un besoin de Virginia Henderson la sexualité
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Moi j'pensais a autre chose sur l'absence de la sexualité dans les 14 besoins. Etant donné que l'IDE fut pendant longtemps rapproché du couvent, c'éait pas trop d'actualité au sein de la religion ! Mais bon après recherche, j'ai vu que Virginia Henderson était IDE des 1921 et je sais pas si l'hopital était toujours rattaché à l'église vers 1930. Evitez de m'incendier si j'ai tout faux par manque de connaissance, c'est une hypothese !
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La vie est un processus d'équilibre physico-chimique auto-entretenu a caractère darwinien.
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chipie50 a écrit :Cela peut etre le patient qui paye et qui fait les démarches. Il peut demander aussi à son entourage (meilleur ami ...).
Eh bien voilà, nous sommes d'accord. Il le fait pendant une permission, il contacte lui-même la prostituée, il la paye... Bref, il s'agit d'affaires privées qui ne regardent pas l'hôpital. Ensuite, je ne suis pas choqué qu'il évoque sa sexualité avec ses soignants. Soigner ce patient, c'est-à-dire prendre soin de lui, ça peut comporter de discuter avec lui de sa sexualité, d'évoquer ses problèmes, de l'aider à trouver un meilleur équilibre en la matière. Je ne pense pas qu'il soit du rôle du soignant d'avoir des relations sexuelles avec son patient, ni même de lui "fournir du sexe", de quelque façon que ce soit.
chipie50 a écrit :Cela peut etre le patient qui paye et qui fait les démarches. Il peut demander aussi à son entourage (meilleur ami ...)
Donc cela ne nous concerne pas en tant que soignants et cela ne concerne pas l'établissement hospitalier!
Tenir compte du fait qu'un être humain a une sexualité (même quand il n'y a pas d'acte sexuel) c'est juste tellement évident que c'est à se demander pourquoi ça fait débat!
Penser que nous avons le droit (voire le devoir, mais là c'est le comble!) de faire en sorte par quelque moyen que ce soit que l'être humain pratique l'acte sexuel à tout prix, c'est une véritable ingérence dans la vie privée de cette personne!
Et si cette personne qui ne peut pas, pour une raison ou une autre pratiquer l'acte sexuel, m'a fait part de cette frustration je ne peux qu'en prendre acte en tant que soignant! En tenir compte, c'est tout!
Le reste, la façon dont le patient satisfait ou non son besoin d'acte sexuel, ne me regarde pas (dans la mesure ou cela ne met pas en danger d'autres êtres humains).
Je trouve l'idée d'amener un patient/résident à une prostituée aussi grotesque et dénuée de respect que d'y amener un jeune vierge avec l'idée qu'il est temps pour lui et qu'il faut bien que quelqu'un se décide à faire quelque chose pour la pauvre bête...
De plus, l'éternel débat de LA prostituée c'est nier encore et toujours l'existence de la sexualité féminine...
Tout a une fin ... Sauf la banane qui en a deux
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J'aimerai savoir si tout ce débat repose seulement sur la sexualité du patient ??? Ne peut-on également concevoir le sexe (et sa satisfaction) comme moyen de traitement de la douleur chez certains patients (principe généralisable pour les patients longue durée) .????
Le sexe libère des drogues endorphiniques non ?? Jumelées aux autres opiacées etc.... n'est ce pas un plus ??
Le sexe libère des drogues endorphiniques non ?? Jumelées aux autres opiacées etc.... n'est ce pas un plus ??
L'humour comme épée et l'humour comme bouclier (à défaut d'avoir de l'amour)
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Borotj a écrit :J'aimerai savoir si tout ce débat repose seulement sur la sexualité du patient ??? Ne peut-on également concevoir le sexe (et sa satisfaction) comme moyen de traitement de la douleur chez certains patients (principe généralisable pour les patients longue durée) .????
Le sexe libère des drogues endorphiniques non ?? Jumelées aux autres opiacées etc.... n'est ce pas un plus ??
La prochaine fois que j'ai mal quelque part, je demande à mon médecin de me prescrire un orgasme.
et puis un peu de cannabis ...
voire un peu de protoxyde d'azote
Par contre, je ne suis pas forcément d'accord avec vous concernant la prostitution. Evidemment la grande majorité des prostituées ne "travaillent" pas de gaieté de coeur, mais il y en a d'autres qui ont choisi ce travail et s'épanouissent (professionnellement).
Leur légalisation pourrait permettre des visites médicales (donc de la prévention), des avantages sociaux (retraite, sécurité sociale) et des taxes pour l'Etat. moyen qui ne résoudra pas tout loin de là mais peut-etre un début pour améliorer leurs conditions.

voire un peu de protoxyde d'azote

Par contre, je ne suis pas forcément d'accord avec vous concernant la prostitution. Evidemment la grande majorité des prostituées ne "travaillent" pas de gaieté de coeur, mais il y en a d'autres qui ont choisi ce travail et s'épanouissent (professionnellement).
Leur légalisation pourrait permettre des visites médicales (donc de la prévention), des avantages sociaux (retraite, sécurité sociale) et des taxes pour l'Etat. moyen qui ne résoudra pas tout loin de là mais peut-etre un début pour améliorer leurs conditions.
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chipie50 a écrit :Par contre, je ne suis pas forcément d'accord avec vous concernant la prostitution. Evidemment la grande majorité des prostituées ne "travaillent" pas de gaieté de coeur, mais il y en a d'autres qui ont choisi ce travail et s'épanouissent (professionnellement).
Un peu de lecture.