Culture Générale
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Re: Entraînement culture générale 2012
Je ne peux pas trop juger en ce qui concerne les questions 1 et 2 mais vous dites plus ou moins les mêmes choses donc je pense qu'il n'y a pas de soucis.
Pour la 3, on a pris quasiment les mêmes directions. Je trouve vos parties bien claires et elles répondent a la problématique posée.
Je croie que la méthodo commence a rentrer !
Il était temps d'ailleurs ! J'aimerais beaucoup tomber sur les sujets comme le développement durable; le handicap, le vieillissement de la population, les maladies d'incidence sociale, le suicide chez les personnes agées, le suicide chez les jeunes, ou encore la souffrance au travail.
C'est des sujets que j'ai bossé depuis 3 jours, je les "maitrise" assez et puis c'est ultra frais dans ma tête ! Je croise les doigts pour demain et puis pour vous aussi ! J'espère que ca va le faire !
Pour la 3, on a pris quasiment les mêmes directions. Je trouve vos parties bien claires et elles répondent a la problématique posée.
Je croie que la méthodo commence a rentrer !
Il était temps d'ailleurs ! J'aimerais beaucoup tomber sur les sujets comme le développement durable; le handicap, le vieillissement de la population, les maladies d'incidence sociale, le suicide chez les personnes agées, le suicide chez les jeunes, ou encore la souffrance au travail.
C'est des sujets que j'ai bossé depuis 3 jours, je les "maitrise" assez et puis c'est ultra frais dans ma tête ! Je croise les doigts pour demain et puis pour vous aussi ! J'espère que ca va le faire !
Re: Entraînement culture générale 2012
Les gens j'ai besoin de vous !! Franchement je ne sais absolument pas commebt reviser pour les concours, vous pouvez m'expliquer comment proceder ? Vous reviser quoi ? Faut-il apprendre par coeur ??? Je suis a la bouuur je pence que je n'aurai pas assez de temps il reste moins d'un mois c'est foutu ??
SVP CONSEILLEZ MOI !!

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IFSI SAINT DENIS : ADMIS !
Contactez moi si vous aussi !
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Re: Fiches culture générale 2012
non juste être au courant, par contre j'ais une fiche sur l'obésité ou sur l'hygiene ou sur l'environnement qui sont des termes plus général.
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
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Re: Méthodologie culture générale
Un paragraphe = une idée. D'accord. Mais doit-on donner toutes les idées qui sont dans le texte ou seulement les plus essentielles ? Est-il possible de faire l'impasse sur certaines idées ?
Re: Méthodologie culture générale
Le nombre de paragraphe te donne le nombre d'idées à donner, tu ne dois pas faire d'impasse 

DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Entraînement culture générale 2012
J'aimerai tomber sur les mêmes sujets que toiCherry Bomb a écrit :Je ne peux pas trop juger en ce qui concerne les questions 1 et 2 mais vous dites plus ou moins les mêmes choses donc je pense qu'il n'y a pas de soucis.
Pour la 3, on a pris quasiment les mêmes directions. Je trouve vos parties bien claires et elles répondent a la problématique posée.
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C'est quand un Homme ne sourit plus qu'il est le plus gravement malade ...
Puéricultrice 2016 ♥
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Re: Fiches culture générale 2012
Alors on a fait pareilsixela95 a écrit :non juste être au courant, par contre j'ais une fiche sur l'obésité ou sur l'hygiene ou sur l'environnement qui sont des termes plus général.

C'est quand un Homme ne sourit plus qu'il est le plus gravement malade ...
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Re: Méthodologie culture générale
Merci kysa.
Je stresse pour demain !
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Re: Fiches culture générale 2012
voui voui 

Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
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Re: Méthodologie culture générale
Moi c'est samedi!!
Courage!!
et un gros merde pour demain 
Courage!!


DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Actualités 2012
Des applications pour limiter le temps des ados sur le Net
La gestion du temps consacré aux réseaux sociaux devient un enjeu majeur dans les familles, surtout à l'adolescence. C'est même l'une des premières sources de conflit. Des «applis» tentent d'apaiser le climat.
Mais que font nos enfants sur l'ordinateur dès que nous tournons les talons? Avec la généralisation des jeux vidéo et des réseaux sociaux, la gestion du temps consacré à ces nouvelles activités devient un enjeu majeur dans les familles, surtout à l'adolescence, et l'une des premières sources de conflit. Pour éviter l'addiction, pour doser l'energie consacrée à ces jeux en ligne, une petite société, Adoneom, montée dans le Sud de la France, lance deux applications pour gérer le temps passé par nos enfants sur les ordinateurs.
L'une gratuite, est une sorte de tableaux de bord. Time Board indique le temps passé sur le Net, sans détailler les sites visités, «car il ne s'agit pas d'empieter sur l'intimité des adolescents», explique Bernard Krounba, un des fondateurs . «Cela sert plutot de base de discussion avec les parents. Souvent les jeunes n'ont absolumment pas conscience du temps qu'ils passent réellement sur les réseaux ou les jeux.»
Le tableau de bord pour gérer le temps passé sur l'ordinateur
Pilotage par sms
Si les temps de navigation s'avèrent inquiétants, l'autre application, Mess@geur vient poser les limites. Conçue avec des psychologues, elle permet de gérer des temps de jeux ou de réseaux social. «On fixe un nombre d'heures de jeux pour la semaine, la journée, comme on veut.» Lorsque le quota est atteint, l'ordinateur, qui a averti à l'avance que le temps s'épuisait, s'éteint. Et ne se rallume que lorsque le forfait reprend.
«Cela va soulager de nombreux parents. Certains devaient vérifier la nuit que leurs enfants n'étaient pas en train de jouer. Là, ils peuvent, avec un simple sms, bloquer l'ordinateur et ne l'autoriser qu'à partir du matin par exemple.»
Une fois chargée l'application sur l'ordinateur ( Précisions: pour 3,34 euros par mois, elle sera disponible à partir de lundi 19 ), tout se pilote par sms. On peut ainsi gérer cinq machines qui fonctionnent avec Windows, dont des téléphones. On peut, d'un message, autoriser une plage horaire plus longue, ou restreindre au contraire et savoir combien les enfants ont déjà utilisé de leur temps d'internet alloué. Un mail vient confirmer les instructions.
Ni interdiction totale, ni laxisme
Les manœuvres s'avèrent beaucoup plus simples que le contrôle parental, souvent laborieux à installer.
«Ce ne sont pas des solutions de contrôle, mais d'accompagnement pour les parents, pour poser les limites, dans le dialogue» explique le psychologue Éric Brayer. Ni interdiction totale, ni laxisme (souvent lié à la difficulté de contrôler l'usage de l'ordinateur).
Signe des temps, Nintendo, conscient des tensions autour des consoles, propose maintenant des kits pour contrôler le temps passé sur la console, par exemple.
Grâce à une petite clé usb, «Vous aurez la possibilité, grâce au 3DS Parental Control, de fixer un temps de jeu maximum par jour ou par session de jeu. Vous pourrez ainsi limiter le temps de jeu à 20, 30, 45 ou 60 minutes par session et le temps de jeu quotidien de 1 à 4 heures», écrit le constructeur.
À quand les jeux en ligne qui s'éteignent tout seuls lorsque les enfants s'échauffent trop?
Le figaro
La gestion du temps consacré aux réseaux sociaux devient un enjeu majeur dans les familles, surtout à l'adolescence. C'est même l'une des premières sources de conflit. Des «applis» tentent d'apaiser le climat.
Mais que font nos enfants sur l'ordinateur dès que nous tournons les talons? Avec la généralisation des jeux vidéo et des réseaux sociaux, la gestion du temps consacré à ces nouvelles activités devient un enjeu majeur dans les familles, surtout à l'adolescence, et l'une des premières sources de conflit. Pour éviter l'addiction, pour doser l'energie consacrée à ces jeux en ligne, une petite société, Adoneom, montée dans le Sud de la France, lance deux applications pour gérer le temps passé par nos enfants sur les ordinateurs.
L'une gratuite, est une sorte de tableaux de bord. Time Board indique le temps passé sur le Net, sans détailler les sites visités, «car il ne s'agit pas d'empieter sur l'intimité des adolescents», explique Bernard Krounba, un des fondateurs . «Cela sert plutot de base de discussion avec les parents. Souvent les jeunes n'ont absolumment pas conscience du temps qu'ils passent réellement sur les réseaux ou les jeux.»
Le tableau de bord pour gérer le temps passé sur l'ordinateur
Pilotage par sms
Si les temps de navigation s'avèrent inquiétants, l'autre application, Mess@geur vient poser les limites. Conçue avec des psychologues, elle permet de gérer des temps de jeux ou de réseaux social. «On fixe un nombre d'heures de jeux pour la semaine, la journée, comme on veut.» Lorsque le quota est atteint, l'ordinateur, qui a averti à l'avance que le temps s'épuisait, s'éteint. Et ne se rallume que lorsque le forfait reprend.
«Cela va soulager de nombreux parents. Certains devaient vérifier la nuit que leurs enfants n'étaient pas en train de jouer. Là, ils peuvent, avec un simple sms, bloquer l'ordinateur et ne l'autoriser qu'à partir du matin par exemple.»
Une fois chargée l'application sur l'ordinateur ( Précisions: pour 3,34 euros par mois, elle sera disponible à partir de lundi 19 ), tout se pilote par sms. On peut ainsi gérer cinq machines qui fonctionnent avec Windows, dont des téléphones. On peut, d'un message, autoriser une plage horaire plus longue, ou restreindre au contraire et savoir combien les enfants ont déjà utilisé de leur temps d'internet alloué. Un mail vient confirmer les instructions.
Ni interdiction totale, ni laxisme
Les manœuvres s'avèrent beaucoup plus simples que le contrôle parental, souvent laborieux à installer.
«Ce ne sont pas des solutions de contrôle, mais d'accompagnement pour les parents, pour poser les limites, dans le dialogue» explique le psychologue Éric Brayer. Ni interdiction totale, ni laxisme (souvent lié à la difficulté de contrôler l'usage de l'ordinateur).
Signe des temps, Nintendo, conscient des tensions autour des consoles, propose maintenant des kits pour contrôler le temps passé sur la console, par exemple.
Grâce à une petite clé usb, «Vous aurez la possibilité, grâce au 3DS Parental Control, de fixer un temps de jeu maximum par jour ou par session de jeu. Vous pourrez ainsi limiter le temps de jeu à 20, 30, 45 ou 60 minutes par session et le temps de jeu quotidien de 1 à 4 heures», écrit le constructeur.
À quand les jeux en ligne qui s'éteignent tout seuls lorsque les enfants s'échauffent trop?
Le figaro
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités 2012
Après une césarienne, mieux vaut poursuivre ainsi
Par Caroline Piquet - le 14/03/2012
En cas de césarienne pour le premier enfant, l'accouchement par voie naturelle présente un peu plus de risques pour la mère et l'enfant lors des grossesses suivantes.
Les femmes ayant accouché par césarienne pour le premier enfant ont plus de risque de complications si elles choisissent d'accoucher par voie vaginale pour le second enfant, selon une étude australienne.
Parue mardi, cette étude a impliqué plus de 2300 femmes, dans quatorze maternités australiennes, qui se préparaient à donner naissance à leur deuxième enfant. La moitié d'entre elles a décidé d'accoucher normalement après avoir subi une césarienne pour leur premier enfant, tandis que l'autre moitié a choisi une nouvelle fois cette procédure chirurgicale.
Selon les auteurs de cette étude, les bébés nés par voie césarienne ont un risque plus faible de décès ou de complications graves (0,9%) que ceux nés par voie vaginale (2,4%). Même constat du côté des mamans. Selon l'étude parue dans la revue scientifique américaine PloS ONE (Public Library of Science), le risque d'hémorragie chez les mères ayant choisi la méthode chirurgicale s'élève à 0,8%, contre 2,3% pour les femmes ayant décidé d'accoucher par «voie basse».
«Jusqu'alors, on manquait de données complètes et précises pour mener une telle comparaison des avantages et risques de ces deux modes d'accouchement, après une césarienne pour le premier enfant», explique Caroline Crowther du Centre australien de recherche sur la santé des femmes et des nourrissons à l'Université d'Adelaide (Australie du Sud, principal auteur de cette recherche.
La césarienne n'est pas non plus sans risques
Si les résultats de cette étude vont aider les femmes et les médecins à prendre des décisions suite à un premier accouchement par césarienne, la pratique montre déjà que le recours à la méthode chirurgicale est préférable pour donner naissance au second enfant. La raison est simple: la cicatrice de la première opération peut se rompre sous l'effet des contractions utérines et entraîner des complications graves pour l'enfant et la mère. En France, «en cas d'antécédent de césarienne, l'accouchement a de nouveau lieu par césarienne dans près des deux tiers des cas (64,5 %)», révèle une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees).
Toutefois, il est important de remettre ces résultats en perspective. Tout d'abord, même si l'écart de risques est réel, les taux restent très bas. Ensuite, la pratique d'une césarienne n'est pas non plus sans risque. Jacques Milliez, gynécologue-obstétricien, membre de l'Académie nationale de médecine, interviewé par Le Figaro en novembre 2010, précisait que «le taux de complication respiratoire néonatale chez les enfants nés par césarienne est jusqu'à 40 fois plus élevé que chez ceux nés par voie naturelle». Pour les mamans, «le taux de mortalité et de morbidité sévère est trois fois plus élevé après césarienne qu'après accouchement naturel».
Ces risques connus n'empêchent pourtant pas les femmes d'y avoir de plus en plus recours. Pour preuve, en Australie, en Italie ou aux Etats-Unis, l'intervention chirurgicale représente plus de 30% des accouchements avec un taux record de 60% en Chine dans les milieux urbains. La France compte 20,3% d'accouchements par césarienne, selon une étude de la Drees, publiée en 2009.
Le figaro
Par Caroline Piquet - le 14/03/2012
En cas de césarienne pour le premier enfant, l'accouchement par voie naturelle présente un peu plus de risques pour la mère et l'enfant lors des grossesses suivantes.
Les femmes ayant accouché par césarienne pour le premier enfant ont plus de risque de complications si elles choisissent d'accoucher par voie vaginale pour le second enfant, selon une étude australienne.
Parue mardi, cette étude a impliqué plus de 2300 femmes, dans quatorze maternités australiennes, qui se préparaient à donner naissance à leur deuxième enfant. La moitié d'entre elles a décidé d'accoucher normalement après avoir subi une césarienne pour leur premier enfant, tandis que l'autre moitié a choisi une nouvelle fois cette procédure chirurgicale.
Selon les auteurs de cette étude, les bébés nés par voie césarienne ont un risque plus faible de décès ou de complications graves (0,9%) que ceux nés par voie vaginale (2,4%). Même constat du côté des mamans. Selon l'étude parue dans la revue scientifique américaine PloS ONE (Public Library of Science), le risque d'hémorragie chez les mères ayant choisi la méthode chirurgicale s'élève à 0,8%, contre 2,3% pour les femmes ayant décidé d'accoucher par «voie basse».
«Jusqu'alors, on manquait de données complètes et précises pour mener une telle comparaison des avantages et risques de ces deux modes d'accouchement, après une césarienne pour le premier enfant», explique Caroline Crowther du Centre australien de recherche sur la santé des femmes et des nourrissons à l'Université d'Adelaide (Australie du Sud, principal auteur de cette recherche.
La césarienne n'est pas non plus sans risques
Si les résultats de cette étude vont aider les femmes et les médecins à prendre des décisions suite à un premier accouchement par césarienne, la pratique montre déjà que le recours à la méthode chirurgicale est préférable pour donner naissance au second enfant. La raison est simple: la cicatrice de la première opération peut se rompre sous l'effet des contractions utérines et entraîner des complications graves pour l'enfant et la mère. En France, «en cas d'antécédent de césarienne, l'accouchement a de nouveau lieu par césarienne dans près des deux tiers des cas (64,5 %)», révèle une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees).
Toutefois, il est important de remettre ces résultats en perspective. Tout d'abord, même si l'écart de risques est réel, les taux restent très bas. Ensuite, la pratique d'une césarienne n'est pas non plus sans risque. Jacques Milliez, gynécologue-obstétricien, membre de l'Académie nationale de médecine, interviewé par Le Figaro en novembre 2010, précisait que «le taux de complication respiratoire néonatale chez les enfants nés par césarienne est jusqu'à 40 fois plus élevé que chez ceux nés par voie naturelle». Pour les mamans, «le taux de mortalité et de morbidité sévère est trois fois plus élevé après césarienne qu'après accouchement naturel».
Ces risques connus n'empêchent pourtant pas les femmes d'y avoir de plus en plus recours. Pour preuve, en Australie, en Italie ou aux Etats-Unis, l'intervention chirurgicale représente plus de 30% des accouchements avec un taux record de 60% en Chine dans les milieux urbains. La France compte 20,3% d'accouchements par césarienne, selon une étude de la Drees, publiée en 2009.
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Re: Actualités 2012
L'abus de sucre est aussi mauvais pour la santé que l'alcool !
Le Point.fr - Publié le 14/03/2012 à 17:42 - Modifié le 14/03/2012 à 17:55
Le Point.fr ouvre son espace de débat au professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes à la faculté de médecine de Marseille.
Une alerte mondiale est déclenchée actuellement pour essayer d'endiguer l'augmentation croissante de la consommation de sucre, qui a des effets néfastes sur la santé. Cette consommation est associée à une augmentation d'un grand nombre de maladies chroniques : diabète, obésité, pathologies cardio-vasculaires et cancers. Beaucoup des effets du sucre sur les humains sont comparables à ceux de l'alcool, et certains pays sont en train de mettre en place une régulation comparable afin d'en limiter les dégâts.
Jusqu'à un passé récent, les Européens ne consommaient pas de sucres industriels. Les sucres (glucose, fructose et saccharose) provenaient seulement des fruits et du miel. Le développement de la filière de la canne à sucre, puis de la betterave a permis d'ajouter du sucre aux aliments à partir du XVIIe siècle en Europe. Le sucre est désormais ajouté dans de nombreux aliments vendus dans le commerce, les desserts, bien sûr, mais aussi les boissons, et même les produits salés - l'un des exemples les plus courants étant celui des petits pois en boîte.
Cirrhose
La consommation de sucre augmente donc de façon considérable. Elle est d'ailleurs parallèle à l'augmentation du nombre de calories consommées, et de l'obésité. Directement utilisé par le cerveau, le glucose dérégule le centre de la satiété. Il faut d'ailleurs noter que, depuis trente-cinq ans, se développent des régimes pauvres en sucres, que les Américains appellent low carb, qui sont aussi - sinon plus - efficaces que les régimes low cal ou hypocaloriques, pauvres en graisses ! Il semble donc que le ciblage des graisses comme principales suspectes dans l'obésité soit partiellement faux.
Un travail récemment publié dans la revue Science montre que la consommation chronique d'alcool et de sucre présente beaucoup de risques communs : hypertension, atteinte cardiaque, troubles lipidiques, pancréatite, obésité et même cirrhose ! Actuellement, la première cause de cirrhose aux États-Unis n'est plus liée à l'alcool, mais à l'obésité, en particulier à cause du sucre. Plusieurs ripostes face à la surconsommation de sucre ont commencé à être prises dans le monde, et en France, comme la taxation des boissons sucrées.
Il serait aussi utile d'offrir au consommateur une information plus claire sur la présence de sucres ajoutés dans les boissons et dans les aliments, qui en rappellerait aussi le danger. À l'inverse, l'ajout récemment autorisé de sucre dans l'eau des boissons aromatisées est un recul. On s'habitue à consommer des aliments et des boissons sucrés, et maintenant même de l'eau ! Une généralisation de la présence du sucre dans l'alimentation, dont les conséquences pour notre santé sont, pour l'instant, beaucoup plus importantes que celles des édulcorants artificiels, dont on prétend communément qu'ils ont des effets nocifs sur la santé qui, eux, n'ont jamais été démontrés. Le combat contre le vrai sucre est sans doute le prochain grand enjeu de santé publique.
Par le professeur Didier Raoult
Le Point.fr - Publié le 14/03/2012 à 17:42 - Modifié le 14/03/2012 à 17:55
Le Point.fr ouvre son espace de débat au professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes à la faculté de médecine de Marseille.
Une alerte mondiale est déclenchée actuellement pour essayer d'endiguer l'augmentation croissante de la consommation de sucre, qui a des effets néfastes sur la santé. Cette consommation est associée à une augmentation d'un grand nombre de maladies chroniques : diabète, obésité, pathologies cardio-vasculaires et cancers. Beaucoup des effets du sucre sur les humains sont comparables à ceux de l'alcool, et certains pays sont en train de mettre en place une régulation comparable afin d'en limiter les dégâts.
Jusqu'à un passé récent, les Européens ne consommaient pas de sucres industriels. Les sucres (glucose, fructose et saccharose) provenaient seulement des fruits et du miel. Le développement de la filière de la canne à sucre, puis de la betterave a permis d'ajouter du sucre aux aliments à partir du XVIIe siècle en Europe. Le sucre est désormais ajouté dans de nombreux aliments vendus dans le commerce, les desserts, bien sûr, mais aussi les boissons, et même les produits salés - l'un des exemples les plus courants étant celui des petits pois en boîte.
Cirrhose
La consommation de sucre augmente donc de façon considérable. Elle est d'ailleurs parallèle à l'augmentation du nombre de calories consommées, et de l'obésité. Directement utilisé par le cerveau, le glucose dérégule le centre de la satiété. Il faut d'ailleurs noter que, depuis trente-cinq ans, se développent des régimes pauvres en sucres, que les Américains appellent low carb, qui sont aussi - sinon plus - efficaces que les régimes low cal ou hypocaloriques, pauvres en graisses ! Il semble donc que le ciblage des graisses comme principales suspectes dans l'obésité soit partiellement faux.
Un travail récemment publié dans la revue Science montre que la consommation chronique d'alcool et de sucre présente beaucoup de risques communs : hypertension, atteinte cardiaque, troubles lipidiques, pancréatite, obésité et même cirrhose ! Actuellement, la première cause de cirrhose aux États-Unis n'est plus liée à l'alcool, mais à l'obésité, en particulier à cause du sucre. Plusieurs ripostes face à la surconsommation de sucre ont commencé à être prises dans le monde, et en France, comme la taxation des boissons sucrées.
Il serait aussi utile d'offrir au consommateur une information plus claire sur la présence de sucres ajoutés dans les boissons et dans les aliments, qui en rappellerait aussi le danger. À l'inverse, l'ajout récemment autorisé de sucre dans l'eau des boissons aromatisées est un recul. On s'habitue à consommer des aliments et des boissons sucrés, et maintenant même de l'eau ! Une généralisation de la présence du sucre dans l'alimentation, dont les conséquences pour notre santé sont, pour l'instant, beaucoup plus importantes que celles des édulcorants artificiels, dont on prétend communément qu'ils ont des effets nocifs sur la santé qui, eux, n'ont jamais été démontrés. Le combat contre le vrai sucre est sans doute le prochain grand enjeu de santé publique.
Par le professeur Didier Raoult
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Re: Je suis tombée sur un article intéressant...
l'article date quand même de 2007....
Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts ni par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais
IDE depuis 07/2018 en hématologie stérile
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