Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
- LittleFoetus
- Insatiable
- Messages : 471
- Inscription : 19 mars 2007 00:19
- Localisation : NIMES

LEMONDE.FR avec Reuters | 11.07.07 | 11h31 • Mis à jour le 11.07.07 | 11h39
L'affaire fait la "une" de la presse américaine : un ancien secrétaire à la santé du président américain George W. Bush a accusé, mardi 10 juillet, devant une commission de la Chambre des représentants, l'administration Bush de l'avoir censuré sur plusieurs dossiers, notamment celui des cellules-souches.
"Tout ce qui ne rentre pas dans le cadre du programme idéologique, religieux ou politique des responsables au pouvoir est ignoré, marginalisé, ou tout simplement enterré", a estimé le docteur Richard Carmona, premier "chirurgien général" nommé par George W. Bush en 2002. Un poste (équivalent de celui de ministre en France) qu'il a occupé jusqu'en 2006. "Le problème de cette démarche, c'est qu'en matière de santé publique, tout comme en démocratie, il n'y a rien de pire que d'ignorer la science, ou d'en marginaliser l'expression pour des raisons dépendant de l'orientation politicienne. Le rôle du chirurgien général est d'être le médecin du pays, pas celui d'un parti politique", a-t-il ajouté.
APPELS POUR UNE PLUS GRANDE INDÉPENDANCE DE LA FONCTION
Le docteur Carmona, dont l'intégralité du témoignage est mise en ligne par le New York Times, a affirmé que les responsables de l'administration Bush avaient censuré ses discours et l'avaient empêché de s'exprimer publiquement sur certains dossiers, dont la recherche sur les cellules-souches, la contraception, et ses doutes quant à la politique gouvernementale de limiter l'éducation sexuelle à la promotion de l'abstinence. En réponse à ces déclarations, le porte-parole de la Maison Blanche a déclaré que le docteur Carmona avait "reçu le soutien nécessaire pour mener à bien sa mission".
Richard Carmona et deux de ses prédécesseurs, les docteurs Everett Koop (sous l'administration Reagan) et David Satcher (sous l'administration Clinton), étaient auditionnés par une commission chargée de réfléchir au renforcement du poste de "chirurgien général". Ils ont appelé à une plus grande indépendance de la fonction. "Les interférences des politiques avec le travail du chirurgien général semblent avoir atteint un niveau supérieur avec cette administration", a estimé le député Henry Waxman, démocrate de Californie qui dirige le comité devant lequel M. Carmona a témoigné. "Le public attend d'un chirurgien général qu'il soit protégé des pressions politiques et qu'il puisse exprimer son point de vue professionnel, basé sur les faits scientifiques les mieux documentés", a-t-il ajouté.
Ces déclarations surviennent alors que le Sénat américain doit tenir, jeudi, une audience à propos de la nomination controversée du docteur James Holsinger en remplacement de Richard Carmona. Choisi par la Maison Blanche, le docteur Holsinger est notamment critiqué par des militants des droits des homosexuels, mais aussi par plusieurs démocrates de premier rang qui estiment qu'il a publié des écrits hostiles à l'homosexualité.

IDE en cancéro à Marseille!
_________________
IDE depuis le 26/11/10 ~Projet pro : IADE~ -_-"
_________________
IDE depuis le 26/11/10 ~Projet pro : IADE~ -_-"
- LittleFoetus
- Insatiable
- Messages : 471
- Inscription : 19 mars 2007 00:19
- Localisation : NIMES

LCI - le 08/07/2007 - 15h57
- Certains vendeurs n'hésitent pas à utiliser une substance illégale qui conduit à des cas d'allergies cutanées.
- Les autorités sanitaires mettent en garde contre ces pratiques et appellent à la vigilance.

Ils sont partout. Sur les plages, les marchés, les rues touristiques. Les tatoueurs au henné profitent de l'été pour proposer leur service... Des services qui s'avèrent parfois dangereux pour la santé du consommateur.
Très appréciés, les tatouages de couleur noire, sont très souvent proposés à la vente. Problème : Pour arriver à cette teinte, les vendeurs utilisent la paraphénylènediamine (PPD), une substance illégale. D'après l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), ces tatouages temporaires noirs à base de henné sont à l'origine de cas d'allergies cutanées potentiellement graves.
Sur le net aussi
Pour les cosmétiques, la PPD est autorisée uniquement dans les teintures capillaires, à une concentration de 6% maximum. Elle sert aussi à colorer des textiles notamment. Or selon une enquête de la direction générale de la concurrence de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) durant l'été 2005, de nombreux produits de tatouage temporaire à base de henné, commercialisés principalement sur le Net, contenaient de la PPD à des concentrations allant jusqu'à 26%.
Intervention médicale ou hospitalisation
Le système de cosmétovigilance de l'Afssaps rapporte 8 déclarations d'effets indésirables survenus avec des tatouages éphémères à base de henné en 2004, 9 en 2005 et 16 en 2006. "Compte tenu du caractère récent de ce dispositif, ces chiffres sont vraisemblablement en dessous du nombre réel de cas d'eczémas constatés", qui "peuvent entraîner des réactions violentes, nécessitant parfois une intervention médicale urgente voire une hospitalisation", souligne l'Afssaps. Ces réactions peuvent "être limitées à la zone tatouée ou s'étendre à la zone avoisinante voire à tout le corps".
L'Afssaps rappelle que toute réaction cutanée faisant suite à l'utilisation d'un produit cosmétique doit être signalée à un professionnel de santé.

IDE en cancéro à Marseille!
_________________
IDE depuis le 26/11/10 ~Projet pro : IADE~ -_-"
_________________
IDE depuis le 26/11/10 ~Projet pro : IADE~ -_-"
- LittleFoetus
- Insatiable
- Messages : 471
- Inscription : 19 mars 2007 00:19
- Localisation : NIMES

LE MONDE | 11.07.07 | 16h31 • Mis à jour le 11.07.07 | 16h31
Faut-il ou non proposer, à tous les hommes âgés de 50 à 75 ans, le dosage régulier de la PSA, une molécule connue pour être un marqueur biologique du cancer de la prostate ? Depuis plusieurs années, l'Association française d'urologie (AFU) recommande un tel dépistage, effectué sur prescription médicale. On estime que 2,7 millions de ces analyses sont pratiquées chaque année en France et prises en charge, pour un montant de plus de 60 millions d'euros, par la Sécurité sociale.
La systématisation de cette approche est-elle médicalement et économiquement justifiée ? Deux spécialistes, l'un de santé publique, l'autre d'épidémiologie, en doutent fort. Le professeur Gérard Dubois (CHU d'Amiens) vient ainsi de publier, dans le Canadian Journal of Public Health, un article dans lequel il dénonce l'absence, en France, de toute forme d'évaluation médicale et économique de ce dépistage.
SURDIAGNOSTIC
Il partage de ce point de vue les conclusions exprimées par Catherine Hill (Institut Gustave-Roussy) dans le dernier numéro de la revue La Presse médicale. "L'inconvénient majeur du dépistage du cancer de la prostate est le surdiagnostic, c'est-à-dire le dépistage de cancers qui ne seraient jamais devenus symptomatiques et dont les traitements entraînent souvent impuissance ou incontinence urinaire, explique Mme Hill. Il faut oser dire que la situation française actuelle est à l'origine d'une véritable épidémie de pseudo-cancers prostatiques aux conséquences désastreuses. En l'état actuel des connaissances il n'est pas licite de suivre les recommandations de l'AFU." Pour cette spécialiste d'épidémiologie il faudrait, en toute rigueur, attendre les analyses de la mortalité dans les deux essais de dépistage réalisés en Europe et aux Etats-Unis, analyses qui devraient commencer à partir de 2008.
"Nous sommes une nouvelle fois victimes de certains ayatollahs de la santé publique, estime le professeur Guy Vallancien, spécialiste d'urologie (Institut mutualiste Montsouris). Il faut savoir que la polémique sur le diagnostic précoce du cancer de la prostate n'est pas sans arrière-pensées économiques. Les médecins de santé publique ne s'intéressent qu'au coût global du dépistage par le PSA sans s'interroger sur les causes. Or sur 10 ans on peut évaluer à 5 millions le nombre de dosages de la PSA prescrits non pas pour un diagnostic, mais pour le suivi d'hommes traités par chirurgie, radiothérapie, ultrasons ou hormono ou chimiothérapie. Nous sommes également la cible des cancérologues furieux de voir que les urologues sont en première ligne pour traiter les cancers de la prostate."
Pour le professeur Vallancien, l'essentiel est ailleurs. "La réalité quotidienne est que nous voyons de moins en moins, pour ne pas dire presque plus, de malades souffrant d'emblée de métastases de leur cancer prostatique, souligne-t-il. Ce sont chez des hommes de la cinquantaine en pleine forme que, grâce au dosage PSA, on découvre l'existence d'un cancer de petit volume pouvant être aisément traité sans complications majeures. Ce sont les malades qui ont raison. Eux comprennent parfaitement le bénéfice d'une détection précoce. Ils le disent et s'indignent le cas échéant de voir que leur médecin ne leur a pas proposé un test biologique plus tôt."

IDE en cancéro à Marseille!
_________________
IDE depuis le 26/11/10 ~Projet pro : IADE~ -_-"
_________________
IDE depuis le 26/11/10 ~Projet pro : IADE~ -_-"
- hdenise
- Adepte
- Messages : 108
- Inscription : 05 févr. 2007 11:54
- Localisation : Réunion, vie à perpignan, quitte pour paris
Trois enfants retrouvés morts :
le père reconnaît les faits
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 11:35
Le père des trois enfants de 3, 6 et 12 ans, retrouvés morts dans la baignoire de leur domicile, à Montélimar, a avoué les avoir tués. Il avait été interpellé après s'être enfui.
Le père des trois enfants dont les cadavres ont été retrouvé dans son domicile à Montélimar a été arrêté (Reuters)
Le père soupçonné d'avoir tué ses trois enfants, retrouvés morts à son domicile, mercredi soir à Montélimar (Drôme), a reconnu les faits après son interpellation, apprend-on jeudi 12 juillet de source judiciaire.
Il avait été interpellé dans la nuit de mercredi à jeudi à Cognin, en Savoie.
Les corps, d'un garçon de six ans et deux filles de trois et 12 ans avaient été découverts mercredi après-midi dans une baignoire. La mère avait appelé les autorités. Le couple était en cours de séparation. On ne connaît toujours pas la cause de la mort.
Famille sans histoire
Une enquête a été ouverte par l'antenne de Valence de la police judiciaire de Lyon, et des témoins ont été entendus dans la nuit de mercredi à jeudi. Le père des enfants est un employé de grande surface, âgé de 37 ans.
De source judiciaire, on indique que "des écrits" ont été retrouvés sur une table à son domicile, sur lesquels "la garde des enfants ou son refus de les voir partir chez leur mère" seraient évoqués. Selon le parquet de Valence, il s'agissait d'une famille sans histoire. (avec AP)
le père reconnaît les faits
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 11:35
Le père des trois enfants de 3, 6 et 12 ans, retrouvés morts dans la baignoire de leur domicile, à Montélimar, a avoué les avoir tués. Il avait été interpellé après s'être enfui.
Le père des trois enfants dont les cadavres ont été retrouvé dans son domicile à Montélimar a été arrêté (Reuters)
Le père soupçonné d'avoir tué ses trois enfants, retrouvés morts à son domicile, mercredi soir à Montélimar (Drôme), a reconnu les faits après son interpellation, apprend-on jeudi 12 juillet de source judiciaire.
Il avait été interpellé dans la nuit de mercredi à jeudi à Cognin, en Savoie.
Les corps, d'un garçon de six ans et deux filles de trois et 12 ans avaient été découverts mercredi après-midi dans une baignoire. La mère avait appelé les autorités. Le couple était en cours de séparation. On ne connaît toujours pas la cause de la mort.
Famille sans histoire
Une enquête a été ouverte par l'antenne de Valence de la police judiciaire de Lyon, et des témoins ont été entendus dans la nuit de mercredi à jeudi. Le père des enfants est un employé de grande surface, âgé de 37 ans.
De source judiciaire, on indique que "des écrits" ont été retrouvés sur une table à son domicile, sur lesquels "la garde des enfants ou son refus de les voir partir chez leur mère" seraient évoqués. Selon le parquet de Valence, il s'agissait d'une famille sans histoire. (avec AP)
admise à l'aphp
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
- hdenise
- Adepte
- Messages : 108
- Inscription : 05 févr. 2007 11:54
- Localisation : Réunion, vie à perpignan, quitte pour paris
Les députés adoptent la défiscalisation
des heures supplémentaires
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 09:14
L'Assemblée nationale a adopté un amendement qui porte la majoration des heures supplémentaires à 25% du salaire horaire. Le dispositif coûtera "6 milliards d'euros en année pleine", estime Christine Lagarde. "Injuste et très coûteux", selon l'opposition.
L'Assemblée nationale (c) AFP
L'Assemblée nationale a adopté dans la nuit de mercredi 11 à jeudi 12 juillet le dispositif sur les heures supplémentaires.
Ce dispositif prévoit la déduction du paiement des heures supplémentaires du revenu imposable des salariés et la réduction des cotisations sociales, pour l'employé comme pour l'employeur.
L'article premier du projet de loi travail, emploi et pouvoir d'achat (TEPA) présenté par Christine Lagarde, la ministre de l'Economie, débattu depuis mardi par les députés dans le cadre d'une procédure d'urgence, sera applicable à partir du 1er octobre 2007.
Moins de cotisations sociales
Les députés ont adopté une série d'amendements, notamment celui portant à 25% du salaire horaire la majoration pour les heures supplémentaires pour toutes les entreprises, y compris celles de 20 salariés ou moins, soumises actuellement à un taux de 10% pour les quatre premières heures.
En contrepartie, ces entreprises de 20 salariés ou moins bénéficieront jusqu'au 31 décembre 2008 d'une réduction forfaitaire de cotisations sociales qui devrait être fixée par décret à 1,50 euro de l'heure. Cette réduction devrait être de 50 centimes pour les autres entreprises.
La mesure pèse à elle seule 6 milliards d'euros, soit la moitié du "paquet fiscal", selon le gouvernement. Il s'agit de mettre en œuvre le slogan de Nicolas Sarkozy, "travailler plus pour gagner plus", mais beaucoup -même à droite- qualifient le dispositif d'"usine à gaz".
220 heures supplémentaires par an maximum
Objectif affiché: répondre au problème de pouvoir d'achat, "revaloriser" le travail en rompant avec le "malthusianisme" des 35 heures et gagner "un point de croissance".
Tous les salariés sont théoriquement concernés, ceux du privé comme du public, à temps plein comme à temps partiel, ou les cadres au forfait. Soit, selon la ministre de l'Economie Christine Lagarde, "22 millions de personnes".
Selon le rapport du député UMP Gilles Carrez, rapporteur du budget, un salarié qui touche par exemple 1.206 euros net par mois gagnera 645 euros de plus chaque année s'il fait une heure supplémentaire par semaine et 2.576 euros de plus s'il fait quatre heures de plus. Un salarié à 35 heures a le droit de faire jusqu'à 220 heures supplémentaires par an maximum.
"6 milliards d'euros en année pleine", selon Lagarde
La question était plus délicate pour les cadres non dirigeants, dont les heures sup' sont difficilement quantifiables. Le gouvernement a donc décidé que les cadres au forfait en heures sur une base annuelle bénéficieront de la mesure pour les heures supplémentaires effectuées au-delà de 1.607 heures par an. Pour ceux en forfait en jours, ce sera au-delà de 218 jours travaillés.
Mais voilà: le gouvernement reconnaît lui-même que la facture de la mesure est incertaine. "C'est un point intéressant!", a grincé Arnaud Montebourg (PS). Christine Lagarde avance ainsi le chiffre de "6 milliards d'euros en année pleine", soit "49%" du coût du "paquet fiscal". Or, le rapporteur UMP Gilles Carrez parle, lui, de 5,98 milliards au total sur trois ans d'ici 2009...
"Appât électoral"
"Appât électoral", "poudre aux yeux", mesure "injuste et très coûteuse pour les finances publiques": l'opposition a sonné la charge contre la promesse phare de Nicolas Sarkozy. Premières critiques de la gauche: les salariés ne décident pas des heures supplémentaires et les salariés modestes non imposables seront partiellement exclus du dispositif.
L'impact sur l'emploi est fortement contesté. "Les entreprises préféreront profiter de la mesure plutôt que d'embaucher", s'est inquiété le député Pierre-Alain Muet (PS), ancien conseiller économique de Lionel Jospin à Matignon. Plus grave, la gauche redoute une dérive des comptes sociaux du fait de l'exonération des charges avec, à la clé, une hausse de la TVA. "Vous videz les caisses de l'Etat et les caisses des régimes sociaux!", a accusé le député communiste Jean-Pierre Brard.
A droite aussi, on critique une "usine à gaz". Jusqu'à la présidente du MEDEF Laurence Parisot, qui a demandé au gouvernement de "reconsidérer" sa copie, "pas favorable aux très petites entreprises de moins de 20 salariés". (avec AP)
des heures supplémentaires
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 09:14
L'Assemblée nationale a adopté un amendement qui porte la majoration des heures supplémentaires à 25% du salaire horaire. Le dispositif coûtera "6 milliards d'euros en année pleine", estime Christine Lagarde. "Injuste et très coûteux", selon l'opposition.
L'Assemblée nationale (c) AFP
L'Assemblée nationale a adopté dans la nuit de mercredi 11 à jeudi 12 juillet le dispositif sur les heures supplémentaires.
Ce dispositif prévoit la déduction du paiement des heures supplémentaires du revenu imposable des salariés et la réduction des cotisations sociales, pour l'employé comme pour l'employeur.
L'article premier du projet de loi travail, emploi et pouvoir d'achat (TEPA) présenté par Christine Lagarde, la ministre de l'Economie, débattu depuis mardi par les députés dans le cadre d'une procédure d'urgence, sera applicable à partir du 1er octobre 2007.
Moins de cotisations sociales
Les députés ont adopté une série d'amendements, notamment celui portant à 25% du salaire horaire la majoration pour les heures supplémentaires pour toutes les entreprises, y compris celles de 20 salariés ou moins, soumises actuellement à un taux de 10% pour les quatre premières heures.
En contrepartie, ces entreprises de 20 salariés ou moins bénéficieront jusqu'au 31 décembre 2008 d'une réduction forfaitaire de cotisations sociales qui devrait être fixée par décret à 1,50 euro de l'heure. Cette réduction devrait être de 50 centimes pour les autres entreprises.
La mesure pèse à elle seule 6 milliards d'euros, soit la moitié du "paquet fiscal", selon le gouvernement. Il s'agit de mettre en œuvre le slogan de Nicolas Sarkozy, "travailler plus pour gagner plus", mais beaucoup -même à droite- qualifient le dispositif d'"usine à gaz".
220 heures supplémentaires par an maximum
Objectif affiché: répondre au problème de pouvoir d'achat, "revaloriser" le travail en rompant avec le "malthusianisme" des 35 heures et gagner "un point de croissance".
Tous les salariés sont théoriquement concernés, ceux du privé comme du public, à temps plein comme à temps partiel, ou les cadres au forfait. Soit, selon la ministre de l'Economie Christine Lagarde, "22 millions de personnes".
Selon le rapport du député UMP Gilles Carrez, rapporteur du budget, un salarié qui touche par exemple 1.206 euros net par mois gagnera 645 euros de plus chaque année s'il fait une heure supplémentaire par semaine et 2.576 euros de plus s'il fait quatre heures de plus. Un salarié à 35 heures a le droit de faire jusqu'à 220 heures supplémentaires par an maximum.
"6 milliards d'euros en année pleine", selon Lagarde
La question était plus délicate pour les cadres non dirigeants, dont les heures sup' sont difficilement quantifiables. Le gouvernement a donc décidé que les cadres au forfait en heures sur une base annuelle bénéficieront de la mesure pour les heures supplémentaires effectuées au-delà de 1.607 heures par an. Pour ceux en forfait en jours, ce sera au-delà de 218 jours travaillés.
Mais voilà: le gouvernement reconnaît lui-même que la facture de la mesure est incertaine. "C'est un point intéressant!", a grincé Arnaud Montebourg (PS). Christine Lagarde avance ainsi le chiffre de "6 milliards d'euros en année pleine", soit "49%" du coût du "paquet fiscal". Or, le rapporteur UMP Gilles Carrez parle, lui, de 5,98 milliards au total sur trois ans d'ici 2009...
"Appât électoral"
"Appât électoral", "poudre aux yeux", mesure "injuste et très coûteuse pour les finances publiques": l'opposition a sonné la charge contre la promesse phare de Nicolas Sarkozy. Premières critiques de la gauche: les salariés ne décident pas des heures supplémentaires et les salariés modestes non imposables seront partiellement exclus du dispositif.
L'impact sur l'emploi est fortement contesté. "Les entreprises préféreront profiter de la mesure plutôt que d'embaucher", s'est inquiété le député Pierre-Alain Muet (PS), ancien conseiller économique de Lionel Jospin à Matignon. Plus grave, la gauche redoute une dérive des comptes sociaux du fait de l'exonération des charges avec, à la clé, une hausse de la TVA. "Vous videz les caisses de l'Etat et les caisses des régimes sociaux!", a accusé le député communiste Jean-Pierre Brard.
A droite aussi, on critique une "usine à gaz". Jusqu'à la présidente du MEDEF Laurence Parisot, qui a demandé au gouvernement de "reconsidérer" sa copie, "pas favorable aux très petites entreprises de moins de 20 salariés". (avec AP)
admise à l'aphp
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
- hdenise
- Adepte
- Messages : 108
- Inscription : 05 févr. 2007 11:54
- Localisation : Réunion, vie à perpignan, quitte pour paris
RECONDUITES
6.000 expulsions par avion
de janvier à juin 2007
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 11:30
Ces chiffres sont publiés alors que les représentants du personnel d'Air France comptent réclamer ce jeudi l'arrêt des expulsions d'immigrés à bord des appareils de la compagnie
La Direction générale de la police nationale déclare avoir procédé à 6.000 "éloignements d'étrangers en situation irrégulière par voie aérienne" au cours des cinq premiers mois de 2007, et avoir constaté pendant cette période 280 refus d'embarquement.
Parmi ces refus, seuls sept ont été le fait des commandants de bord des avions servant aux reconduites, souligne-t-elle dans un communiqué.
Elle met l'accent en outre sur l'existence d'une unité de la Direction centrale de la police aux frontières spécialisée dans les "escortes" d'étrangers expulsés et constituée de 200 policiers "tous volontaires" et "sélectionnés pour leurs qualités de sang-froid et de maîtrise".
Les représentants du personnel d'Air France comptent réclamer jeudi lors de l'assemblée générale des actionnaires l'arrêt des expulsions d'immigrés en situation irrégulière à bord des appareils de la compagnie.
Air France a estimé de son côté qu'il ne lui appartenait pas de remettre en cause des mesures "prises dans le cadre d'un État de droit".
6.000 expulsions par avion
de janvier à juin 2007
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 11:30
Ces chiffres sont publiés alors que les représentants du personnel d'Air France comptent réclamer ce jeudi l'arrêt des expulsions d'immigrés à bord des appareils de la compagnie
La Direction générale de la police nationale déclare avoir procédé à 6.000 "éloignements d'étrangers en situation irrégulière par voie aérienne" au cours des cinq premiers mois de 2007, et avoir constaté pendant cette période 280 refus d'embarquement.
Parmi ces refus, seuls sept ont été le fait des commandants de bord des avions servant aux reconduites, souligne-t-elle dans un communiqué.
Elle met l'accent en outre sur l'existence d'une unité de la Direction centrale de la police aux frontières spécialisée dans les "escortes" d'étrangers expulsés et constituée de 200 policiers "tous volontaires" et "sélectionnés pour leurs qualités de sang-froid et de maîtrise".
Les représentants du personnel d'Air France comptent réclamer jeudi lors de l'assemblée générale des actionnaires l'arrêt des expulsions d'immigrés en situation irrégulière à bord des appareils de la compagnie.
Air France a estimé de son côté qu'il ne lui appartenait pas de remettre en cause des mesures "prises dans le cadre d'un État de droit".
admise à l'aphp
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
- hdenise
- Adepte
- Messages : 108
- Inscription : 05 févr. 2007 11:54
- Localisation : Réunion, vie à perpignan, quitte pour paris
LIBYE
La peine de mort est confirmée
pour les infirmières bulgares
NOUVELOBS.COM | 11.07.2007 | 14:25
La Cour suprême libyenne confirme la peine capitale pour les six accusés. Leur sort est désormais entre les mains du Conseil juridique suprême, qui se réunira lundi.
La Cour suprême libyenne a confirmé, mercredi 11 juillet, les peines de mort pour les cinq infirmières et le médecin bulgare en Libye, condamnés pour avoir inoculé le virus du sida à 438 enfants de Benghazi, deuxième ville de Libye, dont 56 sont décédés. Le jugement a été rendu en l'absence des six coaccusés.
Toutefois, le verdict rendu par le juge Fathi Dahan n'est pas définitif.
Réunion décisive lundi
Le Conseil juridique suprême de Libye, qui est dirigé par le ministre de la Justice, peut approuver ou rejeter les condamnations ou encore infliger une peine moins lourde. Le "Conseil supérieur des instances judiciaires va se réunir lundi et il revient à cette instance d'annuler ou de commuer le verdict prononcé aujourd'hui par la cour suprême", a déclaré à la presse le minsitre libyen des affaires étrangères, Abdel Rahmene Chalgham. En cas de commutation de la peine capitale en peines de prison, le dossier sera transmis au ministère libyen des Affaires étrangères pour négocier avec Sofia le transfert des détenus en Bulgarie, Tripoli et Sofia étant liées par un accord d'extradition, a-t-il précisé.
Sofia n'a pas eu confirmation de l'accord
Mardi, l'espoir d'une libération des infirmières et du médecin était apparu après l'annonce par la Fondation Kadhafi d'un accord avec les familles des enfants contaminés par le virus du sida. "Cet accord est acceptable pour toutes les parties et mettra fin à la crise", avait affirmé un porte-parole de la fondation. Lors de l'énoncé de son verdict, le juge Fathi Dahan n'a fait aucune allusion à cet accord.
Les autorités bulgares ont par ailleurs indiqué que ledit accord n'avait pas été confirmé. "La Bulgarie n'a pas de confirmation officielle qu'un tel accord soit obtenu", a déclaré le vice-ministre bulgare des Affaires étrangères Feim Tchaouchev.
Condamnés à mort deux fois
Les six soignants, qui ont toujours clamé leur innocence, ont été condamnés à la peine capitale à deux reprises (en 2004 et en décembre dernier), un tribunal de Tripoli les ayant chaque fois reconnus coupables d'avoir inoculé le virus du sida à plus de 400 enfants libyens. Et ce malgré les témoignages et les preuves médicales montrant que le VIH sévissait à l'hôpital de Benghazi avant même l'arrivée des infirmières bulgares en 1998.
Pour Sofia, ses ressortissantes servent en fait de boucs émissaires aux autorités libyennes pour masquer les conditions d'hygiène déplorables qui régnaient dans l'établissement lors des contaminations. La Libye avait déjà tenté de conclure avec un accord avec la Bulgarie en vertu duquel le gouvernement bulgare paierait une somme de compensation aux victimes. Mais Sofia avait refusé, expliquant qu'un tel accord reviendrait à reconnaître la culpabilité des infirmières.
Pression sur la Libye
Depuis le début de la crise, la communauté internationale fait pression sur la Libye pour qu'elle libère les six soignants. Cette affaire a notamment empêché les tentatives de Tripoli de renouer des liens diplomatiques avec les Etats-Unis et l'Union européenne.
Les infirmières Kristiana Valtcheva, Nassia Nenova, Valia Tcherveniachka, Valentina Siropoulo et Snejana Dimitrova ainsi que le médecin Achraf Joumaa Hajouj, sont détenus depuis 1999.
La peine de mort est confirmée
pour les infirmières bulgares
NOUVELOBS.COM | 11.07.2007 | 14:25
La Cour suprême libyenne confirme la peine capitale pour les six accusés. Leur sort est désormais entre les mains du Conseil juridique suprême, qui se réunira lundi.
La Cour suprême libyenne a confirmé, mercredi 11 juillet, les peines de mort pour les cinq infirmières et le médecin bulgare en Libye, condamnés pour avoir inoculé le virus du sida à 438 enfants de Benghazi, deuxième ville de Libye, dont 56 sont décédés. Le jugement a été rendu en l'absence des six coaccusés.
Toutefois, le verdict rendu par le juge Fathi Dahan n'est pas définitif.
Réunion décisive lundi
Le Conseil juridique suprême de Libye, qui est dirigé par le ministre de la Justice, peut approuver ou rejeter les condamnations ou encore infliger une peine moins lourde. Le "Conseil supérieur des instances judiciaires va se réunir lundi et il revient à cette instance d'annuler ou de commuer le verdict prononcé aujourd'hui par la cour suprême", a déclaré à la presse le minsitre libyen des affaires étrangères, Abdel Rahmene Chalgham. En cas de commutation de la peine capitale en peines de prison, le dossier sera transmis au ministère libyen des Affaires étrangères pour négocier avec Sofia le transfert des détenus en Bulgarie, Tripoli et Sofia étant liées par un accord d'extradition, a-t-il précisé.
Sofia n'a pas eu confirmation de l'accord
Mardi, l'espoir d'une libération des infirmières et du médecin était apparu après l'annonce par la Fondation Kadhafi d'un accord avec les familles des enfants contaminés par le virus du sida. "Cet accord est acceptable pour toutes les parties et mettra fin à la crise", avait affirmé un porte-parole de la fondation. Lors de l'énoncé de son verdict, le juge Fathi Dahan n'a fait aucune allusion à cet accord.
Les autorités bulgares ont par ailleurs indiqué que ledit accord n'avait pas été confirmé. "La Bulgarie n'a pas de confirmation officielle qu'un tel accord soit obtenu", a déclaré le vice-ministre bulgare des Affaires étrangères Feim Tchaouchev.
Condamnés à mort deux fois
Les six soignants, qui ont toujours clamé leur innocence, ont été condamnés à la peine capitale à deux reprises (en 2004 et en décembre dernier), un tribunal de Tripoli les ayant chaque fois reconnus coupables d'avoir inoculé le virus du sida à plus de 400 enfants libyens. Et ce malgré les témoignages et les preuves médicales montrant que le VIH sévissait à l'hôpital de Benghazi avant même l'arrivée des infirmières bulgares en 1998.
Pour Sofia, ses ressortissantes servent en fait de boucs émissaires aux autorités libyennes pour masquer les conditions d'hygiène déplorables qui régnaient dans l'établissement lors des contaminations. La Libye avait déjà tenté de conclure avec un accord avec la Bulgarie en vertu duquel le gouvernement bulgare paierait une somme de compensation aux victimes. Mais Sofia avait refusé, expliquant qu'un tel accord reviendrait à reconnaître la culpabilité des infirmières.
Pression sur la Libye
Depuis le début de la crise, la communauté internationale fait pression sur la Libye pour qu'elle libère les six soignants. Cette affaire a notamment empêché les tentatives de Tripoli de renouer des liens diplomatiques avec les Etats-Unis et l'Union européenne.
Les infirmières Kristiana Valtcheva, Nassia Nenova, Valia Tcherveniachka, Valentina Siropoulo et Snejana Dimitrova ainsi que le médecin Achraf Joumaa Hajouj, sont détenus depuis 1999.
admise à l'aphp
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
- hdenise
- Adepte
- Messages : 108
- Inscription : 05 févr. 2007 11:54
- Localisation : Réunion, vie à perpignan, quitte pour paris
AUTONOMIE
800 enseignants-chercheurs
contre le texte sur l'université
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 14:16
Dans une pétition, ils refusent en premier lieu l'instauration de "comités de sélection" ad hoc, critiquent ensuite le "droit de veto" sur les recrutements offert au président de l'université et s'inquiètent que le texte permette "au président d'université de recruter des professeurs contre l'avis du comité de sélection".
(Reuters)
Près de 800 enseignants-chercheurs de toutes disciplines et de toutes universités ont signé une pétition, rendue publique mercredi 11 juillet, pour demander des modifications sur les nouvelles procédures de recrutement prévues dans le projet de loi sur l'autonomie des universités.
L'examen de ce texte débute mercredi au Sénat. Les inquiétudes des enseignants-chercheurs, des professeurs d'université et des maîtres de conférences se portent sur trois points.
Contre les comités de sélections
Ils refusent en premier lieu l'instauration de "comités de sélection" ad hoc, en déplorant dans leur pétition que "les membres de ces comités ne soient pas élus (par les spécialistes de la discipline concernée, ndlr), comme c'est le cas actuellement mais 'créés' par le conseil d'administration de l'université qui en 'choisit ses membres'". Or, soulignent-ils, "le CA ne comporte pas nécessairement de représentants de cette discipline".
Les enseignants-chercheurs critiquent ensuite le "droit de veto" sur les recrutements offert au président de l'université, le rendant selon eux perméable au clientélisme et aux pressions locales.
Enfin, ils s'inquiètent que le texte permette "au président d'université de recruter des professeurs et des maîtres de conférence contractuels, le cas échéant, contre l'avis du comité de sélection".
Pécresse veut réduire le délai de recrutement
Les enseignants-chercheurs estiment que "ces dispositions, qui centralisent le pouvoir de décision entre les mains de l'équipe présidentielle, ne peuvent pas favoriser le recrutement des meilleurs et la mobilité des enseignants-chercheurs", en admettant toutefois que "les procédures de recrutement actuelles comportent des défauts".
Dans une interview à nouvelobs.com, la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, avait justifié ces nouvelles mesures en expliquant qu'il s'agissait de "réduire (le) délai" de recrutement des enseignants compris "aujourd'hui entre 12 et 18 mois".
Elle avait également rappelé que "l'habilitation nationale donnée par le conseil national des universités, conformément au principe constitutionnel d'indépendance" était maintenu.
800 enseignants-chercheurs
contre le texte sur l'université
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 14:16
Dans une pétition, ils refusent en premier lieu l'instauration de "comités de sélection" ad hoc, critiquent ensuite le "droit de veto" sur les recrutements offert au président de l'université et s'inquiètent que le texte permette "au président d'université de recruter des professeurs contre l'avis du comité de sélection".
(Reuters)
Près de 800 enseignants-chercheurs de toutes disciplines et de toutes universités ont signé une pétition, rendue publique mercredi 11 juillet, pour demander des modifications sur les nouvelles procédures de recrutement prévues dans le projet de loi sur l'autonomie des universités.
L'examen de ce texte débute mercredi au Sénat. Les inquiétudes des enseignants-chercheurs, des professeurs d'université et des maîtres de conférences se portent sur trois points.
Contre les comités de sélections
Ils refusent en premier lieu l'instauration de "comités de sélection" ad hoc, en déplorant dans leur pétition que "les membres de ces comités ne soient pas élus (par les spécialistes de la discipline concernée, ndlr), comme c'est le cas actuellement mais 'créés' par le conseil d'administration de l'université qui en 'choisit ses membres'". Or, soulignent-ils, "le CA ne comporte pas nécessairement de représentants de cette discipline".
Les enseignants-chercheurs critiquent ensuite le "droit de veto" sur les recrutements offert au président de l'université, le rendant selon eux perméable au clientélisme et aux pressions locales.
Enfin, ils s'inquiètent que le texte permette "au président d'université de recruter des professeurs et des maîtres de conférence contractuels, le cas échéant, contre l'avis du comité de sélection".
Pécresse veut réduire le délai de recrutement
Les enseignants-chercheurs estiment que "ces dispositions, qui centralisent le pouvoir de décision entre les mains de l'équipe présidentielle, ne peuvent pas favoriser le recrutement des meilleurs et la mobilité des enseignants-chercheurs", en admettant toutefois que "les procédures de recrutement actuelles comportent des défauts".
Dans une interview à nouvelobs.com, la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, avait justifié ces nouvelles mesures en expliquant qu'il s'agissait de "réduire (le) délai" de recrutement des enseignants compris "aujourd'hui entre 12 et 18 mois".
Elle avait également rappelé que "l'habilitation nationale donnée par le conseil national des universités, conformément au principe constitutionnel d'indépendance" était maintenu.
admise à l'aphp
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
- hdenise
- Adepte
- Messages : 108
- Inscription : 05 févr. 2007 11:54
- Localisation : Réunion, vie à perpignan, quitte pour paris
Plus de 30.000 euros
dans les valises d'une SDF
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 14:16
Cette dame de 65 ans, qui vivait depuis 25 ans dans une rue de Paris, a été placée par la police dans un centre de Nanterre.
La police a placé une sdf qui détenait 30.000 euros dans un foyer (Reuters)
Les agents de la Baspa (Brigade d'assistance aux personnes sans abri) ont découvert une somme estimée à plus de 30.000 euros dans les valises d'une SDF, Denise.
En raison de travaux, Denise a été délogée de la rue Linois, dans le XVe arrondissement de Paris, par la Baspa, qui l'a conduite dans un centre d'hébergement de SDF à Nanterre (Hauts-de-Seine). Agée de 65 ans et originaire de Bretagne, celle que l'on nomme Princesse, était installée depuis 25 ans dans cette rue proche de la gare Montparnasse.
Une maison face à l'Atlantique
Denise ne trouve pas sa place dans ce centre dont elle s'est échappée avant d'être ramenée. Peu loquace, elle ne noue aucun contact et ne se déplace dans la journée que pour les repas et le soir à son dortoir. Elle a toutefois déclaré qu'elle possédait une maison en face de l'Atlantique, dans le Finistère. Elle maudit la police qui garde sa fortune, 30.000 euros en espèces, rangée dans des sacs.
La mise au grand jour de son histoire l'empêche de retrouver sa vie d'antan, dans la rue. Sa famille doit la rencontrer prochainement et évoquer avec elle son avenir.
dans les valises d'une SDF
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 14:16
Cette dame de 65 ans, qui vivait depuis 25 ans dans une rue de Paris, a été placée par la police dans un centre de Nanterre.
La police a placé une sdf qui détenait 30.000 euros dans un foyer (Reuters)
Les agents de la Baspa (Brigade d'assistance aux personnes sans abri) ont découvert une somme estimée à plus de 30.000 euros dans les valises d'une SDF, Denise.
En raison de travaux, Denise a été délogée de la rue Linois, dans le XVe arrondissement de Paris, par la Baspa, qui l'a conduite dans un centre d'hébergement de SDF à Nanterre (Hauts-de-Seine). Agée de 65 ans et originaire de Bretagne, celle que l'on nomme Princesse, était installée depuis 25 ans dans cette rue proche de la gare Montparnasse.
Une maison face à l'Atlantique
Denise ne trouve pas sa place dans ce centre dont elle s'est échappée avant d'être ramenée. Peu loquace, elle ne noue aucun contact et ne se déplace dans la journée que pour les repas et le soir à son dortoir. Elle a toutefois déclaré qu'elle possédait une maison en face de l'Atlantique, dans le Finistère. Elle maudit la police qui garde sa fortune, 30.000 euros en espèces, rangée dans des sacs.
La mise au grand jour de son histoire l'empêche de retrouver sa vie d'antan, dans la rue. Sa famille doit la rencontrer prochainement et évoquer avec elle son avenir.
admise à l'aphp
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
- hdenise
- Adepte
- Messages : 108
- Inscription : 05 févr. 2007 11:54
- Localisation : Réunion, vie à perpignan, quitte pour paris
Des particuliers vendent
leurs points sur Internet
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 14:17
De plus en plus d'automobilistes se livrent à un trafic rentable: ils vendent les points de leur permis de conduire sur Internet à d'autres conducteurs qui n'en ont plus, ou presque, révèle Le Parisien.
700 euros pour un point, 1.200 euros pour deux points… Des particuliers ont trouvé un filon juteux pour arrondir leurs fins de mois : ils vendent, sur Internet, leurs points, ou ceux de leurs proches, révèle une enquête du Parisien, dans son édition de mercredi 11 juillet.
La combine vient d'Espagne, et se répand de plus en plus sur le net. Sur les sites d'enchères, le quotidien rapporte que l'on trouve des annonces du type: "Vous êtes à pied, ou vous risquez de l'être ? Vous n'avez pas le temps de faire un stage de récupération ? Je vous propose de conserver vos points et vous en vends jusqu'à six".
Les points d'une grand-mère
Par exemple, si un conducteur qui a déjà perdu la quasi-totalité de ses points est flashé en excès de vitesse, le vendeur lui cède quelques points, en déclarant que c'est lui qui était au volant (ou l'un de ses proches, complice ou non, comme sa grand-mère). Ainsi l'automobiliste flashé conserve ses points.
Une technique qui peut coûter très cher, les fraudeurs risquant des peines de prison ou de lourdes amendes, rappelle le quotidien.
leurs points sur Internet
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 14:17
De plus en plus d'automobilistes se livrent à un trafic rentable: ils vendent les points de leur permis de conduire sur Internet à d'autres conducteurs qui n'en ont plus, ou presque, révèle Le Parisien.
700 euros pour un point, 1.200 euros pour deux points… Des particuliers ont trouvé un filon juteux pour arrondir leurs fins de mois : ils vendent, sur Internet, leurs points, ou ceux de leurs proches, révèle une enquête du Parisien, dans son édition de mercredi 11 juillet.
La combine vient d'Espagne, et se répand de plus en plus sur le net. Sur les sites d'enchères, le quotidien rapporte que l'on trouve des annonces du type: "Vous êtes à pied, ou vous risquez de l'être ? Vous n'avez pas le temps de faire un stage de récupération ? Je vous propose de conserver vos points et vous en vends jusqu'à six".
Les points d'une grand-mère
Par exemple, si un conducteur qui a déjà perdu la quasi-totalité de ses points est flashé en excès de vitesse, le vendeur lui cède quelques points, en déclarant que c'est lui qui était au volant (ou l'un de ses proches, complice ou non, comme sa grand-mère). Ainsi l'automobiliste flashé conserve ses points.
Une technique qui peut coûter très cher, les fraudeurs risquant des peines de prison ou de lourdes amendes, rappelle le quotidien.
admise à l'aphp
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
- hdenise
- Adepte
- Messages : 108
- Inscription : 05 févr. 2007 11:54
- Localisation : Réunion, vie à perpignan, quitte pour paris
Dernière modification par hdenise le 16 juil. 2007 08:31, modifié 1 fois.
admise à l'aphp
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
- hdenise
- Adepte
- Messages : 108
- Inscription : 05 févr. 2007 11:54
- Localisation : Réunion, vie à perpignan, quitte pour paris
DROGUE
L'OFDT réalise la première
synthèse sur le cannabis
NOUVELOBS.COM | 11.07.2007 | 09:09
Dans cet ouvrage de 230 pages intitulé "Cannabis, données essentielles", à la démarche à la fois scientifique et pédagogique, l'ODFT, créé en 1993, répond à différentes questions sur cette drogue.
L'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) publie mardi 10 juillet pour la première fois une synthèse consacrée uniquement au cannabis, le produit illicite le plus consommé en France.
Dans cet ouvrage de 230 pages intitulé "Cannabis, données essentielles", à la démarche à la fois scientifique et pédagogique, l'ODFT, créé en 1993, répond à différentes questions sur cette drogue, notamment les niveaux d'évolution, la géographie de la consommation, les usages réguliers et problématiques ou enfin les enjeux du marché du cannabis en France.
La France en tête
Cette synthèse d'études récentes, mise à disposition sur le site Internet de l'OFDT rappelle que la France figure parmi les pays les plus consommateurs de cannabis en Europe tant chez les jeunes adultes que les adolescents. En France métropolitaine, en 2005, 12,4 millions de personnes âgées de 12 à 75 ans déclarent avoir consommé du cannabis au moins une fois dans leur vie et 1,2 million sont des consommateurs réguliers.
Le cannabis représente également le 1er produit stupéfiant saisi en France (9 saisies sur 10, soit 87 tonnes en 2005).
Dans une nouvelle étude, l'OFDT estime, à partir de données déclaratives à 832 millions d'euros, le chiffre d'affaires annuel issu de la vente de cannabis en France. Le prix moyen d'un gramme de cannabis se situe aujourd'hui autour de 4 euros : en 10 ans, il a baissé de 30 %.
L'OFDT réalise la première
synthèse sur le cannabis
NOUVELOBS.COM | 11.07.2007 | 09:09
Dans cet ouvrage de 230 pages intitulé "Cannabis, données essentielles", à la démarche à la fois scientifique et pédagogique, l'ODFT, créé en 1993, répond à différentes questions sur cette drogue.
L'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) publie mardi 10 juillet pour la première fois une synthèse consacrée uniquement au cannabis, le produit illicite le plus consommé en France.
Dans cet ouvrage de 230 pages intitulé "Cannabis, données essentielles", à la démarche à la fois scientifique et pédagogique, l'ODFT, créé en 1993, répond à différentes questions sur cette drogue, notamment les niveaux d'évolution, la géographie de la consommation, les usages réguliers et problématiques ou enfin les enjeux du marché du cannabis en France.
La France en tête
Cette synthèse d'études récentes, mise à disposition sur le site Internet de l'OFDT rappelle que la France figure parmi les pays les plus consommateurs de cannabis en Europe tant chez les jeunes adultes que les adolescents. En France métropolitaine, en 2005, 12,4 millions de personnes âgées de 12 à 75 ans déclarent avoir consommé du cannabis au moins une fois dans leur vie et 1,2 million sont des consommateurs réguliers.
Le cannabis représente également le 1er produit stupéfiant saisi en France (9 saisies sur 10, soit 87 tonnes en 2005).
Dans une nouvelle étude, l'OFDT estime, à partir de données déclaratives à 832 millions d'euros, le chiffre d'affaires annuel issu de la vente de cannabis en France. Le prix moyen d'un gramme de cannabis se situe aujourd'hui autour de 4 euros : en 10 ans, il a baissé de 30 %.
Dernière modification par hdenise le 16 juil. 2007 08:32, modifié 1 fois.
admise à l'aphp
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
Aide par rapport aux révisions en culture générale
Coucou,
Voilà, j'ai passé des concours cette année et mes notes ont été trés faible en culture générale, je ne pense pas que ça vient des idées car je les ai mais plutot au niveau de la syntaxe et comment m'y prendre pour répondre à la question.
A celles et ceux qui ont fait une prépa ou qui l'ont prépa seuls je voudrais savoir comment vous y etes pour les révisions au niveau de la culture générale, avez vous fait des fiches pour chaque themes, pris des notes par rapport aux sujets d'annales.
Comment vous y êtes pour réviser , une méthode d'organisation.
Voilà j'espère que vous pourrez me donner des pistes et des astuces pour mes revisions car je suis un peu perdue et avec kels bouquins vous révisez
Merci
Voilà, j'ai passé des concours cette année et mes notes ont été trés faible en culture générale, je ne pense pas que ça vient des idées car je les ai mais plutot au niveau de la syntaxe et comment m'y prendre pour répondre à la question.
A celles et ceux qui ont fait une prépa ou qui l'ont prépa seuls je voudrais savoir comment vous y etes pour les révisions au niveau de la culture générale, avez vous fait des fiches pour chaque themes, pris des notes par rapport aux sujets d'annales.
Comment vous y êtes pour réviser , une méthode d'organisation.
Voilà j'espère que vous pourrez me donner des pistes et des astuces pour mes revisions car je suis un peu perdue et avec kels bouquins vous révisez
Merci
- Lolalilala
- Forcené
- Messages : 280
- Inscription : 29 janv. 2005 21:50
- Localisation : Marseille
- LittleFoetus
- Insatiable
- Messages : 471
- Inscription : 19 mars 2007 00:19
- Localisation : NIMES

Le Monde - 10.07.07 | 21h53
PARIS (Reuters) - Le gouvernement a confié une mission à deux experts sur les conditions de mise en oeuvre d'"un bouclier sanitaire" visant à réduire le déficit de l'assurance maladie et dont les premiers éléments de conclusion sont attendus fin août.
"Il convient de rendre le système de prise en charge de nos dépenses de santé plus juste, simple et rationnel tout en respectant le principe de solidarité qui le fonde", lit-on dans la lettre de mission adressée à Bertrand Fragonard, président du Haut Conseil pour l'avenir de l'assurance maladie, et Raoul Briet, président de la Commission de périmètre des biens et services remboursables de la Haute Autorité de santé.
La lettre a été envoyée par les ministres de la Santé, Roselyne Bachelot, du Budget, Eric Woerth et par le Haut Commissariat aux Solidarités actives contre la pauvreté, Martin Hirsh.
"Parmi les propositions suggérées, celle du 'bouclier sanitaire' consisterait à instituer un plafond des restes à charge supportés par les assurés sur la dépense remboursable", lit-on dans le texte publié mardi soir.
Il ajoute "qu'en dessous du seuil, les tickets modérateurs et participations forfaitaires resteraient à la charge de l'assuré ; au-delà, l'assurance maladie lui garantirait une couverture intégrale".
DEFICIT
"Un tel bouclier peut être défini de manière uniforme ou s'exprimer en fonction du revenu des ménages comme l'ont décidé d'autres pays", ajoute le texte qui demande aux deux experts d'engager "une analyse des enjeux et des modalités techniques de cette proposition".
Ils devront notamment déterminer s'il convient de mettre en oeuvre ce bouclier "par personne protégée ou par foyer", l'articuler avec le système de tickets modérateurs et de franchises et en mesurer "les éventuels effets pervers".
Au début du mois, le Premier ministre avait fait savoir que le gouvernement entendait ratifier sans délai le plan de redressement de l'assurance maladie pour en maîtriser le déficit.
François Fillon s'était aussi prononcé pour un débat "sans a priori" sur ce "bouclier sanitaire" préconisé par Martin Hirsch. Ce dernier, qui avait émis des réserves sur les franchises médicales, a proposé l'instauration du bouclier permettant que les sommes restant à la charge d'un patient ne puissent dépasser de 3 à 5% de son revenu brut.
Le déficit général de la Sécurité sociale devrait dépasser 10 milliards d'euros cette année alors que la loi de financement de la sécurité sociale pour 2007 tablait sur une impasse d'environ 8 milliards d'euros.
La Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) a présenté le mois dernier un plan de redressement d'un montant d'environ 1,4 milliard d'euros.

IDE en cancéro à Marseille!
_________________
IDE depuis le 26/11/10 ~Projet pro : IADE~ -_-"
_________________
IDE depuis le 26/11/10 ~Projet pro : IADE~ -_-"