Obliger pour de considérer....
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Re: Obliger pour de considérer....
Je pense qu'il n'y a pas de politique sanitaire, juste une navigation à vue en fonction de l'humeur médiatique du moment. Tous les jours on a des marchands d'apocalypse qui nous prédisent la fin du monde pour demain. Ce sont les mêmes depuis un an et demi, ils feraient bien de retourner dans leurs services au chevet de leurs patients.
Le gouvernement craint de devoir reconfiner ( selon quel nouveau critère cette fois ci ?) et ça va être compliqué de reconfiner une population qui a bien adhéré à la vaccination, et ce dès le début malgré une politique vaccinale hésitante et erratique.
Jusqu'à hier, le nombre de vaccinés était en augmentation constante. Fallait il taper du point sur la table en stigmatisant justement ceux qui sont plus vaccinés que les autres ?
Fallait il créer un bordel innommable et imposer des mesures inapplicables ?
Contrairement à ce que déblatère le ministère de la santé, ça n'est pas simple partout de trouver un créneau de vaccination dans les 15 jours, d'autant que pour les moins de 55 ça ne fait pas si longtemps que ça, et que beaucoup ont temporisé puisqu'on leur demandait de faire leurs deux doses dans le même centre.
Il y a moins de vaccinateurs ( ils prennent des vacances) et depuis lundi la sécu demande aux internes de rembourser leurs Indemnités de vaccination.
Le bénéfice des mesures annoncées hier me semble très sujet à caution. La vaccination obligatoire des soignants en particulier, ça représente peu de professionnels, et c'est un mode de contamination très annexe.
Le gouvernement craint de devoir reconfiner ( selon quel nouveau critère cette fois ci ?) et ça va être compliqué de reconfiner une population qui a bien adhéré à la vaccination, et ce dès le début malgré une politique vaccinale hésitante et erratique.
Jusqu'à hier, le nombre de vaccinés était en augmentation constante. Fallait il taper du point sur la table en stigmatisant justement ceux qui sont plus vaccinés que les autres ?
Fallait il créer un bordel innommable et imposer des mesures inapplicables ?
Contrairement à ce que déblatère le ministère de la santé, ça n'est pas simple partout de trouver un créneau de vaccination dans les 15 jours, d'autant que pour les moins de 55 ça ne fait pas si longtemps que ça, et que beaucoup ont temporisé puisqu'on leur demandait de faire leurs deux doses dans le même centre.
Il y a moins de vaccinateurs ( ils prennent des vacances) et depuis lundi la sécu demande aux internes de rembourser leurs Indemnités de vaccination.
Le bénéfice des mesures annoncées hier me semble très sujet à caution. La vaccination obligatoire des soignants en particulier, ça représente peu de professionnels, et c'est un mode de contamination très annexe.
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
Re: Obliger pour de considérer....
Je ne comprends même pas comment on peut nier à ce point le rôle crucial des mesures d'hygiène afin de lutter contre l'expansion de la pandémie. Avant même la vaccination il y a l'hygiène.Maximousse1989 a écrit :Hématose a écrit :Un soignant à qui on empêche de prendre des précautions complémentaires en s'habillant avant d'aller voir un Covid représente à mon sens un risque infiniment plus grand pour le reste de la cohorte qu'il prend en charge qu'un soignant non vacciné.un soignant non-vacciné représente-t-il un risque supplémentaire ?
Pour rappel, à ce jour les recommendations préconisent de ne pas porter de blouse, charlotte, gants, ffp2 en présence d'un Covid si pas de risque d'aérosolisation (en gros on va voir un Covid comme on va voir un patient lambda) (bien entendu nous nous habillons quand même).
Je n'ai pas les mots devant ce niveau d'incohérence...
Ah mais je suis d'accord avec vous sur ça : gouvernement de branques, et entre les deux le manque institutionnalisé de moyens est encore plus dommageable.
La vaccination n'empêchera pas la contamination par les soignants qui sont porteurs sains... J'ai hâte du discours qu'on entendra quand les effectifs hospitaliers seront vaccinés et que les contaminations intra hospitalières perdureront, je me demande bien ce qu'ils oseront dire.
Je ne comprends pas comment on peut en arriver à vouloir aggraver la pénurie de personnel en souhaitant dégager les soignants qui ne veulent pas se faire vacciner. Des services entiers ferment manque de personnel, beaucoup ne tournent qu'avec des intérimaires. Et après ?
Ceux qu'il faut pointer du doigt ne sont pas les soignants mais ceux qui sont au gouvernement qui ont laissé les frontières ouvertes et permettent encore aux nouveaux variants d'arriver sur notre territoire et de faire des ravages. Eux sont les véritables meurtriers.
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Re: Obliger pour de considérer....
Doublon, désolé.
Dernière modification par Maximousse1989 le 13 juil. 2021 19:05, modifié 1 fois.
La gériatrie c'est la vie!
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Re: Obliger pour de considérer....
Hématose a écrit :Je ne comprends même pas comment on peut nier à ce point le rôle crucial des mesures d'hygiène afin de lutter contre l'expansion de la pandémie. Avant même la vaccination il y a l'hygiène.Maximousse1989 a écrit :Hématose a écrit :
Un soignant à qui on empêche de prendre des précautions complémentaires en s'habillant avant d'aller voir un Covid représente à mon sens un risque infiniment plus grand pour le reste de la cohorte qu'il prend en charge qu'un soignant non vacciné.
Pour rappel, à ce jour les recommendations préconisent de ne pas porter de blouse, charlotte, gants, ffp2 en présence d'un Covid si pas de risque d'aérosolisation (en gros on va voir un Covid comme on va voir un patient lambda) (bien entendu nous nous habillons quand même).
Je n'ai pas les mots devant ce niveau d'incohérence...
Ah mais je suis d'accord avec vous sur ça : gouvernement de branques, et entre les deux le manque institutionnalisé de moyens est encore plus dommageable.
La vaccination n'empêchera pas la contamination par les soignants qui sont porteurs sains... J'ai hâte du discours qu'on entendra quand les effectifs hospitaliers seront vaccinés et que les contaminations intra hospitalières perdureront, je me demande bien ce qu'ils oseront dire.
Je ne comprends pas comment on peut en arriver à vouloir aggraver la pénurie de personnel en souhaitant dégager les soignants qui ne veulent pas se faire vacciner. Des services entiers ferment manque de personnel, beaucoup ne tournent qu'avec des intérimaires. Et après ?
Ceux qu'il faut pointer du doigt ne sont pas les soignants mais ceux qui sont au gouvernement qui ont laissé les frontières ouvertes et permettent encore aux nouveaux variants d'arriver sur notre territoire et de faire des ravages. Eux sont les véritables meurtriers.
En étant totalement déconnecté du soin, en envisageant la gestion d'un établissement de soin comme celle d'un fast food: vite fait, mal fait, pas grave, fait quand même.
Les mêmes problèmes institutionnels que nous connaissons depuis des années.
Mais il faut faire attention à ce que nous revendiquons:
-si nous réclamons la liberté de choisir de se vacciner ou non, même sans l'influence des médias je pense que cette position sera intenable car on passera pour des irresponsables ou des obscurantistes.
-si, en revanche on met en avant le fait que pour réduire le propagation du virus il faut de l'hygiène, donc du monde en nombre suffisant pour que les règles soient respectées et que sans ça le vaccin ne suffit pas, là c'est différent, on force le lecteur à se questionner, sans pour autant l'égarer.
Vraiment, toute cette situation est pour moi un dilemme, un vrai, qui pique (sans mauvais jeu de mot).
La gériatrie c'est la vie!
Re: Obliger pour de considérer....
J'ai fait à contre coeur ma 1ère dose de vaccin il y a 6 jours et jamais un vaccin ne m'avait fait cette effet : nausées, fatigue++++, douleur musculaire+++++++++, perte d'apétit, perte de force. C'est à peine si je pouvais me lever, d'ailleurs j'ai même pas pu me doucher ce jour là tellement que j'étais pas bien. J'ai pas du tout envie de me taper la 2nd injection.
Je ne comprends pas le dictateur et sa logique. Ce sont dans la majorité des cas les personnes fragiles qui décèdent du COVID. Pourquoi imposer cela à des gens en plein forme?!
On a déjà vacciné nos vieux, ils sont censés ne plus contracter le virus.
J'ai 25 piges, 0 soucis de santé, corpulence normale, ne fume pas, ne bois pas mais je dois me faire injecter un vaccin qui m'a littéralement traumatisé pour la 2è fois.
La frustration que j'ai de ne pas pouvoir disposer de mon corps.
Je ne comprends pas le dictateur et sa logique. Ce sont dans la majorité des cas les personnes fragiles qui décèdent du COVID. Pourquoi imposer cela à des gens en plein forme?!
On a déjà vacciné nos vieux, ils sont censés ne plus contracter le virus.
J'ai 25 piges, 0 soucis de santé, corpulence normale, ne fume pas, ne bois pas mais je dois me faire injecter un vaccin qui m'a littéralement traumatisé pour la 2è fois.
La frustration que j'ai de ne pas pouvoir disposer de mon corps.
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Re: Obliger pour de considérer....
personnellement je suis non vaccinée. Je ne suis pas anti vaccin, je fais même celui de la grippe c'est pour dire.
Mais là pour le coup..... on a du recul sur les effets indésirables à court terme oui (et certains ne sont pas très reluisant.... ) mais pas à LONG terme. Que se passera t il dans 10 ans ou plus ? Aurons nous un autre scandale sur les bras comme le valproate ou autre ? Il ne manque pas d'exemple par le passé de médicament soi disant sûr.
L'obligation vaccinale vient de passer, je ferais le vaccin. Mais uniquement parce que j'aime mon taf. Pas par altruisme ou autre. Et pas parce que je suis convaincue de l'innocuité de ce vaccin. Et d'ailleurs j'irais à reculons ...
Mais là pour le coup..... on a du recul sur les effets indésirables à court terme oui (et certains ne sont pas très reluisant.... ) mais pas à LONG terme. Que se passera t il dans 10 ans ou plus ? Aurons nous un autre scandale sur les bras comme le valproate ou autre ? Il ne manque pas d'exemple par le passé de médicament soi disant sûr.
L'obligation vaccinale vient de passer, je ferais le vaccin. Mais uniquement parce que j'aime mon taf. Pas par altruisme ou autre. Et pas parce que je suis convaincue de l'innocuité de ce vaccin. Et d'ailleurs j'irais à reculons ...
IDE juillet 2018
A moi la psy !
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Re: Obliger pour de considérer....
Notre président a décidé de la vaccination obligatoire pour tous les soignants, ainsi que de mesures restrictives voir punitives pour tous citoyens non vaccinés.
A titre personnel, je n’avais pas de contre-indication formelle à la vaccination mais une recommandation médicale de prudence fondée sur le principe du bénéfices/risques m’indiquant de ne pas recourir à la vaccination, y compris en qualité de soignants, ayant été formé à ne pas transmettre mes propres germes dans les situations à risque.
J’ai dû récemment inclure dans cette balance bénéfices/risques des paramètres qui n’ont rien à voir avec la science et la santé mais relèvent purement de la politique d’un état qui n’est plus de droit. Je me suis donc fait vacciner en prenant des risques qui vont bien au-delà des bénéfices de santé, afin de pouvoir tous simplement continuer à avoir une vie sociale et un travail.
Pour rappel, nous soignants, sommes formés aux soins stériles, à l’asepsie, à ne pas contaminer un patient et aussi à nous protéger lors d’interventions avec un risque de contagiosité.
J’ai souvenir d’avoir fait des soins dans des chambres de tuberculeux, sur des patients porteur VIH, des personnes immunodéprimés, où intervenir en étant moi-même malade tout en devant protéger le patient d’un risque de transmission. Je sais porter le masque correctement s’il le faut, me laver soigneusement les mains si besoin, respecter les gestes barrières.
J’ai souvenir de soignants réclamant des masques spécifiques et protections quand l’état leurs expliquait que cela n’était pas nécessaire alors que tous soignants connaissaient déjà les modes de transmissions et protocoles de protection d’un quelconque virus respiratoire.
Je sais aussi voir les fautes et erreurs commises largement chaque jour par la grande majorité des citoyens non formés et mal informés concernant les mesures sanitaires imposés.
L’obligation vaccinale des soignants est à mon sens une insulte à ma profession, cette obligation infantilisante est fondée sur des prétextes fallacieux avec des chiffres faux, puisque le nombre avancé de soignants vaccinés ne tenait pas compte des initiatives individuelles, en d’autres termes les soignant vaccinés en ville de leur propre chef n’étaient pas comptabilisés. Beaucoup de soignants ont décidé de démissionner devant le manque de considération de notre gouvernement à leur égard et les promesses non tenues.
Maintenant, avec cette obligation vaccinale qui stigmatise les soignants, les pointe du doigt et les désignent comme partie responsable de la transmission du virus, je suis passé de héros à coupable. Coupable d’avoir mon libre arbitre, ma capacité de discernement et des informations qu’il m’est capable d’analyser. Coupable de pouvoir décider et agir autrement qu’à travers un acte prescrit.
Je reprends les mots d’un critique de football qui décrivait cette spécialité bien française face à ses héros d’un jour qui consiste à les lécher, les lâcher puis les lyncher. C’est exactement ce que fait notre président et son gouvernement avec les soignants.
Mais je tiens à préciser que je n’ai jamais demandé à être considéré comme un héros, comme je le crois l’ensemble de la profession. Je ne demande qu’à être considéré tel un professionnel qui fait son métier avec la rigueur et la responsabilité qu’il se doit, qui demande à être reconnu à sa juste valeur en étant respecté, ce qui commence par une rémunération correcte au regard des responsabilités, du niveau d’étude et d’exigence.
Puissent ceux qui utilisent les soignants et sont au contact des financeurs et décideur, faire remonter cette colère associée à ces doléances.
Et si je sais que cela n’y changera probablement rien, je le fais quand même car témoigner de son indignation est pour moi un devoir minimum face à l’injustice, l’indifférence, le mépris et l’arrogance de ceux qui ont le pouvoir et en abusent. Le devoir n’est pas l’obligation, mais une notion qui implique une forme de réciprocité avec les droits. Avoir des devoirs va généralement de pair avec le fait d’avoir des droits, avoir des obligations va souvent de pair avec la perte de ses droits.
A titre personnel, je n’avais pas de contre-indication formelle à la vaccination mais une recommandation médicale de prudence fondée sur le principe du bénéfices/risques m’indiquant de ne pas recourir à la vaccination, y compris en qualité de soignants, ayant été formé à ne pas transmettre mes propres germes dans les situations à risque.
J’ai dû récemment inclure dans cette balance bénéfices/risques des paramètres qui n’ont rien à voir avec la science et la santé mais relèvent purement de la politique d’un état qui n’est plus de droit. Je me suis donc fait vacciner en prenant des risques qui vont bien au-delà des bénéfices de santé, afin de pouvoir tous simplement continuer à avoir une vie sociale et un travail.
Pour rappel, nous soignants, sommes formés aux soins stériles, à l’asepsie, à ne pas contaminer un patient et aussi à nous protéger lors d’interventions avec un risque de contagiosité.
J’ai souvenir d’avoir fait des soins dans des chambres de tuberculeux, sur des patients porteur VIH, des personnes immunodéprimés, où intervenir en étant moi-même malade tout en devant protéger le patient d’un risque de transmission. Je sais porter le masque correctement s’il le faut, me laver soigneusement les mains si besoin, respecter les gestes barrières.
J’ai souvenir de soignants réclamant des masques spécifiques et protections quand l’état leurs expliquait que cela n’était pas nécessaire alors que tous soignants connaissaient déjà les modes de transmissions et protocoles de protection d’un quelconque virus respiratoire.
Je sais aussi voir les fautes et erreurs commises largement chaque jour par la grande majorité des citoyens non formés et mal informés concernant les mesures sanitaires imposés.
L’obligation vaccinale des soignants est à mon sens une insulte à ma profession, cette obligation infantilisante est fondée sur des prétextes fallacieux avec des chiffres faux, puisque le nombre avancé de soignants vaccinés ne tenait pas compte des initiatives individuelles, en d’autres termes les soignant vaccinés en ville de leur propre chef n’étaient pas comptabilisés. Beaucoup de soignants ont décidé de démissionner devant le manque de considération de notre gouvernement à leur égard et les promesses non tenues.
Maintenant, avec cette obligation vaccinale qui stigmatise les soignants, les pointe du doigt et les désignent comme partie responsable de la transmission du virus, je suis passé de héros à coupable. Coupable d’avoir mon libre arbitre, ma capacité de discernement et des informations qu’il m’est capable d’analyser. Coupable de pouvoir décider et agir autrement qu’à travers un acte prescrit.
Je reprends les mots d’un critique de football qui décrivait cette spécialité bien française face à ses héros d’un jour qui consiste à les lécher, les lâcher puis les lyncher. C’est exactement ce que fait notre président et son gouvernement avec les soignants.
Mais je tiens à préciser que je n’ai jamais demandé à être considéré comme un héros, comme je le crois l’ensemble de la profession. Je ne demande qu’à être considéré tel un professionnel qui fait son métier avec la rigueur et la responsabilité qu’il se doit, qui demande à être reconnu à sa juste valeur en étant respecté, ce qui commence par une rémunération correcte au regard des responsabilités, du niveau d’étude et d’exigence.
Puissent ceux qui utilisent les soignants et sont au contact des financeurs et décideur, faire remonter cette colère associée à ces doléances.
Et si je sais que cela n’y changera probablement rien, je le fais quand même car témoigner de son indignation est pour moi un devoir minimum face à l’injustice, l’indifférence, le mépris et l’arrogance de ceux qui ont le pouvoir et en abusent. Le devoir n’est pas l’obligation, mais une notion qui implique une forme de réciprocité avec les droits. Avoir des devoirs va généralement de pair avec le fait d’avoir des droits, avoir des obligations va souvent de pair avec la perte de ses droits.
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Re: Obliger pour de considérer....
(..eh non Léopold, tout comme vous (et les milliards d’autres fous) j’ai survécu à la vaxination )
Les patients que vous serez toutes et tous un jour où l’autre, demandent simplement à ne pas se coltiner une affection supplémentaire qui pourrait entraîner leur décès. C’est pourtant clair.
La vaccination diminue de deux tiers la transmission virale, source ISRAËL, très en pointe sur le sujet.
Plus que la CGT ou dans un autre registre Debout La France et Philippot etc en tout cas.
Attention au corpo-populisme s’agissant de syndicats…déjà bien tentés par le clientélisme…
D’aucun considère que c’est un mode de contamination « très annexe »… que de se chopper la Covid à l’hosto du fait de soignants mais quand la covid est devenue la première maladie nosocomiale (et on sait pourtant toute la réticence des administrations à se reconnaître le MOINDRE tort…) il vaut mieux employer connexe que annexe, sauf quand on tient absolument à minimiser ou amplifier le rôle des uns des autres dans la pandémie.
Alors oui on nous a menti, pas qu’à nous soignants (Ségur), mais attention c’est une formule super bien pratique pour faire passer n’importe quel message.
Tant que vous êtes, pourquoi ne pas insinuer que Macron se dépêche de vacciner pour pouvoir amorcer sa réforme des retraites?
Cela dit…Pour rappel, printemps 2020…on vous ment sur tout …
https://www.google.com/amp/s/www.lepari ... 290596.php

Les patients que vous serez toutes et tous un jour où l’autre, demandent simplement à ne pas se coltiner une affection supplémentaire qui pourrait entraîner leur décès. C’est pourtant clair.
La vaccination diminue de deux tiers la transmission virale, source ISRAËL, très en pointe sur le sujet.
Plus que la CGT ou dans un autre registre Debout La France et Philippot etc en tout cas.
Attention au corpo-populisme s’agissant de syndicats…déjà bien tentés par le clientélisme…
D’aucun considère que c’est un mode de contamination « très annexe »… que de se chopper la Covid à l’hosto du fait de soignants mais quand la covid est devenue la première maladie nosocomiale (et on sait pourtant toute la réticence des administrations à se reconnaître le MOINDRE tort…) il vaut mieux employer connexe que annexe, sauf quand on tient absolument à minimiser ou amplifier le rôle des uns des autres dans la pandémie.
Alors oui on nous a menti, pas qu’à nous soignants (Ségur), mais attention c’est une formule super bien pratique pour faire passer n’importe quel message.
Tant que vous êtes, pourquoi ne pas insinuer que Macron se dépêche de vacciner pour pouvoir amorcer sa réforme des retraites?
Cela dit…Pour rappel, printemps 2020…on vous ment sur tout …

https://www.google.com/amp/s/www.lepari ... 290596.php
Le complotisme est la philosophie du fruste.
Toutes les vérités sont nonnes à dire...
Mère TERASERA
ex IADE bloc SMUR syndicaliste, gauche laïque, CerfHa hygiène, tutorat et encadrement étudiants.
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Re: Obliger pour de considérer....
sympa aussi l'article interview sur infirmier.com,de la directrice d'EPHAD qui est pour l'obligation vaccinale puisque les aides soignantes et infirmières ne sont pas assez instruites.Par contre,elle demande des idées de sanctions en cas de refus.Des idées?
-
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Re: Obliger pour de considérer....
Ah je vois que vous suivez l’actualité :execho a écrit :sympa aussi l'article interview sur infirmier.com,de la directrice d'EPHAD qui est pour l'obligation vaccinale puisque les aides soignantes et infirmières ne sont pas assez instruites.Par contre,elle demande des idées de sanctions en cas de refus.Des idées?

Ben…comment dire….j’ai lu ici même que « les vieux n’ont qu’à se vacciner à 100% et peut être que là je me bougerai » ou qq chose dans le genre…
C’est un peu du même tonneau que de se dire que « ce patient s’est chopé un cancer du poumon parce qu’il a fumé comme un p..,, ». donc il n’a qu’à se faire f….parce moi, je ne fume pas!
Dans les faits Aucun infirmier refusera de soigner ce patient pour un motif quelconque , et il aura déjà au compteur 13 vaccins, alors un de plus, surtout que 3 milliards de non soignants ont déjà reçu une dose…question exemplarité à notre niveau c’est plutôt moyen!
Prétendre qu’on a pas assez de recul est aussi petit que d’affirmer qu’on additionne de faux morts…pour exagérer la pandémie et asseoir une domination sur le peuple.
Nous concernant, si on accepte de soigner quelqu’un on le fait avec l’obligation d’être en phase avec les connaissances actuelles de la science.
Actuellement, à ce jour, la science dit que la vaccination diminue de 2/3 la transmission du covid variant delta, source ISRAËL, en même temps il est sûr et efficace avec très peu d’effet adverses qui surviennent toujours dans les 3 mois, un doute toutefois sur la durée de l’immunité.
Alors pour reprendre une formule pathétique et néanmoins célèbre,

je vire ceux qui ne pensent qu’à leur nombril, moi patient:
infecté sans rien demander je porte plainte , moi infirmier;
je me vaccine et invite les collègues à faire de même, moi Ministre,:
je récupère les dizaines de milliers d’IDE qui ont jeté l’éponge avec un salaire doublé, les soignants dans le doute n’ont qu’à faire autre chose (d’ailleurs ça nous ferait le plus grand bien ici!)…et pour finir
…moi grand syndicat que tout le monde nous envie;
…j’évite de me mêler de ça pour me ridiculiser d’avantage, car les casseroles que j’ai au derche m’empêchent de demander le droit de grève réel pour les soignants, d’exiger des salaires comme ceux pratiqués à nos frontières, et de me rebeller contre cette injustice phénoménale qui consiste à la dérogation du travail de nuit pour les femmes enceintes qui plus est payées 1€ supplémentaire, ce qui pourrait constituer ni plus ni moins une forme d’esclavagisme moderne , que seuls certains docteurs en médecine y pallient en les mettant en maladie…
les casseroles ou mes grosses lunettes de myope m’empêchent aussi de dénoncer que l’égalité des citoyens n’est pas respectée en France surtout passé un certain âge ou certaines pathologies par rapport à l’offre de soins et aux capacités de la science.
Ainsi des millions de personnes dans ce cas ne peuvent bénéficier de réas, voire d’hospitalisation tout court, alors qu’elles cotisent, elles, plein pot!
Et comme je vois que des gens hostiles à la vaccination se mettent manifester actuellement à Paris au nombre de 2200 (combien source gilets jaunes?) versus 2,2 millions d’autres qui ont pris RV pour se vacciner) j’aurais tendance à en rajouter une:
Alors Moi ministre je poursuis tout fake newer qui galvaude l’intérêt des masques, des mesures barrière, de la vaccination, sur fond de déni de pandémie,
Il ne faut pas tomber dans le piège complo-jaunes qui amalgame vaccin-pass sanitaire=Macron le dictateur.
Voilou..,
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Re: Obliger pour de considérer....
La boîte d'intérim chez qui je reste inscrite a déjà envoyé un mail pour rappeler que la vaccination est "bientôt obligatoire" sous peine de plus pouvoir bosser avec eux ...
Re: Obliger pour de considérer....
C'était prévisible.tatal a écrit :La boîte d'intérim chez qui je reste inscrite a déjà envoyé un mail pour rappeler que la vaccination est "bientôt obligatoire" sous peine de plus pouvoir bosser avec eux ...
Re: Obliger pour de considérer....
Lorsque l'on se penche réellement sur les faits, on constate le COVID a une incidence plus importante chez les personnes âgées en particulier lorsqu'il y a une ou plusieurs comorbidité.
Reste les cas particuliers, d'atteinte hépatique (ou l'alcool à une très forte incidence sur la virulence du COVID) et le syndrome de Down (trisomie 21)
Les personnes le plus infectés sont les personnes de 15 à 65 ans (2/3 des infectés)
Pourtant ils ne représentent moins de 5% des décès. Tout pays confondus.
A l'inverse, les plus de 65 ans, représentent l'autre tiers des personnes infectées, mais constituent l'essentiel des décès, et c'est encore plus vrai pour les plus de 70 ans.
Se pose donc quelques problèmes d'ordre sanitaire et épidémiologique.
Si les personnes les plus a risque sont vaccinés et donc protégés. Pourquoi vouloir vacciner le reste de la population qui ne souffrent pas de la forme grave de la maladie ?
L'indice de personnes décédés sur le nombre de personnes atteintes du COVID est ridiculement bas pour exiger une vaccination de masse. Pourquoi vouloir l'imposer ?
A la rigueur il aurait mieux valu imposer l'hépatite ou le méningite dont la létalité surplante largement celle du COVID.
Etant bien placé, beaucoup de familles ont appris que leur parents sont morts du COVID en EPHAD. Par la suite, l'autopsie a révélé que .... ben non.
La grippe, une pneumonie, la solitude .....
Pourtant toutes ces morts ont été comptabilisé comme du au COVID.
Ce qui se passe en France est une première.
Je reçois des appelles en panique de directeurs me demandant comment ils vont faire pour garder leur personnel.
Nous sommes littéralement le seul pays au MONDE, a priver sa population de son libre arbitre et même de sa liberté tout court.
Aucun pays européen ne nous suit.
Même Merkel a du prendre publiquement la parole pour se désolidariser de Macron.
Un traitement qui ne protège pas les gens ne peut s'appeler vaccin.
Il ne protège ni de la contagion ni des formes graves. Et si il était aussi efficace que ça, les gens traités n'auraient pas peur de gueux.
Sources 1
Sources 2
Reste les cas particuliers, d'atteinte hépatique (ou l'alcool à une très forte incidence sur la virulence du COVID) et le syndrome de Down (trisomie 21)
Les personnes le plus infectés sont les personnes de 15 à 65 ans (2/3 des infectés)
Pourtant ils ne représentent moins de 5% des décès. Tout pays confondus.
A l'inverse, les plus de 65 ans, représentent l'autre tiers des personnes infectées, mais constituent l'essentiel des décès, et c'est encore plus vrai pour les plus de 70 ans.
Se pose donc quelques problèmes d'ordre sanitaire et épidémiologique.


A la rigueur il aurait mieux valu imposer l'hépatite ou le méningite dont la létalité surplante largement celle du COVID.

La grippe, une pneumonie, la solitude .....
Pourtant toutes ces morts ont été comptabilisé comme du au COVID.

Ce qui se passe en France est une première.
Je reçois des appelles en panique de directeurs me demandant comment ils vont faire pour garder leur personnel.
Nous sommes littéralement le seul pays au MONDE, a priver sa population de son libre arbitre et même de sa liberté tout court.
Aucun pays européen ne nous suit.
Même Merkel a du prendre publiquement la parole pour se désolidariser de Macron.
Un traitement qui ne protège pas les gens ne peut s'appeler vaccin.
Il ne protège ni de la contagion ni des formes graves. Et si il était aussi efficace que ça, les gens traités n'auraient pas peur de gueux.

Sources 1
Sources 2
Recruteur et expert en paie et droit social.
Re: Obliger pour de considérer....
Je pense sinon est aussi le seul pays au monde ou le gouvernement propose de restreindre l'accès aux structures hospitalières sous conditions de passe sanitaire.
Dès qu'il eut franchi le pont, les fantomes vinrent à sa rencontre.
Re: Obliger pour de considérer....
Le problème de COVID est bien la faille de notre système de santé en ruine.
Une faille tellement béante qu'il a fallu la cacher à tout prix.
Une réa à terre. Des structures gériatriques transformées en machine à cash sur le dos du contribuable.
Et aucune réflexion sur le devenir de la santé en France.
Bref le fiasco totale.
Cependant ...
Sur l’avant projet de loi présenté prochainement en Conseil des Ministres prévoyant le possible licenciement d’un salarié travaillant dans les lieux concernés par le pass sanitaire qui ne serait plus en mesure d’exercer son emploi « depuis plus de 2 mois » du fait de son défaut de vaccination.
il s’agirait, selon Madame la Ministre du travail, d’un « licenciement disciplinaire ». Admettons…
Mais dans ce cas dans quelle mesure peut il être procédé à un licenciement pour faute dont les faits peuvent potentiellement être prescrits? (art. L 1332-4 du code du travail pour les puristes avec comme éventuel point de débat la jurisprudence sur la faute répétée dans le temps …)
Pour moi le fait fautif pour lancer le licenciement est de ne pas avoir régulariser sa situation vaccinale dans les 2 mois suivant la publication de la loi.
Cela me pose le problème : il faudra que l’employeur ait une connaissance certaine de la situation vaccinale de son salarié.
Ce qui est totalement interdit (cf secret médicale).
Beaucoup de salariés refuseront de communiqué sur le sujet. Donc la loi doit obliger le salarié à transmettre sa situation vaccinale.
Je crains une censure du conseil constitutionnel sur le sujet sensible de l’état vaccinal du salarié...
Pour moi, in fine, c’est plus un effet d’annonce pour que les gens réagissent et se fassent vacciner...
Et les gens ont répondu à l'appel.
Une faille tellement béante qu'il a fallu la cacher à tout prix.
Une réa à terre. Des structures gériatriques transformées en machine à cash sur le dos du contribuable.
Et aucune réflexion sur le devenir de la santé en France.
Bref le fiasco totale.
Cependant ...
Sur l’avant projet de loi présenté prochainement en Conseil des Ministres prévoyant le possible licenciement d’un salarié travaillant dans les lieux concernés par le pass sanitaire qui ne serait plus en mesure d’exercer son emploi « depuis plus de 2 mois » du fait de son défaut de vaccination.
il s’agirait, selon Madame la Ministre du travail, d’un « licenciement disciplinaire ». Admettons…
Mais dans ce cas dans quelle mesure peut il être procédé à un licenciement pour faute dont les faits peuvent potentiellement être prescrits? (art. L 1332-4 du code du travail pour les puristes avec comme éventuel point de débat la jurisprudence sur la faute répétée dans le temps …)
Pour moi le fait fautif pour lancer le licenciement est de ne pas avoir régulariser sa situation vaccinale dans les 2 mois suivant la publication de la loi.
Cela me pose le problème : il faudra que l’employeur ait une connaissance certaine de la situation vaccinale de son salarié.
Ce qui est totalement interdit (cf secret médicale).
Beaucoup de salariés refuseront de communiqué sur le sujet. Donc la loi doit obliger le salarié à transmettre sa situation vaccinale.
Je crains une censure du conseil constitutionnel sur le sujet sensible de l’état vaccinal du salarié...
Pour moi, in fine, c’est plus un effet d’annonce pour que les gens réagissent et se fassent vacciner...
Et les gens ont répondu à l'appel.
Recruteur et expert en paie et droit social.