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HAMLET-30
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Message par HAMLET-30 »

ADDICTION


La cocaïne de plus en plus
consommée au travail
| 31.07.2007 | 16:29


Cette drogue, autrefois réservée aux plus aisés, touche désormais les employés de secteurs professionnels variés, selon Le Figaro.


Cocaïne (Sipa)
Le Figaro daté du 31 juillet rapporte que la consommation de cocaïne progresse dans le monde du travail. Le quotidien cite ainsi le professeur Philippe-Jean Parquet, qui a dirigé le rapport gouvernemental "Conduites addictives en milieu professionnel", et qui affirme que "sur des chantiers du BTP par exemple, la présence de cocaïne est en constante augmentation".
Le quotidien reprend également les propos du docteur Lowenstein, addictologue et directeur de la clinique Montevideo à Boulogne-Billancourt, qui estime que la drogue "s'est démocratisée".

Exigence des entreprises

Pour cause, le prix de la substance a considérablement baissé, passant de 800 francs pour un gramme dans les années 80 à 60 euros aujourd'hui.
Par conséquent, les centres médicaux traitant les problèmes de dépendance voient affluer de nouveaux consommateurs de cocaïne, tels que des artisans, des stewards ou des guichetiers de banque. Sur le lieu de travail, une procédure ne peut être enclenchée à l'encontre des consommateurs que pour les postes dits "de sécurité". Pour Dan Véléa, addictologue, qui s'exprime dans Le Figaro, la prise de cocaïne s'explique par les "exigences accrues des entreprises".
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Message par LOTUS07 »

Nicolas Sarkozy lance à Dax un "plan Alzheimer" 31.07.07 | 15h37

DAX, Landes (Reuters) - Nicolas Sarkozy a annoncé la création d'une franchise médicale destinée à abonder des fonds pour financer la recherche et l'amélioration des traitements liés aux maladies de la vieillesse, en particulier la maladie d'Alzheimer.

"Cette franchise sur les dépenses de santé sera de 0,5 euro sur chaque boîte de médicament, de 0,5 euro sur tous les actes paramédicaux et de deux euros sur tous les transports médicaux", a précisé le président de la République après avoir visité un centre de gériatrie de l'hôpital de Dax réputé pour ses travaux liés à la maladie d'Alzheimer.


Cette franchise médicale, qu'il veut voir créée cette année, sera plafonnée à 50 euros par an et par assuré social.

"Les foyers les plus modestes, les enfants et les femmes enceintes en seront dispensés. Je souhaite que cette franchise puisse être prise en charge par les assurances complémentaires de santé. De toute façon, il faudra parler, négocier, discuter", a-t-il ajouté.

"La maladie d'Alzheimer est un véritable drame national. Pour lutter contre ce drame, pour parler familièrement, on va mettre le paquet, comme on dit, pour trouver les causes et des remèdes", a t-il dit, reprenant une des promesses de sa campagne présidentielle du printemps dernier.

Il s'était ainsi engagé le 1er mai à financer la lutte contre la maladie d'Alzheimer avec des moyens équivalents au milliard et demi d'euros consacré au plan cancer.

"Lutter contre cette maladie est un défi, ce n'est pas une histoire de gauche ou de droite. Tous les gouvernements, dans les 30 ans à venir, y seront confrontés", a-t-il ajouté.

Un million de personnes sont touchées actuellement par cette maladie, a précisé Nicolas Sarkozy.

"Chaque année, il y a 225.000 cas nouveaux. Près de trois millions de personnes sont directement concernées par ce drame (...) dont le seul coût financier annuel est de 10 milliards d'euros par an. Alors, je vous le dis, cet effort financier demandé aux assurés, il faut le faire".

CINQUIÈME BRANCHE DE LA SÉCU

Le chef de l'Etat a expliqué qu'il ne voulait pas que la création de cette franchise "se traduise par un creusement du déficit de la Sécurité sociale, par une baisse des remboursements ou une augmentation des cotisations".

Parallèlement à cette annonce, Nicolas Sarkozy a donc dit, autre promesse électorale, avoir demandé au ministre du Travail, Xavier Bertrand, "la création d'une cinquième branche de la protection sociale exclusivement tournée vers la prise en charge de la dépendance des personnes âgées et handicapées".

"J'ai demandé que cette cinquième branche soit créée au tout début de l'année 2008", a-t-il précisé.

Revenant sur la mise en place du plan de lutte contre la maladie d'Alzheimer, Nicolas Sarkozy a dit avoir chargé le professeur Joël Menard de présider un commission chargée d'établir des premières orientations pour ce plan. Cette commission devra rendre ses travaux le 21 septembre, date de la journée mondiale de lutte contre cette maladie.

"Ce plan lui-même devra être lancé avant la fin de l'année 2007. Croyez-moi, je vous le répète, on va mettre le paquet. Une société qui ne respecte pas ses personnes âgées, qui les cache, est une société qui se renie. C'est un objectif de civilisation", a ajouté le président de la République.

A propos de la lutte contre cette maladie, le chef de l'Etat a souligné que "dans un pays où il y a 8% de chômeurs, ca ne doit pas être difficile de former des personnes pour soutenir à domicile les personnes atteintes de ce mal".

"Il y a 350.000 postes à pourvoir d'ici 2015. C'est un gisement d'emplois aussi, afin de lutter contre ce fléau qui peut arriver dans toutes les familles et qui n'est pas seulement lié au grand âge", a-t-il conclu.
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Message par HAMLET-30 »

Le spot polémique de Renaud contre la corrida


Le chanteur Renaud vient de prêter sa voix à un spor de la SPA contre la corrida

Renaud proteste contre l'avis du Bureau de vérification de la publicité sur un spot anti-corrida, auquel le chanteur a prêté sa voix.
Renaud demande à ce bureau "d'accepter la diffusion de ce spot", que ce dernier juge "de nature à choquer le public".
le 31/07/2007 - 19h37



Le chanteur Renaud, qui a prêté sa voix à un spot publicitaire contre la corrida réalisé par la Société protectrice des animaux (SPA), est "en colère" contre le Bureau de vérification de la publicité (BVP) qui n'en a pas autorisé la diffusion, a annoncé, mardi, la SPA. Ce spot réalisé en coopération avec le Comité radicalement anti-corrida (Crac) et la Fédération des luttes anti-corrida (Flac) a pourtant été remanié à trois reprises à la demande du BVP pour ne pas "heurter la sensibilité des plus jeunes", a indiqué la SPA dans un communiqué.

"Je suis très en colère et ignorais que le BVP pratiquait une censure aussi scandaleuse", a déclaré Renaud, cité par la SPA, dans une lettre adressée au président du BVP, Jean-Pierre Teyssier, en lui demandant "d'accepter la diffusion de ce spot". "Nous souhaitons dénoncer la souffrance infligée à un animal, la persistance de cette tradition intolérable dans un pays moderne, la nécessaire prise en compte de l'intérêt supérieur de l'animal face aux traditions archaïques", a-t-il ajouté.

Un avis non contraignant ?

De son côté, le BVP a confirmé avoir échangé "trois courriers" avec la SPA, qui lui avait demandé conseil sur ce spot. "Mais nous avons formulé des conseils et non pas un avis définitif", a précisé Joseph Besnainou, directeur général du BVP. "Nous sommes toujours très réservés sur la possibilité de finaliser un tel spot", a-t-il déclaré, jugeant que ce dernier "reste de nature à choquer le public et à porter préjudice à l'ensemble des intervenants du secteur" de la corrida.

"A notre connaissance, les corridas sont autorisées en France", a-t-il fait remarquer, soulignant également la présence dans ce spot d'"images assez violentes" et de "termes très durs, comme celui de barbarie". Le BVP a rappelé que, même s'il formule un avis négatif sur un spot, "les chaînes ne sont pas obligées de le suivre". Le spot concerné (dont deux autres versions sont également disponibles sur le site internet de la SPA), est visible ci-dessous.
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Message par HAMLET-30 »

Le PS juge Kouchner "flou et contradictoire"



François Hollande

Le chef de la diplomatie a été malmené mardi par ses anciens amis, lors d'une audition devant la commission des Affaires étrangères.
- le 31/07/2007 - 18h08



Les attaques des socialistes contre "l'ouverture" de Nicolas Sarkozy n'avaient pas pris dans l'opinion. Il ont trouvé avec l'affaire des infirmières bulgares leur fenêtre de tir : l' absence de Bernard Kouchner dans ce dossier. Dès la libération des otages dont ils se sont félicités, ils ont demandé son audition devant la commission des Affaires étrangères mardi matin. Et ils ne l'ont pas épargné.

François Hollande a précisé que l'objectif de cette réunion était "de savoir exactement quelles étaient les contreparties qui avaient été offertes au régime libyen pour obtenir la libération de ce qu'on peut appeler des otages". Il a ironisé sur le fait que le ministre avait utilisé ce mot "avant de se récuser ensuite". Pour lui, "ce qui se dégage de cette rencontre, c'est le flou". Il a assuré que les socialistes resteront "très vigilants sur la contrepartie à cet accord nucléaire dont nous ne connaissons pas véritablement le contenu et le prolongement". Le chef de file des députés, Jean-Marc Ayrault, a pour sa part dénoncé "les contradictions et les confusions" du ministre.

"Le ministère existe"

Bernard Kouchner n'a pas fait d'exposé préliminaire mais a répondu directement à un véritable feu roulant de questions socialistes. Il a tenté de rassurer l'opposition en relativisant la portée de l'accord franco-libyen signé dans la foulée de la libération des infirmières et du médecin bulgares, particulièrement critiqué par la gauche mais aussi par l'Allemagne. "Il nous a dit que ce n'était pas un accord proprement dit mais simplement un mémorandum d'entente", a expliqué Elisabeth Guigou. Bernard Kouchner a insisté, devant la presse, sur le fait que le document signé à Tripoli le 25 juillet n'était "pas un protocole", mais un simple "mémorandum d'engagement, un cadre éventuel" pour un "éventuel réacteur nucléaire".

Quant aux critiques allemandes, il les a attribuées à la "rivalité commerciale", lançant : "il y a des décisions qui ne font pas plaisir". Son homologue allemand, Günter Gloser, a déclaré lundi que Berlin aurait souhaité être consulté au préalable sur le projet nucléaire franco-libyen. Se déclarant par ailleurs ironiquement "très heureux" de la "sollicitude" des socialistes "par rapport à la place du ministère des Affaires étrangères dans ces négociations", Bernard Kouchner a lancé : "Le ministère existe, le ministre aussi" ajoutant qu'il n'avait pas été "terrorisé".
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Message par HAMLET-30 »

HERGE


"Tintin au Congo" embarrasse
les éditeurs sud-africains
| 31.07.2007 | 08:12



Human & Rousseau, qui publie d'habitude en afrikaans les aventures du reporter d'Hergé, a décidé de ne pas traduire cet album. Penguin Books va accompagner sa version anglaise d'un avertissement au lecteur.


Tintin et Milou (Sipa)
Retiré pour racisme des rayons enfants de dizaines de librairies britanniques mi-juillet, "Tintin au Congo" embarrasse les éditeurs sud-africains d'Hergé. Human & Rousseau, qui publie d'habitude en afrikaans les aventures du reporter, a décidé de ne pas traduire cet album, tandis que Penguin Books va accompagner sa version anglaise d'un avertissement au lecteur.
Sortie en 1931, la bande dessinée "décrit les indigènes africains de façon stéréotypée et peu flatteuse", a expliqué samedi 28 juillet Carina Diedericks-Hugo, porte-parole de Human & Rousseau, sur la radio SABC.

Situation particulière en Afrique du Sud

Certes, l'auteur belge francophone caricature également les Chinois dans "Le Lotus bleu" et les Indiens dans "Tintin en Amérique", a-t-elle observé. "Mais nous avons le sentiment qu'il y a une situation particulière en Afrique du Sud et que nous ne pouvons pas accepter cette description des autochtones". L'apartheid, politique de ségrégation raciale, a été en vigueur en Afrique du Sud de 1948 à 1991.
Penguin Books pour sa part continuera à distribuer la version anglaise de "Tintin au Congo", accompagnée cependant d'un avertissement au lecteur sur le caractère sensible de certaines références raciales.

Intervention d’un avocat des droits de l'homme à Londres

A la mi-juillet en Grande-Bretagne, la chaîne de librairies Borders a retiré cet album de ses rayons enfants après la plainte d'un client. Elle va faire de même dans ses 499 magasins aux Etats-Unis, où il sera désormais rangé à côté des BD pour adultes.
Une décision prise après les protestations de David Enright, un avocat spécialiste des droits de l'homme travaillant à Londres. Au cours d'une sortie en famille, il a feuilleté des livres pour enfants chez Borders, où il est tombé sur "Tintin au Congo".
"Cette lecture suggère que les Africains sont des sous-hommes, que ce sont des imbéciles, qu'ils sont à moitié sauvages", a déploré David Enright lors d'un récent entretien accordé à l'Associated Press.

Des versions modifiées

Cette BD est la deuxième des 23 albums de "Tintin". Les aventures du reporter à houppette ont été traduites en 77 langues et se sont vendues à 220 millions d'exemplaires à travers le monde. Mais aussi bien les fans que les détracteurs critiquent "Tintin au Congo". Hergé lui-même confessait son embarras.
Sortie en 1931, alors que la Belgique colonisait encore le Congo, la BD narre les péripéties du petit journaliste blanc dans cette terre africaine où une population noire stupide finit par le vénérer comme un dieu, lui mais aussi son chien Milou.
Certaines éditions ultérieures ont été débarrassées des épisodes les plus choquants. Cependant, une version non-expurgée a été publiée en 2005 en Grande-Bretagne, assortie d'un avertissement et d'une préface rappelant le contexte colonial qui avait vu son écriture. (AP)
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Zianya
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Message par Zianya »

Stress, le mot le plus associé au travail pour 75% des Français

AFP - Mardi 31 juillet, 16h17

PARIS (AFP) - Trois quarts des Français (75%) estiment que le mot "stress" décrit le mieux la façon dont la plupart des gens vivent leur travail, selon un sondage de TNS Sofres, à paraître jeudi dans le magazine Pèlerin.
(Publicité)

Le stress se classe ainsi en tête des mots suggérés pour décrire le rapport au travail, devant "intérêt" (39% des sondés), "corvée" (28%), "ennui" ex aequo avec "plaisir" (18%), "souffrance" ex aequo avec "dynamisme" (16%). Plusieurs réponses étaient possibles à cette question.

Et 91% des Français jugent que les gens souffrent davantage de stress dans le travail depuis quelques années.

Interrogés sur les problèmes les plus difficiles à supporter dans le travail, ils placent en tête l'incertitude face à l'avenir professionnel (54%), devant le manque de reconnaissance (45%), la surcharge de travail (36%).

Globalement, les conditions de travail, qui feront l'objet d'une conférence sociale Etat-syndicats-patronat en octobre, sont perçues comme dégradées par 61% des personnes interrogées, selon cette enquête.

Si les jeunes entrant dans la vie professionnelle apparaissent plus optimistes que les 50-64 ans sur l'augmentation du stress et la dégradation des conditions de travail, ils souffrent davantage de l'incertitude sur l'avenir professionnel.

Sondage réalisé en face-à-face les 11 et 12 juillet auprès d'un échantillon national de 1.000 personnes représentatif de la population âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas.
matt
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Message par matt »

Conseil nutrition et pub : le message ne passe pas





L'UFC-Que Choisir dresse un piètre bilan de l'efficacité des messages santé obligatoires depuis février dernier pour les produits sucrés et gras.
Didier Chos, président de l'Institut européen de diététique et micronutrition, et médecin du sport, explique les raisons de cet échec.
Propos recueillis par Agathe DESCAMPS - le 31/07/2007 - 15h29






LCI.fr : Une enquête montre que 68% des parents interprètent le message de santé de travers et que 57% des enfants et 38% des parents ne voient même pas le message. Selon vous, à quoi est dû ce déficit de réception du message ?
Didier Chos : Je ne suis pas du tout étonné par ces chiffres. Les raisons de cette incompréhension sont nombreuses.
Tout d'abord, il y a un problème de fond : la crédibilité du message. Le public reçoit sans cesse des informations contradictoires, ce que le sociologue Claude Fischler a appelé la "cacophonie alimentaire". En résulte un message incohérent qui n'est pas compris.

En outre, ces messages sont hyper-simplifiés. Ils expliquent, par exemple, que la graisse n'est pas bonne pour la santé mais que les fruits sont très bons pour notre équilibre. Or, la graisse est bonne pour la santé, voire indispensable. C'est la notion de quantité et de qualité du produit qui doit entrer en compte. Or dans les messages simplifiés ces nuances ne sont pas expliquées. Il faut un message plus approfondi.

Il faut également souligner que l'industrie agro-alimentaire produit depuis des années des aliments gras et sucrés et s'est davantage souciée du coût de production que de la santé du grand public. Il est donc très difficile de croire ces industries aujourd'hui.

LCI.fr : Pensez vous que la forme du message joue également sur son incompréhension ?
D.C : Bien sûr, après les problèmes de fond, viennent les problèmes de forme. La publicité du produit est en couleur, en musique et souvent rythmée, elle attire donc tous les sens. Quand apparaît le message de prévention sanitaire qui est terne, il est complètement noyé par la publicité. De plus, comme c'est toujours le même message qui apparaît, lorsque le peu de personne qui l'ont vu l'on lu deux ou trois fois, ils n'y font plus du tout attention la quatrième. En outre, comment peut-on croire que l'on peut modifier le comportement d'un enfant avec un petit bandeau illisible !

LCI.fr : Certains demandent la suppression définitive des publicités pour les aliments sucrés et gras lors des émissions consacrées aux enfants. Pensez-vous que ce soit une solution efficace ?
D.C : L'interdiction n'est jamais la solution, c'est beaucoup trop drastique. C'est surtout irréalisable en raison de l'importance des industries agro-alimentaires.

LCI.fr : Quelles solutions préconisez-vous pour lancer une campagne de prévention sur la nutrition ?
D.C : Je préconiserais des messages pédagogiques. C'est le même principe que pour vendre des produits : pour inciter le public à se nourrir mieux et à faire du sport, il faut lui donner envie. Il faut parler à l'intelligence des gens et leur expliquer pourquoi il est bénéfique de bien manger et faire de l'activité physique. Les experts de la transmission d'un message, neurologues et sociologues, ne sont pas assez écoutés. Il ne faut pas oublier que les experts en recommandation ne sont pas des experts en communication. La solution réside dans la mise en place d'un message très pointu et dans l'idéal, ce message doit être individualisé. Il faut sortir des slogans, trop réducteurs et donc mal compris, et de la leçon de morale.

Une chose est sûre, on ne peut plus se contenter de messages courts. Même les officiels racontent des contre-vérités scientifiques à la télévision pour défendre leur place. La vérité scientifique est discutable, pas uniforme. Du coup, la meilleure façon d'informer le public est de débattre.
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indienne73
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Message par indienne73 »

Merci merci! :D

Si vous avez d'autres idées...!
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Message par LOTUS07 »

mercredi 1 août 2007, mis à jour à 08:33
Santé Critiques autour des franchises médicales LEXPRESS.fr

Les professionnels de la santé et les syndicats ont fait part de leur opposition à la création de franchises médicales destinées à financer la lutte contre la maladie d'Alzheimer et le cancer, annoncées mardi à Dax par Nicolas Sarkozy.

Les professionnels de santé et les syndicats manifestent depuis plusieurs mois leur opposition aux nouvelles franchises sur les soins de santé, détaillées mardi par Nicolas Sarkozy. Prévue à l'origine pour réduire le déficit persistant de l'assurance maladie, cette franchise servira finalement à financer la lutte contre la maladie d'Alzheimer et le cancer.

Nicolas Sarkozy avait envisagé cette mesure dès janvier pendant la campagne présidentielle, avant de présenter finalement le système de trois forfaits présenté mardi à Dax. A partir de 2008, les assurés sociaux devront payer de leur poche 50 centimes par boîte de médicament, 50 centimes pour chaque acte paramédical, et deux euros pour chaque recours à un transport sanitaire, ce jusqu'à un plafond annuel de 50 euros.

"Une mesure particulièrement inégalitaire", a estimé Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, jugeant qu' "on s'éloignerait un peu plus encore des principes de la Sécurité sociale". Nicolas Sarkozy "utilise la compassion en direction des malades du cancer ou d'Alzheimer pour justifier une mesure impopulaire destinée à combler pour partie les conséquences de la politique de la droite en matière de protection sociale", selon deux représentants du PS, Pascal Terrasse et Claude Pigement.

Les professionnels de santé, partis politiques, syndicats et associations (Attac, FSU, CGT, PS, PCF...) ont appelé à une mobilisation nationale le 29 septembre contre cette mesure.

Pour compenser les éventuelles injustices de ces nouvelles franchises sur les soins de santé, Martin Hirsch, Haut commissaire aux solidarités actives, a même proposé la création d'un "bouclier sanitaire" qui permettrait que les sommes restant à la charge du patient ne puissent dépasser de 3 à 5% de son revenu. Le ministère de la Santé a mis en place une mission d'étude sur ce bouclier sanitaire, mais l'Assurance maladie a précisé qu'elle n'était pas en mesure pour l'instant de plafonner les franchises médicales en fonction du revenu.
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Message par louce »

Moi en Culture general je n'ai jamais eus plus de 9 je crois :-) bon j'ai quand meme eus mon concours mais bon c'est vrai que c'est un peu penalisant .... je pense que c'est l'orthographe qui m'a beaucoup pénalisé :-)
Parceque moi on ma toujours dis tu sors d'un bac sms donc tu as plus de chance que les autres sur les sujets .. heuu c'est clair que certain sujet je les avais fais en cours comme le cancar le tabac mais bon je n'ai pas du savoir comment bien rédiger mes idée :-) bon courrage a toi ..
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Message par LOTUS07 »

En 2008, se soigner coûtera encore un peu plus cher
La franchise médicale devrait financer la lutte contre le cancer et Alzheimer. Par Eric Favereau QUOTIDIEN : mercredi 1 août 2007

Apparemment, c’est anodin. Et bien modeste. A partir de 2008, à chaque fois que vous achèterez une boîte de médicaments, vous aurez une franchise d’un demi-euro à payer. Pour tout acte paramédical, une franchise de 0,5 euro encore, et celle-ci monte à 2 euros pour chaque recours à un transport sanitaire.

C’est à l’occasion d’un déplacement, hier à Dax, consacré au thème de la prise en charge des maladies liées au vieillissement (lire ci-contre), que Nicolas Sarkozy est entré dans le détail de ce qui risque de devenir la polémique de l’été. En présentant cette instauration inédite de franchises médicales, le Président a certes mis en avant des garanties. « Les personnes les plus modestes seront dispensées, ainsi que les enfants et les femmes enceintes», a-t-il précisé. Souhaitant également que «cette franchise puisse être prise en charge par les assurances complémentaires santé». Un plafond global de 50 euros sera institué, par an et par patient. Et pour ceux qui mettraient en doute l’intérêt de cette mesure, Nicolas Sarkozy a expliqué que celle-ci devra «permettre de financer la lutte contre le cancer et contre la maladie d’Alzheimer, ainsi que les soins palliatifs».
Charge. De fait, Nicolas Sarkozy reste sur sa ligne. Lorsqu’il avait annoncé sa volonté d’instaurer les franchises, de nombreuses voix s’étaient élevées, s’inquiétant des conséquences, en particulier pour l’accès aux soins des personnes les moins favorisées. «On nous dit qu’il y aura des mesures d’accompagnement pour les plus pauvres, mais le problème ne concerne pas seulement les plus pauvres, mais ceux qui sont juste au-dessus des seuils, expliquait alors à Libération Bruno Palier, économiste au centre de recherches de Sciences-Po. Ce sont ces fameux 7 % des Français qui ne sont pas à la CMU, mais qui ne sont pas assez aisés pour avoir des mutuelles. Ces gens-là, avec les franchises, vont retarder leur entrée dans le système de soins. Ils vont devoir attendre avant d’aller se faire soigner. Et ce sera catastrophique car ils se feront soigner quand ils seront encore plus malades.»
Martin Hirsch, tout juste nommé haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, s’était montré, lui aussi, critique: «Est-ce que j’approuverai cette mesure ? La réponse est non.» Et il avait suggéré une sorte de «bouclier sanitaire», en limitant, comme cela se fait en Allemagne, la charge incombant au patient à un maximum de 3 % de leurs revenus. Nicolas Sarkozy l’a en partie écouté, e n mettant des garde-fous. Et au passage, il a évité de reprendre son argument de campagne où il s’agissait de «responsabiliser les patients».
Il n’empêche : les réactions ne se sont pas fait attendre. Hier, le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, a estimé que « c’était une mesure particulièrement inégalitaire». Plus politique, Gérard Bapt, député PS de Haute-Garonne, s’est insurgé contre les franchises médicales qui «contrastent avec les milliards d’euros de cadeaux fiscaux qui viennent d’être faits aux plus grosses fortunes dans le paquet fiscal». Le rapporteur spécial du budget de la Santé, ajoutant: « Présentées comme destinées à financer le développement des soins palliatifs et la prise en charge de la maladie d’Alzheimer, elles étaient en fait prévisibles au regard du déficit aggravé de la Sécu. Mais ces mesures pourront rapporter à peine plus d’un milliard d’euros en année pleine. Elles ne constituent en rien l’amorce des réformes structurelles qu’appelle l’échec de la réforme de la Sécurité sociale votée en 2004.»
«Intéressés». Enfin, le Collectif interassociatif des usagers de la santé pointe le fait que seuls les patients vont devoir mettre la main à la poche : «Pendant l’été, comme une mauvaise habitude, les projets gouvernementaux se finalisent sans les principaux intéressés. Au départ, la création des fran­chises devait concourir au rétablissement des comptes de la Sécu. Avant qu’elles ne soient justifiées par le plan Alzheimer. Mais, quoi qu’on en dise, il s’est agi de mettre à contribution les malades, et eux seuls.»
Le soleil est nouveau tous les jours.
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Message par LOTUS07 »

«Le maïs ne poussait pas»
Un agriculteur accuse ses voisins d’avoir contaminé ses champs :
Par LAURE ESPIEU QUOTIDIEN : mercredi 1 août 2007

Du maïs, Bernard Pouey en a toujours fait. «Pour nourrir le bétail.» A Saint-Dos, petite bourgade du Béarn de 140 habitants, nichée au pied des Pyrénées, c’est même une culture traditionnelle. Pourtant, face à l’état de son champ, Bernard Pouey est allé porter plainte vendredi. Persuadé d’avoir été victime de sabotage. D’un complot des voisins.

Test. Converti au bio depuis sept ans, l’agriculteur a observé avec inquiétude l’avancée des OGM. A la période des semis, il est convaincu que toutes les parcelles environnantes sont passées transgéniques. Du coup, il décide de participer à une expérimentation pour tenter de déterminer le risque de contamination. Avec l’aide d’associations, et le soutien financier du conseil régional, il sème diverses variétés de maïs, et mène un suivi sur la nature des pollens et les interactions avec son champ. «L’idée était de tester si on restait ou non dans le seuil des 0,9 % de contamination maximum, censé être garantis par les distances de sécurité réglementaires», explique Patrick de Koscho, responsable du test. Sauf qu’au bout de après quelques semaines Bernard Pouey détecte un problème. «Le maïs ne poussait pas. Arrivé à sept ou huit feuilles, il restait nain, ne dépassait pas 20 cm, et devenait jaune.»
Ce qui l’alerte, c’est que même les mauvaises herbes dépérissent. Pire, les deux parcelles expérimentales, distantes de 800 m, sont touchées. «Ils ont fait quelque chose», répète-t-il. L’organisme certificateur bio et les assurances sont saisis, pour procéder à des analyses. Les résultats se font encore attendre, mais lui suspecte une attaque chimique, avec ralentisseurs de croissance. «Comme ça, mon maïs va fleurir quinze jours après tout le monde, ou pas du tout, et il ne sera plus question de contamination.» Robert Claverie, le maire, essaye de calmer les esprits : «Sa parcelle n’a pas été semée dans les meilleures conditions. Il y avait la pluie, le terrain était froid.» Surtout, il veut croire que l’expérimentation était infondée, que les producteurs d’OGM auraient eu la courtoisie de prévenir l’agriculteur. Et c’est le nœud du problème.
Gênant. L’administration classe confidentiel la localisation de ces cultures. Quant aux voisins, aucun ne s’avance sur la nature exacte de son maïs. «Chacun est libre de faire ce qu’il veut chez lui, tant qu’il respecte les lois et les décrets», élude l’un d’eux. Un autre reconnaît que «tout est possible». «Les parcelles OGM, on sait où elles sont, glisse-t-il. Après, il se peut que des gens aient fraudé, en ne se déclarant pas aux autorités, ou en respectant mal les distances de sécurité.» Dans ce cas, le champ test de Pouey devenait gênant. Les cultures voisines, en revanche, témoignent d’une vitalité remarquable.
Le soleil est nouveau tous les jours.
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Message par LOTUS07 »

mercredi 1 août 2007, mis à jour à 08:40
Espagne Incendies: état d'alerte maximale aux Canaries LEXPRESS.fr

L'archipel espagnol des Canaries connaît depuis vendredi dernier deux incendies parmi les plus importants de ces dernières décennies, qui ont entraînés l'évacuation de 12 000 personnes et brûlés quelque 35 000 hectares. Le départ de feu sur l'île de Grande-Canarie est d'origine criminelle.

Près de 12 000 personnes évacuées et 35000 hectares brûlés: l’archipel espagnol des Canaries est en proie à d’importants incendies depuis vendredi dernier. Alors que la ministre espagnole de l’environnement, Cristina Narbona, parle d’état "d’alerte maximale", le chef du gouvernement Jose Luis Zapatero a annoncé sa visite ce mercerdi sur place.

Grande-Canarie: incendie criminel
Deux feux se sont déclarés, l’un sur l’île de Grande-Canarie, l’autre sur celle de Tenerife. La tâche des pompiers est rendue difficile en raison du relief accidenté des lieux, des fortes températures et des vents violents. Ainsi, sur la dizaine de bombardiers disponibles, seuls deux appareils peuvent actuellement voler.

Sur la Grande-Canarie, 5 200 personnes ont été évacuées, 20 000 hectares sont partis en fumée dans le centre montagneux et boisé de l’île et on dénombre quatre fronts, dont deux particulièrement préoccupants selon les pompiers. Le sinistre a partiellement affecté un parc zoologique situé au sud de l’île et où se trouvent 150 espèces d’oiseaux ainsi qu'un millier de palmiers.

Cet incendie est d'origine criminelle; samedi un garde-forestier de 37 ans, qui avait été l'un des premier à donner l'alerte, a reconnu être l'auteur du départ de feu.

Quant à l'ïle de Tenerife, particulièrement touristique, les trois foyers d'incendie qui l'ont touchée ont fait fuir, selon le président du gouvernement régional Paulino Rivero, 8500 personnes, tandis que 15 000 hectares ont été dévastés.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
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Message par LOTUS07 »

Prison avec sursis pour une mère battue hébergée par une association
Une mère victime de violences conjugales qui s'était réfugiée, avec ses enfants, auprès d'une association, à l'insu de son mari, a été condamnée, jeudi 26 juillet, à trois mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Dunkerque, qui a relaxé l'association et son ancienne directrice.
La mère, poursuivie par son époux, devra en outre verser 800 euros de dommages et intérêts pour ne pas avoir communiqué au père sa nouvelle adresse lorsqu'elle avait été recueillie du 1er janvier au 4 août 2003 par l'association Sedire à Dunkerque.
Une décision très éloignée du réquisitoire du procureur qui, lors de l'audience le 22 juin dernier, n'avait pas demandé de peine précise à l'encontre des prévenus, laissant le tribunal apprécier si l'"état de nécessité" pouvait être invoqué.
Hospitalisée fin 2002 après avoir été victime de violences de la part de son mari, la condamnée avait été orientée par les services sociaux vers cette association d'aide aux femmes battues. Là, la mère et ses trois enfants avaient été hébergés et l'association n'a pas transmis leur nouvelle adresse au mari violent, comme une circulaire du 8 mars 1999 le préconise.
La mère avait par ailleurs déposé plainte pour violences, mais celle-ci avait été classée sans suite, malgré l'ouverture d'une information judiciaire, en raison du départ de son mari en Turquie.
Poursuivies, elles aussi, pour "complicité de soustraction à l'autorité parentale", l'association et sa directrice au moment des faits ont en revanche été relaxées.
Interrogée par le site Internet des ASH, Mauricette Sauvignon, à la tête de Sedire jusqu'en janvier 2006, s'avouait "soulagée d'être relaxée mais très déçue pour la mère". "Je suis atterrée, c'est inadmissible et incompréhensible" a-t-elle ajouté.
"Ce n'est pas une décision de justice, mais de l'injustice. On marche sur la tête !", s'est-elle emportée, précisant que la mère de famille était elle aussi "choquée et bouleversée" lors de l'énoncé du verdict.
Mauricette Sauvignon s'est également inquiétée des répercussions de l'affaire sur le sort des autres femmes battues. "C'est le mari qui est violent et c'est la mère qui est condamnée. Beaucoup de femmes, qui ont déjà peur de porter de porter plainte, vont être découragées", a-t-elle estimée.
Selon l'ancienne directrice de Sedire, la mère condamnée refuse catégoriquement de payer des dommages et intérêts à son époux et devrait faire appel de la décision la concernant.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
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Message par LOTUS07 »

La HALDE rappelle le principe de prise en charge du transport des élèves handicapés

"Les frais de déplacements des élèves handicapés fréquentant un établissement d’enseignement général, agricole ou professionnel, public ou privé sous contrat, et qui ne peuvent utiliser les moyens de transport en commun du fait de la gravité de leur handicap doivent être pris en charge par le département du domicile des intéressés".
La Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (HALDE) vient de rappeler cette disposition du code de l'éducation à un syndicat mixte des transports en commun d'un département du sud de la France, qui avait refusé de prendre en charge les frais de déplacement d'un élève handicapé vers le lieu du stage qu'il effectuait dans le cadre de sa scolarité.

Le collège de la HALDE a donc demandé au syndicat de modifier son règlement pour le mettre en conformité avec ce principe, indique l'instance dans un communiqué diffusé jeudi 26 juillet.
Le département concerné a deux mois pour rendre compte à la HALDE des suites données aux recommandations qu'elle a formulées dans sa délibération du 2 juillet, précise-t-elle enfin.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
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