Actualités 2009
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Re: Actualités 2009
Grippe A (H1N1) : la France veut des vaccins pour tous
La France souhaite être en mesure de proposer la vaccination contre le nouveau virus de grippe A (H1N1) à l'ensemble de la population. C'est ce qu'a indiqué le directeur général de la Santé, Didier Houssin, dans un entretien publié vendredi par le quotidien Libération.
«Le gouvernement veut, à terme, se mettre dans la position de pouvoir assurer une vaccination pour l'ensemble de la population avec éventuellement deux doses par vaccination», affirme-t-il en précisant que la France a activé les contrats de pré-réservation de vaccins signés avec Sanofi et Novartis dans le cadre de la préparation des plans de pandémie.
La France a «pris une option pour l'acquisition de 50 millions de doses avec GSK, car ce laboratoire est en avance dans le processus de production, poursuit Didier Houssin. Avec Sanofi et Novartis, les pourparlers sont en cours pour acquérir environ 50 millions de doses supplémentaires».
Pour lui, il n'y a aujourd'hui «aucun obstacle majeur à la réalisation du vaccin, mais en revanche il reste des questions. En particulier: quel sera le rendement de la production de ces vaccins ?».
«Nous ne sommes pas encore dans une phase de production massive : elle devrait commencer à la fin de ce mois», a précisé le directeur général de la Santé. Il a appelé à «rester vigilants», même si le virus paraît aujourd'hui « peu agressif ». «Les pandémies du passé ont en général commencé par une phase initiale faible, puis elles se sont renforcées», souligne-t-il.
[Source : Aujourd'hui en France 05/06/09]
La France souhaite être en mesure de proposer la vaccination contre le nouveau virus de grippe A (H1N1) à l'ensemble de la population. C'est ce qu'a indiqué le directeur général de la Santé, Didier Houssin, dans un entretien publié vendredi par le quotidien Libération.
«Le gouvernement veut, à terme, se mettre dans la position de pouvoir assurer une vaccination pour l'ensemble de la population avec éventuellement deux doses par vaccination», affirme-t-il en précisant que la France a activé les contrats de pré-réservation de vaccins signés avec Sanofi et Novartis dans le cadre de la préparation des plans de pandémie.
La France a «pris une option pour l'acquisition de 50 millions de doses avec GSK, car ce laboratoire est en avance dans le processus de production, poursuit Didier Houssin. Avec Sanofi et Novartis, les pourparlers sont en cours pour acquérir environ 50 millions de doses supplémentaires».
Pour lui, il n'y a aujourd'hui «aucun obstacle majeur à la réalisation du vaccin, mais en revanche il reste des questions. En particulier: quel sera le rendement de la production de ces vaccins ?».
«Nous ne sommes pas encore dans une phase de production massive : elle devrait commencer à la fin de ce mois», a précisé le directeur général de la Santé. Il a appelé à «rester vigilants», même si le virus paraît aujourd'hui « peu agressif ». «Les pandémies du passé ont en général commencé par une phase initiale faible, puis elles se sont renforcées», souligne-t-il.
[Source : Aujourd'hui en France 05/06/09]
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Re: Actualités 2009
Le dico résiste au Net
Les encyclopédies en plusieurs volumes appartiennent désormais au passé.
Le « Quid » version papier n’a pas eu plus de chance, définitivement englouti en 2007 par la déferlante Internet.
Dans les rayonnages familiaux, seul le dictionnaire continue à résister à l’ogre numérique, comme le prouve la sortie, aujourd’hui, du dernier-né des Editions Le Robert.
Avec ses 2 112 pages et ses 4 000 images, le « Dixel »(c’est son prénom) est un beau bébé de 2,3 kg… et un sacré pari.
Car, avec un tirage prévu à 150 000 exemplaires, il entre en concurrence frontale avec le Petit Larousse, leader centenaire des dictionnaires illustrés (750 000 exemplaires par an, sortie de l’édition 2010 le 15 juin).
Pour se faire une place au soleil, le Dixel compte profiter d’une passion très française pour les mots.
Une sorte d’exception culturelle qui fait de l’Hexagone une machine à produire des dictionnaires en tout genre : sur le vin, la banlieue, les mots oubliés, les expressions menacées…
«La France est le pays du bien-parler, où l’on a une conscience aiguë que notre langue a une histoire et qu’elle évolue en permanence, analyse Marianne Durand, directrice générale du Robert. Nous avons des championnats d’orthographe et de vrais dicos millésimés où les mots nouveaux qui y entrent font l’événement. En 2005, nous avons sorti un dictionnaire culturel en quatre volumes à 200 €. Il s’en est écoulé 30 000 en quatre mois… Nos confrères étrangers étaient sidérés !» poursuit la patronne des éditions, qui ont consacré trois ans et 4 millions d’euros pour accoucher du petit dernier (vendu à 29,90 €).
Contrairement au Petit Robert, qui s’adresse surtout aux amoureux pointilleux de la langue française, le Dixel se veut un ouvrage grand public, ancré dans la modernité.
Cet enfant du siècle joue à fond les belles illustrations et la carte Internet : chaque acheteur se verra attribuer un code personnel pour accéder (pendant quatre ans) à la version Web du dictionnaire, qui offre de nombreux compléments (navigation hypertexte, logiciel de conjugaison, citations, résumés d’œuvres…).
« Beaucoup ont cru à tort qu’Internet allait enterrer le bon vieux dico, poursuit Marianne Durand. Mais ce dernier conserve toute sa place à la maison, aux côtés de l’ordinateur ou de la télé. Dans ce monde confus, son classement de A à Z offre des repères familiers très utiles. »
[Source : Le parisien 04/06/09]
Les encyclopédies en plusieurs volumes appartiennent désormais au passé.
Le « Quid » version papier n’a pas eu plus de chance, définitivement englouti en 2007 par la déferlante Internet.
Dans les rayonnages familiaux, seul le dictionnaire continue à résister à l’ogre numérique, comme le prouve la sortie, aujourd’hui, du dernier-né des Editions Le Robert.
Avec ses 2 112 pages et ses 4 000 images, le « Dixel »(c’est son prénom) est un beau bébé de 2,3 kg… et un sacré pari.
Car, avec un tirage prévu à 150 000 exemplaires, il entre en concurrence frontale avec le Petit Larousse, leader centenaire des dictionnaires illustrés (750 000 exemplaires par an, sortie de l’édition 2010 le 15 juin).
Pour se faire une place au soleil, le Dixel compte profiter d’une passion très française pour les mots.
Une sorte d’exception culturelle qui fait de l’Hexagone une machine à produire des dictionnaires en tout genre : sur le vin, la banlieue, les mots oubliés, les expressions menacées…
«La France est le pays du bien-parler, où l’on a une conscience aiguë que notre langue a une histoire et qu’elle évolue en permanence, analyse Marianne Durand, directrice générale du Robert. Nous avons des championnats d’orthographe et de vrais dicos millésimés où les mots nouveaux qui y entrent font l’événement. En 2005, nous avons sorti un dictionnaire culturel en quatre volumes à 200 €. Il s’en est écoulé 30 000 en quatre mois… Nos confrères étrangers étaient sidérés !» poursuit la patronne des éditions, qui ont consacré trois ans et 4 millions d’euros pour accoucher du petit dernier (vendu à 29,90 €).
Contrairement au Petit Robert, qui s’adresse surtout aux amoureux pointilleux de la langue française, le Dixel se veut un ouvrage grand public, ancré dans la modernité.
Cet enfant du siècle joue à fond les belles illustrations et la carte Internet : chaque acheteur se verra attribuer un code personnel pour accéder (pendant quatre ans) à la version Web du dictionnaire, qui offre de nombreux compléments (navigation hypertexte, logiciel de conjugaison, citations, résumés d’œuvres…).
« Beaucoup ont cru à tort qu’Internet allait enterrer le bon vieux dico, poursuit Marianne Durand. Mais ce dernier conserve toute sa place à la maison, aux côtés de l’ordinateur ou de la télé. Dans ce monde confus, son classement de A à Z offre des repères familiers très utiles. »
[Source : Le parisien 04/06/09]
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Re: Actualités 2009
Loi hôpital: le Sénat autorise la distribution d'alcool sur autoroute
Le Sénat a autorisé la vente et la distribution d'alcool dans les boutiques et restaurants sur les autoroutes et routes à quatre voies, vendredi dans le cadre du projet de loi Bachelot sur l'hôpital.
Par 274 voix contre 35 elle a adopté deux amendements identiques, émanants de sénateurs UMP et PS de régions viticoles en ce sens.
Ces amendements stipulent qu'"il est interdit de vendre des boissons alcooliques sur les aires de repos et aires de service en bordure des autoroutes ainsi que sur ces mêmes aires en bordure des routes à deux voies matérialisées par une séparation centrale, à l'exception des boutiques de vente à emporter et des lieux de restauration".
Cet amendement, soutenu par le gouvernement, a eu pour résultat de supprimer une disposition qu'avait votée la commission et qui interdisait "de vendre ou d'offrir à titre gratuit" de l'alcool sur autoroutes et routes à quatre voies.
Le rapporteur UMP du texte, Alain Milon, et le président centriste de la commission des Affaires sociales, Nicolas About, ont voté contre ainsi que les socialistes Jean-Pierre Godefroy et Jacky Le Menn et les Verts.
"Je ne peux voter une mesure par laquelle on pourra distribuer de l'alcool gratuitement sur les autoroutes, même la nuit" a déclaré M. About.
Pour les stations-services les sénateurs ont ratifié l'interdiction "de vendre des boissons alcooliques à emporter, entre 20 heures et 8 heures" qu'ils avaient déjà votée en commission.
Les députés avaient interdit cette vente entre 18h00 et 08h00 (contre 22h00 à 06h00 dans la loi actuelle). La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a tenté de revenir aux horaires votés par les députés mais son amendement a été rejeté.
Les sénateurs ont en revanche maintenu l'interdiction de toute vente d'alcool et de tabac aux moins de 18 ans.
[Source : AFP 05/06/09]
Le Sénat a autorisé la vente et la distribution d'alcool dans les boutiques et restaurants sur les autoroutes et routes à quatre voies, vendredi dans le cadre du projet de loi Bachelot sur l'hôpital.
Par 274 voix contre 35 elle a adopté deux amendements identiques, émanants de sénateurs UMP et PS de régions viticoles en ce sens.
Ces amendements stipulent qu'"il est interdit de vendre des boissons alcooliques sur les aires de repos et aires de service en bordure des autoroutes ainsi que sur ces mêmes aires en bordure des routes à deux voies matérialisées par une séparation centrale, à l'exception des boutiques de vente à emporter et des lieux de restauration".
Cet amendement, soutenu par le gouvernement, a eu pour résultat de supprimer une disposition qu'avait votée la commission et qui interdisait "de vendre ou d'offrir à titre gratuit" de l'alcool sur autoroutes et routes à quatre voies.
Le rapporteur UMP du texte, Alain Milon, et le président centriste de la commission des Affaires sociales, Nicolas About, ont voté contre ainsi que les socialistes Jean-Pierre Godefroy et Jacky Le Menn et les Verts.
"Je ne peux voter une mesure par laquelle on pourra distribuer de l'alcool gratuitement sur les autoroutes, même la nuit" a déclaré M. About.
Pour les stations-services les sénateurs ont ratifié l'interdiction "de vendre des boissons alcooliques à emporter, entre 20 heures et 8 heures" qu'ils avaient déjà votée en commission.
Les députés avaient interdit cette vente entre 18h00 et 08h00 (contre 22h00 à 06h00 dans la loi actuelle). La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a tenté de revenir aux horaires votés par les députés mais son amendement a été rejeté.
Les sénateurs ont en revanche maintenu l'interdiction de toute vente d'alcool et de tabac aux moins de 18 ans.
[Source : AFP 05/06/09]
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Re: Actualités 2009
Hôpital : le Sénat adopte sa version de la loi Bachelot
A l’issue d’un long bras de fer, le projet de loi réformant l’hôpital a été adopté cette nuit par la Haute assemblée par 177 voix contre 153.
Seule la majorité UMP et centriste a voté pour. La commission mixte paritaire va maintenant devoir faire une synthèse entre les deux chambres du parlement.
Entamée le 12 mai dans une ambiance de contestation, y compris de "mandarins" défilant dans la rue, la discussion s’est apaisée en deuxième et troisième semaine.
Roselyne Bachelot a du faire des concessions, notamment sur la gouvernance à l’hôpital et dans les Agences régionales de santé, sur le "testing" pour refus de soins discriminatoire ou l’interdiction d’alcool.
Mais elle a imposé à sa majorité l’esprit de son texte notamment sur la démographie médicale.
Parmi les nouveautés de ce débat, une réforme des Centres hospitaliers universitaires intégrée sous forme d’amendements annoncés par le président Nicolas Sarkozy après la remise du rapport du Pr. Jacques Marescaux.
Des modifications ont provoqué la colère de l’Assemblée nationale, dont le président UMP Bernard Accoyer a même jugé qu’il fallait lever la procédure d’urgence instaurée sur ce projet.
La balle est maintenant dans le camp de la commission mixte paritaire.
Elle va devoir faire une synthèse entre la version sénatoriale du projet de loi et celle, très différence, adoptée en mars par l’Assemblée nationale.
[Source : France-info 06/06/09]
A l’issue d’un long bras de fer, le projet de loi réformant l’hôpital a été adopté cette nuit par la Haute assemblée par 177 voix contre 153.
Seule la majorité UMP et centriste a voté pour. La commission mixte paritaire va maintenant devoir faire une synthèse entre les deux chambres du parlement.
Entamée le 12 mai dans une ambiance de contestation, y compris de "mandarins" défilant dans la rue, la discussion s’est apaisée en deuxième et troisième semaine.
Roselyne Bachelot a du faire des concessions, notamment sur la gouvernance à l’hôpital et dans les Agences régionales de santé, sur le "testing" pour refus de soins discriminatoire ou l’interdiction d’alcool.
Mais elle a imposé à sa majorité l’esprit de son texte notamment sur la démographie médicale.
Parmi les nouveautés de ce débat, une réforme des Centres hospitaliers universitaires intégrée sous forme d’amendements annoncés par le président Nicolas Sarkozy après la remise du rapport du Pr. Jacques Marescaux.
Des modifications ont provoqué la colère de l’Assemblée nationale, dont le président UMP Bernard Accoyer a même jugé qu’il fallait lever la procédure d’urgence instaurée sur ce projet.
La balle est maintenant dans le camp de la commission mixte paritaire.
Elle va devoir faire une synthèse entre la version sénatoriale du projet de loi et celle, très différence, adoptée en mars par l’Assemblée nationale.
[Source : France-info 06/06/09]
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Re: Actualités 2009
Un portail pour tout savoir sur le médicament
Le ministère de la Santé met en ligne un portail consacré au médicament.
Très riche, mais d'un abord pas toujours facile, ce portail rassemble plusieurs sources jusqu'alors éparses.
Selon la ministre de la Santé, l'objectif de ce portail est de "permettre à tous d’avoir accès à une information fiable, objective et récente sur les médicaments".
Baptisé Médic France, ce portail regroupe plusieurs sources d'information.
La première est bien sûr le ministère lui-même, avec une présentation détaillée de son rôle en matière de politique du médicament.
La page correspondante expose notamment les missions des trois directions concernées :
la direction générale de la santé (élaboration des textes juridiques concernant le médicament et tutelle des agences sanitaires)
la direction de la sécurité sociale (prise en charge de médicaments et des dispositifs médicaux par l'assurance maladie)
la direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins (accès et promotion du bon usage du médicament et politique du médicament en milieu hospitalier.
Le cœur du portail Médic France est toutefois constitué par une page qui donne accès à trois sites spécialisés.
Le premier est celui de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
Celle-ci est chargée d'évaluer les bénéfices et les risques des médicaments. Cette évaluation joue un rôle important dans l'autorisation de mise sur le marché (AMM). L'Afssaps gère également le répertoire des spécialités pharmaceutiques. Le site de l'agence n'est pas véritablement destiné au grand public, mais celui-ci peut cependant y trouver, en temps réel, les informations de sécurité et les messages d'alerte sur les médicaments.
Le second site accessible depuis le portail est celui de la Haute autorité de santé (HAS).
A travers les avis de sa commission de la transparence, elle est notamment chargée d'évaluer l'apport thérapeutique des médicaments en vue de leur remboursement.
La HAS produit également des fiches de bon usage et des recommandations professionnelles.
Enfin, le troisième site est celui de la base de données des médicaments, mis en œuvre conjointement par la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés (CnamTS), la Mutualité sociale agricole (MSA) et le Régime social des indépendants (RSI).
Baptisée "Thesorimed", cette base recense tous les médicaments et produits de santé commercialisés en France, en ville ou à l'hôpital.
Plutôt destinée aux professionnels, la base est aussi accessible aux particuliers, sous réserve d'une inscription en ligne (gratuite).
[Source : Hopital.fr 02/06/09]
Le ministère de la Santé met en ligne un portail consacré au médicament.
Très riche, mais d'un abord pas toujours facile, ce portail rassemble plusieurs sources jusqu'alors éparses.
Selon la ministre de la Santé, l'objectif de ce portail est de "permettre à tous d’avoir accès à une information fiable, objective et récente sur les médicaments".
Baptisé Médic France, ce portail regroupe plusieurs sources d'information.
La première est bien sûr le ministère lui-même, avec une présentation détaillée de son rôle en matière de politique du médicament.
La page correspondante expose notamment les missions des trois directions concernées :
Le cœur du portail Médic France est toutefois constitué par une page qui donne accès à trois sites spécialisés.
Celle-ci est chargée d'évaluer les bénéfices et les risques des médicaments. Cette évaluation joue un rôle important dans l'autorisation de mise sur le marché (AMM). L'Afssaps gère également le répertoire des spécialités pharmaceutiques. Le site de l'agence n'est pas véritablement destiné au grand public, mais celui-ci peut cependant y trouver, en temps réel, les informations de sécurité et les messages d'alerte sur les médicaments.
A travers les avis de sa commission de la transparence, elle est notamment chargée d'évaluer l'apport thérapeutique des médicaments en vue de leur remboursement.
La HAS produit également des fiches de bon usage et des recommandations professionnelles.
Baptisée "Thesorimed", cette base recense tous les médicaments et produits de santé commercialisés en France, en ville ou à l'hôpital.
Plutôt destinée aux professionnels, la base est aussi accessible aux particuliers, sous réserve d'une inscription en ligne (gratuite).
[Source : Hopital.fr 02/06/09]
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Re: Actualités 2009
Et voici le McDo light
Un hamburger allégé, info ou intox ?
Le produit, un sandwich baptisé So Grilled, au pain cuit sur pierre avec poulet grillé, une rondelle de tomate fraîche, batavia et sauce, arrive en tout cas aujourd’hui dans les 1 134 McDonald’s de France, uniquement pour juin et juillet.
« Il est exclusivement développé pour le marché hexagonal et réconcilie gourmandise et équilibre.Un signe fort envoyé aux consommateurs français, explique la marque. Avec 360 kcal, son apport en énergie est comparable à celui d’une grosse salade composée. »
Le fait est que, dans sa catégorie des sept gros hamburgers de 200 g environ de la marque, il est le moins riche : il pèse 330 kcal de moins que le généreux Royal Deluxe et son taux de lipides (graisses) est quatre fois moins élevé que dans celui-ci.
Sa teneur en matières grasses n’est que de 4 %, là où les hamburgers classiques font 8 %, le Big Mac 11 % et le 280 un total de 12 %. Son prix est voisin des autres, aux alentours de 4 €.
Pour McDonald’s, il ne s’agit pas de passer au light mais de compléter une offre qui, avec ses fruits à croquer dans les menus enfants, ses bâtonnets de carottes ou ses salades de fruits, s’évertue à combattre la mauvaise cote nutritionnelle de ses menus où les frites et le soda affolent la balance.
«4 % de matières grasses, c’est peu. Le taux de protéines est aussi satisfaisant. Je mets par contre un bémol à cause du sucre. Le hamburger contient l’équivalent d’un demi-morceau à cause du pain américain. Le pain français, lui, ne renferme pas de sucre», note Béatrice de Reynal, nutritionniste et experte en innovations alimentaires.
«Ce produit dit équilibré n’est cependant pas tellement plus allégé que les sandwichs des boulangeries. Surtout, il est moins bon pour la santé que d’autres. Chez Pomme de Pain, les sandwichs sont plus gras mais ils ont de la bonne huile d’olive et certains renferment plus de 80 g de légumes donc une des cinq portions conseillées par jour.»
Difficile aussi de faire l’impasse sur le gras des frites dont on accompagne souvent le hamburger : au McDo, le petit cornet pèse 235 kcal et le grand 470 kcal !
Chez Quick, le concurrent, où l’on a pareillement réduit les graisses dans les sauces, la gamme des calories par hamburger est aussi large : de 275 kcal pour le moins gras à 678 kcal pour le plus lourd.
«Notre Giant est le seul sur lequel on n’a pas pu réduire la graisse car il n’avait plus le même goût et était rejeté par le client. Il contient du coup 21,8 % de graisses, soit 56 % des apports nécessaires journaliers pour une femme », explique la porte-parole Valérie Raynal.
Impossible de décevoir le consommateur en ce moment et nécessaire aussi d’innover.
« Nous aussi sommes touchés par la crise, admet la responsable. Le client qui venait jusqu’ici deux fois dans le mois ne vient plus qu’une.»
Ceci explique cela.
[Source : Le parisien 03/06/09]
Un hamburger allégé, info ou intox ?
Le produit, un sandwich baptisé So Grilled, au pain cuit sur pierre avec poulet grillé, une rondelle de tomate fraîche, batavia et sauce, arrive en tout cas aujourd’hui dans les 1 134 McDonald’s de France, uniquement pour juin et juillet.
« Il est exclusivement développé pour le marché hexagonal et réconcilie gourmandise et équilibre.Un signe fort envoyé aux consommateurs français, explique la marque. Avec 360 kcal, son apport en énergie est comparable à celui d’une grosse salade composée. »
Le fait est que, dans sa catégorie des sept gros hamburgers de 200 g environ de la marque, il est le moins riche : il pèse 330 kcal de moins que le généreux Royal Deluxe et son taux de lipides (graisses) est quatre fois moins élevé que dans celui-ci.
Sa teneur en matières grasses n’est que de 4 %, là où les hamburgers classiques font 8 %, le Big Mac 11 % et le 280 un total de 12 %. Son prix est voisin des autres, aux alentours de 4 €.
Pour McDonald’s, il ne s’agit pas de passer au light mais de compléter une offre qui, avec ses fruits à croquer dans les menus enfants, ses bâtonnets de carottes ou ses salades de fruits, s’évertue à combattre la mauvaise cote nutritionnelle de ses menus où les frites et le soda affolent la balance.
«4 % de matières grasses, c’est peu. Le taux de protéines est aussi satisfaisant. Je mets par contre un bémol à cause du sucre. Le hamburger contient l’équivalent d’un demi-morceau à cause du pain américain. Le pain français, lui, ne renferme pas de sucre», note Béatrice de Reynal, nutritionniste et experte en innovations alimentaires.
«Ce produit dit équilibré n’est cependant pas tellement plus allégé que les sandwichs des boulangeries. Surtout, il est moins bon pour la santé que d’autres. Chez Pomme de Pain, les sandwichs sont plus gras mais ils ont de la bonne huile d’olive et certains renferment plus de 80 g de légumes donc une des cinq portions conseillées par jour.»
Difficile aussi de faire l’impasse sur le gras des frites dont on accompagne souvent le hamburger : au McDo, le petit cornet pèse 235 kcal et le grand 470 kcal !
Chez Quick, le concurrent, où l’on a pareillement réduit les graisses dans les sauces, la gamme des calories par hamburger est aussi large : de 275 kcal pour le moins gras à 678 kcal pour le plus lourd.
«Notre Giant est le seul sur lequel on n’a pas pu réduire la graisse car il n’avait plus le même goût et était rejeté par le client. Il contient du coup 21,8 % de graisses, soit 56 % des apports nécessaires journaliers pour une femme », explique la porte-parole Valérie Raynal.
Impossible de décevoir le consommateur en ce moment et nécessaire aussi d’innover.
« Nous aussi sommes touchés par la crise, admet la responsable. Le client qui venait jusqu’ici deux fois dans le mois ne vient plus qu’une.»
Ceci explique cela.
[Source : Le parisien 03/06/09]
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Re: Actualités 2009
3è semaine du sport à l'hôpital: C’est du 8 au 12 juin
Sous le haut parrainage dela Ministre de la santé et des sports, pour la troisième année consécutive, la Semaine du Sport dans l'Hôpital a lieu à Necker.
Du foot au golf en passant par le rugby, l’athlétisme, l’escrime, le tennis, la boxe…ou encore le BMX, c’est un panel de 15 sports qui est proposé durant une semaine pour redonner aux jeunes le goût de l'activité physique.
Cette initiative unique en France proposée par l’association Premiers de Cordée a pour objectif de créer des échanges entre les sportifs et les jeunes, de donner ou redonner l’envie de pratiquer une activité physique, de démontrer l’accessibilité du sport pour tous et de rendre l’enfant ou l’adolescent acteur.
Adaptées au lieu et au public, ces initiations sportives mobilisent des sportifs de haut niveau, des professionnels de santé et les membres de Premiers de Cordée pour permettre aux enfants de se faire plaisir, de reprendre confiance en eux et de rompre leur isolement.
Avec toujours plus d’hôpitaux participants, la Semaine du Sport à l’Hôpital est l’aboutissement d’un travail mené tout au long de l’année par Premiers de Cordée, à travers son programme « Sport dans l’Hôpital », pour faire du sport un vecteur de solidarité, d’éducation et de citoyenneté.
L’édition 2009 voit son nombre d’hôpitaux participant passer de 6 à 8 avec une première participation pour l’hôpital National de Saint Maurice et l’hôpital Saint Vincent de Paul, sans oublier la participation de l’hôpital Armand Trousseau, Kremlin Bicêtre, Necker Enfants-Malades, Pitié Salpêtrière, Robert Debré et l’Institut Curie.
Cet évènement se tiendra à l'amphithéâtre Robert Debré, du 8 au 12 juin, de 14h30 à 16h30.
Les jeunes hospitalisés (3-20 ans), mais aussi leur famille et leurs accompagnateurs auront la possibilité pendant ces 5 jours, de s'initier à différents sports et de rencontrer les sportifs des fédérations présentes.
[Source : Santelog 06/06/09]
Sous le haut parrainage dela Ministre de la santé et des sports, pour la troisième année consécutive, la Semaine du Sport dans l'Hôpital a lieu à Necker.
Du foot au golf en passant par le rugby, l’athlétisme, l’escrime, le tennis, la boxe…ou encore le BMX, c’est un panel de 15 sports qui est proposé durant une semaine pour redonner aux jeunes le goût de l'activité physique.
Cette initiative unique en France proposée par l’association Premiers de Cordée a pour objectif de créer des échanges entre les sportifs et les jeunes, de donner ou redonner l’envie de pratiquer une activité physique, de démontrer l’accessibilité du sport pour tous et de rendre l’enfant ou l’adolescent acteur.
Adaptées au lieu et au public, ces initiations sportives mobilisent des sportifs de haut niveau, des professionnels de santé et les membres de Premiers de Cordée pour permettre aux enfants de se faire plaisir, de reprendre confiance en eux et de rompre leur isolement.
Avec toujours plus d’hôpitaux participants, la Semaine du Sport à l’Hôpital est l’aboutissement d’un travail mené tout au long de l’année par Premiers de Cordée, à travers son programme « Sport dans l’Hôpital », pour faire du sport un vecteur de solidarité, d’éducation et de citoyenneté.
L’édition 2009 voit son nombre d’hôpitaux participant passer de 6 à 8 avec une première participation pour l’hôpital National de Saint Maurice et l’hôpital Saint Vincent de Paul, sans oublier la participation de l’hôpital Armand Trousseau, Kremlin Bicêtre, Necker Enfants-Malades, Pitié Salpêtrière, Robert Debré et l’Institut Curie.
Cet évènement se tiendra à l'amphithéâtre Robert Debré, du 8 au 12 juin, de 14h30 à 16h30.
Les jeunes hospitalisés (3-20 ans), mais aussi leur famille et leurs accompagnateurs auront la possibilité pendant ces 5 jours, de s'initier à différents sports et de rencontrer les sportifs des fédérations présentes.
[Source : Santelog 06/06/09]
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Re: Actualités 2009
L'OMS veut inscrire le vaccin anti-rotavirus au calendrier vaccinal
Révolution à venir dans les calendriers vaccinaux du monde : l’OMS vient de recommander l’inclusion du vaccin anti-Rotavirus dans les programmes nationaux de vaccination des enfants. Les données enregistrées depuis la sortie des vaccins en question justifie cette inclusion.
D’autant que l’infection à Rotavirus est l’un des fléaux de la petite enfance (enfants de moins de 5 ans) dans le monde entier, et non pas seulement dans les pays en développement où l’incidence de l’infection est cependant plus élevée.
Chaque année, en effet, selon les données épidémiologiques de l’OMS, plus de 500 000 décès par diarrhée et 2 millions d’hospitalisations sont les conséquences de l’infection, mais surtout plus de 85 % de ces décès touchent les pays en développement, en Afrique et en Asie.
La recommandation de ses experts vaccinologues (le groupe SAGE) de l’OMS. «permettra d’assurer l’accès aux vaccins anti-rotavirus aux pays les plus pauvres du monde».
C’est en Amérique et en Europe que les vaccins anti-Rotavirus ont d’abord montré leur efficacité biologique (génération d’anticorps spécifiques) et clinique (prévention des infections), qui justifia une première recommandation d’utilisation de l’OMS en 2005 pour les pays «à mortalité faible et intermédiaire».
De nouvelles données issues des essais cliniques d’efficacité du vaccin dans des pays à forte mortalité infantile ont conduit l’OMS à recommander le vaccin partout dans le monde.
L’infection à Rotavirus est la cause dominante des diarrhées d’origine virale, qui menacent la vie des enfants du fait de l’intense déshydratation qu’elles entraînent.
Les maladies diarrhéiques ayant de nombreuses causes, les experts de l’OMS ont souligné l’importance de disposer de façon large de la vaccination anti-Rotavirus dans le cadre d’une stratégie globale de lutte contre les maladies diarrhéiques, comprenant également l’amélioration de la qualité de l’eau d’adduction, des moyens d’hygiène et d’assainissement, la fourniture de solutions de réhydratation orale (sous forme de poudre prête à préparer), d’une supplémentation en zinc, et bien sûr de la prise en charge médicale des enfants atteints.
Les chercheurs qui ont participé aux essais des vaccins en Afrique du Sud et au Malawi présenteront et publieront leurs données sur le vaccin Rotarix® du laboratoire GSK (GlaxoSmithKline) dans le courant de l‘été.
Des sites d’essais cliniques au Bangladesh, au Viet Nam, au Ghana, au Mali et au Kenya ont évalue l’efficacité du vaccin Rota Teq® du laboratoire Merck-MSD, dont les résultats sont attendus cet automne.
[Source : Santelog 06/06/09]
Révolution à venir dans les calendriers vaccinaux du monde : l’OMS vient de recommander l’inclusion du vaccin anti-Rotavirus dans les programmes nationaux de vaccination des enfants. Les données enregistrées depuis la sortie des vaccins en question justifie cette inclusion.
D’autant que l’infection à Rotavirus est l’un des fléaux de la petite enfance (enfants de moins de 5 ans) dans le monde entier, et non pas seulement dans les pays en développement où l’incidence de l’infection est cependant plus élevée.
Chaque année, en effet, selon les données épidémiologiques de l’OMS, plus de 500 000 décès par diarrhée et 2 millions d’hospitalisations sont les conséquences de l’infection, mais surtout plus de 85 % de ces décès touchent les pays en développement, en Afrique et en Asie.
La recommandation de ses experts vaccinologues (le groupe SAGE) de l’OMS. «permettra d’assurer l’accès aux vaccins anti-rotavirus aux pays les plus pauvres du monde».
C’est en Amérique et en Europe que les vaccins anti-Rotavirus ont d’abord montré leur efficacité biologique (génération d’anticorps spécifiques) et clinique (prévention des infections), qui justifia une première recommandation d’utilisation de l’OMS en 2005 pour les pays «à mortalité faible et intermédiaire».
De nouvelles données issues des essais cliniques d’efficacité du vaccin dans des pays à forte mortalité infantile ont conduit l’OMS à recommander le vaccin partout dans le monde.
L’infection à Rotavirus est la cause dominante des diarrhées d’origine virale, qui menacent la vie des enfants du fait de l’intense déshydratation qu’elles entraînent.
Les maladies diarrhéiques ayant de nombreuses causes, les experts de l’OMS ont souligné l’importance de disposer de façon large de la vaccination anti-Rotavirus dans le cadre d’une stratégie globale de lutte contre les maladies diarrhéiques, comprenant également l’amélioration de la qualité de l’eau d’adduction, des moyens d’hygiène et d’assainissement, la fourniture de solutions de réhydratation orale (sous forme de poudre prête à préparer), d’une supplémentation en zinc, et bien sûr de la prise en charge médicale des enfants atteints.
Les chercheurs qui ont participé aux essais des vaccins en Afrique du Sud et au Malawi présenteront et publieront leurs données sur le vaccin Rotarix® du laboratoire GSK (GlaxoSmithKline) dans le courant de l‘été.
Des sites d’essais cliniques au Bangladesh, au Viet Nam, au Ghana, au Mali et au Kenya ont évalue l’efficacité du vaccin Rota Teq® du laboratoire Merck-MSD, dont les résultats sont attendus cet automne.
[Source : Santelog 06/06/09]
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Re: Actualités 2009
Les AGF remboursent des médicaments... non remboursés
Les AGF passent à l'attaque dans le domaine de la santé.
A partir du 29 juin, l'assureur remboursera environ 1 000 médicaments non pris en charge par la Sécu.
Les pharmacopées concernées sont celles utilisées pour soigner des petits maux de la vie quotidienne (mal de gorge, de tête, ballonnements, coups de soleil, etc.)
Seule condition pour profiter de cette offre : opter pour le forfait "médicaments non pris en charge par la Sécurité sociale".
Mais attention, les remboursements seront plafonnés.
Objectif affiché pour l'assureur : développer l'automédication et "accompagner les assurés suite aux mesures de déremboursements".
Pour mettre en place ce dispositif, un partenariat a été passé avec le Collectif des groupements de pharmaciens d'officine, qui représente environ 8 500 pharmacies.
En échange, les pharmaciens toucheront 5€ par conseil délivré à l'assuré.
Et ce, dans la limite de 4 conseils par an et par patient.
[Source : Le parisien 06/06/09]
Les AGF passent à l'attaque dans le domaine de la santé.
A partir du 29 juin, l'assureur remboursera environ 1 000 médicaments non pris en charge par la Sécu.
Les pharmacopées concernées sont celles utilisées pour soigner des petits maux de la vie quotidienne (mal de gorge, de tête, ballonnements, coups de soleil, etc.)
Seule condition pour profiter de cette offre : opter pour le forfait "médicaments non pris en charge par la Sécurité sociale".
Mais attention, les remboursements seront plafonnés.
Objectif affiché pour l'assureur : développer l'automédication et "accompagner les assurés suite aux mesures de déremboursements".
Pour mettre en place ce dispositif, un partenariat a été passé avec le Collectif des groupements de pharmaciens d'officine, qui représente environ 8 500 pharmacies.
En échange, les pharmaciens toucheront 5€ par conseil délivré à l'assuré.
Et ce, dans la limite de 4 conseils par an et par patient.
[Source : Le parisien 06/06/09]
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Re: Actualités 2009
Les maladies mentales sont mal connues et très coûteuses
En France, le coût total des maladies mentales (hors démences et retards mentaux) est estimé à près de 108 milliards d'euros par an.
Près de 23 milliards concernent les dépenses directes (prise en charge sanitaire, médico-sociale et allocations) et près de 85 milliards les dépenses indirectes (soins informels, perte de productivité, perte de qualité de vie).
Ce coût global est équivalant à 5,7 % de la richesse nationale (PIB) ou près d'un tiers des dépenses de l'Etat. Et pourtant, le budget de la recherche en psychiatrie n'est que de 25,2 millions d'euros, soit moins de 2 % de la recherche en santé, alors que ces pathologies touchent environ 20 % de la population.
C'est ce qui ressort d'une évaluation de l'unité de recherche clinique en économie de la santé d'Ile-de-France, rendue publique par la fondation Fondamental de recherche et de soins en santé mentale.
Parallèlement, la fondation s'appuie sur les résultats d'une enquête réalisée par Ipsos en mai, pour souligner que les maladies mentales sont bien connues, leur fréquence correctement évaluée, mais que beaucoup d'idées fausses circulent à leur sujet.
Ainsi, 80 % des personnes interrogées accepteraient de travailler avec une personne autiste et 67 % avec un maniaco-dépressif tandis que 90 % accepteraient que leurs enfants soient en classe avec un autiste et 65 % avec un maniaco-dépressif.
En revanche, 74 % des Français considèrent qu'un schizophrène représente un danger pour lui-même, 65 % un danger pour les autres et 56 % refuseraient de travailler avec lui.
La fondation Pierre Deniker (recherche et prévention en santé mentale) a, elle, présenté les résultats d'une enquête TNS Healthcare menée en avril auprès de 482 individus.
Elle montre que les Français reconnaissent la fragilité mentale mais méconnaissent la pathologie mentale.
Un Français sur deux déclare souffrir ou avoir déjà souffert de fragilité mentale et 13 % se sentent fragiles mentalement, en moyenne depuis sept ans.
Parmi les symptômes précurseurs de pathologie mentale, la moitié se fient à l'incohérence du comportement et des propos.
Si la moitié des personnes interrogées citent la dépression comme maladie relative à la santé mentale, bien peu parlent des troubles bipolaires ou des troubles liés à l'alcoolisme, alors qu'ils figurent parmi les pathologies physiques et mentales les plus courantes.
[Source : Le point 08/06/09]
En France, le coût total des maladies mentales (hors démences et retards mentaux) est estimé à près de 108 milliards d'euros par an.
Près de 23 milliards concernent les dépenses directes (prise en charge sanitaire, médico-sociale et allocations) et près de 85 milliards les dépenses indirectes (soins informels, perte de productivité, perte de qualité de vie).
Ce coût global est équivalant à 5,7 % de la richesse nationale (PIB) ou près d'un tiers des dépenses de l'Etat. Et pourtant, le budget de la recherche en psychiatrie n'est que de 25,2 millions d'euros, soit moins de 2 % de la recherche en santé, alors que ces pathologies touchent environ 20 % de la population.
C'est ce qui ressort d'une évaluation de l'unité de recherche clinique en économie de la santé d'Ile-de-France, rendue publique par la fondation Fondamental de recherche et de soins en santé mentale.
Parallèlement, la fondation s'appuie sur les résultats d'une enquête réalisée par Ipsos en mai, pour souligner que les maladies mentales sont bien connues, leur fréquence correctement évaluée, mais que beaucoup d'idées fausses circulent à leur sujet.
Ainsi, 80 % des personnes interrogées accepteraient de travailler avec une personne autiste et 67 % avec un maniaco-dépressif tandis que 90 % accepteraient que leurs enfants soient en classe avec un autiste et 65 % avec un maniaco-dépressif.
En revanche, 74 % des Français considèrent qu'un schizophrène représente un danger pour lui-même, 65 % un danger pour les autres et 56 % refuseraient de travailler avec lui.
La fondation Pierre Deniker (recherche et prévention en santé mentale) a, elle, présenté les résultats d'une enquête TNS Healthcare menée en avril auprès de 482 individus.
Elle montre que les Français reconnaissent la fragilité mentale mais méconnaissent la pathologie mentale.
Un Français sur deux déclare souffrir ou avoir déjà souffert de fragilité mentale et 13 % se sentent fragiles mentalement, en moyenne depuis sept ans.
Parmi les symptômes précurseurs de pathologie mentale, la moitié se fient à l'incohérence du comportement et des propos.
Si la moitié des personnes interrogées citent la dépression comme maladie relative à la santé mentale, bien peu parlent des troubles bipolaires ou des troubles liés à l'alcoolisme, alors qu'ils figurent parmi les pathologies physiques et mentales les plus courantes.
[Source : Le point 08/06/09]
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Re: Actualités 2009
Grippe A (H1N1) : 25 288 cas dans 73 pays
D'après le dernier bilan publié lundi 8 juin sur son site internet, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) assure que le virus A(H1N1) de la grippe porcine a touché 25 288 personnes dans 73 pays, et provoqué la mort de 139 personnes.
3 348 nouveaux cas de grippe A, dont 14 morts supplémentaires, ont été officiellement signalés depuis le précédent bilan de l'OMS, publié vendredi.
Le précédent bilan faisait état de 21 940 personnes contaminées dans 69 pays, dont 125 morts.
L'OMS effectue actuellement ses propres contrôles, d'où les écarts entre les chiffres de l'organisation et ceux des différents pays.
Par ailleurs, l'OMS minimise la "pertinence" des statistiques nationales, en soulignant que certains des pays les plus contaminés, comme les Etats-Unis, par exemple, ont renoncé à recenser toutes les contaminations.
C'est aux Etats-Unis que la grande majorité des nouveaux cas ont été comptabilisés (+ 2 163, dont 10 morts supplémentaires).
Les autres plus fortes progressions ont été signalées au Mexique (+ 154), dont 3 morts supplémentaires), en Australie (+ 175), au Canada (+ 320), au Royaume Uni (+ 129), en Argentine (+ 55) et au Chili (+ 42).
En République dominicaine, un premier cas mortel a été signalé. 44 malades au total ont été diagnostiqués sur l'île.
A Taïwan, 16 patients sont recensés dans le total des cas. L'île, qui est un simple membre observateur à l'OMS, n'apparaît toutefois pas sur la liste élaborée par l'organisation.
Dans les Caraïbes, un nouveau cas a été noté aux îles Caïman, à la Dominique, tandis que la contamination de deux personnes a été observée à Trinidad et Tobago.
Au Moyen-Orient, avec une nouvelle infection, les Emirats arabes unis font leur entrée dans la liste des pays officiellement affectés par la maladie.
[Source : NouvelObs 08/06/09]
D'après le dernier bilan publié lundi 8 juin sur son site internet, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) assure que le virus A(H1N1) de la grippe porcine a touché 25 288 personnes dans 73 pays, et provoqué la mort de 139 personnes.
3 348 nouveaux cas de grippe A, dont 14 morts supplémentaires, ont été officiellement signalés depuis le précédent bilan de l'OMS, publié vendredi.
Le précédent bilan faisait état de 21 940 personnes contaminées dans 69 pays, dont 125 morts.
L'OMS effectue actuellement ses propres contrôles, d'où les écarts entre les chiffres de l'organisation et ceux des différents pays.
Par ailleurs, l'OMS minimise la "pertinence" des statistiques nationales, en soulignant que certains des pays les plus contaminés, comme les Etats-Unis, par exemple, ont renoncé à recenser toutes les contaminations.
C'est aux Etats-Unis que la grande majorité des nouveaux cas ont été comptabilisés (+ 2 163, dont 10 morts supplémentaires).
Les autres plus fortes progressions ont été signalées au Mexique (+ 154), dont 3 morts supplémentaires), en Australie (+ 175), au Canada (+ 320), au Royaume Uni (+ 129), en Argentine (+ 55) et au Chili (+ 42).
En République dominicaine, un premier cas mortel a été signalé. 44 malades au total ont été diagnostiqués sur l'île.
A Taïwan, 16 patients sont recensés dans le total des cas. L'île, qui est un simple membre observateur à l'OMS, n'apparaît toutefois pas sur la liste élaborée par l'organisation.
Dans les Caraïbes, un nouveau cas a été noté aux îles Caïman, à la Dominique, tandis que la contamination de deux personnes a été observée à Trinidad et Tobago.
Au Moyen-Orient, avec une nouvelle infection, les Emirats arabes unis font leur entrée dans la liste des pays officiellement affectés par la maladie.
[Source : NouvelObs 08/06/09]
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Re: Actualités 2009
Chasse aux arrêts de travail injustifiés : contrôle et prévention
Chaque année, ce sont plus de 8 millions de journées d’arrêt de travail qui sont déclarées à la Caisse d’Assurance maladie.
Un bilan récent de l'Assurance maladie révèle que plus d'un arrêt de travail sur dix est injustifié ou trop long. Le constat, dressé sur la base des contrôles des médecins conseils de la médecine du travail, porte sur l'ensemble de l'année 2008.
Le nombre de ces arrêts de travail est en hausse constante depuis 2007 et les versements d'indemnités journalières ont augmenté de 6,4% sur l'année 2008.
Les médecins-conseils de la CNAM ont réalisé 1,2 million de contrôles en 2008 qui révèlent qu’au moins 11% des arrêts de travail pris en charge par la Sécurité sociale sont injustifiés ou trop longs. Ce sont les arrêts de courte durée qui apparaissent les moins justifiés avec près de 13 % des arrêts contrôlés avec avis défavorable.
Sur les 285 000 contrôles effectués sur des salariés en arrêt-maladie 37 000 se sont avérés injustifiés ou trop longs et 170 000 d'entre eux ont reçu un avis défavorable des médecins de la Sécurité sociale.
Le nombre de ces arrêts de travail est en hausse constante depuis 2007, après deux ans de baisse. C’est dans le secteur de l’alimentation que les interruptions de travail présentent le plus gros volume avec plus d’1 million et demi de journées d’IT déclarées.
Le poids financier de la sous-déclaration des accidents du travail et maladies professionnelles (AT/MP) s’ajoute à l’augmentation du nombre d’arrêts maladie officiels : Cette sous-déclaration entraîne une sous-estimation du montant de la cotisation des employeurs au régime général de l’Assurance-Maladie qui assume les frais de soins et indemnités auxquels échappe la branche professionnelle.
La loi de financement de la Sécurité Sociale a prévu un versement annuel du régime AT/MP au régime général lié au montant qu’elle encaisse des employeurs et charge une commission spéciale de l’évaluation triennale du coût réel des AT/MP tenant compte des sous-déclarations.
Le rapport 2008 fournit les évaluations de sous-déclarations de 7 AT/MP : cancers, trouble musculo-squelettique (TMS), asthme/ BPCO, dermatose, lombalgie/dorsalgie, surdité, accident du travail.
Au moment où le déficit de l'assurance maladie est estimé à près de 18 milliards d’Euros par le Ministère des finances pour 2009, où le gouvernement force le rapprochement entre les mutuelles et l’Assurance maladie pour pouvoir prendre en charge l’énorme poids des maladies chroniques, l'Assurance maladie, qui augmente le nombre de contrôles, va devoir proposer de nouvelles mesures pour freiner l'augmentation de ces dépenses.
La prévention en fait naturellement partie.
De 2009 à 2012, dans le cadre du Plan national d’actions coordonnées, la CNAMTS mobilisera le réseau prévention de la branche Accidents du Travail et Maladies Professionnelles (CRAM, CGSS, INRS, Eurogip) sur des priorités communes, validées par les partenaires sociaux membres de la Commission des Accidents du Travail et des Maladies professionnelles (CATMP).
Le plan national d’actions coordonnées se concentre sur quatre risques prioritaires :
les troubles musculo-squelettiques (TMS)
les cancers d’origine professionnelle
le risque routier
les risques psycho-sociaux (RPS)
et trois secteurs d’activité à forte sinistralité :
le BTP
la Grande Distribution
l’Intérim.
Pour la première fois, des objectifs quantifiés de réduction du risque et de la sinistralité dans les secteurs concernés sont fixés.
[Source : Santelog 09/06/09]
Chaque année, ce sont plus de 8 millions de journées d’arrêt de travail qui sont déclarées à la Caisse d’Assurance maladie.
Un bilan récent de l'Assurance maladie révèle que plus d'un arrêt de travail sur dix est injustifié ou trop long. Le constat, dressé sur la base des contrôles des médecins conseils de la médecine du travail, porte sur l'ensemble de l'année 2008.
Le nombre de ces arrêts de travail est en hausse constante depuis 2007 et les versements d'indemnités journalières ont augmenté de 6,4% sur l'année 2008.
Les médecins-conseils de la CNAM ont réalisé 1,2 million de contrôles en 2008 qui révèlent qu’au moins 11% des arrêts de travail pris en charge par la Sécurité sociale sont injustifiés ou trop longs. Ce sont les arrêts de courte durée qui apparaissent les moins justifiés avec près de 13 % des arrêts contrôlés avec avis défavorable.
Sur les 285 000 contrôles effectués sur des salariés en arrêt-maladie 37 000 se sont avérés injustifiés ou trop longs et 170 000 d'entre eux ont reçu un avis défavorable des médecins de la Sécurité sociale.
Le nombre de ces arrêts de travail est en hausse constante depuis 2007, après deux ans de baisse. C’est dans le secteur de l’alimentation que les interruptions de travail présentent le plus gros volume avec plus d’1 million et demi de journées d’IT déclarées.
Le poids financier de la sous-déclaration des accidents du travail et maladies professionnelles (AT/MP) s’ajoute à l’augmentation du nombre d’arrêts maladie officiels : Cette sous-déclaration entraîne une sous-estimation du montant de la cotisation des employeurs au régime général de l’Assurance-Maladie qui assume les frais de soins et indemnités auxquels échappe la branche professionnelle.
La loi de financement de la Sécurité Sociale a prévu un versement annuel du régime AT/MP au régime général lié au montant qu’elle encaisse des employeurs et charge une commission spéciale de l’évaluation triennale du coût réel des AT/MP tenant compte des sous-déclarations.
Le rapport 2008 fournit les évaluations de sous-déclarations de 7 AT/MP : cancers, trouble musculo-squelettique (TMS), asthme/ BPCO, dermatose, lombalgie/dorsalgie, surdité, accident du travail.
Au moment où le déficit de l'assurance maladie est estimé à près de 18 milliards d’Euros par le Ministère des finances pour 2009, où le gouvernement force le rapprochement entre les mutuelles et l’Assurance maladie pour pouvoir prendre en charge l’énorme poids des maladies chroniques, l'Assurance maladie, qui augmente le nombre de contrôles, va devoir proposer de nouvelles mesures pour freiner l'augmentation de ces dépenses.
La prévention en fait naturellement partie.
De 2009 à 2012, dans le cadre du Plan national d’actions coordonnées, la CNAMTS mobilisera le réseau prévention de la branche Accidents du Travail et Maladies Professionnelles (CRAM, CGSS, INRS, Eurogip) sur des priorités communes, validées par les partenaires sociaux membres de la Commission des Accidents du Travail et des Maladies professionnelles (CATMP).
Le plan national d’actions coordonnées se concentre sur quatre risques prioritaires :
et trois secteurs d’activité à forte sinistralité :
Pour la première fois, des objectifs quantifiés de réduction du risque et de la sinistralité dans les secteurs concernés sont fixés.
[Source : Santelog 09/06/09]
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Re: Actualités 2009
Lancement d'une campagne en faveur du dépistage du cancer du col de l'utérus
Une campagne nationale de sensibilisation au dépistage du cancer du col de l'utérus a été lancée lundi par l'Institut national du cancer (INCa) par le biais des 23 000 pharmacies de métropole et d'outre-mer.
Le cancer du col de l'utérus est responsable chaque année en France de près de 1 000 décès "alors que la plupart pourraient être évités", souligne l'INCa dans un communiqué.
"Le frottis reste plus que jamais le geste indispensable pour lutter efficacement contre le cancer du col de l'utérus."
Depuis novembre 2006, il est possible pour les jeunes filles (en principe avant leur premier rapport sexuel) de se faire vacciner contre les papillomavirus (HPV) à l'origine des cancers du col de l'utérus.
Mais les vaccins (deux sont disponibles) ne préviennent pas tous les cancers du col, et ne dispensent pas du dépistage par frottis cervico-utérin.
"Les femmes, qu'elles aient été vaccinées ou non, doivent bénéficier régulièrement de frottis entre 25 et 65 ans", rappelle l'INCa.
Il s'agit d'un geste simple et indolore, effectué en cabinet, qui doit être renouvelé régulièrement.
La campagne de l'INCa repose sur la mobilisation des pharmaciens.
Une fiche leur permettra de donner des conseils aux femmes, par exemple lors de la délivrance d'un vaccin HPV ou d'un contraceptif.
Des dépliants grand public et une affiche seront également mis à leur disposition.
Cette action sera complétée par la mise en ligne sur le site de l'INCa d'un diaporama rappelant l'importance du dépistage par frottis.
[Source : AFP 09/06/09]
Une campagne nationale de sensibilisation au dépistage du cancer du col de l'utérus a été lancée lundi par l'Institut national du cancer (INCa) par le biais des 23 000 pharmacies de métropole et d'outre-mer.
Le cancer du col de l'utérus est responsable chaque année en France de près de 1 000 décès "alors que la plupart pourraient être évités", souligne l'INCa dans un communiqué.
"Le frottis reste plus que jamais le geste indispensable pour lutter efficacement contre le cancer du col de l'utérus."
Depuis novembre 2006, il est possible pour les jeunes filles (en principe avant leur premier rapport sexuel) de se faire vacciner contre les papillomavirus (HPV) à l'origine des cancers du col de l'utérus.
Mais les vaccins (deux sont disponibles) ne préviennent pas tous les cancers du col, et ne dispensent pas du dépistage par frottis cervico-utérin.
"Les femmes, qu'elles aient été vaccinées ou non, doivent bénéficier régulièrement de frottis entre 25 et 65 ans", rappelle l'INCa.
Il s'agit d'un geste simple et indolore, effectué en cabinet, qui doit être renouvelé régulièrement.
La campagne de l'INCa repose sur la mobilisation des pharmaciens.
Une fiche leur permettra de donner des conseils aux femmes, par exemple lors de la délivrance d'un vaccin HPV ou d'un contraceptif.
Des dépliants grand public et une affiche seront également mis à leur disposition.
Cette action sera complétée par la mise en ligne sur le site de l'INCa d'un diaporama rappelant l'importance du dépistage par frottis.
[Source : AFP 09/06/09]
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Re: Actualités 2009
Baignade : avez-vous les bons réflexes ?
L'été revient, les vacances et les baignades aussi. Parce qu'il est important de rester vigilant pour passer des vacances en toute sérénité, l'institut national d'éducation et de prévention pour la santé (Inpes) a décidé d'éditer une nouvelle brochure destinée à faire le point sur les différentes précautions à adopter.
Son titre "Mode d’emploi de la baignade, pour un été en toute sécurité".
Cette brochure sera diffusée dès la mi-juin via les préfectures, offices de tourisme, CRS, pompiers, sauveteurs en mer ainsi qu’aux péages d’autoroute. Elle sera également téléchargeable sur le site de l'Inpes.
Parmi les nombreuses recommandations, il vous est conseillé de choisir des zones de baignade surveillées et de se renseigner sur la nature des vagues, des courants et des marées dans le secteur où vous vous trouvez.
Sur la plage, un seul mot d'ordre : respectez les consignes de sécurité signalées par les drapeaux (vert : pas de danger; jaune : baignade dangereuse ; rouge : baignade interdite.)
D'autre part il vous est vivement conseillé de prendre en compte votre forme physique avant toute baignade.
Alcool, repas trop copieux, exposition prolongée au soleil ne font pas toujours bon ménage avec une baignade en toute sécurité.
Surtout ne vous baignez pas si vous ressentez le moindre frisson ou trouble physique, et ne surestimez pas votre niveau de natation. Dans tous les cas il vous est recommandé de prévenir vos proches.
Il vous est recommandé d'entrer progressivement dans l’eau, de prendre garde aux vague, certaines pouvant être particulièrement dangeureuses.
En cas de danger, ne cherchez pas à lutter contre le courant et les vagues....
Si vous êtes fatigué(e), allongez-vous sur le dos pour vous reposer. Cette position permet de dégager les voies aériennes et de respirer normalement pour pouvoir appeler de l’aide.
En ce qui concerne les enfants qui aiment beaucoup l'eau et les baignades, ne les laissez sous aucun prétexte sans surveillance.
Le mieux est de se baigner en même temps qu'eux et de les équiper de brassards adaptés à leur taille et portant la norme NF 1311138-1.
Attention, les bouées et autres matelas pneumatiques ne protègent pas de la noyade.
Quant aux piscines privées en plein air, rappelons qu'elles doivent être équipées d’un dispositif de sécurité comprenant : barrière, couverture, abri de piscine ou alarme sonore. Il va de soi que ces dispositifs ne doivent pas remplacer pas la surveillance active et permanente de la part des parents..
Le mieux est de déposer à côté de la piscine une perche et une bouée pour pouvoir intervenir rapidement en cas de danger. Ayez à disposition un téléphone pour alerter les secours le plus rapidement possible en cas d’accident.
[Source : Sante-actu 08/06/09]
L'été revient, les vacances et les baignades aussi. Parce qu'il est important de rester vigilant pour passer des vacances en toute sérénité, l'institut national d'éducation et de prévention pour la santé (Inpes) a décidé d'éditer une nouvelle brochure destinée à faire le point sur les différentes précautions à adopter.
Son titre "Mode d’emploi de la baignade, pour un été en toute sécurité".
Cette brochure sera diffusée dès la mi-juin via les préfectures, offices de tourisme, CRS, pompiers, sauveteurs en mer ainsi qu’aux péages d’autoroute. Elle sera également téléchargeable sur le site de l'Inpes.
Parmi les nombreuses recommandations, il vous est conseillé de choisir des zones de baignade surveillées et de se renseigner sur la nature des vagues, des courants et des marées dans le secteur où vous vous trouvez.
Sur la plage, un seul mot d'ordre : respectez les consignes de sécurité signalées par les drapeaux (vert : pas de danger; jaune : baignade dangereuse ; rouge : baignade interdite.)
D'autre part il vous est vivement conseillé de prendre en compte votre forme physique avant toute baignade.
Alcool, repas trop copieux, exposition prolongée au soleil ne font pas toujours bon ménage avec une baignade en toute sécurité.
Surtout ne vous baignez pas si vous ressentez le moindre frisson ou trouble physique, et ne surestimez pas votre niveau de natation. Dans tous les cas il vous est recommandé de prévenir vos proches.
Il vous est recommandé d'entrer progressivement dans l’eau, de prendre garde aux vague, certaines pouvant être particulièrement dangeureuses.
En cas de danger, ne cherchez pas à lutter contre le courant et les vagues....
Si vous êtes fatigué(e), allongez-vous sur le dos pour vous reposer. Cette position permet de dégager les voies aériennes et de respirer normalement pour pouvoir appeler de l’aide.
En ce qui concerne les enfants qui aiment beaucoup l'eau et les baignades, ne les laissez sous aucun prétexte sans surveillance.
Le mieux est de se baigner en même temps qu'eux et de les équiper de brassards adaptés à leur taille et portant la norme NF 1311138-1.
Attention, les bouées et autres matelas pneumatiques ne protègent pas de la noyade.
Quant aux piscines privées en plein air, rappelons qu'elles doivent être équipées d’un dispositif de sécurité comprenant : barrière, couverture, abri de piscine ou alarme sonore. Il va de soi que ces dispositifs ne doivent pas remplacer pas la surveillance active et permanente de la part des parents..
Le mieux est de déposer à côté de la piscine une perche et une bouée pour pouvoir intervenir rapidement en cas de danger. Ayez à disposition un téléphone pour alerter les secours le plus rapidement possible en cas d’accident.
[Source : Sante-actu 08/06/09]
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Re: Actualités 2009
Les « médicamenteurs »: enquête dans les coulisses des labos
France 5 diffuse ce mardi soir un documentaire de salubrité publique.
Dans "Les Médicamenteurs", conçu par deux enquêtrices du Canard Enchaîné, on obtient des réponses à beaucoup des questions que l'on se pose sur les méthodes de l'industrie pharmaceutique.
Pourquoi la France est-elle championne de la consommation de médicaments ? Comment des scandales comme celui du Vioxx ont-ils été possibles malgré la chaîne des contrôles ? Quels liens d'intérêt existent exactement entre industrie et médecins ? Pourquoi les politiques laissent-ils faire alors que c'est le trou de la sécu et la santé de tous qui sont en jeu ?
Le scénario se veut ultra-pédagogique puisqu'il suit le parcours du médicament, le ton ludique et le décor est une ville en pâte à modeler appelée "Pharmacity", un poil kitsch mais assez divertissant.
Le Salon des médecins, où l'on voit comment ces derniers se font bichonner par les vendeurs de produits très aguerris au marketing, vaut le détour. Ainsi que la fuite de Roselyne Bachelot devant les caméras.
Stéphane Horel, co-auteur du film et auteur de La Grande invasion, une enquête sur les produits qui contaminent notre vie quotidienne, remarque :
"Ce qui frappe, c'est la mollesse des pouvoirs publics, préoccupés par l'importance de l'industrie pharmaceutique en terme d'emplois. Le PDG de Sanofi ose déclarer aux députés : "Vous adorez venir inaugurer mes centres de recherche et mes usines, j'aimerais que vous vous en souveniez un peu quand vous êtes assis à l'Assemblée nationale et quand vous votez les lois." Tout est résumé".
C'est la saveur unique de ce film : nous apprendre, de la bouche de ceux qui les autorisent, que seulement 5% des nouveaux médicaments mis sur le marché sont innovants, que les laboratoires dépensent deux fois plus d'argent pour le marketing que pour la recherche …
Qui a dit que les médicaments ça servait à soigner les malades ?
"Les médicamenteurs" de Stéphane Horel, Annick Redolfi et Brigitte Rossigneux.
Une production Beau Comme une Image avec France 5 et Public Sénat.
Rediffusion le dimanche 21 juin à 21h30 si vous l'avez raté hier soir
[Source : Rue89 09/06/09]
France 5 diffuse ce mardi soir un documentaire de salubrité publique.
Dans "Les Médicamenteurs", conçu par deux enquêtrices du Canard Enchaîné, on obtient des réponses à beaucoup des questions que l'on se pose sur les méthodes de l'industrie pharmaceutique.
Pourquoi la France est-elle championne de la consommation de médicaments ? Comment des scandales comme celui du Vioxx ont-ils été possibles malgré la chaîne des contrôles ? Quels liens d'intérêt existent exactement entre industrie et médecins ? Pourquoi les politiques laissent-ils faire alors que c'est le trou de la sécu et la santé de tous qui sont en jeu ?
Le scénario se veut ultra-pédagogique puisqu'il suit le parcours du médicament, le ton ludique et le décor est une ville en pâte à modeler appelée "Pharmacity", un poil kitsch mais assez divertissant.
Le Salon des médecins, où l'on voit comment ces derniers se font bichonner par les vendeurs de produits très aguerris au marketing, vaut le détour. Ainsi que la fuite de Roselyne Bachelot devant les caméras.
Stéphane Horel, co-auteur du film et auteur de La Grande invasion, une enquête sur les produits qui contaminent notre vie quotidienne, remarque :
"Ce qui frappe, c'est la mollesse des pouvoirs publics, préoccupés par l'importance de l'industrie pharmaceutique en terme d'emplois. Le PDG de Sanofi ose déclarer aux députés : "Vous adorez venir inaugurer mes centres de recherche et mes usines, j'aimerais que vous vous en souveniez un peu quand vous êtes assis à l'Assemblée nationale et quand vous votez les lois." Tout est résumé".
C'est la saveur unique de ce film : nous apprendre, de la bouche de ceux qui les autorisent, que seulement 5% des nouveaux médicaments mis sur le marché sont innovants, que les laboratoires dépensent deux fois plus d'argent pour le marketing que pour la recherche …
Qui a dit que les médicaments ça servait à soigner les malades ?
"Les médicamenteurs" de Stéphane Horel, Annick Redolfi et Brigitte Rossigneux.
Une production Beau Comme une Image avec France 5 et Public Sénat.
Rediffusion le dimanche 21 juin à 21h30 si vous l'avez raté hier soir
[Source : Rue89 09/06/09]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente