Culture Générale

Le forum de l'admission en IFSI

Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI

Répondre
Avatar de l’utilisateur
kysa
Insatiable
Insatiable
Messages : 422
Inscription : 06 nov. 2011 12:40

Re: Fiches culture générale 2012

Message par kysa »

Médecin malade

Du paternalisme médical a l'autonomie éclairée: évolution de la relation médecin malade.
Dialogue délicat entre 2 personnes. Qualité de la communication très importante car participe à la thérapie et favorise le traitement. Chaque relation est unique par la singularité des patients. Il faut donc s'adapter aux patients. C'est une des compétences qu'un médecin doit avoir. Confiance indispensable. Cette relation est au cœur de la pratique. Au début de l'histoire de la médecine, il y avait un paternalisme aliénant, infantilisant les malades. Les patients acceptaient aveuglement les traitements dans l'ignorance total (de la maladie et des traitements). Aujourd'hui, la confiance se gagne avec l'information, le patient est autonome et participe à son traitement. Il faut respecter la volonté du patient.

Paternalisme: Abus du pouvoir médical.
Dès le serment d'Hippocrate, la décision médical était possédé seulement par le médecin car seul lui sait ce qui est bon pour le patient. Seul son jugement compte car seul lui a les connaissances. Le médecin prenait donc les choix à la place du patient. Le malade était une personne ayant des connaissances profanes. Il est impuissant et vulnérable ainsi qu'ignorant (aucun savoir médical). Le rapport est dissymétrique, le médecin agit tel un parent bienfaiteur car le patient est diminué par la maladie. Il est donc légitime qu'il prenne des décisions à sa place sans le consulter, dans l'intérêt du malade. Le patient était donc passif. Il n'était informé ni sur la maladie ni sur le traitement dans son intérêt. C'était pour son bien que rien ne lui était révélé car cela pourrait avoir des conséquences néfastes.
Le déclin: Loi Huriet-Serusclat en 1988: Besoin du consentement du patient pour des expérimentations, ainsi que le droit de se retirer à n'importe quel moment. C'est une protection pour les patients. Limite de la médecine: dans le cas de thérapie anti cancéreuse et de maladie incurable. Diffusion des connaissances médicales grâce en grande partie à internet, le médecin n'est plus le seul à avoir des connaissances. La pseudo-expertise rééquilibre un peu la relation médecin-malade (même si celle-ci n'est pas toujours bénéfique). Les soins sont devenus un produit de consommation, le patient devient un "usagé" du système de santé. Le modernisme médical, on change de médecin pour changer de traitement.
Débat éthique: Revendication de l'autonomie contre la bienfaisance médicale
Excès du paternalisme, quelle est la place du patient dans la relation médecin-malade?
La base de l'éthique est la bienfaisance: faire le bien du patient en cherchant ce qu'il y a de meilleur pour lui. Dans le but d'être utile et ne pas nuire. Le médecin cherche à faire le bien du patient mais pas son bien. Ces deux représentations du bien ne sont pas parfois la même. Il faut la reconnaissance de l'autodétermination, le sujet juge par lui-même ce qui est le mieux pour lui.
Autonomie vient du grec Autonomos (auto: soi-même, nomos: règle) désigne l'indépendance, la possibilité de gérer sa santé et plus généralement sa vie en pleine conscience et en toute liberté. C'est agir librement pour un but donné. Si celle-ci est réduite, c'est qu'on est contrôlé par autrui. Il y a trois conditions à l'autonomie: la liberté, la délibération (déterminer ses buts) et l'action possible. Respecter un individu autonome c'est au minimum reconnaitre de cette personne d'avoir les droits, les opinions, les choix, des croyances. Le patient n'est plus inférieur au médecin. Il est autonome, associé avec la décision médicale. Son consentement guide la décision, qui doit être "éclairée" c'est-à-dire avec des informations claires et précises.
Selon Engelhart, la bienfaisance ne fait pas concurrence à l'autonomie. C'est l'accomplissement d'un bien reconnu par le patient pour son bien. Il a la liberté de choix et n'est pas soumis. L'autonomie doit être supérieure à la bienfaisance.

Autonomie éclairée.
La loi donne un compromis entre bienfaisance et autonomie, donnant alors une nouvelle définition à la relation médecin-malade plus équilibré.
Le consentement libre et éclairée gouverne la relation, obligeant d'avoir l'accord ou le refus du malade.
La loi du 4 mars 2002 apporte un changement radical. En effet le médecin doit transmettre des informations pour prendre avec le patient une décision, contrairement au paternalisme médical. Le médecin doit savoir comment dire et quand dire au patient ce qu'il veut savoir. Car le patient n'est pas obliger de tout entendre comme par exemple le temps qu'il lui reste à vivre. La loi du 4 mars 2002 donne droit à l'information. En effet le patient a le droit d'être informé avant de prendre une quelconque décision médical. Il doit connaitre son état de santé de manière claire et transparente avant de donner son consentement. Il a aussi le droit de connaitre le rapport bénéfice/risque d'un traitement, les alternatives thérapeutique et les effets indésirables possibles. De plus le médecin doit s'adapter au patient en lui donnant une information qu'il sera apte à comprendre. Le patient a aussi le droit de ne pas savoir ce qu'il a sauf lorsqu'il y a risque de contamination (SIDA) car il y a possibilité que d'autres personnes soient touchées. De plus, la loi oblige à demander le consentement avant tout acte médicamenteux. Seul lors de cas d'urgence, le recueil n'est pas obligatoire. Lors de cas grave (coma) le médecin doit deviner ce que le patient aurait voulu. Il peut consulter une personne de confiance désigné par le malade. Cette consultation est possible grâce à la loi Leonetti (2005). Le patient peut déterminer une personne de confiance qui fera respecter sa volonté lorsque celui-ci ne n'en sera pas apte. Il représentera le patient et le médecin doit tenir compte de la personne de confiance, mais n'est pas obliger de se soumettre à celle-ci. Le consentement doit être valide, c'est-à-dire que le patient doit être capable de comprendre et de donner son consentement. Seulement, le patient peut être incapable de donner son contentement: l'incapacité de faite comme les personnes comateuses, et l'incapacité de droit comme les mineurs (juridiquement incapable), les schizophrènes. La loi prévoit aussi que le patient doit être informé de la façon la plus complète possible. Il doit être libre de toute pression médicale et sociale, il a aussi le droit de ne pas se soigner et doit être informer des conséquences. Le patient devient donc un acteur.

La loi du 4 mars 2002 est une avancée majeure, mais comment doit-on informer le patient? Par exemple lors de l'incertitude d'un diagnostic, comment évoquer les effets indésirables et les traitements. Est-ce que tous les risques doivent-être donnés ? Il doit donc trouver le juste milieu car s'il y a trop de donné le patient pourrait être traumatisé, cela pourrait donc lui nuire. Il faut donc accompagné le patient dans sa prise de conscience. La liberté de consentir peut aussi nuire au patient dans le cas où celui-ci ne veut pas sa soigner. Doit-on donc accepté son choix et ne pas le persuadé? Son choix est-il donc le meilleur pour lui? Le médecin doit donc collaborer, donner son avis au patient qui est devant des choix qu'il ne connait pas. Le médecin et le malade sont donc tous les deux impliqués dans la décision. Le médecin doit donc s'adapter au patient, lui laisser le choix de choisir la relation qu'ils entretiennent. Il doit orienter le malade tout en respectant son autonomie.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
Avatar de l’utilisateur
kysa
Insatiable
Insatiable
Messages : 422
Inscription : 06 nov. 2011 12:40

Re: Fiches culture générale 2012

Message par kysa »

Médicament

Avancé révolution thérapeutique, différente origine et des principes actifs
Traitement de plus en plus puissant.

Pharmakon grec = remède et poison, substance avec un principe actif, objet technique, objet de profit.
Disease mongering : fabriquer/inventer une maladie pour vendre un médicament associé.
Le médicament est aussi un vecteur de croyance et d'espoir (placebo), en France 3 /4 des consultations se termine par une prescription de médicament. Valeur symbolique.
Peut contenir des effets iatrogènes (effet secondaire)

Beaucoup d'évolution grâce à la biologie moderne, pharmacovigilance.
Les maladies iatrogéniques représentent 10% des hospitalisations
Progrès de la pharmacologie grâce aux connaissances physiologiques (hormone de croissance) ? Physiopathologie d'une maladie,
Recherches sont souvent financer par les firmes pharmacologiques

Mécanismes d'évaluation d'un médicament sont long ce qui permet d'amélioré la protection. Expérience in vitro : étape clinique en 3 phase : toxicité, posologie, essaie thérapeutique contre un placebo. Besoin d'une vigilance quand même lors de la mise sur le marché. Enquête épidémiologique pour chercher les effets rares.
Essais contre placebo en DOUBLE AVEUGLE, pour éliminer les effets non spécifique et pour être efficace on randomise l’essai et on contrôle les deux groupes. Le vérum doit être supérieur au placebo pour être mise sur le marché, mais mise en place d'une pharmacovigilance.
Le marché du médicament. Investissement important alors prix des médicaments élevés pour compenser la recherche/développement. Seul les pays occidentaux sont important car soigne les maladies « de riche ». Place infime pour les maladies rares car débouché insuffisante.

Image du médicament (G. Besançon) représentation mentale de ce qu'on entend
Image externe : image donnée à voir ou à entendre comme la publicité, le marketing. Mobilisation de l'imaginaire : médicament de confort : importance du nom de fantaisie, couleur saveur taille....
Image interne : représentation consciente et inconsciente détermine les attitudes. Vaccins = images négatives,
Statut du médicament : pas seulement un objet, médiateur, valorisation du pouvoir médical. Représente la force de vouloir guérir.

Effet placebo : facteur extérieur augmente l'effet pharmacologique, s'additionne à l'effet attendu = facteur extra pharmacologique. Conviction du soignant influence sur le malade, besoin de l'adhésion du patient => reflet de la qualité médecin malade.

Surconsommation la France est le premier pays de consommation de psychotrope, usage détourner plus dans le cadre médical, la demande est devenu banalisé, médicalisation de souffrance non pathologique, malaise social pour améliorer le confort psychique, souffrance n'est plus pathologique.
Auto médicalisation est devenue un réflexe banal, prise de médicament sans avis médical, sans ordonnance ou réutilisation. Environs 7 français sur 10, favorisé par l'information médicale, l'autodiagnostic. Utilisation pour agir vite contre les symptômes (afin de tenir son rôle social) solution d'attente, manque de temps et de moyens financiers. Souvent pour des affections bénignes, sans gravité, accélère la guérison. Mais source de danger, le retard de diagnostic en cachant les symptômes. On peut aggraver la maladie, et le risque iatrogène est d'autant plus important (erreur de posologie).





Voili-voilou pour un aperçu de ce qu'on aborde en médecine
DE 2015
IBO en Guadeloupe
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Fiches culture générale 2012

Message par missdu33 »

merci kysa pour les fiches
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

[EN CHIFFRE] 67% de neurones en plus

Les enfants autistes auraient un cerveau plus gros et plus de neurones dans certaines zones cérébrales établit une étude préliminaire.
« A notre connaissance, cette étude représente le premier test quantitatif direct et une confirmation de la théorie selon laquelle une surabondance pathologique de neurones dans des régions critiques du cerveau est présente dès le plus jeune âge chez les autistes » écrivent les auteurs de ce travail dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).
Une recherche préliminaire puisqu’elle n’a porté que sur treize jeunes sujets âgés de 16 ans dont le cerveau a été examiné après leur décès. Elle montre que les sept enfants souffrant d’autisme avait 67% de neurones en plus dans le cortex préfrontal, une zone du cerveau dévolue au langage, à la communication et plus largement aux comportements sociaux, à l’humeur et à l’attention.
Les chercheurs ont également constaté que le poids du cerveau des sujets autistes était de 17,6 pour cent plus important par rapport à la moyenne de référence pour cet âge tandis que les cerveaux des sujets sains étaient de taille normale.
Le nombre de sujets impliqués dans l’étude ne permet pas de tirer des conclusions avertissent les auteurs. Il est donc trop tôt pour conclure que cet excès de neurones cause les troubles de comportement observés dans les atteintes autistiques.

J.I.
Sciences et Avenir.fr
09/11/2011
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

Infarctus : baisse du nombre de cas en France

Le nombre d’infarctus en France aurait diminué d’environ 20% entre 2000 et 2007. C’est ce que révèle une étude menée par l’Institut de veille sanitaire (InVS) et qui vient de paraître dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire. D’après les experts, cette diminution s’expliquerait en partie par une meilleure prise de conscience de la population et un changement en profondeur du mode de vie.
A travers le monde, les maladies cardiaques et cardiovasculaires sont une des principales causes de mortalité, et cela même si depuis une trentaine d’années, leur fréquence décroît régulièrement. La France n’échappe pas à la règle. Afin de faire un état des lieux des cas d’infarctus dans l’Hexagone et de leur impact sur notre société, les chercheurs de l’InVS ont fait une étude portant sur trois grandes villes française : Lille, Strasbourg et Toulouse.
Ainsi, les chercheurs ont observé qu’entre 2000 et 2007, le taux d’infarctus et de décès dus à des maladies coronariennes a diminué d’environ 20 %. Cette tendance à la diminution des cas est particulièrement significative chez les femmes et chez les plus de 55 ans. Ils ont aussi constaté qu’il existait bien une disparité Nord-Sud. Les Lillois sont proportionnellement plus sujet aux accidents cardiovasculaires que les Toulousains.
Les experts de l’InVS ont ainsi estimé que depuis le début des années 2000, le nombre d’infarctus chez les hommes a baissé de 5 % et de 6 % chez les femmes. Cette tendance, observée sur l’ensemble des pays d’Europe de l’Ouest, pourrait notamment s’expliquer par la baisse significative de certains facteurs de risques, tels que l’excès de cholestérol, l’hypertension artérielle et le tabagisme. Devant ce constat, qui illustre une vraie prise conscience du grand public de l’impact de certaines habitudes néfastes pour la santé, les chercheurs estiment qu’il est important de continuer à informer la population tout en réaffirmant les messages de prévention….

Article écrit le 2011-11-09 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalière
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Mélissa33
Messages : 1
Inscription : 08 nov. 2011 18:30

Re: s'entrainer en ligne

Message par Mélissa33 »

Je pourrais avoir les exercices que tu as envoyé stp ? :oops:
Merci beaucoup :)
Avatar de l’utilisateur
infthomas
Fidèle
Fidèle
Messages : 165
Inscription : 28 juin 2011 16:40
Localisation : Poissy
Contact :

Re: Fiches culture générale 2012

Message par infthomas »

Que font les moderateurs !! OÙ SONT LES SOURCES !!

:evacuation:
N'ehpad infirmier qui veut
Avatar de l’utilisateur
sixela95
Insatiable
Insatiable
Messages : 659
Inscription : 05 mai 2008 19:27
Localisation : 02
Contact :

Re: Fiches culture générale 2012

Message par sixela95 »

infthomas a écrit :Que font les moderateurs !! OÙ SONT LES SOURCES !!

:evacuation:
je comprend pas on a pas le droit de merttre nos fiches?
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Entraînement culture générale 2012

Message par Memo »

Exercice 19 (série 2) : Sujet type orale et écrit.

"Le 25 octobre 2011 : Selon une enquête de l'association Aides, seules 46% des personnes vivant avec le VIH en France exercent une activité professionnelle tandis que près de 40% des séropositifs vivent au niveau du seuil de pauvreté.
Il y a 5 ans 23% des personnes vivant avec le VIH en France exerçaient une activité professionnelle. "

Question : Expliquez ces chiffres à l'aide d'arguments, vous terminerez en donnant votre avis sur le sujet. ( 35/40 lignes ).
Le Sida touche de plus en plus de personne devenant une véritable pandémie mondiale. Longtemps stigmatisé, on a pu observer une nette amélioration du nombre de personne atteinte du sida employé passant du simple au double en cinq ans. Les causes vont de la simple augmentation de l'espérance de vie des personnes touchés au licenciement abusif plus encadré en passant par la loi du 11 juillet 2005 dans le cadre de l'égalité des droits et des chances des personnes handicapés. Malgré ça plus d'un tiers des Séropositifs vivent sous le seuil de pauvreté. En effet, l'acceptation sur le plan psychologique et les effets secondaires restent présent malgré l'amélioration des traitements.


Le Sida au cours des années avec l'apparition de nouveaux traitements anti-viraux et la chimiothérapie est peu à peu devenu une maladie chronique. Plus rapidement mis en évidence à travers des test gratuit, les traitements qui limitent la progression de la maladie ont alors permis aux malades de vivre plus longtemps. Une quinzaine d'année gagné en moyenne de nos jours.
Il est donc plus facile pour une personne malade d'être employé.
En effet, lors de l'entretien d'embauche, la personne atteinte n'a aucune obligation de faire connaitre son état de santé à son employeur. Le médecin de travail quant a lui est tenu au secret médical et ne peut en aucun cas divulguer ce genre d'information. Mais si le postulant le souhaite, il peut faire reconnaitre son état de santé comme un critère handicapant et entrer dans le cadre de la loi de juillet 2005.
Il lui sera alors possible plus tard de demander un mi temps thérapeutique ou tout simplement une demande de changement de poste lors de traitement plus lourd avec l'accord du médecin de travail.
Sans oublier que le licenciement abusif est de plus en plus encadré, des documents précis sont demandé au directeur pour démontrer l'inaptitude de son subordonné à faire son travail correctement.
Il est cependant possible d'être sujet à la discrimination à l'embauche ou à un licenciement abusif, dans ce cas, il faut en informer la Halde qui après enquête pourra permettre une médiation ou un jugement au tribunal.
Cependant, 40% des séropositifs vivent au niveau du seuil de pauvreté. Le plus souvent dû à un l'annonce de la maladie qui plonge le malade dans un épisode dépressif et le laisse donc dans l'incapacité d'exercer son travail. Il peut aussi être dû à des traitements trop lourds entrainant de nombreux effets secondaires qui empêchent la personne de travailler malgré les aménagements d'horaires.
Mais la reconnaissance du Sida comme Affection Longue Durée permet au malade d'être totalement pris en charge par l'état et de suivre les traitements appropiés.


Plus de 40% des personnes atteintes du VIH en France sont salariés. De nombreuses association on été mis en place pour aider à lutter contre la discrimination au travail parmi elles, la Halde. Néanmoins, on peut observer qu'un tiers des personnes séropositives vivent sous le seuil de pauvreté en France. Le sida reste encore synonyme de mort et peut entrainer de grave dépression, fort heureusement, la pathologie reste totalement prise en charge par la Sécurité Sociale. L'espoir d'un traitement qui vaincrait totalement la maladie est de nouveau évoqué tandis qu'un homme atteint du Sida et d'un Cancer guérit totalement suite à une greffe d'un sujet possédant un certain gène qui éradiquerait la maladie.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Avatar de l’utilisateur
Siaana
VIP
VIP
Messages : 2652
Inscription : 31 déc. 2008 18:49

Re: Fiches culture générale 2012

Message par Siaana »

sixela95 a écrit :
infthomas a écrit :Que font les moderateurs !! OÙ SONT LES SOURCES !!

:evacuation:
je comprend pas on a pas le droit de merttre nos fiches?

Pareil pas compris la remarque...
Promo 2009-2012
Avatar de l’utilisateur
sixela95
Insatiable
Insatiable
Messages : 659
Inscription : 05 mai 2008 19:27
Localisation : 02
Contact :

Re: Fiches culture générale 2012

Message par sixela95 »

bah oui bizare!
infthomas tu peux nous éclairer?
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Avatar de l’utilisateur
infthomas
Fidèle
Fidèle
Messages : 165
Inscription : 28 juin 2011 16:40
Localisation : Poissy
Contact :

Re: Fiches culture générale 2012

Message par infthomas »

Beaucoup de textes de lois ...

Je peux vous dire que pour tel sujet il la loi du 13 mai 1997 à été marquante ...

Ouais ok mais ... Ca sort d'où ? J'ai des preuves ? Elle a été remplacée ?

Assuré vous des infos sûr et récente !!!! Les lois changent tout les jours ! Ca la fou mal de mettre une loi qui a été abrogée xD

Enfin ... Vous faites comme vous voulez :)

Des ptits conseils pour l'épreuve de culture générale en épreuves d'admissibilité ?
N'ehpad infirmier qui veut
Avatar de l’utilisateur
sixela95
Insatiable
Insatiable
Messages : 659
Inscription : 05 mai 2008 19:27
Localisation : 02
Contact :

Re: Fiches culture générale 2012

Message par sixela95 »

perso je prend les lois de mon bouquin édité en janvier 2011, donc ça doit être les récentes et quand je suis pas sure je regarde sur le net.
Mais tu aurais pu nous l'indiquer de façon plus sympatique qu'avec un coup de sifllet :(
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Avatar de l’utilisateur
infthomas
Fidèle
Fidèle
Messages : 165
Inscription : 28 juin 2011 16:40
Localisation : Poissy
Contact :

Re: Fiches culture générale 2012

Message par infthomas »

:angel: :oops:

Désolé ... C'était un moment d'excitation passager ... J'espère que tu ne m'en veux pas trop (on se tutoies hein :) )

Faut que je bosse sur mes sautes d'humeurs (ne dites pas ça a votre oral hein ;)

Les lois changent, c'est sûr que les grandes lois de santé publique ne changent pas forcement mais ton actions de croiser les infos sur Internet c'est une très bonne idée !

Ex : La validations des compétences et des absences en IFSI c'est modifiée en Aout 2011 soit 2 semaines et demi avant la rentrée ... (un exemple parmi tant d'autres je suppose)

Bon courage pour les revisions, la culture générale c'est de l'expérience, et du "feeling".

Bisou,
Thomas
N'ehpad infirmier qui veut
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Entraînement culture générale 2012

Message par Memo »

Exercice 20 ( série 2),Type oral

Il existe une paupérisation de la population française. Expliquez pourquoi ?

Catégorie touché:
les jeunes de plus en plus touchés
Personne seule: Mère célibataire, Pers âgée
Nouveau pauvre: Travailleur=Emploi mi temps ou mal rémunéré souvent donné aux femmes.
vivent sur les minimas sociaux qui leur sont versés: retraite minimum, RSA
Resto du cœur, Épicerie solidaires

Cause fragilisation de 3 facteurs:
-famille, plus les mêmes valeurs
-emploi, beaucoup d'étudiant diplômé ne trouve pas d'emploi
-logement, taxe sur les logements trop petits!!
Et augmentation du surendettement, une fois les mensualité des crédits retirés il ne reste plus grand chose pour vivre


Conclusion
Ouverture Aide Européenne menacé


Je savais pas quoi dire d'autre.... :oops:
J'attend la correction avec impatience!!! :D
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Répondre