Sur 1044 réponses (76% d'IBODE et 24% d'EIBO), 90 % pensent que si le décret venait à être validé par le Conseil d'Etat, cela représenterait «un obstacle à la formation à la spécialité d'IBODE». Cette décision ferait abandonner le métier à 17% d'entre les répondants et 37% seraient «incertains quant à leur avenir» détaille le Collectif qui avait posé trois questions : êtes-vous favorable au projet de décret, dans le cas où il serait validé par le Conseil d'Etat ? Pensez-vous que cela serait un obstacle à la formation à la spécialité IBODE ? Est-ce que cela vous poussera à changer de profession ?
En l'état, ce projet «entraînera la fin de notre spécialité», assure le Collectif évoquant de «premiers retours désastreux sur le nombre de candidats potentiels à la formation pour la rentrée 2024». «Certaines écoles sont pour l'heure dépourvues de candidatures», s'alarme-t-il. Le CIB appelle la Direction Générale de l'Offre de Soins (DGOS) à tenir compte des résultats de ce sondage et dit ne pouvoir se résigner à laisser faire les instances.
* Enquête réalisée entre le 07 mars et le 14 mars via internet
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