Les médicaments en grande surface ?
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- titegrenouille13
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non c propre à chaque pharmacie....
mais je voulais rajouter aussi qu'une pharmacie voit passer moins de monde qu'une gande surface donc le pharmacien connait ses clients reguliers... ainsi que le gros de son traitement si c'est un traitement pris en continu
mais je voulais rajouter aussi qu'une pharmacie voit passer moins de monde qu'une gande surface donc le pharmacien connait ses clients reguliers... ainsi que le gros de son traitement si c'est un traitement pris en continu
maman comblée d'Andrea & de Naïs
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adeline17 a écrit :Une telle mesure promet de méga conneries au niveau des traitements. Un médicament même non remboursé reste un médicament avec ses effets indésirables et ses contre-indications.
Cela nécessite les conseils d'un pharmacien !
+1
voilà pourquoi la vente en grande surface me parait dangereuse!! l'automédication, oui, mais encadrée et surtout pas n'importe comment!!
quand on voit le niveau de connerie de certaines personnes... ou d'inattention



ya des urgentistes sur le forum?? je vous plein sincèrement

Libérééééée, mais pas délivrée!!!
Seule dans la voiture, les collègues au bout de l'appli, et les discussions au bureau! le compromis idéal.... Libéral, en équipe
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- 4611samsara
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titegrenouille13 a écrit :non mais ton pharmacien a dans son ordi un historique des traitements que tu achete chez lui et donc certains verifient... de plus certains logiciels signalent d'eux memes les interactions contre indiquées
dans ce cas on pourrait imaginer une pharmacie en self service, avec des distributeurs préprogrammés qui te reconnaissent et te file ton traitement en fonction de ta prescritption numérique te de ta carte vitale...
on va y venir!
les pharmaciens ne viendront pas pleurer si ils perdent leur job: ils n'ont pas joué le jeu, ils se sont contenté d'encaisser l'argent, on va bientôt pouvoir les remplacer par de vulgaires machines et tout ça parcequ'ils ont voulu profiter de la société de consommation pour faire un max de profits!!! maintenant la corporation des pharmaciens n'a plus d'arguments: en réalité il n'y a pas davantage de service en officine que dans un magasin de chaussures

- titegrenouille13
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4611samsara a écrit :titegrenouille13 a écrit :non mais ton pharmacien a dans son ordi un historique des traitements que tu achete chez lui et donc certains verifient... de plus certains logiciels signalent d'eux memes les interactions contre indiquées
dans ce cas on pourrait imaginer une pharmacie en self service, avec des distributeurs préprogrammés qui te reconnaissent et te file ton traitement en fonction de ta prescritption numérique te de ta carte vitale...
on va y venir!
les pharmaciens ne viendront pas pleurer si ils perdent leur job: ils n'ont pas joué le jeu, ils se sont contenté d'encaisser l'argent, on va bientôt pouvoir les remplacer par de vulgaires machines et tout ça parcequ'ils ont voulu profiter de la société de consommation pour faire un max de profits!!! maintenant la corporation des pharmaciens n'a plus d'arguments: en réalité il n'y a pas davantage de service en officine que dans un magasin de chaussures
je ne suis pas d'accord ca depend des officines et des pharmaciens... et puis si tu leur demande un conseil ils te repondent...
maman comblée d'Andrea & de Naïs
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pour avoir entendu Edouard Leclerc, patron des magasins du même nom, à la radio, il disait que la vente de ces médicaments déremboursé se feraient dans leur parapharmacie (et non dans les centres commerciaux au milieu des conserves) où travaillent des docteurs en pharmacie.
je dirais donc Why not devant ce concept là. mais bon les conseils ne seront pas plus présents que dans les officines classiques.
personnellement, chaque fois que je vais dans une officine et que j'ai besoin d'un conseil, je le reçois.
ma soeur bosse en officine. les pharmaciens font peut être de la marge sur les produits déremboursés mais les laboratoires aussi.
et je vois mal leclerc vendre à perte un médicament acheté à un laboratoire. il mettra c'est sûr une marge moindre que les officines.
je dirais donc Why not devant ce concept là. mais bon les conseils ne seront pas plus présents que dans les officines classiques.
personnellement, chaque fois que je vais dans une officine et que j'ai besoin d'un conseil, je le reçois.
ma soeur bosse en officine. les pharmaciens font peut être de la marge sur les produits déremboursés mais les laboratoires aussi.
et je vois mal leclerc vendre à perte un médicament acheté à un laboratoire. il mettra c'est sûr une marge moindre que les officines.
Sorlock83
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"quand la bouteille est vide, je craques une allumette et la bouteille vide se remplit de lumière " (JJGoldman)
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- 4611samsara
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titegrenouille13 a écrit :je ne suis pas d'accord ca depend des officines et des pharmaciens... et puis si tu leur demande un conseil ils te repondent...
FAUX!!
et c'est de mon vécu que je parles!
quand je vais à la pharmacie j'ai le plus souvent affaire à un(e) vendeur(se)" qui cherche juste à me vendre ce qu'il y a sur les présentoirs, qui rechigne à répondre à mes questions, qui se contente de recopier la posologie de la prescription sur la boîte (en gribouillant et parfois avec des fautes!), qui ronchonne quand je demande une photocopie de ladite prescription parceque je n'arrive pas à relire ce qu'elle a griffonner sur la boîte, qui me fait comprendre que ça la gave de traverser la boutique pour chercher un produit d'une autre marque que ce qu'elle expose sur le comptoir et qui, quand je pose une question, se contente de me lire la notice en accrochant sur les mots!!!
après, c'est comme toujours, il y a des petites "boutiques" à taille humaine!
mais la plupart du temps, quand je vais à la pharmacie, j'ai l'impression d'être dans un supermarché, alors pourquoi ne pas aller acheter carrément les produits au supermarché?
je persiste à dire "produits" car il ne s'agit en fait que des médicaments accéssibles sans ordonnance, de la "parapharmacie", des produits minceurs, anti viellissement, puériculture, solaires, contre la rétention d'eau, bas de contention... pourquoi laisser le monopole aux pharmacies? qu'est-ce qu'elles apportent de plus?
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Question bête :
Qu'est-ce qui empêche les grandes enseignes de faire une pharmacie sous leur nom, comme on voit déjà des parapharmacies ?
Je me dis que c'est peut être la législation qui dit que seul un pharmacien peut ouvrir une pharmacie et en son nom... Mais je ne sais pas.
Qqu'un pour m'éclairer ?
Sinon, je ne vois pas du tout 'intérêt à ce que les grandes surfaces s'y mettent. Elles se mettent déjà d'accord pour aligner leurs prix (chose illégale, mais courante), alors ça ne changera pas grand chose pour les médicaments.
Qu'est-ce qui empêche les grandes enseignes de faire une pharmacie sous leur nom, comme on voit déjà des parapharmacies ?
Je me dis que c'est peut être la législation qui dit que seul un pharmacien peut ouvrir une pharmacie et en son nom... Mais je ne sais pas.
Qqu'un pour m'éclairer ?
Sinon, je ne vois pas du tout 'intérêt à ce que les grandes surfaces s'y mettent. Elles se mettent déjà d'accord pour aligner leurs prix (chose illégale, mais courante), alors ça ne changera pas grand chose pour les médicaments.
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Ca va être le cas grâce à la carte vitale (mais avec l'autorisation du porteur).la_soso a écrit :titegrenouille13 a écrit :non mais ton pharmacien a dans son ordi un historique des traitements que tu achete chez lui et donc certains verifient... de plus certains logiciels signalent d'eux memes les interactions contre indiquées
Je ne savais pasc'est pratique!
Par contre, est-ce que ça fonctionne si tu changes de pharmacie?

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Le nombre de flacons vides de néo cod devant une pharmacie le montre régulièrementArgrath le Troll a écrit :Et les personnes voulant plusieurs médocs vont voir plusieurs médecins et plusieurs pharmaciens. La toxicomanie ou auto médicationfonctionnent déjà.
Un vrai tox connait mieux le vidal que n'importe lequel d'entre nous!

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Le truc, c'est que les grandes enseignes peuvent vendre avec des petites marges, parce qu'ils peuvent augmenter leurs marges sur les bouteilles de lait ou les conserves de haricots verts.sorlock83 a écrit :et je vois mal leclerc vendre à perte un médicament acheté à un laboratoire. il mettra c'est sûr une marge moindre que les officines.
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alise a écrit :
De toute façon, un certain nombre de médicaments sont déremboursés parce qu'ils ont été soi-disant jugés sans effet (comme le daflon, par exemple). Je ne vois pas pourquoi un médicament censé être sans effet ne pourrait pas être en vente libre. .
Si un médicament est sans effet à quoi bon le laisser en vente...

titegrenouille13 a écrit : certaines personnes ne sont pas à meme de comprendre une notice d'utilisation alors ca peut etre dangeureux
Je suis interessé par cette réflexion car pour ma part, j'y suis favorable ... MAIS je me dis que je raisonne avec ma pensée de soignant qui y connait un peu en médicaments et qui sait où aller me renseigner de façon un peu plus poussée....
Pour les gens qui n'y connaissent rien (la majorité de la population) n'y-a-t-il pas des risques ? Tout en sachant qu'à ce jour une liste de ces médicaments n'est pas fixée.
D'autre part, c'est facile d'aller acheter un antalgique (quel qu'il soit) cependant il faut bien penser que la douleur est parfois un signe d'alerte qui permet de détecter certaines maladies par exemple... n'y-at-il pas un risque que les gens qui s'automédiquent dans ce sens prennent le risque de passer à côté de quelque chose ?
4611samsara a écrit :
et j'ai jamais vu un pharmacien ou un préparateur expliquer à qui que se soit la notice, quand il s'agit de "produit" vendu sans ordonnance
Moi si... encore faut il parfois savoir quelles questions poser...
Pour en avoir fait l'expérience, entre deux sirops, le plus avantageux dans mon cas est souvent ... le plus cher....
pucine cap a écrit :
en meme temps il y a quelque mois, le ministere passait une pub à la tele pour proner l'automédication..
Oui c'est vrai mais il me semble avec certaines recommandations
Argrath le Troll a écrit :
Et que l'ordre des pharmaciens en crève d'apoplexie.
Je pense qu'ils vont se battre bec et ongle et tant que Bachelot sera au gouvernement....

la_soso a écrit :Gengis a écrit :la_soso a écrit :Je suis pour mais seulement pour les médicaments "courants".
C'est quoi un médicaments courant ?
aucun médicament n'est anodin... je pense à l'apirine, par exemple...
Je suis d'accord mais est-ce que quand tu vas chercher de l'aspirine, ton pharmacien te demande si tu vas être opéré ou si tu es sous anti-vitamine K?
C'est pourquoi ma réponse est qu'il n'y a aucun médicament anodin...

4611samsara a écrit :titegrenouille13 a écrit :je ne suis pas d'accord ca depend des officines et des pharmaciens... et puis si tu leur demande un conseil ils te repondent...
FAUX!!
et c'est de mon vécu que je parles!
Donc pas de généralisation hâtive

La pensée vole, et les mots vont à pieds.
La polémique enfle autour des médicaments « Leclerc »
NOUVELOBS.COM | 16.04.2008 | 15:12
Depuis quelques jours, une campagne de publicité Leclerc réclame le droit de vendre les médicaments en supermarché. En tentant de démocratiser une pratique centenaire, M.E.Leclerc s’est attiré les foudres des pharmaciens et des laboratoires pharmaceutiques de l’hexagone. Cette campagne fait suite au déremboursement progressif de nombreux médicaments dit de confort.
Petit rappel des faits : après une étude achevée en 2001 par la commission de transparence pointant 835 médicaments, l’état décide, 2 ans plus tard de ne plus prendre en charge 60 jugés, le plus souvent, trop vieux. En 2006, 156 autres subissent le même sort. Enfin, en 2007, 89 traitements sont également écartés. Les derniers déremboursement en date remontent au début de l’année 2008. Le 12 avril dernier, une journée d’action a été organisée par le Mouvement Contre les Franchises Médicales en réponse à la diminution de la prise en charge des traitements par l’assurance maladie.
C’est donc suite à ces constats que M.E. Leclerc surfe sur la vague et tente de rafler ce marché. D’après son blog, les médicaments non pris en charge depuis 2006 ont augmenté de 36% en moyenne, ceux de 2008 de 30%. Même s’il est conscient que « ce n’est pas demain la veille…que le gouvernement français ouvrira ce marché pour autoriser notre initiative », il espère inciter les professionnels à faire baisser les prix. Ou alors que soit autorisée, au même titre que certains pays européens, la vente libre des médicaments. Il propose que ces médicaments soient vendus moins cher en parapharmacie, dans les supermarchés, sous le contrôle d’un pharmacien.
Hier, deux syndicats se sont associés au groupe de pharmaciens demandant le retrait de la campagne publicitaire. Cette demande doit être examinée mercredi 16 avril par le tribunal de Grande Instance de Colmar. Le débat est ouvert. Affaire à suivre…
Mélanie Bourdon
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