TFE représentation IDE face aux patients alcooliques
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
Bonjour!
je suis tjrs autant perdue qu'au début et ca commence à me rendre folle! lol
je ne sais tjrs pas de quoi parler car bcp de choses me viennent à l'idée ms sans réels questionnement...comme le role de l'entourage lors de la periode de sevrage, la représentation de la personne alcoolique ailleurs qu'en services spécialisés et leurs PEC, mon idéal de soin... bref flou total!!!
Ce qui me pose le + pb c'est que je n'ai pas réellement de situations d'appel....
je suis tjrs autant perdue qu'au début et ca commence à me rendre folle! lol
je ne sais tjrs pas de quoi parler car bcp de choses me viennent à l'idée ms sans réels questionnement...comme le role de l'entourage lors de la periode de sevrage, la représentation de la personne alcoolique ailleurs qu'en services spécialisés et leurs PEC, mon idéal de soin... bref flou total!!!
Ce qui me pose le + pb c'est que je n'ai pas réellement de situations d'appel....
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- Messages : 3
- Inscription : 07 oct. 2006 16:17
tfe alcool
merci tout d'abord pour vos reponses
j'ai donc retravaillée ma question de depart
j'avoue la je suis pomé
j'en suis arrivée a celle ci:
en quoi l'image que la profession paramedicale se fait de la personne alcoolique peut elle interférer dans la relation soignant signés?
je suis un peu perdu je trouve que ma question n'est pas pertimente bref svp j'attend vos sugstion merci d'avance
j'ai donc retravaillée ma question de depart
j'avoue la je suis pomé
j'en suis arrivée a celle ci:
en quoi l'image que la profession paramedicale se fait de la personne alcoolique peut elle interférer dans la relation soignant signés?
je suis un peu perdu je trouve que ma question n'est pas pertimente bref svp j'attend vos sugstion merci d'avance
je reviens alors sur ce que je t'ai dit plus haut, je t'ai parlé de distance thérapeutique, une distance thérapeutique est la distance ou tu peux produire du soin de qualité(cf la notion de soin). elle n'est ni dans la sphère sociale (préjugés), ni dans la sphère personnelle (affectif).
tu parles de nombreux préjugés par rapport a ces patients, donc en reformulant tes propos cela peut dire:
en quoi est il difficile d'établir une distance thérapeutique auprès d'un patient souffrant d'alcoolisme?
de la tu peux te questionner sur l'établissement de cette relation et tous les barrages (personnels, institutionnels, relation au temps, a la notion de soin, image sociale) pouvant entrer dans l'établissement de celle ci.
est ce cela que tu souhaites aborder?
tu parles de nombreux préjugés par rapport a ces patients, donc en reformulant tes propos cela peut dire:
en quoi est il difficile d'établir une distance thérapeutique auprès d'un patient souffrant d'alcoolisme?
de la tu peux te questionner sur l'établissement de cette relation et tous les barrages (personnels, institutionnels, relation au temps, a la notion de soin, image sociale) pouvant entrer dans l'établissement de celle ci.
est ce cela que tu souhaites aborder?
TFE alcoolisme et représentation sociale
bonjour;
je voudrais faire mon TFE sur les représentation sociales de l'alcoolisme et leur influence sur la prise en charge infirmiere,cela n'implique pas les jugements de valeurs si quelqu'un peux m'aider ou a des remarques quelconque merci par avance.
je voudrais faire mon TFE sur les représentation sociales de l'alcoolisme et leur influence sur la prise en charge infirmiere,cela n'implique pas les jugements de valeurs si quelqu'un peux m'aider ou a des remarques quelconque merci par avance.

bonjour, ravi de voir un sujet comme celui ci.
juste une remarque, l'alcoolique et l'alcool a un role social, et d'une manière systèmique, cache bien d'autres problèmes, c'est pourquoi quelquefois l'entourage va tout mettre en échec (inconsciement).
un père de famille si il arrète de boire va reprendre sa place dans la famille, ce qui n'est que très rarement accepté par l'épouse (regardez le nombre de divorces après un sevrage, ce n'est pas simplement parceque la brave dame et partie une fois qu'il était guéri), de même les problèmes du couple vont etre mis en avant alors que la relation tierce par l'alcool les dissimulait.
Dans une entreprise aussi, l'alcoolique (ou le mec à part pour autre chose) à sa place, dans une soirée aussi, dans toute notre sociéte, l'alcool a sa place (celle de la convivialité), et l'alcoolique a sa place (beaucoup plus bas, mais il contribue à élever celui qui se moque et à éviter de se poser trop de questions).
Au niveau des infirmiers, pas mieux je pense, il y a les personnes qui pensent que c'est une histoire de volonté, alors que l'on voit bien que même avec toute la bonne volonté du monde, si on replonge dans le même système, c'est rebelote. L'alcoolique a toujours un bénéfice à boire, on ne boit pas de telles quantités par plaisir. Je pense qu'il y a aussi très peu de remise en question des équipes vis à vis d'un échec lors d'un sevrage, alors que sur d'autres patients celle ci se fait plus aisément.
Dernière chose, le concept du soin à approfondir, avec la notion temporelle, la rechute est dans le parcours pour la guérison, et celle ci a sa place dans ce travail, soigner quelqu'un peut prendre des années, au contraire de nos représentations, du soin, ou celui ci est plus rapide et linéaire, "j'ai mal, je soigne je vais mieux je guéris" (a l'image d'une fracture).
juste une remarque, l'alcoolique et l'alcool a un role social, et d'une manière systèmique, cache bien d'autres problèmes, c'est pourquoi quelquefois l'entourage va tout mettre en échec (inconsciement).
un père de famille si il arrète de boire va reprendre sa place dans la famille, ce qui n'est que très rarement accepté par l'épouse (regardez le nombre de divorces après un sevrage, ce n'est pas simplement parceque la brave dame et partie une fois qu'il était guéri), de même les problèmes du couple vont etre mis en avant alors que la relation tierce par l'alcool les dissimulait.
Dans une entreprise aussi, l'alcoolique (ou le mec à part pour autre chose) à sa place, dans une soirée aussi, dans toute notre sociéte, l'alcool a sa place (celle de la convivialité), et l'alcoolique a sa place (beaucoup plus bas, mais il contribue à élever celui qui se moque et à éviter de se poser trop de questions).
Au niveau des infirmiers, pas mieux je pense, il y a les personnes qui pensent que c'est une histoire de volonté, alors que l'on voit bien que même avec toute la bonne volonté du monde, si on replonge dans le même système, c'est rebelote. L'alcoolique a toujours un bénéfice à boire, on ne boit pas de telles quantités par plaisir. Je pense qu'il y a aussi très peu de remise en question des équipes vis à vis d'un échec lors d'un sevrage, alors que sur d'autres patients celle ci se fait plus aisément.
Dernière chose, le concept du soin à approfondir, avec la notion temporelle, la rechute est dans le parcours pour la guérison, et celle ci a sa place dans ce travail, soigner quelqu'un peut prendre des années, au contraire de nos représentations, du soin, ou celui ci est plus rapide et linéaire, "j'ai mal, je soigne je vais mieux je guéris" (a l'image d'une fracture).
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- Inscription : 14 févr. 2007 12:07
TFE : patient alcoolique pris en charge dans service non spé
Bonjour à tous,
je suis étudiante infirmière en 3ème année et donc en plein dans le TFE. Mon sujet concerne la prise en charge des patients alcooliques dans des services non spécifiques.
Je n'arrive pas à trouver ma question de recherche. J'ai en fait besoin du témoignage de soignants ayant été confronté à ce type de prise en charge. Si c'est le cas, est-ce qu'il ya une prise en charge particulière en ce qui concerne leur éthylisme (si oui laquelle)? Avez-vous eu des formations spécifiques? L'éthylisme est-il abordé avec le patient ? avez vous des appréhensions, des dificultés par rapport à cette prise en charge?
Si vous êtes concerné et que vous pouvez répondre ne serait-ce qu'à une de mes questions ça me serait très profitable. Je vous remercie d'avance.
je suis étudiante infirmière en 3ème année et donc en plein dans le TFE. Mon sujet concerne la prise en charge des patients alcooliques dans des services non spécifiques.
Je n'arrive pas à trouver ma question de recherche. J'ai en fait besoin du témoignage de soignants ayant été confronté à ce type de prise en charge. Si c'est le cas, est-ce qu'il ya une prise en charge particulière en ce qui concerne leur éthylisme (si oui laquelle)? Avez-vous eu des formations spécifiques? L'éthylisme est-il abordé avec le patient ? avez vous des appréhensions, des dificultés par rapport à cette prise en charge?
Si vous êtes concerné et que vous pouvez répondre ne serait-ce qu'à une de mes questions ça me serait très profitable. Je vous remercie d'avance.
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C'est à tenir en compte, de même que ses antécédents parcequ'il y a un risque de pré DT.
sinon, un sevrage n'est efficace que quand le patient en fait la demande, donc si il n'y a pas demande, tu ne peux rien faire mis à part évoquer le problème.
C'est frustrant, mais nous ne sommes pas dans la toute puissance.
sinon, un sevrage n'est efficace que quand le patient en fait la demande, donc si il n'y a pas demande, tu ne peux rien faire mis à part évoquer le problème.
C'est frustrant, mais nous ne sommes pas dans la toute puissance.