Actualités 2012

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Re: Actualités concours 2012

Message par debella »

Santé : Le Sénat oblige la déclaration des liens d'intérêt

Les responsables et experts d'autorités sanitaires vont devoir déclarer leurs liens avec l'industrie pharmaceutique. Le Sénat l'a voté mercredi.


Voilà quelques semaines, les sénateurs avaient évoqué ce dossier. Ils souhaitaient durcir la décision des députés. Mercredi, ils ont voté lors de la discussion du projet de loi sur le contrôle des médicaments. C'est donc officiel. Les responsables et experts d'autorités sanitaires auront désormais l'obligation de déclarer leurs liens avec l'industrie pharmaceutique. En clair, ils seront tenus de déposer, et d'actualiser, une déclaration publique d'intérêts, notant leurs liens avec l'industrie pharmaceutique dans les cinq dernières années. Ils ne pourront siéger dans les instances dont ils sont membres lorsque le débat portera sur les entreprises avec lesquelles ils sont liés.

Le Sénat, à majorité de gauche, a approuvé ces dispositions déjà votées par les députés, mais a en outre interdit tout lien d'intérêt à quatre dirigeants d'organismes de la santé: la Haute autorité de santé, l'Agence de sécurité sanitaire, l'Institut de la recherche médicale (Inserm) et l'Institut national du cancer. En revanche, les sénateurs ne sont pas allés jusqu'à interdire tout lien d'intérêts aux experts. Les communistes ont retiré un amendement en ce sens devant l'opposition conjuguée du ministre de la Santé Xavier Bertrand et du rapporteur socialiste de la commission des Affaires sociales, Bernard Cazeau.

Des déclarations remises à une autorité administrative unique

« Interdire aux experts d'avoir aucun lien serait se priver de compétences » a expliqué Cazeau, un argument développé aussi par Bertrand. En revanche, un autre amendement communiste a été adopté, demandant au gouvernement de remettre avant le 30 juin un rapport sur la création d'un corps d'experts publics de la santé. Les sénateurs ne pouvaient pas directement voter cette création car la Constitution interdit au Parlement de voter des dépenses nouvelles sans recettes correspondantes.

Enfin, le Sénat a décidé que les déclarations publiques d'intérêts devaient être remises à une autorité administrative unique, et non, comme le prévoit le texte des députés, aux différents ministères et instances dont ils relèvent.


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Comment les industriels du tabac se "sucrent" !

Fidéliser un maximum de nouveaux fumeurs et engranger beaucoup de bénéfices : les cigarettiers jouent et gagnent sur tous les tableaux.


Les fabricants ajoutent du sucre et des arômes pour adoucir le goût du tabac et ainsi attirer de nouveaux consommateurs. © Nicolas Chauveau / Sipa

Des cigarettes "bonbons" aux cigarillos desserts, tout est bon pour séduire de nouveaux consommateurs, notamment les femmes et les jeunes. C'est ce que prouve le mensuel 60 millions de consommateurs, qui publie, dans son numéro de novembre, les résultats d'un test réalisé par l'Institut national de la consommation (INC) en partenariat avec le Comité national contre le tabagisme (CNCT). Pour arriver à cette conclusion, les experts ont analysé en laboratoire la composition de vingt produits aromatisés, des cigarettes, des tabacs à rouler, à pipe et à narguilé, des cigarillos et des papiers à rouler. Résultats pour le moins inquiétant : près de 10 % de sucres dans un tabac à rouler et des cigarillos fortement aromatisés à la vanille.

C'est pour adoucir le goût du tabac et ainsi attirer et fidéliser de nouveaux consommateurs que les fabricants ajoutent du sucre et des arômes dans leurs produits en toute opacité, puisque la composition ne figure pas sur les paquets. Et ce comportement n'est pas attaquable puisqu'ils respectent le décret du 30 décembre 2009 qui interdit l'ajout d'édulcorants et limite la teneur en arômes de vanille et éthylvanilline dans les cigarettes. Or la dose maximale fixée ne correspond pas à un seuil sanitaire et malheureusement ce décret n'interdit pas aux fabricants de tabac de continuer à vanter les arômes de confiserie de leurs divers produits (vanille, pomme, chocolat, barbe à papa...). D'ailleurs, le flou persiste quant aux autres arômes utilisés.

Tueurs-payeurs

De plus, précise l'INC, "les autres produits du tabac ne sont pas concernés par la réglementation. Or l'étude a mis en évidence pour certains cigarillos des taux de vanilline et d'éthylvanilline jusqu'à 10 fois supérieurs à ce qui est autorisé pour les cigarettes." De même, les édulcorants sont interdits sur la manchette (papier entourant le filtre) des cigarettes, mais pas sur le papier pour le tabac à rouler. De fait, la présence de saccharinate de sodium a été notée sur l'un des deux papiers à rouler analysés. Le mensuel 60 millions de consommateurs et le CNCT regrettent que les consommateurs soient "mieux informés sur la composition d'un yaourt que sur celle d'un produit aussi nocif que le tabac". Ils demandent que la réglementation concerne l'ensemble des produits du tabac, que l'interdiction des arômes soit étendue et que l'étiquetage soit transparent.

Dans le même temps, la Ligue contre le cancer vient de lancer une nouvelle campagne choc contre les industriels du tabac. Son titre : "Tueurs-payeurs", pour répondre au principe du "pollueur-payeur". Sur son site, deux compteurs tournent en permanence : celui du nombre de morts liées au tabac depuis le 1er janvier dernier et celui des profits de l'industrie du tabac, dont la vitesse de progression est effrayante. Globalement, précise la Ligue, 15 000 personnes sont tuées dans le monde chaque jour par le tabac. 900 millions de dollars de chiffre d'affaires sont réalisés, toujours quotidiennement, par les quatre principales industries du tabac. "Dites stop ! L'industrie du tabac doit payer, insiste-t-elle. Et exigez de nos dirigeants politiques la mise en place d'un prélèvement direct et obligatoire sur les bénéfices de ces sociétés." C'est pourquoi la pétition "tueurs-payeurs" est à la disposition des internautes. L'idée est de récolter un maximum de signatures qui seront remises aux décideurs internationaux lors du prochain sommet du G20, les 3 et 4 novembre à Cannes.

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Les "sans-viandes" de tous bords mènent la bataille des cantines scolaires


Plusieurs associations ont manifesté, mercredi, pour demander l'abrogation d'un décret rendant obligatoire la présence de produits d'origine animale dans les repas servis dans les cantines scolaires.AFP

Plusieurs associations, dont celle de protection des animaux L214 et l'Initiative citoyenne pour les droits des végétariens, ont organisé, mercredi 26 octobre, un rassemblement devant la Direction générale de l'alimentation (DGAL) du ministère de l'agriculture pour protester contre le décret et l'arrêté du gouvernement sur les règles nutritionnelles dans le cadre de la restauration scolaire, publiés au Journal officiel du 2 septembre.
La manifestation n'a rassemblé qu'un petit nombre de personnes, mais les associations sont convaincues de pouvoir compter sur un important soutien national et international. "Nous n'étions pas très nombreux au rassemblement du 26 octobre, reconnaît Brigitte Gothière, porte-parole de L214. Mais il faut dire que nous sommes retrouvés à Paris, en pleine semaine et en période de vacances."

Les textes à l'origine de cette mobilisation rendent obligatoire la présence de produits d'origine animale dans chaque repas proposé, qui doit ainsi comporter un "plat protidique", dont les protéines sont d'origine animale (viande, poisson, œuf ou fromage), ainsi qu'un produit laitier pour couvrir les besoins en calcium. Ils précisent également à quelle fréquence minimum certaines viandes et poisson doivent figurer au menu. Déjà en vigueur dans les structures servant plus de 80 couverts par jour, cette réglementation devrait entrer en application dans les établissements plus petits à compter du 1er septembre 2012. Les associations mobilisées contre le projet sont cependant en train de préparer un recours en annulation devant le Conseil d'Etat.

MODÈLE ALIMENTAIRE

Certains élus n'ont pas hésité pas à monter au créneau contre cette nouvelle réglementation, à l'instar des écologistes Sylvain de Smet, conseiller régional du Val-d'Oise et Annie Pournisoff, députée des Yvelines, présents mercredi. S'il n'a pu assister au rassemblement, le maire (EELV) du 2e arrondissement de Paris, Jacques Boutault, a réaffirmé au Monde.fr son soutien à la demande d'abrogation des textes, qui ne correspondent selon lui à "aucune nécessité sanitaire et de santé".

Pour les associations et les édiles qui demandent l'abrogation de ce décret et de cet arrêté, le ministère "impose un modèle alimentaire". "Il n'est pas normal que le gouvernement interdise aux mairies de proposer des menus végétariens, comme le font Strasbourg et Marseille", estime Brigitte Gothière. M. Boutault dénonce quant à lui, sur son blog, un système "privilégiant l'élevage animal coûteux en terme d'empreinte écologique, au détriment d'une agriculture tout aussi riche en éléments nutritionnels, mais plus respectueuse de l'environnement".

Si le décret en l'état ne prohibe pas de servir un repas végétarien hebdomadaire, il ne permet pas aux structures de restauration collective d'en servir plusieurs sur la semaine, explique l'élu. "Nous avions pour objectif de proposer sur la semaine [dans les cantines du 2e arrondissement de Paris] plusieurs alternatives végétariennes aux repas carnés, dont les apports nutritionnels seraient contrôlés par une diététicienne. Un projet rendu impossible par ces nouveaux textes." Par ailleurs, bien que minoritaires, les élèves soumis à un régime végétalien – qui exclut tout produit d'origine animal – se voient doublement pénalisés par ces dispositions, ajoute M. Boutault.

"LIBERTÉ DE CONSCIENCE"

Pourtant, "de plus en plus de parents souhaitent que leur enfants mangent moins de viande", explique l'édile. Et d'évoquer les différentes motivations mises en avant par ses administrés : le gaspillage des ressources en eau et la forte émission de CO2 liées à l'élevage. "Cela concourt d'une prise de conscience globale", estime-t-il.

Mais les associations écologistes, végétariennes et des protections des animaux n'étaient pas les seules à protester ce mercredi. Car dans l'argument de la "liberté de conscience" mise en avant par celles-ci, il est aussi question des restrictions alimentaires d'ordre religieuses. Le Collectif contre l'islamophobie en France, qui a ainsi relayé l'appel à manifester, était représenté lors de ce rassemblement.

Ces dernières semaines, les médias, comme SaphirNews (un site d'informations sur le fait musulman) ou Le Parisien, se sont fait l'écho de plaintes de parents dont les enfants ont été contraints à manger de la viande ou se passer de plat de résistance, faute de repas de substitution. Une problématique confessionnelle à laquelle sont fréquemment confrontés les élus, explique Jacques Boutault. Et de prendre l'exemple d'un lycée professionnel de son arrondissement où une majorité d'élèves mangent halal ou casher. "Il est impossible pour les restaurants collectifs de remplir toutes ces contraintes alimentaires. Or, les repas végétariens sont adaptés à cette population, souligne-t-il. De fait, proposer des plats sur la base de ce régime offre une solution laïque et œcuménique au problème. Cela éviterait que les jours où l'établissement ne sert pas de poisson, ces élèves soient obligés de grignoter parce qu'ils n'ont pas pu manger suffisamment le midi."

A la suite du rassemblement de mercredi, Brigitte Gothière et une délégation des représentants des autres associations présentes ont été reçues par le directeur général adjoint de la DGAL, Jean-Luc Angot. "Le ministère nous a expliqué qu'il s'agit avant tout d'une question d'interprétation de ces textes, explique la responsable de L214. On nous a assuré de la rédaction prochaine d'une note de service pour faire remonter nos griefs." Il devrait notamment être question des modalités de contrôle de l'application de ces textes. "Nous espérons du concret, précise Mme Gothière. La DGAL a pris nos coordonnées."

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Ni putes ni soumises reste dans l'impasse

En dépit des annonces du trésorier de l'association, la grève démarrée il y a deux semaines devrait se poursuivre jeudi. Les employés réclament toujours la démission de la présidente, Sihem Habchi.

«Aucun accord n'a été trouvé, nous allons poursuivre notre action demain.» Une gréviste de Ni putes ni soumises (NPNS) a tenu à remettre les choses au clair auprès du figaro.fr. Le trésorier de l'association Jean-Marie Heussner avait en effet affirmé un peu plus tôt sur notre site que les huit employés en grève, sur les neufs que compte l'association, allaient cesser leur mouvement «normalement dès demain» (jeudi). La veille, les dirigeants et les militants s'étaient rencontrés lors d'un conseil d'administration extraordinaire afin de trouver une sortie à la crise qui les paralyse depuis deux semaines. A l'origine de cette fronde, un mail anonyme envoyé le 13 octobre par «HarryPotter85202» aux militants de NPNS et à des partenaires associatifs qui pilonne littéralement Sihem Habchi, la présidente du mouvement.

Le titre de cette missive électronique, que s'est procurée Le Nouvel Observateur, a le mérite d'être clair : «Sihem Habchi tue Ni putes Ni soumises». La liste des reproches est longue. En premier lieu, la présidente aurait trahi l'indépendance du mouvement de par ses engagements politiques pris «sans consultation» des autres membres du mouvement. Son récent soutien à Arnaud Montebourg lors de la primaire socialiste et sa présence aux côtés d'Eric Besson, lorsqu'il était ministre de l'Immigration, pour une mission pédagogique contre le port de la burqua, n'ont pas plu à tout le monde.

L'autre accusation porte sur des dépenses personnelles que la présidente aurait fait passer sur le compte de l'association. Des chiffres précis sont avancés, comme des «notes de taxis scandaleuses de 3000 euros par mois», ou encore des factures téléphoniques à hauteur de «800 euros, parfois pour un seul mois». Sont aussi montrés du doigt l'arrivée de deux de ses sœurs au conseil d'administration et les 20.000 euros facturés par son compagnon pour la refonte du site internet de l'association alors qu'aucun appel d'offre n'a été lancé. «Ces accusations n'ont aucun sens, nos comptes sont contrôlés régulièrement», assure toutefois le trésorier, Jean-Marie Heussner.

Sihem Habchi dénonce une démarche « courageusement anonyme »
Exerçant son droit de réponse après l'enquête du Nouvel Observateur , Sihem Habchi a dénoncé une démarche «courageusement anonyme». «Ce mail grossièrement calomnieux et diffamatoire constitue une énième tentative de déstabiliser, au-delà de ma personne, l'association Ni putes Ni soumises». Celle qui a succédé à Fadela Amara en 2007, après que cette dernière est entrée au gouvernement, a aussi déclaré disposer de «faibles ressources» avant de préciser que «les comptes de l'association sont réalisés par un cabinet d'expert-comptable, validés par un commissaire au compte et soumis à l'approbation du Conseil d'administration et de l'assemblée générale.»

Malgré ses déclarations, Sihem Habchi est encore loin de faire l'unanimité chez les employés qui font de sa démission une condition sine qua non à l'arrêt de la grève. Lors du conseil d'administration réuni en urgence mardi soir, il a été décidé qu'une directrice générale devrait être prochainement nommée afin de servir d'intermédiaire entre les salariés et la présidente. Fanny Derenne, qui coordonne actuellement le mouvement, pourrait obtenir ce poste. Quant aux prochaines élections, qui se tiendront en décembre, «Sihem Habchi a déjà décidé si elle se représentera ou non», a précisé le trésorier de NPNS, sans en dévoiler davantage. De toute évidence, les grévistes ne semblent pas prêts à patienter jusqu'au vote.

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Message par debella »

Un tiers des SDF parisiens atteints de troubles psychiatriques sévères

Selon une étude, un tiers des sans-abri d'Ile-de-France souffrent au moins d'une addiction (alcool, drogues, médicaments).


Un tiers des personnes sans domicile en Ile-de-France sont atteintes d'un trouble psychiatrique sévère, et près d'un tiers souffrent au moins d'une addiction (alcool, drogues, médicaments) selon une étude de l'Inserm et de l'Observatoire du Samu social de Paris, rendue publique mercredi. L'étude Samenta (Santé mentale et addictions chez les personnes sans logement d'Ile-de-France), réalisée à la demande de la préfecture de police et de la ville de Paris, révèle notamment que "31 % des sans-domicile souffrent de troubles psychiatriques sévères", a expliqué Pierre Chauvin, directeur de recherche à l'Inserm, lors d'une conférence de presse.

Parmi eux, 13,2 % souffrent de troubles psychotiques, dont notamment de schizophrénie (8,4 %) et de troubles délirants persistants (3,5 %). Les autres souffrent de troubles sévères de l'humeur, notamment la dépression (6,7 %), et de troubles anxieux (12,2 %), révèle l'étude initiée en 2009, et portant sur un échantillon de 840 personnes. Ces cas de maladies mentales sont "infiniment plus nombreux et plus fréquents que dans la population générale", note Pierre Chauvin, soulignant par exemple que seulement 1 à 2 % de la population générale est atteinte de troubles psychotiques.

Risque suicidaire cinq fois plus élevé

De même, le risque suicidaire est cinq fois plus élevé chez la population sans domicile francilienne (21,8 %) que dans la population générale (4 %). L'enquête montre également que près d'une personne sur trois (28,5 %) souffre au moins d'une addiction, notamment à l'alcool (21 %) ou au cannabis (16 %). Une fréquence trois à cinq fois plus importante que dans la population générale. Mais "toutes les personnes sans logement ne sont pas atteintes de troubles mentaux. C'est une population infiniment plus diverse", insiste Pierre Chauvin, qui distingue notamment "les troubles psychologiques graves, préalables à la perte du logement", et les troubles dépressifs, qui sont plus "une conséquence de la vie sans logement".

Pour des questions de méthodologie, l'étude a porté uniquement sur la population sans logis d'Ile-de-France, francophone et adulte, et ayant dormi au moins une nuit dans une structure d'hébergement d'urgence, (centre d'hébergement, hôtel social, etc.), au cours des cinq dernières nuits précédant l'enquête. L'étude estime cette population à environ 21 176 personnes.

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Message par debella »

Alzheimer. «Que le cas de Michel fasse école»

L'analyse ADN ne sera finalement pas nécessaire. L'examen dentaire a permis d'identifier le corps retrouvé dimanche dans la région nantaise. Il s'agit bien de Michel Hervé, cet homme âgé de 63 ans atteint de la maladie d'Alzheimer, qui avait disparu de son domicile de Saint-Herblain (44) le 15février dernier. Sa famille morbihannaise «espère que son cas fera école».

Quel sentiment prédomine chez vous ce soir (hier soir)?
La tristesse, bien sûr, mais aussi le soulagement de pouvoir enfin commencer à faire notre deuil. On regrette que les autorités ne nous aient pas écoutées plus tôt. Elles ont d'abord considéré son cas comme une fugue et pas comme une disparition. Il a fallu prouver que Michel était malade et qu'il n'était pas en possession de tous ses moyens.

Quels enseignements faut-il retirer de son cas?
En cas de disparition d'une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer, il faut lancer immédiatement un avis de recherche. Si on avait pu diffuser un appel à témoins pour Michel, on n'en serait peut-être pas là. Les enquêteurs reconnaissent eux-mêmes que les trois premiers jours sont déterminants.

Quel bilan faites-vous de ces huit mois de mobilisation?
On a réussi à maintenir la mobilisation à travers des rassemblements et grâce aux réseaux sociaux. On a eu plus d'un millier de sympathisants sur notre site internet et nous avons répertorié une cinquantaine de témoignages de personnes qui ont vu ou cru voir Michel...

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Re: Actualités concours 2012

Message par debella »

Les sectes prolifèrent dans le domaine de la santé

Voté pour lutter contre les dérives sectaires, le texte avait suscité bien des interrogations quant à son application. Mais dix ans plus tard, la loi dite «About-Picard», qui institue un abus de faiblesse dû à une emprise mentale, est bel et bien perçue comme un outil juridique efficace. Ses dispositions ont débouché à ce jour sur trente-cinq condamnations et sur une centaine d'affaires à l'instruction.

Un nombre qui peut paraître insuffisant mais qui satisfait Catherine Picard, présidente de l'Unadfi, association qui lutte contre les mouvements sectaires. «Ce texte a trouvé son rythme de croisière», selon elle, même si pour certains son application se heurte à des délais de prescription trop courts. Trois ans, comme c'est le cas habituellement en matière délictuelle. D'anciennes victimes font en effet valoir que, même libérées de leur bourreau, l'emprise subie les empêche de déposer plainte durant des années. Cependant, pour Hervé Machi, secrétaire général de la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires), il n'y a pas lieu de changer le texte. «Selon la jurisprudence, le délai de prescription court à compter de la dernière infraction», dit-il. Ce qui laisse du temps aux anciens membres de sectes pour réagir.

«Décodage biologique»
Dix ans plus tard, l'arsenal juridique pour combattre les gourous de tout poil, globalement suffisant, devrait néanmoins être complété par des interdictions précises, selon le président de la Miviludes, Georges Fenech. «Il faudrait prohiber certaines pratiques charlatanesques et dangereuses», dit-il. Parmi elles, «le décodage biologique», une pseudothérapie qui a notamment empêché des personnes atteintes de cancer de recevoir les soins adaptés. D'ailleurs, c'est dans le domaine de la santé que les dérives sectaires prolifèrent particulièrement aujourd'hui selon Philippe Vuilque, député des Ardennes et président du groupe d'études sur les sectes à l'Assemblée nationale.

Lors de la prochaine législature, ce dernier compte demander la création d'une commission d'enquête sur les sectes et la santé publique. «À côté des mouvements connus, il existe aujourd'hui nombre de petites organisations disséminées et à l'origine de terribles drames», dit-il. Dans les prochains jours, la Direction générale de la santé devrait rendre public un document à vocation informative et donc préventive. Il s'agit de la liste des pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique assorties pour chacune d'elles d'une appréciation.

Un autre domaine est aussi préoccupant. Il s'agit de la formation professionnelle, un secteur juteux et qui porte sur 25 milliards d'euros chaque année. Par le biais des formations comportementalistes (prônant le développement personnel), des groupes inquiétants s'y sont engouffrés. «10% de ces organismes sont des faux nez de sectes», rappelle Georges Fenech. Par ailleurs, la Miviludes a signé le 13 octobre dernier une convention avec Pôle emploi en vue de sensibiliser ses salariés. À ce jour, nombre de postes proposés exposent les candidats intéressés à de réels risques sectaires.

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Message par debella »

153 élèves de l'Immaculée dans leurs baskets, contre la maladie - Saint-Hilaire-du-Harcouët

« Mets tes baskets et bats la maladie. » Au collège Immaculée- Conception, ce n'est pas une vaine phrase. Tous s'impliquent et s'investissent. Ce qu'ils ont fait une nouvelle fois vendredi dernier.

Une fois terminé la dictée d'Ela, l'association qui lutte contre les maladies rares comme les leucodystrophies, tous n'avaient qu'une idée en tête : « Je respire, je viens courir », chaussant tout de suite leurs baskets pour rejoindre le stade de Saint-Hilaire.

Expliquant qu'ils sont partenaires de l'association Ela, Bertrand Savary, professeur d'EPS indique que ce cross a un double objectif, puisqu'il est aussi en lien avec la semaine nationale du cross : « Les élèves courent par classe. À l'issue du classement individuel, les six premiers de chaque classe vont être qualifiés pour le cross départemental prévu le 9 novembre à Coutances. » La meilleure classe pour chaque niveau s'est vue récompensée d'un trophée, tout comme la meilleure classe du collège, la cinquième B.

La mobilisation pour Ela représente « une journée importante pour nos élèves », observe l'un des professeurs, Ludovic Belliard. Les élèves sont sensibilisés à l'existence des leucodystrophies par leurs professeurs, grâce à un matériel fourni par Ela. « Ils participent à un événement, le plus souvent sportif, où ils prêtent leurs jambes à leurs camarades qui ne peuvent plus s'en servir. Comme cet après-midi. »

Avant cela, les élèves ont délivré le message de solidarité d'ELA à leur entourage et cherché des parrains qui acceptent de sponsoriser leur effort sportif. « Une action qui porte ses fruits. L'an dernier, cela avait permis de reverser environ 700 €, cette année on pense atteindre les 1 000 €. »

Depuis la création de la campagne en 1994, plus de 2,9 millions d'élèves se sont mobilisés. Ceux du collège Immaculée Conception, sont de ceux-là.

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Re: Actualités concours 2012

Message par debella »

Sida : le dépistage généralisé n'est pas efficace

Une étude montre qu'il serait préférable de concentrer les efforts de dépistage sur les populations à risque.
En 2010, le ministère de la Santé, le Conseil national du sida et la Haute autorité de santé avaient fait des recommandations afin que toute personne recourant à un médecin se voie proposer régulièrement un test de dépistage du sida, dans l'objectif d'identifier et de traiter tous les patients contaminés sans le savoir. Or, une enquête réalisée sous l'égide du professeur Anne-Claude Crémieux (Hôpital Raymond-Poincaré, Garches) vient de conclure que le dépistage généralisé du sida ne servirait pas à grand-chose et serait très coûteux.
Ce travail, réalisé à l'initiative de l'Agence nationale de recherche et de lutte contre le sida (ANRS), du Sidaction, avec les urgentistes d'Ile-de-France, met en évidence les limites de cette stratégie. Pour les auteurs de l'enquête, publiée mardi sur le site de la revue Archives of Internal Medicine, il serait plus rentable de s'intéresser davantage aux groupes les plus à risques (homosexuels masculins et personnes originaires d'Afrique subsaharienne).
«Notre enquête s'est proposée de vérifier si un tel dépistage systématiquement proposé avait vraiment un intérêt en santé publique dans un pays comme la France, caractérisée par une faible prévalence du sida, mais avec des groupes à risque bien identifiés, explique le Pr Anne-Claude Crémieux. Nous avons choisi de mener cette enquête en Ile-de-France, région où la prévalence du VIH, le virus du sida, est la plus forte. Et au niveau des urgences, puisque 25 % de la population, toutes classes sociales confondues, les fréquentent.» L'étude a été menée dans 29 hôpitaux de mai 2009 à septembre 2010.
Durant cette période, tous les patients de 18 à 64 ans se sont vu offrir, avec leur consentement, un test rapide de détection du VIH. Parmi les 138.691 personnes passées par les urgences pendant les seize mois de l'enquête, 13.229 rentraient dans la tranche d'âge concernée et plus de 12.700 ont effectivement bénéficié d'un test rapide, réalisé par piqûre au bout du doigt par une infirmière dûment formée à cette pratique.
Risque de stigmatisation
Au total, 18 personnes, (soit 0,14 % du groupe), âgées de 32,9 ans en moyenne, ont été testées «positif» pour le VIH. Dans sept cas, il s'agit d'hommes homosexuels et dans dix autres cas d'hétérosexuels originaires d'Afrique subsaharienne. «Plusieurs conclusions peuvent être tirées de cette étude, analyse le Pr Crémieux. D'une part, un tel dépistage est faisable. De surcroît, il a été très bien accepté. En revanche, il apparaît aussi que cette pratique non ciblée sur des groupes exposés à un risque est peu efficace, car 18 personnes positives sur 13.000 testées, c'est très peu. Par ailleurs les cas dépistés aux urgences l'ont été tardivement, alors que la maladie était déjà très évoluée. Si l'on a comme objectif de faire du dépistage plus précoce, il faut procéder différemment.»
Cependant, la principale conclusion des chercheurs est qu'un dépistage élargi à toute la population présente une efficacité limitée : «Toutes les personnes que nous avons dépistées positives appartenaient à des groupes à risque, homosexuels masculins ou individus originaires d'Afrique subsaharienne, sauf une femme du Maghreb pour laquelle nous ne connaissons pas l'origine de la contamination, ajoute le Pr Crémieux. Ce travail confirme qu'un dépistage dirigé vers les groupes à risque serait plus efficace et moins coûteux.»
Mais cette approche se heurte à la crainte de stigmatiser deux groupes particuliers (homosexuels et personnes originaires d'Afrique subsaharienne). Selon Willy Rosenbaum, président du Conseil national du sida, «il est important de maintenir les deux types de dépistage (généralisé et ciblé), car certaines personnes sont dans le déni, ne se reconnaissant pas dans les populations exposées alors qu'elles le sont».

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Re: Actualités concours 2012

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Coeur et vaisseaux : la mobilisation s'impose

Les appels aux dons et les informations contre les maladies cardio- et cérébro-vasculaires vont se multiplier dans les jours à venir.

Une minute de perdue après un accident vasculaire cérébral, c'est deux millions de neurones détruits.

Trois événements sous le signe de la prévention et de l'appel aux dons ont lieu cette fin de semaine. La Fondation recherche cardio-vasculaire vient de souligner la nécessité de lancer des études spécifiques sur les maladies touchant les femmes (une population longtemps négligée par les cardiologues), la 3e édition du Donocoeur veut inciter la population à évaluer son profil cardiaque. Enfin, la Journée mondiale de l'accident vasculaire cérébral (AVC) aura lieu samedi.

Les organisateurs de la journée de l'AVC rappellent que cette pathologie touche une personne toutes les 5 secondes dans le monde. En France, chaque année, près de 130 000 individus sont concernés et 62 000 décèdent des suites d'une attaque cérébrale. C'est donc l'une des principales causes de mortalité dans notre pays, le premier motif de handicap acquis de l'adulte et le deuxième de démence. À l'occasion de ce 9e World Stroke Day (Journée mondiale de l'AVC), la Société française neuro-vasculaire, l'ensemble du corps médical et le ministère de la Santé et des Sports se mobilisent pour alerter la population sur les AVC, leurs symptômes, et leurs traitements. Le but est de l'inciter à surveiller sa tension artérielle, principal facteur de risques des AVC, et de la sensibiliser à l'importance de la prise en charge immédiate des victimes, dès les premiers symptômes, en appelant le 15.

L'identification des premiers signes devrait être connue de tous. Un engourdissement, une faiblesse ou une paralysie brutale d'un bras, d'une jambe, du visage ou d'une moitié du corps (c'est l'hémiplégie), des difficultés à parler (aphasie), un trouble de la vision, des problèmes d'équilibre, de coordination ou de marche ainsi qu'un mal de tête sévère et soudain n'ayant aucune cause connue doivent alerter. Même si ces symptômes sont brefs et s'ils régressent en quelques minutes. Il faut agir le plus rapidement possible avant que les lésions ne soient irréversibles. Chaque instant compte. Une minute de perdue, c'est deux millions de neurones détruits...

Le Donocoeur, lui, se focalise sur les maladies cardio-vasculaires, qui tuent chaque année en France 147 000 personnes, soit en moyenne 400 par jour. Certes, grâce aux progrès de la recherche, la mortalité ne cesse de diminuer. Mais la souffrance physique et psychologique consécutive à un accident cardiaque reste forte. C'est pourquoi un test intitulé "J'aime mon coeur" sera disponible dès samedi sur le site de la Fédération française de cardiologie. Les internautes seront invités à tester leurs connaissances et à trouver leur profil type en répondant à un questionnaire santé. Des conseils de prévention personnalisés vont leur permettre d'adopter les bonnes pratiques pour leur coeur.

Enfin, la Fondation recherche cardio-vasculaire Institut de France a annoncé, aujourd'hui, le lancement du premier programme spécifique de recherche clinique et fondamentale pour les femmes. Sa présidente, Danièle Hermann, a rappelé que les maladies cardio-vasculaires sont sept fois plus meurtrières chez les femmes que le cancer du sein. Or, ce risque est encore insuffisamment connu et pris en charge. Pour son combat, elle a réuni des femmes aussi célèbres que Simone Veil, Hélène Carrère d'Encausse, Élisabeth Badinter ou encore Amélie Nothomb et Clémentine Dabadie. Son but est de réunir suffisamment de fonds pour que des études spécifiques soient - enfin - menées chez les femmes, notamment pour que le diagnostic d'infarctus soit mieux posé (malgré des symptômes différents de ceux des hommes) et pour que les traitements soient aussi testés chez elles.

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Message par debella »

L'Académie de chirurgie s'intéresse à la taille des pénis

La chirurgie destinée à allonger le sexe masculin ou à en augmenter le diamètre doit être réservée à des cas bien particuliers.


Si les dimensions de leur pénis préoccupent un grand nombre d'hommes, les spécialistes font la différence entre le "mini-pénis" et le "syndrome du vestiaire", dont les "conséquences fonctionnelles et psychologiques" ne sont pas les mêmes sur la vie sexuelle. C'est sans doute l'une des raisons pour laquelle l'Académie nationale de chirurgie vient de rappeler quelques notions très utiles avant d'envisager toute intervention chirurgicale. Selon ses experts, la longueur moyenne du sexe masculin est de 9 centimètres environ au repos et de 13 à 14 centimètres en érection. Quant à son périmètre, il est de 8 à 9 centimètres au repos, 10 à 10,5 centimètres en érection.

Une équipe parisienne a présenté, à la dernière session, une étude rétrospective de ses patients opérés d'un allongement et/ou d'un élargissement de la verge au cours des dix dernières années. Toutes ces interventions ont été réalisées pour des raisons esthétiques pures, bien que dans 11 % des cas coexistait une pathologie associée qui a pu être traitée dans le même temps, ont précisé le docteur Sylvie Abraham et ses collègues. "Alors que les patients consultent généralement pour une intervention mixte, l'élargissement exclusif a été réalisé dans 88 % des cas ; ce n'est que dans 11 % des cas qu'il a été associé à un allongement, tandis que l'allongement exclusif n'a été pratiqué que quand l'élargissement s'avérait techniquement impossible", précise la spécialiste.

85 % des demandeurs dans la moyenne

Les résultats sont les suivants : le gain moyen en circonférence est de 2,3 cm. Il est efficace tant au repos qu'en érection, alors que le gain moyen en longueur est de 4,2 cm et ne porte que sur la verge à l'état flaccide. "Les complications sont rares, essentiellement des défauts d'ordre cosmétique et accessibles à des retouches", ajoute-t-elle. La fonction sexuelle est parfaitement respectée et les patients n'ont rencontré aucune difficulté secondaire.

Le docteur Ronald Virag et ses confrères ont, eux, présenté un travail sur la chirurgie non plus esthétique, mais fonctionnelle du pénis. Elle s'adresse, selon cet autre spécialiste parisien, "à des patients souffrant de la petitesse ou de la gracilité d'un pénis par ailleurs d'aspect normal morphologiquement. La longueur après une érection (provoquée par des médicaments) est inférieure à 8 centimètres, tout comme le périmètre caverneux." Selon son expérience, plus de 85 % des demandeurs ont un pénis ayant une dimension dans les normes moyennes de la population.

Complications

"Notre rôle est alors pédagogique", note-t-il. Sans rejeter formellement la demande, il faut démontrer qu'elle n'est pas fondée en se souvenant que toute chirurgie, a fortiori au niveau d'un organe comme le pénis, est une prise de risque. "Dans notre série, huit patients sur dix ont bénéficié de l'allongement, dont quatre avec section du ligament suspenseur du pénis, une technique abandonnée depuis, car suspectée d'induire des insuffisances de maintien de l'érection. Dans quatre cas, un allongement et un élargissement ont été pratiqués." Les gains en longueur sont de 3 à 4 centimètres et en périmètre de 2,5 à 5 centimètres. Sept de ses opérés sont satisfaits du résultat et ont une activité sexuelle. Néanmoins, les complications ne sont pas rares, notamment au niveau sensitif : douleurs résiduelles et insensibilité passagère. D'où la légitime prudence des chirurgiens.

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Message par debella »

L'osthéopatie, une thérapie qui mise sur la douceur

Contrairement à une idée reçue, il n'est pas nécessaire d'avoir mal ni d'entendre un craquement pour que la séance soit efficace.
Tout comme le médecin peut s'appuyer sur différentes classes de médicaments pour soigner une même maladie, l'ostéopathe s'appuie sur différentes techniques pour retrouver le point d'équilibre. C'est un «mécanicien» de haute précision du corps qui, tel l'horloger suisse, corrige les réflexes posturaux anormaux pour aider le corps à retrouver son équilibre.
Certains travaillent sur l'ensemble du corps alors que d'autres font surtout de l'ostéopathie crânienne. «Une nouvelle technique encore confidentielle a même été présentée au Canada : l'ostéopathie aquatique, ainsi appelée parce que la séance est pratiquée sur une personne plongée dans une eau à 35 °C, pour l'aider à relâcher son tonus musculaire de base et ainsi faciliter le travail de l'ostéopathe», remarque Fabienne Glock, responsable du département ostéopathie du service maternité de la clinique Vauban (Ile-de-France).
Aussi nombreuses soient ces techniques, elles ont un point commun : elles ne sont pas douloureuses et contrairement à une idée reçue chez 44 % des Français (sondage OpinionWay, 2010), il n'y a pas besoin d'entendre une sorte de craquement pour signifier que la séance a été efficace.
«En fait, contrairement au chiropracteur qui agit exclusivement au niveau du squelette, l'ostéopathe travaille également sur les tendons, les ligaments, les muscles et même les fascias, c'est-à-dire les membranes de tissu conjonctif enveloppant des groupes de muscles ou de viscères et assurant leur maintien. Autre différence avec la chiropraxie : chez l'ostéopathe, seulement 20 % du travail se passe sur la table du cabinet. Les 80 % restants, c'est le corps qui les fait, parfois dans les heures qui suivent, parfois dans un laps de temps plus long : en général, 3 semaines au maximum», poursuit Fabienne Glock.
Une à trois séances suffisent
En effet, pour parvenir à ses fins, l'ostéopathe a rarement besoin de multiplier les consultations : en moyenne, une à trois séances suffisent pour débloquer la plupart des troubles constatés, exception faite de quelques pathologies comme un canal lombaire étroit (qui se traduit par des difficultés à rester debout au bout de quelques minutes et donc le besoin de s'adosser à un mur) pouvant nécessiter six séances étalées sur un an (en s'aidant parfois d'infiltrations réalisées par le médecin). Par ailleurs, quand on a décelé un point faible, il faut parfois revenir quelques mois plus tard, pour prévenir une récidive. Et revenir, bien sûr, lorsqu'un nouveau blocage se produit.
Il y a guérison quand l'organisme retrouve une posture normale et donc un fonctionnement optimal. Comment ? Sur ce point, les avis divergent. «Nous pensons que les thérapies manuelles règlent certains dysfonctionnements neuromusculaires et c'est d'ailleurs de ce côté que la Société française de médecine manuelle orthopédique et ostéopathique (Sofmmoo) oriente ses recherches», explique le Dr Teisseire. Pour certains ostéopathes, les petits vaisseaux nourriciers des tissus et organes pourraient aussi être impliqués, d'où une volonté de rétablir tous ces flux. Un concept qui n'est pas sans rappeler les flux énergétiques en acupuncture, mais qui à ce jour n'a pas encore été prouvé. L'ostéopathie n'a donc plus le choix : elle doit organiser sa recherche, et vite !

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Message par Memo »

La rémunération du congé parental ne sera pas fiscalisée

L'Assemblée a supprimé mercredi 26 octobre en séance de nuit, une disposition du projet de loi de financement de la Sécurité sociale assujettissant la rémunération du congé parental à la contribution sociale généralisée (CSG).
Les députés avaient déjà décidé la semaine dernière, en commission et à l'unanimité, de ne pas conserver cette disposition dont le rendement espéré était de 140 millions d'euros.


Christian Jacob, chef de file des députés UMP, était lui-même monté au créneau pour dénoncer "ce coup de canif à la politique familiale" porté, selon lui, par le projet du gouvernement d'assujettir le complément de libre choix d'activité (CLCA) à la CSG.

Marisol Touraine (PS) a expliqué que si les députés socialistes votaient la suppression de la mesure, cela ne signifiait "pas un soutien sans condition de (leur) part à ce type d'allocation qui sert trop souvent de refuge à des femmes qui n'arrivent pas à accéder au marché de l'emploi ni à un système de garde".

PERTE COMPENSÉE

Pour compenser la perte ainsi occasionnée de 140 millions, l'Assemblée a adopté un amendement d'Isabelle Vasseur (UMP) réduisant à 1,75 % l'abattement pour frais professionnels applicable aux revenus d'activité.

Les députés avaient précédemment voté une proposition gouvernementale prévoyant de réduire de 3 % à 2 % l'abattement pour frais professionnels applicable aux revenus d'activité pour leur assujettissement à la CSG.

Yves Bur, rapporteur UMP du budget de la Sécurité sociale, a de son côté proposé de reporter l'indexation des prestations familiales au 1er avril en compensation de la suppression de la mesure gouvernementale afin que celle-ci soit gagée sur la branche famille. Valérie Pécresse, ministre du Budget, a pris acte de cet engagement.

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Message par Memo »

Passeport biométrique : Le gouvernement doit revoir sa copie

Le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative française, a validé ce mercredi la création du passeport biométrique de 2008, mais a jugé irrégulière la création d'un fichier centralisé avec huit empreintes digitales prises lors de la demande de passeport.

Cette validation était attendue. Et elle n'est pas une surprise. Le Conseil d'Etat a accepté ce mercredi la création du passeport biométrique, contesté par des associations de défense des droits. En revanche, il rejette l'argument selon lequel la collecte et le traitement de deux données biométriques personnelles, des empreintes digitales et une photo spéciale, violeraient les droits fondamentaux. Cependant, il a censuré la création d'un fichier avec huit empreintes digitales prises lors de la demande de passeport, puisque seules deux sont utilisées pour la confection du document.

Dans un communiqué, il a expliqué : « a jugé que la collecte et la conservation d'un plus grand nombre d'empreintes digitales que celles figurant dans le composant électronique ne sont ni adéquates, ni pertinentes et apparaissent excessives au regard des finalités du traitement informatisé. » La haute juridiction administrative avait été saisie de plusieurs recours déposés par des particuliers, des associations de défense des droits et des professionnels de la photographie, contre le décret de 2008 instituant ce passeport biométrique. Le Conseil d'Etat a donc annulé partiellement l'article 5 du décret, qui prévoyait la conservation de huit empreintes digitales, mais a validé la création du fichier en soi car il permet de « s'assurer de l'absence de falsification ».

Le gouvernement devra effacer six des huit empreintes
C'est bien l'annulation partielle de l'article 5 qui met le gouvernement dans l'embarras. Selon le ministère de l'Intérieur, 6,3 millions de personnes se trouvent déjà dans la base de données. Or, après cette décision du Conseil d'Etat, le gouvernement devra désormais procéder à l'effacement de six des huit empreintes conservées dans la base informatique, dossier par dossier. « Le gouvernement savait qu'il excédait sciemment son pouvoir en refusant d'appliquer des recommandations et des réglementations européennes pourtant exemptes de difficulté d'interprétation », a rappelé Christophe Leguevaques, un des avocats des contestataires.

Le Conseil juge que ce fichier central ne porte pas « une atteinte disproportionnée » au droit des individus au respect de leur vie privée, par rapport aux « buts de protection de l'ordre public en vue desquels il a été créé ». En outre, il a débouté les professionnels de la photographie, qui contestaient la prise de clichés pour les passeports directement par l'administration, soutenant que cela portait atteinte au principe de liberté du commerce
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Message par Memo »

Immolation : Encore une tentative devant l'Élysée, mais pas que...

Les immolations par le feu se succèdent depuis plusieurs semaines, en France. Peu après la dernière tentative par une femme mal-logée devant l’Élysée, ce mercredi, cette pratique pose quelques questions.

Mais pourquoi s'immoler par le feu ? Alors que les faits divers concernant cette pratique occupent de plus en plus de place dans nos journaux du matin, l'incompréhension demeure. Littéralement, une immolation représente un sacrifice divin. Le terme provient du latin immolare signifiant offrir un sacrifice. Néanmoins, les temps changent. Et de nos jours, s'immoler n'a pas grand chose de religieux. Dans un contexte économique très difficile et épuisant pour de nombreuses personnes, cette manière de se suicider s'est notamment répandue après les révoltes arabes et le passage à l'acte du Tunisien Mohamed Bouazizi. Aujourd'hui, elle prend également place en France.

Un sacrifice social dans un contexte étouffant
Les psychologues affirment que ce geste relève d'une désespérance profonde face à une situation extrême. Il est destiné à dénoncer ce malaise d'une manière qui soit la plus impressionnante possible. Dans le cas de la femme de 68 ans s'étant immolée devant l’Élysée ce mercredi, ce sont les problèmes de logements qui ont attisé la tentative de suicide. La raison d'un tel sacrifice n'est plus d'ordre religieux mais plutôt social et psychologique. En revanche, l'acte d'immolation reste mineur comparé aux autres moyens de suicide contrairement à ce que laissent supposer les médias.

De nombreux cas en France
Outre le fait divers de ce mercredi, les immolations par le feu se sont succédées ces dernières semaines. Le 23 octobre dernier, un homme est passé à l'action devant un commissariat après avoir poignardé sa concubine, à Longjumeau (Essonne). Une femme tentait aussi de s'immoler près de Toulouse ce mois-ci. Difficile également d'oublier la mort dans les mêmes circonstances d'une enseignante à Béziers. Chaque fois, un tel acte suicidaire reflète un malaise social profond. Et le lieu est souvent symbolique...

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