tous devant vos télés ce soir...
Modérateur : Modérateurs
tilapin13 a écrit :milou1412 a écrit:
continuer ses études et ne pas etre motivé a quoi ça sert !!
Heu... Je dirais à gagner sa croûte...
Dixit Kaaron
Euh d'accord mais comment être une IDE consciencieuse , humaine , à l'écoute des patients.......quand on est pas motivé par ce métier????
Je m'interroge!
S'il s'agissait de brasser des papiers tte la journée encore.... mais là?!!
Nous sommes sensés nous occuper de personnes malades , fragiles , agées..... qui sont en détresse physique ou/et morale et il me semble que cela demande une certaine implication et de la motivation!!
Sinon vaut peut être mieux aller ramasser des patates! non?
tout a fait d'accord! alors a la fin de la 1ère année ne pas savoir si c'est vraiment ce metier que tu veux exercer ... perso je trouve qu'il y a un soucis là! c'est pas parceque tu as des bonnes notes et que tu reussis ton année que tu feras forcemment une bonne professionelle
Je voulais je l'avoue danser joue contre joue, je l'avoue je rêvais de te faire tournoyer respirer cet air frais, regarder rayonner le visage d'un amour qui n'a pas vu le jour..
je viens de finir de regarder le reportage. Et
bof bof
je trouve quand même triste la nana qui n'est convaincu d'avoir envie de devenir infirmière. Quand s'en rendra t'elle vraiment compte ? avant la fin des études ou une fois ses études finies avec la recherche d'un boulot qui finalement ne lui plaira pas.
peut être faudrait-il qu'elle se pose les questions de savoir pourquoi elle est entrée à l'IFSI. parce que papa et maman lui ont dit de devenir infirmière ou parce qu'elle en avait envie. car on fait difficilement une carrière sur le souhait de papa maman qui n'est pas le sien.
on peut très bien vouloir devenir ide sans connaitre le moins du monde le milieu hospitalier (c'est le cas de beaucoup de monde) mais en général on découvre rapdement que c'est ce que l'on veut faire. on ne finit pas la 1ère année avec un "je ne sais pas si je veux vraiment faire infirmière".

je trouve quand même triste la nana qui n'est convaincu d'avoir envie de devenir infirmière. Quand s'en rendra t'elle vraiment compte ? avant la fin des études ou une fois ses études finies avec la recherche d'un boulot qui finalement ne lui plaira pas.
peut être faudrait-il qu'elle se pose les questions de savoir pourquoi elle est entrée à l'IFSI. parce que papa et maman lui ont dit de devenir infirmière ou parce qu'elle en avait envie. car on fait difficilement une carrière sur le souhait de papa maman qui n'est pas le sien.
on peut très bien vouloir devenir ide sans connaitre le moins du monde le milieu hospitalier (c'est le cas de beaucoup de monde) mais en général on découvre rapdement que c'est ce que l'on veut faire. on ne finit pas la 1ère année avec un "je ne sais pas si je veux vraiment faire infirmière".
Sorlock83
IDE en Service de Surveillance Médicale Continue Cardio, MNPS
"quand la bouteille est vide, je craques une allumette et la bouteille vide se remplit de lumière " (JJGoldman)
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"quand la bouteille est vide, je craques une allumette et la bouteille vide se remplit de lumière " (JJGoldman)
sorlock83 a écrit :je viens de finir de regarder le reportage. Etbof bof
je trouve quand même triste la nana qui n'est convaincu d'avoir envie de devenir infirmière. Quand s'en rendra t'elle vraiment compte ? avant la fin des études ou une fois ses études finies avec la recherche d'un boulot qui finalement ne lui plaira pas.
peut être faudrait-il qu'elle se pose les questions de savoir pourquoi elle est entrée à l'IFSI. parce que papa et maman lui ont dit de devenir infirmière ou parce qu'elle en avait envie. car on fait difficilement une carrière sur le souhait de papa maman qui n'est pas le sien.
on peut très bien vouloir devenir ide sans connaitre le moins du monde le milieu hospitalier (c'est le cas de beaucoup de monde) mais en général on découvre rapdement que c'est ce que l'on veut faire. on ne finit pas la 1ère année avec un "je ne sais pas si je veux vraiment faire infirmière".
il semblerait que ce soit ça

Je voulais je l'avoue danser joue contre joue, je l'avoue je rêvais de te faire tournoyer respirer cet air frais, regarder rayonner le visage d'un amour qui n'a pas vu le jour..
- kaaron
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- Localisation : Au fond de la classe... forcément.
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Je vous trouve assez dans le jugement pour des personnes qui se veulent à l'écoute des autres et compréhensives... Les raisons qui ont motivé (ben oui, y'en a quand même à la base
) chacun à entrer en IFSI sont propres à lui(elle)-même et différentes les uns des autres, certains parce que c'est leur rêve depuis la plus tendre enfance, d'autres parce qu'ils on vécu qq chose dans leur vie qui les ont ammener à vouloir s'occuper des autres, d'autres encore pas pur idéologie ("quel métier reste-t-il qui ne soit pas encore dégueulasse du point de vue moral ?"), certains parce que cela représente des études courtes (donc plus vite accès à l'indépendance) et dont les débouchés sont garantis (plus jamais de problème de fric dans la vie), quelques uns parce qu'ils travaillaient déjà en milieu hospitalier et qu'ils ont eu envie d'aller plus loin dans leur démarche de "soigner" ou tout simplement dans leurs connaissances, et parfois il y en a qui se retrouvent là parce que Papa-Maman faisaient la même chose et "transmission-inconsciente-du-savoir-oblige", ils suivent la voie familiale...
Et bien sûr, j'en passe et des meilleures...
Nous voici donc à l'IFSI, avec chacun nos propres raisons, pour apprendre un métier, celui d'IDE. Pour cela, nous avons tous nos ressources personnelles pour pouvoir y arriver, et des capacités diverses, certains s'y investirons totalement, tel un sacerdoce, vivant pour cela jour et nuit, dû au fait qu'ils ont une volonté de fer pour y arriver (rêve de toujours) ou plus simplement n'ont pas le droit à l'échec (je pense notamment aux promos pro), parmis ceux-ci, certains auront des facilités (intellectuelles, expérience du terrain, etc) et leurs trois ans sera quasiment du pain-béni, ils réussiront avec brio. D'autres ne seront malheureusement pas dans ce cas et échoueront, c'est dommage mais c'est comme ça...
D'autres en revanche, considèreront cette formation comme une parmis tant d'autre ou ne veulent tout simplement pas y consacrer 100% de leur temps, ou ont des passions à côté qui leurs prennent déjà beaucoup de temps, bref, qui s'investissent beaucoup moins que les autres pour X raisons ou qui n'ont pas la même volonté de réussirent que les autres, ou qui sont plus sensibles que d'autres au doute, à s'interroger sur l'avenir, à peser constamment le pour et le contre, etc. Qui sont en quelque sorte moins "la tête dans le guidon" (sans jugement de valeur aucun, ni d'un coté, ni de l'autre, puisque les raisons qui nous poussent dans la vie sont propres à chacun)... Parmis ceux-ci encore, re-belote, certains avec leurs facilités (diverses et variées) traverserons la formation sans trop de vagues voire aussi avec brio, d'autres n'auront pas les capacités ou la patience de voir la suite des évènements, ou ne supporteront pas la pression des études voire la mentalité du milieu (que ce soit à l'IFSI ou à l'hosto) et seront gentiment dirigés vers la sortie ou la prendront eux-même et fileront à l'anglaise vers d'autres cieux...
Et où ça nous mène tout ça ? Ben au DE, tiens... Duquel quelques-uns se sont écartés, de leur propre chef ou par manque de compétences, qu'ils soient très motivés ou beaucoup moins...
Il nous reste donc ceux qui ont été jugé aptes à excercer cette profession, qu'ils soit eux aussi très motivés ou non. Certes, par les temps qui courent, les mailles du filet se sont peut-être déssérées mais j'en sais rien, j'étais pas là avant.
Et ces gens ont le diplôme et vont exercer, d'où la question :
Effectivement, et je ne connais pas une seule personne qui soit en 3e année, voire diplomée, qui n'en à pas conscience. Effectivement ce métier a des responsabilités énormes sur les épaules. Tous les jours ou presque, suivant la branche dans laquelle on exerce, la vie de personnes dépend de la compétence de l'IDE qui s'en occupe, tant du point de vue moral que physique. Et allons-y gaiement, n'ayons pas peur des mots, la santé de la population française dépend du sytème de soins que nous pouvons, que nous devons lui offrir. L'IDE est donc une pièce maîtresse, un rouage indispensable du système de santé français dont tout le monde se gausse qu'il soit le meilleur du monde... et quelle reconnaissance en retour ?
--> Une formation non reconnue à sa juste valeur, des horaires de travail épuisants, pas en temps effectif mais en total décallage avec le reste du monde et avec une charge de travail beaucoup plus contraignante que dans la majorité des emplois. Une reconnaissance sociale qui s'éffrite petit à petit et une reconnaissance salariale de la tache effectuée proche du néant (mais bon, on va dire que c'est la tendance générale)...
Comment ne pas accepter alors que des gens soit démotivés par cet état de faits abérent, qui ne serait accepté par quasiment personne d'autres que les gens concernés ? Comment ne pas accepter que des gens le redoutent à leur entrée en IFSI et que leur motivation s'en ressente ? Comment ne pas pouvoir croire que l'on puisse s'en aperçevoir pendant la formation, où l'on fréquente pendant la moitié du temps ces conditions qui seront notre quotidien par la suite ? Et enfin comment croire que les gens ne soit pas suffisamment résolus, voire résignés, pour aller au bout de ceci et tout de même apporter leur pierre à l'édifice relativement bancal malgré ce qui les attend ; et les soupçonner de manque de professionalisme, voire d'incompétence ?
Pour ma part, je crois que l'ont peut être démotivé, voire dégouté par un environnement qui ne répond pas à nos attentes, à nos espérences ou à l'idée toute bête que l'on se faisait de la chose mais faire preuve de professionalisme et tout simplement d'humanité envers ceux que l'ont a entre nos mains, qui dépendent de nous à un instant T, qui souffrent parfois, qui comptent tout simplement sur nous et qui n'y sont pour rien dans ce qui nous gène vis-à-vis de cette profession que l'ont a choisi et que l'ont s'est fixé, bon gré mal gré, d'exercer du mieux possible. Toutes les personnes que je connaisse et qui ne veulent absolument pas faire ça toute leur vie tentent de le faire, du temps qu'elles sont là, du mieux possible... Simplement parce qu'elles sont consciencieuses. Quoi qu'on en dise, les je-m'en-foutistes n'arrivent pas au bout.
On peut très bien n'être présent que pendant un court moment mais y être tel que l'ont se doit d'y être, que la motivation y soit ou non et prendre ces personnes comme le bouc-émissaire et la stigmatisation des maux d'une profession en mal-être ne résoudra aucuns problèmes. Si ce n'est de participer à l'auto-satisfaction de son propre sort...

Et bien sûr, j'en passe et des meilleures...
Nous voici donc à l'IFSI, avec chacun nos propres raisons, pour apprendre un métier, celui d'IDE. Pour cela, nous avons tous nos ressources personnelles pour pouvoir y arriver, et des capacités diverses, certains s'y investirons totalement, tel un sacerdoce, vivant pour cela jour et nuit, dû au fait qu'ils ont une volonté de fer pour y arriver (rêve de toujours) ou plus simplement n'ont pas le droit à l'échec (je pense notamment aux promos pro), parmis ceux-ci, certains auront des facilités (intellectuelles, expérience du terrain, etc) et leurs trois ans sera quasiment du pain-béni, ils réussiront avec brio. D'autres ne seront malheureusement pas dans ce cas et échoueront, c'est dommage mais c'est comme ça...
D'autres en revanche, considèreront cette formation comme une parmis tant d'autre ou ne veulent tout simplement pas y consacrer 100% de leur temps, ou ont des passions à côté qui leurs prennent déjà beaucoup de temps, bref, qui s'investissent beaucoup moins que les autres pour X raisons ou qui n'ont pas la même volonté de réussirent que les autres, ou qui sont plus sensibles que d'autres au doute, à s'interroger sur l'avenir, à peser constamment le pour et le contre, etc. Qui sont en quelque sorte moins "la tête dans le guidon" (sans jugement de valeur aucun, ni d'un coté, ni de l'autre, puisque les raisons qui nous poussent dans la vie sont propres à chacun)... Parmis ceux-ci encore, re-belote, certains avec leurs facilités (diverses et variées) traverserons la formation sans trop de vagues voire aussi avec brio, d'autres n'auront pas les capacités ou la patience de voir la suite des évènements, ou ne supporteront pas la pression des études voire la mentalité du milieu (que ce soit à l'IFSI ou à l'hosto) et seront gentiment dirigés vers la sortie ou la prendront eux-même et fileront à l'anglaise vers d'autres cieux...
Et où ça nous mène tout ça ? Ben au DE, tiens... Duquel quelques-uns se sont écartés, de leur propre chef ou par manque de compétences, qu'ils soient très motivés ou beaucoup moins...
Il nous reste donc ceux qui ont été jugé aptes à excercer cette profession, qu'ils soit eux aussi très motivés ou non. Certes, par les temps qui courent, les mailles du filet se sont peut-être déssérées mais j'en sais rien, j'étais pas là avant.
Et ces gens ont le diplôme et vont exercer, d'où la question :
tilapin13 a écrit :Euh d'accord mais comment être une IDE consciencieuse , humaine , à l'écoute des patients.......quand on est pas motivé par ce métier????
Je m'interroge!
S'il s'agissait de brasser des papiers tte la journée encore.... mais là?!!
Nous sommes sensés nous occuper de personnes malades , fragiles , agées..... qui sont en détresse physique ou/et morale et il me semble que cela demande une certaine implication et de la motivation!!
Effectivement, et je ne connais pas une seule personne qui soit en 3e année, voire diplomée, qui n'en à pas conscience. Effectivement ce métier a des responsabilités énormes sur les épaules. Tous les jours ou presque, suivant la branche dans laquelle on exerce, la vie de personnes dépend de la compétence de l'IDE qui s'en occupe, tant du point de vue moral que physique. Et allons-y gaiement, n'ayons pas peur des mots, la santé de la population française dépend du sytème de soins que nous pouvons, que nous devons lui offrir. L'IDE est donc une pièce maîtresse, un rouage indispensable du système de santé français dont tout le monde se gausse qu'il soit le meilleur du monde... et quelle reconnaissance en retour ?
--> Une formation non reconnue à sa juste valeur, des horaires de travail épuisants, pas en temps effectif mais en total décallage avec le reste du monde et avec une charge de travail beaucoup plus contraignante que dans la majorité des emplois. Une reconnaissance sociale qui s'éffrite petit à petit et une reconnaissance salariale de la tache effectuée proche du néant (mais bon, on va dire que c'est la tendance générale)...
Comment ne pas accepter alors que des gens soit démotivés par cet état de faits abérent, qui ne serait accepté par quasiment personne d'autres que les gens concernés ? Comment ne pas accepter que des gens le redoutent à leur entrée en IFSI et que leur motivation s'en ressente ? Comment ne pas pouvoir croire que l'on puisse s'en aperçevoir pendant la formation, où l'on fréquente pendant la moitié du temps ces conditions qui seront notre quotidien par la suite ? Et enfin comment croire que les gens ne soit pas suffisamment résolus, voire résignés, pour aller au bout de ceci et tout de même apporter leur pierre à l'édifice relativement bancal malgré ce qui les attend ; et les soupçonner de manque de professionalisme, voire d'incompétence ?
Pour ma part, je crois que l'ont peut être démotivé, voire dégouté par un environnement qui ne répond pas à nos attentes, à nos espérences ou à l'idée toute bête que l'on se faisait de la chose mais faire preuve de professionalisme et tout simplement d'humanité envers ceux que l'ont a entre nos mains, qui dépendent de nous à un instant T, qui souffrent parfois, qui comptent tout simplement sur nous et qui n'y sont pour rien dans ce qui nous gène vis-à-vis de cette profession que l'ont a choisi et que l'ont s'est fixé, bon gré mal gré, d'exercer du mieux possible. Toutes les personnes que je connaisse et qui ne veulent absolument pas faire ça toute leur vie tentent de le faire, du temps qu'elles sont là, du mieux possible... Simplement parce qu'elles sont consciencieuses. Quoi qu'on en dise, les je-m'en-foutistes n'arrivent pas au bout.
On peut très bien n'être présent que pendant un court moment mais y être tel que l'ont se doit d'y être, que la motivation y soit ou non et prendre ces personnes comme le bouc-émissaire et la stigmatisation des maux d'une profession en mal-être ne résoudra aucuns problèmes. Si ce n'est de participer à l'auto-satisfaction de son propre sort...
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tilapin13 a écrit :comment être une IDE consciencieuse , humaine , à l'écoute des patients.......quand on est pas motivé par ce métier????
Je suis un peu de l'avis de Karon. On peut faire ce métier sans motivation, ou plus exactement sans autre motivation que de bien faire son boulot. J'ai fait des petits boulots pour lesquels je n'étais pas du tout motivé, ça ne m'a pas empêché d'essayer de les faire du mieux que je pouvais.
Cela dit, je pense que vu les contraintes du métier d'infirmière (travailler le jour et la nuit, à Noël et à Paques, métier fatiguant physiquement et psychologiquement, responsabilités, salaire pas très attractif...), il est plus facile de faire ce métier en étant motivé.
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Kaaron je me prosterne a tes pieds
Mais je rajouterai (je sais que ca a deja été dit mais j'en rajoute une couche !) que France 2, c'est pas TV IFSI, ce reportage il a été fait pour montrer un coté un peu différent des études en SI que ce que l'on voit d'habitude à base de : gentille petite infirmiere qui aime s'occuper des gens lalalala les bisounours ils sont gentils et j'aime pas les mechants.
Il faudrait peut etre arreter un peu de juger les autres et je cite (les plus culturés sauront de quoi je parle) : regarde la poutre qu'il y a dans ton oeil avant de regarder la paille qu'il y a dans l'oeil de ton voisin ! Qui n'a jamais douté ? Qui ne s'est jamais dit "ce boulot n'est peut etre pas fait pour moi, ce n'est peut etre pas ce que je veux faire" ? Des doutes, des questions je m'en pose chaque jour quasiment, et pourtant je n'ai meme pas encore les resultats de l'epreuve d'admissibilité, mais malgré mes doutes je sais qu'infirmière, c'est ce que je veux etre et pas autre chose. Alors à la lecture de certain d'entre vous : soit vous vous vantez un peu trop, soit il y a beaucoup de surhommes et de surfemmes dans la formation/profession infirmière !
En esperant que mon post ne sera pas trop mal pris...bonne soirée à vous ! Et pour ceux concernés : J-7 avant les resultats et un gros M***E a tous !

Mais je rajouterai (je sais que ca a deja été dit mais j'en rajoute une couche !) que France 2, c'est pas TV IFSI, ce reportage il a été fait pour montrer un coté un peu différent des études en SI que ce que l'on voit d'habitude à base de : gentille petite infirmiere qui aime s'occuper des gens lalalala les bisounours ils sont gentils et j'aime pas les mechants.
Il faudrait peut etre arreter un peu de juger les autres et je cite (les plus culturés sauront de quoi je parle) : regarde la poutre qu'il y a dans ton oeil avant de regarder la paille qu'il y a dans l'oeil de ton voisin ! Qui n'a jamais douté ? Qui ne s'est jamais dit "ce boulot n'est peut etre pas fait pour moi, ce n'est peut etre pas ce que je veux faire" ? Des doutes, des questions je m'en pose chaque jour quasiment, et pourtant je n'ai meme pas encore les resultats de l'epreuve d'admissibilité, mais malgré mes doutes je sais qu'infirmière, c'est ce que je veux etre et pas autre chose. Alors à la lecture de certain d'entre vous : soit vous vous vantez un peu trop, soit il y a beaucoup de surhommes et de surfemmes dans la formation/profession infirmière !
En esperant que mon post ne sera pas trop mal pris...bonne soirée à vous ! Et pour ceux concernés : J-7 avant les resultats et un gros M***E a tous !
Les temps ont changé .
Au moment de mes études , il n'y avait pas de pénurie D'IDE , on était encadré dans les services par les IDE , elles avaient plus le temps que maintenant .
Maintenant la paperasse augmente , la technique idem ET les IDE diminuent !
Comment ne pas être démotivé , en étant ESI ou IDE ?
Dans mon hosto , le nombre des étudiants augmentent à l' IFSI , mais pas le nombre de formatrices !
Des services ferment ou diminuent le nombre de leur lits par manque d' IDE !
Moi aussi , je trouve que certaines personnes ici critiquent et jugent trop facilement les autres . Est-ce dû à leur "jeunesse" ?
Au moment de mes études , il n'y avait pas de pénurie D'IDE , on était encadré dans les services par les IDE , elles avaient plus le temps que maintenant .
Maintenant la paperasse augmente , la technique idem ET les IDE diminuent !
Comment ne pas être démotivé , en étant ESI ou IDE ?
Dans mon hosto , le nombre des étudiants augmentent à l' IFSI , mais pas le nombre de formatrices !
Des services ferment ou diminuent le nombre de leur lits par manque d' IDE !
Moi aussi , je trouve que certaines personnes ici critiquent et jugent trop facilement les autres . Est-ce dû à leur "jeunesse" ?
marie-pierre
re
on peut gagner sa croute en faisant n'importe quel métier !!
il vaut mieux etre motivé quand on fait ce genre de profession et ce n'est pas un petit boulot (etre ide c'est quand meme pas pour un an ) a mes yeux comme tout le monde le signale il y a de plus en plus de responsabilités !!
je ne veux pas apposer de critiques mais je trouve cela dommage de faire entrer des personnes qui ne sont pas motivées c'est peut etre pour cela que le niveau risque de baisser !!
en tout cas je n'ai pas la meme optique et la meme vision !
pour ce qui est de la sonde je n'ai jamais vu de sonde comme vous avez et je dis ça parce que dans le stage ou je suis tous les ide et iade n'ont jamais vu ça alors je me questionnais tout simplement parce que je suis avide d'apprendre !!
je ne suis pas méchante et j'ai l'impression de penser différemment je ne comprend pas du tout que ces situations soient banalisées et presque considérées comme normales !!
c'est un métier qu'il faut valorisé !!

il vaut mieux etre motivé quand on fait ce genre de profession et ce n'est pas un petit boulot (etre ide c'est quand meme pas pour un an ) a mes yeux comme tout le monde le signale il y a de plus en plus de responsabilités !!

je ne veux pas apposer de critiques mais je trouve cela dommage de faire entrer des personnes qui ne sont pas motivées c'est peut etre pour cela que le niveau risque de baisser !!
en tout cas je n'ai pas la meme optique et la meme vision !
pour ce qui est de la sonde je n'ai jamais vu de sonde comme vous avez et je dis ça parce que dans le stage ou je suis tous les ide et iade n'ont jamais vu ça alors je me questionnais tout simplement parce que je suis avide d'apprendre !!
je ne suis pas méchante et j'ai l'impression de penser différemment je ne comprend pas du tout que ces situations soient banalisées et presque considérées comme normales !!

c'est un métier qu'il faut valorisé !!
"le monde est peuplé d'imbéciles qui se battent contre des demeurés pour sauver une société absurde"jean yann
IDE en cardiologie/USIC, bientot ISP, secouriste CRF
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c'est un métier qu'il faut valorisé !!
je suis d'accord il faut valoriser notre magnifique profession.; ceci dit on la valorisant il ne faut surtout pas occulter le cote sombre.. (de la force

Il ne sert a rien a mon avis de faire miroiter un superbe metier ou l'on occulte completement l'envers de la medaille au risque de voir effectivement bcp de deception en 1ere année dans les nouvelles promotions..

Bacchus mon dieu tutélaire, Arrosera nos lauriers.
Suf' pour les intimes
Suf' pour les intimes
re
je n'ai jamais dit le contraire
!!! justement c'est bien car ces jeunes filles s'imaginaient un monde rose et beau !!! c'est pour ça que je disais que mettre un pied ds l'hopital avant cela permettait de se faire une idée !!

"le monde est peuplé d'imbéciles qui se battent contre des demeurés pour sauver une société absurde"jean yann
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je ne veux pas apposer de critiques mais je trouve cela dommage de faire entrer des personnes qui ne sont pas motivées c'est peut etre pour cela que le niveau risque de baisser !!
Mais ma pauvre amie .... il y a tellement peu de gens qui se présentent au concours qu'on prend à peu près tout le monde et n'importe qui en IFSI.
Suffit d'avoir des sous. Tu passes 4 ou 5 concours, necessairement si tu vas a l'oral, tu auras au moins une réponse positive.
Le niveau d'exigence reste le même le plus souvent... c'est pour ça que le nombre d'abandons en IFSI augmentent.
Tu prend des gens qui font ça, sans conviction, ça ne leur plait pas, ils partent... comme dans toutes filieres d'enseignement superieur.
Enfin, c'est un probleme un peu insoluble.
Donc viennent tous ceux qui veuilent en IFSI, qu'ils tentent leur chances après tout. Au mieux ça leur plait et c'est bien, si ce n'est pas le cas, au moins on aura tenté de leur faire partager notre attrait du métier.
La conjoncture actuelle

IDE en Réa, ici et là
re
dsl moi je ne trouve pas ça normal je suis consciente de cette réalité !!! justement il y a trop de souplesse lors des concours !! et pas assez de personnel oui pb qui risque de jamais se résoudre dommage
sinon ils enlèvent carrément le concours et prennent n'importe qui !!
super l'image de la profession !! facilité de rentrer difficulté d'en sortir !! 

sinon ils enlèvent carrément le concours et prennent n'importe qui !!


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