Culture Générale
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Re: Entraînement culture générale 2012
D'après vous,quels sont les arguments en faveur de l'adoption par un couple homosexuel?
intro: Les français sont réticents voire opposés au mariage homosexuel: ils le sont encore + à l'adoption. En effet, la famille traditionnelle est ancrée dans la culture française.
développement: - peuvent donner une famille à un enfant orphelin
- sont parents avant tout: peuvent donner autant d'amour que couples hétérosexuels
- les enfants élevés par des parents homosexuels ne vont pas plus mal que les autres et ne présentent pas de troubles particuliers (d'après des études)
- les enfants de parents homosexuels encourent moins de risques d’être victimes d'abus sexuels ou psychiques de la part de leurs parents.
conclusion: L'adoption des couples homosexuels relèvent de nombreuses questions, concernant la législation française et la position de l'enfant. Il fait aussi polémique au niveau social: la France est profondément marquée par la famille traditionnelle qui est ancrée dans nos moeurs. La famille homoparentale sera -t'elle un jour reconnue?
2)Qu'est ce qui pousse les familles à adopter des enfants à l'étranger?
Avec seulement 8 000 agréments accordés chaque année en France, l'écart ne cesse de se creuser entre le nombre d'enfants à adopter et le nombre de candidats à l'adoption. C'est pourquoi nombre de parents se tourne vers d'autres horizons. Mais adopter un enfant d'une autre nationalité est loin d'être aisé !
En raison du système de protection de l’enfance, qui privilégie le maintien du lien biologique entre les parents et les enfants suivis par les services sociaux, il y a très peu de pupilles de l’Etat, ou en tous cas, très peu de bébés adoptables en France. Environ 1000 enfants sont chaque année placés en vue d’une adoption, parmi lesquels 700 ont moins de 2 ans. Pour plus de 20 000 agréments en cours de validité, c’est peu et l’attente est, dès lors, très longue.
3)Comment expliquez vous la mode des tatouages et du piercing chez les jeunes?
Les marques du corps (tatouages, piercings, brandings) apparaissent comme un phénomène de mode actuel chez les adolescents. Ce signe corporel est, chez l’adolescent en mal de reconnaissance (difficulté à se situer : plus tout à fait enfant, pas encore tout à fait adulte), une manière d’écrire dans la chair les moments-clés de l’existence. Avant, cela marquait l'adhésion à un groupe social: désormais, c'est plutôt l'expression d'une démarche individuelle et du choix de chacun.
- souhait esthétique
- réelle affirmation identitaire
- la marque corporelle est une prise d'autonomie, une manière symbolique de prendre possession de soi (témoin d'une transformation: passage à l'age adulte)
- permettent de revendiquer leur besoin de quitter le monde de l’enfance, tout en affirmant leur différence par rapport à celui des adultes. Ainsi, ces marquages corporelles, sont loin d’être des mutilations, mais représentent une façon d’affirmer leur identité et leur spécificité d’adulte en devenir.
4)En quoi l'adolescence est elle une période "culturelle"?
L'adolescence est le passage de l'enfance à l'age adulte. C'est une période de recherche, d'identification à des "modèles". L’environnement est très important. la culture influence et conditionne le vécu de l’adolescent.
(pas trop d'idées pour cette question)
5)A quels risques sont particulièrement exposés les adolescents?
L'adolescence est le passage de l'enfance à l'age adulte.
* Tout d'abord, ils sont exposés aux conduites à risques (Les conduites à risque expriment l'angoisse profonde des métamorphoses subies):
- sports "extrêmes" (moto,... vitesse +++)
- agressivité, violence
- conduites sexuelles inadéquates (pas de préservatif: augmentation des grossesses non désirées; négligence du VIH et IST)
- fugues.
* Mais aussi, les suicides due à une dépression ou autre.
* Puis, les addictions (addiction au sport, au jeu, aux drogues): l'ado est particulièrement exposé au risque addictif. Ce sont des proies faciles pour les industriels du tabac, de l'alcool et drogues: production de plaisir, soulagement d'un malaise, fierté de la transgression... Les conduite addictives sont peut-être le plus grand risque pour l’adolescent : les + difficiles à dépister et pour les ados, ces addictions le protègent pour un temps d'un monde réel qui les entoure.
* Ensuite, les anorexies: les ados ont peur de la perdre le contrôle sur leur corps.
6)La majorité des personnes âgées vieillissent en institution alors qu'autrefois elles finissaient leur vie chez elle.Pourquoi?
La prise en charge de la personne âgée dépendante: A domicile, elle est liée à la coordination des intervenants médico-sociaux, à la part de prise en charge par le milieu familial et de voisinage, aux améliorations techniques générales (téléalarme, fauteuils électriques, etc.) et à l’adaptation du logement, voire de l’environnement extérieur, pour ne citer que ces quelques obstacles.
Ce maintien à domicile n’est pas possible pour tous. En effet, l’intervention financière personnelle est une entrave sérieuse à l’indépendance, l’absence d’un référent en est une autre.
Reste alors à trouver des solutions de compromis qui se situent, entre-autres, au sein des établissements d’hébergement. En institution: prise en charge continue, interventions de professionnels spécialisés, équipements adaptés à chaque forme de handicap, vie sociale pour les pensionnaires avec possibilité d'échanger entre eux (discuter,..), du temps et de l'énergie libérée pour les membres de la famille qui peuvent lors des visites s’intéresser plutôt au "coté affectif" de la relation.
7)En quoi le passage à la retraite peut il être une période difficile?
La retraite est un cap qu’il est parfois difficile de passer. Certains l’attendent impatiemment depuis longtemps, tandis que d’autres la redoutent et souhaitent la retarder autant que possible. Chacun l’envisage à sa manière.Pour une personne sur trois, la sortie de la vie active est un cap difficile à passer.
L'activité professionnelle cesse de plus en plus tôt et la durée de vie s'allonge. Cependant, peu de personnes sont conscientes que le passage à la retraite est l’un des plus grands changements et bouleversement de la vie : il implique une réorganisation de vie mais aussi une réorganisation « mentale », c’est à dire un changement dans sa façon de penser, de concevoir la vie et l’avenir.Peut entraîner solitude et isolement. Se sent "inutile", perte de l'estime de soi. entraîne des états dépressifs.
(pas trop d'idées)
J'attends vos corrections!
(j'ai lu juste ce qu’avait mis juju!)
intro: Les français sont réticents voire opposés au mariage homosexuel: ils le sont encore + à l'adoption. En effet, la famille traditionnelle est ancrée dans la culture française.
développement: - peuvent donner une famille à un enfant orphelin
- sont parents avant tout: peuvent donner autant d'amour que couples hétérosexuels
- les enfants élevés par des parents homosexuels ne vont pas plus mal que les autres et ne présentent pas de troubles particuliers (d'après des études)
- les enfants de parents homosexuels encourent moins de risques d’être victimes d'abus sexuels ou psychiques de la part de leurs parents.
conclusion: L'adoption des couples homosexuels relèvent de nombreuses questions, concernant la législation française et la position de l'enfant. Il fait aussi polémique au niveau social: la France est profondément marquée par la famille traditionnelle qui est ancrée dans nos moeurs. La famille homoparentale sera -t'elle un jour reconnue?
2)Qu'est ce qui pousse les familles à adopter des enfants à l'étranger?
Avec seulement 8 000 agréments accordés chaque année en France, l'écart ne cesse de se creuser entre le nombre d'enfants à adopter et le nombre de candidats à l'adoption. C'est pourquoi nombre de parents se tourne vers d'autres horizons. Mais adopter un enfant d'une autre nationalité est loin d'être aisé !
En raison du système de protection de l’enfance, qui privilégie le maintien du lien biologique entre les parents et les enfants suivis par les services sociaux, il y a très peu de pupilles de l’Etat, ou en tous cas, très peu de bébés adoptables en France. Environ 1000 enfants sont chaque année placés en vue d’une adoption, parmi lesquels 700 ont moins de 2 ans. Pour plus de 20 000 agréments en cours de validité, c’est peu et l’attente est, dès lors, très longue.
3)Comment expliquez vous la mode des tatouages et du piercing chez les jeunes?
Les marques du corps (tatouages, piercings, brandings) apparaissent comme un phénomène de mode actuel chez les adolescents. Ce signe corporel est, chez l’adolescent en mal de reconnaissance (difficulté à se situer : plus tout à fait enfant, pas encore tout à fait adulte), une manière d’écrire dans la chair les moments-clés de l’existence. Avant, cela marquait l'adhésion à un groupe social: désormais, c'est plutôt l'expression d'une démarche individuelle et du choix de chacun.
- souhait esthétique
- réelle affirmation identitaire
- la marque corporelle est une prise d'autonomie, une manière symbolique de prendre possession de soi (témoin d'une transformation: passage à l'age adulte)
- permettent de revendiquer leur besoin de quitter le monde de l’enfance, tout en affirmant leur différence par rapport à celui des adultes. Ainsi, ces marquages corporelles, sont loin d’être des mutilations, mais représentent une façon d’affirmer leur identité et leur spécificité d’adulte en devenir.
4)En quoi l'adolescence est elle une période "culturelle"?
L'adolescence est le passage de l'enfance à l'age adulte. C'est une période de recherche, d'identification à des "modèles". L’environnement est très important. la culture influence et conditionne le vécu de l’adolescent.
(pas trop d'idées pour cette question)
5)A quels risques sont particulièrement exposés les adolescents?
L'adolescence est le passage de l'enfance à l'age adulte.
* Tout d'abord, ils sont exposés aux conduites à risques (Les conduites à risque expriment l'angoisse profonde des métamorphoses subies):
- sports "extrêmes" (moto,... vitesse +++)
- agressivité, violence
- conduites sexuelles inadéquates (pas de préservatif: augmentation des grossesses non désirées; négligence du VIH et IST)
- fugues.
* Mais aussi, les suicides due à une dépression ou autre.
* Puis, les addictions (addiction au sport, au jeu, aux drogues): l'ado est particulièrement exposé au risque addictif. Ce sont des proies faciles pour les industriels du tabac, de l'alcool et drogues: production de plaisir, soulagement d'un malaise, fierté de la transgression... Les conduite addictives sont peut-être le plus grand risque pour l’adolescent : les + difficiles à dépister et pour les ados, ces addictions le protègent pour un temps d'un monde réel qui les entoure.
* Ensuite, les anorexies: les ados ont peur de la perdre le contrôle sur leur corps.
6)La majorité des personnes âgées vieillissent en institution alors qu'autrefois elles finissaient leur vie chez elle.Pourquoi?
La prise en charge de la personne âgée dépendante: A domicile, elle est liée à la coordination des intervenants médico-sociaux, à la part de prise en charge par le milieu familial et de voisinage, aux améliorations techniques générales (téléalarme, fauteuils électriques, etc.) et à l’adaptation du logement, voire de l’environnement extérieur, pour ne citer que ces quelques obstacles.
Ce maintien à domicile n’est pas possible pour tous. En effet, l’intervention financière personnelle est une entrave sérieuse à l’indépendance, l’absence d’un référent en est une autre.
Reste alors à trouver des solutions de compromis qui se situent, entre-autres, au sein des établissements d’hébergement. En institution: prise en charge continue, interventions de professionnels spécialisés, équipements adaptés à chaque forme de handicap, vie sociale pour les pensionnaires avec possibilité d'échanger entre eux (discuter,..), du temps et de l'énergie libérée pour les membres de la famille qui peuvent lors des visites s’intéresser plutôt au "coté affectif" de la relation.
7)En quoi le passage à la retraite peut il être une période difficile?
La retraite est un cap qu’il est parfois difficile de passer. Certains l’attendent impatiemment depuis longtemps, tandis que d’autres la redoutent et souhaitent la retarder autant que possible. Chacun l’envisage à sa manière.Pour une personne sur trois, la sortie de la vie active est un cap difficile à passer.
L'activité professionnelle cesse de plus en plus tôt et la durée de vie s'allonge. Cependant, peu de personnes sont conscientes que le passage à la retraite est l’un des plus grands changements et bouleversement de la vie : il implique une réorganisation de vie mais aussi une réorganisation « mentale », c’est à dire un changement dans sa façon de penser, de concevoir la vie et l’avenir.Peut entraîner solitude et isolement. Se sent "inutile", perte de l'estime de soi. entraîne des états dépressifs.
(pas trop d'idées)
J'attends vos corrections!

Re: Entraînement culture générale 2012
Je n'ai pas compris moi non plus la deuxième phrase.
Dernière modification par stepit42 le 21 févr. 2012 14:36, modifié 1 fois.
Re: Entraînement culture générale 2012
kaiss33 a écrit :bonjour
je vous propose un sujet CG concours 2010, j'ai zappé la première question qui consistait à dégager les idées principales...
La maladie un voyage au bout de soi
Toute annonce d’une maladie grave est un coup de poing. Elle brutalise, révulse et sidère. Rien n’y prépare, rien n’en protège. Installés dans le confort de leur existence à durée indéterminée, les malades et leurs proches se voient soudain confrontés à l’impensé : la précarité de la vie.
Passé le choc de l’annonce, toute personne atteinte d’une maladie grave se trouve confronté à une nécessité vitale : il faut « se battre ». Le corps médical emploie très régulièrement un lexique guerrier, que le malade ne comprend pas toujours. Comment lutter quand on est épuisé par la maladie, assommé par les traitements, voire mutilé par la chirurgie ?
Il est courant qu’un malade tente de devenir expert de sa propre maladie. Il apprend le jargon médical, étudie les statistiques, recueille toutes les informations médicales possibles. Il reprend ainsi le contrôle, passant du statut de « patient » passif à celui de sujet actif. Mais la volonté de savoir se heurte au décalage entre la représentation médicale de la maladie et le vécu du malade. Cette dissonance apparaît invariablement dans les récits de malades : il arrive un moment où ils prennent conscience que la réalité vivante et douloureuse de la maladie déborde de part en part le discours froid et figé de la clinique .
La reconquête de soi doit donc passer par autre chose que la stricte anticipation médicale de l’évolution de la pathologie. Elle suppose de consentir à abandonner son corps aux équipes soignantes, le temps du soin. Les philosophes Claire Marin et Jean-Luc Nancy évoquent tous deux une expérience de « dépossession ». Tout se passe comme s’ils s’étaient trouvés expropriés d’eux-mêmes à mesure que leur corps devenait objet d’analyse, d’auscultation, de palpation, d’expérimentation, de normalisation. Le geste médical tend en prime à morceler ce corps, réduisant l’individu à la défaillance de l’un de ses organes.
Que reste-t-il de cette expérience quand la menace vitale s’éloigne et quand se profile l’horizon d’un « retour à la vie normale » ? La philosophie, depuis Sénèque, insiste sur ce paradoxe : la maladie a pour vertu de réveiller l’existence. Souffrir, c’est ressentir. La vie, qui se déroule comme une évidence quand tout va bien, fait l’objet de questionnements intenses quand le corps se dérobe. La sensibilité explose. Des disputes violentes et des rencontres magnifiques aboutissent à une recomposition du cercle amical. L’état d’esprit à l’égard de l’avenir n’est plus le même : beaucoup d’anciens malades, une fois rétablis, disent vouloir « privilégier l’essentiel », parfois se réaliser dans un tout autre métier, ou vivre dans un tout autre environnement, que ceux d’avant la maladie. Le corps, lui aussi, a changé : les muscles ont fondu ou le corps a gonflé, le visage s’est transformé, un sein ou une prostate ont été sacrifiés sur l’autel de la guérison. L’image de soi s’est brouillée. Pour toutes ces raisons, la guérison biologique ne se résume jamais à un simple retour à la « vie d’avant ». « Guérir n’est pas revenir… », note Georges Canguilhem .
L’une des attitudes les plus communes consiste en une « spiritualisation de la maladie » (Friedrich Nietzsche). Beaucoup d’anciens malades cherchent ainsi à tirer de la maladie une leçon de vie. Forts de leur expérience de la faiblesse, ils déclarent avoir accès à une connaissance plus approfondie de soi, des autres et du monde. L’un des exemples les plus célèbres est celui de Nietzsche, qui affirme être devenu philosophe grâce à la maladie, et même avoir bâti toute sa pensée sur la « volonté de vivre » ressentie au plus près de la mort.
Son expérience rejoint celle que vivent aujourd’hui de nombreux malades : il apparaît vital de réinscrire la maladie dans la cohérence d’une existence personnelle, d’« en faire quelque chose » pour la renaissance à venir. Cela peut passer par l’écriture, l’art, la spiritualité, un engagement associatif…
Une autre attitude, qui succède parfois à la précédente, consiste à chercher les clés pour guérir de la guérison. Il ne s’agit plus de « faire quelque chose » de sa maladie, mais au contraire d’en faire le deuil. Non pas rayer la maladie de son histoire, mais la restituer à sa juste place : une parenthèse douloureuse, subie et non voulue, qui doit se refermer. Dans les hôpitaux, des services psychologiques peuvent accompagner les anciens patients.
Il ne s’agit pas tant de guérir que de vivre, ni tant de « privilégier l’essentiel » que de renouer avec l’accessoire, petits conflits et jolies saveurs qui tissent la trame du quotidien.
Questions :
2. « consentir à abandonner son coprs aux équipes soignantes. » Que vous évoque cette phrase extraite du texte ?
3. « guérir n'est pas revenir. » et « Il ne s’agit pas tant de guérir que de vivre, ni tant de « privilégier l’essentiel » que de renouer avec l’accessoire, petits conflits et jolies saveurs qui tissent la trame du quotidien. » Que vous suggèrent ces deux phrases ? Commentez votre propos.
2/ En effet, après l'annonce de la maladie, le patient pour guérir doit accepter de faire les examens cliniques (par le toucher: palpation,..), biologiques (prise de sang,...) mais aussi les chirurgies. En effet, c'est comme s'il devait abandonner son corps aux soignants pour se faire soigner. Le patient se sent alors "déposséder" de son corps et a l'impression que son corps n'est autre qu'un objet pour l'équipe soignante. De plus, le patient ne comprend pas grand chose de ce que les médecins veulent faire: il se laisse faire. Il faut donc privilégier dans ces moments difficiles (d’annonce d’une maladie grave) le dialogue et la mise en place de psychologues voire d'associations (cas du cancer par ex).
3/ Après la maladie (guérie), le malade se sent mieux au niveau physique mais aussi psychologique. Il voit la vie tout autrement et ses valeurs changent.
1- Pendant la maladie:
- le patient souffre, a des douleurs, fatigué
- n'a plus de vie sociale (ne voit plus ses amis,..): solitude
- plus de vie professionnelle
- la famille est présente à coté de lui (la plupart du temps)
- son moral est au plus bas
- l'espoir de guérir / peur de la mort
2-Changement des mentalités après la maladie:
- le patient guéri n'est plus comme avant: il "comprend" que la santé est essentielle: il fait + attention à ses habitudes de vie (alimentation, sport,...) va augmenter son capital santé
- il sait ce qu'est la solitude et donc va s'entourer encore + pour ne plus avoir à être seul
- va changer de voie professionnelle car ses valeurs ont changé (+ de valeurs humaines): travail dans la santé, humanitaire,...
- passer + de temps avec sa famille qui était présente à coté de lui (voit l'importance de la famille)
- faire du bénévolat: associations...
- faire + d'activités ludiques, culturelles,...
("des petits gestes" qui vont lui faire du bien: aller au cinéma, partager un bon repas entre amis,...)
Le patient souffrant d’une maladie grave voit sa vie basculée par l'annonce de sa maladie. Solitude, douleurs, épuisements du aux traitements,... son moral est au plus bas. Durant cette période, il va comprendre que la vie est courte et qu'elle vaut la peine d’être vécue. Il va après la guérison changer de voie professionnelle pour se lancer dans la santé voire l’humanitaire, faire du bénévolat, passer plus de temps avec ses proches,... Ses valeurs ont changé. (pas d'ouverture trouvée!)

Je pense que je n'ai pas bien répondu et que j'ai fais du hors-sujet mais je poste quand même mes réponses. Qu'auriez-vous mis dans "idées principales"?
Mes réponses aux idées principales: (corrigez-moi svp!! je suis nulle pour trouver les idées principales!)
- le malade atteint d'une maladie grave apprend beaucoup de choses sur sa maladie
- le malade se sent dépossédé de son corps
- le malade change de vision quant à l'avenir (changement de voie professionnelle, etc,...)
- il vit un changement de l'image de soi
- le patient tire une leçon de la vie à travers la maladie
- le patient doit faire le deuil de sa maladie à travers une activité (l'écriture,..)
J'ai trouvé ce sujet très intéressant puique moi-meme quand j'étais hospitalisée, j'avais l'impression d'etre "un objet" pour les soignant (ce n'était pas une amaldie grave mais bon...): ils venaient me voir, faisaient les tests, m'envoyer en radiographie, etc... j'étais assommée par les médicaments, les injections, j’avais mal, toujours envie de dormir,... je n’arrivais meme plus à ouvrir les yeux pour écouter le médecin.

Re: Entraînement culture générale 2012
re
par rapport au sujet : la maladie, un voyage au bout de soi
vous avez des points interessants, ce que je peux rajouter à cela:
pr la question 2 bon certes le corps est depersonnalisé devient objet ..etc mais peut etre parler aussi du climat confiance dans le rapport soignants-soignés..
pour la question 3, à mon avis ça ne parle que de l'aprés maladie!! perso j'aurai parlé en premier temps de ce qui change chez la personne sur le plan personnel psychologique social..etc et ds un second temps évoquer la prevention..
par rapport au sujet : la maladie, un voyage au bout de soi
vous avez des points interessants, ce que je peux rajouter à cela:
pr la question 2 bon certes le corps est depersonnalisé devient objet ..etc mais peut etre parler aussi du climat confiance dans le rapport soignants-soignés..
pour la question 3, à mon avis ça ne parle que de l'aprés maladie!! perso j'aurai parlé en premier temps de ce qui change chez la personne sur le plan personnel psychologique social..etc et ds un second temps évoquer la prevention..
Promo 52 ifsi Kléber
Re: Entraînement culture générale 2012
Questions :
2. « consentir à abandonner son coprs aux équipes soignantes. » Que vous évoque cette phrase extraite du texte ?
3. « guérir n'est pas revenir. » et « Il ne s’agit pas tant de guérir que de vivre, ni tant de « privilégier l’essentiel » que de renouer avec l’accessoire, petits conflits et jolies saveurs qui tissent la trame du quotidien. » Que vous suggèrent ces deux phrases ? Commentez votre propos.
2. Cette phrase l'évoque une certaine réalité dure à "avaler" pour les patients. En effet lorsqu'un patient est malade il donne entièrement son corps au médecin, il subit les analyses permettant d'identifier ce qui ne va pas. Le terme "abandon" est ici fais exprès il donne une connotation négative du fait que le patient a l'impression qu'on ne lui demande pas son avis, qu 'on lui prend de force, qu'il part de lui même. Cela renvoi au lexique trop compliqué qu'emploi certains médecins avec leurs patients.
3. "Guérir n'est pas revenir" signifie que même si le malade est guérit il faut qu'il apprenne à revenir à une vie normale. Cela est souvent très dur, prenons l'exemple de quelqu'un atteint du cancer et qui est à l'hôpital depuis 6 mois, il est très dur de revenir à une vie normal, une vie où les soignants ne sont plus là. Où le rythme de l'hôpital n'est plus présent (heures des repas par exemple).
Pour la deuxième phrase j ai un peu plus de mal ... Je dirai que après ne maladie grave le patient se rend plus compte de la valeur de la vie et veut privilégier les actes simples de celle - ci.
Dites moi ce que vous en pensez
ps : sujet trèèès intéressant, j'ai beaucoup aimé le thème malgré la difficulté.
2. « consentir à abandonner son coprs aux équipes soignantes. » Que vous évoque cette phrase extraite du texte ?
3. « guérir n'est pas revenir. » et « Il ne s’agit pas tant de guérir que de vivre, ni tant de « privilégier l’essentiel » que de renouer avec l’accessoire, petits conflits et jolies saveurs qui tissent la trame du quotidien. » Que vous suggèrent ces deux phrases ? Commentez votre propos.
2. Cette phrase l'évoque une certaine réalité dure à "avaler" pour les patients. En effet lorsqu'un patient est malade il donne entièrement son corps au médecin, il subit les analyses permettant d'identifier ce qui ne va pas. Le terme "abandon" est ici fais exprès il donne une connotation négative du fait que le patient a l'impression qu'on ne lui demande pas son avis, qu 'on lui prend de force, qu'il part de lui même. Cela renvoi au lexique trop compliqué qu'emploi certains médecins avec leurs patients.
3. "Guérir n'est pas revenir" signifie que même si le malade est guérit il faut qu'il apprenne à revenir à une vie normale. Cela est souvent très dur, prenons l'exemple de quelqu'un atteint du cancer et qui est à l'hôpital depuis 6 mois, il est très dur de revenir à une vie normal, une vie où les soignants ne sont plus là. Où le rythme de l'hôpital n'est plus présent (heures des repas par exemple).
Pour la deuxième phrase j ai un peu plus de mal ... Je dirai que après ne maladie grave le patient se rend plus compte de la valeur de la vie et veut privilégier les actes simples de celle - ci.
Dites moi ce que vous en pensez

ps : sujet trèèès intéressant, j'ai beaucoup aimé le thème malgré la difficulté.
C'est quand un Homme ne sourit plus qu'il est le plus gravement malade ...
Puéricultrice 2016 ♥
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Re: Fiches culture générale 2012
Oui désolée je n'avais pas vuestepit42 a écrit :oui j'ai vu que secbien a dit la meme chose mais nanouu a écrit "on commence?" et j'ai pensé qu'elle n'avait pas vu! Oui c'est bien de lire: je n'ai rien contre ça!

On aura peut - être la chirurgie esthétique en général alors ...
C'est quand un Homme ne sourit plus qu'il est le plus gravement malade ...
Puéricultrice 2016 ♥
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Re: Besoins d'informations sur le concours d'infirmier
Culture G sur les thèmes sanitaires & sociaux + tests spychotechniques.
C'est quand un Homme ne sourit plus qu'il est le plus gravement malade ...
Puéricultrice 2016 ♥
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Re: Fiches culture générale 2012
oui Nanouu
c'est possible !
alors je lis vos fiches (j'en suis page 27-28 je crois) et j'ai trouver ça:
Sur les personnes vivantes :
Le donneur doit appartenir à la famille du receveur :
- parents
- fils, fille, frère, sœur
-conjoint du père ou de la mère
- grands parents, oncles, tantes et cousins.
-conjoint (+ de 2 ans de vie commune).
donc question: le don de sperme, d'ovules et de sang+ plasma +plaquettes... = le receveur peut etre n'importe qui
mais quant aux dons d'organes sur personne vivante (rein, foie,...) = le receveur doit faire partie uniquement de la famille ?
et donc pour la greffe de moelle osseuse, c'est aussi uniquement de la famille du receveur? cela veut dire que par ex. on a un ami avec qui on est compatible et qu'on veut donner, on ne peut pas? (je pensais que c'était possible...)
dsl de vous souler avec mes questions nulles

alors je lis vos fiches (j'en suis page 27-28 je crois) et j'ai trouver ça:
Sur les personnes vivantes :
Le donneur doit appartenir à la famille du receveur :
- parents
- fils, fille, frère, sœur
-conjoint du père ou de la mère
- grands parents, oncles, tantes et cousins.
-conjoint (+ de 2 ans de vie commune).
donc question: le don de sperme, d'ovules et de sang+ plasma +plaquettes... = le receveur peut etre n'importe qui
mais quant aux dons d'organes sur personne vivante (rein, foie,...) = le receveur doit faire partie uniquement de la famille ?
et donc pour la greffe de moelle osseuse, c'est aussi uniquement de la famille du receveur? cela veut dire que par ex. on a un ami avec qui on est compatible et qu'on veut donner, on ne peut pas? (je pensais que c'était possible...)

dsl de vous souler avec mes questions nulles

Re: Fiches culture générale 2012
bon c'est vrai que y'a pas bcp d'amis qui feraient ce don mais bon .. 

Re: Entraînement culture générale 2012
oui j'ai remarqué par la suite que pour la question 2 que je n'avais pas mis la relation patient-soignant! et pour la question 3, je ne savais pas vraiment quoi mettre pour faire 2 parties: pour ta ère partie: ok mais dans prévention, tu voulais mettre quoi?: les solutions?kaiss33 a écrit :re
par rapport au sujet : la maladie, un voyage au bout de soi
vous avez des points interessants, ce que je peux rajouter à cela:
pr la question 2 bon certes le corps est depersonnalisé devient objet ..etc mais peut etre parler aussi du climat confiance dans le rapport soignants-soignés..
pour la question 3, à mon avis ça ne parle que de l'aprés maladie!! perso j'aurai parlé en premier temps de ce qui change chez la personne sur le plan personnel psychologique social..etc et ds un second temps évoquer la prevention..
peux tu me dire ce que t'aurais mis dans les idées principales?
Nanouu: la 2 est correcte mais pas la 3! tu fais du hors sujet: on emploie "revenir" pas pour revenir à une vie normale mais le patient après que la maladie soit guérie ne "revient" plus à sa vie antérieure pas du fait de la difficulté de revenir à une vie normale mais du fait qu'il a appris beaucoup sur lui, sur ce qu'il voulait vraiment: sa perception de la vie a changé et donc il ne revient plus en arrière: il change, subit des transformations ... et peut changer complètement de vie professionnelle (par ex: avant la maladie il était comptable: après, il a acquis des valeurs humaines etc... et devient infirmier) J'espère que tu m'as compris! en gros, ce texte nous dit que la perception du patient change (ça ressemble un peu à de la philosophie tout ça).
Re: Fiches culture générale 2012
- 2 000 patients ont eu recours à l’euthanasie depuis sa dépénalisation.
- 495 euthanasies en 2007 sur 100 000 décès enregistrés.
- dans 90% des cas, le décès est par injection de Penthotal puis un paralysant neuromusculaire qui provoque un arrêt respiratoire.
- dans 10% des cas par un barbiturique et un paralysant neuromusculaire.
- 70% de la population meurent à l’hôpital ou en institut. (page 29).
Quand vous dites dépénalisation, vous parlez du droit au laisser mourir? Quand je vois les mots "injection" et "paralysant" on dirait plutôt de l’euthanasie active!!
- 495 euthanasies en 2007 sur 100 000 décès enregistrés.
- dans 90% des cas, le décès est par injection de Penthotal puis un paralysant neuromusculaire qui provoque un arrêt respiratoire.
- dans 10% des cas par un barbiturique et un paralysant neuromusculaire.
- 70% de la population meurent à l’hôpital ou en institut. (page 29).
Quand vous dites dépénalisation, vous parlez du droit au laisser mourir? Quand je vois les mots "injection" et "paralysant" on dirait plutôt de l’euthanasie active!!
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Re: Entraînement culture générale 2012
Dites moi, je vous lis et je me demandais lorsque vous répondez aux questions vous sortez les infos de vos petits têtes ou bien vous vous aidez de vos fiches/internet ?
Non parce que si vous maitrisez tout ses sujets par coeur sans document sur lequel vous appuyez, je vais vraiment m'inquiéter ...
Je suis mal si c'est le cas. Car je trouve que les sujets/questions posés vont vraiment dans le détail.
Non parce que si vous maitrisez tout ses sujets par coeur sans document sur lequel vous appuyez, je vais vraiment m'inquiéter ...

Re: Entraînement culture générale 2012
Pour ma part je le fait sans mes fiches, parce que sinon ce n'est pas un bon entrainement.
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IBO en Guadeloupe
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Re: Entraînement culture générale 2012
kysa, quelle est ta "technique". Je suis perdu pour la CG. Je ne sais aps comment réviser. A part lire mes fiches, en retenir les idées principales. Apprendre les définitions de chacune de mes fiches. Je ne vois pas quoi faire d'autre
Si je peux avoir des conseils ca m'aiderai beaucoup !

Si je peux avoir des conseils ca m'aiderai beaucoup !
Re: Entraînement culture générale 2012
Bon alors après les techniques dépendent de chacun, mais moi j'ai ré-écris mes fiches et après à force de faire des sujets, on se rend compte que seulement quelques chiffres sont utiles et qu'il n'y a pas besoin de savoir tout dans le détail mais avoir une bonne idée générale de comment ça se passe ou les arguments pour ou contre suffit généralement. Après là je devrais recevoir mes notes de Culture G de ma prépa intensive donc je verrais si ma technique est bonne, mais normalement, pour l'écrit, les principaux chiffres sont quasiment donnés dans l'article 
Après c'est relire continuellement mes fiches, histoire de toujours avoir en tête comment ça se passe dans le général.
Mais bon, après je sais que j'ai une mémoire visuelle et que je retiens facilement les choses, donc tout dépend de ton type de mémoire et si tu arrive à englober pleins d'info sans tout mélangé ensuite.
Il faut dire, que je n'ai pas de soucis au niveau des tests psycho, donc je n'ai que la culture G à travailler

Après c'est relire continuellement mes fiches, histoire de toujours avoir en tête comment ça se passe dans le général.
Mais bon, après je sais que j'ai une mémoire visuelle et que je retiens facilement les choses, donc tout dépend de ton type de mémoire et si tu arrive à englober pleins d'info sans tout mélangé ensuite.
Il faut dire, que je n'ai pas de soucis au niveau des tests psycho, donc je n'ai que la culture G à travailler

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