Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
Semaine nationale du rein : l’occasion de se faire dépister
Depuis 7 ans, la Fédération nationale des insuffisants rénaux (Fnair) organise au début du moins d’octobre la semaine nationale du rein. L’occasion est ainsi donnée à tous de se familiariser avec des maladies souvent mal connues et de se faire dépister de façon anonyme et gratuite.
En France, plus de trois millions de personnes souffriraient de pathologies touchant la fonction rénale à des niveaux plus ou moins graves. Faute d’examens appropriés, certains d’entre eux l’ignorent. Afin de lutter contre cet état des lieux, le FNAIR a décidé de mettre en place chaque année des dépistages anonymes et gratuits par bandelette urinaire, éventuellement par prise de sang, pour permettre à chacun de prendre conscience des risques encourus par ce type de maladies. Le but de l’opération est que chacun prenne conscience de ses maladies qui peuvent être quasi invisibles. C’est d’ailleurs le sens du slogan de cette année : « 1 français sur 20 a les reins malades et ne le sait pas ! Et vous ? »
Une des plus connues des pathologies qui touche cet organe de la désintoxification de l’organisme est l’insuffisance rénale qui concerne plus de 68 000 français. Plus de la moitié sont sous dialyse pour compenser le défaut de fonctionnement du rein et 30 000 sont greffés. Depuis plus de 30 ans, la FNAIR s’est d’ailleurs donné comme mission d'améliorer la qualité de vie et de soins des insuffisants rénaux. Alors mobilisez-vous !…
Information hospitalière
Depuis 7 ans, la Fédération nationale des insuffisants rénaux (Fnair) organise au début du moins d’octobre la semaine nationale du rein. L’occasion est ainsi donnée à tous de se familiariser avec des maladies souvent mal connues et de se faire dépister de façon anonyme et gratuite.
En France, plus de trois millions de personnes souffriraient de pathologies touchant la fonction rénale à des niveaux plus ou moins graves. Faute d’examens appropriés, certains d’entre eux l’ignorent. Afin de lutter contre cet état des lieux, le FNAIR a décidé de mettre en place chaque année des dépistages anonymes et gratuits par bandelette urinaire, éventuellement par prise de sang, pour permettre à chacun de prendre conscience des risques encourus par ce type de maladies. Le but de l’opération est que chacun prenne conscience de ses maladies qui peuvent être quasi invisibles. C’est d’ailleurs le sens du slogan de cette année : « 1 français sur 20 a les reins malades et ne le sait pas ! Et vous ? »
Une des plus connues des pathologies qui touche cet organe de la désintoxification de l’organisme est l’insuffisance rénale qui concerne plus de 68 000 français. Plus de la moitié sont sous dialyse pour compenser le défaut de fonctionnement du rein et 30 000 sont greffés. Depuis plus de 30 ans, la FNAIR s’est d’ailleurs donné comme mission d'améliorer la qualité de vie et de soins des insuffisants rénaux. Alors mobilisez-vous !…
Information hospitalière
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Cancer du côlon : une découverte qui va améliorer le diagnostic
Des chercheurs français ont révélé qu'une mutation dans la protéine HSP110, présente dans certaines cellules tumorales, les rend plus réceptives aux chimiothérapies. Ainsi, lors du diagnostic de cancer, si la protéine mutante est présente dans la tumeur, on peut mieux évaluer l'efficacité du traitement anticancer, ainsi que le risque de rechute.
Deux équipes françaises viennent d’identifier une protéine mutante présente dans certaines cellules de tumeurs. Intérêt de leur découverte : celle-ci permettrait de mieux évaluer par avance l’efficacité d’un traitement, mais également le risque de rechute.
La protéine en question appartient à la famille des « chaperonnes » ou HSP, pour Heat Shock Proteins. Ces dernières se comportent comme « des capuchons moléculaires » pour d’autres protéines cellulaires, intervenant dans de nombreux processus biologiques. « Généralement, ces protéines sont surexprimées par les cellules tumorales, leur permettant ainsi de s’adapter aux conditions environnementales qu’elles devront affronter au cours du développement du cancer », explique l’Inserm dans un communiqué. C’est notamment le cas lorsqu’un traitement est administré au patient.
Les chercheurs français ont détecté la mutation d'une protéine dans les cas de cancers du côlon.
Les chercheurs français ont détecté la mutation d'une protéine dans les cas de cancers du côlon. © Sebastian Kaulitzk, Fotolia
Meilleure efficacité de la chimio, selon le taux de la protéine mutante
Les équipes d’Alex Duval (Centre de recherche Saint-Antoine, Paris) et de Carmen Garrido (faculté de médecine de Dijon) sont parvenues à identifier la mutation d’un gène (HSP110) sur l’une de ces protéines chaperonnes, en travaillant sur des cancers du côlon. Or les cellules tumorales exprimant la protéine mutante sont fragilisées. « Elles montrent en particulier une sensibilité accrue aux chimiothérapies prescrites contre le cancer du côlon ».
Les chercheurs ont ensuite observé que cette protéine mutante était présente à des taux variables chez tous les patients souffrant d’une forme particulière de cancer du côlon. Ils ont ainsi montré que les malades exprimant fortement la protéine mutante dans leur tumeur, répondaient très favorablement à la chimiothérapie puisqu’aucune rechute de la maladie n’était observée chez eux. Ils ont mis en évidence des résultats inverses parmi les patients présentant un faible niveau d’expression de la protéine en question...
« Ces données sont particulièrement intéressantes. Elles attestent en effet que le fait de déterminer le statut d’une tumeur pour HSP110 (forte ou faible expression) permet de prédire la réponse au traitement du patient. »
Futura science
Des chercheurs français ont révélé qu'une mutation dans la protéine HSP110, présente dans certaines cellules tumorales, les rend plus réceptives aux chimiothérapies. Ainsi, lors du diagnostic de cancer, si la protéine mutante est présente dans la tumeur, on peut mieux évaluer l'efficacité du traitement anticancer, ainsi que le risque de rechute.
Deux équipes françaises viennent d’identifier une protéine mutante présente dans certaines cellules de tumeurs. Intérêt de leur découverte : celle-ci permettrait de mieux évaluer par avance l’efficacité d’un traitement, mais également le risque de rechute.
La protéine en question appartient à la famille des « chaperonnes » ou HSP, pour Heat Shock Proteins. Ces dernières se comportent comme « des capuchons moléculaires » pour d’autres protéines cellulaires, intervenant dans de nombreux processus biologiques. « Généralement, ces protéines sont surexprimées par les cellules tumorales, leur permettant ainsi de s’adapter aux conditions environnementales qu’elles devront affronter au cours du développement du cancer », explique l’Inserm dans un communiqué. C’est notamment le cas lorsqu’un traitement est administré au patient.
Les chercheurs français ont détecté la mutation d'une protéine dans les cas de cancers du côlon.
Les chercheurs français ont détecté la mutation d'une protéine dans les cas de cancers du côlon. © Sebastian Kaulitzk, Fotolia
Meilleure efficacité de la chimio, selon le taux de la protéine mutante
Les équipes d’Alex Duval (Centre de recherche Saint-Antoine, Paris) et de Carmen Garrido (faculté de médecine de Dijon) sont parvenues à identifier la mutation d’un gène (HSP110) sur l’une de ces protéines chaperonnes, en travaillant sur des cancers du côlon. Or les cellules tumorales exprimant la protéine mutante sont fragilisées. « Elles montrent en particulier une sensibilité accrue aux chimiothérapies prescrites contre le cancer du côlon ».
Les chercheurs ont ensuite observé que cette protéine mutante était présente à des taux variables chez tous les patients souffrant d’une forme particulière de cancer du côlon. Ils ont ainsi montré que les malades exprimant fortement la protéine mutante dans leur tumeur, répondaient très favorablement à la chimiothérapie puisqu’aucune rechute de la maladie n’était observée chez eux. Ils ont mis en évidence des résultats inverses parmi les patients présentant un faible niveau d’expression de la protéine en question...
« Ces données sont particulièrement intéressantes. Elles attestent en effet que le fait de déterminer le statut d’une tumeur pour HSP110 (forte ou faible expression) permet de prédire la réponse au traitement du patient. »
Futura science
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Nîmes Torturées, prostituées, violées : les "esclaves" se rebellent
Les deux accusés, Albert et Bel, qui comparaissent jusqu'à lundi devant les assises du Gard, plaident une prostitution et des rapports sadomasochistes sans contrainte. Les victimes, elles, dénoncent des actes de tortures et de barbarie.
Dans le prétoire, “les grands maîtres” baissent docilement la tête. Leurs esclaves se rebellent. Elles dénoncent des actes de torture et de barbarie qui font froid dans le dos. Coups de fouet, de cravache, écoulement de cire brûlante, de frottement de bouquet d’orties sur les seins et les parties génitales. Attachée nue à un radiateur ou entravée dans un carcan, la jeune Gardoise de 32 ans a, en mai 2008, enduré les pires sévices avant d’être violée.
Francis Albert, gardien du musée Toulouse-Lautrec à Albi, qui organisait des séances sadomasochistes dans une maison de Carmaux équipée pour la circonstance, conteste maintenant l’absence de consentement de la victime, et donc le viol.
Bel désigné comme l’instigateur de ces soirées très particulières
À ses côtés dans le box, John Bel, 40 ans, est désigné par le quinquagénaire tarnais comme l’instigateur de ces soirées très particulières au cours desquelles sa “protégée” a également subi des gang-bang (relations sexuelles entre plusieurs hommes et une seule femme). Bel qui, quant à lui, reconnaît un proxénétisme d’habitude ainsi que des rapports sadomasochistes mais, dit-il, jamais sous la contrainte.
Ce n’est pas l’avis de Christine, deuxième victime qui, comme Lucie, a été entre 2006 et 2008 la proie de l’accusé. Forcée à se prostituer, violée, elle avait dû signer un “contrat de soumission” qui prônait un asservissement corps et âme.
"Stage de soumission"
Lucie, chapeautée par Bel, est, elle, allée à deux reprises à Carmaux en “stage de soumission”. Bottes, collants noirs en latex, masque de chat, Francis Albert aurait pratiqué ces séances de sévices et d’avilissements à la demande de Bel qu’il présente comme “le grand dominateur”.
Un enquêteur de la SR de Nîmes se souvient : "Bel aurait dit à Albert : “Il faut la dresser”. Il aurait donc exécuté un ordre par peur." Une accusation que Bel réfute devant les jurés du Gard par un mouvement de tête. Lors de l’enquête il avait même fait un plus ample mea culpa. "Je me suis comporté comme une merde. Albert a violé Lucie et je n’ai rien dit."
Suite des débats aujourd’hui avec l’audition des victimes.
Le midi libre
Les deux accusés, Albert et Bel, qui comparaissent jusqu'à lundi devant les assises du Gard, plaident une prostitution et des rapports sadomasochistes sans contrainte. Les victimes, elles, dénoncent des actes de tortures et de barbarie.
Dans le prétoire, “les grands maîtres” baissent docilement la tête. Leurs esclaves se rebellent. Elles dénoncent des actes de torture et de barbarie qui font froid dans le dos. Coups de fouet, de cravache, écoulement de cire brûlante, de frottement de bouquet d’orties sur les seins et les parties génitales. Attachée nue à un radiateur ou entravée dans un carcan, la jeune Gardoise de 32 ans a, en mai 2008, enduré les pires sévices avant d’être violée.
Francis Albert, gardien du musée Toulouse-Lautrec à Albi, qui organisait des séances sadomasochistes dans une maison de Carmaux équipée pour la circonstance, conteste maintenant l’absence de consentement de la victime, et donc le viol.
Bel désigné comme l’instigateur de ces soirées très particulières
À ses côtés dans le box, John Bel, 40 ans, est désigné par le quinquagénaire tarnais comme l’instigateur de ces soirées très particulières au cours desquelles sa “protégée” a également subi des gang-bang (relations sexuelles entre plusieurs hommes et une seule femme). Bel qui, quant à lui, reconnaît un proxénétisme d’habitude ainsi que des rapports sadomasochistes mais, dit-il, jamais sous la contrainte.
Ce n’est pas l’avis de Christine, deuxième victime qui, comme Lucie, a été entre 2006 et 2008 la proie de l’accusé. Forcée à se prostituer, violée, elle avait dû signer un “contrat de soumission” qui prônait un asservissement corps et âme.
"Stage de soumission"
Lucie, chapeautée par Bel, est, elle, allée à deux reprises à Carmaux en “stage de soumission”. Bottes, collants noirs en latex, masque de chat, Francis Albert aurait pratiqué ces séances de sévices et d’avilissements à la demande de Bel qu’il présente comme “le grand dominateur”.
Un enquêteur de la SR de Nîmes se souvient : "Bel aurait dit à Albert : “Il faut la dresser”. Il aurait donc exécuté un ordre par peur." Une accusation que Bel réfute devant les jurés du Gard par un mouvement de tête. Lors de l’enquête il avait même fait un plus ample mea culpa. "Je me suis comporté comme une merde. Albert a violé Lucie et je n’ai rien dit."
Suite des débats aujourd’hui avec l’audition des victimes.
Le midi libre
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Une loi pour protéger le consommateur
Renforcer les droits des consommateurs dans les principaux secteurs de la vie courante : c’est sur quoi les députés seront amenés aujourd’hui à voter.
1. Nettoyer enfin le maquis des télécommunications
Déverrouiller gratuitement son téléphone portable au bout de 3 mois. Encadrer les SMS surtaxés et les publicités sur les offres télécoms illimitées. Dispositifs d’alerte et de blocage pour prévenir les chocs de facturation, renforcer les conseils personnalisés. Tarif social de l’internet pour les foyers modestes et offres mobiles pour personnes souffrant d’un handicap auditif. Lutte contre le démarchage téléphonique abusif en imposant des amendes allant de 15 à 30 000 euros.
2. Protéger des pièges de l’immobilier
Plafonner le dépôt de garantie à 1 mois pour les logements sociaux. Sanctionner la non-restitution des dépôts de garantie dans les délais légaux. Ajustement des loyers au profit des locataires si l’information sur la surface est fausse ou manquante. Restituer la garantie au locataire lorsqu’il n’y a pas d’état des lieux à l’entrée. Imposer une amende aux professionnels réclamant illégalement aux locataires certains documents. Limiter à 3 mois la durée des clauses d’exclusivité imposées par les agences.
3. Limiter les petites arnaques dans l’énergie
Gratuité des auto-relevés de compteurs pour établir la facture. Vérification et suspension des factures anormales. Limiter à 5 ans la durée des contrats d’approvisionnement en gaz de pétrole liquéfié (GPL).
4. Ne pas accepter les dérives dans la santé
Étendre aux produits médicaux personnalisés le droit de rétractation lors d’un achat à distance. Encadrer la vente à distance de lentilles de contact et de lunettes. Réduire le délai de préavis lors de la résiliation de contrats d’assurance santé. Sanctionner le non-respect des règles d’évolution des prix des services d’aide à domicile du 3e âge et des handicapés. Interdire la facturation de prestations d’hébergement dans les maisons de retraite après le décès du résident.
5. Laisser le temps du choix dans l’électronique
Porter à 14 jours le délai maximal de remboursement en cas de rétractation pour un achat à distance. Doubler les pénalités au profit des consommateurs pour non-respect du délai de remboursement des sommes versées en cas de rétractation. Lutter contre les spams et renforcer la protection des données personnelles des acheteurs en ligne.
6. Tout savoir sur ce que l’on mange
Autoriser l’utilisation de supports électroniques et pas seulement de chèques papier pour les tickets-restaurant. Protéger l’origine géographique des produits non alimentaires. Obliger les restaurateurs à indiquer l’usage ou pas de produits frais. Obliger la grande distribution alimentaire à communiquer ses marges à l’État. Notons enfin que le texte interdit la revente habituelle de billets sportifs ou culturels sans autorisation des exploitants.
Le midi libre
Renforcer les droits des consommateurs dans les principaux secteurs de la vie courante : c’est sur quoi les députés seront amenés aujourd’hui à voter.
1. Nettoyer enfin le maquis des télécommunications
Déverrouiller gratuitement son téléphone portable au bout de 3 mois. Encadrer les SMS surtaxés et les publicités sur les offres télécoms illimitées. Dispositifs d’alerte et de blocage pour prévenir les chocs de facturation, renforcer les conseils personnalisés. Tarif social de l’internet pour les foyers modestes et offres mobiles pour personnes souffrant d’un handicap auditif. Lutte contre le démarchage téléphonique abusif en imposant des amendes allant de 15 à 30 000 euros.
2. Protéger des pièges de l’immobilier
Plafonner le dépôt de garantie à 1 mois pour les logements sociaux. Sanctionner la non-restitution des dépôts de garantie dans les délais légaux. Ajustement des loyers au profit des locataires si l’information sur la surface est fausse ou manquante. Restituer la garantie au locataire lorsqu’il n’y a pas d’état des lieux à l’entrée. Imposer une amende aux professionnels réclamant illégalement aux locataires certains documents. Limiter à 3 mois la durée des clauses d’exclusivité imposées par les agences.
3. Limiter les petites arnaques dans l’énergie
Gratuité des auto-relevés de compteurs pour établir la facture. Vérification et suspension des factures anormales. Limiter à 5 ans la durée des contrats d’approvisionnement en gaz de pétrole liquéfié (GPL).
4. Ne pas accepter les dérives dans la santé
Étendre aux produits médicaux personnalisés le droit de rétractation lors d’un achat à distance. Encadrer la vente à distance de lentilles de contact et de lunettes. Réduire le délai de préavis lors de la résiliation de contrats d’assurance santé. Sanctionner le non-respect des règles d’évolution des prix des services d’aide à domicile du 3e âge et des handicapés. Interdire la facturation de prestations d’hébergement dans les maisons de retraite après le décès du résident.
5. Laisser le temps du choix dans l’électronique
Porter à 14 jours le délai maximal de remboursement en cas de rétractation pour un achat à distance. Doubler les pénalités au profit des consommateurs pour non-respect du délai de remboursement des sommes versées en cas de rétractation. Lutter contre les spams et renforcer la protection des données personnelles des acheteurs en ligne.
6. Tout savoir sur ce que l’on mange
Autoriser l’utilisation de supports électroniques et pas seulement de chèques papier pour les tickets-restaurant. Protéger l’origine géographique des produits non alimentaires. Obliger les restaurateurs à indiquer l’usage ou pas de produits frais. Obliger la grande distribution alimentaire à communiquer ses marges à l’État. Notons enfin que le texte interdit la revente habituelle de billets sportifs ou culturels sans autorisation des exploitants.
Le midi libre
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Fiches culture générale 2012
Mémo a bien résumé, l'apprentissage des fiches 
Au debut je prenais un brouillon, je cherchais dans mon livre, sur google, sur le post fiche 2010 et apres je fais un peu mon plan en fonction de ce que j'ai trouvé..
En ce moment j'ai moins de temps du coup je me base sur mon livre..SI y a des mots que je comprend pas je regarde les définitions sur internet et je regarde aussi les fiches 2010, mais des fois y a des lois qui sont parus entre 2.
En ce moment je vais assez vite a faire les fiches :/ D'ailleurs je voulais vous demander (a toutes celle qui poste les fiches) combien de temps m'était vous a en faire une ?
Sinon le magazine de la santé résume bien les articles régulièrement posté, avec un langage facile
Je posterais ma fiche cet apres midi, bien que c'est quasiment la tienne Sixela, mais je synthétise a ma façon sur mon cahier lol, avec des couleurs...
Génial ta fiche sur l'immigration Sixela, tu penses qui faut savoir tous ca ? J'ai juste gardé les dates clés
Tu penses que c'est assez ?

Au debut je prenais un brouillon, je cherchais dans mon livre, sur google, sur le post fiche 2010 et apres je fais un peu mon plan en fonction de ce que j'ai trouvé..
En ce moment j'ai moins de temps du coup je me base sur mon livre..SI y a des mots que je comprend pas je regarde les définitions sur internet et je regarde aussi les fiches 2010, mais des fois y a des lois qui sont parus entre 2.
En ce moment je vais assez vite a faire les fiches :/ D'ailleurs je voulais vous demander (a toutes celle qui poste les fiches) combien de temps m'était vous a en faire une ?
Sinon le magazine de la santé résume bien les articles régulièrement posté, avec un langage facile

Je posterais ma fiche cet apres midi, bien que c'est quasiment la tienne Sixela, mais je synthétise a ma façon sur mon cahier lol, avec des couleurs...
Génial ta fiche sur l'immigration Sixela, tu penses qui faut savoir tous ca ? J'ai juste gardé les dates clés

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Frontignan Un jeune intoxiqué par de l’eau en bouteille ?
Un jeune Frontignanais a été victime de nausées, maux de ventre et courbatures, vendredi dernier, peu après avoir ingéré de l’eau en bouteille, qu’il venait d’acheter et dans laquelle flottaient des algues brunes.
S’il n’y a pas de certitude quant à la toxicité de ces algues, le service consommateur de la marque d’eau incriminée prend néanmoins très au sérieux cette “possibilité d’intoxication alimentaire” et devrait faire analyser l’eau de la bouteille concernée.
Plus d’informations dans votre édition de demain
Le midi libre
Un jeune Frontignanais a été victime de nausées, maux de ventre et courbatures, vendredi dernier, peu après avoir ingéré de l’eau en bouteille, qu’il venait d’acheter et dans laquelle flottaient des algues brunes.
S’il n’y a pas de certitude quant à la toxicité de ces algues, le service consommateur de la marque d’eau incriminée prend néanmoins très au sérieux cette “possibilité d’intoxication alimentaire” et devrait faire analyser l’eau de la bouteille concernée.
Plus d’informations dans votre édition de demain
Le midi libre
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Languedoc-Roussillon 36 morts cet été en Méditerranée, les accidents de plongée en hausse
Trente-six personnes ont péri cet été en Méditerranée, avec notamment une hausse du nombre d'accidents de plongée avec bouteille (73, dont 13 mortels), a annoncé lundi la préfecture maritime de Méditerranée. En 2010, la préfecture avait recensé 24 décès et cinq disparitions au long de la saison estivale.
Cet été, 36 personnes sont mortes, dont 10 plongeurs bouteille, 3 chasseurs apnéistes, 10 baigneurs et 2 kitesurfeurs, selon les chiffres du CROSS-Med (Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de la Méditerranée). Au total, le nombre des opérations coordonnées par le CROSS-Med a augmenté de 8% par rapport à 2010, avec 1.958 interventions.
19% des interventions en Languedoc-Roussillon
Le Var demeure le département où se concentre le plus grand nombre d'opérations. La région Paca génère à elle seule 55% des interventions du CROSS, le Languedoc-Roussillon 19%.
"Les accidents de baignade avec une issue fatale demeurent la première cause de mortalité en mer", précise le CROSS. Pour le vice-amiral d'escadre Yann Tainguy, préfet maritime de la Méditerranée, cette augmentation est liée la "hausse de la fréquentation des touristes sur nos côtes" ainsi qu'à un "mois de juin assez meurtrier" par rapport aux années précédentes.
Les accidents de plongée relèveraient de la "responsabilité individuelle"
Les accidents de plongée sont souvent le fait de personnes de plus de 40 ans qui plongent à plus de 50 mètres, des plongeurs expérimentés mais "qui prennent des risques et présument de leurs forces", a souligné le vice-amiral Tainguy. Cette "imprudence sur laquelle il est difficile d'agir" relève plutôt de la "responsabilité individuelle", la sécurité dans les clubs et les structures de plongés inspectés par les services de la préfecture maritime s'avérant "globalement de très bonne qualité", a-t-il ajouté.
Quant au kitesurf, "malgré l'encadrement rigoureux et très professionnel de ce sport", deux décès sont à déplorer, notamment en raison des "longues périodes de fort vent en juillet et en août", relève le CROSS-Med.
Par ailleurs, le vice-amiral Tainguy s'est félicité de la baisse des infractions constatées malgré "20% de contrôles supplémentaires" des estivants. "C'est assez encourageant, cela veut dire que la pédagogie commence à payer", a-t-il estimé.
Le midi libre
Trente-six personnes ont péri cet été en Méditerranée, avec notamment une hausse du nombre d'accidents de plongée avec bouteille (73, dont 13 mortels), a annoncé lundi la préfecture maritime de Méditerranée. En 2010, la préfecture avait recensé 24 décès et cinq disparitions au long de la saison estivale.
Cet été, 36 personnes sont mortes, dont 10 plongeurs bouteille, 3 chasseurs apnéistes, 10 baigneurs et 2 kitesurfeurs, selon les chiffres du CROSS-Med (Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de la Méditerranée). Au total, le nombre des opérations coordonnées par le CROSS-Med a augmenté de 8% par rapport à 2010, avec 1.958 interventions.
19% des interventions en Languedoc-Roussillon
Le Var demeure le département où se concentre le plus grand nombre d'opérations. La région Paca génère à elle seule 55% des interventions du CROSS, le Languedoc-Roussillon 19%.
"Les accidents de baignade avec une issue fatale demeurent la première cause de mortalité en mer", précise le CROSS. Pour le vice-amiral d'escadre Yann Tainguy, préfet maritime de la Méditerranée, cette augmentation est liée la "hausse de la fréquentation des touristes sur nos côtes" ainsi qu'à un "mois de juin assez meurtrier" par rapport aux années précédentes.
Les accidents de plongée relèveraient de la "responsabilité individuelle"
Les accidents de plongée sont souvent le fait de personnes de plus de 40 ans qui plongent à plus de 50 mètres, des plongeurs expérimentés mais "qui prennent des risques et présument de leurs forces", a souligné le vice-amiral Tainguy. Cette "imprudence sur laquelle il est difficile d'agir" relève plutôt de la "responsabilité individuelle", la sécurité dans les clubs et les structures de plongés inspectés par les services de la préfecture maritime s'avérant "globalement de très bonne qualité", a-t-il ajouté.
Quant au kitesurf, "malgré l'encadrement rigoureux et très professionnel de ce sport", deux décès sont à déplorer, notamment en raison des "longues périodes de fort vent en juillet et en août", relève le CROSS-Med.
Par ailleurs, le vice-amiral Tainguy s'est félicité de la baisse des infractions constatées malgré "20% de contrôles supplémentaires" des estivants. "C'est assez encourageant, cela veut dire que la pédagogie commence à payer", a-t-il estimé.
Le midi libre
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Grand Sud Une femme accusée d'infanticide devant la justice
Une mère de famille est jugée à partir d'aujourd'hui par la cour d'assises des Bouches-du-Rhône pour avoir tué dans un bois le bébé qu'elle venait de mettre au monde. Elle a expliqué pendant l'instruction avoir désiré une seule de ses six grossesses.
2008 : mise en examen pour meurtre
Sophie Villaron avait été mise en examen pour meurtre sur mineur en 2008, après la découverte par deux promeneurs, à Orgon (entre Salon-de-provence et Avignon), du cadavre d'un nouveau-né dans un sous-bois distant à 200 mètres de sa maison où elle habitait avec son compagnon et ses trois enfants.
Aux enquêteurs, elle racontait que, se sachant enceinte, elle avait, par peur de la réaction de son compagnon, préféré cacher cette grossesse. Sentant des contractions, elle était partie accoucher dans les bois où elle avait, pour "l'empêcher de crier", mis sa main sur la bouche du bébé jusqu'à ce qu'il s'arrête de respirer.
Au fil des auditions, il s'avérait que la jeune femme de 38 ans, sans profession, avait connu au total six grossesses, dont trois seulement étaient arrivées à terme, et une seule avait été désirée, pour son deuxième fils, né en 2001. Deux grossesses avaient été interrompues, la première par une IVG, la deuxième par la prise d'un cachet à effet avortif.
Fragilité psychologique
Deux autres, ayant mené à la naissance de l'aîné des garçons en 1996, et d'une fille en 2002, n'avaient fait l'objet que d'un suivi médical tardif ou inexistant. Selon les experts-psychiatres, la jeune femme, décrite par ses proches comme une bonne mère, volontaire et dynamique, fait preuve d'"immaturité affective" et sa personnalité est caractérisée par un "complexe d'infériorité et un malaise relationnel".
Elle présente, en outre, "un trouble majeur de l'image du corps", semblant "déléguer à un corps machine un pouvoir de vie qu'elle ne s'appliquait pas", selon les psychologues. Son compagnon, dont elle a affirmé aux enquêteurs être "dépendante financièrement", ce qui l'empêchait de recourir à la contraception, s'est porté partie civile.
Le verdict est attendu jeudi.
Le midi libre
Une mère de famille est jugée à partir d'aujourd'hui par la cour d'assises des Bouches-du-Rhône pour avoir tué dans un bois le bébé qu'elle venait de mettre au monde. Elle a expliqué pendant l'instruction avoir désiré une seule de ses six grossesses.
2008 : mise en examen pour meurtre
Sophie Villaron avait été mise en examen pour meurtre sur mineur en 2008, après la découverte par deux promeneurs, à Orgon (entre Salon-de-provence et Avignon), du cadavre d'un nouveau-né dans un sous-bois distant à 200 mètres de sa maison où elle habitait avec son compagnon et ses trois enfants.
Aux enquêteurs, elle racontait que, se sachant enceinte, elle avait, par peur de la réaction de son compagnon, préféré cacher cette grossesse. Sentant des contractions, elle était partie accoucher dans les bois où elle avait, pour "l'empêcher de crier", mis sa main sur la bouche du bébé jusqu'à ce qu'il s'arrête de respirer.
Au fil des auditions, il s'avérait que la jeune femme de 38 ans, sans profession, avait connu au total six grossesses, dont trois seulement étaient arrivées à terme, et une seule avait été désirée, pour son deuxième fils, né en 2001. Deux grossesses avaient été interrompues, la première par une IVG, la deuxième par la prise d'un cachet à effet avortif.
Fragilité psychologique
Deux autres, ayant mené à la naissance de l'aîné des garçons en 1996, et d'une fille en 2002, n'avaient fait l'objet que d'un suivi médical tardif ou inexistant. Selon les experts-psychiatres, la jeune femme, décrite par ses proches comme une bonne mère, volontaire et dynamique, fait preuve d'"immaturité affective" et sa personnalité est caractérisée par un "complexe d'infériorité et un malaise relationnel".
Elle présente, en outre, "un trouble majeur de l'image du corps", semblant "déléguer à un corps machine un pouvoir de vie qu'elle ne s'appliquait pas", selon les psychologues. Son compagnon, dont elle a affirmé aux enquêteurs être "dépendante financièrement", ce qui l'empêchait de recourir à la contraception, s'est porté partie civile.
Le verdict est attendu jeudi.
Le midi libre
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Montpellier Violée après une rencontre sur Facebook ?
Une adolescente de 17 ans affirme avoir été abusée sexuellement par deux individus, vendredi, en début de soirée, dans les toilettes du Polygone. Vers 20 h, quatre jeunes femmes ont ainsi alerté la police pour signaler les faits. Et depuis, les policiers de la sûreté départementale, saisis de l’enquête par le parquet, s’attachent à déterminer la réalité et les conditions des faits.
Un préservatif usagé retrouvé sur les lieux
Selon le récit de la plaignante, scolarisée à Alès, elle aurait noué des contacts ces derniers jours avec deux jeunes individus via internet et Facebook.
Rendez-vous aurait donc été pris vendredi, en fin d’après-midi, dans la galerie marchande. Un peu plus tard, les deux individus auraient alors abusé de l’adolescente dans les toilettes. Un préservatif usagé aurait été retrouvé sur les lieux.
Les enquêteurs s’attachent désormais à étudier la vidéosurveillance et à tenter de retrouver les deux jeunes gens mis en cause.
Le midi libre
Une adolescente de 17 ans affirme avoir été abusée sexuellement par deux individus, vendredi, en début de soirée, dans les toilettes du Polygone. Vers 20 h, quatre jeunes femmes ont ainsi alerté la police pour signaler les faits. Et depuis, les policiers de la sûreté départementale, saisis de l’enquête par le parquet, s’attachent à déterminer la réalité et les conditions des faits.
Un préservatif usagé retrouvé sur les lieux
Selon le récit de la plaignante, scolarisée à Alès, elle aurait noué des contacts ces derniers jours avec deux jeunes individus via internet et Facebook.
Rendez-vous aurait donc été pris vendredi, en fin d’après-midi, dans la galerie marchande. Un peu plus tard, les deux individus auraient alors abusé de l’adolescente dans les toilettes. Un préservatif usagé aurait été retrouvé sur les lieux.
Les enquêteurs s’attachent désormais à étudier la vidéosurveillance et à tenter de retrouver les deux jeunes gens mis en cause.
Le midi libre
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Fiches culture générale 2012
je met 1 à 2h par fiche.
Pour l'immigration, je pense que l'essentiel à savoirc'est:
-faire la différence entre immigré, étranger et réfugié
- d'où viennent les immigrés en france et pourquoi
-la différence entre immigré légale et illégale
-pourquoi l'état a besoin d'immigré légal
- quelques problèmes et solutions
- la HALDE ( arrêté depuis 1er mai 2011 et mis avec defenseurs des droits)
Pour l'immigration, je pense que l'essentiel à savoirc'est:
-faire la différence entre immigré, étranger et réfugié
- d'où viennent les immigrés en france et pourquoi
-la différence entre immigré légale et illégale
-pourquoi l'état a besoin d'immigré légal
- quelques problèmes et solutions
- la HALDE ( arrêté depuis 1er mai 2011 et mis avec defenseurs des droits)
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Fiches culture générale 2012
je mets aussi entre 1 à 2h par fiche.
je finis de taper ma fiche et je la mets par contre je ne me suis pas trop attardée sur la migration donc je vais m'aider de vos fiches.
merci
je finis de taper ma fiche et je la mets par contre je ne me suis pas trop attardée sur la migration donc je vais m'aider de vos fiches.
merci

ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Fiches culture générale 2012
LA DEMOGRAPHIE
65 millions d’hts en France au 1er janvier 2011.
L’espérance de vie : durée de vie moyenne qu’une population peut espérer vivre en fonction du taux de mortalité du moment.
Espérance de vie sans incapacité : nb moyen d’années que peut espérer vivre une personne sans être atteinte d’une incapacité.
En 2010 :
- femme : 78 ans.
- homme : 84 ans.
Causes de différences H/F :
Plus grandes dureté du travail confié aux hommes.
Alcoolisme plus élevé chez les hommes.
Nb plus élevé de morts violents.
Fragilité physiologique chez les hommes.
La fécondité et la natalité :
Fertilité : capacité physiologique pour une femme d’avoir un enfant.
Fécondité : rapport du nb de naissances vivantes durant une année à l’ens de population des femmes de 15 à 49 ans (taux à 2,01 en 2010).
Natalité : taux d’enfants nés pendant une année donnée pour 1 000 hts.
828 000 naissances en 2010.
La nuptialité et la divortialité :
Mariage : acte solennel entre 2 personnes de sexe différent dont l’union, les conditions et l’effet sont régis par les dispositions juridiques en vigueur dans le pays.
273 000 mariages en France.
Mariage en baisse.
Age moyen : 26,7 pour les femmes et 28,7 pour les hommes.
Divorce : dissolution du mariage par le tribunal d’instance.
134 477 divorces en France.
En augmentation (40%).
Taux de divortialité : nb de divorces prononcés durant une année civile à la population totale moyenne sur cette même année.
La mortalité :
Taux de mortalité générale : rapport entre le nb de décès et la population moyenne d’un pays pour une année donnée pour 1 000 hts.
Taux de mortalité infantile : rapport entre le nb de décès d’enfants de moins d’un an et le nombre de naissances vivantes pour la même période par 1 000 hts.
Baisse du taux de mortalité : due à l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène et aux progrès de la médecine.
545 000 décès en 2010.
Causes de la mortalité :
Maladies cardio-vasculaires (1ère cause).
Cancers (2e cause).
Accidents et morts violentes.
La morbidité : ensemble des troubles pathologiques qui ont touché un groupe d’individus pendant une période donnée.
Causes :
Hospitalisation :
o Pathologies accidentelle
o Troubles de l’appareil circulatoire et de l’appareil digestif.
o Cancers.
Affection de longue durée (prépondérance) :
o Maladies mentales
o Maladies cardio-vasculaires
Maladies à déclaration obligatoire (prépondérance) :
o Tuberculose
o Sida
Population active : 25,6 millions de personnes.
Chômeurs : 8,8%
Retraités : 13,4 millions.
65 millions d’hts en France au 1er janvier 2011.
L’espérance de vie : durée de vie moyenne qu’une population peut espérer vivre en fonction du taux de mortalité du moment.
Espérance de vie sans incapacité : nb moyen d’années que peut espérer vivre une personne sans être atteinte d’une incapacité.
En 2010 :
- femme : 78 ans.
- homme : 84 ans.
Causes de différences H/F :
Plus grandes dureté du travail confié aux hommes.
Alcoolisme plus élevé chez les hommes.
Nb plus élevé de morts violents.
Fragilité physiologique chez les hommes.
La fécondité et la natalité :
Fertilité : capacité physiologique pour une femme d’avoir un enfant.
Fécondité : rapport du nb de naissances vivantes durant une année à l’ens de population des femmes de 15 à 49 ans (taux à 2,01 en 2010).
Natalité : taux d’enfants nés pendant une année donnée pour 1 000 hts.
828 000 naissances en 2010.
La nuptialité et la divortialité :
Mariage : acte solennel entre 2 personnes de sexe différent dont l’union, les conditions et l’effet sont régis par les dispositions juridiques en vigueur dans le pays.
273 000 mariages en France.
Mariage en baisse.
Age moyen : 26,7 pour les femmes et 28,7 pour les hommes.
Divorce : dissolution du mariage par le tribunal d’instance.
134 477 divorces en France.
En augmentation (40%).
Taux de divortialité : nb de divorces prononcés durant une année civile à la population totale moyenne sur cette même année.
La mortalité :
Taux de mortalité générale : rapport entre le nb de décès et la population moyenne d’un pays pour une année donnée pour 1 000 hts.
Taux de mortalité infantile : rapport entre le nb de décès d’enfants de moins d’un an et le nombre de naissances vivantes pour la même période par 1 000 hts.
Baisse du taux de mortalité : due à l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène et aux progrès de la médecine.
545 000 décès en 2010.
Causes de la mortalité :
Maladies cardio-vasculaires (1ère cause).
Cancers (2e cause).
Accidents et morts violentes.
La morbidité : ensemble des troubles pathologiques qui ont touché un groupe d’individus pendant une période donnée.
Causes :
Hospitalisation :
o Pathologies accidentelle
o Troubles de l’appareil circulatoire et de l’appareil digestif.
o Cancers.
Affection de longue durée (prépondérance) :
o Maladies mentales
o Maladies cardio-vasculaires
Maladies à déclaration obligatoire (prépondérance) :
o Tuberculose
o Sida
Population active : 25,6 millions de personnes.
Chômeurs : 8,8%
Retraités : 13,4 millions.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Fiches culture générale 2012
La demographie!!
On compte près de 200 000 habitants de plus chaque jour sur la planète
Nous assistons à 353 015 naissances par jour dans le monde
Il y a 158 857 décès chaque jour sur Terre
Caractéristiques=
_Natalité: nombre de naissance au sein d'une population
_Fécondité: l'étude des naissances pour des femmes en age de procrer
_Mortalité: nombre de décés annuel
_Nuptialité
_Migration
Baisse de la fécondité lié à l'alphabétisation des femmes, rendues plus indépendante, ont tendance à faire des enfants plus tard!
La contraception et l'avortement agissent de manière significative sur le taux de natalité.
Vieillissement de la population dû aux avancés technologiques améliorant les soins de santé et par là même, l'espérance de vie.
Mortalité: Attention à la pandémie du Sida qui a fortement touché certains pays
Le taux de nuptialité en forte baisse et l'age du mariage en forte hausse dans les environ de 30 ans!!
Migration vers les pays du Nord!! De diverse forme:
_Migration de travail: Clandestins
_Migration permanente: non volontaire =réfugié politique
_Migration étudiante: les cerveaux
_Migration saisonière: Vendanges, besoin de main d'oeuvre
On compte près de 200 000 habitants de plus chaque jour sur la planète
Nous assistons à 353 015 naissances par jour dans le monde
Il y a 158 857 décès chaque jour sur Terre
Caractéristiques=
_Natalité: nombre de naissance au sein d'une population
_Fécondité: l'étude des naissances pour des femmes en age de procrer
_Mortalité: nombre de décés annuel
_Nuptialité
_Migration
Baisse de la fécondité lié à l'alphabétisation des femmes, rendues plus indépendante, ont tendance à faire des enfants plus tard!
La contraception et l'avortement agissent de manière significative sur le taux de natalité.
Vieillissement de la population dû aux avancés technologiques améliorant les soins de santé et par là même, l'espérance de vie.
Mortalité: Attention à la pandémie du Sida qui a fortement touché certains pays
Le taux de nuptialité en forte baisse et l'age du mariage en forte hausse dans les environ de 30 ans!!
Migration vers les pays du Nord!! De diverse forme:
_Migration de travail: Clandestins
_Migration permanente: non volontaire =réfugié politique
_Migration étudiante: les cerveaux
_Migration saisonière: Vendanges, besoin de main d'oeuvre
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 9 (série 2) : Commentaire / explication de phrase. Temps estimé 1h15
Santé : Soignez-vous moins cher !
Faute de moyens, un Français sur trois renonce à se soigner. Des solutions existent pourtant, permettant de payer moins cher, mais elles sont souvent méconnues ou négligées
Un système de santé à deux vitesses. Voilà vers quoi se dirige la France. Près d’un tiers des citoyens renoncent désormais à se faire soigner, faute de moyens, alors qu’ils n’étaient encore que 11 % en 2009. Selon ce sondage CSA-Europ Assistance publié vendredi dernier, les sacrifices concernent surtout les soins dentaires et optiques, pour 22 % des Français. Mais à côté de ces prestations, connues pour être onéreuses et très mal remboursées, plus d’une personne sur dix abandonnent les « soins courants », et ils sont 6 % à ne même plus acheter de médicaments. Sans parler de ceux, 5 %, qui laissent de côté hospitalisation, examens ou traitements coûteux, alors qu’ils sont souvent réservés aux maladies les plus graves. Le constat est alarmant, et l’avenir plutôt noir.
De plus en plus de médicaments sont déremboursés. La vignette bleue passera prochainement de 35 % à 30 % de remboursement ; la consultation chez le généraliste coûte depuis quelques mois 23 € au lieu de 22, et les mutuelles augmentent en conséquence.
Les Français ne s’y trompent pas : plus de la moitié d’entre eux estime que notre système de santé ne garantit plus l’égalité face aux soins. D’autant moins que les plafonds de revenus qui donnent droit aux aides de l’Etat (CMU, Chèque santé…) restent très bas : de 7.771 € pour une personne seule à 16.320 pour une famille de 4 personnes. Même avec la revalorisation prévue dans le cadre du budget 2012 de la Sécurité sociale, il faudra toujours gagner moins d’un SMIC pour en bénéficier.
Afin d’aider ceux qui ne réussissent plus à se soigner correctement, voici quelques conseils simples pour préserver, à moindre coût, l’un des biens les plus essentiels de notre vie. Comme le martelaient nos grands-mères avec raison : quand la santé va, tout va !
Faites de la prévention
La Sécu vous l’offre, profitez-en ! Tous les cinq ans, n’importe quel assuré social peut bénéficier d’un bilan gratuit. Analyses (sang, urine…), tests de vision, d’audition, de capacité respiratoire, examen dentaire, radio des poumons et électrocardiogramme, dépistages de l’hépatite B et du sida sur demande, plus examen clinique par un médecin. Selon les besoins, il peut être complété par des recherches plus poussées (gynécologiques, cardiovasculaires…). Les frais de transport sont remboursés et, éventuellement, la perte de salaire s’il y a lieu. Le bilan est destiné à dépister les premiers signes d’une affection et à prévenir les maladies les plus graves.
Pour les enfants
Les PMI (protection maternelle et infantile) sont gratuites et accessibles à tous, sans conditions de revenus et même sans couverture sociale. Elles assurent le suivi des femmes enceintes et des enfants jusqu’à l’âge de six ans. Seul inconvénient, elles ne proposent pas de service de consultation urgente et, selon les régions, il faut parfois attendre un mois pour un rendez-vous.
Et n’oubliez pas non plus le programme de l’assurance maladie « M’Tdents ». Un mois avant leur anniversaire (6, 9, 12, 15 et 18 ans), vos enfants reçoivent une invitation à prendre rendez-vous chez le dentiste de votre choix. Consultation et soins sont pris en charge à 100 pour cent. Il serait dommage de s’en priver.
Passez par un réseau
Le principe est simple : de nombreuses mutuelles (Groupama, GAN, MAAF, AGF, MMA…) orientent leurs clients vers des professionnels qui s’engagent à pratiquer des prix au plus proche des tarifs conventionnels de la Sécurité sociale. Pour ce faire, elles font appel à des sociétés qui connaissent parfaitement le marché, possèdent des réseaux de professionnels (chirurgiens, opticiens, dentistes, audio-prothésistes…) par secteur géographique et passent leur temps à comparer les prix. On les appelle les « cost killers », les « tueurs de coût ». En aidant les assurés à réduire leurs frais, elles réduisent également la part de remboursement de la mutuelle. C’est gagnant-gagnant.
Ciblez la bonne pharmacie
On a du mal à le croire : certains médicaments en vente libre peuvent aller du simple au triple selon les officines. Selon une étude BIPE-Leclerc de 2010, qui a comparé les tarifs de trente produits dans quatre régions de France choisies au hasard, de simples comprimés contre les nausées sont vendus entre 2,93 € et… 10,20 € ! Dans une même ville, le prix du paracétamol varie de 1,64 à 4,50 € et celui d’un sirop contre la toux de 2,50 à 3,87. Autant dire que, même si vous adorez votre pharmacien qui vous conseille depuis vingt ans, cela vaut peut-être la peine d’aller explorer les rayonnages voisins. Les prix, libres pour les médicaments non remboursés, sont le plus souvent modulés en fonction de l’offre et de la demande. Une officine peut très bien pratiquer des tarifs prohibitifs sur les collyres et s’avérer compétitive sur les sachets contre les maux d’estomac.
Demandez le remède remboursé
De plus en plus de médicaments sont déremboursés. Peut-être est-ce le cas pour l’un des vôtres. Demandez à votre médecin traitant de vous prescrire un équivalent remboursé. Presque tous les traitements en ont un. Et si vous n’avez pas d’ordonnance, il vaut mieux choisir quand même la version remboursable d’une même molécule. Un exemple ? Pour deux Ibuprofène, le Nureflex avec sa vignette, et son prix fixe, vous reviendra à 2,28 €, le Nurofen, entre 3 et 4,50 €.
Exigez les tarifs des médecins et des hôpitaux
Quelques clics suffisent. Depuis juillet, le site de la Sécurité sociale, ameli-direct. fr, propose un comparatif des tarifs des actes médicaux des généralistes, des spécialistes, des hôpitaux et des cliniques. Plus d’une centaine de prestations sont répertoriées. Les médecins sont indiqués en secteur 1 (conventionné) ou 2 (conventionné à honoraires libres), avec leurs coordonnées et leurs prix. Le site s’étoffe de jour en jour.
Demandez un devis
On ne le sait pas assez : quand le total honoraire + soins dépasse les 70 €, les professionnels de santé qui dépassent le tarif fixé par la Sécu ont obligation depuis le 1er février 2009 de produire un devis écrit. Tout comme le médecin de secteur 2 qui prévoit une deuxième consultation. Fini les mauvaises surprises !
Quant à vos lunettes, sachez que les écarts de prix sur les verres peuvent atteindre 80 pour cent d’une boutique à l’autre. Et bien sûr, ces commerçants auront tendance à vous conseiller leurs verres les plus chers. Car, vous l’ignoriez peut-être, ils en ont plusieurs : vous n’avez qu’à comparer vos lunettes habituelles avec votre deuxième paire à un euro, vous vous en rendrez compte. Les opticiens aussi sont tenus de vous fournir gratuitement un devis écrit, contenant le prix de la monture, celui de l’offre personnalisée et, à votre demande, celui de l’offre la plus économique respectant la prescription. Comparez ensuite les enseignes.
Comparez
Un devis d’accord, mais comment savoir s’il est trop élevé ? La plupart des sites Internet des mutuelles proposent déjà depuis longtemps d’analyser les devis des dentistes et des opticiens en les comparant avec les offres les moins chères de leur réseau. Libre à vous, ensuite, de changer ou non de praticien. De son côté, la plate-forme Santéclair, qui regroupe de nombreux assureurs (MMA, AGF, Maaf…), propose depuis 2009 de confronter les tarifs de vos devis de chirurgie et d’obstétrique avec ceux de la Sécu, et la moyenne de ceux de votre région.
Négociez
Cela fait un peu marchand de tapis et pourtant… même en chirurgie, ça marche. Selon une étude de la MAAF auprès de 1.000 assurés qui ont demandé un devis chirurgical, les deux tiers ont marchandé et, trois fois sur quatre, ont obtenu gain de cause. Une fois votre devis analysé, rien de plus simple que d’aller gentiment demander des comptes au chirurgien qui vous facture un dépassement excessif. Les ristournes peuvent aller jusqu’à 500 ou 1.000 € !
Utilisez les services des facultés
Cela a l’air d’une blague, mais ça ne l’est pas. Dans les facultés de chirurgie dentaire, les étudiants en 4e ou 5e année se font la main sur de vrais patients, encadrés par leurs professeurs. Les prix sont cassés, de 40 à 50 % moins cher et vous n’avancez pas le tiers payant. En revanche, les soins n’ont lieu que dans les créneaux horaires scolaires et l’attente est longue. Même combine chez les apprentis opticiens.
Le boom des mutuelles santé low cost
Amaguiz (Groupama), Direct-assurance (Axa), IdMacif (Macif)… De plus en plus de Français n’hésitent plus à se tourner vers les complémentaires santé « discount ». Certes, à moindre coût, ces mutuelles couvrent également moins de risques et ne prennent pas en charge les frais dits « de confort » comme la chambre particulière ou les lentilles de contact. En dix ans, le prix des complémentaires santé a bondi de 50 %., atteignant en moyenne 600 € par an. « A garantie égale, on peut espérer économiser 15 % en souscrivant à une couverture santé low cost mieux adaptée », considère Stanislas Di Vittorio, fondateur du comparateur en ligne Assurland.
Selon lui, la meilleure mutuelle n’est pas celle qui rembourse le plus, mais celle qui répond le mieux au consommateur. « Avant même de comparer, il faut savoir ce dont on a besoin et éviter les prestations superflues. Si l’on ne porte pas de lunettes, il est inutile de souscrire à un contrat qui couvre l’optique au maximum, par exemple. Ensuite, il n’y a pas de secret, il faut éplucher et comparer les offres. »
Mais attention aux pièges : toujours demander le montant d’un remboursement, plutôt que le pourcentage. Sur les frais dentaires tellement mal couverts par la Sécu, par exemple, 400 pour cent de pas grand-chose, ça reste… pas grand-chose. Le site communautaire Opinion-assurances.fr permet aux assurés de partager leurs expériences, et ainsi d’éviter les arnaques
France soir
Questions :
1) Expliquez les expressions suivantes :
a)"Un système de santé à deux vitesses"
b) "quand la santé va, tout va !"
2)Commentez les chiffres suivants :
a) "Près d’un tiers des citoyens renoncent désormais à se faire soigner, faute de moyens, alors qu’ils n’étaient encore que 11 % en 2009. Selon ce sondage CSA-Europ Assistance publié vendredi dernier, les sacrifices concernent surtout les soins dentaires et optiques, pour 22 % des Français"
3)Enfin vous commenterez 5 conseils de l'article les plus pertinents dans une même rédaction.
CONSIGNES :
-Vos rédactions à la question 1 ne dépasseront pas 5 lignes pour chaque expression.
-Votre commentaire à la question 2 devra contenir une explication et ne pas dépasser 15 lignes au grand maximum. Soyez synthétiques.
-Les conseils que vous pouvez commenter pour la question 3 sont colorés en rouge dans le texte.Attention à vous de trier les plus pertinents.
L'article ne doit pas être paraphrasé.
La rédaction à la question 3 serra structurée introduction, développement et conclusion, votre développement comportera un paragraphe par type de conseil et enfin votre rédaction se limitera à 25 lignes maximum.
Santé : Soignez-vous moins cher !
Faute de moyens, un Français sur trois renonce à se soigner. Des solutions existent pourtant, permettant de payer moins cher, mais elles sont souvent méconnues ou négligées
Un système de santé à deux vitesses. Voilà vers quoi se dirige la France. Près d’un tiers des citoyens renoncent désormais à se faire soigner, faute de moyens, alors qu’ils n’étaient encore que 11 % en 2009. Selon ce sondage CSA-Europ Assistance publié vendredi dernier, les sacrifices concernent surtout les soins dentaires et optiques, pour 22 % des Français. Mais à côté de ces prestations, connues pour être onéreuses et très mal remboursées, plus d’une personne sur dix abandonnent les « soins courants », et ils sont 6 % à ne même plus acheter de médicaments. Sans parler de ceux, 5 %, qui laissent de côté hospitalisation, examens ou traitements coûteux, alors qu’ils sont souvent réservés aux maladies les plus graves. Le constat est alarmant, et l’avenir plutôt noir.
De plus en plus de médicaments sont déremboursés. La vignette bleue passera prochainement de 35 % à 30 % de remboursement ; la consultation chez le généraliste coûte depuis quelques mois 23 € au lieu de 22, et les mutuelles augmentent en conséquence.
Les Français ne s’y trompent pas : plus de la moitié d’entre eux estime que notre système de santé ne garantit plus l’égalité face aux soins. D’autant moins que les plafonds de revenus qui donnent droit aux aides de l’Etat (CMU, Chèque santé…) restent très bas : de 7.771 € pour une personne seule à 16.320 pour une famille de 4 personnes. Même avec la revalorisation prévue dans le cadre du budget 2012 de la Sécurité sociale, il faudra toujours gagner moins d’un SMIC pour en bénéficier.
Afin d’aider ceux qui ne réussissent plus à se soigner correctement, voici quelques conseils simples pour préserver, à moindre coût, l’un des biens les plus essentiels de notre vie. Comme le martelaient nos grands-mères avec raison : quand la santé va, tout va !
Faites de la prévention
La Sécu vous l’offre, profitez-en ! Tous les cinq ans, n’importe quel assuré social peut bénéficier d’un bilan gratuit. Analyses (sang, urine…), tests de vision, d’audition, de capacité respiratoire, examen dentaire, radio des poumons et électrocardiogramme, dépistages de l’hépatite B et du sida sur demande, plus examen clinique par un médecin. Selon les besoins, il peut être complété par des recherches plus poussées (gynécologiques, cardiovasculaires…). Les frais de transport sont remboursés et, éventuellement, la perte de salaire s’il y a lieu. Le bilan est destiné à dépister les premiers signes d’une affection et à prévenir les maladies les plus graves.
Pour les enfants
Les PMI (protection maternelle et infantile) sont gratuites et accessibles à tous, sans conditions de revenus et même sans couverture sociale. Elles assurent le suivi des femmes enceintes et des enfants jusqu’à l’âge de six ans. Seul inconvénient, elles ne proposent pas de service de consultation urgente et, selon les régions, il faut parfois attendre un mois pour un rendez-vous.
Et n’oubliez pas non plus le programme de l’assurance maladie « M’Tdents ». Un mois avant leur anniversaire (6, 9, 12, 15 et 18 ans), vos enfants reçoivent une invitation à prendre rendez-vous chez le dentiste de votre choix. Consultation et soins sont pris en charge à 100 pour cent. Il serait dommage de s’en priver.
Passez par un réseau
Le principe est simple : de nombreuses mutuelles (Groupama, GAN, MAAF, AGF, MMA…) orientent leurs clients vers des professionnels qui s’engagent à pratiquer des prix au plus proche des tarifs conventionnels de la Sécurité sociale. Pour ce faire, elles font appel à des sociétés qui connaissent parfaitement le marché, possèdent des réseaux de professionnels (chirurgiens, opticiens, dentistes, audio-prothésistes…) par secteur géographique et passent leur temps à comparer les prix. On les appelle les « cost killers », les « tueurs de coût ». En aidant les assurés à réduire leurs frais, elles réduisent également la part de remboursement de la mutuelle. C’est gagnant-gagnant.
Ciblez la bonne pharmacie
On a du mal à le croire : certains médicaments en vente libre peuvent aller du simple au triple selon les officines. Selon une étude BIPE-Leclerc de 2010, qui a comparé les tarifs de trente produits dans quatre régions de France choisies au hasard, de simples comprimés contre les nausées sont vendus entre 2,93 € et… 10,20 € ! Dans une même ville, le prix du paracétamol varie de 1,64 à 4,50 € et celui d’un sirop contre la toux de 2,50 à 3,87. Autant dire que, même si vous adorez votre pharmacien qui vous conseille depuis vingt ans, cela vaut peut-être la peine d’aller explorer les rayonnages voisins. Les prix, libres pour les médicaments non remboursés, sont le plus souvent modulés en fonction de l’offre et de la demande. Une officine peut très bien pratiquer des tarifs prohibitifs sur les collyres et s’avérer compétitive sur les sachets contre les maux d’estomac.
Demandez le remède remboursé
De plus en plus de médicaments sont déremboursés. Peut-être est-ce le cas pour l’un des vôtres. Demandez à votre médecin traitant de vous prescrire un équivalent remboursé. Presque tous les traitements en ont un. Et si vous n’avez pas d’ordonnance, il vaut mieux choisir quand même la version remboursable d’une même molécule. Un exemple ? Pour deux Ibuprofène, le Nureflex avec sa vignette, et son prix fixe, vous reviendra à 2,28 €, le Nurofen, entre 3 et 4,50 €.
Exigez les tarifs des médecins et des hôpitaux
Quelques clics suffisent. Depuis juillet, le site de la Sécurité sociale, ameli-direct. fr, propose un comparatif des tarifs des actes médicaux des généralistes, des spécialistes, des hôpitaux et des cliniques. Plus d’une centaine de prestations sont répertoriées. Les médecins sont indiqués en secteur 1 (conventionné) ou 2 (conventionné à honoraires libres), avec leurs coordonnées et leurs prix. Le site s’étoffe de jour en jour.
Demandez un devis
On ne le sait pas assez : quand le total honoraire + soins dépasse les 70 €, les professionnels de santé qui dépassent le tarif fixé par la Sécu ont obligation depuis le 1er février 2009 de produire un devis écrit. Tout comme le médecin de secteur 2 qui prévoit une deuxième consultation. Fini les mauvaises surprises !
Quant à vos lunettes, sachez que les écarts de prix sur les verres peuvent atteindre 80 pour cent d’une boutique à l’autre. Et bien sûr, ces commerçants auront tendance à vous conseiller leurs verres les plus chers. Car, vous l’ignoriez peut-être, ils en ont plusieurs : vous n’avez qu’à comparer vos lunettes habituelles avec votre deuxième paire à un euro, vous vous en rendrez compte. Les opticiens aussi sont tenus de vous fournir gratuitement un devis écrit, contenant le prix de la monture, celui de l’offre personnalisée et, à votre demande, celui de l’offre la plus économique respectant la prescription. Comparez ensuite les enseignes.
Comparez
Un devis d’accord, mais comment savoir s’il est trop élevé ? La plupart des sites Internet des mutuelles proposent déjà depuis longtemps d’analyser les devis des dentistes et des opticiens en les comparant avec les offres les moins chères de leur réseau. Libre à vous, ensuite, de changer ou non de praticien. De son côté, la plate-forme Santéclair, qui regroupe de nombreux assureurs (MMA, AGF, Maaf…), propose depuis 2009 de confronter les tarifs de vos devis de chirurgie et d’obstétrique avec ceux de la Sécu, et la moyenne de ceux de votre région.
Négociez
Cela fait un peu marchand de tapis et pourtant… même en chirurgie, ça marche. Selon une étude de la MAAF auprès de 1.000 assurés qui ont demandé un devis chirurgical, les deux tiers ont marchandé et, trois fois sur quatre, ont obtenu gain de cause. Une fois votre devis analysé, rien de plus simple que d’aller gentiment demander des comptes au chirurgien qui vous facture un dépassement excessif. Les ristournes peuvent aller jusqu’à 500 ou 1.000 € !
Utilisez les services des facultés
Cela a l’air d’une blague, mais ça ne l’est pas. Dans les facultés de chirurgie dentaire, les étudiants en 4e ou 5e année se font la main sur de vrais patients, encadrés par leurs professeurs. Les prix sont cassés, de 40 à 50 % moins cher et vous n’avancez pas le tiers payant. En revanche, les soins n’ont lieu que dans les créneaux horaires scolaires et l’attente est longue. Même combine chez les apprentis opticiens.
Le boom des mutuelles santé low cost
Amaguiz (Groupama), Direct-assurance (Axa), IdMacif (Macif)… De plus en plus de Français n’hésitent plus à se tourner vers les complémentaires santé « discount ». Certes, à moindre coût, ces mutuelles couvrent également moins de risques et ne prennent pas en charge les frais dits « de confort » comme la chambre particulière ou les lentilles de contact. En dix ans, le prix des complémentaires santé a bondi de 50 %., atteignant en moyenne 600 € par an. « A garantie égale, on peut espérer économiser 15 % en souscrivant à une couverture santé low cost mieux adaptée », considère Stanislas Di Vittorio, fondateur du comparateur en ligne Assurland.
Selon lui, la meilleure mutuelle n’est pas celle qui rembourse le plus, mais celle qui répond le mieux au consommateur. « Avant même de comparer, il faut savoir ce dont on a besoin et éviter les prestations superflues. Si l’on ne porte pas de lunettes, il est inutile de souscrire à un contrat qui couvre l’optique au maximum, par exemple. Ensuite, il n’y a pas de secret, il faut éplucher et comparer les offres. »
Mais attention aux pièges : toujours demander le montant d’un remboursement, plutôt que le pourcentage. Sur les frais dentaires tellement mal couverts par la Sécu, par exemple, 400 pour cent de pas grand-chose, ça reste… pas grand-chose. Le site communautaire Opinion-assurances.fr permet aux assurés de partager leurs expériences, et ainsi d’éviter les arnaques
France soir
Questions :
1) Expliquez les expressions suivantes :
a)"Un système de santé à deux vitesses"
b) "quand la santé va, tout va !"
2)Commentez les chiffres suivants :
a) "Près d’un tiers des citoyens renoncent désormais à se faire soigner, faute de moyens, alors qu’ils n’étaient encore que 11 % en 2009. Selon ce sondage CSA-Europ Assistance publié vendredi dernier, les sacrifices concernent surtout les soins dentaires et optiques, pour 22 % des Français"
3)Enfin vous commenterez 5 conseils de l'article les plus pertinents dans une même rédaction.
CONSIGNES :
-Vos rédactions à la question 1 ne dépasseront pas 5 lignes pour chaque expression.
-Votre commentaire à la question 2 devra contenir une explication et ne pas dépasser 15 lignes au grand maximum. Soyez synthétiques.
-Les conseils que vous pouvez commenter pour la question 3 sont colorés en rouge dans le texte.Attention à vous de trier les plus pertinents.
L'article ne doit pas être paraphrasé.
La rédaction à la question 3 serra structurée introduction, développement et conclusion, votre développement comportera un paragraphe par type de conseil et enfin votre rédaction se limitera à 25 lignes maximum.
ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
- angelito94
- Insatiable
- Messages : 723
- Inscription : 24 août 2011 11:32
Re: Entraînement culture générale 2012
Voilà je vous mettrai le dernier exercice de la semaine type concours Mercredi !
Travaillez bien
Travaillez bien

ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique