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Aide sociale: les personnes âgées principales bénéficiaires en 2006
PARIS (AFP) - Les personnes âgées sont devenues en 2006 les principales bénéficiaires de l'aide sociale départementale, devant les allocataires du RMI, indique une étude publiée jeudi selon laquelle plus de 1,7 million de personnes au total ont bénéficié de cette aide.
"En constante progression, les bénéficiaires de l'aide sociale aux personnes âgées deviennent les plus nombreux" et sont désormais 1,152 million, selon l'étude publiée par la Drees (ministères de l'Emploi et de la Santé).
Sur ce chiffre, 994.000 personnes bénéficiaient l'an dernier de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA), destinée aux personnes âgées dépendantes, un chiffre en hausse de 8%. "L'APA continue à augmenter à un rythme soutenu", note la Drees.
Au total, fin 2006, hors RMI, près de 1,7 million de personnes bénéficiaient de l'aide sociale départementale, issue des lois de décentralisation de 1984 qui regroupe les aides aux personnes âgées, aux personnes handicapées et à l'enfance, contre près de 1,6 million à la fin 2005, ajoute l'étude.
"En ajoutant les allocataires du RMI (1,1 million), dont la gestion relève de la compétence des conseils généraux depuis 2004, le nombre total" des aides départementales s'établissait donc à près de 2,8 millions" fin 2006, poursuit-elle.
Selon la Dress, "l'année 2006 a également été marquée par la mise en oeuvre de la nouvelle prestation de compensation du handicap. Celle-ci a été accordée à environ 7.000 personnes handicapées fin 2006. Compte tenu de cette réforme du dispositif, 242.000 personnes handicapées bénéficient de l'aide sociale fin 2006, soit une progression de 3% sur un an".
"Enfin, les jeunes ont bénéficié de près de 278.000 mesures d'aide sociale à l'enfance. L'écart entre les mesures éducatives (137.500) et les mesures de placement (140.500) a continué à se resserrer légèrement en 2006, les premières augmentant un peu plus que les secondes (+2% contre +1%)", ajoute-t-elle.
PARIS (AFP) - Les personnes âgées sont devenues en 2006 les principales bénéficiaires de l'aide sociale départementale, devant les allocataires du RMI, indique une étude publiée jeudi selon laquelle plus de 1,7 million de personnes au total ont bénéficié de cette aide.
"En constante progression, les bénéficiaires de l'aide sociale aux personnes âgées deviennent les plus nombreux" et sont désormais 1,152 million, selon l'étude publiée par la Drees (ministères de l'Emploi et de la Santé).
Sur ce chiffre, 994.000 personnes bénéficiaient l'an dernier de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA), destinée aux personnes âgées dépendantes, un chiffre en hausse de 8%. "L'APA continue à augmenter à un rythme soutenu", note la Drees.
Au total, fin 2006, hors RMI, près de 1,7 million de personnes bénéficiaient de l'aide sociale départementale, issue des lois de décentralisation de 1984 qui regroupe les aides aux personnes âgées, aux personnes handicapées et à l'enfance, contre près de 1,6 million à la fin 2005, ajoute l'étude.
"En ajoutant les allocataires du RMI (1,1 million), dont la gestion relève de la compétence des conseils généraux depuis 2004, le nombre total" des aides départementales s'établissait donc à près de 2,8 millions" fin 2006, poursuit-elle.
Selon la Dress, "l'année 2006 a également été marquée par la mise en oeuvre de la nouvelle prestation de compensation du handicap. Celle-ci a été accordée à environ 7.000 personnes handicapées fin 2006. Compte tenu de cette réforme du dispositif, 242.000 personnes handicapées bénéficient de l'aide sociale fin 2006, soit une progression de 3% sur un an".
"Enfin, les jeunes ont bénéficié de près de 278.000 mesures d'aide sociale à l'enfance. L'écart entre les mesures éducatives (137.500) et les mesures de placement (140.500) a continué à se resserrer légèrement en 2006, les premières augmentant un peu plus que les secondes (+2% contre +1%)", ajoute-t-elle.
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La pillule contraceptive protège les femmes des cancers
Selon une étude britannique publiée par le British Medical Journal, la prise d'une pillule contraceptive pendant au moins 8 ans réduit jusqu'à 12% les risques de cancer.
D’après une équipe de chercheurs britanniques de l’université d’Aberdeen (Ecosse), la prise d'une pilule contraceptive ferait reculer les risques de cancer de 12% mais avec quelques bémols toutefois ! En effet, selon les résultats de l'étude de longue haleine entreprise en 1968 et publiée par le professeur Philip Hannaford l'effet protecteur de la pillule est à nuancer. L'étude a été menée sur 46 000 femmes britanniques âgées de 29 ans en moyenne au départ de l'étude, mariées ou dans une relation de couple stable. Les chercheurs les ont suivis pendant 36 ans. Les effets de la prise d'une hormone synthétique ne sont pas immédiats, il faut attendre 15 ans après l’arrêt pour voir une réelle influence biologique. Parmi les femmes suivies, environ 23 000 ont pris des contraceptifs oraux durant moins de quatre ans en moyenne, alors que les autres n'en ont jamais pris. L'étude révèle ainsi en comparant les deux échantillons, que la réduction du risque liée à la prise de la pilule peut atteindre 3 à 12 % pour les femmes qui ont pris la pillule moins de 8 ans. La réduction est surtout significative pour le cancer du côlon, du rectum, de l'endomètre (corps de l'utérus) et des ovaires. Au-delà des huit ans de pilule, l’étude montre que les risques de cancer augmentent de 22% surtout pour les cancers du col de l'utérus, du système nerveux central et de l'hypophyse.
Ces résultats sont plutôt inattendus puisque jusqu'à maintenant toutes les données scientifiques sur la pillule relevaient seulement l'aspect négatif et plus spécialement un accroissement du risque du cancer du sein notamment. Cette "bonne nouvelle" sous condition ne permet évidemment pas dans l'immédiat d'envisager l'utilisation de la pillule comme traitement de prévention contre le cancer. D'après Philip Hannaford interrogé par le quotidien Le Guardian : «Cela serait trop simple de dire que tout le monde devrait utiliser la pilule. Il y a 5-10 ans nous avions conseillé aux femmes ménopausées d’utiliser des traitements hormonaux de substitutions. Maintenant nous nous rendons compte que c’était une grave erreur».
Selon une étude britannique publiée par le British Medical Journal, la prise d'une pillule contraceptive pendant au moins 8 ans réduit jusqu'à 12% les risques de cancer.
D’après une équipe de chercheurs britanniques de l’université d’Aberdeen (Ecosse), la prise d'une pilule contraceptive ferait reculer les risques de cancer de 12% mais avec quelques bémols toutefois ! En effet, selon les résultats de l'étude de longue haleine entreprise en 1968 et publiée par le professeur Philip Hannaford l'effet protecteur de la pillule est à nuancer. L'étude a été menée sur 46 000 femmes britanniques âgées de 29 ans en moyenne au départ de l'étude, mariées ou dans une relation de couple stable. Les chercheurs les ont suivis pendant 36 ans. Les effets de la prise d'une hormone synthétique ne sont pas immédiats, il faut attendre 15 ans après l’arrêt pour voir une réelle influence biologique. Parmi les femmes suivies, environ 23 000 ont pris des contraceptifs oraux durant moins de quatre ans en moyenne, alors que les autres n'en ont jamais pris. L'étude révèle ainsi en comparant les deux échantillons, que la réduction du risque liée à la prise de la pilule peut atteindre 3 à 12 % pour les femmes qui ont pris la pillule moins de 8 ans. La réduction est surtout significative pour le cancer du côlon, du rectum, de l'endomètre (corps de l'utérus) et des ovaires. Au-delà des huit ans de pilule, l’étude montre que les risques de cancer augmentent de 22% surtout pour les cancers du col de l'utérus, du système nerveux central et de l'hypophyse.
Ces résultats sont plutôt inattendus puisque jusqu'à maintenant toutes les données scientifiques sur la pillule relevaient seulement l'aspect négatif et plus spécialement un accroissement du risque du cancer du sein notamment. Cette "bonne nouvelle" sous condition ne permet évidemment pas dans l'immédiat d'envisager l'utilisation de la pillule comme traitement de prévention contre le cancer. D'après Philip Hannaford interrogé par le quotidien Le Guardian : «Cela serait trop simple de dire que tout le monde devrait utiliser la pilule. Il y a 5-10 ans nous avions conseillé aux femmes ménopausées d’utiliser des traitements hormonaux de substitutions. Maintenant nous nous rendons compte que c’était une grave erreur».
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Dépister le cholestérol très tôt chez l'enfant pour améliorer la prévention
Dépister le cholestérol chez les enfants âgés de 1 à 9 ans permettrait de réduire leur risque de développer une maladie cardiovasculaire à l'âge adulte, selon une étude publiée vendredi dans la revue britannique British Medical Journal.
Les chercheurs anglais (Wolfson Institute of Preventive Medicine, Barts and the London School of Medicine and Dentistry) ont constaté, à partir de 13 études portant sur 1.907 cas, que le dépistage du cholestérol chez des enfants de 1 à 9 ans permettait de détecter, avec un taux de réussite approchant les 90%, les risques d'hypercholestérolémie familiale.
Lorsque l'enfant a entre 1 et 2 ans, le pourcentage de réussite de la détection est maximale, indiquent-ils. C'est pourquoi ils suggèrent de la pratiquer lors de la vaccination de routine, qui a lieu vers 15 mois.
L'hypercholestérolémie familiale touche 2 personnes sur 1.000 en moyenne et entraine un risque accru d'accident cardiovasculaire.
Les jeunes adultes de 20 à 39 ans souffrant d'une hypercholestérolémie familiale ont un risque 100 fois plus élevé de mourir d'une maladie cardiovasculaire que des personnes du même âge non atteintes, relève l'étude.
L'administration de statine, une molécule abaissant le taux de cholestérol dans le sang, permet de réduire les risques cardiovasculaires.
Dépister le cholestérol chez les enfants âgés de 1 à 9 ans permettrait de réduire leur risque de développer une maladie cardiovasculaire à l'âge adulte, selon une étude publiée vendredi dans la revue britannique British Medical Journal.
Les chercheurs anglais (Wolfson Institute of Preventive Medicine, Barts and the London School of Medicine and Dentistry) ont constaté, à partir de 13 études portant sur 1.907 cas, que le dépistage du cholestérol chez des enfants de 1 à 9 ans permettait de détecter, avec un taux de réussite approchant les 90%, les risques d'hypercholestérolémie familiale.
Lorsque l'enfant a entre 1 et 2 ans, le pourcentage de réussite de la détection est maximale, indiquent-ils. C'est pourquoi ils suggèrent de la pratiquer lors de la vaccination de routine, qui a lieu vers 15 mois.
L'hypercholestérolémie familiale touche 2 personnes sur 1.000 en moyenne et entraine un risque accru d'accident cardiovasculaire.
Les jeunes adultes de 20 à 39 ans souffrant d'une hypercholestérolémie familiale ont un risque 100 fois plus élevé de mourir d'une maladie cardiovasculaire que des personnes du même âge non atteintes, relève l'étude.
L'administration de statine, une molécule abaissant le taux de cholestérol dans le sang, permet de réduire les risques cardiovasculaires.
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Un esprit sain dans un… habitat sain !
Par Destination Santé Destination Sante - Vendredi 14 septembre, 09h01
Un logement insalubre peut être à l'origine de dépression. Une nouvelle étude américaine souligne en effet que le fait de vivre dans une « habitation humide et moisie » a un impact direct sur notre santé, mentale en particulier.
L'épidémiologiste Edmond Shenassa et son équipe de la Brown University (Etat de Rhode Island au Nord-Est des Etats-Unis) a passé en revue les données statistiques de l'étude LARES, conduite par l'OMS entre 2002 et 2003. Ce travail portait sur les liens entre habitation et santé. Près de 6 000 personnes avaient alors été interrogées à travers toute l'Europe.
Résultat, il s'est avéré qu'un habitat humide et insalubre peut avoir des conséquences sérieuses pour la santé mentale ! Isolation défectueuse, moisissures, pollution, environnement bruyant… Les raisons sont nombreuses. « C'est logique » précise Edmond Shenassa. « Un environnement intérieur malsain détériore souvent la santé des habitants et affecte donc leur moral »… En particulier les moisissures, « qui sont des toxines pouvant atteindre notre système nerveux central, voire perturber le fonctionnement normal de notre cortex frontal » ! Lequel est le siège de nombreuses fonctions cognitives telles que le langage, la mémoire, l'apprentissage et la planification.
Source : American Journal of Public Health, 29 août 2007
Par Destination Santé Destination Sante - Vendredi 14 septembre, 09h01
Un logement insalubre peut être à l'origine de dépression. Une nouvelle étude américaine souligne en effet que le fait de vivre dans une « habitation humide et moisie » a un impact direct sur notre santé, mentale en particulier.
L'épidémiologiste Edmond Shenassa et son équipe de la Brown University (Etat de Rhode Island au Nord-Est des Etats-Unis) a passé en revue les données statistiques de l'étude LARES, conduite par l'OMS entre 2002 et 2003. Ce travail portait sur les liens entre habitation et santé. Près de 6 000 personnes avaient alors été interrogées à travers toute l'Europe.
Résultat, il s'est avéré qu'un habitat humide et insalubre peut avoir des conséquences sérieuses pour la santé mentale ! Isolation défectueuse, moisissures, pollution, environnement bruyant… Les raisons sont nombreuses. « C'est logique » précise Edmond Shenassa. « Un environnement intérieur malsain détériore souvent la santé des habitants et affecte donc leur moral »… En particulier les moisissures, « qui sont des toxines pouvant atteindre notre système nerveux central, voire perturber le fonctionnement normal de notre cortex frontal » ! Lequel est le siège de nombreuses fonctions cognitives telles que le langage, la mémoire, l'apprentissage et la planification.
Source : American Journal of Public Health, 29 août 2007
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SIDA : plaidoyer pour « sauver l'Afrique »
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 2 heures 30 minutes
Dans le SIDA en terre d'Afrique, le lecteur est d'emblée plongé dans la terrible réalité de l'infection à VIH, cette « maladie à destruction massive ». Mais ce livre porte surtout pour la première fois, la voix d'un membre de l'élite politique africaine : Urbain Olanguena Awono, ministre de la Santé publique du Cameroun.
Reconnu comme un expert en matière de politique de développement, il est également impliqué dans le combat pour informer ses pairs. Via ce livre évidemment, mais aussi à travers un réseau de journalistes « santé » qu'il a mis en place au Cameroun.
« Il faut briser les tabous et rompre avec certains facteurs sociaux-culturels susceptibles de nourrir de nouvelles infections », n'hésite-t-il pas à lancer dans son livre où les questions sur les cultures et traditions africaines sont abordées sans détours. Dans le seul but « d'inverser le cours de l'épidémie ». Un objectif qui passe également par « l'action de la communauté internationale », notamment pour « l'accès universel à la prévention et aux traitements ».
« Rattraper les dégâts enregistrés à ce jour est impossible » analyse-t-il. Mais « surmonter les défis présents et à venir reste possible ». Comme le confie dans la préface le Pr Michel Kazatchkine « c'est dans cet esprit qu'il faut lire cet ouvrage et réfléchir aux ruptures nécessaires ».
Le SIDA en terre d'Afrique, l'audace des ruptures, Urbain Olanguena Awono, Editions Privat, 183 pages, 15 euros.
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 2 heures 30 minutes
Dans le SIDA en terre d'Afrique, le lecteur est d'emblée plongé dans la terrible réalité de l'infection à VIH, cette « maladie à destruction massive ». Mais ce livre porte surtout pour la première fois, la voix d'un membre de l'élite politique africaine : Urbain Olanguena Awono, ministre de la Santé publique du Cameroun.
Reconnu comme un expert en matière de politique de développement, il est également impliqué dans le combat pour informer ses pairs. Via ce livre évidemment, mais aussi à travers un réseau de journalistes « santé » qu'il a mis en place au Cameroun.
« Il faut briser les tabous et rompre avec certains facteurs sociaux-culturels susceptibles de nourrir de nouvelles infections », n'hésite-t-il pas à lancer dans son livre où les questions sur les cultures et traditions africaines sont abordées sans détours. Dans le seul but « d'inverser le cours de l'épidémie ». Un objectif qui passe également par « l'action de la communauté internationale », notamment pour « l'accès universel à la prévention et aux traitements ».
« Rattraper les dégâts enregistrés à ce jour est impossible » analyse-t-il. Mais « surmonter les défis présents et à venir reste possible ». Comme le confie dans la préface le Pr Michel Kazatchkine « c'est dans cet esprit qu'il faut lire cet ouvrage et réfléchir aux ruptures nécessaires ».
Le SIDA en terre d'Afrique, l'audace des ruptures, Urbain Olanguena Awono, Editions Privat, 183 pages, 15 euros.
Anorexie des mannequins : Londres met le paquet
Dès samedi, les mannequins devront avoir au moins 16 ans pour défiler à la Semaine de la mode. Drogues et cigarettes seront interdites dans les loges.
L'an prochain, elles devront même présenter un certificat médical.
La mort en 2006 de plusieurs mannequins anorexiques avait mis ce fléau sur le devant de la scène. Madrid avait agi la première en 2006, en interdisant du grand défilé Pasarela Cibeles toute jolie demoiselle présentant un indice de masse corporelle inférieur à 18 (soient 56 kg pour 1,75 m). En juillet, une couturière italienne, Raffaella Curiel, excluait à son tour 15 mannequins qui étaient en dessous de la taille 36. Londres à son tour a décidé de réagir, mais pas avec cet indice. Le Conseil britannique de la mode a annoncé vendredi, après la publication d'un rapport avec 14 recommandations sur ce sujet, toute une batterie de conditions pour pouvoir participer aux défilés de la Semaine de la mode de Londres.
Les mannequins devront avoir dès cette année au moins 16 ans. Un "environnement sain" sera en outre assuré dans les loges : pas de drogue, pas de cigarette, nourriture saine. Et une pièce de repos a été réservée aux mannequins, dans laquelle elles trouveront de la documentation sur les désordres alimentaires. L'an prochain, elles devront aussi présenter un certificat médical.
Le rapport recommande en outre le lancement d'une étude ad hoc sur les désordres alimentaires chez les mannequins: se référant aux similitudes avec l'athlétisme, il a estimé qu'environ 40% des mannequins souffraient de problèmes de ce genre. Dans la population, la moyenne est de 4%. Autre préconisation : que les manipulations par informatique des photos publiées dans les magazines soient signalées afin de ne pas véhiculer "une esthétique hors de portée". Les membres de la commission, à l'exception de sa présidente, se sont engagés à contrôler pendant deux ans l'application de ces recommandations. Reste un point : il faudrait, dit le rapport, une entente avec les défilés de Paris, Milan et New York.
Dès samedi, les mannequins devront avoir au moins 16 ans pour défiler à la Semaine de la mode. Drogues et cigarettes seront interdites dans les loges.
L'an prochain, elles devront même présenter un certificat médical.
La mort en 2006 de plusieurs mannequins anorexiques avait mis ce fléau sur le devant de la scène. Madrid avait agi la première en 2006, en interdisant du grand défilé Pasarela Cibeles toute jolie demoiselle présentant un indice de masse corporelle inférieur à 18 (soient 56 kg pour 1,75 m). En juillet, une couturière italienne, Raffaella Curiel, excluait à son tour 15 mannequins qui étaient en dessous de la taille 36. Londres à son tour a décidé de réagir, mais pas avec cet indice. Le Conseil britannique de la mode a annoncé vendredi, après la publication d'un rapport avec 14 recommandations sur ce sujet, toute une batterie de conditions pour pouvoir participer aux défilés de la Semaine de la mode de Londres.
Les mannequins devront avoir dès cette année au moins 16 ans. Un "environnement sain" sera en outre assuré dans les loges : pas de drogue, pas de cigarette, nourriture saine. Et une pièce de repos a été réservée aux mannequins, dans laquelle elles trouveront de la documentation sur les désordres alimentaires. L'an prochain, elles devront aussi présenter un certificat médical.
Le rapport recommande en outre le lancement d'une étude ad hoc sur les désordres alimentaires chez les mannequins: se référant aux similitudes avec l'athlétisme, il a estimé qu'environ 40% des mannequins souffraient de problèmes de ce genre. Dans la population, la moyenne est de 4%. Autre préconisation : que les manipulations par informatique des photos publiées dans les magazines soient signalées afin de ne pas véhiculer "une esthétique hors de portée". Les membres de la commission, à l'exception de sa présidente, se sont engagés à contrôler pendant deux ans l'application de ces recommandations. Reste un point : il faudrait, dit le rapport, une entente avec les défilés de Paris, Milan et New York.
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Interdiction de fumer : les associations maintiennent la pression
Par Destination Santé Destination Sante - Vendredi 14 septembre, 13h01
L'Alliance contre le tabac qui regroupe 34 associations, soutient « sans réserve » la lettre ouverte publiée dans Le Monde en date du 13 septembre, et dans laquelle la Ligue nationale contre le Cancer demande au Chef de l'Etat une application rigoureuse du décret du 15 novembre 2006, relatif à l'interdiction de fumer dans les lieux publics.
Dans un communiqué, l'Alliance réaffirme « son opposition à toute dérogation qui aurait pour unique effet de mettre en péril la vie des personnes exposées à la fumée dans les lieux publics. Le tabac est en effet à l'origine de 30% des morts par cancer ».
Et l'Alliance de citer deux études. L'une réalisée à l'Université de Turin (Italie) faisant ressortir une réduction de 11% des admissions pour infarctus du myocarde, cinq mois après l'application de la loi sur l'interdiction de fumer dans les lieux publics. L'autre effectuée en Ecosse dont les auteurs ont montré que le nombre d'hospitalisations pour crises cardiaques avait chuté de 17% dans l'année suivant cette interdiction.
« Respecter les engagements pris et se donner les moyens de faire de cette mesure une réussite afin de sauver des milliers de vies : voilà ce que les Français et nos partenaires européens attendront du Président de la République, le 1er janvier 2008 » conclut l'Alliance.
Par Destination Santé Destination Sante - Vendredi 14 septembre, 13h01
L'Alliance contre le tabac qui regroupe 34 associations, soutient « sans réserve » la lettre ouverte publiée dans Le Monde en date du 13 septembre, et dans laquelle la Ligue nationale contre le Cancer demande au Chef de l'Etat une application rigoureuse du décret du 15 novembre 2006, relatif à l'interdiction de fumer dans les lieux publics.
Dans un communiqué, l'Alliance réaffirme « son opposition à toute dérogation qui aurait pour unique effet de mettre en péril la vie des personnes exposées à la fumée dans les lieux publics. Le tabac est en effet à l'origine de 30% des morts par cancer ».
Et l'Alliance de citer deux études. L'une réalisée à l'Université de Turin (Italie) faisant ressortir une réduction de 11% des admissions pour infarctus du myocarde, cinq mois après l'application de la loi sur l'interdiction de fumer dans les lieux publics. L'autre effectuée en Ecosse dont les auteurs ont montré que le nombre d'hospitalisations pour crises cardiaques avait chuté de 17% dans l'année suivant cette interdiction.
« Respecter les engagements pris et se donner les moyens de faire de cette mesure une réussite afin de sauver des milliers de vies : voilà ce que les Français et nos partenaires européens attendront du Président de la République, le 1er janvier 2008 » conclut l'Alliance.
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Violence : les ados sont-ils victimes des jeux vidéo ?
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 2 heures 58 minutes
Il est généralement convenu par les spécialistes, que les comportements violents chez l'enfant et l'adolescent sont d'origines multiples : traits de personnalité, antécédents de maltraitance, abus sexuels… Mais qu'en est-il des jeux vidéo ? Alors qu'ils sont de plus en plus réalistes, leur impact sur les jeunes suscite de nombreuses interrogations.
« Le débat est loin d'être clos » précise d'emblée le Dr Stéphane Mouchabac, psychiatre au CHU Saint Antoine à Paris. Car si depuis de nombreuses années l'influence des médias sur les enfants a été confirmée, ce n'est pas le cas de celle des jeux vidéo. Même si quelques travaux ont déjà traité du sujet.
C'est le cas par exemple de la méta-analyse publiée en 2004 par le Pr Craig Anderson, et qui incluait 54 études portant sur 4 262 personnes. Sa conclusion ? « Les sujets perçoivent le monde de manière plus effrayante, se désensibilisent à la violence et sont moins empathiques » nous rappelle Stéphane Mouchabac. « Ils deviennent plus agressifs et violents ». En revanche, et c'est tout le paradoxe de cette méta-analyse, la majorité des joueurs ne passe pas à l'acte…
Alors mythe ou réalité, la violence engendrée par les jeux vidéo ? « Les données dont nous disposons ne permettent pas de conclure à ce jour » poursuit Stéphane Mouchabac. Sachant que « l'adolescence est à la fois une période de changement psychologique et biologique où le risque de dévoiler une vulnérabilité psychiatrique est importante, mais aussi celle où le jeu est le plus utilisé »... Une chose est sûre, les jeux vidéo enferment de plus en plus de joueurs invétérés dans des conduites addictives incompatibles avec leur quotidien.
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 2 heures 58 minutes
Il est généralement convenu par les spécialistes, que les comportements violents chez l'enfant et l'adolescent sont d'origines multiples : traits de personnalité, antécédents de maltraitance, abus sexuels… Mais qu'en est-il des jeux vidéo ? Alors qu'ils sont de plus en plus réalistes, leur impact sur les jeunes suscite de nombreuses interrogations.
« Le débat est loin d'être clos » précise d'emblée le Dr Stéphane Mouchabac, psychiatre au CHU Saint Antoine à Paris. Car si depuis de nombreuses années l'influence des médias sur les enfants a été confirmée, ce n'est pas le cas de celle des jeux vidéo. Même si quelques travaux ont déjà traité du sujet.
C'est le cas par exemple de la méta-analyse publiée en 2004 par le Pr Craig Anderson, et qui incluait 54 études portant sur 4 262 personnes. Sa conclusion ? « Les sujets perçoivent le monde de manière plus effrayante, se désensibilisent à la violence et sont moins empathiques » nous rappelle Stéphane Mouchabac. « Ils deviennent plus agressifs et violents ». En revanche, et c'est tout le paradoxe de cette méta-analyse, la majorité des joueurs ne passe pas à l'acte…
Alors mythe ou réalité, la violence engendrée par les jeux vidéo ? « Les données dont nous disposons ne permettent pas de conclure à ce jour » poursuit Stéphane Mouchabac. Sachant que « l'adolescence est à la fois une période de changement psychologique et biologique où le risque de dévoiler une vulnérabilité psychiatrique est importante, mais aussi celle où le jeu est le plus utilisé »... Une chose est sûre, les jeux vidéo enferment de plus en plus de joueurs invétérés dans des conduites addictives incompatibles avec leur quotidien.
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Semaine de la mode à Londres: les mannequins de moins de 16 ans écartés
AFP - il y a 1 heure 44 minutes
LONDRES (AFP) - Les adolescentes de moins de 16 ans ne pourront pas défiler lors de la Semaine de la mode de Londres à partir de samedi, a décidé le Conseil britannique du secteur après un rapport publié vendredi, qui préconise aussi l'obligation de fournir un certificat médical.
Le rapport, commissionné par le Conseil britannique de la mode et rédigé par un panel d'experts, renonce toutefois à proposer l'interdiction d'un indice de masse corporelle (IMC, rapport poids-taille) minimum pour autoriser un mannequin à défiler.
Le calcul de l'IMC "n'est pas une méthode efficace pour déterminer l'état de santé" des jeunes filles, estime ce "rapport sur la santé des mannequins".
Dans un rapport intermédiaire, publié en juillet, les experts envisageaient d'introduire un IMC minimum de 18,5 (soit environ 56 kg pour 1m75) pour pouvoir défiler.
En revanche, "notre proposition d'interdire les moins de 16 ans des défilés pendant la London Fashion Week a été largement approuvée", note le rapport.
Le Conseil britannique de la mode, organisateur de la Fashion Week de Londres, "va mettre en oeuvre cette mesure immédiatement et s'assurer qu'aucune jeune fille de moins de 16 ans ne participe à un défilé adulte" lors de cet événement.
Le rapport estime par ailleurs que tous les mannequins participant à la Semaine de la mode de Londres "devraient fournir un certificat médical prouvant qu'elles sont en bonne santé, rédigé par un médecin ayant une expérience dans la détection des désordres alimentaires".
AFP - il y a 1 heure 44 minutes
LONDRES (AFP) - Les adolescentes de moins de 16 ans ne pourront pas défiler lors de la Semaine de la mode de Londres à partir de samedi, a décidé le Conseil britannique du secteur après un rapport publié vendredi, qui préconise aussi l'obligation de fournir un certificat médical.
Le rapport, commissionné par le Conseil britannique de la mode et rédigé par un panel d'experts, renonce toutefois à proposer l'interdiction d'un indice de masse corporelle (IMC, rapport poids-taille) minimum pour autoriser un mannequin à défiler.
Le calcul de l'IMC "n'est pas une méthode efficace pour déterminer l'état de santé" des jeunes filles, estime ce "rapport sur la santé des mannequins".
Dans un rapport intermédiaire, publié en juillet, les experts envisageaient d'introduire un IMC minimum de 18,5 (soit environ 56 kg pour 1m75) pour pouvoir défiler.
En revanche, "notre proposition d'interdire les moins de 16 ans des défilés pendant la London Fashion Week a été largement approuvée", note le rapport.
Le Conseil britannique de la mode, organisateur de la Fashion Week de Londres, "va mettre en oeuvre cette mesure immédiatement et s'assurer qu'aucune jeune fille de moins de 16 ans ne participe à un défilé adulte" lors de cet événement.
Le rapport estime par ailleurs que tous les mannequins participant à la Semaine de la mode de Londres "devraient fournir un certificat médical prouvant qu'elles sont en bonne santé, rédigé par un médecin ayant une expérience dans la détection des désordres alimentaires".
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Héraclite d'Ephèse
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Quand la surdité se dévoile au quotidien
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 1 heure 3 minutes
Un enfant qui présente une surdité va la manifester de différentes manières selon son âge. Comme il est essentiel que cette affection soit prise en charge au plus tôt, voici les différents troubles qui doivent vous alerter et vous inciter à consulter un ORL :
* Entre 0 et 3 mois, absence de sursaut aux bruits forts et sommeil imperturbable ;
(Publicité)
* A partir de 6 mois, absence de vocalise et de recherche de la source sonore si elle n'est pas visible ;
* Entre 9 et 12 mois, défaut de réaction aux ordres simples, et pas de mimique en réponse. Enfin l'absence de « lallation » (émission de sons en ma-ma, ta-ta) est également un signe d'alerte ;
* A partir de 12 mois, l'enfant doit commencer à prononcer des mots ;
* Vers 18 mois, vérifiez qu'il est capable de désigner des parties du corps ;
* A 2 ans l'un des signes caractéristiques est une incapacité à désigner nommément des images ou associer deux à trois mots (ex : « papa parti au travail ») ;
* A 3 ans, il doit comprendre des consignes complexes ;
* A 4 ans s'il présente des troubles de l'articulation, pensez à une éventuelle surdité, même légère ;
* Après 4 ans, vous devrez être vigilant sur de nombreux points : difficultés scolaires, augmentation du volume de la télévision, tendance à l'isolement, besoin de faire répéter ses parents…
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 1 heure 3 minutes
Un enfant qui présente une surdité va la manifester de différentes manières selon son âge. Comme il est essentiel que cette affection soit prise en charge au plus tôt, voici les différents troubles qui doivent vous alerter et vous inciter à consulter un ORL :
* Entre 0 et 3 mois, absence de sursaut aux bruits forts et sommeil imperturbable ;
(Publicité)
* A partir de 6 mois, absence de vocalise et de recherche de la source sonore si elle n'est pas visible ;
* Entre 9 et 12 mois, défaut de réaction aux ordres simples, et pas de mimique en réponse. Enfin l'absence de « lallation » (émission de sons en ma-ma, ta-ta) est également un signe d'alerte ;
* A partir de 12 mois, l'enfant doit commencer à prononcer des mots ;
* Vers 18 mois, vérifiez qu'il est capable de désigner des parties du corps ;
* A 2 ans l'un des signes caractéristiques est une incapacité à désigner nommément des images ou associer deux à trois mots (ex : « papa parti au travail ») ;
* A 3 ans, il doit comprendre des consignes complexes ;
* A 4 ans s'il présente des troubles de l'articulation, pensez à une éventuelle surdité, même légère ;
* Après 4 ans, vous devrez être vigilant sur de nombreux points : difficultés scolaires, augmentation du volume de la télévision, tendance à l'isolement, besoin de faire répéter ses parents…
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La couche d'ozone rempart contre le réchauffement, pour les USA
Reuters - il y a 1 heure 30 minutes
BRUXELLES (Reuters) - Une proposition américaine d'accélération de l'interdiction des gaz responsables de l'appauvrissement de la couche d'ozone sera deux fois plus efficace dans la lutte contre le réchauffement climatique que le protocole de Kyoto, affirme un conseiller de George Bush.
Dans un entretien accordé à l'agence Reuters, James Connaughton, président du Conseil de la Maison blanche sur la qualité de l'environnement, a annoncé que les Etats-Unis proposeraient d'avancer de dix ans la date-butoir pour l'éradication des hydrochlorofluorocarbones (HCFC) lors du sommet de Montréal, qui s'ouvre le 17 septembre.
"Nous allons proposer d'écourter de manière significative ce calendrier, parce que cela bénéficiera à la couche d'ozone et parce que ces gaz ont un effet de serre très puissant", a-t-il dit.
"Cela produirait au moins deux fois plus de réductions que ce qui est prévu par le protocole de Kyoto", a-t-il ajouté.
Les HCFC sont actuellement utilisés dans des systèmes de réfrigération et de climatisation ou bien encore dans les mousses d'extinction des incendies. Ils ont succédé aux gaz CFC (chlorofluorocarbures), interdits en 1987.
Ces substances chimiques, qui ont aussi pour propriété de retenir la chaleur dans l'atmosphère, doivent à leur tour être interdites d'utilisation en 2030 au plus tard pour les pays développés et en 2040 pour les pays en développement.
Jeudi, le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) a reconnu que l'interdiction des HCFC pourrait être plus efficace dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre que le mécanisme de Kyoto.
Bush a retiré en 2001 les Etats-Unis du protocole de Kyoto au motif que ce plan de l'Onu fixait aux seuls pays développés des objectifs chiffrés de réduction des émissions de gaz à effet de serre, à commencer par le CO².
Reuters - il y a 1 heure 30 minutes
BRUXELLES (Reuters) - Une proposition américaine d'accélération de l'interdiction des gaz responsables de l'appauvrissement de la couche d'ozone sera deux fois plus efficace dans la lutte contre le réchauffement climatique que le protocole de Kyoto, affirme un conseiller de George Bush.
Dans un entretien accordé à l'agence Reuters, James Connaughton, président du Conseil de la Maison blanche sur la qualité de l'environnement, a annoncé que les Etats-Unis proposeraient d'avancer de dix ans la date-butoir pour l'éradication des hydrochlorofluorocarbones (HCFC) lors du sommet de Montréal, qui s'ouvre le 17 septembre.
"Nous allons proposer d'écourter de manière significative ce calendrier, parce que cela bénéficiera à la couche d'ozone et parce que ces gaz ont un effet de serre très puissant", a-t-il dit.
"Cela produirait au moins deux fois plus de réductions que ce qui est prévu par le protocole de Kyoto", a-t-il ajouté.
Les HCFC sont actuellement utilisés dans des systèmes de réfrigération et de climatisation ou bien encore dans les mousses d'extinction des incendies. Ils ont succédé aux gaz CFC (chlorofluorocarbures), interdits en 1987.
Ces substances chimiques, qui ont aussi pour propriété de retenir la chaleur dans l'atmosphère, doivent à leur tour être interdites d'utilisation en 2030 au plus tard pour les pays développés et en 2040 pour les pays en développement.
Jeudi, le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) a reconnu que l'interdiction des HCFC pourrait être plus efficace dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre que le mécanisme de Kyoto.
Bush a retiré en 2001 les Etats-Unis du protocole de Kyoto au motif que ce plan de l'Onu fixait aux seuls pays développés des objectifs chiffrés de réduction des émissions de gaz à effet de serre, à commencer par le CO².
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Quand la surdité se dévoile au quotidien
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 1 heure 16 minutes
Un enfant qui présente une surdité va la manifester de différentes manières selon son âge. Comme il est essentiel que cette affection soit prise en charge au plus tôt, voici les différents troubles qui doivent vous alerter et vous inciter à consulter un ORL :
Entre 0 et 3 mois, absence de sursaut aux bruits forts et sommeil imperturbable ;
A partir de 6 mois, absence de vocalise et de recherche de la source sonore si elle n'est pas visible ;
Entre 9 et 12 mois, défaut de réaction aux ordres simples, et pas de mimique en réponse. Enfin l'absence de « lallation » (émission de sons en ma-ma, ta-ta) est également un signe d'alerte ;
A partir de 12 mois, l'enfant doit commencer à prononcer des mots ;
Vers 18 mois, vérifiez qu'il est capable de désigner des parties du corps ;
A 2 ans l'un des signes caractéristiques est une incapacité à désigner nommément des images ou associer deux à trois mots (ex : « papa parti au travail ») ;
A 3 ans, il doit comprendre des consignes complexes ;
A 4 ans s'il présente des troubles de l'articulation, pensez à une éventuelle surdité, même légère ;
Après 4 ans, vous devrez être vigilant sur de nombreux points : difficultés scolaires, augmentation du volume de la télévision, tendance à l'isolement, besoin de faire répéter ses parents…
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 1 heure 16 minutes
Un enfant qui présente une surdité va la manifester de différentes manières selon son âge. Comme il est essentiel que cette affection soit prise en charge au plus tôt, voici les différents troubles qui doivent vous alerter et vous inciter à consulter un ORL :
Entre 0 et 3 mois, absence de sursaut aux bruits forts et sommeil imperturbable ;
A partir de 6 mois, absence de vocalise et de recherche de la source sonore si elle n'est pas visible ;
Entre 9 et 12 mois, défaut de réaction aux ordres simples, et pas de mimique en réponse. Enfin l'absence de « lallation » (émission de sons en ma-ma, ta-ta) est également un signe d'alerte ;
A partir de 12 mois, l'enfant doit commencer à prononcer des mots ;
Vers 18 mois, vérifiez qu'il est capable de désigner des parties du corps ;
A 2 ans l'un des signes caractéristiques est une incapacité à désigner nommément des images ou associer deux à trois mots (ex : « papa parti au travail ») ;
A 3 ans, il doit comprendre des consignes complexes ;
A 4 ans s'il présente des troubles de l'articulation, pensez à une éventuelle surdité, même légère ;
Après 4 ans, vous devrez être vigilant sur de nombreux points : difficultés scolaires, augmentation du volume de la télévision, tendance à l'isolement, besoin de faire répéter ses parents…
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La ménopause ? Parlez-en à votre médecin…
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[14 septembre 2007 - 17:35]
Les traitements hormonaux de la ménopause (THM) augmentent-ils le risque de cancers du sein et de l’ovaire ? Ce doute a été provoqué voici quelques années par une étude américaine (la Women’s Health Initiative) portant sur des traitements à base d’estrogènes seuls, peu ou pas utilisés en Europe.
L’antériorité et la spécificité américaines expliquent peut-être certaines conclusions du rapport conjoint présenté hier par les Académies nationales de médecine et des Sciences, la Fédération nationale des Centres de Lutte contre le Cancer et le Centre international de Recherche contre le Cancer.
En revanche et selon une étude menée en France, l’étude Mission, les femmes sous THM ne seraient pas plus exposées que les autres au risque de cancer du sein. Et ceci quelle que soit la voie d’administration du traitement, orale ou percutanée. Cette analyse est d’ailleurs confirmée par l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS). Pour cette dernière, il n’y a « aucune différence de risque (…) en fonction de la voie d’administration ». Des conclusions plutôt rassurantes.
En fait ce n’est pas tant la voie d’administration des estrogènes que la nature du progestatif contenu par le traitement qui ferait la différence ! Pour ce dernier, l’objectif est de parvenir à des molécules aussi proches que possible de la progestérone naturelle. C’est le cas de la drospirénone qui se distingue notamment par son effet anti-rétention d’eau.
Avantages et inconvénients
Utilisée dans le cadre d’un THM -comme Angeliq par exemple- elle soulage efficacement et rapidement certains des symptômes les plus gênants de la ménopause : bouffées de chaleur, sécheresse vaginale, prise de poids, troubles urinaires, troubles de l’humeur ou du sommeil. Un bénéfice qu’elle partage avec toutes les familles de THM, mais auquel s’ajoute sa capacité à faire baisser de façon modérée et significative la pression artérielle des femmes ménopausées hypertendues.
Un point non négligeable reconnu par l’AFSSaPS. Car l’hypertension artérielle est un facteur de risque de maladie cardio-vasculaire, et parce qu’après la ménopause, une femme sur deux décède de ce type de maladie. Comme tout médicament, le THM présente des risques et des avantages. C’est donc au médecin de décider lequel sera le plus adapté, en fonction du profil de sa patiente.
[14 septembre 2007 - 17:35]
Les traitements hormonaux de la ménopause (THM) augmentent-ils le risque de cancers du sein et de l’ovaire ? Ce doute a été provoqué voici quelques années par une étude américaine (la Women’s Health Initiative) portant sur des traitements à base d’estrogènes seuls, peu ou pas utilisés en Europe.
L’antériorité et la spécificité américaines expliquent peut-être certaines conclusions du rapport conjoint présenté hier par les Académies nationales de médecine et des Sciences, la Fédération nationale des Centres de Lutte contre le Cancer et le Centre international de Recherche contre le Cancer.
En revanche et selon une étude menée en France, l’étude Mission, les femmes sous THM ne seraient pas plus exposées que les autres au risque de cancer du sein. Et ceci quelle que soit la voie d’administration du traitement, orale ou percutanée. Cette analyse est d’ailleurs confirmée par l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS). Pour cette dernière, il n’y a « aucune différence de risque (…) en fonction de la voie d’administration ». Des conclusions plutôt rassurantes.
En fait ce n’est pas tant la voie d’administration des estrogènes que la nature du progestatif contenu par le traitement qui ferait la différence ! Pour ce dernier, l’objectif est de parvenir à des molécules aussi proches que possible de la progestérone naturelle. C’est le cas de la drospirénone qui se distingue notamment par son effet anti-rétention d’eau.
Avantages et inconvénients
Utilisée dans le cadre d’un THM -comme Angeliq par exemple- elle soulage efficacement et rapidement certains des symptômes les plus gênants de la ménopause : bouffées de chaleur, sécheresse vaginale, prise de poids, troubles urinaires, troubles de l’humeur ou du sommeil. Un bénéfice qu’elle partage avec toutes les familles de THM, mais auquel s’ajoute sa capacité à faire baisser de façon modérée et significative la pression artérielle des femmes ménopausées hypertendues.
Un point non négligeable reconnu par l’AFSSaPS. Car l’hypertension artérielle est un facteur de risque de maladie cardio-vasculaire, et parce qu’après la ménopause, une femme sur deux décède de ce type de maladie. Comme tout médicament, le THM présente des risques et des avantages. C’est donc au médecin de décider lequel sera le plus adapté, en fonction du profil de sa patiente.
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Le virus H5N1 décelé dans le Sud de la Chine
Le virus H5N1 décelé dans le Sud de la Chine
Reuters - Samedi 15 septembre, 12h10PEKIN
(Reuters) - Près de 10.000 canards ont succombé à la grippe aviaire dans un quartier périphérique de Guangzhou, métropole du sud de la Chine, a fait savoir samedi le ministère de l'Agriculture.
Selon les premières analyses, le virus en cause appartient à la souche hautement pathogène H5N1, transmissible à l'homme. Des tests complémentaires sont en cours dans un laboratoire national, précise le ministère, ajoutant que 33.000 canards ont été abattus pour enrayer l'épizootie.
Reuters - Samedi 15 septembre, 12h10PEKIN
(Reuters) - Près de 10.000 canards ont succombé à la grippe aviaire dans un quartier périphérique de Guangzhou, métropole du sud de la Chine, a fait savoir samedi le ministère de l'Agriculture.
Selon les premières analyses, le virus en cause appartient à la souche hautement pathogène H5N1, transmissible à l'homme. Des tests complémentaires sont en cours dans un laboratoire national, précise le ministère, ajoutant que 33.000 canards ont été abattus pour enrayer l'épizootie.
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Le Japon s'apprête à passer le cap des 32.000 centenaires
Le Japon s'apprête à passer le cap des 32.000 centenaires
Reuters - il y a 2 heures 48 minutes
TOKYO (Reuters) - Le Japon, pays dont la population vieillit le plus vite, dépassera le mois prochain les 32.000 centenaires, selon les statistiques officielles.
Un Japonais sur cinq est désormais âgé de plus de 65 ans et cette proportion devrait doubler à l'horizon 2050. La population de l'archipel devrait baisser dans le même temps de 30% pour tomber à 90 millions d'habitants.
Les Japonaises, dont l'espérance de vie, inégalée depuis 22 ans, atteint désormais 85,8 ans, représentent 86% des 27.682 centenaires recensés dernièrement. Leurs concitoyens masculins vivent en moyenne jusqu'à 79 ans, ce qui les place au deuxième rang mondial, derrière les Islandais (79,4).
Le Japon, qui célèbre lundi sa journée nationale du troisième âge, fêtera le lendemain le 112e anniversaire de Tomoji Tanabe, doyen de la gent masculine, précise l'agence de presse Kyodo.
Reuters - il y a 2 heures 48 minutes
TOKYO (Reuters) - Le Japon, pays dont la population vieillit le plus vite, dépassera le mois prochain les 32.000 centenaires, selon les statistiques officielles.
Un Japonais sur cinq est désormais âgé de plus de 65 ans et cette proportion devrait doubler à l'horizon 2050. La population de l'archipel devrait baisser dans le même temps de 30% pour tomber à 90 millions d'habitants.
Les Japonaises, dont l'espérance de vie, inégalée depuis 22 ans, atteint désormais 85,8 ans, représentent 86% des 27.682 centenaires recensés dernièrement. Leurs concitoyens masculins vivent en moyenne jusqu'à 79 ans, ce qui les place au deuxième rang mondial, derrière les Islandais (79,4).
Le Japon, qui célèbre lundi sa journée nationale du troisième âge, fêtera le lendemain le 112e anniversaire de Tomoji Tanabe, doyen de la gent masculine, précise l'agence de presse Kyodo.
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