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pochilam69
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra

Message par pochilam69 »

Memo a écrit :Homophobie

Définition: Homo: deux personne de même sexe, Phobie: peur

I_Cause de la peur
1/A priori: homosexualité=maladie dû aux nombreux comportements à risque: nombreux partenaires... Le sida a touché en premier lieu les homosexuels=> caractère impur de la relation
2/Religion ou tradition culturel contre
3/contre nature: une femme et un homme font un enfant pas deux enfants ni deux femmes...

II_Conséquences
1/Sanitaire: Plus sujet aux maladies car comportement sexuel à risque pour certain, coups, hématome, besoin d'anxiolitique à plus long terme, Boit de l'alcool pour oublier ou se drogue...car ne s'assume pas complétement
2/Sociale: discrimination socio-professionnel, durant l'adolescence l'interrogation et la peur des actes des autres peux avoir des conséquences sur les résultats scolaires, victime de violence: perte de l'estime de soi...

III_Solution
1/Prévention de la population contre la discrimination: éducation civique: accepter tout le monde malgré ses différences physiques, d'opinion ou de relation sexuelle... Lutter contre les à priori
2/La halde lutte contre les discriminations
3/Permettre aux personnes homosexuels s'exprimer sur des sites protégés leurs permettant de parler de leurs doutes et les aider à s'accepter pour éviter les conduites à risque!!
4/Prévention d'homosexuel par d'autre homosexuel issue d'association...Pour lutter contre les comportements à risque

Ouverture sur l'autorisation du mariage homosexuel et l'adoption qui fait encore débat!!


Sheri-coke, je regarde ton plan maintenant comme ça je suis sûre que ça m'a pas influencée!! :clin:
J'aime bien ta toute première partie accès sur le passé.
J'ai pas pensée à parler du PACS :oops:
J'avais pas pensée au rôle de l'infirmière non plus... Là j'aurais plutôt parlé de l'importance de la tolérance!! Et de savoir écouter sans juger.
Ah!! Et je viens de penser à l'amalgame pour certain entre pédophilie et homosexualité!
Sinon j'ai l'impression qu'on se complète bien...

Et toi, que penses tu de mon plan?? :oops:
Pour la partie que j'ai mise en gras, je l'aurais pas mis en ouverture mais dans ta seconde partie en parlant de discrimination institutionnelle (mariage et adoption).

Pour la conclusion sous forme d'ouverture je me serais plutôt rapprocher de l'actualité en disant que le gouvernement à dit qu'il allait légalisé le mariage homo mi 2013 en posant la question de savoir si ce type de mesure allait participé au recul de l'homophobie.
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melachou
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Re: Actualités 2012

Message par melachou »

Les soins palliatifs : « Tout ce qu’il reste à faire, quand il n’y a plus rien à faire »

Jacques Fabrizi a souhaité s'intéresser au regard des soignants dans une relation de soins quand le temps des traitements à visée curative n’est plus d’actualité. Extraits de "Déjà-presque-mort mais encore-si-terriblement-vivant" (1/2).


Expliquer ce que sont les soins palliatifs me paraît, à ce stade de mon propos, important pour la bonne compréhension de mon cheminement de pensée. J’ai à coeur de le préciser, tant ils sont peu ou mal connus en France, selon une enquête récente qui révèle qu’une majorité de personnes s’estime plutôt mal informée à leur propos.

Pour ce faire, avec un constant souci didactique, il me semble opportun en premier lieu, de m’attarder sur l’étymologie du verbe « pallier » qui, d’après le Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, serait apparu au xive siècle, emprunté au latin palliare, qui signifie « couvrir d’un manteau, voiler, cacher ». Du sens de « dissimuler, faire excuser », on serait très vite passé au sens médical d’aujourd’hui de « soulager, atténuer la souffrance, supprimer certains aspects d’un mal sans agir en profondeur, sans guérir » faute de remède. Ainsi, remarque-t-on, tout d’abord de façon non dénuée d’intérêt, que la première étymologie pourrait évoquer la mort honteuse, dans le contexte qui nous préoccupe, qu’il faut cacher, ne pas montrer…

Est également suggérée l’idée de « couvrir d’un manteau », idée que l’on retrouve aussi dans la religion chrétienne avec saint Martin, soldat romain ayant partagé son manteau avec un pauvre, symbole de compassion, d’altruisme et de partage. Ceci nous amène à l’actuelle définition des soins palliatifs, car ensuite la mutation vers la signification médicale contemporaine s’est opérée sans tarder. Le terme « soins », quant à lui, n’implique pas la guérison mais signifie plutôt « s’occuper de », soigner étant différent de guérir… On retrouve cette distinction dans la langue anglaise avec les verbes to cure qui signifie traiter dans le sens de guérir, et to care, soigner, prendre soin de. Actuellement, le terme soins est toujours affublé d’un qualificatif et l’on parle de soins palliatifs par opposition aux soins curatifs, ou de soins de support qui sont l’ensemble des soins et soutiens éventuellement nécessaires (dont la psycho-oncologie) et qui viennent en complément des autres soins prescrits. Enfin, pour signifier qu’il s’agit toujours du même patient qui peut relever de ces différents soins, à des moments différents de l’évolution de sa maladie, on parle de soins continus.

Cette terminologie m’apparaît pour le moins incongrue et quelque peu étrangère aux préoccupations des patients. En médecine générale, on s’occupe naturellement de nos patients de façon continue, quel que soit le stade évolutif de leur maladie, et l’accompagnement va de soi. Ce serait assurément un pléonasme que de préciser, médecine générale et accompagnement.

La Société française d’accompagnement et de soins palliatifs définit les soins palliatifs comme des soins actifs délivrés dans une approche globale de la personne atteinte d’une maladie grave, évolutive ou terminale.

Leur objectif est de soulager les douleurs physiques et les autres symptômes, mais aussi de prendre en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle. Les soins palliatifs et l’accompagnement sont interdisciplinaires. Ils s’adressent au malade en tant que personne, à sa famille et à ses proches, à domicile ou en institution.

La formation et le soutien des soignants et des bénévoles font partie de cette démarche. Le malade est considéré comme un être vivant et la mort comme un processus naturel. Ceux qui dispensent les soins palliatifs cherchent à éviter les investigations et les traitements déraisonnables. Ils se refusent à provoquer intentionnellement la mort. Ils s’efforcent de préserver la meilleure qualité de vie possible.

Dans un style moins académique et plus pragmatique, on peut résumer les soins palliatifs par « tout ce qu’il reste à faire, quand il n’y a plus rien à faire », quand le temps des traitements à visée curative n’est plus d’actualité.

Cependant, si les soins palliatifs sont dans « le faire », il convient pour autant, de ne pas verser dans l’excès, par un acharnement thérapeutique ou même relationnel. Permettre au patient de trouver son propre chemin, d’exprimer ses souhaits et ses convictions par rapport à sa fin de vie est primordial. Lui permettre d’accueillir la mort sans la retarder ni la précipiter est également essentiel. De la part des soignants, respecter ce choix devrait être fondamental.

La philosophie des soins palliatifs repose sur la notion de prise en charge globale du patient, physique, psychique, sociale et spirituelle, désignée depuis Hippocrate par l’expression de médecine holistique. Il s’agit de construire avec le patient dont les jours sont comptés un projet de vie, en tenant compte de ses conceptions, de ses aspirations et de ses choix. La sagesse, moins qu’une méditation de la mort, est une méditation de la vie. Je sais où je vais, assurément comme tout un chacun vers la mort, mais ce qui me plaît avant tout, c’est le voyage et pas uniquement la destination finale. Pourtant la mort, cette « chose » incompréhensible, inconnaissable, inapprivoisable, est la grande occupation de l’existence. Elle parachève la vie dont elle est la forme aboutie.

La vie elle-même est une maladie mortelle, dont on peut, certes, espérer reculer l’échéance par les progrès des sciences médicales mais à laquelle on ne peut se soustraire. En l’absence de remède contre la mort, c’est inéluctable. Apprendre à vivre, c’est apprendre à mourir. En prendre conscience permettrait de mourir dans « la joie de vivre ». À Socrate condamné à boire de la ciguë et qui souhaitait apprendre à jouer de la lyre la veille de son exécution, son compagnon de geôle intrigué demanda : « À quoi te sert, Socrate, d’apprendre à jouer de la lyre, puisque tu vas mourir ? » Socrate répondit : « À jouer de la lyre avant de mourir. »

_____________________

Extrait de Déjà-presque-mort mais encore-si-terriblement-vivant, L'Harmattan (28 mars 2012)
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Message par melachou »

Les nouveaux nés profitent de l'interdiction de fumer

Selon une étude américaine, la prohibition du tabac dans les lieux publics entraîne une diminution du tabagisme maternel et des naissances prématurées.
On sait que l'exposition au tabac in utero augmente, entre autres, les retards de croissance du fœtus et les naissances prématurées. Une étude publiée dans le Journal of women's health montre que l'interdiction de fumer dans les lieux publics permet de réduire ces risques. «On voit qu'une politique de santé publique interventionniste bénéficie à la santé des femmes enceintes et de leurs nouveaux nés», commente le Pr Michel Delcroix, gynécologue obstétricien et président de l'association Maternité sans tabac.
Les scientifiques américains ont étudié la prévalence du tabagisme chez les femmes enceintes, le nombre de naissances prématurées et le poids des bébés nés à Pueblo, une ville du Colorado ayant imposé en 2003 une interdiction de fumer dans toutes les entreprises et lieux accueillant du public. Ils ont regardé l'évolution de ces trois courbes dans le temps, en comparaison avec la ville voisine d'El Paso où aucune prohibition n'est entrée en vigueur.
Pas d'effet sur le poids du bébé
Avec l'interdiction, les chercheurs de l'Université du Colorado constatent une baisse du risque de fumer pendant la grossesse (-38 %) et d'avoir un bébé né avant terme (-23 %). L'étude ne constate pas, en revanche, d'effet sur le poids du bébé à la naissance.
«La limite de cette étude réside dans le fait que la consommation de cigarettes est déclarée par la mère, ce qui peut conduire à une sous-estimation, surtout aux États-Unis où le tabac est très mal perçu», note le Pr Delcroix, qui rappelle l'importance de la mesure du monoxyde de carbone dans l'air expiré, seul indicateur objectif de la consommation de tabac. Cette méthode n'est pas systématiquement utilisée pendant le suivi périnatal. Par ailleurs, les chercheurs n'ont pas tenu compte de l'exposition de la mère à un éventuel tabagisme passif.
En France, un enfant sur cinq subit in utero le tabagisme de sa mère. Cette exposition augmente le risque d'infertilité, d'avortement spontané, de grossesse extra-utérine, mais aussi de mort subite du nourrisson. Les médecins recommandent un arrêt complet du tabac, avec l'aide de substituts nicotiniques ou de thérapies comportementales.
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Re: Actualités 2012

Message par melachou »

Allergies et aux maladies auto-immunes en augmentation ?
Par Jean-François Bach - le 18/05/2012

AVIS D'EXPERT- Jean-François Bach, immunologiste et secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences nous explique comment, dans les pays industrialisés, notre système immunitaire doit faire face à un changement d'univers microbien.
L'espèce humaine a toujours vécu en symbiose étroite avec de multiples agents infectieux: bactéries, virus, champignons ou parasites. Certains d'entre eux provoquent des maladies, bénignes ou graves. D'autres coexistent dans notre organisme sans effet délétère. Les trois mille milliards de bactéries qui colonisent notre intestin en sont un bon exemple. C'est grâce à son système immunitaire que l'homme n'est pas plus fréquemment victime d'infections graves. Cette immunité peut être non spécifique, ou innée. C'est-à-dire qu'elle peut se mettre en action dès le premier contact avec un microbe. Mais il arrive qu'elle ne soit pas suffisante pour en venir à bout.
Heureusement, il existe une seconde barrière de défense fondée sur la capacité de certaines molécules (les anticorps) et de certaines cellules circulant dans le sang (les lymphocytes), à s'attaquer spécifiquement à un agent infectieux donné. De façon surprenante, le répertoire des spécificités anti-infectieuses des anticorps et des lymphocytes se constitue spontanément pendant la vie embryonnaire avant tout contact avec l'environnement.
De nouveaux allergènes
Si notre système immunitaire est apparu au cours de l'évolution dans le seul but de nous défendre contre les microbes, il lui arrive cependant d'atteindre d'autres cibles comme les allergènes ou les constituants du soi (c'est-à-dire l'individu lui-même). Ces attaques donnent lieu, dans le premier cas, à des maladies allergiques (eczéma, rhinite ou asthme) et, dans le second cas, à des maladies auto-immunes. On en dénombre plus d'une cinquantaine, en particulier le diabète insulinodépendant (type 1), la polyarthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques ou les maladies inflammatoires de l'intestin (maladie de Crohn). Or, au cours des trente dernières années, la fréquence de ces pathologies a augmenté de façon spectaculaire: aujourd'hui l'eczéma touche plus de 10 % des nourrissons et le diabète insulinodépendant apparaît souvent avant l'âge de cinq ans, pour ne citer que ces deux exemples.
Comment expliquer une telle «épidémie»? L'hypothèse la plus fréquemment évoquée est le changement progressif de l'environnement microbien, surtout dans les pays industrialisés. L'augmentation de la fréquence des maladies allergiques et auto-immunes coïncide, en effet, avec la diminution des maladies infectieuses. Parallèlement, l'hygiène et la médecine se sont améliorées: l'eau de boisson et les aliments ne contiennent plus de bactéries en nombre suffisant pour exposer l'organisme à des infections. En outre, les vaccins et les antibiotiques sont largement utilisés.
C'est avant tout par l'étude de modèles expérimentaux chez la souris que la preuve d'un lien de cause à effet a été apportée. Il existe, en effet, une souche de souris qui a la particularité de présenter, dans plus de 90 % des cas, le même diabète insulinodépendant que l'homme lorsqu'elle est élevée dans un environnement de haute qualité sanitaire. Dans le cas contraire, la fréquence de la maladie s'abaisse considérablement. Il suffit alors de décontaminer ces rongeurs en isolateur pour faire immédiatement remonter la fréquence du diabète. En clair, l'infestation des souris «propres» par diverses bactéries, virus ou parasites a pour effet de prévenir l'apparition de la maladie.
Un problème d'hygiène de vie
L'effet protecteur des infections s'explique par la dominance des réponses immunitaires fortes développées contre les microbes sur les réponses immunitaires plus faibles qu'elles soient allergiques ou auto-immunes. Cette théorie, communément appelée «théorie hygiéniste», pourrait faire intervenir les changements du microbiome intestinal évoqué plus haut.
Le système immunitaire a permis à notre espèce de survivre aux grandes épidémies. Il a également fortement contribué à l'augmentation récente de notre longévité dans la mesure où les maladies infectieuses les plus graves sont prévenues ou guéries par les vaccins et les antibiotiques. Il est cependant regrettable, et par certains côtés ironique, que ce progrès ait engendré la survenue d'autres maladies qui, certes pour la plupart, ne mettent pas immédiatement la vie des patients en danger mais représentent une source considérable de morbidité, de souffrance, de handicaps et de coût pour la société. De même qu'elle ne nous avait pas préparés à la raréfaction des agents infectieux, l'évolution ne nous avait pas non plus prédisposés à la consommation abusive de tabac ou d'alcool, à la surnutrition ou au manque d'exercice physique qui, eux aussi, favorisent la survenue de nombre de maladies qui nous frappent aujourd'hui.
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Re: Actualités 2012

Message par melachou »

Les femmes enceintes ne doivent plus manger pour deux

Une étude britannique révèle qu'un régime alimentaire adapté est le meilleur moyen d'éviter la prise excessive de poids pendant la grossesse. Et donc des complications parfois graves pour la future mère ou l'enfant à naître.
Qui n'a pas recommandé un jour à une femme enceinte de reprendre un peu de bœuf bourguignon ou de spaghettis bolognaise, au motif qu'elle doit «manger pour deux»? La formule, prononcée le plus souvent dans le cadre convivial d'un repas pris en famille ou entre amis, ne devrait pourtant plus avoir droit de cité tant le surpoids et l'obésité représentent un danger pour la future mère et son bébé. La première s'expose à un risque de décès accru pendant la grossesse ou l'accouchement tandis que le second aura plus de «chances» de devenir… obèse à son tour, y compris une fois parvenu à l'âge adulte.
Dans les faits, la situation est préoccupante. En 2006, une étude a montré que la moitié des femmes britanniques en âge de procréer sont obèses ou en surpoids. Par ailleurs, on estime que 20 à 40 % des femmes américaines et européennes prennent, au cours de leur grossesse, plus de poids que ne le recommande le corps médical.
Une étude publiée jeudi dans le British Medical Journal révèle qu'un régime alimentaire faiblement calorique est le meilleur moyen d'éviter bon nombre de complications pour la mère et l'enfant. Loin devant l'exercice physique ou la combinaison des deux.
Aucun danger pour le bébé
Les chercheurs de la Queen Mary University of London, ont montré, à partir de données collectées sur plus de 7200 femmes, qu'une alimentation équilibrée permet de réduire la prise de poids de 4 kilogrammes au cours de la grossesse, contre seulement 0,7 kg avec l'exercice physique seul et 1 kg avec les deux interventions. Le risque d'être victime d' une pré-éclempsie (augmentation de la tension artérielle au-dessus de 14/9) est également réduit d'un tiers. Tout comme celui de donner naissance à un bébé prématuré. La probabilité de développer une diabète gestationnel chute quant à elle de 61 %.
La contrainte que représente le suivi d'un régime est, à l'évidence, tout sauf vaine. D'autant que le bébé en bénéficie également: le risque pour lui, de subir une blessure à l'épaule lors de l'expulsion, est fortement réduit.
«Beaucoup de femmes craignent de porter atteinte à la santé de leur enfant si elles font un régime pendant leur grossesse, explique le Dr Shakila Thangaratinam qui a piloté ce travail. Notre étude devrait leur montré qu'il n'y a aucun danger et que le poids de leur bébé ne sera pas affecté.»
Les conseils diététiques dispensés aux femmes consistaient à limiter l'ingestion de calories, à équilibrer les apports en sucres, en protéines et en graisses et à manger des fruits, des légumes ou des céréales. Selon le Dr Thangaratinam la différence d'efficacité importante entre exercice physique et régime pourrait s'expliquer par le fait que ce dernier est plus facile à suivre pendant une grossesse.
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Re: Actualités 2012

Message par melachou »

« Oser être ridicule est précieux »


Catherine Dolto, haptopsychothérapeute, est aussi auteur d'ouvrages pour enfants (collection « Mine de rien-Giboulées » chez Gallimard).
LE FIGARO. - Professionnelle de renom, vous n'hésitez pas à vous produire actuellement sur scène *, en compagnie d'Emma la clown, qui vous interrompt sans cesse dans votre «Conférence», les psychothérapies, les clowns et les bébés… Pourquoi une telle aventure?
Catherine DOLTO.- L'état de clown m'a toujours fascinée: cette ouverture naïve, curieuse, ce désir constant de découvrir le monde qu'ils expriment, génère de larges espaces de réflexion. C'est un grand clown suisse, Pierre Byland, qui nous a suggéré lors d'un festival en Bretagne d'improviser à deux. D'ailleurs pour le premier spectacle, Emma et moi n'avions même pas pu nous rencontrer avant! Depuis nous avons gardé cette prédominance de l'improvisation, le spectacle n'est jamais le même, même si il y a un cadre tenu par ce texte que je lis chaque fois. Mais tout est vrai, spontané, inattendu… Surtout mes fous rires!
Qu'est-ce que vous souhaitez montrer à travers ce binôme (psy-clown) atypique?
Qu'oser être ridicule est aujourd'hui précieux, parce qu'à force d'avoir peur de briser son image, on ne fait plus rien! La dimension du rire, bien sûr, est aussi importante, mais ce que je souhaite évoquer c'est que face à l'épreuve, nous devrions avoir la même naïveté que le clown. Il est essentiel de laisser s'exprimer ce qui est clownesque en chacun de nous. Chez certains, cette dimension utopique, enfantine et rêveuse est assez faible, elle permet d'amuser les copains, c'est simple… Chez d'autres par contre, elle est trop forte, provoquant des hauts et bas de l'humeur très difficiles à vivre, des désillusions cruelles. Le risque est alors que la personne se victimise… Elle peut en faire un métier si elle a du talent… Sinon il faut faire une thérapie!
Qu'est-ce qui vous semble particulièrement thérapeutique chez le clown?
Tout est expressif chez lui: le nez rouge, la manière de bouger, de tenir sa tête, ses épaules: tout compte. On dit que quand on porte un masque «le visage descend dans le corps» Or, le nez rouge est «le plus petit masque du monde», disait notre maître à toutes les deux, Jacques Lecoq. Le clown, comme le nouveau-né, n'exerce aucun contrôle corporel, ce qui fait que corps et âme se présentent ensemble. En ce sens, je trouve que les clowns amènent la même énergie que les bébés. Et cette liberté d'être, nous la perdons en grandissant car nous avons reçu des injonctions de maîtrise du maintien qui, quoique nécessaires, nous ont trop souvent coupé de nous-mêmes. À notre époque, beaucoup de personnes ne sont même pas conscientes de leurs tensions musculaires, ni de ce que leurs gestes ponctuent réellement.
Que pensez-vous du recours aux clowns dans de nombreuses sphères sociales?
Je suis mitigée. Le clown ne supporte pas la médiocrité. Je pense que réveiller le clown en soi est une expérience très intime et singulière… Alors la vivre dans le monde de l'entreprise me semble difficile. À l'hôpital par contre, les clowns ont amené des changements formidables car ils tirent vers le meilleur d'elles-mêmes, loin des conventions, toutes les personnes confrontées à la mort, à la maladie, à la souffrance. «Étonnez-vous! Acceptez que la vie soit tragique sans vous prendre au sérieux! Et voyez comme on peut briser les carcans sans être agressif», voilà leur message.
*«La Conférence» sera donnée les 3 et 4 juin prochains au Théâtre L'Européen à Paris (renseignements http://www.leuropeen.com)
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra

Message par Akahige »

partdesanges a écrit :[...]Le sujet était une photo d'un vide grenier. [...]
La question était après avoir décris la photo quelles les réflexions que cela vous évoque?
Pas évident.... Si vous avez des idées afin de comparer avec ce que j'ai fait!!!!
Plusieurs idées me viennent à l'esprit :

• l'écologie, déjà mentionnée plus haut.

• au-delà ou en deça du geste pour l'environnement, il y a la conscience que jeter n'est pas une attitude responsable. Jeter, c'est se débarrasser de sans s'embarrasser d'autrui. Alors qu'il existe d'autres solutions : le don, le troc, l'échange marchand, qui nous font abandonner notre égocentrisme.

• réintroduire l'objet dans un échange permet à son propriétaire de créer un lien. Pas nécessairement un lien d'amitié éternelle, mais un échange de parole, de vécu, bref, de réaliser ce qui fait de nous des hommes : la sociabilité. Les vides-greniers sont souvent vécus comme des petites fêtes, où les gens se rencontrent, se retrouvent, mangent collectivement autour des buvettes. Beaucoup n'y vont pas pour acheter du reste, mais pour être à l’affût de rencontres.

• le social : une partie de la population souffre financièrement, et vit de débrouille. Le vide-grenier est souvent le lieu des bonnes affaires indispensables à l'équilibre budgétaire pour bien des acheteurs. Et il permet à ceux qui vendent des objets de réaliser eux-aussi une bonne affaire — morale cette fois-ci — en cédant un objet à un prix symbolique, voire en le donnant. C'est somme toute plus gratifiant que de donner une pièce de monnaie, froide et abstraite.

• Attention aux risques sanitaires : vieilles chaussures, canapés bourrés d'acariens. Une prévention des risques n'est pas inutile.
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Re: Actualités 2012

Message par melachou »

Comment les clowns nous guérissent

Après les hôpitaux et les entreprises, ils inspirent aujourd'hui aussi les professionnels de la psyché.
Coluche l'avait bien compris: un nez rouge et tout bascule. La réalité change, les relations s'allègent, la tendresse triomphe. Ce «passeport diplomatique du clown» comme l'appelle Jean-Bernard Bonange (codirecteur avec Anne-Marie Bernard, et Bertil Sylvander de la compagnie Bataclown) a ainsi quitté un jour le milieu du cirque pour s'infiltrer dans la société civile.
À partir des années 1980, la «culture clown» s'est répandue dans les organisations un peu endormies (l'entreprise et ses conventions, ses formations…) mais aussi là où l'on souffrait (les hôpitaux et ses enfants malades, les maisons de retraite…). Et aujourd'hui, dans un contexte de crise, cette clown-thérapie sociale serait-elle désuète? Loin de là. «Bien sûr, avec cette présence décalée, on est bien loin du rire méchant qui triomphe dans les médias actuels, reconnaît Jean-Bernard Bonange, qui est aussi rédacteur en chef de la revue bisannuelle Culture Clown. Mais ces intervenants sociaux, qui amènent de la vitalité partout où ils passent, se sont propagés récemment dans les manifestations politiques (on a vu des «attentats clowns » lors des derniers G20), ou dans des endroits à l'ambiance un peu compassée comme les expos d'art contemporain ». Preuve que le mouvement ne s'est pas arrêté, on compte sur tout le territoire une douzaine de groupes de clowns «activistes-militants », cinq ou six grands organismes professionnels pour l'hôpital. Et des thèses de 3e cycle universitaire dédiées à la sociologie du clown. «En notre époque d'importants enjeux sociaux, le mouvement devrait continuer à grandir », assure Jean-Bernard Bonange.
Les stages de développement personnel qui promettent de «réveiller le clown en soi » se sont aussi beaucoup répandus grâce à Internet. Certains psychothérapeutes avouent aussi se servir des «techniques du clown » avec leurs patients, même s'ils ne l'affichent pas ouvertement. C'est le cas de Catherine Dolto ou du psychiatre Jean-Christophe Seznec, auteur du livre J'arrête de lutter avec mon corps (Ed. PUF). Ce spécialiste de la psychopathogie du sport qui aide ses patients en thérapie à «mettre leur mental de côté pour vivre vraiment et ressentir la vie » se sert aussi, à côté de sa formation en TCC (thérapie cognitive et comportementale) de tout ce que lui-même a appris comme clown : être pleinement dans son corps et rester dans le moment présent.
«Être con et voir les choses de face»
«Aujourd'hui, dans ce monde angoissant de la représentation, le clown réveille l'espoir, affirme-t-il. Il permet de s'échapper de façon positive. C'est lui, lorsque tout va mal, qui s'assoit sur le bord du trottoir et regarde tranquillement, comme dans un rêve, ce qui se passe autour de lui.» À travers différents exercices, notamment corporels, ce praticien apprend donc à ses patients, cadres surstressés ou mères débordées, à «être con et voir les choses de face, telles qu'elles sont, sans être accablés par leur jugement et leur mental, ce “dealer de pensées” qui n'est jamais rassasié». L'objectif premier: «se retrouver comme un Martien qui arrive sur terre et s'extasie de tout ».
Mais les autres apports de la clown-thérapie sont aussi très nets dans l'entreprise, assure le psychiatre qui, en compagnie de la comédienne clown Élise Ouvrier, a animé des stages auprès de professionnels des relations publiques ou des employés de sociétés de service. «Quand vous êtes guichetier ou contrôleur SNCF, les techniques de clown vous apprennent à développer votre sens de l'à-propos, votre spontanéité », explique le Dr Seznec.
Un enthousiasme que modère Pierre Miraillès, coach d'équipes et consultant qui s'est beaucoup servi, jusqu'à la fin des années 1990, du clown dans ses stages de formation ou séminaires d'entreprise. «C'est un moyen vraiment efficace de créer plus de liens dans une équipe - le fameux team-building -, reconnaît-il. Mais, honnêtement, l'innocence du clown, qu'on atteint pendant quelques heures, a beaucoup de mal à perdurer dans l'environnement actuel de l'entreprise ». Développer son sens critique, comme nous y invite avec ouverture d'esprit le clown ? «Oui, c'est bien, admet le coach. Encore faut-il pouvoir l'exercer, ce sens critique, dans un contexte où les postes sont éjectables et les managers manipulateurs et manipulés. Et encore faut-il que l'entreprise ait accepté le stage ». De ce côté, les résistances demeurent fortes: «qu'est-ce que c'est ? Du clown? C'est du développement personnel ! Je comprends bien le principe et dans l'idéal, il n'y a aucun problème… Mais quel intérêt opérationnel ? Je suis pragmatique, moi, monsieur…». Que les clowns se rassurent donc, ils ont encore beaucoup à faire.
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Re: Actualités 2012

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Le design au service de la santé

Le label Janus de la Santé décerné par l'Institut français du Design, a été attribué cette année à deux lauréats bien différents. D'une part, le jury a distingué la gamme de génériques sans ordonnance Biogaran Conseil®, pour ses « conditionnements spécialement conçus pour la sécurité du traitement », explique l'Institut. L'autre lauréat est un… téléphone portable spécialement adapté aux seniors, le Doro Phone easy 615.
Des médicaments bien « balisés » L'automédication connaît actuellement un fort développement, puisque 68% des Français entre 18 et 64 ans y ont recours. Diminution des remboursements, mise en place du libre accès, plus grande autonomie des patients…Cette nouvelle manière de se soigner a des causes multiples. La nouvelle gamme Biogaran Conseil® qui s'est vu décerner le Janus de la Santé 2011 couvre la plupart des affections du quotidien : douleurs et fièvre, rhinite allergique, maux de gorge, encombrement des bronches…
Son packaging a été conçu pour faciliter la compréhension du traitement par le patient, et pour favoriser la sécurité d'utilisation. Les indications thérapeutiques sont claires et lisibles, la destination du médicament (enfant, adulte) est explicite, la posologie est bien indiquée… D'ici la fin 2012, cette gamme devrait être élargie jusqu'à compter une trentaine de références.
Un téléphone spécial senior
Le second prix attribué dans la catégorie revient à la société Doro, qui a développé un téléphone mobile spécialement adapté aux seniors. Le Doro Phone Easy 615 comporte en effet des touches larges, bien espacées, et concaves. Elles sont donc clairement visibles, leur manipulation est facile même pour des doigts un peu imprécis, et leur forme évite les « dérapages »… Par ailleurs, ce téléphone est également compatible avec les aides auditives. Finies les interférences et l'effet Larsen… Ce matériel favorise donc l'autonomie, la mobilité et la sécurité au quotidien des plus âgés.
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Message par melachou »

A 16 ans, elle découvre un remède antivieillissement

Janelle Tram, une jeune Singapourienne de 16 ans, qui vit au Canada, à découvert une substance antioxydante capable de freiner le vieillissement.
La NCC (nano-cellulose cristalline) se trouve dans les particules de bois et pourrait avoir une efficacité supérieure à la Vitamine C et E. En effet, cette substance est non toxique, renouvelable, stable et son action dure plus longtemps que les vitamines. Ce nouveau procédé pourrait être utilisé pour améliorer la santé et freiner le vieillissement en neutralisant les radicaux libres.
La lycéenne de classe de Terminale à été récompensée pour sa découverte du premier prix Sanofi BioGENEius Challenge 2012 et a perçu un chèque de 5 000 dollars (3 946 euros, ndlr). La première usine de démonstration de NCC à d'ailleurs ouvert ses portes en janvier dernier à Windsor, au Québec et l'Institut National de recherche sur les forêts à prédit que le marché pourrait valoir jusqu'à 250 millions de dollars dans les 10 ans à venir.
Si cette nouvelle substance fait du bien à la santé tout en stoppant le vieillissement, on attend sa commercialisation avec impatience !
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Re: Actualités 2012

Message par melachou »

Psoriasis : 2 000 pharmacies mobilisées pour vous conseiller

« Ne baissez pas les bras, votre psoriasis se soigne ». Depuis le 1er avril dernier, 2 000 pharmacies sont mobilisées en France, pour aider les personnes atteintes de cette maladie inflammatoire de la peau, à la fois stigmatisante et douloureuse. Plus de deux millions de patients sont touchés en France et un grand nombre a perdu tout espoir.
Une campagne est actuellement organisée par l’Association pour la Lutte contre le Psoriasis (APLCP), en partenariat avec le laboratoire Abbott, pour aider les plus découragés. Vous êtes dans ce cas ? Si vous redoutez de vous mettre un tee-shirt au retour des beaux jours, profitez-en : parlez-en avec un pharmacien qui se sera spécialement informé sur le psoriasis pour vous conseiller.
Des malades trop résignés. Une plaque sur le visage, dans le cou, sur la jambe, sur le cuir chevelu, sur les bras… le psoriasis a un impact très lourd au quotidien. « Un grand nombre de malades atteints de psoriasis ne sont pas suivis », déplore Dalila Sid-Mohand, Directrice de l’APLCP. « Ils ont baissé les bras face à la maladie, et se retrouvent dénués de conseils et en attente de solutions ! Pourtant, même si le psoriasis ne se guérit pas, il se soigne. Les pharmaciens sont des interlocuteurs de proximité. Ils peuvent les aider ! » Ces professionnels en effet, sont en première ligne pour redonner confiance aux patients, les écouter, les informer sur les modalités de prise en charge, les orienter.
Des pharmaciens à votre écoute. Au total, 2 000 officines participent à cette campagne. Soit environ une pharmacie sur dix en France. Vous résidez dans le Puy de Dôme ? Sachez que vous trouverez 14 pharmacies Points Conseils pso. Et encore 11 dans le Finistère ou 19 dans le Maine-et-Loire.
Pour les reconnaître, rien de plus simple. Elles affichent toutes le message : Ici Point conseil psoriasis. Si vous n’en trouvez pas, appelez l’APLCP au 01 42 39 02 55 , qui vous communiquera les officines participantes le plus proches. Vous pouvez également vous rendre sur www.aplcp.org.
Une fois sur place, engagez le dialogue avec le pharmacien. Il a été spécifiquement informé. Ses conseils seront principalement centrés sur l’importance de s’hydrater la peau chaque jour pour soulager les symptômes (démangeaisons..) et de consulter son médecin généraliste référent, ou un dermatologue. Il vous remettra également un Kit Pso contenant une brochure et des informations sur l’APLCP.
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Message par melachou »

Lancement d'un Centre Européen pour la Nutrition et la Santé

Le Centre Européen pour la Nutrition et la Santé (CENS) a officiellement été lancé lord du congrès scientifique international de l'obésité à Lyon, du 9 au 12 mai.
Ce centre axera principalement ses recherches sur la lutte contre l'obésité et le surpoids mais aussi sur la malnutrition, la dénutrition, l'impacte des régimes alimentaires et les bienfaits de la pratique physique régulière. Il regroupe deux structures déjà existantes ; le centre de recherche en nutrition humaine du Rhône-Alpes et le Laboratoire CarMen. Plusieurs entreprises du privé aident financièrement cette nouvelle structure de recherche telles que l'Institut Bocuse, l'Institut Mérieux, le groupe industriel Nutrisens, Roquette, Seb, mais aussi la Fondation Bullukian. Ils espèrent ainsi regrouper 700 000E sur 3 années et donner ainsi un coup de pouce aux recherches.
Dès 2015, le Centre Européen pour la Nutrition et la Santé disposera d'un bàtiment de 6 000 mètres carré à Lyon, où environ 200 chercheurs travailleront. Un lieu pour expérimenter la cuisine moléculaire sera aussi intégré au bàtiment. Pour le moment, le CENS ne dispose pas d'endroit propre où sont regroupées les expertises et forces de recherche.
On espère donc que ce nouveau dispositif aidera activement la lutte contre l'obésité mais aussi la cherche sur les maladies métaboliques causé par un mauvais régime alimentaire.
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra

Message par Zackfair »

rachel57 a écrit :Lexouille je te met celui sur la pédophilie, je le trouve un peu long mais n'hésites pas à dire ce qui ne vas pas.

Def : elle désigne une attirance ou préférence sexuelle d'un adulte envers les enfants prépubère ou en début de puberté.

Intro : Aujourd'hui avec la médiatisation qui en est faite, le voile sur la pédophilie commence à se lever. Nous allons voir que le sujet n'est plus un tabou.

I le pbm posé autrefois et aujourd'hui
autrefois : - sujet tabou : les enfants avaient peur d'en parler===honte, peur qu"on ne les croient pas, sentiment de culpabilité
- l'enfant n'avait aucun droit, il était considéré comme une chose (est ce que ce n'est pas trop fort, il me semble avoir lu quelque chose dans ce genre)
aujourd'hui : - l'enfant a des droits qui le protège de certaines perverssions (je ne me souviens plus de la date pour les droits des enfants)
- - depuis 90, la pédophilie fait l'objet d'une réprobation et d'une répression généralisée
- affaire DUTROUX en belgique (96) à permit à la société de prendre conscience du pbm.

II consequences sur un enfant
- traumatisme important qu'il gardera toute sa vie (honte, culpabilité)
- repli sur lui même
- certains enfants doivent avoir un soutien psychologique en plus de leur famille car trop pesant à supporter pour eux
- suicide chez certains
- certains peuvent reproduire plus tard ce qui leur a été fait

III pbms liés à internet
- internet a permit à des pédophile de prendre contact avec des mineurs notamment vis à vis des messageries et réseaux sociaux
- les enfants ne se méfient pas de l'interlocuteur qu'ils ont derrière leur écran.
ex: reportage de jeunes filles qui avait données rendez vous à des "garçons" de leur âge, en tout cas ce qu'elles penssaient, et en réalité s'était des adultes
======méfiance pas assez accrue des parents
- internet = cumulation accrue de porno enfantine via les réseaux
- sites avec de jeunes enfants

IV moyens de luttes
- cybercriminalité : tte forme de criminalité faites via l'utilisation d'internet (pédophilie..)
- création d'association, ds le but de protéger les enfants et de lutter contre l'abus sexuel
- médiatisation importante ds l'affaire DUTROUX
MAIS : peu de médiatisation pour la mise en garde des enfants
CL : depuis la création du net bcp de pédophiles se connectent via les réseaux sociaux. Malgrès les surveillance accrue de la cybercriminalité, la porno enfantine sur le net continue d'augmenter. Plus de médiatisation permettrait de diminuer ce pbm.

Voilà , n'hésitez pas à me dire ce qui ne va pas.


Franchement c'est très bien traité , avec des exemples pertinents , après je ne vois qu'une erreur ( selon moi) c'est qu'aujourd'hui les enfants ont toujours peur de ne pas être pris au sérieux ; et ont parfois aussi le sentiment de culpabilité ( comme pour la plupart des victimes de viols) même s'ils savent qu'ils ne sont en aucuns cas responsables. Le truc c'est que cet argument peut faire partis de avant mais aussi aujourd'hui .

Voilà je ne sais pas si c'est correct ce que je dis mais bon :clin: :D
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Re: Actualités 2012

Message par melachou »

Adopter un chien d’aveugles, ce n’est pas si compliqué


Chaque année en France, près de 200 chiens guides sont remis à des personnes malvoyantes ou aveugles. Ce qui signifie en fait, que seulement 1% de ceux à qui ces chiens sont destinés en bénéficient. Comment expliquer cette situation ? Est-elle liée à un manque de chiens, à un défaut d’information ? Les réponses de Christine Turc, de l’Association Les chiens guides d’aveugles de l’Ouest.
« La raison (de cet état de faits) n’est pas univoque » nous explique-t-elle. « Tout d’abord le public a changé. Il y a encore quelques années, nous ne nous tournions que vers les aveugles. Depuis, nous nous sommes également préoccupés des malvoyants. Ensuite, beaucoup appréhendent le fait d’avoir un chien, parce qu’ils n’ont qu’une autonomie limitée. Ils ne s’imaginent donc pas avec un animal. Enfin le manque d’information constitue sans doute la principale raison. Ils sont nombreux par exemple, à ne pas savoir que le chien leur est remis gratuitement… ».
Une meilleure communication permettrait aux écoles de « remettre un chien par jour d’ici 2015, au lieu de 200 par an aujourd’hui ». Ainsi la Fédération française des Associations de Chiens guides d’aveugles (FFAC) tient-elle à informer les déficients visuels et leur famille :
Pour obtenir un chien, il n’est pas nécessaire d’avoir une activité professionnelle ;
Les malvoyants aussi peuvent en bénéficier ;
Il faut en revanche, avoir plus de 16 ans ;
Les maîtres peuvent bénéficier d’une allocation forfaitaire de 50 euros par mois pour les frais d’entretien du chien ;
Dès que le chien part en retraite, un nouvel animal est remis au maître ». Vers l’âge de 9 ans, les chiens guides passent un bilan de santé spécifique pour savoir s’ils sont encore assez alertes pour guider leur maître en toute sécurité. « Ils prennent généralement leur retraite dans les mois qui suivent précise la FFAC.
A noter qu’entre le 24 et le 30 septembre aura lieu la première Semaine du chien guide d’aveugles. Nous ne manquerons pas d’y revenir.
Aller plus loin Pour en savoir plus sur les chiens guides d’aveugles, un numéro vert (Appel gratuit depuis un poste fixe) est à votre disposition. En composant le 0 800 147 852 , c’est un propriétaire de chien guide qui répondra à vos questions. Vous trouverez également des informations sur le www.chiensguides.fr.
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra

Message par pochilam69 »

stepit42 a écrit :Pour le sujet sur LA MEDECINE A DEUX VITESSES: VRAI OU FAUX?, j'aurais fait:

intro: def médecine à 2 vitesses

I/ VRAI:
- une pour les riches, une pour les pauvres
- spécialités auxquelles les pauvres ne peuvent pas accéder (lunette, dentiste..)
- le privé: + de place, délais d'attente moins long mais pas accès aux soins pour les personnes pauvres
- médecins n'acceptent pas bénéficiaires de la CMU
- mauvaise répartition des médecins sur le territoire (ça il faut le mettre ou pas?)
- inégalités face à l'accès aux soins donc, certaines personnes renoncent aux soins
- déremboursement des médicaments de + en +
- franchises médicales

II/ FAUX:
- CMU: accès aux soins pour toutes les personnes
- principe de la protection sociale fondée sur la solidarité
- AME, CMU complémentaire
- (je suis à court d'idées)

cl: résumé+ ouverture : :?: ?

vous aurez ajouter quoi? et quelle ouverture?
Peut on répondre autre chose que vrai quand on voit que l'état a crée deux catégories le secteur 1 et le secteur 2 ?

Sinon j'aime beaucoup ton développement mais je serais plus aller sur un traitement en deux parties:

I
oui à cause de la précarisation de la société:
- avec les arguments que vous connaissez tous (faible niveau de salaire de plus en plus de gens, famille monoparentales, chômages des jeunes, baisse des pensions de retraites)
- conséquence de cela c'est que de plus en plus de personnes se soignent de moins en moins bien

II
oui à cause du système médical
-refus de prise de CMU, beaucoup de spécialistes en secteur deux, discrimination envers certaines catégories de personnes (séropositifs) etc

Conclusion: les dispositifs mis en place type CMU ne permettent toujours pas l'égalité des soins.
En ouverture je parle de la bombe a retardement que représente la précarité pour deux raisons:
-elle va s'accentuer de plus en plus
-quid des gens qui ont de faibles ressources quand il seront à la retraite
Dernière modification par pochilam69 le 19 mai 2012 12:44, modifié 1 fois.
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