Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
Les infirmières scolaires veulent une « véritable » catégorie A
Les infirmières scolaires ont obtenu leur intégration en catégorie A mais refusent les grilles indiciaires que le ministère leur propose.
Reçus avant-hier par le directeur de cabinet du ministère de la Fonction publique, les représentants syndicaux des infirmières scolaires en sont ressortis mi figue mi raisin. L’intégration en catégorie A de toutes les infirmières de la fonction publique d’Etat a certes été actée lors de la rencontre. Mais les syndicats jugent inadmissibles les propositions de grilles indiciaires avancées par le ministère, qui restent en deçà des grilles de leurs collègues hospitalières.
La semaine dernière déjà, appelées à manifester le 8 novembre à Bercy sous les grilles du ministère, les infirmières scolaires avaient montré leur détermination. « Nous demandons l’égalité pour toutes les infirmières de la fonction publique. Notre diplôme est le même que celui de nos collègues hospitalières, nous voulons donc, nous aussi, une juste revalorisation de notre statut » expliquait alors la secrétaire générale du Snics-FSU, Béatrice Gaultier. Une revendication d’autant plus justifiée, soulignait la secrétaire générale du Snies-Unsa, Brigitte Accart, que, « pour intégrer l’Education nationale, les infirmières doivent passer un concours très sélectif ».
« Des propositions à revoir absolument »
Les représentants syndicaux reçus au ministère n’ont pas caché, il est vrai, une certaine satisfaction dans la mesure où leur manifestation du 8 novembre, la quatrième en deux ans, a bel et bien permis de faire avancer le dossier. Et effectivement, les avancées obtenues mardi dernier à l’issue de leur rendez-vous au ministère sont loin d’être négligeables : intégration de toutes les infirmières de la Fonction publique d’Etat en catégorie A, ouverture des négociations sur le sujet durant la première semaine de décembre, et envoi des premiers projets de décrets dès la semaine prochaine.
En revanche les propositions de grilles indiciaires associées à cette catégorie A et présentées par le cabinet du ministère sont « totalement inacceptables, car elles vont induire des grands retards de carrière » se sont insurgé, dans un communiqué commun, Snics-FSU et Snies-Unsa. « La grille que l’on nous propose, s’emporte Brigitte Gaultier, est en deçà de celle de nos collègues hospitalières. » La secrétaire générale du Snics s’explique : la catégorie A que le ministère leur propose pour le moment est certes censée comporter deux grades, mais le 2ème grade serait réservé aux diplômées sortant aujourd’hui d’Ifsi et à leurs collègues hospitalières en détachement. Quant au 1er grade, il comporterait certes deux classes - classe normale et classe supérieure - mais seules quelque 30% des infirmières scolaires seraient éligibles à la classe supérieure. « Inadmissible, dénonce Brigitte Gaultier. C’est un déni de notre professionnalisme, et cela risque de limiter fortement la mobilité des infirmières entre les différentes fonctions publiques »
texte et photo: Emmanuelle Debelleix
Espace infirmier
Les infirmières scolaires ont obtenu leur intégration en catégorie A mais refusent les grilles indiciaires que le ministère leur propose.
Reçus avant-hier par le directeur de cabinet du ministère de la Fonction publique, les représentants syndicaux des infirmières scolaires en sont ressortis mi figue mi raisin. L’intégration en catégorie A de toutes les infirmières de la fonction publique d’Etat a certes été actée lors de la rencontre. Mais les syndicats jugent inadmissibles les propositions de grilles indiciaires avancées par le ministère, qui restent en deçà des grilles de leurs collègues hospitalières.
La semaine dernière déjà, appelées à manifester le 8 novembre à Bercy sous les grilles du ministère, les infirmières scolaires avaient montré leur détermination. « Nous demandons l’égalité pour toutes les infirmières de la fonction publique. Notre diplôme est le même que celui de nos collègues hospitalières, nous voulons donc, nous aussi, une juste revalorisation de notre statut » expliquait alors la secrétaire générale du Snics-FSU, Béatrice Gaultier. Une revendication d’autant plus justifiée, soulignait la secrétaire générale du Snies-Unsa, Brigitte Accart, que, « pour intégrer l’Education nationale, les infirmières doivent passer un concours très sélectif ».
« Des propositions à revoir absolument »
Les représentants syndicaux reçus au ministère n’ont pas caché, il est vrai, une certaine satisfaction dans la mesure où leur manifestation du 8 novembre, la quatrième en deux ans, a bel et bien permis de faire avancer le dossier. Et effectivement, les avancées obtenues mardi dernier à l’issue de leur rendez-vous au ministère sont loin d’être négligeables : intégration de toutes les infirmières de la Fonction publique d’Etat en catégorie A, ouverture des négociations sur le sujet durant la première semaine de décembre, et envoi des premiers projets de décrets dès la semaine prochaine.
En revanche les propositions de grilles indiciaires associées à cette catégorie A et présentées par le cabinet du ministère sont « totalement inacceptables, car elles vont induire des grands retards de carrière » se sont insurgé, dans un communiqué commun, Snics-FSU et Snies-Unsa. « La grille que l’on nous propose, s’emporte Brigitte Gaultier, est en deçà de celle de nos collègues hospitalières. » La secrétaire générale du Snics s’explique : la catégorie A que le ministère leur propose pour le moment est certes censée comporter deux grades, mais le 2ème grade serait réservé aux diplômées sortant aujourd’hui d’Ifsi et à leurs collègues hospitalières en détachement. Quant au 1er grade, il comporterait certes deux classes - classe normale et classe supérieure - mais seules quelque 30% des infirmières scolaires seraient éligibles à la classe supérieure. « Inadmissible, dénonce Brigitte Gaultier. C’est un déni de notre professionnalisme, et cela risque de limiter fortement la mobilité des infirmières entre les différentes fonctions publiques »
texte et photo: Emmanuelle Debelleix
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Re: Actualités concours 2012
« Il faut éviter à tout prix la visioconférence ! »
La loi du 5 Juillet 2011 réformant l’hospitalisation sans consentement des patients en psychiatrie instaure comme obligation légale une audience entre le patient et le juge des libertés et de la détention dans les 15 jours, puis dans les six mois suivant leur hospitalisation. Pour Jean-Marie Delarue, contrôleur général des lieux de privation de liberté, l’application de cette loi ne peut se faire que sous certaines conditions. Il dénonce fermement l’utilisation de la visioconférence pour ces audiences.
L’Infirmière Magazine : La loi du 5 juillet 2011 portant sur l’hospitalisation des patients sans leur consentement en psychiatrie est-elle selon vous un progrès pour ces derniers ?
Jean-Marie Delarue : Il faut tout d’abord rappeler que l’hospitalisation sans consentement est une mesure destinée à soigner les patients. Cependant c’est aussi une mesure qui porte atteinte à la liberté individuelle puisqu’elle constitue une privation de liberté. Aujourd’hui, la personne qualifiée pour garantir cette liberté est le juge des libertés et de la détention (JLD) alors qu’avant la loi du 5 juillet dernier, la décision de l’hospitalisation sans consentement des patients revenait aux préfets et aux psychiatre exclusivement. L’intervention du JLD était facultative. Le fait qu’elle soit devenue obligatoire avec la loi du 5 juillet constitue un progrès indéniable en matière de respect des droits des patients et de liberté des personnes. C’est une prise de conscience positive.
L’Infirmière Magazine : Que pensez-vous des trois options prévues pour organiser ces audiences ?
J.M. Delarue : La loi a prévu trois options possibles à la mise en œuvre des audiences entre le patient et le JLD : une audience au tribunal, un déplacement du JLD à l’hôpital pour une audience publique, ou la visioconférence. Sur la première option, l’audience au tribunal, la question qui n’est pas réglée est celle du transport des patients au tribunal. On sait combien les sorties des malades sont compliquées à organiser en santé mentale, autant pour les patients eux-mêmes que pour les soignants mobilisés pour les accompagner. Les patients hospitalisés sans leur consentement ne comprennent généralement pas qu’on les emmène au tribunal devant un juge afin de protéger leurs droits… Ils sont fragiles voire instables psychologiquement, ce qui rend une extraction de l’hôpital suivie d’une audience au tribunal déstabilisante si ce n’est traumatisante. C’est pourquoi je pense que les JLD doivent se déplacer dans les hôpitaux psychiatriques. Les audiences doivent être tenues à l’hôpital, pas au tribunal ! C’est là la recommandation que j’ai faite aux différents ministères concernés. Et demain, 17 novembre, je compte recommander aux directeurs d’hôpitaux psychiatriques de construire des salles d’audience à cet effet, car il faut que les patients soient entendus dans les meilleures conditions possibles.
L'Infirmière Magazine : Et quelle est votre position sur une audience organisée par visioconférence ?
J.M. Delarue : Il faut éviter à tout prix la banalisation de l’utilisation de la visioconférence, et ne surtout pas céder à l’argument du moindre coût économique. Ce système n’est pas adapté, par exemple, à un patient ayant des tendances paranoïaques ou souffrant d’un autre complexe de persécution. La visioconférence constitue une déstabilisation multipliée par cent par rapport à une audience au tribunal, qui n’est déjà pas la meilleure option…Et puis il me semble indispensable qu’un juge soit en contact direct avec un malade lorsqu’il s’agit d’une décision aussi délicate qu’une sortie de l’hôpital ou une poursuite de son hospitalisation sans son consentement.
Propos recueillis par Carole Ivaldi
espace infirmier
La loi du 5 Juillet 2011 réformant l’hospitalisation sans consentement des patients en psychiatrie instaure comme obligation légale une audience entre le patient et le juge des libertés et de la détention dans les 15 jours, puis dans les six mois suivant leur hospitalisation. Pour Jean-Marie Delarue, contrôleur général des lieux de privation de liberté, l’application de cette loi ne peut se faire que sous certaines conditions. Il dénonce fermement l’utilisation de la visioconférence pour ces audiences.
L’Infirmière Magazine : La loi du 5 juillet 2011 portant sur l’hospitalisation des patients sans leur consentement en psychiatrie est-elle selon vous un progrès pour ces derniers ?
Jean-Marie Delarue : Il faut tout d’abord rappeler que l’hospitalisation sans consentement est une mesure destinée à soigner les patients. Cependant c’est aussi une mesure qui porte atteinte à la liberté individuelle puisqu’elle constitue une privation de liberté. Aujourd’hui, la personne qualifiée pour garantir cette liberté est le juge des libertés et de la détention (JLD) alors qu’avant la loi du 5 juillet dernier, la décision de l’hospitalisation sans consentement des patients revenait aux préfets et aux psychiatre exclusivement. L’intervention du JLD était facultative. Le fait qu’elle soit devenue obligatoire avec la loi du 5 juillet constitue un progrès indéniable en matière de respect des droits des patients et de liberté des personnes. C’est une prise de conscience positive.
L’Infirmière Magazine : Que pensez-vous des trois options prévues pour organiser ces audiences ?
J.M. Delarue : La loi a prévu trois options possibles à la mise en œuvre des audiences entre le patient et le JLD : une audience au tribunal, un déplacement du JLD à l’hôpital pour une audience publique, ou la visioconférence. Sur la première option, l’audience au tribunal, la question qui n’est pas réglée est celle du transport des patients au tribunal. On sait combien les sorties des malades sont compliquées à organiser en santé mentale, autant pour les patients eux-mêmes que pour les soignants mobilisés pour les accompagner. Les patients hospitalisés sans leur consentement ne comprennent généralement pas qu’on les emmène au tribunal devant un juge afin de protéger leurs droits… Ils sont fragiles voire instables psychologiquement, ce qui rend une extraction de l’hôpital suivie d’une audience au tribunal déstabilisante si ce n’est traumatisante. C’est pourquoi je pense que les JLD doivent se déplacer dans les hôpitaux psychiatriques. Les audiences doivent être tenues à l’hôpital, pas au tribunal ! C’est là la recommandation que j’ai faite aux différents ministères concernés. Et demain, 17 novembre, je compte recommander aux directeurs d’hôpitaux psychiatriques de construire des salles d’audience à cet effet, car il faut que les patients soient entendus dans les meilleures conditions possibles.
L'Infirmière Magazine : Et quelle est votre position sur une audience organisée par visioconférence ?
J.M. Delarue : Il faut éviter à tout prix la banalisation de l’utilisation de la visioconférence, et ne surtout pas céder à l’argument du moindre coût économique. Ce système n’est pas adapté, par exemple, à un patient ayant des tendances paranoïaques ou souffrant d’un autre complexe de persécution. La visioconférence constitue une déstabilisation multipliée par cent par rapport à une audience au tribunal, qui n’est déjà pas la meilleure option…Et puis il me semble indispensable qu’un juge soit en contact direct avec un malade lorsqu’il s’agit d’une décision aussi délicate qu’une sortie de l’hôpital ou une poursuite de son hospitalisation sans son consentement.
Propos recueillis par Carole Ivaldi
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Re: Tous mes thèmes sanitaires et sociaux fait en fiches
salut tout le monde je passe le conours en mars et j'aimerais savoir s'il etait possible de m'envoyer vos fiches concernant les themes sanitaires et sociaux envoyer un moi un message privé si certains sont op svp ! merciiii
Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 22 (série 2) sujet oral à traiter en10 minutes
On a de plus en plus en recours à l'avortement chez les jeunes malgré les campagnes de prévention. Qu'en pensez-vous ?
Bon courage
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Se faire battre est excusable,se faire surprendre est inexcusable Napoléon
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
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Re: Entraînement culture générale 2012
Voila ce que j'ai fait:Exercice 22 (série 2) sujet oral à traiter en10 minutes
On a de plus en plus en recours à l'avortement chez les jeunes malgré les campagnes de prévention. Qu'en pensez-vous ?
Loi de Simoene Veil (1975)qui permet à toutes les femmes souhaitant interrompre sa grossesse a droit à l'avortement.
I/ pourquoi et conséquences
Se protège pas car n'ose pas demander ou ne sait pas où aller chercher des moyens de contraceptions
Phénomène de "mode" : pour faire comme tous le monde
Parle pas assez avec parents et vice versa
Solution facile : elle se disent qu'il y a l'avortement donc ce n'est pas si elle couche sans prévenir les parents
Trop de liberté et pression de l'entourage
N'ont pas conscience des risques: MST,IST ( sida...)
Peuvent pas assumer : argent, scolarité, immaturité
II/ prévention
plus d'interventions dans les écoles
pubs: il n'y en a pas assez
moins de tabou pour en parler plus librement
plus de plannings familial
parler avec les enfants quand ils commencent à se poser des questions car maintenant la jeunesse est plus précoce qu'avant
rôle de l'infirmière: soins de prévention
voilà ce que j'ai fait en 10 minutes
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Re: Entraînement culture générale 2012
Salut Zackfair!!
_Différents moyens de contraception
_Pass contraception
_Centre de planification familial, infirmière scolaire
_Remboursé par la SS, gratuit pour les mineurs
II_Cause d'une grossesse
_Non utilisation de contraceptif par peur de la découverte par les parents...
_Oubli, mauvais usage, préservatif déchiré...
_Contraception d'urgence
_Pas sûr à 100%
_IVG Cause: raison sociale, économique....
Conclusion
_Planing plein des cliniques et refus d'IVG tardif par certains médecins
_Part à l'étranger ou médicament sur internet...
I_Campagnes de prévention: La ContraceptionExercice 22 (série 2) sujet oral à traiter en10 minutes
On a de plus en plus en recours à l'avortement chez les jeunes malgré les campagnes de prévention. Qu'en pensez-vous ?
_Différents moyens de contraception
_Pass contraception
_Centre de planification familial, infirmière scolaire
_Remboursé par la SS, gratuit pour les mineurs
II_Cause d'une grossesse
_Non utilisation de contraceptif par peur de la découverte par les parents...
_Oubli, mauvais usage, préservatif déchiré...
_Contraception d'urgence
_Pas sûr à 100%
_IVG Cause: raison sociale, économique....
Conclusion
_Planing plein des cliniques et refus d'IVG tardif par certains médecins
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Re: Entraînement culture générale 2012
C'est bien Memo!!
Franchement quand je vois comment vous faites vos réponses pour l'oral j'aimerais être à votre place parce que c'est trop bien ce que vous faites ,je n'arrive pas à faire aussi bien , aaaarrrrggggg ça m'énerve !!!!!

Franchement quand je vois comment vous faites vos réponses pour l'oral j'aimerais être à votre place parce que c'est trop bien ce que vous faites ,je n'arrive pas à faire aussi bien , aaaarrrrggggg ça m'énerve !!!!!



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Re: Entraînement culture générale 2012
je pourrai savoir quels dont les avantages du métier pour vous ?
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Re: Entraînement culture générale 2012
On a tous un raisonement différent et je ne pense pas que ce soir mieux ou moins bien que d'autre, juste différent.Zackfair a écrit :C'est bien Memo!!
Franchement quand je vois comment vous faites vos réponses pour l'oral j'aimerais être à votre place parce que c'est trop bien ce que vous faites ,je n'arrive pas à faire aussi bien , aaaarrrrggggg ça m'énerve !!!!!![]()
![]()
Le jury va noter ton raisonement et ta manière d'amener les choses pas les informations en elles même donc te prends pas la tête.
Entraines toi et tu verras bien sur quoi tu tombera le jour de ton orale.

En ce qui concerne le métier d'infirmière je crois qu'il y a beaucoup d'avantage, tout dépend de la manière dont tu regardes les choses.
Je dirais que les principaux avantages sont la relation avec les patients, les débouchés vraiment différent du métier et le travail d'équipe. Après chacun son avis et à chaque situation ses inconvénients.

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Re: Entraînement culture générale 2012
oui c'est vrai mais je trouve que vous résonné mieux que moi , c'est plus mature et réfléchi je diraisMemo a écrit :
On a tous un raisonement différent et je ne pense pas que ce soir mieux ou moins bien que d'autre, juste différent.
Le jury va noter ton raisonement et ta manière d'amener les choses pas les informations en elles même donc te prends pas la tête.
Entraines toi et tu verras bien sur quoi tu tombera le jour de ton orale.
je pensais aux mêmes avantages mais je ne sais pas si c'est suffisant pour le juryEn ce qui concerne le métier d'infirmière je crois qu'il y a beaucoup d'avantage, tout dépend de la manière dont tu regardes les choses.
Je dirais que les principaux avantages sont la relation avec les patients, les débouchés vraiment différent du métier et le travail d'équipe. Après chacun son avis et à chaque situation ses inconvénients.


en tout cas merci pour tout


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Re: Fiches culture générale 2012
De rien Mémo, il nous a dit le prof que c'était super important, parce que c'était souvent l'actu sur les 2 années antérieur au concours !
Il nous a aussi dit ++ : la réforme des retraites, débats mères porteuses, Haiti et le choléra, le travail.
Mais bon il a bien préciser, plus tous ce qui a d'autres, mais ca c'est des thèmes phares
J'ai pas encore commencé, cet apmidi j’espère attaquer le travail ! JE suis vraiment en retard !
Il nous a aussi dit ++ : la réforme des retraites, débats mères porteuses, Haiti et le choléra, le travail.
Mais bon il a bien préciser, plus tous ce qui a d'autres, mais ca c'est des thèmes phares
J'ai pas encore commencé, cet apmidi j’espère attaquer le travail ! JE suis vraiment en retard !
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Voiture : S'en passer, c’est plus facile
De plus en plus de Français utilisent une voiture sans l’acheter
Partager une auto pour aller en vacances ou au travail, en emprunter une pour des sauts de puce, louer le bolide de son voisin : les offres de mobilité se développent, surtout en Ile-de-France, où de plus en plus de gens décident de vivre sans voiture personnelle. D’après une enquête de l’Insee, 32 % des ménages franciliens ne disposaient pas de voiture en 2008, contre seulement 17 % des provinciaux.
A partir du 5 décembre, les premières Bluecars d’Autolib’, le système de voitures électriques en libre-service sur le modèle du Vélib’ conçu par le groupe français Bolloré, seront accessibles au grand public, avec au moins 250 véhicules. Ce dispositif, largement médiatisé, s’ajoutera aux offres qui foisonnent sur Internet : le covoiturage mais aussi l’autopartage, qui consiste à louer une voiture pour quelques heures ou plusieurs jours, ou encore la location de taxis partagés, comme AlphaTravel. « Il y a un foisonnement d’offres mais le marché est là, les gens en ont marre des PV de stationnement, des frais d’entretien, etc. », commente Nicolas Le Douarec, qui a dirigé le projet Autolib’ pour Veolia. Cet ingénieur préside aujourd’hui Cityzencar, site de location de voitures entre particuliers, après avoir co-fondé la société d’autopartage Mobizen. L’autopartage (Caisse-commune, Carbox, Mobizen, etc.) s’est notamment développé dans les entreprises, pour les déplacements professionnels. « C’est un marché qu’on a créé. Il y a trois-quatre ans nous devions démarcher, aujourd’hui, les clients viennent nous voir », explique Alexandre Crosby, fondateur associé de Carbox, société née en 2006.
Location entre particuliers
La location de voitures entre particuliers (Voiturelib’, Buzzcar, Livop, etc.) reste quant à elle un phénomène limité : seulement 25.000 adeptes dans l’Hexagone selon le groupe Xerfi qui a produit en novembre 2010 une étude sur « L’autopartage en France à l’horizon 2015 ». Mais « nous ne sommes qu’au début », estime Paulin Dementhon, jeune entrepreneur de 33 ans qui a lancé Voiturelib’, leader du marché, il y a moins d’un an
France soir
De plus en plus de Français utilisent une voiture sans l’acheter
Partager une auto pour aller en vacances ou au travail, en emprunter une pour des sauts de puce, louer le bolide de son voisin : les offres de mobilité se développent, surtout en Ile-de-France, où de plus en plus de gens décident de vivre sans voiture personnelle. D’après une enquête de l’Insee, 32 % des ménages franciliens ne disposaient pas de voiture en 2008, contre seulement 17 % des provinciaux.
A partir du 5 décembre, les premières Bluecars d’Autolib’, le système de voitures électriques en libre-service sur le modèle du Vélib’ conçu par le groupe français Bolloré, seront accessibles au grand public, avec au moins 250 véhicules. Ce dispositif, largement médiatisé, s’ajoutera aux offres qui foisonnent sur Internet : le covoiturage mais aussi l’autopartage, qui consiste à louer une voiture pour quelques heures ou plusieurs jours, ou encore la location de taxis partagés, comme AlphaTravel. « Il y a un foisonnement d’offres mais le marché est là, les gens en ont marre des PV de stationnement, des frais d’entretien, etc. », commente Nicolas Le Douarec, qui a dirigé le projet Autolib’ pour Veolia. Cet ingénieur préside aujourd’hui Cityzencar, site de location de voitures entre particuliers, après avoir co-fondé la société d’autopartage Mobizen. L’autopartage (Caisse-commune, Carbox, Mobizen, etc.) s’est notamment développé dans les entreprises, pour les déplacements professionnels. « C’est un marché qu’on a créé. Il y a trois-quatre ans nous devions démarcher, aujourd’hui, les clients viennent nous voir », explique Alexandre Crosby, fondateur associé de Carbox, société née en 2006.
Location entre particuliers
La location de voitures entre particuliers (Voiturelib’, Buzzcar, Livop, etc.) reste quant à elle un phénomène limité : seulement 25.000 adeptes dans l’Hexagone selon le groupe Xerfi qui a produit en novembre 2010 une étude sur « L’autopartage en France à l’horizon 2015 ». Mais « nous ne sommes qu’au début », estime Paulin Dementhon, jeune entrepreneur de 33 ans qui a lancé Voiturelib’, leader du marché, il y a moins d’un an
France soir
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Re: Actualités concours 2012
Contrôles d’identité : les rappeurs témoignent
Pour dénoncer les abus, des stars du rap ont accepté de raconter sur le Net les contrôles d’identité dont ils ont été la cible.
«Ils m’ont fouillé le dos, le ventre, les hanches, l’entrejambe », confie l’un. « C’est toujours le jeu du chat et de la souris », glisse un autre. A partir de ce soir, des stars du rap français se confient dans le cadre de la websérie « Mon premier contrôle d’identité », réalisée par le documentariste Ladji Real, de Trappes. Deux épisodes de cinq minutes seront mis en ligne chaque semaine*. Parfois avec une touche d’humour, Doudou Masta, de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), la Fouine de Trappes (Yvelines), Sexion d’Assaut et Oxmo Puccino de Paris ou encore Sefyu d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) racontent leur « premier » ou leur « pire contrôle d’identité ».
Les quartiers davantage surveillés
A l’origine de cette série, un collectif francilien contre le contrôle au faciès créé en 2010 après la parution d’une étude du CNRS qui montre « que les contrôles visent onze fois plus les jeunes, six fois plus les Noirs et huit fois plus les Arabes », comme le rappelle une porte-parole du collectif. L’objectif est de diffuser un numéro de téléphone, le 07.60.19.33.81. « Grâce aux témoignages, nous allons mener une action en justice pour faire reconnaître ces contrôles abusifs », explique une militante. Une vingtaine d’artistes ont déjà accepté. « Certains étaient réticents car ils ne voulaient pas donner une image de victime », rapporte le réalisateur Ladji Real pour qui « ce problème de société important reste méconnu du grand public ».
Le procédé n’est pas forcément du goût de Philippe Capon, secrétaire général de l’Unsa-Police : « Les abus arrivent mais ils sont très rares », assure le syndicaliste. Vous mettez 5 Noirs, 5 Blancs et 5 Maghrébins dans une cité le soir. S’il y a un contrôle, ils seront tous contrôlés! Il ne faut pas s’étonner de subir des contrôles si on traîne à n’importe quelle heure dans un endroit réputé pour le trafic de drogue », lance-t-il. Pour cet autre policier, « on intervient beaucoup plus dans les quartiers qu’avant. Il est normal que les jeunes aient l’impression de subir davantage de contrôles. Mais ces opérations sont encadrées. On n’intervient pas n’importe où, n’importe comment ».
* Le lundi et le jeudi à 18 heures sur le site Internet Stoplecontroleaufacies.fr.
Le Parisien
Pour dénoncer les abus, des stars du rap ont accepté de raconter sur le Net les contrôles d’identité dont ils ont été la cible.
«Ils m’ont fouillé le dos, le ventre, les hanches, l’entrejambe », confie l’un. « C’est toujours le jeu du chat et de la souris », glisse un autre. A partir de ce soir, des stars du rap français se confient dans le cadre de la websérie « Mon premier contrôle d’identité », réalisée par le documentariste Ladji Real, de Trappes. Deux épisodes de cinq minutes seront mis en ligne chaque semaine*. Parfois avec une touche d’humour, Doudou Masta, de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), la Fouine de Trappes (Yvelines), Sexion d’Assaut et Oxmo Puccino de Paris ou encore Sefyu d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) racontent leur « premier » ou leur « pire contrôle d’identité ».
Les quartiers davantage surveillés
A l’origine de cette série, un collectif francilien contre le contrôle au faciès créé en 2010 après la parution d’une étude du CNRS qui montre « que les contrôles visent onze fois plus les jeunes, six fois plus les Noirs et huit fois plus les Arabes », comme le rappelle une porte-parole du collectif. L’objectif est de diffuser un numéro de téléphone, le 07.60.19.33.81. « Grâce aux témoignages, nous allons mener une action en justice pour faire reconnaître ces contrôles abusifs », explique une militante. Une vingtaine d’artistes ont déjà accepté. « Certains étaient réticents car ils ne voulaient pas donner une image de victime », rapporte le réalisateur Ladji Real pour qui « ce problème de société important reste méconnu du grand public ».
Le procédé n’est pas forcément du goût de Philippe Capon, secrétaire général de l’Unsa-Police : « Les abus arrivent mais ils sont très rares », assure le syndicaliste. Vous mettez 5 Noirs, 5 Blancs et 5 Maghrébins dans une cité le soir. S’il y a un contrôle, ils seront tous contrôlés! Il ne faut pas s’étonner de subir des contrôles si on traîne à n’importe quelle heure dans un endroit réputé pour le trafic de drogue », lance-t-il. Pour cet autre policier, « on intervient beaucoup plus dans les quartiers qu’avant. Il est normal que les jeunes aient l’impression de subir davantage de contrôles. Mais ces opérations sont encadrées. On n’intervient pas n’importe où, n’importe comment ».
* Le lundi et le jeudi à 18 heures sur le site Internet Stoplecontroleaufacies.fr.
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Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Une tonne de cannabis saisie en Méditerranée
Le Point.fr - Publié le 20/11/2011 à 16:57 - Modifié le 20/11/2011 à 17:11
Deux opérations ont été conduites par la marine et les douanes, dont l'interception d'un "go-fast".
Plus d'une tonne de résine de cannabis a été saisie et six personnes ont été interpellées cette semaine en Méditerranée au cours de deux opérations conduites par la marine et les douanes, a-t-on appris dimanche de sources concordantes. "Ces deux interceptions ont permis de réaliser une saisie totale de 35 ballots, ce qui représente plus d'une tonne de drogue", a indiqué la préfecture maritime de Méditerranée dans un communiqué. Une source judiciaire a précisé qu'il s'agissait de résine de cannabis.
La juridiction interrégionale spécialisée de Marseille est saisie du dossier. Une première interception d'un "go-fast" avec trois personnes à bord a eu lieu mercredi, une seconde embarcation avec aussi trois personnes à bord étant interceptée vendredi. Ces deux opérations portent le bilan des saisies depuis 2006 à environ 18 tonnes et 21 "go-fast" appréhendés, la préfecture estimant à plus de 35 tonnes la drogue rejetée à la mer
Le Point.fr - Publié le 20/11/2011 à 16:57 - Modifié le 20/11/2011 à 17:11
Deux opérations ont été conduites par la marine et les douanes, dont l'interception d'un "go-fast".
Plus d'une tonne de résine de cannabis a été saisie et six personnes ont été interpellées cette semaine en Méditerranée au cours de deux opérations conduites par la marine et les douanes, a-t-on appris dimanche de sources concordantes. "Ces deux interceptions ont permis de réaliser une saisie totale de 35 ballots, ce qui représente plus d'une tonne de drogue", a indiqué la préfecture maritime de Méditerranée dans un communiqué. Une source judiciaire a précisé qu'il s'agissait de résine de cannabis.
La juridiction interrégionale spécialisée de Marseille est saisie du dossier. Une première interception d'un "go-fast" avec trois personnes à bord a eu lieu mercredi, une seconde embarcation avec aussi trois personnes à bord étant interceptée vendredi. Ces deux opérations portent le bilan des saisies depuis 2006 à environ 18 tonnes et 21 "go-fast" appréhendés, la préfecture estimant à plus de 35 tonnes la drogue rejetée à la mer
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
Les suppositoires antitoux pour bébés seront retirés du marché
Après réévaluation du rapport bénéfice/risque des suppositoires antitoux pour bébés à base d'huiles essentielles, l'Afssaps émet un appel de contrindication pour les nourrissons de moins de 30 mois. Ces médicaments engendreraient des convulsions et de l'épilepsie, sans être véritablement efficaces pour cette population.
Parce qu’ils risquent de provoquer la survenue de convulsions, l’utilisation de tous les suppositoires contenant des dérivés terpéniques est désormais contrindiquée chez les enfants de moins de 30 mois. C’est aussi le cas passé cet âge, pour les enfants qui présentent « des antécédents de convulsions fébriles ou d’épilepsie », fait savoir l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), dans une lettre adressée aux professionnels de santé.
Derrière l’expression « dérivés terpéniques » se cachent de nombreux produits à base d’huiles essentielles et contenant des extraits d’eucalyptus ou du camphre. Les suppositoires en question étaient jusqu’alors, généralement indiqués comme traitement d’appoint des affections bronchiques aiguës bénignes ou dans les états congestifs de l’oropharynx.
Après les contrindications des sirops contre la toux pour les nourrissons de moins de 2 ans, l'Afssaps prend des mesures contre les suppositoires antitoux.
Après les contrindications des sirops contre la toux pour les nourrissons de moins de 2 ans, l'Afssaps prend des mesures contre les suppositoires antitoux. © DR
Deux mesures pour les suppositoires antitoux
« Ces produits ont été associés à des complications neurologiques (convulsions, somnolence et agitation) en particulier chez l’enfant », explique l’Afssaps. À l’initiative de la France, le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne du médicament (Ema) a réévalué la balance bénéfice/risque de ces médicaments. « L’analyse des données a souligné que leur efficacité n’a pas été clairement démontrée dans cette population ».
L’Afssaps a donc pris deux mesures qui seront effectives dès le 15 décembre 2011 :
les Résumés des caractéristiques des produits (RCP), les notices et l’étiquetage des spécialités commercialisées et contenant des dérivés terpéniques seront systématiquement révisés ;
tous les médicaments dont l’indication était limitée aux enfants de moins de 30 mois seront retirés du marché.
Soucieuse de diffuser davantage d’informations sur les manières de traiter la toux du nourrisson et du jeune enfant, l’Agence a mis au point un document très pratique destiné aux parents.
Futura science
Après réévaluation du rapport bénéfice/risque des suppositoires antitoux pour bébés à base d'huiles essentielles, l'Afssaps émet un appel de contrindication pour les nourrissons de moins de 30 mois. Ces médicaments engendreraient des convulsions et de l'épilepsie, sans être véritablement efficaces pour cette population.
Parce qu’ils risquent de provoquer la survenue de convulsions, l’utilisation de tous les suppositoires contenant des dérivés terpéniques est désormais contrindiquée chez les enfants de moins de 30 mois. C’est aussi le cas passé cet âge, pour les enfants qui présentent « des antécédents de convulsions fébriles ou d’épilepsie », fait savoir l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), dans une lettre adressée aux professionnels de santé.
Derrière l’expression « dérivés terpéniques » se cachent de nombreux produits à base d’huiles essentielles et contenant des extraits d’eucalyptus ou du camphre. Les suppositoires en question étaient jusqu’alors, généralement indiqués comme traitement d’appoint des affections bronchiques aiguës bénignes ou dans les états congestifs de l’oropharynx.
Après les contrindications des sirops contre la toux pour les nourrissons de moins de 2 ans, l'Afssaps prend des mesures contre les suppositoires antitoux.
Après les contrindications des sirops contre la toux pour les nourrissons de moins de 2 ans, l'Afssaps prend des mesures contre les suppositoires antitoux. © DR
Deux mesures pour les suppositoires antitoux
« Ces produits ont été associés à des complications neurologiques (convulsions, somnolence et agitation) en particulier chez l’enfant », explique l’Afssaps. À l’initiative de la France, le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne du médicament (Ema) a réévalué la balance bénéfice/risque de ces médicaments. « L’analyse des données a souligné que leur efficacité n’a pas été clairement démontrée dans cette population ».
L’Afssaps a donc pris deux mesures qui seront effectives dès le 15 décembre 2011 :
les Résumés des caractéristiques des produits (RCP), les notices et l’étiquetage des spécialités commercialisées et contenant des dérivés terpéniques seront systématiquement révisés ;
tous les médicaments dont l’indication était limitée aux enfants de moins de 30 mois seront retirés du marché.
Soucieuse de diffuser davantage d’informations sur les manières de traiter la toux du nourrisson et du jeune enfant, l’Agence a mis au point un document très pratique destiné aux parents.
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