TFE maladie Alzheimer, communicat°;identitovigilence
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
Latravaillant en tant qu’aide soignante saisonnière en long séjour. madame M., âgée de 62 ans, atteinte de démence de type Alzheimer, venant à la journée. Celle ci présente des troubles de la mémoire immédiate. Me M. vient en accueil de jour : trois fois par semaine dans cette structure. Le reste du temps, a raison de deux fois par semaine, elle est accueillie dans une autre structure d’accueil où des gens moins perturbés sont accueillis. Cette dame bénéficie de ces deux accueils depuis que son mari est hospitalisé, depuis plusieurs jours.
madame M. se fixe sur un objet sa clé et nous interpellent en nous demandant de faire : « ça ! » Elle nous mime le fait de tourner la clé dans la porte. Puis nous demande : « quand est-ce qu’on y va ? »
Ses paroles sont incessantes et à longueur de la journée. Elle est très accaparante avec nous au point de nous taper lorsque nous lui répondons pas. on prend le temps de lui répondre calmement qu’il fallait attendre mais à la fin de la journée il nous était de plus en plus dure de lui répondre sans paraître agacé par ses propos. De plus il fallait que nous nous occupions des autres résidents aussi démentes pour certains, tout en prenant en compte leurs surveillances. Au bout de quelques jours, madame M. a commencé a énerver les autres patients qui à leurs tours commençaient à s’agiter. Une personne a mis une baffe à cette dame car elle ne voulait pas se taire sous ces ordres. Au niveau de notre travail, il était dur de réaliser des soins relationnels de bonne qualité avec une personne derrière nous qui répétait tout le temps la même chose. Par rapport à l’aspect familial,
il ne m’a pas été facile personnellement de parler de leur mère sans paraître lassée par son agitation. Ainsi, sa famille a pu percevoir que leur parente perturbait les autres personnes ainsi que le personnel soignant qui avait du mal à gère son discours incessant. Ainsi, ils se sont poser la question de l’utilité d’un deuxième accueil de journée, si celui ci engendrait plus de pertes de repères et ainsi majorait des perturbations supplémentaires. Cependant, une semaine plus tard la famille a du arrêter prématurément l’accueil dans l’autre établissement, sur avis médical, car elle avait perturbé les personnes de l’autre établissement. .
L’aide soignante de journée s’est mise en arrêt au bout de deux semaines par épuisement professionnel.
A travers cette situation, je me suis demandée comment j’avais pu être dépasser par la situation ?
Comment cette dame avait pu dépasser mon propre seuil de tolérance d’épuisement face a un trop plein d’émotions ?
Ainsi naturellement, je me suis interrogée sur le problème de « Burn out » de cette aide soignante qui travaillait dans cette structure depuis 2 ans? Comment, elle en était arrivée au stade de l’arrêt de travail ?
madame M. se fixe sur un objet sa clé et nous interpellent en nous demandant de faire : « ça ! » Elle nous mime le fait de tourner la clé dans la porte. Puis nous demande : « quand est-ce qu’on y va ? »
Ses paroles sont incessantes et à longueur de la journée. Elle est très accaparante avec nous au point de nous taper lorsque nous lui répondons pas. on prend le temps de lui répondre calmement qu’il fallait attendre mais à la fin de la journée il nous était de plus en plus dure de lui répondre sans paraître agacé par ses propos. De plus il fallait que nous nous occupions des autres résidents aussi démentes pour certains, tout en prenant en compte leurs surveillances. Au bout de quelques jours, madame M. a commencé a énerver les autres patients qui à leurs tours commençaient à s’agiter. Une personne a mis une baffe à cette dame car elle ne voulait pas se taire sous ces ordres. Au niveau de notre travail, il était dur de réaliser des soins relationnels de bonne qualité avec une personne derrière nous qui répétait tout le temps la même chose. Par rapport à l’aspect familial,
il ne m’a pas été facile personnellement de parler de leur mère sans paraître lassée par son agitation. Ainsi, sa famille a pu percevoir que leur parente perturbait les autres personnes ainsi que le personnel soignant qui avait du mal à gère son discours incessant. Ainsi, ils se sont poser la question de l’utilité d’un deuxième accueil de journée, si celui ci engendrait plus de pertes de repères et ainsi majorait des perturbations supplémentaires. Cependant, une semaine plus tard la famille a du arrêter prématurément l’accueil dans l’autre établissement, sur avis médical, car elle avait perturbé les personnes de l’autre établissement. .
L’aide soignante de journée s’est mise en arrêt au bout de deux semaines par épuisement professionnel.
A travers cette situation, je me suis demandée comment j’avais pu être dépasser par la situation ?
Comment cette dame avait pu dépasser mon propre seuil de tolérance d’épuisement face a un trop plein d’émotions ?
Ainsi naturellement, je me suis interrogée sur le problème de « Burn out » de cette aide soignante qui travaillait dans cette structure depuis 2 ans? Comment, elle en était arrivée au stade de l’arrêt de travail ?
TFE : communication avec les personnes atteintes d'alzheimer
je fais mon tfe sur la communication avec les personnes atteintes d'alzheimer en moyen sejour
si vous avez des infos , des adresses internet sur le role infirmier en moyen sejour, pourriez-vous me les faire passer???
merci beaucoup
je stresse à mort!!!!!!!!!!!!!
[Titre modifié => Juju5544]
si vous avez des infos , des adresses internet sur le role infirmier en moyen sejour, pourriez-vous me les faire passer???
merci beaucoup
je stresse à mort!!!!!!!!!!!!!
[Titre modifié => Juju5544]