Culture Générale
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Les prescriptions des médecins contestées
LE MONDE | 15.01.08 | 13h04 • Mis à jour le 16.01.08 | 16h12
'Union fédérale de consommateurs UFC-Que choisir a pris pour cible, mardi 15 janvier, le Plavix, vedette absolue des antiagrégants plaquettaires, soit une nouvelle classe de médicaments très prescrite par les médecins en général et par les cardiologues en particulier dans la prévention ou les suites d'accidents cardio-vasculaires.
UFC-Que choisir estime que ce produit inventé par Sanofi Aventis fait l'objet d'une surprescription en France, qui engendre "un gâchis important". Ainsi, "sur la période 2002-2006, c'est 350 millions d'euros de dépenses qui ne peuvent pas être justifiées. Soit 70 millions d'euros par an", affirme l'association de consommateurs.
Qu'est-ce qui fonde l'UFC-Que choisir à parler de "gâchis" et de "surprescription" ? Un avis de la commission de la transparence qui, dès 2002, affirmait que "le clopidogrel (principe actif du Plavix) n'est prescrit dans le strict respect des indications que dans un cas sur deux environ". L'association en conclut qu'en 2002, la prescription indue de Plavix a engendré une dépense non moins indue de 93 millions d'euros.
Si l'aspirine Protect, 27 fois moins chère, avait été prescrite cette année-là - à la place du Plavix -, 89 millions d'euros auraient été économisés. L'association de consommateurs suppose que ce mésusage du Plavix a perduré au-delà de 2002, mais s'interdit de projeter un raisonnement financier, faute de pouvoir l'étayer par des indications officielles.
En revanche, l'UFC-Que choisir inclut dans son analyse du gaspillage les nouvelles indications qui ont bénéficié au Plavix à partir de 2002. A cette date, les médecins se sont vus autorisés à prescrire ce produit aux patients souffrant d'angor instable et d'un certain type d'infarctus, soit 150 000 malades en tout. Pour l'association, cette nouvelle population de malades a engendré, dès 2002, un surcoût de prescriptions de 6 millions d'euros. "En 2006, ce montant s'élève à 110 millions d'euros", dit-elle. Pour UFC-Que choisir, si, sur la période 2004-2006, l'aspirine avait remplacé le Plavix chaque fois que ce dernier était prescrit à mauvais escient, "177 millions d'euros auraient pu être économisés".
L'association se moque que Plavix (4,1 milliards d'euros de ventes mondiales sur les neuf premiers mois de 2007) soit le deuxième médicament le plus vendu dans le monde, et que la surprescription soit sans doute planétaire.
Ancrée sur la situation française, UFC-Que choisir souhaite lier sa campagne actuelle contre le Plavix à ses campagnes précédentes contre la surprescription de médicaments. En septembre 2007, l'UFC avait mis en cause le gaspillage dans les antiulcéreux, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et les antihypertenseurs. Le surcroît de dépenses engendré par le Plavix "vient s'ajouter aux 660 millions d'euros de gâchis constatés sur les prescriptions de ville de 2002 à 2006 (132 millions par an) dans le traitement de maladies telles que les reflux gastro-œsophagiens, l'arthrose et l'hypertension".
IRRATIONALITÉ DU SYSTÈME
Au total, sur cinq classes de médicaments qui représentent 14 % des prescriptions chez les médecins, 1 milliard d'euros aurait pu être économisé entre 2002 et 2006, soit "200 millions par an". Et encore, ajoute l'association de consommateurs, il ne s'agit là que d'une "estimation basse" qui ne prend pas en compte la pénétration faible des génériques dans d'autres classes thérapeutiques par exemple.
Pour UFC-Que choisir, la dérive financière n'a rien de "marginal" ou d'"accidentel". Elle est le résultat de l'irrationalité du système, qui laisse les médecins croire qu'ils peuvent prescrire trop librement en dehors des critères de santé publique, ou qu'un médicament non innovant et cher est préférable à un générique.
L'association ne met toutefois pas directement en cause les médecins, mais la pression que les laboratoires pharmaceutiques exercent sur eux. Prenant appui sur les "constats sans appel" dressés d'un côté par la Cour des comptes (Le Monde du 6 novembre 2007) et de l'autre par l'inspection générale des affaires sociales (IGAS) (Le Monde du 3 novembre 2007), l'association de consommateurs pointe une nouvelle fois du doigt l'"influence" négative exercée par les trop nombreux visiteurs médicaux.
La pression subie par les médecins français serait plus élevée que dans les autres pays européens. "On compte en France un visiteur médical pour neuf médecins libéraux, soit deux fois plus qu'en Angleterre ou en Allemagne et quatre fois plus qu'aux Pays-Bas", dit l'association.
Les solutions proposées par l'UFC n'ont toutefois rien d'original : il suffirait, selon elle, de remplacer les visiteurs médicaux privés par 1 700 fonctionnaires gérés par la Haute Autorité de santé (HAS) et financés par une taxe sur le marketing des laboratoires.
Yves Mamou
Article paru dans l'édition du 16.01.08.
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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Bachelot : "Non aux médicaments en supermarchés"
Crédit Photo : Médiathèque de la Commission européenne
Divers médicaments
La ministre de la Santé s'est déclarée opposée à la vente de médicaments en grandes surfaces.
Elle a également indiqué que les téléphones portables pour enfants n'étaient "pas utiles".
M.D. (avec agence) - le 15/01/2008 - 12h57
"Il n'est pas question de banaliser le médicament. On ne va pas vendre des médicaments entre une boîte de petits pois et une botte de carottes". Roselyne Bachelot n'a pas mâché ses mots, mardi sur RMC Info, pour réaffirmer son opposition à la vente de médicaments en grandes surfaces. C'est "une question de santé publique et de protection du consommateur", a-t-elle assuré.
"Le médicament n'est pas un produit banal", a expliqué la ministre de la Santé, évoquant ses indications, contre-indications et effets secondaires, y compris pour les médicaments vendus sans ordonnance. Et d'insister : "Il s'agit que le médicament soit vendu dans un environnement sécurisé".
Portable pour enfants "pas utile"
La ministre a par ailleurs estimé mardi que le téléphone portable pour le jeune enfant "n'est pas utile", conseillant aux parents "de ne pas acheter ce genre d'appareils". Une question qu'elle veut toutefois aborder "avec prudence", notant que le téléphone portable est aussi "un élément d'alerte" pour les parents. "Ce que nous savons des études n'est pas concluant dans le signe de la dangerosité", a déclaré Roselyne Bachelot, rappelant avoir néanmoins "en vertu du principe de précaution", missionné l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) pour faire le point sur le sujet. "Si les études - mais elles n'en prennent pas le chemin - étaient concluantes (dans le sens de la dangerosité, NDLR), bien évidemment nous interdirions cela", a-t-elle ajouté.
La ministre s'est enfin félicitée du respect de l'interdiction de fumer par "l'immense majorité" des patrons de cafés, y compris à la campagne, malgré "certains irréductibles". Elle a rappelé que les études réalisées dans les pays qui ont interdit la cigarette "montrent qu'à terme la fréquentation des lieux de convivialité n'est pas perturbée, bien au contraire".
Crédit Photo : Médiathèque de la Commission européenne
Divers médicaments
La ministre de la Santé s'est déclarée opposée à la vente de médicaments en grandes surfaces.
Elle a également indiqué que les téléphones portables pour enfants n'étaient "pas utiles".
M.D. (avec agence) - le 15/01/2008 - 12h57
"Il n'est pas question de banaliser le médicament. On ne va pas vendre des médicaments entre une boîte de petits pois et une botte de carottes". Roselyne Bachelot n'a pas mâché ses mots, mardi sur RMC Info, pour réaffirmer son opposition à la vente de médicaments en grandes surfaces. C'est "une question de santé publique et de protection du consommateur", a-t-elle assuré.
"Le médicament n'est pas un produit banal", a expliqué la ministre de la Santé, évoquant ses indications, contre-indications et effets secondaires, y compris pour les médicaments vendus sans ordonnance. Et d'insister : "Il s'agit que le médicament soit vendu dans un environnement sécurisé".
Portable pour enfants "pas utile"
La ministre a par ailleurs estimé mardi que le téléphone portable pour le jeune enfant "n'est pas utile", conseillant aux parents "de ne pas acheter ce genre d'appareils". Une question qu'elle veut toutefois aborder "avec prudence", notant que le téléphone portable est aussi "un élément d'alerte" pour les parents. "Ce que nous savons des études n'est pas concluant dans le signe de la dangerosité", a déclaré Roselyne Bachelot, rappelant avoir néanmoins "en vertu du principe de précaution", missionné l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) pour faire le point sur le sujet. "Si les études - mais elles n'en prennent pas le chemin - étaient concluantes (dans le sens de la dangerosité, NDLR), bien évidemment nous interdirions cela", a-t-elle ajouté.
La ministre s'est enfin félicitée du respect de l'interdiction de fumer par "l'immense majorité" des patrons de cafés, y compris à la campagne, malgré "certains irréductibles". Elle a rappelé que les études réalisées dans les pays qui ont interdit la cigarette "montrent qu'à terme la fréquentation des lieux de convivialité n'est pas perturbée, bien au contraire".
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Dépêche
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En France, c’est désormais grippe et gastro
[15 janvier 2008 - 18:10]
Elle arrive ! L’épidémie de grippe saisonnière prend ses quartiers en France. Le réseau des médecins Sentinelles relève pour la première fois cette année, une incidence nationale hebdomadaire de 232 cas pour 100 000 habitants. Soit au-dessus du seuil épidémique fixé à 170 cas pour 100 000. La gastro-entérite, elle, confirme son « sursaut épidémique ».
La grippe vient tout juste de franchir le seuil épidémique. Mais les rédacteurs de l’INSERM et de l’InVS ne parlent pas encore d’épidémie. « Il faudra attendre une seconde semaine pour confirmer (son) arrivée en France métropolitaine ».
Du 7 au 13 janvier, six régions ont tout de même franchi la ligne rouge. Les incidences les plus fortes (voir carte ci-contre) ont été observées en Limousin (527 cas pour 100 000 habitants), en Rhône-Alpes (375) et en Ile-de-France (318).
Sur le front de la gastro-entérite, l’incidence nationale est actuellement de 449 cas pour 100 000 habitants. Elle est donc toujours au-dessus du seuil épidémique de 282 cas pour 100 000 habitants et… en hausse. Mais « cette dernière vague ne devrait pas se prolonger. La décrue est à attendre d’ici une ou deux semaines ». Au total, 1,9 million de Français ont consulté leur médecin généraliste en huit semaines d’épidémie.
Source : Sentiweb.org, INSERM, InVS, 15 janvier 2008
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En France, c’est désormais grippe et gastro
[15 janvier 2008 - 18:10]
Elle arrive ! L’épidémie de grippe saisonnière prend ses quartiers en France. Le réseau des médecins Sentinelles relève pour la première fois cette année, une incidence nationale hebdomadaire de 232 cas pour 100 000 habitants. Soit au-dessus du seuil épidémique fixé à 170 cas pour 100 000. La gastro-entérite, elle, confirme son « sursaut épidémique ».
La grippe vient tout juste de franchir le seuil épidémique. Mais les rédacteurs de l’INSERM et de l’InVS ne parlent pas encore d’épidémie. « Il faudra attendre une seconde semaine pour confirmer (son) arrivée en France métropolitaine ».
Du 7 au 13 janvier, six régions ont tout de même franchi la ligne rouge. Les incidences les plus fortes (voir carte ci-contre) ont été observées en Limousin (527 cas pour 100 000 habitants), en Rhône-Alpes (375) et en Ile-de-France (318).
Sur le front de la gastro-entérite, l’incidence nationale est actuellement de 449 cas pour 100 000 habitants. Elle est donc toujours au-dessus du seuil épidémique de 282 cas pour 100 000 habitants et… en hausse. Mais « cette dernière vague ne devrait pas se prolonger. La décrue est à attendre d’ici une ou deux semaines ». Au total, 1,9 million de Français ont consulté leur médecin généraliste en huit semaines d’épidémie.
Source : Sentiweb.org, INSERM, InVS, 15 janvier 2008
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Grève des soins
Indocile et militant
mardi 15 janvier 2008
Commentaires - Trackbacks
Un séropositif ose braver seul le ministère de la santé et le président de la république. L’acte fort de Bruno-Pascal Chevalier nous redonne de l’espoir mais nous met aussi en colère. La droite détricote depuis plusieurs années le système de soins à coup de forfaits, de franchises et les syndicats, les partis de gauche sont dans un état si misérable que la loi sur les franchises est passée sans problèmes.
À Warning, association de lutte contre le sida, nous recevons de nombreux témoignages de personnes, qu’elles soient séropositives ou non, qui se plaignent des changements dans le système de santé. Celui-ci, du fait des réformes insufflées depuis plusieurs années par un ministère de la santé imbécile, est de plus en plus kafkaïen, obligeant un nombre grandissant de gens à limiter les soins dont ils ont besoin à cause des sommes à payer.
Le combat que mène Bruno-Pascal Chevalier est estimable et courageux, Warning le soutient sans aucune réserve. Pour tout un chacun, notre accès à la santé est de plus en plus menacé. Bruno-Pascal ouvre la voie. Ce qui s’annonce pour 2008 dans la réforme de la sécurité sociale est encore bien pire que les franchises.
Il faut abolir les forfaits, franchises et toutes les mesures présentées comme des « réformes » qui sous prétexte de responsabilisation et de solidarité freinent la prévention, contraignent de plus en plus de gens à ne pas se soigner. Réorientons la politique de santé publique vers une sécurité sociale pleinement solidaire, garantissant l’accès aux soins pour tous.
Qu’attendons-nous pour agir ?
Indocile et militant
mardi 15 janvier 2008
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Un séropositif ose braver seul le ministère de la santé et le président de la république. L’acte fort de Bruno-Pascal Chevalier nous redonne de l’espoir mais nous met aussi en colère. La droite détricote depuis plusieurs années le système de soins à coup de forfaits, de franchises et les syndicats, les partis de gauche sont dans un état si misérable que la loi sur les franchises est passée sans problèmes.
À Warning, association de lutte contre le sida, nous recevons de nombreux témoignages de personnes, qu’elles soient séropositives ou non, qui se plaignent des changements dans le système de santé. Celui-ci, du fait des réformes insufflées depuis plusieurs années par un ministère de la santé imbécile, est de plus en plus kafkaïen, obligeant un nombre grandissant de gens à limiter les soins dont ils ont besoin à cause des sommes à payer.
Le combat que mène Bruno-Pascal Chevalier est estimable et courageux, Warning le soutient sans aucune réserve. Pour tout un chacun, notre accès à la santé est de plus en plus menacé. Bruno-Pascal ouvre la voie. Ce qui s’annonce pour 2008 dans la réforme de la sécurité sociale est encore bien pire que les franchises.
Il faut abolir les forfaits, franchises et toutes les mesures présentées comme des « réformes » qui sous prétexte de responsabilisation et de solidarité freinent la prévention, contraignent de plus en plus de gens à ne pas se soigner. Réorientons la politique de santé publique vers une sécurité sociale pleinement solidaire, garantissant l’accès aux soins pour tous.
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SANTE
OGM : débats houleux parmi les députés UMP
NOUVELOBS.COM | 15.01.2008 | 16:28
"Ca a chauffé sur les OGM" a reconnu Jean-François Copé, président du groupe à l'Assemblée. Après de vifs échanges, les élus de la majorité ont finalement décidé d'organiser des réunions d'information avec des scientifiques.
Un test qui détecte les protéines contenues dans le MON810, un maïs génétiquement modifié (AFP)
La décision du gouvernement de suspendre les OGM a provoqué des débats agités, mardi 15 janvier, au sein du groupe UMP à l'Assemblée nationale. Les députés de la majorité ont finalement décidé de mettre en place des réunions d'information avec des scientifiques, a annoncé leur président, Jean-François Copé.
"Ca a chauffé sur les OGM", a-t-il reconnu en sortant de la réunion du groupe avant d'ajouter qu'il y avait eu "un vrai débat". "Beaucoup de députés sont intervenus, dans le même sens, avec des termes courageux", en présence du Premier ministre, François Fillon.
Si les députés UMP "comprennent parfaitement bien la position équilibrée proposée par le gouvernement" de suspendre la culture du maïs OGM MON810 au nom du principe de précaution, "une très grande majorité d'entre nous souhaite poursuivre la réflexion sur cette question", a-t-il expliqué.
"Des polémiques anxiogènes pour l'opinion publique"
Sur proposition du président de la commission des Affaires économiques, Patrick Ollier, le groupe a décidé "d'organiser des réunions d'information associant les députés de la majorité et de l'opposition pour permettre d'entendre la communauté scientifique".
Il s'agit, a ajouté Jean-François Copé, "d'éviter qu'il y ait des polémiques déplacées qui soient anxiogènes pour l'opinion publique et provoquent à l'égard de la communauté scientifique un effet de rejet".
Les élus du groupe ont, par ailleurs, redit qu'ils n'avaient "pas été suffisamment informés sur le Grenelle de l'environnement".
"Les députés UMP comprennent le compromis politique qu'est le Grenelle de l'environnement mais ne veulent pas que ce soit perçu comme un renoncement scientifique et donc politique. "On comprend le compromis, on n'accepte pas le renoncement!", a renchéri le vice-président du groupe UMP, Jean Leonetti.
OGM : débats houleux parmi les députés UMP
NOUVELOBS.COM | 15.01.2008 | 16:28
"Ca a chauffé sur les OGM" a reconnu Jean-François Copé, président du groupe à l'Assemblée. Après de vifs échanges, les élus de la majorité ont finalement décidé d'organiser des réunions d'information avec des scientifiques.
Un test qui détecte les protéines contenues dans le MON810, un maïs génétiquement modifié (AFP)
La décision du gouvernement de suspendre les OGM a provoqué des débats agités, mardi 15 janvier, au sein du groupe UMP à l'Assemblée nationale. Les députés de la majorité ont finalement décidé de mettre en place des réunions d'information avec des scientifiques, a annoncé leur président, Jean-François Copé.
"Ca a chauffé sur les OGM", a-t-il reconnu en sortant de la réunion du groupe avant d'ajouter qu'il y avait eu "un vrai débat". "Beaucoup de députés sont intervenus, dans le même sens, avec des termes courageux", en présence du Premier ministre, François Fillon.
Si les députés UMP "comprennent parfaitement bien la position équilibrée proposée par le gouvernement" de suspendre la culture du maïs OGM MON810 au nom du principe de précaution, "une très grande majorité d'entre nous souhaite poursuivre la réflexion sur cette question", a-t-il expliqué.
"Des polémiques anxiogènes pour l'opinion publique"
Sur proposition du président de la commission des Affaires économiques, Patrick Ollier, le groupe a décidé "d'organiser des réunions d'information associant les députés de la majorité et de l'opposition pour permettre d'entendre la communauté scientifique".
Il s'agit, a ajouté Jean-François Copé, "d'éviter qu'il y ait des polémiques déplacées qui soient anxiogènes pour l'opinion publique et provoquent à l'égard de la communauté scientifique un effet de rejet".
Les élus du groupe ont, par ailleurs, redit qu'ils n'avaient "pas été suffisamment informés sur le Grenelle de l'environnement".
"Les députés UMP comprennent le compromis politique qu'est le Grenelle de l'environnement mais ne veulent pas que ce soit perçu comme un renoncement scientifique et donc politique. "On comprend le compromis, on n'accepte pas le renoncement!", a renchéri le vice-président du groupe UMP, Jean Leonetti.
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EUROPE
Barroso refuse de transiger sur la réduction de CO2
NOUVELOBS.COM | 16.01.2008 | 16:34
"N'attendez pas de nous des compromis sur l'intérêt européen. (…) C'est le moment d'être sérieux, cohérents et responsables face à nos engagements", a affirmé José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, lors des négociations actuelles avec les Etats membres.
José Manuel Barroso (Reuters)
José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, a souligné, mercredi 16 janvier, qu'il ne transigerait pas sur "l'intérêt européen", lors de ses négociations actuelles avec les Etats membres, à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Le 23 janvier, la Commission européenne dévoilera la version finale de propositions de lois permettant de répartir mathématiquement entre les 27 pays européens des efforts multiples pour réduire de 20% dans l'Union européenne les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020. L'objectif collectif avait été entériné lors d'un sommet des chefs d'Etat en mars 2007.
"C'est le moment d'être sérieux, cohérents et responsables"
Actuellement, Bruxelles reçoit chaque Etat membre à tour de rôle pour présenter et négocier ses propositions. Mais ces derniers jours, certains pays ont émis ouvertement des objections contre les mesures en préparation. "N'attendez pas de nous des compromis sur l'intérêt européen, qui est de mener des efforts globaux pour lutter contre le changement climatique, assurer la sécurité énergétique et apporter un avantage compétitif à nos économies", a prévenu José Manuel Barroso lors d'une intervention devant le Parlement européen réuni en session à Strasbourg. "Arriver aux objectifs établis en mars 2007 engage notre crédibilité à l'international et notre crédibilité vis à vis des citoyens européens", a-t-il souligné. "Nous savions depuis le tout début que transformer l'Europe en une économie à faible émission de carbone n'est pas une tâche aisée. Mais c'est le moment d'être sérieux, cohérents et responsables face à nos engagements", a-t-il affirmé.
"De nouveaux emplois"
Pour y arriver "la Commission suivra une approche mesurée par rapport aux efforts demandés aux Etats membres. Ces derniers ont des points de départ différents et certains sont moins capables que d'autres de financer des investissements", a commenté José Manuel Barroso. Par ailleurs, le commissaire européen juge que c'est une erreur d'opposer "la lutte contre le changement climatique à la compétitivité des industries européennes", car "de nouveaux marchés et de nouveaux emplois" vont être créés. Le chef de l'Etat français, Nicolas Sarkozy, a notamment écrit la semaine dernière à José Manuel Barroso pour lui faire part de ses objections concernant son plan. Il propose que "l'effort global de réduction des émissions" de gaz à effet de serre au sein de l'Union européenne d'ici à 2020 "varie selon le niveau de départ" des émissions par habitant de chaque pays.
l'UE Solidaire
Nicolas Sarkozy juge "indispensable de se donner l'objectif d'une convergence progressive vers un même volume d'émission de dioxyde de carbone par habitant dans tous les pays de l'Union". Une telle méthode de calcul reviendrait à mieux prendre en compte la production énergétique nucléaire française, même si cela n'est pas dit explicitement. Dans la proposition de Bruxelles, les objectifs nationaux sont fixés en fonction du PIB des Etats membres et feront appel aussi à la "solidarité" dans l'UE. Car selon une copie du projet, les pays les moins riches (nouveaux entrants) pourront même augmenter leur niveau d'émissions de gaz à effet de serre dans le cadre de leur croissance économique. Les Etats les plus riches devront les réduire.
Barroso refuse de transiger sur la réduction de CO2
NOUVELOBS.COM | 16.01.2008 | 16:34
"N'attendez pas de nous des compromis sur l'intérêt européen. (…) C'est le moment d'être sérieux, cohérents et responsables face à nos engagements", a affirmé José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, lors des négociations actuelles avec les Etats membres.
José Manuel Barroso (Reuters)
José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, a souligné, mercredi 16 janvier, qu'il ne transigerait pas sur "l'intérêt européen", lors de ses négociations actuelles avec les Etats membres, à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Le 23 janvier, la Commission européenne dévoilera la version finale de propositions de lois permettant de répartir mathématiquement entre les 27 pays européens des efforts multiples pour réduire de 20% dans l'Union européenne les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020. L'objectif collectif avait été entériné lors d'un sommet des chefs d'Etat en mars 2007.
"C'est le moment d'être sérieux, cohérents et responsables"
Actuellement, Bruxelles reçoit chaque Etat membre à tour de rôle pour présenter et négocier ses propositions. Mais ces derniers jours, certains pays ont émis ouvertement des objections contre les mesures en préparation. "N'attendez pas de nous des compromis sur l'intérêt européen, qui est de mener des efforts globaux pour lutter contre le changement climatique, assurer la sécurité énergétique et apporter un avantage compétitif à nos économies", a prévenu José Manuel Barroso lors d'une intervention devant le Parlement européen réuni en session à Strasbourg. "Arriver aux objectifs établis en mars 2007 engage notre crédibilité à l'international et notre crédibilité vis à vis des citoyens européens", a-t-il souligné. "Nous savions depuis le tout début que transformer l'Europe en une économie à faible émission de carbone n'est pas une tâche aisée. Mais c'est le moment d'être sérieux, cohérents et responsables face à nos engagements", a-t-il affirmé.
"De nouveaux emplois"
Pour y arriver "la Commission suivra une approche mesurée par rapport aux efforts demandés aux Etats membres. Ces derniers ont des points de départ différents et certains sont moins capables que d'autres de financer des investissements", a commenté José Manuel Barroso. Par ailleurs, le commissaire européen juge que c'est une erreur d'opposer "la lutte contre le changement climatique à la compétitivité des industries européennes", car "de nouveaux marchés et de nouveaux emplois" vont être créés. Le chef de l'Etat français, Nicolas Sarkozy, a notamment écrit la semaine dernière à José Manuel Barroso pour lui faire part de ses objections concernant son plan. Il propose que "l'effort global de réduction des émissions" de gaz à effet de serre au sein de l'Union européenne d'ici à 2020 "varie selon le niveau de départ" des émissions par habitant de chaque pays.
l'UE Solidaire
Nicolas Sarkozy juge "indispensable de se donner l'objectif d'une convergence progressive vers un même volume d'émission de dioxyde de carbone par habitant dans tous les pays de l'Union". Une telle méthode de calcul reviendrait à mieux prendre en compte la production énergétique nucléaire française, même si cela n'est pas dit explicitement. Dans la proposition de Bruxelles, les objectifs nationaux sont fixés en fonction du PIB des Etats membres et feront appel aussi à la "solidarité" dans l'UE. Car selon une copie du projet, les pays les moins riches (nouveaux entrants) pourront même augmenter leur niveau d'émissions de gaz à effet de serre dans le cadre de leur croissance économique. Les Etats les plus riches devront les réduire.
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Grippe : la prévenir, c’est la détruire…
[15 janvier 2008 - 12:30]
La grippe arrive. Et ce n’est pas rien puisque chaque année, elle touche dans sa forme saisonnière, 2,5 millions de Français en moyenne. Pas étonnant d’ailleurs, car elle se transmet très, très facilement : par les postillons et en général par la salive, en éternuant, en toussant et naturellement par les mains, fréquemment souillées de gouttelettes ou de sécrétions respiratoires infectées.
Et pourtant, il suffit de quelques gestes simples de prévention pour éviter la contagion. D’abord le lavage des mains, à l’eau et au savon. Faites-le plusieurs fois dans la journée : à chaque fois que vous vous mouchez, que vous toussez ou éternuez, et bien sûr quand vous devez rendre visite à un malade. C’est même recommandé « après chaque sortie à l’extérieur » souligne le ministère de la Santé. Le lavage des mains est indispensable enfin, dans la plupart des opérations entourant la préparation ou la consommation des repas, pour les adultes comme pour les enfants.
Préférez les mouchoirs jetables à usage unique, vous éviterez de transformer vos poches en incubateurs à microbes. Si vous êtes malade, le ministère de la Santé vous recommande de porter un masque chirurgical pour éviter la propagation du virus. Vous en trouverez en pharmacie. Changez-en toutes les 4 heures ou dès que votre masque est simplement humide. Et n’oubliez pas de vous laver les mains avant et après l’avoir manipulé.
Evitez enfin d’emmener les nourrissons et les jeunes enfants dans des lieux très fréquentés, comme les centres commerciaux. Ne partagez pas vos effets personnels (couverts, verre, serviette de toilette…). Et ultime recommandation, « évitez de serrer les mains et d’embrasser votre d’entourage ». Eh oui, c’est à ces conditions que l’épidémie de grippe se fera discrète…
[15 janvier 2008 - 12:30]
La grippe arrive. Et ce n’est pas rien puisque chaque année, elle touche dans sa forme saisonnière, 2,5 millions de Français en moyenne. Pas étonnant d’ailleurs, car elle se transmet très, très facilement : par les postillons et en général par la salive, en éternuant, en toussant et naturellement par les mains, fréquemment souillées de gouttelettes ou de sécrétions respiratoires infectées.
Et pourtant, il suffit de quelques gestes simples de prévention pour éviter la contagion. D’abord le lavage des mains, à l’eau et au savon. Faites-le plusieurs fois dans la journée : à chaque fois que vous vous mouchez, que vous toussez ou éternuez, et bien sûr quand vous devez rendre visite à un malade. C’est même recommandé « après chaque sortie à l’extérieur » souligne le ministère de la Santé. Le lavage des mains est indispensable enfin, dans la plupart des opérations entourant la préparation ou la consommation des repas, pour les adultes comme pour les enfants.
Préférez les mouchoirs jetables à usage unique, vous éviterez de transformer vos poches en incubateurs à microbes. Si vous êtes malade, le ministère de la Santé vous recommande de porter un masque chirurgical pour éviter la propagation du virus. Vous en trouverez en pharmacie. Changez-en toutes les 4 heures ou dès que votre masque est simplement humide. Et n’oubliez pas de vous laver les mains avant et après l’avoir manipulé.
Evitez enfin d’emmener les nourrissons et les jeunes enfants dans des lieux très fréquentés, comme les centres commerciaux. Ne partagez pas vos effets personnels (couverts, verre, serviette de toilette…). Et ultime recommandation, « évitez de serrer les mains et d’embrasser votre d’entourage ». Eh oui, c’est à ces conditions que l’épidémie de grippe se fera discrète…
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Le travail de nuit posté est classé « cancérogène probable »
[15 janvier 2008 - 13:59]
Le Centre international de Recherche sur le Cancer de l’OMS à Lyon (CIRC), vient d’ajouter le « travail de nuit posté » à la liste des agents probablement cancérogènes. L’augmentation du risque de cancer chez les personnes concernées serait notamment liée à la « perturbation de l’horloge biologique ».
Le CIRC insiste d’emblée sur un point : c’est bien le travail de nuit posté, autrement dit accompagné de changements fréquents d’horaires de travail, qui est en cause. D’après l’Institut national de Recherche et de sécurité (INRS), ce type d’activité concerne principalement les ouvriers et les professionnels de santé.
Au-delà de la perturbation des rythmes circadiens, les experts du CIRC pointent du doigt l’exposition nocturne à la lumière. Celle-ci bloquerait en effet la production de mélatonine, affaiblissant les défenses immunitaires. A long terme, les bouleversements du rythme veille/sommeil pourraient enfin déréguler des gènes impliqués dans le développement de cellules cancéreuses.
Le CIRC s’appuie sur plusieurs études épidémiologiques réalisées auprès d’infirmières alternant travail de jour et travail de nuit, et d’hôtesses de l’air soumises à de fréquents décalages horaires. Ces travaux font état d’une augmentation -modeste mais réelle- du risque de cancer du sein. Une élévation du risque de cancer de la prostate a également été observée chez des pilotes de ligne.
Pour le Dr Vincent Cogliano, chef du groupe « Identification et évaluation des cancérogènes » au CIRC, « des études complémentaires sont toutefois nécessaires pour examiner ce risque potentiel dans d’autres professions et pour d’autres types cancers ».
[15 janvier 2008 - 13:59]
Le Centre international de Recherche sur le Cancer de l’OMS à Lyon (CIRC), vient d’ajouter le « travail de nuit posté » à la liste des agents probablement cancérogènes. L’augmentation du risque de cancer chez les personnes concernées serait notamment liée à la « perturbation de l’horloge biologique ».
Le CIRC insiste d’emblée sur un point : c’est bien le travail de nuit posté, autrement dit accompagné de changements fréquents d’horaires de travail, qui est en cause. D’après l’Institut national de Recherche et de sécurité (INRS), ce type d’activité concerne principalement les ouvriers et les professionnels de santé.
Au-delà de la perturbation des rythmes circadiens, les experts du CIRC pointent du doigt l’exposition nocturne à la lumière. Celle-ci bloquerait en effet la production de mélatonine, affaiblissant les défenses immunitaires. A long terme, les bouleversements du rythme veille/sommeil pourraient enfin déréguler des gènes impliqués dans le développement de cellules cancéreuses.
Le CIRC s’appuie sur plusieurs études épidémiologiques réalisées auprès d’infirmières alternant travail de jour et travail de nuit, et d’hôtesses de l’air soumises à de fréquents décalages horaires. Ces travaux font état d’une augmentation -modeste mais réelle- du risque de cancer du sein. Une élévation du risque de cancer de la prostate a également été observée chez des pilotes de ligne.
Pour le Dr Vincent Cogliano, chef du groupe « Identification et évaluation des cancérogènes » au CIRC, « des études complémentaires sont toutefois nécessaires pour examiner ce risque potentiel dans d’autres professions et pour d’autres types cancers ».
Puéricultrice
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Et en plus, le clope rend paresseux
[16 janvier 2008 - 12:25]
Les fumeurs ont décidément une mauvaise hygiène de vie ! Déjà taxés de mal manger, ils seraient de surcroît, particulièrement réfractaires à… l’exercice physique. C’est la conclusion d’un travail on ne peut plus sérieux, mené par une équipe japonaise.
Pendant 4 ans, le Pr Teruo Nagaya de l’Université des sciences médicales de Nagoya, s’est intéressé au statut tabagique et à la pratique sportive de 750 Japonais, en bonne santé. Sa conclusion est sans appel. « Les fumeurs font systématiquement moins d’exercice physique que les non-fumeurs ».
Elle a constaté en revanche, qu’à l’arrêt du tabac les anciens accrocs à la nicotine augmentaient leur niveau d’activité. Mais dès qu’ils replongent, ils retombent aussi dans leurs mauvaises habitudes. A croire que la cigarette annihile toute volonté de bouger. Trois à quatre ans après avoir repris le tabac, leur niveau d’activité physique rejoint celui d’un fumeur régulier qui n’a jamais renoncé à la cigarette. C’est d’autant plus inquiétant que l’exercice physique prévient notamment le surpoids, l’hypertension artérielle et l’hypercholestérolémie. C’est dire si les fumeurs multiplient leurs facteurs de risque…
[16 janvier 2008 - 12:25]
Les fumeurs ont décidément une mauvaise hygiène de vie ! Déjà taxés de mal manger, ils seraient de surcroît, particulièrement réfractaires à… l’exercice physique. C’est la conclusion d’un travail on ne peut plus sérieux, mené par une équipe japonaise.
Pendant 4 ans, le Pr Teruo Nagaya de l’Université des sciences médicales de Nagoya, s’est intéressé au statut tabagique et à la pratique sportive de 750 Japonais, en bonne santé. Sa conclusion est sans appel. « Les fumeurs font systématiquement moins d’exercice physique que les non-fumeurs ».
Elle a constaté en revanche, qu’à l’arrêt du tabac les anciens accrocs à la nicotine augmentaient leur niveau d’activité. Mais dès qu’ils replongent, ils retombent aussi dans leurs mauvaises habitudes. A croire que la cigarette annihile toute volonté de bouger. Trois à quatre ans après avoir repris le tabac, leur niveau d’activité physique rejoint celui d’un fumeur régulier qui n’a jamais renoncé à la cigarette. C’est d’autant plus inquiétant que l’exercice physique prévient notamment le surpoids, l’hypertension artérielle et l’hypercholestérolémie. C’est dire si les fumeurs multiplient leurs facteurs de risque…
Puéricultrice
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Les médicaments non remboursés en libre service dans les pharmacies (Roselyne Bachelot)
17.01.08 | 05h34
Monde.fr
La ministre de la Santé Roselyne Bachelot annonce dans une interview au Parisien-Aujourd'hui en France de jeudi, que les médicaments non remboursés seront en libre service dans les pharmacies.
"Ces médicaments seront en libre service dans les pharmacies, mais encadrés par un conseil personnalisé de la part du pharmacien", précise la ministre.
"Quant un produit est vendu devant le comptoir, vous pouvez plus facilement comparer les prix", explique Mme Bachelot dont l'objectif est de faire bénéficier le patient d'une baisse des prix en faisant jouer la concurrence.
Interrogée sur la forte augmentation de certains médicament déremboursés, Mme Bachelot "condamne avec la plus grande fermeté ces dérapages" et affirme qu'elle va "rappeler sérieusement à l'ordre les laboratoires concernées".
Ces médicaments qui seront accessibles, d'ici à trois mois, dans les linéaires des pharmacies concernent, selon la ministre, "environ 200 spécialités, répondant aux critères de sécurité définis par l'Afssap". "Il s'agit d'antalgiques, d'antitussifs, de médicaments ORL, dermatologiques ou de spécialités indiquées en gastro-entérologie, en ophtalmologie mais aussi des produits de sevrage antitabagique".
"C'est une première liste, sachant qu'au total 3000 produits sont potentiellement éligibles", ajoute Mme Bachelot.
"Cet accès libre concernera uniquement les médicaments délivrables hors prescription", précise la ministre
17.01.08 | 05h34
Monde.fr
La ministre de la Santé Roselyne Bachelot annonce dans une interview au Parisien-Aujourd'hui en France de jeudi, que les médicaments non remboursés seront en libre service dans les pharmacies.
"Ces médicaments seront en libre service dans les pharmacies, mais encadrés par un conseil personnalisé de la part du pharmacien", précise la ministre.
"Quant un produit est vendu devant le comptoir, vous pouvez plus facilement comparer les prix", explique Mme Bachelot dont l'objectif est de faire bénéficier le patient d'une baisse des prix en faisant jouer la concurrence.
Interrogée sur la forte augmentation de certains médicament déremboursés, Mme Bachelot "condamne avec la plus grande fermeté ces dérapages" et affirme qu'elle va "rappeler sérieusement à l'ordre les laboratoires concernées".
Ces médicaments qui seront accessibles, d'ici à trois mois, dans les linéaires des pharmacies concernent, selon la ministre, "environ 200 spécialités, répondant aux critères de sécurité définis par l'Afssap". "Il s'agit d'antalgiques, d'antitussifs, de médicaments ORL, dermatologiques ou de spécialités indiquées en gastro-entérologie, en ophtalmologie mais aussi des produits de sevrage antitabagique".
"C'est une première liste, sachant qu'au total 3000 produits sont potentiellement éligibles", ajoute Mme Bachelot.
"Cet accès libre concernera uniquement les médicaments délivrables hors prescription", précise la ministre
Lyon Croix RougeESI 2008/2011
Les médicaments sans ordonnance devraient être en accès libre avant le 1er juillet
LE MONDE | 17.01.08 | 09h15 • Mis à jour le 17.01.08 | 09h21
Philippe Gaertner, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF, 13 000 adhérents pour 22 000 pharmacies), a pris acte, mercredi 16 janvier, de la volonté du gouvernement de faire passer "le plus vite possible devant les comptoirs de nos officines les médicaments d'automédication". Le libre accès des patients aux médicaments sans ordonnance devrait devenir effectif avant le 1er juillet.
Auparavant, le Conseil de l'ordre des pharmaciens devra réécrire une partie de son code de déontologie; et les industriels devront adopter les règles fixées par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) : posologie adaptée, notice adaptée, publicité réglementée, etc.
D'autres problèmes restent à régler, comme celui des médicaments à même composition moléculaire dont l'un plus cher serait en libre accès et l'autre, moins cher et soumis à prescription, resterait derrière le comptoir. Concernant l'aménagement des officines, les produits en libre accès ne devront pas être mélangés aux bonbons ou à la parapharmacie, mais être identifiés comme des médicaments.
Ces médicaments sans ordonnance pouvant être vendus directement par les laboratoires aux pharmaciens, la FSPF réclame que les grossistes-répartiteurs puissent créer des centrales d'achat capables de négocier des commandes groupées. Le "pharmacien artisan" bénéficiera ainsi des mêmes tarifs que le pharmacien membre d'un réseau.
La FSPF se félicite aussi de la position adoptée fin décembre par Roselyne Bachelot, ministre de la santé, sur le maintien du monopole des pharmaciens sur la vente de médicaments. Elle a alors expliqué dans une lettre à Jacques Attali, président de la Commission pour la libération de la croissance, que le gouvernement estimait que la suppression de ce monopole ne serait pas automatiquement un facteur de croissance.
Mardi, Mme Bachelot a conforté encore les pharmaciens d'officine en affirmant sur RMC Info que les médicaments sans prescription ne sauraient être vendus librement en grande surface. Elle ne s'est pas prononcée sur l'autorisation donnée aux grandes surfaces d'ouvrir des officines avec des pharmaciens dans les supermarchés.
Yves Mamou
PS : donc en gros, à partir de juillet 2008 quand on ira à la pharmacie, on pourra trouver les médicaments sans ordonnance à côté des crèmes hydratantes etc ? Mais quel est l'intérêt, j'ai du mal à comprendre
LE MONDE | 17.01.08 | 09h15 • Mis à jour le 17.01.08 | 09h21
Philippe Gaertner, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF, 13 000 adhérents pour 22 000 pharmacies), a pris acte, mercredi 16 janvier, de la volonté du gouvernement de faire passer "le plus vite possible devant les comptoirs de nos officines les médicaments d'automédication". Le libre accès des patients aux médicaments sans ordonnance devrait devenir effectif avant le 1er juillet.
Auparavant, le Conseil de l'ordre des pharmaciens devra réécrire une partie de son code de déontologie; et les industriels devront adopter les règles fixées par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) : posologie adaptée, notice adaptée, publicité réglementée, etc.
D'autres problèmes restent à régler, comme celui des médicaments à même composition moléculaire dont l'un plus cher serait en libre accès et l'autre, moins cher et soumis à prescription, resterait derrière le comptoir. Concernant l'aménagement des officines, les produits en libre accès ne devront pas être mélangés aux bonbons ou à la parapharmacie, mais être identifiés comme des médicaments.
Ces médicaments sans ordonnance pouvant être vendus directement par les laboratoires aux pharmaciens, la FSPF réclame que les grossistes-répartiteurs puissent créer des centrales d'achat capables de négocier des commandes groupées. Le "pharmacien artisan" bénéficiera ainsi des mêmes tarifs que le pharmacien membre d'un réseau.
La FSPF se félicite aussi de la position adoptée fin décembre par Roselyne Bachelot, ministre de la santé, sur le maintien du monopole des pharmaciens sur la vente de médicaments. Elle a alors expliqué dans une lettre à Jacques Attali, président de la Commission pour la libération de la croissance, que le gouvernement estimait que la suppression de ce monopole ne serait pas automatiquement un facteur de croissance.
Mardi, Mme Bachelot a conforté encore les pharmaciens d'officine en affirmant sur RMC Info que les médicaments sans prescription ne sauraient être vendus librement en grande surface. Elle ne s'est pas prononcée sur l'autorisation donnée aux grandes surfaces d'ouvrir des officines avec des pharmaciens dans les supermarchés.
Yves Mamou
PS : donc en gros, à partir de juillet 2008 quand on ira à la pharmacie, on pourra trouver les médicaments sans ordonnance à côté des crèmes hydratantes etc ? Mais quel est l'intérêt, j'ai du mal à comprendre

IDE depuis le 31 mai 2012 !

Dowbette, ceci va peut etre repondre a ta question
Des médicaments bientôt vendus en libre-service
17.01.08 | 10h10
PARIS (Reuters) - Pour réduire les prix, certains médicaments seront vendus en libre service d'ici le mois d'avril dans les pharmacies, annonce Roselyne Bachelot.
Cette mesure, négociée avec les professionnels concernés, vise à faire bénéficier le patient d'une baisse des prix en faisant jouer la concurrence, précise la ministre de la Santé jeudi dans Le Parisien.
Jusque-là, seuls les produits de parapharmacie étaient en accès libre.
Une première liste de 200 médicaments répondant à la nouvelle formule a été établie mais environ 3.000 produits sont potentiellement éligibles, selon la ministre. L'accès libre ne concernera que des médicaments hors prescription.
"J'en attends une amélioration de l'information, plus de choix et une baisse importante des prix publics de ces médicaments", explique Roselyne Bachelot.
"Quand un produit est vendu devant le comptoir, vous pouvez plus facilement comparer les prix. On est dans une démarche de concurrence dont on sait qu'elle fait baisser les prix", ajoute-t-elle.
Roselyne Bachelot précise qu'elle travaille à un décret permettant aux pharmaciens d'acheter à prix concurrentiel des médicaments non remboursables.
Selon elle, "tout le monde a intérêt à jouer le jeu, y compris les laboratoires".
Interrogée sur la flambée du prix de certains médicaments déremboursés, la ministre "condamne avec la plus grande fermeté ces dérapages".
"Je vais rappeler sérieusement à l'ordre les laboratoires concernés", dit-elle.
Gérard Bon

Des médicaments bientôt vendus en libre-service
17.01.08 | 10h10
PARIS (Reuters) - Pour réduire les prix, certains médicaments seront vendus en libre service d'ici le mois d'avril dans les pharmacies, annonce Roselyne Bachelot.
Cette mesure, négociée avec les professionnels concernés, vise à faire bénéficier le patient d'une baisse des prix en faisant jouer la concurrence, précise la ministre de la Santé jeudi dans Le Parisien.
Jusque-là, seuls les produits de parapharmacie étaient en accès libre.
Une première liste de 200 médicaments répondant à la nouvelle formule a été établie mais environ 3.000 produits sont potentiellement éligibles, selon la ministre. L'accès libre ne concernera que des médicaments hors prescription.
"J'en attends une amélioration de l'information, plus de choix et une baisse importante des prix publics de ces médicaments", explique Roselyne Bachelot.
"Quand un produit est vendu devant le comptoir, vous pouvez plus facilement comparer les prix. On est dans une démarche de concurrence dont on sait qu'elle fait baisser les prix", ajoute-t-elle.
Roselyne Bachelot précise qu'elle travaille à un décret permettant aux pharmaciens d'acheter à prix concurrentiel des médicaments non remboursables.
Selon elle, "tout le monde a intérêt à jouer le jeu, y compris les laboratoires".
Interrogée sur la flambée du prix de certains médicaments déremboursés, la ministre "condamne avec la plus grande fermeté ces dérapages".
"Je vais rappeler sérieusement à l'ordre les laboratoires concernés", dit-elle.
Gérard Bon
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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La grippe devrait toucher 4 millions de personnes
Catherine Petitnicolas
17/01/2008 | Mise à jour : 08:53 | .
Il faut utiliser des mouchoirs à usage unique et se couvrir la bouche dès que l'on tousse, car on est contagieux tant que dure la toux Crédits
Des mesures simples mais efficaces sont essentielles pour éviter de contaminer l'entourage.
À partir de l'analyse de la situation dans l'hémisphère Sud au moment de l'hiver austral, les experts du réseau Sentinelles-INSERM pensent qu'il pourrait y avoir en France quatre millions de personnes touchées par la grippe. En revanche, il est trop tôt pour dire si la grippe 2008 sera plus sévère que celle de l'année dernière.
Fièvre élevée, fatigue, courbatures et maux de tête sont les premiers symptômes de cette infection respiratoire aiguë, qui s'accompagne d'une toux sèche et douloureuse, d'une rhinite et d'une fatigue intense. Les formes compliquées (surinfection bactérienne, voire pneumonie) font toute la gravité de la maladie, particulièrement chez les personnes âgées ou fragilisées pour qui la vaccination est fortement recommandée. La grippe entraîne quelque 2 000 décès annuels, dont plus de 90 % chez les plus de 65 ans.
Le nombre de nouveaux cas a, la semaine dernière, dépassé le seuil épidémique avec 232 cas pour 100 000 habitants en France métropolitaine «pour la première fois cette année», selon le réseau Sentinelles. Mais «il faudra attendre une seconde semaine pour confirmer l'arrivée de l'épidémie en France métropolitaine». Six régions ont franchi le seuil épidémique, avec en tête le Limousin (527 cas sur 100 000), Rhône-Alpes (375) et l'Ile-de-France (318).
«Les premiers cas isolés sont apparus début décembre, mais la courbe qui suit l'évolution des passages aux urgences ou en hospitalisation pour syndrome grippal n'a commencé à monter qu'il y a une dizaine de jours», précise le Dr Françoise Weber, qui dirige depuis près de deux mois l'Institut national de veille sanitaire (INVS).
Cette spécialiste insiste tout particulièrement sur le «civisme sanitaire», un ensemble de mesures préventives simples, mais encore trop peu mises en pratique en France. D'abord et avant tout, un lavage des mains fréquent (en particulier après s'être mouché, avoir toussé ou éternué, avant de préparer les repas, de manger ou de s'occuper d'enfants, et aussi après avoir pris les transports en commun, tenu une porte d'ascenseur, etc.) On peut aussi utiliser des solutions hydroalcooliques désinfectantes.
Attention aux billets de banque
Car le virus de la grippe, très contagieux, est transmis par les postillons, la toux, les éternuements, la salive et les mains. Il se dépose ensuite sur les surfaces ou reste en suspension dans l'atmosphère, et il en faut très peu pour contaminer une pièce (c'est dire l'importance de les aérer au moins une fois par jour). Attention aussi aux billets de banque. Selon des chercheurs genevois, le virus peut survivre plusieurs jours sur des billets usagés, conservés à température et humidité ambiantes…
Il faut utiliser des mouchoirs à usage unique et se couvrir la bouche dès que l'on tousse, car on est contagieux tant que dure la toux. Autre réflexe indispensable, porter quand on est malade un masque chirurgical «antiprojections» (on les trouve en pharmacie).
Enfin, il est fortement recommandé aux professionnels au contact des personnes âgées de se faire vacciner. Idem pour ceux qui travaillent au contact des jeunes enfants. «Malheureusement, seule la moitié de ces professionnels sont vaccinés, c'est un vrai problème», reconnaît le Dr Weber.
Catherine Petitnicolas
17/01/2008 | Mise à jour : 08:53 | .
Il faut utiliser des mouchoirs à usage unique et se couvrir la bouche dès que l'on tousse, car on est contagieux tant que dure la toux Crédits
Des mesures simples mais efficaces sont essentielles pour éviter de contaminer l'entourage.
À partir de l'analyse de la situation dans l'hémisphère Sud au moment de l'hiver austral, les experts du réseau Sentinelles-INSERM pensent qu'il pourrait y avoir en France quatre millions de personnes touchées par la grippe. En revanche, il est trop tôt pour dire si la grippe 2008 sera plus sévère que celle de l'année dernière.
Fièvre élevée, fatigue, courbatures et maux de tête sont les premiers symptômes de cette infection respiratoire aiguë, qui s'accompagne d'une toux sèche et douloureuse, d'une rhinite et d'une fatigue intense. Les formes compliquées (surinfection bactérienne, voire pneumonie) font toute la gravité de la maladie, particulièrement chez les personnes âgées ou fragilisées pour qui la vaccination est fortement recommandée. La grippe entraîne quelque 2 000 décès annuels, dont plus de 90 % chez les plus de 65 ans.
Le nombre de nouveaux cas a, la semaine dernière, dépassé le seuil épidémique avec 232 cas pour 100 000 habitants en France métropolitaine «pour la première fois cette année», selon le réseau Sentinelles. Mais «il faudra attendre une seconde semaine pour confirmer l'arrivée de l'épidémie en France métropolitaine». Six régions ont franchi le seuil épidémique, avec en tête le Limousin (527 cas sur 100 000), Rhône-Alpes (375) et l'Ile-de-France (318).
«Les premiers cas isolés sont apparus début décembre, mais la courbe qui suit l'évolution des passages aux urgences ou en hospitalisation pour syndrome grippal n'a commencé à monter qu'il y a une dizaine de jours», précise le Dr Françoise Weber, qui dirige depuis près de deux mois l'Institut national de veille sanitaire (INVS).
Cette spécialiste insiste tout particulièrement sur le «civisme sanitaire», un ensemble de mesures préventives simples, mais encore trop peu mises en pratique en France. D'abord et avant tout, un lavage des mains fréquent (en particulier après s'être mouché, avoir toussé ou éternué, avant de préparer les repas, de manger ou de s'occuper d'enfants, et aussi après avoir pris les transports en commun, tenu une porte d'ascenseur, etc.) On peut aussi utiliser des solutions hydroalcooliques désinfectantes.
Attention aux billets de banque
Car le virus de la grippe, très contagieux, est transmis par les postillons, la toux, les éternuements, la salive et les mains. Il se dépose ensuite sur les surfaces ou reste en suspension dans l'atmosphère, et il en faut très peu pour contaminer une pièce (c'est dire l'importance de les aérer au moins une fois par jour). Attention aussi aux billets de banque. Selon des chercheurs genevois, le virus peut survivre plusieurs jours sur des billets usagés, conservés à température et humidité ambiantes…
Il faut utiliser des mouchoirs à usage unique et se couvrir la bouche dès que l'on tousse, car on est contagieux tant que dure la toux. Autre réflexe indispensable, porter quand on est malade un masque chirurgical «antiprojections» (on les trouve en pharmacie).
Enfin, il est fortement recommandé aux professionnels au contact des personnes âgées de se faire vacciner. Idem pour ceux qui travaillent au contact des jeunes enfants. «Malheureusement, seule la moitié de ces professionnels sont vaccinés, c'est un vrai problème», reconnaît le Dr Weber.
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Cancer du col de l'utérus: semaine de prévention
Françoise Grossetête, député européen, UMP et co-présidente de l'Association contre le Cancer du Col de l'utérus (ECCA) lancera officiellement le 22 janvier 2008 à Bruxelles la Semaine européenne de prévention du cancer du col de l'utérus.
Jusqu'au 26 janvier, la 2ème Semaine Européenne de Prévention du Cancer du Col de l’Utérus a pour but de sensibiliser l’Europe sur le fait que ce cancer peut être évité par une prévention adaptée, alors qu’il tue encore 25 000 européennes chaque année. L’action organisée par l’ECCA (Association Européenne Contre le Cancer du Col de l’Utérus) est suivie cette année par 17 pays qui organiseront autour de cette thématique une centaine d’évènements destinés aux femmes, aux médecins ou aux politiciens.
La France emboîte le pas en tenant une journée d’information sur le HPV (Papillomavirus humain - le virus à l’origine de cette maladie) et le cancer du col de l’utérus. Le mercredi 23 janvier de 9h à 19h, en composant le 0 820 366 110 (coût d’une communication locale) vous pourrez poser anonymement toutes vos questions aux internes en gynécologie, membres de l‘association AGOF.
Dans le cadre de cette manifestation, la pétition « STOP au cancer du col de l’utérus » sera également présentée au Parlement Européen où se tiendra aussi le Sommet Européen Contre le Cancer du Col de l’Utérus.
A noter enfin que deux nouveaux vaccins ont été mis sur le marché depuis peu. Les études ont montré que ces deux vaccins, s'ils n'évitent pas l'infection par tous les types de HPV, préviennent efficacement l'infection par les virus HPV 16 et 18 et peuvent aussi protéger contre d'autres types de HPV.
www.ecca.info.
Écrit par FI
Françoise Grossetête, député européen, UMP et co-présidente de l'Association contre le Cancer du Col de l'utérus (ECCA) lancera officiellement le 22 janvier 2008 à Bruxelles la Semaine européenne de prévention du cancer du col de l'utérus.
Jusqu'au 26 janvier, la 2ème Semaine Européenne de Prévention du Cancer du Col de l’Utérus a pour but de sensibiliser l’Europe sur le fait que ce cancer peut être évité par une prévention adaptée, alors qu’il tue encore 25 000 européennes chaque année. L’action organisée par l’ECCA (Association Européenne Contre le Cancer du Col de l’Utérus) est suivie cette année par 17 pays qui organiseront autour de cette thématique une centaine d’évènements destinés aux femmes, aux médecins ou aux politiciens.
La France emboîte le pas en tenant une journée d’information sur le HPV (Papillomavirus humain - le virus à l’origine de cette maladie) et le cancer du col de l’utérus. Le mercredi 23 janvier de 9h à 19h, en composant le 0 820 366 110 (coût d’une communication locale) vous pourrez poser anonymement toutes vos questions aux internes en gynécologie, membres de l‘association AGOF.
Dans le cadre de cette manifestation, la pétition « STOP au cancer du col de l’utérus » sera également présentée au Parlement Européen où se tiendra aussi le Sommet Européen Contre le Cancer du Col de l’Utérus.
A noter enfin que deux nouveaux vaccins ont été mis sur le marché depuis peu. Les études ont montré que ces deux vaccins, s'ils n'évitent pas l'infection par tous les types de HPV, préviennent efficacement l'infection par les virus HPV 16 et 18 et peuvent aussi protéger contre d'autres types de HPV.
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