Culture Générale
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Re: Actualités concours 2012
Obésité : la stratégie payante des Weight Watchers
Cette méthode commerciale serait plus efficace qu'un simple suivi médical selon la revue scientifique «The Lancet».
Un programme commercial de perte de poids tel que la méthode Weight Watchers (WW) peut-il rivaliser avec l'approche médicale traditionnelle lorsqu'on le soumet à une évaluation scientifique rigoureuse ? Oui, selon une étude publiée dans une revue internationale de référence. Si l'on s'en tient au résultat brut, l'essai mené au Royaume-Uni, en Allemagne et en Australie que vient de publier The Lancet (8 septembre) montre que des volontaires engagés pendant un an dans un programme commercial, mais ici gratuit, de perte de poids, Weight Watchers, ont perdu en moyenne 3,5 kg de plus que ceux qui étaient suivis par des médecins généralistes ou des infirmières.
Huit cents volontaires, en surcharge ou obèses modérés, âgés en moyenne de près de 50 ans, ont été répartis au hasard en deux groupes. Les premiers consultaient mensuellement un professionnel de santé pour recevoir des conseils nutritionnels. Les autres étaient invités à suivre régulièrement les réunions collectives organisées par les animateurs des Weight Watchers, selon le principe de motivation de groupe à la base de la méthode. À charge pour chacun de ne pas dépasser le «budget calorique» qui lui est autorisé en fonction de son âge, son sexe, sa taille et son poids. Après douze mois, la perte moyenne a été de 6,7 kg dans le groupe Weight Watchers, soit le double de celle obtenue dans le groupe standard (3,3 kg). Les médecins restent pourtant partagés sur cette stratégie qui concerne entre 50.000 et 60.000 personnes au cours de 1850 réunions hebdomadaires dans plus de 850 centres à travers la France.
Un régime plutôt équilibré
Une façon ludique de faire de la nutrition ? «Plutôt une thérapie de groupe qui ne dit pas son nom, sauf qu'elle n'est pas faite par des thérapeutes professionnels », estime le Dr Bernard Waysfeld, président du Groupe de réflexion sur l'obésité et le surpoids (Gros). Pour lui, « le régime Weight Watchers reste un régime. Il fixe les aliments à consommer, à ne pas consommer, sans tenir compte des sensations alimentaires des individus - faim, envie, rassasiement, satiété - et fixe un objectif pondéral en fonction d'une norme sociale et non en fonction de l'histoire du sujet et de ses capacités de mincir éventuellement sans régime». La différence entre le sur-mesure des médecins et le prêt-à-porter WW ? À l'évidence, l'accent mis par la firme sur les aliments satiétogènes ne convainc pas le psychiatre et nutritionniste. Mêmes réticences du côté du Dr Paul Barbe, nutritionniste dans le Vaucluse : «Il n'y a pas de régime standard, chaque personne nécessite une approche différente et, comme dans tous les régimes, la difficulté c'est le long terme.»
Pourtant, la méthode Weight Watchers est bien considérée comme un régime hypocalorique, mais pas trop, et plutôt équilibré puisque se rapprochant au mieux des apports nutritionnels conseillés en glucides, lipides et protéines, selon l'expertise collective de l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) de novembre dernier, qui pointe du doigt la plupart des autres régimes. «Je préfère ce genre de régime aux régimes déséquilibrés», explique le Dr Jean-Pierre Rageau, généraliste dans les Hauts-de-Seine.
«Démarche commerciale»
Au final, dans l'étude du Lancet, le groupe WW a tout de même perdu deux fois plus de poids que le groupe comparatif pris en charge individuellement par un professionnel de santé (approche standard). Peut-être, mais la vraie question est de savoir pourquoi un tel résultat a été obtenu. Est-ce le contenu lui-même du régime ? Mais dans ce cas, en quoi différait-il des conseils nutritionnels dispensés par les médecins ? Nul ne le sait. Est-ce parce que le groupe WW se réunissait deux ou trois fois par mois alors que l'autre groupe ne bénéficiait que d'une consultation mensuelle ? Se poserait alors la question de la transposition des résultats obtenus en douze mois de réunions WW gratuites et quasi hebdomadaires dès lors que les patients devraient payer de leur poche. De 40 à 65 euros par mois environ, selon la formule choisie (réunions, Internet, les deux). « Pour certains patients qui ont besoin de réassurance, le soutien du groupe peut être un réel avantage, mais d'autres se sentent manipulés et n'y remettent pas les pieds», remarque le Dr Rageau.
«Il est vrai que c'est une démarche commerciale, concède le Dr Barbe, mais il est aussi vrai que le fait de payer peut contribuer à la motivation et donc au résultat.» Aux amateurs de régimes miracles, l'Anses rappelle que le succès d'un régime repose plus dans l'adaptation aux diversités singulières de chacun qu'à l'application aveugle de normes alimentaires.
Cette méthode commerciale serait plus efficace qu'un simple suivi médical selon la revue scientifique «The Lancet».
Un programme commercial de perte de poids tel que la méthode Weight Watchers (WW) peut-il rivaliser avec l'approche médicale traditionnelle lorsqu'on le soumet à une évaluation scientifique rigoureuse ? Oui, selon une étude publiée dans une revue internationale de référence. Si l'on s'en tient au résultat brut, l'essai mené au Royaume-Uni, en Allemagne et en Australie que vient de publier The Lancet (8 septembre) montre que des volontaires engagés pendant un an dans un programme commercial, mais ici gratuit, de perte de poids, Weight Watchers, ont perdu en moyenne 3,5 kg de plus que ceux qui étaient suivis par des médecins généralistes ou des infirmières.
Huit cents volontaires, en surcharge ou obèses modérés, âgés en moyenne de près de 50 ans, ont été répartis au hasard en deux groupes. Les premiers consultaient mensuellement un professionnel de santé pour recevoir des conseils nutritionnels. Les autres étaient invités à suivre régulièrement les réunions collectives organisées par les animateurs des Weight Watchers, selon le principe de motivation de groupe à la base de la méthode. À charge pour chacun de ne pas dépasser le «budget calorique» qui lui est autorisé en fonction de son âge, son sexe, sa taille et son poids. Après douze mois, la perte moyenne a été de 6,7 kg dans le groupe Weight Watchers, soit le double de celle obtenue dans le groupe standard (3,3 kg). Les médecins restent pourtant partagés sur cette stratégie qui concerne entre 50.000 et 60.000 personnes au cours de 1850 réunions hebdomadaires dans plus de 850 centres à travers la France.
Un régime plutôt équilibré
Une façon ludique de faire de la nutrition ? «Plutôt une thérapie de groupe qui ne dit pas son nom, sauf qu'elle n'est pas faite par des thérapeutes professionnels », estime le Dr Bernard Waysfeld, président du Groupe de réflexion sur l'obésité et le surpoids (Gros). Pour lui, « le régime Weight Watchers reste un régime. Il fixe les aliments à consommer, à ne pas consommer, sans tenir compte des sensations alimentaires des individus - faim, envie, rassasiement, satiété - et fixe un objectif pondéral en fonction d'une norme sociale et non en fonction de l'histoire du sujet et de ses capacités de mincir éventuellement sans régime». La différence entre le sur-mesure des médecins et le prêt-à-porter WW ? À l'évidence, l'accent mis par la firme sur les aliments satiétogènes ne convainc pas le psychiatre et nutritionniste. Mêmes réticences du côté du Dr Paul Barbe, nutritionniste dans le Vaucluse : «Il n'y a pas de régime standard, chaque personne nécessite une approche différente et, comme dans tous les régimes, la difficulté c'est le long terme.»
Pourtant, la méthode Weight Watchers est bien considérée comme un régime hypocalorique, mais pas trop, et plutôt équilibré puisque se rapprochant au mieux des apports nutritionnels conseillés en glucides, lipides et protéines, selon l'expertise collective de l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) de novembre dernier, qui pointe du doigt la plupart des autres régimes. «Je préfère ce genre de régime aux régimes déséquilibrés», explique le Dr Jean-Pierre Rageau, généraliste dans les Hauts-de-Seine.
«Démarche commerciale»
Au final, dans l'étude du Lancet, le groupe WW a tout de même perdu deux fois plus de poids que le groupe comparatif pris en charge individuellement par un professionnel de santé (approche standard). Peut-être, mais la vraie question est de savoir pourquoi un tel résultat a été obtenu. Est-ce le contenu lui-même du régime ? Mais dans ce cas, en quoi différait-il des conseils nutritionnels dispensés par les médecins ? Nul ne le sait. Est-ce parce que le groupe WW se réunissait deux ou trois fois par mois alors que l'autre groupe ne bénéficiait que d'une consultation mensuelle ? Se poserait alors la question de la transposition des résultats obtenus en douze mois de réunions WW gratuites et quasi hebdomadaires dès lors que les patients devraient payer de leur poche. De 40 à 65 euros par mois environ, selon la formule choisie (réunions, Internet, les deux). « Pour certains patients qui ont besoin de réassurance, le soutien du groupe peut être un réel avantage, mais d'autres se sentent manipulés et n'y remettent pas les pieds», remarque le Dr Rageau.
«Il est vrai que c'est une démarche commerciale, concède le Dr Barbe, mais il est aussi vrai que le fait de payer peut contribuer à la motivation et donc au résultat.» Aux amateurs de régimes miracles, l'Anses rappelle que le succès d'un régime repose plus dans l'adaptation aux diversités singulières de chacun qu'à l'application aveugle de normes alimentaires.

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Re: Actualités concours 2012
Amélioration des chiffres de la sécurité routière en août
En août 2011, 15 vies ont été épargnées sur les routes de France par rapport au mois d'août 2010, soit une baisse de 3,9 % des morts causées par un accident (368 personnes tuées en août 2011 contre 383 en août 2010), annonce, lundi 12 septembre, la Sécurité routière.
Cette diminution du nombre de personnes tuées, "le meilleur résultat enregistré pour un mois d'août" depuis le début des statistiques mensuelles, en 1956, s'accompagne "d'une nouvelle amélioration de tous les autres indicateurs", précise la Sécurité routière dans un communiqué.
Les hospitalisations sont en "fort recul", à 19,4 % (2 188 hospitalisations contre 2 715 en août 2010, soit 527 personnes hospitalisées en moins). Le nombre de personnes blessées diminue de 8,6 %, tandis que le nombre d'accidents corporels recule de 8,1 % et que le taux de gravité des accidents diminue.
"Avec un mois de juillet très favorable (- 21 % de mortalité et 95 vies épargnées par rapport à juillet 2010), l'été 2011 aura stoppé la dégradation qui avait été observée" au cours des quatre premiers mois de l'année. Cette baisse de la mortalité en juillet avait également été le meilleur résultat enregistré depuis 1956. Par rapport à une période identique, soit juillet et août 2010, ce sont 110 vies qui ont été sauvées sur les routes de France cet été, relève la Sécurité routière.
BARRE SYMBOLIQUE DES 4 000 MORTS
Pour autant, prévient la Sécurité routière, les résultats obtenus ne permettent pas encore d'égaler ceux de l'année 2010, qui avait vu la mortalité routière passer sous la barre symbolique des 4 000 personnes tuées. Les quatre premiers mois de l'année ont été très mauvais, après un débat à l'automne 2010 sur le permis à points qui avait abouti à son assouplissement, sur pression des députés. "Il est donc essentiel que l'engagement de tous pour la sécurité routière soit poursuivi", conclut la Sécurité routière. Le président de la République, Nicolas Sarkozy, a fixé comme objectif de parvenir à moins de 3 000 tués sur les routes d'ici à 2012.
MANIFESTATIONS DE MOTARDS
Des centaines de motards — 1 500 selon la préfecture de police — ont manifesté dimanche à Paris et en banlieue, pour la deuxième fois en moins de trois mois, pour protester contre de récentes mesures gouvernementales en matière de sécurité routière. Des rassemblements similaires s'étaient déroulés samedi dans les villes de province. Parmi les mesures dénoncées par les manifestants : la suppression des panneaux signalant les radars fixes, le port obligatoire du gilet fluorescent et des plaques d'immatriculation de format A4, prises par le comité interministériel de la sécurité routière (CISR) le 11 mai dernier.
LeMonde
En août 2011, 15 vies ont été épargnées sur les routes de France par rapport au mois d'août 2010, soit une baisse de 3,9 % des morts causées par un accident (368 personnes tuées en août 2011 contre 383 en août 2010), annonce, lundi 12 septembre, la Sécurité routière.
Cette diminution du nombre de personnes tuées, "le meilleur résultat enregistré pour un mois d'août" depuis le début des statistiques mensuelles, en 1956, s'accompagne "d'une nouvelle amélioration de tous les autres indicateurs", précise la Sécurité routière dans un communiqué.
Les hospitalisations sont en "fort recul", à 19,4 % (2 188 hospitalisations contre 2 715 en août 2010, soit 527 personnes hospitalisées en moins). Le nombre de personnes blessées diminue de 8,6 %, tandis que le nombre d'accidents corporels recule de 8,1 % et que le taux de gravité des accidents diminue.
"Avec un mois de juillet très favorable (- 21 % de mortalité et 95 vies épargnées par rapport à juillet 2010), l'été 2011 aura stoppé la dégradation qui avait été observée" au cours des quatre premiers mois de l'année. Cette baisse de la mortalité en juillet avait également été le meilleur résultat enregistré depuis 1956. Par rapport à une période identique, soit juillet et août 2010, ce sont 110 vies qui ont été sauvées sur les routes de France cet été, relève la Sécurité routière.
BARRE SYMBOLIQUE DES 4 000 MORTS
Pour autant, prévient la Sécurité routière, les résultats obtenus ne permettent pas encore d'égaler ceux de l'année 2010, qui avait vu la mortalité routière passer sous la barre symbolique des 4 000 personnes tuées. Les quatre premiers mois de l'année ont été très mauvais, après un débat à l'automne 2010 sur le permis à points qui avait abouti à son assouplissement, sur pression des députés. "Il est donc essentiel que l'engagement de tous pour la sécurité routière soit poursuivi", conclut la Sécurité routière. Le président de la République, Nicolas Sarkozy, a fixé comme objectif de parvenir à moins de 3 000 tués sur les routes d'ici à 2012.
MANIFESTATIONS DE MOTARDS
Des centaines de motards — 1 500 selon la préfecture de police — ont manifesté dimanche à Paris et en banlieue, pour la deuxième fois en moins de trois mois, pour protester contre de récentes mesures gouvernementales en matière de sécurité routière. Des rassemblements similaires s'étaient déroulés samedi dans les villes de province. Parmi les mesures dénoncées par les manifestants : la suppression des panneaux signalant les radars fixes, le port obligatoire du gilet fluorescent et des plaques d'immatriculation de format A4, prises par le comité interministériel de la sécurité routière (CISR) le 11 mai dernier.
LeMonde

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Re: Actualités concours 2012
Le gouvernement veut s'attaquer à la contrebande de tabac
La ministre du budget, Valérie Pécresse, a présenté, lundi 12 septembre, un plan d'action contre le trafic de cigarettes et de tabac passant par plus d'opérations coup de poing ou des objectifs chiffrés pour les douanes.
Mme Pécresse fixe comme première priorité aux douaniers "que les saisies de tabac et de cigarettes en 2011 soient d'au moins 15 % supérieures à celles de 2010", année de saisie record avec 350 tonnes de cigarettes et de tabac contrefaits (+ 30% par rapport à 2009), pour une valeur de 81 millions d'euros, un record.
Selon l'étude menée par les douanes pour le ministère sur le marché parallèle du tabac, le trafic illégal représente 5 % des ventes. Les achats à l'étranger – duty-free, achats transfrontaliers légaux – atteignent 15 % et les achats de tabac dans le réseau des vingt-huit mille buralistes, 80 %.
"UN PLAN D'URGENCE"
Pour les buralistes, qui réclament depuis des mois "un plan d'urgence", chaque augmentation des prix du tabac favorise le marché parallèle, des réseaux mafieux aux ventes frauduleuses sur Internet ou encore aux achats transfrontaliers qui leur échappent, en raison des différences de prix notables avec l'Espagne ou la Belgique.
La prochaine hausse des prix, de 6 %, est programmée le 3 octobre et une deuxième de 6 % dans le milieu de l'année 2012, dans le cadre du plan de lutte contre le tabagisme et du plan antidéficit français. 54,8 milliards de cigarettes ont été vendues par les buralistes de l'Hexagone en 2010, soit une baisse de 0,3 % des volumes.
En valeur, le marché représente 14,8 milliards d'euros, dont 80 % va dans les caisses de l'Etat sous forme de taxes (dont TVA), 12 % aux fabricants et 8 % aux buralistes.
Le Monde
La ministre du budget, Valérie Pécresse, a présenté, lundi 12 septembre, un plan d'action contre le trafic de cigarettes et de tabac passant par plus d'opérations coup de poing ou des objectifs chiffrés pour les douanes.
Mme Pécresse fixe comme première priorité aux douaniers "que les saisies de tabac et de cigarettes en 2011 soient d'au moins 15 % supérieures à celles de 2010", année de saisie record avec 350 tonnes de cigarettes et de tabac contrefaits (+ 30% par rapport à 2009), pour une valeur de 81 millions d'euros, un record.
Selon l'étude menée par les douanes pour le ministère sur le marché parallèle du tabac, le trafic illégal représente 5 % des ventes. Les achats à l'étranger – duty-free, achats transfrontaliers légaux – atteignent 15 % et les achats de tabac dans le réseau des vingt-huit mille buralistes, 80 %.
"UN PLAN D'URGENCE"
Pour les buralistes, qui réclament depuis des mois "un plan d'urgence", chaque augmentation des prix du tabac favorise le marché parallèle, des réseaux mafieux aux ventes frauduleuses sur Internet ou encore aux achats transfrontaliers qui leur échappent, en raison des différences de prix notables avec l'Espagne ou la Belgique.
La prochaine hausse des prix, de 6 %, est programmée le 3 octobre et une deuxième de 6 % dans le milieu de l'année 2012, dans le cadre du plan de lutte contre le tabagisme et du plan antidéficit français. 54,8 milliards de cigarettes ont été vendues par les buralistes de l'Hexagone en 2010, soit une baisse de 0,3 % des volumes.
En valeur, le marché représente 14,8 milliards d'euros, dont 80 % va dans les caisses de l'Etat sous forme de taxes (dont TVA), 12 % aux fabricants et 8 % aux buralistes.
Le Monde

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Re: Fiches culture générale 2012
Sur le magazine de la santé, j'ai fais la fiche sur le botulisme 
Je vous la mets
Sinon y a ce lien ci, on peut revoir les divers dossiers traités
http://www.france5.fr/sante/index.php

Je vous la mets

Sinon y a ce lien ci, on peut revoir les divers dossiers traités
http://www.france5.fr/sante/index.php
INFIRMIERE D.E
Re: Fiches culture générale 2012
LE BOTULISME
Maladie paralytique rare mais grave due a une neurotoxine bacterinne. LE plus souvent clostridium botulinum
Toxine botulique : Poisson puisant aussi utilisé comme anti rides
20n de cas en France / an
Sécrété par une bacterie qui bloque l'influx nerveux
= Paralysie : Diffuse dans l'organisme.
La parlysie surveitn qlq heures apres ingestions de l'aliment contaminé.
Signes dans l'ordes : Troubles oculaire ; secheresse de la bouche ; difficulté a déglutir ; parlaysie des membres
Quand la paralysie atteint le diaphragme : Pronostic vitale engagée, la personne ne peut plus respirer seule, on l'a place sous respirateur
Pas de traitement a part aider la personne a vivre (respirateur)
Guérison : Plusieurs jours a plusieurs semaines
Prévention :
- En cas de stérilisation maison : Faire bouillir pendant 1h minimum en changeant le caoutchouc a chaque fois
- En cas d'achat de conserve bombée ou cabossé ou de bocaux s'ouvrant trop facilement, ne pas consommer
Articles : Tapenade contaminée
Maladie paralytique rare mais grave due a une neurotoxine bacterinne. LE plus souvent clostridium botulinum
Toxine botulique : Poisson puisant aussi utilisé comme anti rides
20n de cas en France / an
Sécrété par une bacterie qui bloque l'influx nerveux
= Paralysie : Diffuse dans l'organisme.
La parlysie surveitn qlq heures apres ingestions de l'aliment contaminé.
Signes dans l'ordes : Troubles oculaire ; secheresse de la bouche ; difficulté a déglutir ; parlaysie des membres
Quand la paralysie atteint le diaphragme : Pronostic vitale engagée, la personne ne peut plus respirer seule, on l'a place sous respirateur
Pas de traitement a part aider la personne a vivre (respirateur)
Guérison : Plusieurs jours a plusieurs semaines
Prévention :
- En cas de stérilisation maison : Faire bouillir pendant 1h minimum en changeant le caoutchouc a chaque fois
- En cas d'achat de conserve bombée ou cabossé ou de bocaux s'ouvrant trop facilement, ne pas consommer
Articles : Tapenade contaminée
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- angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2012
Voilà un lien très bien pour les ist http://www.info-ist.fr/videos/video-ist-le-film.htmlangelito94 a écrit :Voici le Troisième exercice pour aujourd'hui ou demain :
1) Vous devez présenter un texte complet d'information et de prévention sur les IST à un jury, par écrit. Rédaction entre 30 lignes minimum et 60 lignes maximum.
2)Maintenant vous devez le résumer pour le présenter à un groupe d'adolescent à l'oral. Discours direct 15 lignes à 20 lignes maximum.
Voilà bon courage à demain
Bonjour tout le Monde Voici ma proposition :
1) Le but de cette question c'est vraiment de faire sortir tout le cours de manière un peu structué , l'exercice devient intéressant à la deuxième question ou il va falloir aller à l'essentiel , et en même temps garder un langage claire.
Les infections sexuellement transmissibles (ou IST) sont des maladies transmises par des parasites,des champignons, des bactéries ou des virus , en générale lors d'un rapport sexuel sans préservatif masculin ou féminin. Les trois vois de contamination principale sont les voies sanguine,sexuelle,materno-foetale.
L'invisibilité des premiers symptômes, joue en défaveur du malade, effectivement même si toutes les IST excepté le VIH peuvent être guéris elles n'en demeurent pas moins dangereuses et peuvent amener des complications très graves voir le décès.
Les différentes IST :
Celles se transmettant par voie sexuelle et maternofoetal sont
La gonorrhée ou chaude pisse est provoquée par une bactérie le gonocoque elle touche aussi bien l'homme et la femme, ces symptômes sont du pus s'écoulant du pénis ou bien des pertes vaginales jaunâtres , brûlures urinaires et maux de ventres.
Les condylomes humains, est provoqué par le papillomavirus , ce sont des verrues indolores sur les organes génitaux , mais loin de s'arrêter à la chez certaines femmes ils conduisent au cancer du col de l'utérus.
La chlamydiose, est dû à la bactérie chlamydia, elle se manifestes par des pertes claires et anormales au niveau du vagin,anus et verge.
Les IST ayant pour mode de transmission la voie sanguine en plus de celles citées précédemment sont :
La Syphilis et le VIH :Elles ont toutes deux trois stades , pour la Syphilis le premier stade sont des plaies indolores (chancres) au niveau des muqueuses et de l’épiderme, Ensuite des boutons et des lésions touchent les os, le système nerveux et les muqueuse, Enfin des lésions graves des organes vitaux caractérisent le dernier stade. Pour le VIH Le premier stade dîtes "phase de primo-infection" dure 10 jours à 3 mois on passe de séronégatif à séropositif, Suit ensuite la phase "asymptomatique" elle peut durer des années, l'infection reste silencieuse, pour terminer la phase "symptomatique" correspondant au SIDA entraîne une immunité déficiente et l'organisme ne peut plus se protéger , on peut mourir de maladies opportunistes.
Les IST restantes , sont l’herpès génital ,ses modes de transmission sont la voie sexuelle,materno-foetal mais également tout contact buccal/génital/annale.C'est un virus qui provoque des douleurs urinaires et des cloques sur le pénis ou la vulve.
Les Hépatites B et C , provoquent fatigue,fièvre et jaunisse, elles se transmettent non seulement par le sperme et le sang mais aussi par la salive.
Il est important de rappeler que ces IST ne provoquent pas seulement des symptômes gênants, mais des symptômes irréversibles comme la stérilité aussi bien masculine que féminine dans le cas de la chaude-pisse, ou encore des septicémies, sans oublier que toutes les IST fragilisent les muqueuses et deviennent des facteurs de contamination par le VIH, celui-ci peut être soigner mais pas guéris.
Les meilleurs moyens d'y remédier restent la prévention, et le dépistage régulier.
La prévention se fait par des vidéos, des images ,des campagnes mais également par l'éducation.
Tout en mettant à disposition des moyens de se protéger qui sont jusqu'à maintenant le préservatif, le vaccin pour l'hépatite B et le papillomavirus .
Il faut aussi transmettre par l'éducation, l'information , et les campagnes l'habitude du dépistage régulier , pour cela par exemple nous disposons des CDAG , qui permettent le dépistage de manière anonyme et gratuit.
Les dépistages se font par prise de sang, frottis et le prélèvement d'urine.
2) Quelques conseils :
-on s'adresse à des jeunes "comment les accrocher dès le départ?" (c'est ce que nous devrons faire à l'oral , il faut que notre intro soit stimulante pour l'interlocuteur.)
- bien choisir les exemples selon les personnes visées , qu'ils puissent s'identifier.
- Il faut la aussi faire un plan (comme pour l'orale)
- Etre synthétique
"Une personne est contaminée par le VIH toutes les 6 secondes dans le monde, le VIH est le virus qui conduit au SIDA, il ne peut pas être guéris mais uniquement soigné.
La drogue, le sexe homosexuel ou hétérosexuel sont des risques de contamination.
Pourquoi ? le VIH et la plupart des Infections sexuellement transmissibles, s'attrapent par le sang , les ouvertures qui se trouvent dans les muqueuses.
Alors l'échange de seringue , le contact entre muqueuses sont des passages pour les virus et les bactéries.
Mais pas besoin de faire voeux d'abstinence , le préservatif est là et protège à 99% de toutes les IST lors des rapports sexuels. Et si j'ai oublié le préservatif que faire ? Aller voir le médecin traitant, ou l'infirmier scolaire qui vous orientera vers un Centre de dépistage, comme le CDAG qui est anonyme et gratuit. On vous ferra une prise de sang, un frottis ou un prélèvement urinaire en fonction de la prise de risque et de vos éventuels symptômes.
Mais attention l'hépatite B se transmet également par la salive, mais il existe un vaccin, pour les femmes il y a également un vaccin pour le papillomavirus.
Si vous avez des douleurs ,écoulements anormaux, rougeurs des organes génitaux , il faut en parler à un professionnel de Santé car les IST peuvent être guéris mis à pas le VIH , mais sans traitement elles peuvent avoir des graves complications comme la stérilité par exemple pour les femmes et pour les Hommes.
La meilleure solution reste le préservatif, alors protégez vous!"
Voici ma proposition j'attends les votre

ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
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- angelito94
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- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Selon l'OMS : Une contamination par le VIH toutes les 6 secondes, une mort par le Sida toutes les 10 secondes. Au niveau mondial.
J'attends vos propositions ^^
J'attends vos propositions ^^
ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
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Re: Entraînement culture générale 2012
Moi j'attaque cette exo au hasard =) j'envois ma réponse tout à l'heure ( enfin quand j'aurai fini quoi lol --')angelito94 a écrit :Voici le quatrième exercice :
1)Résumez le texte en 5 à 7 lignes maximum.
2)Présentez brièvement le cancer, et les facteurs environnementaux entrant en compte.
Votre rédaction ne doit pas dépasser 25 lignes.
Mélanome : de nouvelles recommandations outre-Atlantique
Bien que l’été touche à sa fin et que le Soleil tende à se cacher derrière des nuages gris, l’Académie américaine de dermatologie a souhaité réactualiser les recommandations faites aux médecins, notamment en matière de diagnostic ou de prise en charge. Le but était d’améliorer le pronostic vital des patients touchés par ce cancer de la peau, mais aussi, leur qualité de vie.
Tumeur maligne des mélanocytes, le mélanome est certainement un des cancers dont la fréquence augmente le plus dans le monde. On estime que le nombre de personnes atteintes double tous les 10 ans. En France, chaque année, près de 6 000 cas sont découverts et 1 000 patients décèdent des suites de cette maladie. Selon les dernières estimations réalisées outre-Atlantique, 123 590 nouveaux cas de mélanomes auront été diagnostiqués au cours de l’année 2011 aux Etats-Unis, dont 53 360 non-invasifs et 70 230 invasifs.
Face à cette augmentation du nombre de cas annuels, les membres de l’Académie américaine de dermatologie ont fait une étude approfondie de la littérature scientifique sur ce thème, ainsi qu’un inventaire des recommandations d’experts, émis à travers le monde. L’ensemble de ces données et informations leur a permis de réactualiser les recommandations faites aux médecins pour une meilleure prise en charge des patients qui développent un mélanome. Ils ont ainsi revu les techniques de biopsie, la définition de la pathologie et des différents stades qui la caractérisent, mais aussi l’utilisation des traitements chirurgicaux.
Ronald L. Moy, président de l’Académie américaine de dermatologie, a tenu à rappelerque le traitement de chaque mélanome devait être personnalisé et qu’il était important que les médecins mettent en place un meilleur suivi de leurs patients, et surtout, sur un plus long terme…
Information hospitalière
Re: Entraînement culture générale 2012
MErci pour tous les conseils !!
On en apprends tout les jours sur ce fofo !!
C'est génial !
Aujourdhui je fais des fiches, demain je verrai les argumentations
On en apprends tout les jours sur ce fofo !!
C'est génial !
Aujourdhui je fais des fiches, demain je verrai les argumentations

INFIRMIERE D.E
Re: Fiches culture générale 2012
du coup j'ais fait aussi ma fiche sur le botulisme:
Botulisme
Historique :
S’est développée dès que l’homme a élaboré des techniques de transformation de la nourriture, en vue d’une meilleure conservation.
Le développement des règles d’hygiène et des bonnes pratiques dans la préparation des produits alimentaires destinés à la conservation, même artisanaux, a permis de lutter efficacement contre la survenue de cette maladie qui représente une vingtaine de cas par an en France.
Définition :
Maladie grave, mais rare, provoquée par une neurotoxine (= toxine botulique) très puissante synthétisée dans les aliments par une bactérie, Clostridium botulinum. Susceptible d'affaiblir ou de paralyser les muscles et même de causer la mort
Cette toxine est une protéine dont il existe sept types antigéniques, désignés par des lettres de A à G. (A, B, E, F = patho pour l’Homme).
Bactérie anaérobie, se développe en formant des spores (inactive à 120°C-20 min= autoclave ou autocuiseur) puis fabrication de la toxine
La toxine résiste à la chaleur : inactivée à + 100°C pendant 10 minutes
Habitat principal = sol (germe dit tellurique)= terre, l’eau et les sédiments marin, entrailles mammifères, poissons, fruit de mer
Maladie à déclaration obligatoire.
À l'occasion, les toxines peuvent être inhalées, ou absorbées par l'entremise des yeux
Mode de conta :
-D’origine alimentaire ( la + courante = toxine B): provient de l'ingestion d'aliments contaminés par la toxine= toxi-infection alimentaire
Conta des aliments par la bactérie ou les spores, puis en l’absence d’une stérilisation préalable, la conservation de ces aliments contaminés en anaérobiose et à température ambiante (boîte de conserve ou emballage sous vide) va favoriser la croissance de la bactérie et la production par cette dernière de toxine
-infantile: touche les enfants de moins de 12 mois qui mangent les spores des bactéries plutôt que la toxine. Le miel peut contenir des spores de C. botulinum et il est lié au botulisme infantile ; il ne devrait donc pas être donné aux petits enfants qui n'ont pas encore 1 an.
-Des plaies se produit lorsque des bactéries vivantes infectent une plaie ouverte et que la toxine est transportée dans l'organisme par le sang.
Pas de conta interhumaine.
Symptômes
La toxine attaque les terminaisons nerveuses et leur inflige des lésions permanentes. Elle ne peut pas traverser la barrière protectrice du cerveau, ni le cœur qui possède son propre circuit Cependant, la toxine botulinique peut attaquer tous les autres nerfs de l'organisme muscles des poumons = mort par insuffisance respiratoire
Les symptômes du botulisme d'origine alimentaire apparaissent en 18 à 36 heures, (maxi 8j).
1er signes : Vomissements, nausée, diarrhées et des crampes abdo. Puis symptômes neurologiques = arrêt progressif du fonctionnement musculaire après avoir débuté vers les tempes et le front. Le visage devient flasque et inexpressif, les paupières tombent et la personne atteinte peut baver.
Le vertige et une vision double sont courants. Les bras s'affaiblissent lentement, puis les jambes. La constipation remplace la diarrhée. À partir de ce moment, apparaissent des difficultés de parler, d'avaler et de respirer. La température et le pouls restent normaux.
Le premier signe du botulisme infantile est la constipation. même symptômes neuro que toxi infection alimentaire, mais plus lentement. Le bébé peut également téter plus faiblement, ne pas pleurer fort, ne plus maîtriser la position de sa tête et ne plus avoir d'expression faciale.
Mortalité +++ si TTT pas immédiat. Mortelle dans 5 à 10 % des cas, en administrant sans délai l’antitoxine et en instaurant des soins respiratoires intensifs.
Prévention
-Bonne préparation des denrées alimentaires (conserves) et sur l’hygiène.
-Stérilisation à chaud.
-La pasteurisation commerciale à chaud (produits pasteurisés et conditionnés sous vide, produits fumés à chaud) pourrait ne pas être suffisante pour détruire toutes les spores.
-La réfrigération+ une teneur suffisante en sel ou un milieu acide = évite le développement des bactéries et de la toxine.
-Faire de suite des prélèvements d’eau et d’aliments en relation avec les cas suspects, les conserver dans des sacs ou récipients hermétiquement fermés et les envoyer à un labo de réf pour éviter de nouveaux cas.
-Ne pas acheter de conserve cabossée
Traitement
Dès diagnostic = administration d’antitoxine le + rapidement.
+ TTT symptomatique = ventilation assistée (+sieurs semaines à mois)
ATB inutiles.
Il existe un vaccin antibotulique, mais peu utilisé car efficacité pas complètement évaluée + effets secondaires.
Injections de Botox
C. botulinum est aussi la bactérie servant à produire le Botox, un produit pharmaceutique injecté à des fins thérapeutiques (dans les muscles pour calmer leurs contractions et leurs spasmes, utilisé contre différents troubles nerveux) et cosmétiques. (But de faire disparaître les rides frontales et intersourcilières et les pattes d'oie au coin des yeux)
Toutefois, c’est la neurotoxine A purifiée et diluée que l’on emploie dans ces traitements.
Ceux-ci sont administrés en milieu médical, adaptés à chaque patient et en général bien tolérés. Il arrive d’observer à l’occasion quelques effets secondaires.
Actualité: contamination de Tapende
Botulisme
Historique :
S’est développée dès que l’homme a élaboré des techniques de transformation de la nourriture, en vue d’une meilleure conservation.
Le développement des règles d’hygiène et des bonnes pratiques dans la préparation des produits alimentaires destinés à la conservation, même artisanaux, a permis de lutter efficacement contre la survenue de cette maladie qui représente une vingtaine de cas par an en France.
Définition :
Maladie grave, mais rare, provoquée par une neurotoxine (= toxine botulique) très puissante synthétisée dans les aliments par une bactérie, Clostridium botulinum. Susceptible d'affaiblir ou de paralyser les muscles et même de causer la mort
Cette toxine est une protéine dont il existe sept types antigéniques, désignés par des lettres de A à G. (A, B, E, F = patho pour l’Homme).
Bactérie anaérobie, se développe en formant des spores (inactive à 120°C-20 min= autoclave ou autocuiseur) puis fabrication de la toxine
La toxine résiste à la chaleur : inactivée à + 100°C pendant 10 minutes
Habitat principal = sol (germe dit tellurique)= terre, l’eau et les sédiments marin, entrailles mammifères, poissons, fruit de mer
Maladie à déclaration obligatoire.
À l'occasion, les toxines peuvent être inhalées, ou absorbées par l'entremise des yeux
Mode de conta :
-D’origine alimentaire ( la + courante = toxine B): provient de l'ingestion d'aliments contaminés par la toxine= toxi-infection alimentaire
Conta des aliments par la bactérie ou les spores, puis en l’absence d’une stérilisation préalable, la conservation de ces aliments contaminés en anaérobiose et à température ambiante (boîte de conserve ou emballage sous vide) va favoriser la croissance de la bactérie et la production par cette dernière de toxine
-infantile: touche les enfants de moins de 12 mois qui mangent les spores des bactéries plutôt que la toxine. Le miel peut contenir des spores de C. botulinum et il est lié au botulisme infantile ; il ne devrait donc pas être donné aux petits enfants qui n'ont pas encore 1 an.
-Des plaies se produit lorsque des bactéries vivantes infectent une plaie ouverte et que la toxine est transportée dans l'organisme par le sang.
Pas de conta interhumaine.
Symptômes
La toxine attaque les terminaisons nerveuses et leur inflige des lésions permanentes. Elle ne peut pas traverser la barrière protectrice du cerveau, ni le cœur qui possède son propre circuit Cependant, la toxine botulinique peut attaquer tous les autres nerfs de l'organisme muscles des poumons = mort par insuffisance respiratoire
Les symptômes du botulisme d'origine alimentaire apparaissent en 18 à 36 heures, (maxi 8j).
1er signes : Vomissements, nausée, diarrhées et des crampes abdo. Puis symptômes neurologiques = arrêt progressif du fonctionnement musculaire après avoir débuté vers les tempes et le front. Le visage devient flasque et inexpressif, les paupières tombent et la personne atteinte peut baver.
Le vertige et une vision double sont courants. Les bras s'affaiblissent lentement, puis les jambes. La constipation remplace la diarrhée. À partir de ce moment, apparaissent des difficultés de parler, d'avaler et de respirer. La température et le pouls restent normaux.
Le premier signe du botulisme infantile est la constipation. même symptômes neuro que toxi infection alimentaire, mais plus lentement. Le bébé peut également téter plus faiblement, ne pas pleurer fort, ne plus maîtriser la position de sa tête et ne plus avoir d'expression faciale.
Mortalité +++ si TTT pas immédiat. Mortelle dans 5 à 10 % des cas, en administrant sans délai l’antitoxine et en instaurant des soins respiratoires intensifs.
Prévention
-Bonne préparation des denrées alimentaires (conserves) et sur l’hygiène.
-Stérilisation à chaud.
-La pasteurisation commerciale à chaud (produits pasteurisés et conditionnés sous vide, produits fumés à chaud) pourrait ne pas être suffisante pour détruire toutes les spores.
-La réfrigération+ une teneur suffisante en sel ou un milieu acide = évite le développement des bactéries et de la toxine.
-Faire de suite des prélèvements d’eau et d’aliments en relation avec les cas suspects, les conserver dans des sacs ou récipients hermétiquement fermés et les envoyer à un labo de réf pour éviter de nouveaux cas.
-Ne pas acheter de conserve cabossée
Traitement
Dès diagnostic = administration d’antitoxine le + rapidement.
+ TTT symptomatique = ventilation assistée (+sieurs semaines à mois)
ATB inutiles.
Il existe un vaccin antibotulique, mais peu utilisé car efficacité pas complètement évaluée + effets secondaires.
Injections de Botox
C. botulinum est aussi la bactérie servant à produire le Botox, un produit pharmaceutique injecté à des fins thérapeutiques (dans les muscles pour calmer leurs contractions et leurs spasmes, utilisé contre différents troubles nerveux) et cosmétiques. (But de faire disparaître les rides frontales et intersourcilières et les pattes d'oie au coin des yeux)
Toutefois, c’est la neurotoxine A purifiée et diluée que l’on emploie dans ces traitements.
Ceux-ci sont administrés en milieu médical, adaptés à chaque patient et en général bien tolérés. Il arrive d’observer à l’occasion quelques effets secondaires.
Actualité: contamination de Tapende
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
- Alejandrah
- Messages : 22
- Inscription : 18 juil. 2011 01:36
Re: Fiches culture générale 2012
Bonjour,susie05 a écrit :salut les filles
une question pour Alejandrah !quel bouquin as tu pour réviser les fiches de cultures général !merci d'avance
Mon livre c'est: Le maxi guide, concours infirmier. Édition Nathan.
Re: Entraînement culture générale 2012
1)Voici le quatrième exercice :
1)Résumez le texte en 5 à 7 lignes maximum.
2)Présentez brièvement le cancer, et les facteurs environnementaux entrant en compte.
Votre rédaction ne doit pas dépasser 25 lignes.
Face à l'augmentation significative des mélanomes, l'académie américaine de dermatologie réactualise ses recommandations aux médecins. A travers un inventaire des définitions de la pathologie, des stades qui la caractérise, des traitements qui lui sont associé et des techniques de biopsie qui permettent de la diagnostiquer. Tout en conseillant un traitement personalisé et un suivi sur long terme du patient permettant d'améliorer son pronostic vital et sa qualité de vie.
Je crois que ma première phrase pourrait servir de titre. Qu'en pensez vous???
2)
Cancer: Dévellopement de tumeur maligne après une mutation d'une cellule saine. Qui peut se disperser dans la totalité de l'organisme par l'intermédiaire de metastase.
Cause: Facteurs Environementaux
Physique: Rayonement UV, radon gaz, tabagisme passif gaz
Chimique: Amiante, pollution
Lutte:
CIRC et classification des matériaux cancérigène
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
14 500 cas de rougeole, dont 6 décès, en 2011
L'Académie de médecine rappelle l'urgence du rattrapage vaccinal des jeunes adultes ayant entre 20 et 31 ans - © S. Toubon/ « le Quotidien »
L’Institut de veille sanitaire publie les données actualisées de la surveillance de la rougeole en France. La troisième vague épidémique, qui a débuté en octobre 2010, s’est considérablement intensifiée en 2011 avec 14 500 cas notifiés, dont 6 décès. L’Académie nationale de médecine alerte sur la faiblesse de la couverture vaccinale.
Le bilan actualisé de l’épidémie de rougeole qui sévit en France depuis 2008 confirme les craintes des autorités sanitaires de santé qui, en mars 2011, évoquaient déjà une « épidémie de très grande ampleur » et un risque d’augmentation des formes graves. La troisième vague épidémique a été plus importante que les deux vagues antérieures « avec un pic atteint en mars 2011 et une décroissance des cas depuis », explique l’Institut de veille sanitaire (InVS).
Pour les sept premiers mois de l’année, près de 14 500 cas ont été notifiés, dont 15 ont présenté une complication neurologique, 639 une pneumopathie grave et 6 sont décédées. Par rapport à 2010, le nombre de cas est presque 3 fois plus important (5 071 cas notifiés), le nombre de formes graves a plus que doublé (8 encéphalites et 287 pneumopathies graves) et celui des décès a triplé. Depuis le 1er janvier 2008, ce sont plus de 21 000 cas qui ont été déclarés en France.
« Cette recrudescence de la rougeole en France est d’autant plus grave qu’elle concerne plus particulièrement les jeunes nourrissons et les adultes », s’alarme l’Académie nationale de médecine. La rougeole « devient peu à peu aussi une maladie de l’adulte puisque 40 % des cas en 2011 concernent des adultes, dont 30 % sont hospitalisés », souligne-t-elle. Depuis 2008, la proportion des cas signalés de 20 ans et plus n’a cessé d’augmenter : 17 % en 2008, 23 % en 2009 et 34 % en 2010.
Vaccination urgente.
L’Académie s’inquiète par ailleurs de l’insuffisance de la couverture, d’autant plus que l’on « sait depuis la fin des années 1980 que l’élimination de la rougeole ne sera possible qu’avec une couverture vaccinale de 95 % et une deuxième dose de vaccin », souligne l’Académie. Cette couverture « exigeante » s’explique par la très forte contagiosité du virus de la rougeole, avec un taux de reproduction de base (ou Ro) de 15 à 20 (un malade peut contaminer entre 15 et 20 personnes) bien plus élevé que celui de la grippe qui est de 2-4.
« En 2010, on constate que 82 % des 5 021 cas à statut vaccinal connu ne sont pas vaccinés et que 13 % n’ont reçu qu’une seule dose de vaccin triple », rappelle le Pr Pierre Bégué au nom de la commission des Maladies infectieuses et médecine tropicale de l’Académie.
« Il est urgent de renforcer la vaccination du nourrisson et d’appliquer rigoureusement les mesures concernant le rattrapage vaccinal des enfants, adolescents et jeunes adultes jusqu’à l’âge de 31 ans », poursuit-il. Selon les nouvelles recommandations du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) telles qu’elles apparaissent dans le calendrier vaccinal 2011, tous les sujets nés entre 1980 et 1991 (âgés entre 20 et 31 ans) qui n’ont jamais été vaccinés doivent recevoir deux doses de vaccins au lieu d’une seule dose comme antérieurement. Cette mesure prise dans un souci de simplification (la même stratégie pour tous les sujets de plus de 1 an) devait permettre d’améliorer, selon le HCSP, « l’adhésion insuffisance des professionnels de santé et du grand public ».
L’enjeu est important en raison du contexte de recrudescence de la rougeole, notamment en Europe. Selon l’OMS-Europe, 38 pays avaient rapporté plus de 7 000 cas au 6 mai 2011, la majorité étant des cas français. « La France connaît maintenant la plus forte épidémie et contamine les pays voisins », conclut l’Académie.
lequotidiendumedecin.fr 12/09/2011
› Dr LYDIA ARCHIMÈDE
L'Académie de médecine rappelle l'urgence du rattrapage vaccinal des jeunes adultes ayant entre 20 et 31 ans - © S. Toubon/ « le Quotidien »
L’Institut de veille sanitaire publie les données actualisées de la surveillance de la rougeole en France. La troisième vague épidémique, qui a débuté en octobre 2010, s’est considérablement intensifiée en 2011 avec 14 500 cas notifiés, dont 6 décès. L’Académie nationale de médecine alerte sur la faiblesse de la couverture vaccinale.
Le bilan actualisé de l’épidémie de rougeole qui sévit en France depuis 2008 confirme les craintes des autorités sanitaires de santé qui, en mars 2011, évoquaient déjà une « épidémie de très grande ampleur » et un risque d’augmentation des formes graves. La troisième vague épidémique a été plus importante que les deux vagues antérieures « avec un pic atteint en mars 2011 et une décroissance des cas depuis », explique l’Institut de veille sanitaire (InVS).
Pour les sept premiers mois de l’année, près de 14 500 cas ont été notifiés, dont 15 ont présenté une complication neurologique, 639 une pneumopathie grave et 6 sont décédées. Par rapport à 2010, le nombre de cas est presque 3 fois plus important (5 071 cas notifiés), le nombre de formes graves a plus que doublé (8 encéphalites et 287 pneumopathies graves) et celui des décès a triplé. Depuis le 1er janvier 2008, ce sont plus de 21 000 cas qui ont été déclarés en France.
« Cette recrudescence de la rougeole en France est d’autant plus grave qu’elle concerne plus particulièrement les jeunes nourrissons et les adultes », s’alarme l’Académie nationale de médecine. La rougeole « devient peu à peu aussi une maladie de l’adulte puisque 40 % des cas en 2011 concernent des adultes, dont 30 % sont hospitalisés », souligne-t-elle. Depuis 2008, la proportion des cas signalés de 20 ans et plus n’a cessé d’augmenter : 17 % en 2008, 23 % en 2009 et 34 % en 2010.
Vaccination urgente.
L’Académie s’inquiète par ailleurs de l’insuffisance de la couverture, d’autant plus que l’on « sait depuis la fin des années 1980 que l’élimination de la rougeole ne sera possible qu’avec une couverture vaccinale de 95 % et une deuxième dose de vaccin », souligne l’Académie. Cette couverture « exigeante » s’explique par la très forte contagiosité du virus de la rougeole, avec un taux de reproduction de base (ou Ro) de 15 à 20 (un malade peut contaminer entre 15 et 20 personnes) bien plus élevé que celui de la grippe qui est de 2-4.
« En 2010, on constate que 82 % des 5 021 cas à statut vaccinal connu ne sont pas vaccinés et que 13 % n’ont reçu qu’une seule dose de vaccin triple », rappelle le Pr Pierre Bégué au nom de la commission des Maladies infectieuses et médecine tropicale de l’Académie.
« Il est urgent de renforcer la vaccination du nourrisson et d’appliquer rigoureusement les mesures concernant le rattrapage vaccinal des enfants, adolescents et jeunes adultes jusqu’à l’âge de 31 ans », poursuit-il. Selon les nouvelles recommandations du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) telles qu’elles apparaissent dans le calendrier vaccinal 2011, tous les sujets nés entre 1980 et 1991 (âgés entre 20 et 31 ans) qui n’ont jamais été vaccinés doivent recevoir deux doses de vaccins au lieu d’une seule dose comme antérieurement. Cette mesure prise dans un souci de simplification (la même stratégie pour tous les sujets de plus de 1 an) devait permettre d’améliorer, selon le HCSP, « l’adhésion insuffisance des professionnels de santé et du grand public ».
L’enjeu est important en raison du contexte de recrudescence de la rougeole, notamment en Europe. Selon l’OMS-Europe, 38 pays avaient rapporté plus de 7 000 cas au 6 mai 2011, la majorité étant des cas français. « La France connaît maintenant la plus forte épidémie et contamine les pays voisins », conclut l’Académie.
lequotidiendumedecin.fr 12/09/2011
› Dr LYDIA ARCHIMÈDE
INFIRMIERE D.E
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Re tout le monde ,
Je fais juste une précision sur le but de faire des résumés :
-La première apprendre à être synthétique et à travailler sur un article d'actualité , du coup les idées vous resterons en mémoire.
-Vous verrez le jour du concours il y a toujours une question de type "résumé" , même si la question ne vous le dis pas clairement :
Par exemple : "Dégagez les idées essentielles de ce texte " sa veut dire "résumé et évitez la paraphrase"
ou encore "Relevez les principales idées." ou "Vous ferez la synthèse de ce document en rédigeant les idées essentielles."
-Et il se peut que vous deviez trouver par vous même la problématique dans le texte, d'ou l'importance d'apprendre à résumer et à faire des plans.
Je fais juste cette précision pour que tout le monde comprenne bien l'intérêt de l'exercice de résumé lol et le jour du concours pensez lorsqu'on vous dis "relevez les idées essentielles" à faire un résumé et à ne pas faire une liste , ou de la paraphrase c'est trompeur , et sa peut vous faire perdre 5 points.
Il y a 3 questions , en dans 75% des cas une qui vérifie votre capacité à résumé ,et ne négligez aucunes questions car en général ils équilibrent les points à un point près.
Et il y a 5 points pour l'orthographe et la syntaxe.
Voilà travaillez bien
Je fais juste une précision sur le but de faire des résumés :
-La première apprendre à être synthétique et à travailler sur un article d'actualité , du coup les idées vous resterons en mémoire.
-Vous verrez le jour du concours il y a toujours une question de type "résumé" , même si la question ne vous le dis pas clairement :
Par exemple : "Dégagez les idées essentielles de ce texte " sa veut dire "résumé et évitez la paraphrase"
ou encore "Relevez les principales idées." ou "Vous ferez la synthèse de ce document en rédigeant les idées essentielles."
-Et il se peut que vous deviez trouver par vous même la problématique dans le texte, d'ou l'importance d'apprendre à résumer et à faire des plans.
Je fais juste cette précision pour que tout le monde comprenne bien l'intérêt de l'exercice de résumé lol et le jour du concours pensez lorsqu'on vous dis "relevez les idées essentielles" à faire un résumé et à ne pas faire une liste , ou de la paraphrase c'est trompeur , et sa peut vous faire perdre 5 points.
Il y a 3 questions , en dans 75% des cas une qui vérifie votre capacité à résumé ,et ne négligez aucunes questions car en général ils équilibrent les points à un point près.
Et il y a 5 points pour l'orthographe et la syntaxe.
Voilà travaillez bien

ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
Re: Entraînement culture générale 2012
Merci angelito pour toutes tes précisions et chacun de tes conseils!
Fafa n'hésites pas à poster ce que tu fais, qu'on puisse t'aider à t'améliorer.
Comme tu peux le voir, en ce qui me concerne, j'arrive à m'en sortir à peu près sur les résumés mais pour l'argumentation...
Mais je poste quand même mes brouillons pour savoir si j'arrive au moins à cibler le sujet. En espérant arriver à synthétiser plus tard.

Fafa n'hésites pas à poster ce que tu fais, qu'on puisse t'aider à t'améliorer.

Comme tu peux le voir, en ce qui me concerne, j'arrive à m'en sortir à peu près sur les résumés mais pour l'argumentation...

Mais je poste quand même mes brouillons pour savoir si j'arrive au moins à cibler le sujet. En espérant arriver à synthétiser plus tard.

Montpellier: Admise sur LP!!
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Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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