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Re: Actualités concours 2012

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Cancer : des traitements plus efficaces contre les métastases cérébrales

De nouvelles techniques chirurgicales et médicales permettent d’améliorer la survie des malades atteints par cette complication fréquente de plusieurs cancers.

Une complication fréquente

Ce vendredi et samedi se déroulent à Marseille les premières Rencontres internationales sur les métastases cérébrales, ces développements secondaires de cellules cancéreuses dans le cerveau. « Les métastases cérébrales sont aujourd’hui six fois plus fréquentes que les gliomes, les tumeurs primitives du cerveau et leur traitement est totalement différent » explique le Pr Philippe Metellus, neurochirurgien à l’Hôpital de La Timone à Marseille.

L’amélioration de la survie des malades atteints de cancers (ceux qui métastasent le plus dans le cerveau sont les mélanomes, les cancers du sein et du poumon) ainsi que l’amélioration des techniques diagnostiques, avec un recours plus fréquent à l’IRM, explique la progression des cas de cette pathologie dont les stratégies curatives sont en pleine évolution. Alors qu’il y a seulement quelques années, la survenue de métastases cérébrales était synonyme de condamnation, la médiane de survie des malades est aujourd’hui en progression, dépassant les sept mois contre quelques semaines il y a dix ans.


Un traitement en pleine évolution

Mais la progression de la maladie cérébrale reste encore une cause de décès fréquente des malades. On en retrouve chez 25% des patients décédés de cancers. Pour lutter contre ces métastases les médecins interviennent le plus souvent directement sur le cerveau par chirurgie, radiochirurgie ou irradiation. Leur but étant d’éliminer la tumeur en préservant au maximum le tissu cérébral sain afin de conserver intactes les fonctions cérébrales. Afin de repérer au mieux les zones à enlever, le Pr Mettellus pratique la chirurgie sous fluorescence avec des marqueurs se fixant spécifiquement sur les zones cancéreuses ainsi que la chirurgie à crâne ouvert avec patient réveillé qui permet de déterminer les zones cérébrales essentielles à une fonction (le langage par exemple).

Outre ces techniques locorégionales, « le grand progrès est que nous disposons maintenant de médicaments anticancéreux administrables par voie générale capables de franchir la barrière hémato-encéphalique et de pénétrer dans le cerveau » poursuit Le Pr Fabrice Barlési, du service d’oncologie multidisciplinaire et d’innovation thérapeutique de l’Hôpital Nord à Marseille.

Ces premières rencontres internationales permettront aux spécialistes de faire le point sur les toutes dernières avancées en recherche fondamentale ainsi que sur les standards actuels de traitement et les nouveaux agents pharmacologiques en cours d’essais thérapeutiques.

Joël Ignasse
Sciences et Avenir.fr
16/09/2011Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

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Syndrome du bébé secoué : La HAS donne ses recommandations

Pleurs excessifs, cris amènent parfois et malheureusement certains parents excédés, ou toute autre personne qui s occupe de nourrissons, à commettre un acte trop souvent irréparable …secouer le bébé. Cette pulsion passagère peut avoir des conséquences graves voire mortelles sur l’enfant. Dans le but d’aider les professionnels de santé à être plus vigilants, et ainsi mieux repérer les syndromes du bébé secoué, la Haute autorité de santé (HAS) vient de publier une série de recommandations.

Chaque année, les experts estiment que 200 nouveaux nés de moins de un an sont victimes du syndrome du bébé secoué. Et la plupart du temps, ils ont souvent moins de 6 mois. Si la majorité d’entre eux conserveront à long terme des séquelles neurologiques graves, 10 à 40 % ne survivront pas au traumatisme subi. Avant un an, le cerveau de l’enfant n’est pas complètement développé et ne rempli pas la totalité de boîte crânienne. Lors de choc violent et de secousses, ce dernier s’écrase contre les parois osseuses et un certain nombre de vaisseaux sanguins éclatent, entrainant de graves dommages.
Comment arrive ce drame ? Le plus souvent, les parents n’arrivent pas à calmer les peurs prolongés de leur progéniture. Excédés, fatigués, ils perdent patience et en arrivent à les maltraiter. Malheureusement, beaucoup ne connaissent pas les risques qu’encourent leurs enfants lors de ce geste trop souvent désespéré. Avant d’en arriver là, les spécialistes conseillent aux parents de coucher le nouveau-né sur le dos et de quitter la pièce.
Afin d’éviter les récidives et d’aider les professionnels de santé à une meilleure prise en charge des bébés victimes de cette maltraitance, la HAS a édicté un certain nombre de recommandations et de conseils. On peut d’ailleurs noter, qu’une grille d’évaluation est mise à la disposition des médecins pour mieux diagnostiquer les cas de secouement.
Souhaitant aussi prévenir les risques, l’organisme souligne le rôle important que peuvent avoir les professionnels de santé comme relais auprès des parents. Ainsi la HAS préconise à ces derniers d’anticiper et de prévenir les jeunes parents que les pleurs de leur enfant pourront parfois les excéder et qu’il est important qu’ils gardent leur calme car les conséquences de secousses trop violentes peuvent être irréparables.

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Re: Actualités concours 2012

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Du zinc pour soutenir le système immunitaire contre les bactéries

Si à forte dose le zinc, qui est un métal lourd toxique pour l’organisme, pourrait bien à faibles doses avoir des vertus insoupçonnées dans la lutte contre les bactéries du type bacille de la tuberculose ou Escherichia coli. C’est ce que révèle une étude parue dans la revue Cell Host & Microbe et menée par des chercheurs français.

Pour se défendre contre les agressions agents pathogènes extérieurs, notre organisme utilise différents mécanismes. L’un d’entre eux consiste à priver les micro-organismes des nutriments essentiels, tel que le fer. Fort de ce constat, Olivier Neyrolles et ses collègues du CNRS/INSERM de Marseille, de Toulouse et de l’Institut Pasteur, en collaboration avec une équipe internationale de chercheurs, ont essayé de voir si l’inverse était
vrai.
Pour cela, ils ont étudié l’infection de macrophages par les bactéries suivantes Mycobacterium tuberculosis et Escherichia coli. Ils ont très vite constaté une accumulation de zinc à proximité des agents pathogènes, et en ont déduit que le système immunitaire pouvait empoissonner ces derniers en leur fournissant des doses mortelles de Zinc.
Les chercheurs ont aussi montré que les bactéries pour se défendre de cette intoxication au zinc expriment à leur surface des protéines qui ont pour fonction de pomper le métal lourd afin de l'éliminer au plus vite. En modifiant génétiquement les agents pathogènes pour qu’il n’exprime plus ces protéines, il est plus facile pour les macrophages de les détruire.
Les résultats de ces travaux sont particulièrement encourageants et ouvre la voie à de nouvelles pistes thérapeutiques. Serait-il, par exemple, envisageable de complémenter l’alimentation des malades en zinc ou un autre métal lourd pour aider le système immunitaire dans sa lutte contre les infections bactériennes ? ou pPourrait-on voir le développement de nouveaux antibiotiques visant à inhiber l’action des pompes à métaux lourds ? …

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Re: Actualités concours 2012

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lymphome : une journée mondiale pour se faire connaître

A l’occasion de la journée mondiale du lymphome, qui se tient le 16 septembre, l’association France Lymphome Espoir lance une campagne de sensibilisation auprès du grand public, afin que cette maladie méconnue sorte enfin de l’ombre. Au centre dispositif, le site Internet www.lymphormez-vous.com, qui permettra à tout un chacun de découvrir les différents aspects de ce cancer très particulier.

Plutôt méconnu du grand public, le lymphome est un cancer qui se développe au cœur du système lymphatique. Difficilement dépistable, il touche chaque année en France plus de 14 000 personnes, et entraîne le décès de 5 000 patients. Selon les spécialistes, il existerait un peu plus de soixante formes de cancers, que l’on peut ranger dans deux catégories : les lymphomes hodgkiniens et les non hodgkiniens. Ces derniers sont les plus fréquents, et d’après les dernières données épidémiologiques, ils seraient en augmentation constante depuis une dizaine d’années. Cinquième type de cancers chez les adultes, les lymphomes touchent souvent également les enfants.
Afin d’informer le grand public de l’existence de ce type de cancer, l’association France Lymphome Espoir a mis en place une campagne de sensibilisation au ton définitivement décalé. En lançant son site, baptisé Lymphormez-vous, cette dernière refuse de dramatiser la maladie, tout en permettant à tous de mieux comprendre cette maladie.

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Re: Actualités concours 2012

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Dépression : bientôt un test sanguin pour connaître ses prédispositions ?

Comment savoir si on a des prédispositions à être dépressif ? Si jusqu’à présent cette question restait sans réponse, des chercheurs français viennent de découvrir un marqueur biologique présent dans le sang qui permettrait de déceler les personnes qui sont les plus susceptibles de faire une dépression. C’est ce que relate une étude parue dans le Journal of Neuroscience.

Trouble de l’humeur entrainant perte de motivation ou élan vital, la dépression touche chaque année en France plus de 3 millions de personnes âgées de 15 à 75 ans, soit 8 % de la population vivant dans l’hexagone.
Afin de mieux comprendre comment débute l’état dépressif, Jean-Jacques Benoliel et ses collègues du Centre de recherche de l'Institut du cerveau et de la moelle épinière, ont soumis des rats à un stress social intense, en modifiant notamment la structure des neurones dans certaines zones spécifiques du cerveau. Quelques semaines plus tard, les chercheurs ont découvert que seuls les rats ayant un faible taux de BDNF (Brain-derived neurotrophic factor), un facteur de croissance cellulaire présent dans le sang, avaient des symptômes dépressifs.
D’après ces travaux, le BDNF pourrait être un marqueur biologique capable de déceler les personnes ayant des prédispositions à être dépressives, Il est donc envisageable à long terme d’identifier les personnes à risques et de prévenir le développement de ce trouble de l’humeur par une thérapie précoce, qu Elle soit médicamenteuse ou comportementale.

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Re: Actualités concours 2012

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Polyprescription : un risque à prendre en compte

Devant le nombre de cas d’interactions médicamenteuses recensés par les centres de pharmacovigilance, des chercheurs français ont essayé de mieux comprendre les comportements des polyprescriptions des médecins. Les premiers résultats de leur étude avaient d’ailleurs fait l’objet d’une présentation lors du congrès de médecine générale à Nice, il y a quelques mois.

L’étude Polychrome, menée par l’Inserm, l’Irdes et la Société française de médecine générale, a constitué, dans un premier temps, à présenter 105 ordonnances rédigées par 53 médecins à 16 experts pharmacologues. Ces derniers ont fait une analyse complète de l’ensemble de ces ordonnances, soient plus de 676 médicaments prescrits. Les experts, dont fait partie Julien Le Breton du Département universitaire d'enseignement et de recherche en médecine générale de Créteil, ont constaté qu’il y avait des contre-indications manifestes pour un tiers des maladies et un tiers des médicaments.
D’autre part, ils ont constaté que pour plus de la moitié des médicaments il y avait des risques connus d’interactions médicamenteuses. Toutefois, l’étude montre que dans 7 % seulement des cas, il existait un risque iatrogène grave, auquel peut s’ajouter le fait que pour certains spécialistes, au-delà de 3 principes actifs dans l’organisme, les effets du " cocktail " sont difficilement prévisibles.
Les experts se sont ensuite intéressés aux causes qui entraînent ces polyprescriptions. Ils en ont déterminé plusieurs : les pathologies multiples dont peut souffrir un patient - le comportement du patient qui se sent rassuré lorsque l’ordonnance est longue - la pression exercée par les visiteurs médicaux, mais aussi le manque de temps et parfois, la mauvaise communication entre médecins. "C’est d’ailleurs dans ce contexte que le dossier médical informatisé pourrait être très utile", souligne le docteur Julien Le Breton dans un entretien au Le Panorama du médecin.

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Re: Actualités concours 2012

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Répétition d'article. DslÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Dernière modification par Memo le 18 sept. 2011 17:52, modifié 1 fois.
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Re: Actualités concours 2012

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Une nouvelle mosquée à Paris pour limiter les prières de rue

Le ministre de l'intérieur, Claude Guéant, a réaffirmé, vendredi 16 septembre, la volonté du gouvernement de faire respecter l'interdiction de prier dans les rues en France, notamment à Paris et à Marseille, où de nouveaux lieux de culte ont été ouverts pour les fidèles musulmans.

Cette fin annoncée coïncide avec l'ouverture d'un nouveau lieu de culte dans une ancienne caserne du nord de Paris, boulevard Ney, dans le 18e arrondissemment. A 14 heures, elle accueillait deux mille musulmans, selon une source policière sur place. Ce nouveau lieu de culte a été créé pour accueillir les fidèles qui prient habituellement, faute de lieu approprié, dans les rues Polonceau et Myrha, dans le quartier de la Goutte-d'Or. Trois mille personnes seraient concernées.

UN ACCORD ENTRE L'ÉTAT ET LA COMMUNAUTÉ MUSULMANE

L'ouverture de cette mosquée est le fruit d'un accord entre l'Etat et les représentants de la communauté musulmane, souligne Dalil Boubakeur, le recteur de la grande mosquée de Paris. L'ancienne caserne n'accueillera pas pour l'instant de prières quotidiennes, car "il y a des améliorations à faire", constate cheik Mohamed Hamza, qui estime leur coût à "30 000 euros".

Le nouveau lieu abrite deux grandes salles de 750 m2 et 600 m2 qui peuvent être aménagées en lieu de culte en attendant la construction d'un institut des cultures d'islam, dont l'ouverture est prévue en 2013. Ce nouvel espace peut accueillir près de 2 700 personnes, selon la préfecture.

Le Conseil français du culte musulman (CFCM) estime à treize mille le nombre de places de prières disponibles à Paris, une offre qui répondrait à la moitié des besoins réels. La France compte 2,1 millions de "musulmans déclarés" de 18 à 50 ans, selon l'Institut national des études démographiques (INED)

À MARSEILLE, DES LOCAUX MAIS PAS DE MOSQUÉE

A Marseille, également concernée par les prières de rue, la préfecture des Bouches-du-Rhône a annoncé, jeudi 15 septembre, "la mise à disposition provisoire" d'un espace de 1 000 m2, près de la porte d'Aix.

Cela "devra permettre à ces associations de rechercher des solutions pérennes", a souligné la préfecture, qui juge que "toutes les conditions sont donc désormais remplies pour qu'il n'y ait plus de prières dans les rues à Marseille". Cependant, la construction d'une grande mosquée prend du retard, rappelle le quotiden La Provence.

Vendredi, bravant l'interdiction faite, quelque deux cents personnes se sont quand même installées sur la chaussée et les trottoirs de la rue Polonceau, à Paris. Tout comme à Nice et à Gennevilliers. Une résistance qui ne fâche pas le ministère de l'intérieur. Au sortir de cette journée de prière, la Place Beauvau juge l'objectif de cette interdiciton "atteint".

Jeudi soir, la présidente du Front national, Marine Le Pen, a dénoncé sur TF1 la transformation de l'ancienne caserne parisienne en lieu de culte musulman. "Je ne suis pas très satisfaite parce que je m'aperçois que l'Etat français se soumet à un véritable chantage, c'est-à-dire qu'on occupe les rues et on dit 'on occupera les rues tant que vous n'aurez pas violé la loi sur la laïcité en nous donnant un bâtiment'", a-t-elle déclaré.

Le recteur de la mosquée de la rue Myrha l'a appelée à venir dialoguer avec lui et à visiter la mosquée. "Ma porte est ouverte", a dit cheik Mohammed Salah Hamza. Selon lui, la présidente du Front National changerait "sûrement d'optique" si elle venait se rendre compte de la situation sur place. "Si elle entend ce message, qu'elle prenne contact avec moi", a-t-il dit
Le mondeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

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Une leucémie vaincue par le sida

Aux États-Unis, un homme atteint d'un cancer du sang a été guéri à l'aide d'une thérapie génique expérimentale.

Des chercheurs de l'Université de Pennsylannie ont utilisé la thérapie génique pour créer des "cellules tueuses" de leucémie. Ils ont testé ce traitement expérimental pour la première fois sur William Ludwig, un officier de police de 65 ans à la retraite originaire de Bidgeton, dans le New Jersey. Pensant "n'avoir rien à perdre", celui-ci n'a pas hésité une seconde à participer à une révolution. Carl June, à la tête de l'équipe de recherche, décrit le processus : "Nous avons prélevé près d'un milliard de ses lymphocites T (globules blancs qui participent à la défense immunitaire du corps contre le cancer du sang) puis les avons mis en contact avec un virus du sida inactivé, qui les a transformés pour combattre efficacement le cancer, et nous les avons réintroduits dans le sang du patient."


D'abord il ne s'est rien passé. Mais après dix jours "William Ludwig est devenu un biréacteur", explique Carl June. Des frissons puis des tremblements. Une température en forte hausse et une tension artérielle en chute libre. Une situation si "inquiétante" pour les médecins que la famille de l'ex-policier a été réunie à son chevet. Les chercheurs se sont rendu compte après que ces symptômes grippaux extrêmement forts, dus à la production de cytokines par les lymphocytes T, n'étaient que le signe d'une âpre bataille contre le cancer. Quelques semaines ont passé et les effets du traitement ont disparu et, avec eux, la leucémie. Plus aucune trace du cancer dans son sang ou sa moelle osseuse et les ganglions lymphatiques se sont envolés. Les chercheurs ont estimé que près d'un kilo de cellules cancéreuses avaient été tuées par le traitement.


Une avancée génétique exceptionnelle


Un an après, il est toujours impossible aux médecins d'affirmer que William Ludwig est guéri. "Il est trop tôt pour crier victoire face à la leucémie", tempère Carl June. Pour le patient, aucun doute, sa rémission est complète. "Je peux rejouer au golf alors qu'il y a un an je sortais à peine de mon lit", raconte-t-il. Deux autres patients ont suivi William Ludwig. L'un se trouve en rémission complète et l'autre a été soigné avec des stéroïdes dans un autre hôpital lors des symptômes grippaux. Ce traitement a interrompu l'effet des lymphocytes T modifiés. Bien que le virus du sida ait déjà été utilisé pour soigner d'autres maladies, c'est la première fois qu'il aide à guérir un cancer.


Ces résultats sont, pour beaucoup de médecins, qui se sont exprimés dans différentes revues scientifiques, un tournant dans le développement des thérapies géniques efficaces contre le cancer. Selon le professeur Walter J. Urba, oncologue américain, "cela fait longtemps que l'on essayait de créer des cellules capables de reconnaître le cancer, de l'attaquer et de se multiplier, mais à chaque fois, la capacité des cellules à se battre avec les tumeurs était temporaire". Il reste cependant prudent sur la généralisation de ce traitement : "Pour être valables, les résultats devront être répétés sur plus de patients et par différentes équipes de recherche."

Le pointÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

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Listeria : Carrefour rappelle deux produits fromagers

Carrefour a décidé de rappeler deux produits fromagers de tous ses magasins français et monégasques après la découverte d'une contamination à la Listeria monocytogenes ; l'une des bactéries les plus redoutables par voie alimentaire avec l'E.coli.

Il s'agit d'un assortiment de fromages commercialisés par Carrefour, avec « l'Engagement Qualité Carrefour » sous le nom de « Petit Munster fermier », produits par la Fromagerie du Pays Welche, ainsi que des lots d'« assortiments de fromages au lait cru » (parmi lesquels les munsters issus de cette même fromagerie).

Ces deux produits sont commercialisés « au rayon à la coupe dans les magasins Carrefour et Carrefour Market », a précisé le distributeur. Ces produits ont été vendus entre le 25 août et le 13 septembre. Ils ont été retirés en France et à Monaco.

Violents maux de tête
Pour le moment, aucun cas de listériose n'a été signalé à la Direction de l'action sanitaire et sociale, selon Monaco. Carrefour fait savoir qu'elle a retiré « immédiatement » ces produits et « informé les consommateurs avec des affiches installées dans les magasins concernés ».

Les femmes enceintes doivent être particulièrement attentives à ces symptômes, ainsi que les personnes immuno-déprimées et les personnes âgées. Ces symptômes peuvent évoquer une listériose, maladie qui peut être grave et dont le délai d'incubation peut aller jusqu'à huit semaines, souligne le distributeur.

Si des personnes ayant acheté et consommé ces fromages sont pris de violents maux de tête ou de fièvre, elles doivent sans attendre consulter un médecin
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

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Médecins : le malaise persiste


Soumis à toujours plus de contraintes administratives et de pratiques codifiées, critiqués pour leurs dépassements d'honoraires, s'estimant mal considérés, les médecins dépriment et s'interrogent sur l'évolution de leur métier.

Quotas, tarifs conventionnés, risques, assurances, charges, paperasserie... et changements sociologiques auront-ils raison de la vocation de notre corps médical? Pour cette profession qui fut libérale par excellence, l'intervention croissante de l'Etat et de l'assurance-maladie signe le malaise. Pas plus tard qu'en juillet dernier, une convention significative a été conclue entre les syndicats de médecins libéraux et la Cnam. Elle institue notamment un paiement à la performance pour les généralistes, qui sera ensuite étendu à certains spécialistes, et revalorise les tarifs des disciplines cliniques (pédiatrie, gynécologie, gériatrie...) qui souffraient de l'ombre des grandes spécialités techniques (chirurgie, anesthésie, etc.), mieux rémunérées. L'assurance-maladie se félicite de ce protocole, et parmi les représentants des différents syndicats signataires, les Drs Michel Chassang (CSMF), Jean-François Rey (Umespe), et François Wilthien de MG France évoquent un accord indispensable permettant une amélioration de la qualité des soins. Le conseil de l'Ordre est plus réservé, s'inquiétant de la difficulté de sa mise en application, et les syndicats de jeunes médecins estiment qu'elle ne répond pas assez à l'évolution de la pratique médicale. Quant aux praticiens, peu connaissent encore la teneur du texte qu'ils devraient bientôt recevoir.

Cette récente convention sera-t-elle le bon remède au malaise de la profession, tant celui-ci semble devoir être traité en profondeur. Ou va-t-elle au contraire renforcer le sentiment de dépendance des médecins par rapport à leur tutelle? Il n'est pas aisé de répondre aux attentes d'une profession disparate qui regroupe 264.466 praticiens, médecins de campagne, professeurs au CHU, salariés des dispensaires, internes des hôpitaux, généralistes ou spécialistes en ville, médecins du travail, libéraux ou salariés, souvent les deux à la fois, tarifs conventionnés ou libres. Une véritable armée des Indes qui ne semble plus avoir en commun qu'un long cursus d'études, le serment d'Hippocrate et la vocation affirmée de soigner.

«Mais aussi une lassitude grandissante face aux lourdeurs administratives, que ce soit en exercice libéral ou hospitalier, soupire le Dr André Deseur, du conseil de l'Ordre. Le sentiment profond de perdre sa liberté d'exercice et d'être au service d'un système administratif au détriment de la qualité des soins.»

Le salariat a la cote chez les jeunes
A cela s'ajoute un vrai bouleversement générationnel entre médecin d'aujourd'hui, encore majoritaire, et médecin de demain. Le premier, qu'il soit généraliste ou spécialiste, est un homme âgé de plus de 50 ans, attaché au mode d'exercice libéral, à son indépendance et à la relation intuitu personae entretenue avec son patient, qui lui permet de bien le connaître et de le suivre. Il ne ménage pas son temps, ne compte pas ses heures de travail, pas toujours compatibles avec une vie de famille. Ses revenus restent honorables, malgré une grille tarifaire imposée par la Sécurité sociale, parce qu'il multiplie les actes ou, pour les «secteurs 2», parce qu'il pratique des dépassements d'honoraires. Les charges de son cabinet représentent près de la moitié de ses revenus et les tâches administratives, une grande partie de son temps de travail ou de ses loisirs. Privilégiant son rapport avec le patient, il perçoit la Sécurité sociale non comme un organisme payeur, mais comme un persécuteur.

La jeune génération a des aspirations bien différentes. Elle estime que le paiement à l'acte est sous-évalué, la profession moins reconnue et elle n'entend pas sacrifier sa qualité de vie. Elle se tourne vers les disciplines les moins pénibles, les moins stressantes et opte pour le salariat. Parmi les nouveaux inscrits, 70 % ont choisi d'exercer leur activité en tant que médecin salarié et seulement 9,4 % en libéral.

«L'exercice libéral est aléatoire, explique Alexandre Husson, du Syndicat des jeunes médecins généralistes. Il faut cumuler les heures et multiplier les actes pour atteindre une rémunération décente, en rapport avec nos années d'études. Qui plus est, on est seul et sans sécurité. Etre salarié d'une clinique près de Paris procure une rémunération mensuelle de 5000 euros, sans les gardes et avec des congés payés.»

Priorité à la vie de famille chez les jeunes
Le rapport «temps passé-rémunération », la sécurité des droits sociaux (congé maladie, maternité, retraite...) donnent un net avantage au salariat. Un argument d'autant plus décisif que la profession se féminise. Le pourcentage de doctoresses augmente de 1 % chaque année. Elles comptent pour 41 % des effectifs aujourd'hui. Dans neuf ans, le seuil des 50 % sera atteint. Et leur profil est bien distinct. Selon une étude de la sociologue Anne-Chantal Hardy, la femme médecin est issue d'une famille de fonctionnaires ou d'un milieu intellectuel. Elle est mariée à un cadre supérieur dans un groupe citadin et sa rémunération est un deuxième revenu pour le foyer. Elle donne priorité à sa vie de famille et n'a aucune intention de s'exiler en milieu rural et d'éloigner ses enfants des facilités de la vie en ville.

Autre phénomène significatif de cette évolution, le nombre de médecins remplaçants s'élève aujourd'hui à 9903 médecins. Nombreux sont ceux qui refusent de poser leur plaque. De fait, ce stade autrefois transitoire entre le diplôme et l'installation est devenu un statut à part entière. «Et un statut intéressant, reconnaît le Dr Bertrand Demangeon. Je travaille quand je veux, j'ai toujours des offres et l'on me rétrocède 80 % d'honoraires, voire 100% alors qu'il y a quelques années, c'était 50%. Je ne suis pas pieds et poings liés avec un cabinet, sans pouvoir prendre de congés lorsque je le souhaite. Evidemment, pour la patientèle, un remplaçant, c'est un jeune médecin qui sort de la fac. Or je remplace des médecins plus jeunes que moi.»

Mais au-delà de l'exercice libéral, que tous ne veulent pas délaisser, les jeunes médecins formés au sein de staffs à l'hôpital veulent partager savoir et responsabilités pour le bien du malade. «Pour la nouvelle génération, l'exercice libéral n'offre pas les moyens de travailler en équipe, poursuit Alexandre Husson. Les pathologies et leurs traitements sont de plus en plus complexes. Il y a un besoin d'échange et de concertation, mais aussi d'installations techniques.»

L'exercice libéral «méconnu»
Un argument que conteste le Dr Gérard Ganem, cancérologue et libéral. Il a quitté Paris, l'APHP et une brillante carrière universitaire pour rejoindre, en tant que médecin associé, une clinique privée au Mans où il a emménagé avec sa famille. «Nous avons créé un centre de cancérologie. La capacité d'accueil de la clinique est passée de 900 patients par an, à mon arrivée, à 2300 aujourd'hui. Tout repose sur le travail d'équipe et à onzemédecins nous mettons à la disposition de notre patientèle un service complet et efficace, ce que nous n'aurions pas pu faire au sein de l'hospitalisation publique.»

Et de se féliciter d'une vie de famille préservée grâce à une bonne organisation, d'une rémunération satisfaisante, et d'une qualité de vie en province bien meilleure qu'à Paris.

«Les jeunes médecins ont une méconnaissance complète de l'exercice libéral dont ils redoutent la gestion comptable et administrative, explique Claude Le Pen, économiste de la santé. La médecine libérale, traditionnellement assimilée à l'autonomie, à l'indépendance vis-à-vis de la tutelle et de la clientèle, n'est plus une valeur essentielle pour eux. L'indépendance, aujourd'hui, pourrait même devenir une marque de mauvaise qualité de soins.»

En effet, l'excellence médicale repose désormais sur des protocoles, des évaluations, des formations continues. Les jeunes médecins y adhèrent pleinement. Les plus anciens traînent des pieds mais suivent tout en protestant contre des pratiques de plus en plus codifiées et organisées.Il leur faut admettre que le patient ne leur "appartient" plus, il est partagé entre plusieurs praticiens, l'assurance-maladie, les associations de malades.« Le modèle économique évolue, poursuit Claude Le Pen, le médecin dépend de l'assurance-maladie à qui il doit rendre des comptes, plus que de ses patients. Il n'est plus libre de ses prescriptions, et même le secret médical est remis en cause avec l'informatisation des cabinets et le dossier partagé.»

La médecine libérale a-t-elle encore un avenir? Sous une autre forme relativise le Pr Guy Vallancien, cancérologue: «Une autre médecine se dessine, moins artisanale, plus industrialisée. Le médecin de demain ne sera pas moins performant. Bien au contraire. Il va travailler en équipe dans des maisons de santé et s'il y a une réelle réforme de la hiérarchie et de la tarification des actes, il n'aura plus à s'user à les multiplier pour s'assurer des revenus corrects. Il pourra déléguer les gestes techniques à des assistants médicaux. Il n'est pas besoin de dix années d'études pour vacciner, effectuer un électrocardiogramme ou un scanner. De fait, il pourra reprendre du temps pour se consacrer à l'écoute du patient, au diagnostic et prodiguer un avis d'expert.»

Et répondre ainsi au déficit d'humanisme constaté et reproché au corps médical par de nombreux patients. Plus que les exploits et la surabondance de technicité, le patient attend d'être écouté et rassuré. Un désir légitime, qui fait partie intégrante des soins et de l'intuitu personae qui le lie à son médecin.

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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Arrêter de fumer améliore les performances sexuelles

Une étude médicale américaine montre que les hommes qui arrêtent de fumer voient tout de suite des progrès au lit.

Le Viagra n'est pas le seul moyen de régler les problèmes d'érection. Il y a bien plus simple et bien moins cher: arrêter de fumer. D'après une étude menée par des chercheurs américains, les hommes qui abandonnent la cigarette ont eu une amélioration immédiate de leurs performances sexuelles. Les bénéfices ne durent en revanche pas pour ceux qui rechutent.

Les deux scientifiques ont recruté 65 volontaires dont 20% avaient avoué avoir des problèmes d'impuissance et les ont fait participer à un programme de sevrage de huit semaines avec des patchs à la nicotine. Avant l'expérience, à mi-parcours et quelques semaines après la fin du sevrage, les hommes ont été soumis à des séances de mesures précises avec un appareil appelé un pléthysmographe pénien pendant qu'ils regardaient des films érotiques.

La nicotine est coupable
Au terme de l'étude, seuls 20 participants n'avaient pas rallumé une seule cigarette, alors que les 45 autres avaient recommencé à fumer. Et pour ces 20 cobayes, les scientifiques ont mesuré des progrès très notables sur l'importance de l'érection. Avec le sevrage, le temps qu'ils ont mis pour être excités (mais pas pour atteindre l'orgasme) a aussi été réduit. En revanche, ces bénéfices n'ont été mesurés qu'après le retrait des patchs à la nicotine, ce qui prouve bien que c'est ce dernier produit qui entrave les performances sexuelles.

Mieux, trois quarts de ceux qui avaient déclaré avoir des dysfonctionnements érectiles avant l'expérience ont affirmé ne plus en avoir après l'arrêt du tabac.

L'impact du tabac sur les performances des hommes au lit est connu depuis longtemps, du fait des effets néfastes de la nicotine sur le système cardiovasculaire qui altèrent la vascularisation dans tout l'organisme, y compris dans cette extrémité si importante du corps masculin. Cette récente étude publiée dans le British Journal of Urology International souligne pour la première fois que les bénéfices sont immédiats pour ceux qui arrêtent de prendre de la nicotine.

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Re: Actualités concours 2012

Message par Siaana »

Essayez de lire les actualités précédentes avant de poster pour éviter de faire doublon :clin: Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Ok!! Merci Siaana!!!!!!

Roselyne Bachelot dresse un premier bilan "encourageant" de la lutte antifraude aux allocations

La ministre des solidarités Roselyne Bachelot a dressé vendredi 16 septembre à Nice un premier bilan aux "résultats encourageants" concernant la "coopération renforcée" en matière de lutte antifraude aux prestations familiales, expérimentée depuis avril dans quatorze départements. "Globalement, le taux de détection de fraudes serait sensiblement supérieur au taux moyen de 5 % constaté en 2010 pour les 260 000 contrôles engagés par les Caisses d'allocations familiales [CAF]", a-t-elle précisé.

Pour renforcer l'efficacité des ces contrôles, la ministre veut notamment que les CAF et les conseils généraux, qui suivent les bénéficiaires du RSA, "s'informent mutuellement" par le biais de "fichiers partagés". Roselyne Bachelot a ajouté qu'elle souhaitait "que les départements des Alpes-Maritimes et du Maine-et-Loire soient associés dès maintenant à la phase pilote d'élargissement aux collectivités territoriales de l'accès au Répertoire national commun de la protection sociale [RNCPS]".

Ce "fichier interbranches et interrégimes" des assurés sociaux et bénéficiaires de la Sécurité sociale a "vocation à regrouper l'ensemble des prestations servies aux assurés sociaux par 94 institutions au niveau national", a-t-elle expliqué. Il doit être ouvert progressivement aux collectivités territoriales à compter de janvier 2012.

Le président (UMP) du conseil général des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, a tiré, lui aussi, un "bilan très positif" de la brigade antifraude au RSA qu'il a mise en place durant l'été dans son département. Les versements de "600 000 euros indus ont été détectés", et les sommes, "récupérées", a-t-il précisé, espérant ainsi parvenir aux "3,5 millions d'euros d'économies prévues sur un an". La Cour des comptes a évalué à 4 % le montant des fraudes au RSA au niveau national.

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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Le "papy-boom" assure l’avenir des maisons de retraite

La demi-douzaine de grands groupes privés qui dominent le secteur des maisons de retraite a dégagé de forts bénéfices au premier semestre. Les taux d’occupation de leurs établissements sont très élevés. Ils ne cachent pas leur optimisme, malgré des tarifs prohibitifs, alors que la conjoncture a rendu prudentes nombre d’entreprises. Le séjour moyen dans une institution privée coûte 2.100 € par mois, avec des écarts entre Paris et la province, selon le groupe Orpéa. Le revenu mensuel d’une personne âgée de plus de 65 ans est de 1.250 €. « Les perspectives de croissance du secteur sont déjà sécurisées pour les prochaines années en raison de l’explosion prévue de la démographie », explique Florence Arnaiz-Maumé, déléguée générale du Synerpa, le syndicat des maisons de retraite privées. Les maisons de retraite privées représentent 20 % des lits en France, contre 55 % pour le public et 25 % pour l’associatif, soit 110.000 lits sur 540.000 au total, selon les chiffres officiels

Champ libre au secteur privé
Pour le Synerpa, le secteur commercial devrait gagner des parts de marché dans les prochaines années, étant donné que l’offre publique va diminuer et que le secteur associatif a du mal à se financer. Selon les projections officielles, la France comptera 1,4 million de personnes âgées en perte d’autonomie en 2040. Ce chiffre devrait être porté à 4,5 millions en 2050, selon le Synerpa. Pour accueillir cette génération, on estime qu’il faut créer et réhabiliter entre 20.000 et 70.000 lits supplémentaires, ce qui représente un investissement de 4 à 7 milliards d’euros, sans compter le prix du terrain. Nombre de spécialistes du secteur doutent que l’Etat ait les moyens de le faire au moment où il est engagé dans une politique de rigueur, ce qui devrait laisser le champ libre au secteur privé. Seule ombre : l’Etat envisage de réformer le financement de la dépendance. Actuellement, le secteur privé bénéficie de dotations publiques : les départements versent une allocation de dépendance, la Sécurité sociale finance les soins

France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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