire qui est le « centre moteur » du sommeil profond. « Cette nouvelle médication, contrairement aux traitements traditionnels pour l'insomnie, augmente le sommeil profond sans détruire ''l'architecture'' du sommeil », explique Gabriella Gobbi. C'est-à-dire elle conserve les mêmes épisodes de sommeil paradoxal. »
Le sommeil profond est considéré comme la phase la plus importante du sommeil, c'est à ce moment qu'ont lieu les divisions cellulaires et la production de l'hormone de croissance, d'où l'importance du sommeil chez l'enfant. Le sommeil profond occupe environ 100 minutes au cours d'une nuit moyenne de sommeil. Les chercheurs estiment que leurs travaux peuvent conduire à la mise au point d’un traitement contre l’insomnie chez l’homme. « Le développement de cette pharmacologie, ciblant les récepteurs du sommeil profond pour combattre l'insomnie, représente une avancée majeure dans le développement de nos compétences à gérer ce problème de santé publique commun à de nombreux pays », conclu le Dr Vassilios Papadopoulos, directeur de l'Institut de recherche du CUSM.

Sciences et Avenir.fr
14/12/2011Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

4 % des Français ont pensé au suicide durant l'année 2010

Publié le 13/12/2011, 12h10 par Gaëlle Monfort l journaldes femmes.fr

Un nouveau rapport de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) fait un état des lieux des pensées suicidaires en France. Chaque année, dans notre pays, plus de 10 000 personnes se donnent la mort.
Cette étude concerne 27 000 personnes de 15 à 85 ans. Sur l'année 2010, près de 4 % des personnes interrogées (de 15 à 85 ans) ont eu des pensées suicidaires et 0,5% ont fait une tentative de suicide.
En France, presque 1 décès sur 50 est un suicide. L'étude rapporte que la fréquence des tentatives de suicide diminue avec l'âge alors que les idées suicidaires sont au maximum entre 45 et 54 ans.
Le sexe est une variable importante puisque les femmes sont plus nombreuses à avoir pensé au suicide mais également à avoir effectué une tentative de suicide pendant l'année. L'étude indique également que 7,6 % des femmes et 3,2 % des hommes déclarent avoir déjà fait une tentative de suicide au cours de leur vie.
Les facteurs les plus souvent associés aux tentatives de suicide sont les violences (sexuelles ou non), le fait de vivre seul, le chômage, le faible niveau de revenu et le tabagisme.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

Un Français sur vingt a tenté de se suicider

Par Pauline Fréour - le 13/12/2011

Les femmes sont plus concernées que les hommes. Les individus les plus susceptibles d'avoir des pensées suicidaires sont souvent isolés, pauvres, au chômage ou ayant subi des violences.
En France, où presque un décès sur 50 est un suicide, 5,5% des 15-85 ans déclarent avoir déjà fait une tentative au cours de leur vie, selon une enquête du Baromètre santé 2010.
Cette tendance est globalement stable depuis 2000, selon une étude de l'Inpes publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) mardi, mais on note toute de même une légère augmentation des tentatives admises sur l'année écoulée (0,5% en 2010 contre 0,3% en 2005). Les femmes sont plus nombreuses à avoir tenté de mettre fin à leur jour (7,6%), contre 3,2% des hommes. En revanche, ces derniers sont surreprésentés dans les décès enregistrés, notamment en raison des méthodes plus violentes qu'ils emploient (pendaison, armes à feu…). Les périodes de la vie où l'individu est le plus susceptible de passer à l'acte sont l'adolescence pour les femmes (15-19 ans) et l'entrée dans l'âge adulte pour les hommes (20-25 ans).
En 2009, 10.464 décès par suicide ont été enregistrés par le Centre d'épidémiologie sur les causes médicales de décès de l'Inserm, un chiffre en diminution régulière ces dernières années, mais qui reste très élevé par rapport aux voisins de la France. En outre, une autre étude conclut à une sous-estimation de 9,4% du nombre officiel de décès.
Des idées suicidaires en baisse
Si la fréquence des passages à l'acte au cours de l'année écoulée a légèrement augmenté, celle des idées suicidaires qui les précèdent a plutôt reculé. Sur les 27.000 individus de 15 à 85 ans interrogés par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé, ils étaient 3,9% à admettre avoir pensé à mettre fin à leur jour pendant l'année 2010, contre 5,9% en 2005. Les facteurs d'exposition récurrents, dont les études ne font pas mention car les individus les admettent difficilement, sont la dépression, les troubles mentaux et l'alcoolisme. Le fait d'avoir subi des violences (sexuelles ou non), l'isolement, le chômage, ressortent également des études parues dans le BEH. Même si les spécialistes commencent à s'intéresser à l'impact de la course à la performance dans le milieu professionnel, le travail est plutôt un facteur protecteur.
Les spécialistes rappellent néanmoins qu'avant de passer à l'acte, l'individu passe par plusieurs stades - l'idée, l'intention, la programmation, et l'action - et qu'à chaque étape, la dynamique peut être enrayée si le risque est détecté. Le processus allant de la pensée suicidaire au passage à l'acte peut prendre plusieurs semaines, estime le Pr Jean-Louis Terra, professeur de psychiatrie à l'université Lyon 1. «Plus une personne est construite, équilibrée, plus elle va lutter contre ça. Plus elle est impulsive, instable, plus ça ira vite. Heureusement, la plupart des gens sortent spontanément du processus, en se rattachant à ce que j'appelle des 'idées velcros', comme 'Je ne peux pas faire ça à mes enfants'» explique-t-il.
Ce spécialiste de la prévention du suicide milite pour une meilleure formation des professionnels de la psychiatrie mais aussi une politique de rachat des armes à feu. «On recense 10 à 20 millions d'armes à feu en France. Or avoir un fusil chez soi réduit le délai de réflexion si l'on envisage de mettre fin à ses jours. Nous devrions prendre exemple sur l'Australie, où une campagne de rachat des armes à feu peu utilisées des particuliers a très bien fonctionné».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

Nouvelle piste de traitement contre le diabète

Par Joël Ignasse

Des chercheurs ont développé des anticorps qui s'opposent aux taux élevés de sucre dans le sang. Ces protéines pourraient servir à fabriquer de nouveaux médicaments contre le diabète de type 2.
Dans le diabète de type 2, autrefois appelé non insulinodépendant, les cellules de l’organisme ne répondent plus aussi efficacement à l’insuline, l’hormone chargée de réguler la quantité de sucre dans le sang, on parle alors d’insulinorésistance. Du coup le sucre, au lieu de pénétrer dans l’environnement cellulaire et de jouer son rôle énergétique, s’accumule dans la circulation sanguine causant des altérations des vaisseaux sanguins, du cœur ou des nerfs.
Au niveau moléculaire, le diabète de type 2 est lié à une famille de facteurs de croissance du fibroblaste, ou FGF, et à ses récepteurs. Certains de ces facteurs apparaissent prometteurs pour faire reculer l'obésité et d'autres maladies liées au diabète. Dans de précédentes études, par exemple, des souris diabétiques et en surpoids traitées avec le facteur appelé FGF21 ont pu retrouver un métabolisme normal et perdre du poids.
La piste semblait donc intéressante malheureusement les essais menés chez l’homme n’ont pas prouvé l’efficacité de cette protéine FGF21. Pas désespérée pour autant, une équipe californienne a continué a travaillé sur cette voie. Dans la revue Science Translational Medicine, les chercheurs présentent des essais réalisés avec un anticorps qui mime le FGF21 en se liant à FGFR1, un récepteur du facteur de croissance présent dans le pancréas et les tissus adipeux.
En une semaine, le taux de sucre des souris diabétiques qui avaient reçu des injections de l'anticorps est revenu à des niveaux normaux et les souris ont perdu du poids. Il reste maintenant à vérifier l’efficacité de ce composé sur l’homme. Premier point positif, l’anticorps peut être facilement produit et il reste actif dans le sang assez longtemps pour envisager, dans un second temps, une application thérapeutique.

Sciences et Avenir.fr
15/12/2011Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

morts fœtales : Le placenta, responsable ?

Phénomène peu étudié et assez rare, qui intervient après la 20e semaine de grossesse, la mort du fœtus in utero pourrait en partie être expliquée par un dysfonctionnement du placenta. C’est ce que dévoile deux études américaines qui viennent d’être publiées dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).
Afin d’essayer de comprendre ce qui entraine la mort du fœtus in utero, deux équipes de chercheurs ont suivi 500 femmes entre 2006 et 2008 dans cinq États américains.
Sous la houlette de l'Institut américain de la Santé (NIH), la première étude a permis aux chercheurs de constater que la moitié des morts fœtales avait pour origine une ou plusieurs complications survenues au cours de la grossesse. Dans un quart des cas, c’est un fonctionnement anormal du placenta qui est responsable, les autres causes étant une infection qui touche la mère, un dysfonctionnement du cordon ombilical ou une malformation fœtale. Par ailleurs, les travaux de ces chercheurs ont permis de montrer que le mauvais suivi des grossesses n’est pas uniquement en cause dans la disparité observée entre les ethnies. Ainsi, malgré des rendez-vous médicaux réguliers, les Afro-américaines ont deux fois plus de risques d'être confrontées à ce triste évènement par rapport aux femmes blanches ou aux hispaniques.
Menées par l'université du Texas, la seconde étude a tenté de lister les différents éléments qui pourraient favoriser la mort du fœtus in utero. Le diabète, l’obésité, le tabac, l’incompatibilité sanguine entre le fœtus et la mère, l’addiction aux drogues, l'âge (au delà de 40 ans) et le célibat pourraient être autant de facteurs de risques...

Article écrit le 2011-12-15 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalièreÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Avatar de l’utilisateur
mouchou64
Fidèle
Fidèle
Messages : 249
Inscription : 19 oct. 2010 20:05
Localisation : 64

Re: Actualités concours 2012

Message par mouchou64 »

Des prisons bondées en France

D'après les statistiques mensuelles de l'administration pénitentiaire (AP), le nombre de détenus dans les prisons françaises culminé à 65.262 personnes incarcérées. Un record historique qui pointe le problème du surpeuplement des parcs pénitenciers.


De plus en plus de personnes emprisonnées en France. Ça fait un moment que ça dure. Mais dans un rapport publiant ses statistiques mensuelles, l'Administration pénitentiaire (AP) constate que pas moins de 65.262 personnes ont été incarcérées. Un pic atteint le 1er décembre. Ce chiffre représente un véritable record historique. Pire, cela représente une hausse de 6,2 % par rapport à décembre 2012 où 61.473 prisonniers peuplaient les parc pénitentiers. Comparé au mois précédent, on constate une hausse de 0,9%, apprend l'AP dans un communiqué. Ceci permet aux responsables pénitentiers de France de souligner qu'avec un taux d'occupation de 113,9% (contre 113% au mois de novembre), les prisons sont bondées.

Quelles solutions pour alléger les prisons ?

Ce record du nombre d'emprisonnés en France pose la question des conditions dans ces parcs pénitentiers. Dans le détail, l'administration pointe une hausse de 8,7 % des mineurs incarcérés par rapport au mois précédent, soit 750 jeunes. Le nombre de prévenus s'élève, lui, à 16.587 personnes, c'est à dire 25,4 % des prisonniers. Pour contrer ce problème, le gouvernement souhaite construire davantage de prisons. On parle de 20.000 places supplémentaires pour fin 2017 en vue d'un parc carcéral de 80.000 places. Du coup, l'Observatoire international des prisons (OIP) a appelé les parlementaires à voter à l'encontre de la loi de programmation prévoyant cette augmentation. « Contre-productive en termes de prévention de la récidives » et « économiquement coûteuses », estime ses représentants. Le débat pourrait prendre de l'ampleur d'ici quelques semaines.

Actu France-SoirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Avatar de l’utilisateur
mouchou64
Fidèle
Fidèle
Messages : 249
Inscription : 19 oct. 2010 20:05
Localisation : 64

Re: Actualités concours 2012

Message par mouchou64 »

OGM : "le débat sanitaire est clos"

Par Europe1.fr avec AFP


Selon cette étude, les OGM ne présentent aucun risque sanitaire.
Une équipe de chercheurs a passé au crible 24 études toxicologiques internationales.

Les animaux nourris plus de trois mois au maïs, riz, soja ou pommes de terre génétiquement modifiés ne présentent aucun problème de santé. Ils se portent aussi bien que ceux soumis à un régime non OGM. Cette conclusion est le fruit d’une vaste étude d’Agnès Ricroch, une généticienne d’AgroParisTech (université de Paris-Sud-Orsay) à paraître dans la revue de référence, Food and Chemical Toxicology.

Des études de plus de deux ans

Son équipe, composée notamment d'éminents toxicologues et biologistes, a épluché pendant un an les données de 24 études internationales réalisées par des instituts et organismes indépendants internationaux. Plus précisément, il s’agit de douze études portant sur une période allant de plus de 90 jours à deux ans, et douze autres études portant sur deux à cinq générations d'animaux.

"Là, maintenant, le débat sur les OGM d'un point de vue sanitaire est clos", affirme Agnès Ricroch. Quant à la question de savoir s’il faut augmenter la durée de nourrissage des animaux au-delà de trois mois, pratiquée régulièrement lors des tests, l’équipe affirme que l’allongement n’apporterait aucune information supplémentaire sur la toxicité.

Des poulets, souris, rats, chèvres

La pertinence de ce travail vient non seulement du fait qu'il s'agit de pays différents, mais aussi de la variété des animaux testés : poulets, souris, rats, chèvres et vaches. Tous sont des animaux de laboratoires.

Ces bêtes ont été alimentées avec 33% de plantes transgéniques commercialisées actuellement : maïs, riz, soja, triticale (croisement de blé et de seigle) et pomme de terre dans leur régime. "Les chercheurs ont regardé de nombreux paramètres : la croissance, le poids des organes, leur développement, les enzymes du sang, les organes de la reproduction, le pancréas, le cerveau, le cœur, un examen en long, en large et en travers", explique Agnès Ricroch.

"Des évaluations robustes"

La conclusion de l'étude, permettant de dire que les OGM ne sont pas nocifs d'un point de vue sanitaire pour les animaux, est rassurante. "Si on avait découvert le contraire cela aurait voulu dire que les recommandations faites par les toxicologues n'ont pas été suivies", ajoute la généticienne.

"Cela veut dire aussi que les évaluations que nous, toxicologues, demandons sur les OGM sont bien faites et robustes", a-t-elle précisé, puisqu’aucune différence n'a été décelée entre l'équivalent nutritionnel des OGM et des aliments non modifiés.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Avatar de l’utilisateur
mouchou64
Fidèle
Fidèle
Messages : 249
Inscription : 19 oct. 2010 20:05
Localisation : 64

Re: Actualités concours 2012

Message par mouchou64 »

L'hébergement d'urgence dans une crise de moyens
| 15.12.11 | 20h06 • Mis à jour le 15.12.11 | 22h17


La recommandation est suffisamment inhabituelle pour être soulignée. Dans un rapport d'évaluation sur "la politique publique de l'hébergement des personnes sans domicile", rendu public jeudi 15 décembre, la Cour des comptes, garante de la bonne utilisation des deniers publics, préconise, à mots feutrés, de mettre plus d'argent en faveur de l'hébergement d'urgence : "Il n'apparaît pas déraisonnable de se donner les moyens de créer des places (d'hébergement) supplémentaires en zones tendues. En effet, la situation traditionnelle et inconfortable dans laquelle l'offre d'hébergement court en permanence après la demande d'hébergement n'a pas été encore interrompue, malgré des résultats importants en termes de sorties vers le logement."
Ce constat intervient à l'issue de près de 250 pages d'analyse de la "stratégie de refondation" du secteur annoncée en novembre 2009 par Benoist Apparu, secrétaire d'Etat au logement. Cette réforme a pour ambition de sortir d'une logique saisonnière de gestion de crise et de favoriser la sortie vers un logement durable. Elle s'appuie sur deux piliers : la mise en place d'un service public de l'hébergement et de l'accès au logement, et le développement d'une offre de logement accessible aux personnes modestes. Entre 2004 et 2010, le nombre de places est passé de 51 103 à 82 890 (+ 62,2 %). Mais le constat de la Cour est clair : "Les résultats escomptés ne sont pas encore atteints."

Le MondeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Avatar de l’utilisateur
mouchou64
Fidèle
Fidèle
Messages : 249
Inscription : 19 oct. 2010 20:05
Localisation : 64

Re: Actualités concours 2012

Message par mouchou64 »

Fruits et légumes : Bons pour la santé mais pas pour la planète
Ce n'est pas parce que l'on mange beaucoup de fruits et de légumes et peu de viande rouge que l'on réduit l'impact carbone sur l'alimentation.


Œuvre de l'artiste Klaus Enrique Gerdes SIPA
Rien de tel que de manger des fruits et des légumes pour faire le plein de vitamines. Mais l'idée selon laquelle, il est suffisant de diminuer sa consommation de viande rouge pour diminuer l'impact carbone de l'alimentation se révèle, pour sa part, « fausse ». Des chercheurs de l'Inra (Institut national de la recherche agronomique) et du Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement) ont, en effet, constaté que la qualité nutrionnelle n'avait rien à voir avec l'impact carbone.

Impact carbone identique quoique l'on mange

Pour compenser l'absence relative de viande, on consomme des aliments certes peu impactant comme des yaourts, des fruits et des légumes et des féculents mais en grande quantité. Ainsi, chez les hommes, l'impact carbone est le même quelle que soit la qualité de la nourriture. Quant aux femmes, « celles qui mangent le mieux ont l'alimentation qui entraîne le plus d'impact carbone », a souligné Nicole Darmon, un des chercheurs qui a travaillé sur cette enquête.

« La vision selon laquelle les produits végétaux sont bons pour la santé et l'environnement alors que les produits animaux seraient à la fois mauvais pour l'environnement et la santé apparaît simpliste et nécessite d'être reconsidérée », estiment les chercheurs. « Manger bien, c'est manger beaucoup d'aliments avec peu de densité énergétique », note-t-elle. Doit-on alors continuer à suivre les recommandations et manger cinq fruits et légumes par jour.

Actu France-SoirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Avatar de l’utilisateur
mouchou64
Fidèle
Fidèle
Messages : 249
Inscription : 19 oct. 2010 20:05
Localisation : 64

Re: Actualités concours 2012

Message par mouchou64 »

"Aux enfants, j'explique que l'on n'a pas de maison"
REPORTAGE | | 15.12.11 | 20h07


C'est une "chambre avec vue". Au loin, la silhouette massive du "Palacio d'Abraxas", un ensemble de logements sociaux d'inspiration néo-grecque de l'architecte catalan Ricardo Bofill. Au premier plan, les coursives du RER A, avec leur mobilier urbain en mosaïques multicolores défraîchies. A deux pas de la station Noisy-le Grand - Mont d'Est (Seine-Saint-Denis), se dresse l'imposante barre de Noisy Résidence, un ancien deux-étoiles sans caractère.
Depuis un mois, Mme D. (qui a réclamé l'anonymat) et ses deux enfants vivent dans une chambre, avec coin cuisine et salle d'eau. Un hébergement trouvé via le 115, le numéro d'urgence des sans-abri. Avant Noisy Résidence, la petite famille a connu d'autres hôtels à Paris ou en région parisienne, huit en tout en dix mois. Et une fois de plus, elle est arrivée ici "sans savoir combien de temps, elle allait rester".



Originaire du Cameroun, Mme D. est en France depuis fin 2010. Comme tant d'autres, elle croyait à la vie meilleure que lui avait fait miroiter un Congolais, rencontré en Espagne où elle vivait alors. La maison, le travail promis... n'étaient que des miroirs aux alouettes. La vie parisienne se résume à une minuscule chambre où elle doit s'entasser avec son fils de 2 ans né d'une première union, son compagnon et trois autres personnes. Très vite, le couple bat de l'aile. Les disputes et les menaces pleuvent. "Un jour, j'ai pris mon fils et je me suis enfuie", raconte Mme D. Sans papiers et sans aucune ressource, la mère de famille se réfugie dans un jardin public. "Un couple de Français m'a mis en contact avec une de leurs amies qui m'a logée pendant quelque temps."

Enceinte d'un deuxième enfant, elle se retrouve ensuite dans un premier hôtel, à Alfortville (Val-de-Marne). "C'était un peu négligé, explique la jeune femme. J'y allais juste pour dormir." Le séjour est renouvelé au gré des places disponibles. Trois jours ici, deux jours ailleurs. "Les bagages étaient vite faits. Je n'avais rien." Après son accouchement, il faut trouver un autre hôtel, toujours par le 115. Cette fois-ci, elle est logée "tout au bout du RER A". "Il y avait plein de familles qui vivaient là. Les gens étaient solidaires mais je déprimais", raconte-t-elle.

MAIGRE PAQUETAGE

Après un mois sur Paris, elle se retrouve cette fois à La Plaine Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Une semaine. Son bébé est hospitalisé pour une allergie. A son retour, il lui faut trouver une autre chambre. Ce sera dans le quartier de Belleville à Paris, puis Noisy-le-Grand.

A cette vie de nomade, elle dit s'être presque habituée : "Je me prépare à l'idée que c'est encore du provisoire, dit-elle. Aux enfants, j'explique que l'on n'a pas de maison."

Aujourd'hui, sa fille a 8 mois, son fils âgé de tout juste 3 ans n'est pas encore scolarisé. Entre les quatre murs de la chambre, le petit bonhomme tourne en rond. "Il veut aller à l'école, ça lui manque de ne pas être avec d'autres enfants", poursuit la jeune femme.

Ne disposant d'aucun moyen financier, Mme D. ne peut compter que sur les Restos du coeur pour subvenir à ses besoins. "Ici, rien ne m'appartient", raconte-elle, en jetant un regard dans toute la chambre. Seuls quelques jouets et des vêtements, eux aussi donnés par des associations caritatives, constituent son maigre paquetage. "Les journées sont si longues", soupire Mme D.

Ici, comme elle, derrière les portes vertes des chambres, d'autres personnes s'installent, patientent, espèrent une réponse positive, un papier officiel, un titre de séjour régulier... attendent.

Noisy Résidence n'est pas un mauvais garni. L'ensemble est bien entretenu. Le Samu social a réservé les 159 chambres de l'hôtel pour héberger des familles qui ne trouvent pas d'autres solutions, faute de place ou de structure adaptée. L'Etat, qui finance à plus de 90 % le Samu social, règle la facture. Entre 15 et 18 euros par personne et par nuit.

Dans le hall d'entrée de Noisy Résidence, la décoration de Noël a été installée. Un sapin trône au milieu des canapés en skaï rouge. Sur les murs, trois horloges indiquent l'heure de Paris, New York et Moscou. Une petite touche internationale comme pour rappeler que l'hôtel, d'habitude, c'est synonyme de vacances, ou de voyage.

Catherine RollotÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Avatar de l’utilisateur
mouchou64
Fidèle
Fidèle
Messages : 249
Inscription : 19 oct. 2010 20:05
Localisation : 64

Re: Actualités concours 2012

Message par mouchou64 »

Recherche infirmière : l’AP-HP mobilise ses soignants
A quelques semaines de la date butoir pour le dépôt des dossiers des projets de recherche portés par les établissements hospitaliers, l’AP-HP a organisé, le 8 décembre dernier, une 1ère journée destinée à encourager la recherche infirmière et paramédicale.

C’est dans un amphithéâtre comble et studieux de l’Institut de formation des cadres de santé de la Pitié-Salpêtrière que s’est ouverte cette journée de formation et d’échanges autour de la recherche infirmière et paramédicale. « Monter un projet de recherche n’est pas simple, mais il faut le faire, parce que c’est un plus pour nos patients », a souligné d’emblée Roselyne Vasseur directrice de la Direction des soins et des activités paramédicales de l’AP-HP. Un premier Programme hospitalier de recherche infirmière (PHRI), permettant le financement des projets par la DGOS, a été mis en place en 2010. Il a été étendu, en 2011, à l’ensemble des paramédicaux. D’après le Département de la recherche clinique et du développement de l’AP-HP, un tiers des 16 projets retenus en 2010 étaient des projets de l’AP-HP. Mais l’émulation semble s’être émoussée en 2011, avec seulement un quart des 21 projets retenus. « La recherche infirmière et paramédicale est pourtant un espace de créativité et de liberté », a tenu à préciser François Lemaire, président de la Délégation interrégionale à la recherche clinique de l’AP-HP.

Susciter de nouvelles vocations
Responsable de l’unité de recherche clinique de l’HEGP, Gilles Chatellier a, de son côté, conseillé aux futurs candidats de lire avec attention les orientations de l’appel d’offres du nouveau PHRIP 2012, publié début novembre par la DGOS. « Plus un projet est proche des priorités de la DGOS, plus il a des chances d’être retenu », a-t-il rappelé. Outre le PHRIP, les paramédicaux ont la possibilité de concourir à d’autres programmes de recherche de la DGOS, et notamment au Programme de recherche sur la performance des systèmes de soins (PREPS). Espérant susciter de nouvelles vocations, les organisateurs de la journée avaient laissé une large place aux présentations des projets de recherche des lauréats infirmiers et masseurs-kinésithérapeutes des deux années précédentes. A noter que seuls les DRCI (Délégations à la recherche clinique et à l’innovation) des établissements sont habilitées à valider et à envoyer les dossiers de candidature via la nouvelle plate-forme Innovarc. Toutes les modalités des programmes de la DGOS sont accessibles sur cette plate-forme.

Joëlle Maraschin


Espace InfirmierÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Avatar de l’utilisateur
mouchou64
Fidèle
Fidèle
Messages : 249
Inscription : 19 oct. 2010 20:05
Localisation : 64

Re: Actualités concours 2012

Message par mouchou64 »

Un article positif sur le métier d'infirmière (ça devient rare! :D ):


Plaisir d'exercer
Ode au métier infirmier - le plus beau du monde! Et grincement de dents contre certains cadres... qui n'ont d'infirmiers que le nom. Par Ginette Pipelette, infirmière vacataire populaire

(Chronique parue dans L'Infirmière magazine n°290,
1er décembre 2011)
J’aime bien rigoler, c’est vrai… Je n’aime pas les conflits, c’est vrai… Je suis ce que l’on appelle quelqu’un de consensuel. J’ai toujours voulu être infirmière. Bien contente de faire ce métier depuis vingt ans, j’en profite au maximum. J’ai ce qu’on appelle une relation privilégiée avec mes collègues et mes patients. Oui, je dis bien MES patients ! Je ne suis pas folle, je sais bien qu’ils ne m’appartiennent pas, mais je suis toujours étonnée et émue de voir à quel point ils me font confiance, à quel point ils se dévoilent, se mettent à nu devant moi. En retour, ils savent que je mettrai en œuvre toute ma compétence professionnelle pour les aider. Avec mes collègues, je peux dire, sans exagérer, que cela se passe bien : on n’est pas toujours d’accord, mais on se respecte, on se comprend. Enfin bref, tout le monde connaît les difficultés de notre métier : le stress, les horaires, le manque de personnel, la paye pas super… Mais j’accepte tout ça parce que j’aime mon métier. J’aime soigner, écouter, réconforter. Je ne suis pas parfaite, loin de là, j’apprends tous les jours. Je sais surtout qu’il faut savoir rester humble face à la souffrance et à la peur de nos patients. Parfois, je m’énerve, souvent pour pas grand-chose, je suis comme ça… J’ai toujours entendu dire que les infirmières n’étaient pas considérées. C’est sûr qu’en matière de salaire, et au vu de ma responsabilité et de mon investissement personnel, ce n’est pas Byzance ! Cela dit, je n’ai jamais eu de mal à trouver du boulot, et lorsque je compare mes conditions de travail avec celles de mon institutrice de sœur, je relativise…
Je vais vous dire le fin mot de mon histoire. Je suis hyper corporatiste. En toute objectivité, je trouve que le métier d’infirmière est le plus beau du monde, et rien que pour cela, rien que pour pratiquer avec enthousiasme, mes collègues et moi-même sommes des personnes géniales ! Ce qui est vraiment dommage, c’est que certains cadres infirmiers, qui n’ont d’infirmier que le nom, se prennent au sérieux alors qu’ils sont ridiculement incompétents. C’est vraiment dommage, ça gâche tout…


Espace infirmierÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Verrouillé