Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Fiches culture générale 2012
DOPAGE
Définition :
Absorber des substances ou d’utiliser des actes médicaux afin d’augmenter ses capacités physiques ou mentales.
Effets recherché et substance utilisées :
Modification de la morphologie : hormones de croissance.
Augmenter la force et la puissance musculaire : stéroïde.
Grossesse
Augmenter l’oxygène : Salbutanol.
Accroitre la concentration : amphétamine, alcool.
Se dépasser, supporter la fatigue : euphorisant, antalgique, insuline.
Csq :
Pb cardiaque.
Risque de décès avant 45 ans.
Dépendance
Effets secondaires psycho.
Effets indésirables.
Effets indésirables.
Phénomènes d’auto-immunisation.
CHIFFRES :
3 à 5% des enfants sportifs utilisent des produits dopants.
6% des amateurs de club de fitness avouent utiliser régulièrement des produits dopants.
Aux USA, à 11 ans, 11% des garçons prennent régulièrement des stéroïdes.
2010 : 50 sportifs contrôlés positifs.
LOIS :
23 mars 1999 :
o Protéger la santé des sportifs grâce à une prévention et une surveillance, médicale renforcées.
o Renforcer les sanctions pénales à l’encontre des trafiquants et pourvoyeurs.
o Sanctions sportives aux sportifs dopés.
5 avril 2006 : ethnique de sport en poursuivant la tricherie, assure et protège l’intégrité physique et la santé des sportifs.
Lutte :
1967 : contrôle
Code mondiale anti-dopage → amende.
1998 : l’affaire Festina. Loi anti dopage plus contraignant.
Elimination du sportif.
Annulation du résultat.
Janvier 2008 : peine de prison.
Définition :
Absorber des substances ou d’utiliser des actes médicaux afin d’augmenter ses capacités physiques ou mentales.
Effets recherché et substance utilisées :
Modification de la morphologie : hormones de croissance.
Augmenter la force et la puissance musculaire : stéroïde.
Grossesse
Augmenter l’oxygène : Salbutanol.
Accroitre la concentration : amphétamine, alcool.
Se dépasser, supporter la fatigue : euphorisant, antalgique, insuline.
Csq :
Pb cardiaque.
Risque de décès avant 45 ans.
Dépendance
Effets secondaires psycho.
Effets indésirables.
Effets indésirables.
Phénomènes d’auto-immunisation.
CHIFFRES :
3 à 5% des enfants sportifs utilisent des produits dopants.
6% des amateurs de club de fitness avouent utiliser régulièrement des produits dopants.
Aux USA, à 11 ans, 11% des garçons prennent régulièrement des stéroïdes.
2010 : 50 sportifs contrôlés positifs.
LOIS :
23 mars 1999 :
o Protéger la santé des sportifs grâce à une prévention et une surveillance, médicale renforcées.
o Renforcer les sanctions pénales à l’encontre des trafiquants et pourvoyeurs.
o Sanctions sportives aux sportifs dopés.
5 avril 2006 : ethnique de sport en poursuivant la tricherie, assure et protège l’intégrité physique et la santé des sportifs.
Lutte :
1967 : contrôle
Code mondiale anti-dopage → amende.
1998 : l’affaire Festina. Loi anti dopage plus contraignant.
Elimination du sportif.
Annulation du résultat.
Janvier 2008 : peine de prison.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Fiches culture générale 2012
DISCRIMINATION
21 mars : journée nationale de lutte contre la discrimination.
Définition :
Distinction ou différence illégitime ou injustifié contre une personne.
Causes :
Race
Personne handicapé
Sexe
Grossesse
Age
Activité syndicale
Csq :
Scolaire : dévalorisation du diplôme+
Racisme
Augmentation de la violence.
Différence de salaire entre employé.
Inégalité d’accès à la santé.
Inégalité d’accès au logement.
CHIFFRES :
5 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté en France.
5 millions de personnes sont en précarité professionnelle.
12 à 13 millions de personnes perçoivent les minimas sociaux.
LOI :
Nov 2011 : 2 formes de discrimination : « race » et « travail ».
Discrimination directe : personne traitée moins favorablement qu’une autre dans une situation comparable.
Discrimination indirecte : critère neutre pouvant entrainer un désavantage pour une personne d’une race ou ethnie différente.
Discrimination multiple et illégale :
o Origine
o Sexe
o Mœurs
o Situation familiale
o Opinions politiques
o Syndicat
o Religieux
SOLUTIONS :
Positive : favorise les personnes appartenant à une catégorie dont les membres subissaient une discrimination systématique.
Scolaire : quota dans les universités, ZEP (Zone Educative Prioritaire).
Emploi : parité H/F.
HALDE : Haute Autorité de la Lutte contre les Discriminations pour l’Egalité.
Zone Franche (zone urbaine sensible).
21 mars : journée nationale de lutte contre la discrimination.
Définition :
Distinction ou différence illégitime ou injustifié contre une personne.
Causes :
Race
Personne handicapé
Sexe
Grossesse
Age
Activité syndicale
Csq :
Scolaire : dévalorisation du diplôme+
Racisme
Augmentation de la violence.
Différence de salaire entre employé.
Inégalité d’accès à la santé.
Inégalité d’accès au logement.
CHIFFRES :
5 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté en France.
5 millions de personnes sont en précarité professionnelle.
12 à 13 millions de personnes perçoivent les minimas sociaux.
LOI :
Nov 2011 : 2 formes de discrimination : « race » et « travail ».
Discrimination directe : personne traitée moins favorablement qu’une autre dans une situation comparable.
Discrimination indirecte : critère neutre pouvant entrainer un désavantage pour une personne d’une race ou ethnie différente.
Discrimination multiple et illégale :
o Origine
o Sexe
o Mœurs
o Situation familiale
o Opinions politiques
o Syndicat
o Religieux
SOLUTIONS :
Positive : favorise les personnes appartenant à une catégorie dont les membres subissaient une discrimination systématique.
Scolaire : quota dans les universités, ZEP (Zone Educative Prioritaire).
Emploi : parité H/F.
HALDE : Haute Autorité de la Lutte contre les Discriminations pour l’Egalité.
Zone Franche (zone urbaine sensible).
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Re: Fiches culture générale 2012
COUCOU tout le monde !!!! Je vous rejoins ! en fait si je comprend bien on fait des fiches sur les thèmes cités dans le premier post c est ça ???? Merci de répondre
Bon courage et à nous le concours en 2012 


Re: Fiches culture générale 2012
je suis ok avec toi car j'ais du mal à suivre le rythme du forum en ce momentMemo a écrit :Salut tout le monde!!
Je voulais vous proposer de mettre les fiches en pause le temps que tout le monde rattrape son retard...
On fera le reste plus tard. Parce que c'est dommage qu'on soit que deux trois à poster nos fiches...
Dites moi ce que vous en pensez!!
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Actualités concours 2012
Éthylotests obligatoires pour les discothèques
La mesure entre en vigueur le 1er décembre. 31 % des accidents mortels sont aujourd'hui dus à l'alcool.
«Soufflez vous saurez !» Cette petite phrase va figurer dans 5500 établissements en France. À compter du 1er décembre en effet, tous les débits de boissons autorisés à fermer entre 2 heures et 7 heures du matin vont devoir s'équiper de ce dispositif permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique, avec l'obligation de le faire savoir par le biais de ce slogan. Discothèques, bars à ambiance musicale, cabarets ou encore bars d'hôtels sont concernés.
Selon les nouvelles dispositions publiées dans un arrêté d'août dernier, les responsables des établissements auront le choix entre l'éthylotest chimique ou l'éthylotest électronique fixe ou portable. Quel que soit le modèle retenu, ils devront s'assurer que le contrôle pourra s'effectuer dans un délai inférieur à quinze minutes. Ce qui correspond à un éthylotest électronique pour 300 personnes, selon le texte. Pour les éthylotests chimiques, l'arrêté indique que «leur nombre doit être au moins égal au quart de la capacité d'accueil de l'établissement et ne peut être inférieur à 50».
Par ailleurs, les gérants pourront décider de rendre payant ce service. «Un moyen de responsabiliser les usagers des établissements et éviter que cela vire au jeu entre clients», dit-on au Synhorcat (Syndicat national des hôteliers restaurateurs cafetiers traiteurs).
Depuis plusieurs semaines déjà, et pour être prêts le jour J, les établissements ont fait partir les commandes de ces appareils entièrement à leur charge. Pour réduire les coûts, le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL) a notamment négocié pour ses adhérents une réduction de 20 % sur les tarifs.
Du côté des fournisseurs, on se frotte bien sûr les mains. Cette nouvelle réglementation ouvre la voie à de nouveaux marchés. «En France, 12 produits, représentés par six à huit marques, ont été certifiés par le Laboratoire national de métrologie et d'essais», indique Daniel Orgeval, président de l'association de promotion pour le dépistage d'alcoolémie et des drogues. Parmi eux : Dräger, Ethylo, Contralco ou encore Pelimex. «C'est certain, nos commandes sont en hausse», indique Bertrand Jermann, président d'Ethylo, qui ajoute : «Cette réglementation crée une dynamique : des établissements non concernés par cet arrêté veulent aussi recourir à ces dispositifs de dépistage d'alcool.» Des restaurants, des entreprises ou des mairies, pour leurs salles des fêtes, investissent en effet dans les éthylotests.
Réserves sur leur efficacité
Pour l'heure, ce n'est pas toujours de gaieté de cœur que les discothèques et autres lieux de nuit se soumettent à cette nouvelle réglementation. Patrick Malvaës, responsable du Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs, émet pour sa part de grandes réserves sur leur efficacité. Au Syndicat national des hôteliers restaurateurs cafetiers traiteurs, où l'on approuve ces règles, on rappelle toutefois que plus de 80 % de l'alcool vendu en France l'est dans des lieux autres que ces établissements de nuit. «La solution serait de rendre obligatoire un éthylotest dans chaque voiture», ajoute-t-on. Dernièrement, le ministre de l'Intérieur s'est d'ailleurs déclaré favorable à une telle mesure.
Du côté des responsables de la Sécurité routière, on espère que ces équipements créeront de nouvelles habitudes d'auto-contrôle. Car les enjeux sont réels : à ce jour, 31 % des accidents mortels sont imputables à l'alcool.
Le figaro
La mesure entre en vigueur le 1er décembre. 31 % des accidents mortels sont aujourd'hui dus à l'alcool.
«Soufflez vous saurez !» Cette petite phrase va figurer dans 5500 établissements en France. À compter du 1er décembre en effet, tous les débits de boissons autorisés à fermer entre 2 heures et 7 heures du matin vont devoir s'équiper de ce dispositif permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique, avec l'obligation de le faire savoir par le biais de ce slogan. Discothèques, bars à ambiance musicale, cabarets ou encore bars d'hôtels sont concernés.
Selon les nouvelles dispositions publiées dans un arrêté d'août dernier, les responsables des établissements auront le choix entre l'éthylotest chimique ou l'éthylotest électronique fixe ou portable. Quel que soit le modèle retenu, ils devront s'assurer que le contrôle pourra s'effectuer dans un délai inférieur à quinze minutes. Ce qui correspond à un éthylotest électronique pour 300 personnes, selon le texte. Pour les éthylotests chimiques, l'arrêté indique que «leur nombre doit être au moins égal au quart de la capacité d'accueil de l'établissement et ne peut être inférieur à 50».
Par ailleurs, les gérants pourront décider de rendre payant ce service. «Un moyen de responsabiliser les usagers des établissements et éviter que cela vire au jeu entre clients», dit-on au Synhorcat (Syndicat national des hôteliers restaurateurs cafetiers traiteurs).
Depuis plusieurs semaines déjà, et pour être prêts le jour J, les établissements ont fait partir les commandes de ces appareils entièrement à leur charge. Pour réduire les coûts, le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL) a notamment négocié pour ses adhérents une réduction de 20 % sur les tarifs.
Du côté des fournisseurs, on se frotte bien sûr les mains. Cette nouvelle réglementation ouvre la voie à de nouveaux marchés. «En France, 12 produits, représentés par six à huit marques, ont été certifiés par le Laboratoire national de métrologie et d'essais», indique Daniel Orgeval, président de l'association de promotion pour le dépistage d'alcoolémie et des drogues. Parmi eux : Dräger, Ethylo, Contralco ou encore Pelimex. «C'est certain, nos commandes sont en hausse», indique Bertrand Jermann, président d'Ethylo, qui ajoute : «Cette réglementation crée une dynamique : des établissements non concernés par cet arrêté veulent aussi recourir à ces dispositifs de dépistage d'alcool.» Des restaurants, des entreprises ou des mairies, pour leurs salles des fêtes, investissent en effet dans les éthylotests.
Réserves sur leur efficacité
Pour l'heure, ce n'est pas toujours de gaieté de cœur que les discothèques et autres lieux de nuit se soumettent à cette nouvelle réglementation. Patrick Malvaës, responsable du Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs, émet pour sa part de grandes réserves sur leur efficacité. Au Syndicat national des hôteliers restaurateurs cafetiers traiteurs, où l'on approuve ces règles, on rappelle toutefois que plus de 80 % de l'alcool vendu en France l'est dans des lieux autres que ces établissements de nuit. «La solution serait de rendre obligatoire un éthylotest dans chaque voiture», ajoute-t-on. Dernièrement, le ministre de l'Intérieur s'est d'ailleurs déclaré favorable à une telle mesure.
Du côté des responsables de la Sécurité routière, on espère que ces équipements créeront de nouvelles habitudes d'auto-contrôle. Car les enjeux sont réels : à ce jour, 31 % des accidents mortels sont imputables à l'alcool.
Le figaro
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ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
Hépatites B et C : attention aux pédicures et manucures
Par Aude Rambaud - le 28/11/2011
Un rapport pointe un risque faible de transmission de ces virus dans certains instituts.
Ressortir de chez son manucure avec l'hépatite B ou C ? Il ne s'agit pas d'un mauvais scénario de série B mais bien d'une possibilité rappelée lors du dernier congrès du Collège américain de gastroentérologie, il y a deux semaines. Le département de la Santé de l'État de Virginie a mené son enquête et effectué une méta-analyse montrant que des cas d'hépatites B et C sont effectivement associés à la fréquentation d'instituts de manucure, de pédicure ou encore de barbiers. Ces résultats sont à prendre avec prudence, compte tenu de l'hétérogénéité des personnes suivies et des protocoles d'études mais «le lien entre les deux ne peut être exclu si le matériel à usage multiple n'est pas désinfecté selon des normes prévues à cet effet», reconnaît le Dr David Johnson, évaluateur du rapport à l'école de médecine d'Eastern Virginie.
Cette information, peu connue du grand public, n'est en fait pas nouvelle. Une étude française menée en 2001 établissait déjà ce lien de cause à effet. Les auteurs avaient recherché les risques de transmission du virus de l'hépatite C chez des personnes non transfusées et non toxicomanes. «Près de 70% des cas sont liés à une transfusion ou à l'usage de drogue en intraveineuse, explique le Pr Patrice Cacoub, service de médecine interne de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et coauteur de l'étude. Cela signifie que, dans 30 % des cas, nous ne connaissons pas le mode de transmission», précise-t-il. Au terme de l'étude, les auteurs avaient identifié quinze facteurs de risque, parmi lesquels figurent la fréquentation des cabinets d'acupuncture, les soins chez l'esthéticienne, la manucurie ou encore la pédicurie.
S'il est difficile de chiffrer les cas associés à ces voies de transmission, la déclaration obligatoire de l'hépatite B facilite le suivi épidémiologique de cette maladie. L'Institut national de veille sanitaire n'a pas recensé à ce jour de cas liés à des soins esthétiques mais a par exemple repéré des contaminations dues à des actes d'acupuncture pratiqués avec des aiguilles à usage unique mais réutilisées. Une infection aiguë avait été signalée dans le Languedoc-Roussillon en 2008 chez une adolescente ayant eu des séances d'acupuncture. Les autorités de santé avaient finalement identifié 4 cas supplémentaires impliquant la même souche virale chez des personnes ayant fréquenté le même cabinet.
Matériel à usage unique Pour Michèle Lamoureux, présidente de la Confédération nationale artisanale des instituts de beauté, le risque infectieux n'existe pas dès lors que les personnes se rendent dans des instituts de beauté tenus par des esthéticiennes formées. «Les professionnelles diplômées ont consacré deux années d'études incluant des cours de biologie. Elles connaissent les risques de transmission des maladies et respectent scrupuleusement les consignes d'hygiène apprises pendant leur formation pour les prévenir, assure-t-elle. Tout le matériel réutilisable est systématiquement désinfecté entre chaque client, que ce soit les brosses, les spatules, les coupelles, les limes, etc.» Pour elle, le risque viendrait plutôt des petites boutiques, le plus souvent tenues par des Asiatiques sans formation qui affichent centres de beauté, de relaxation ou encore ongleries.
Des données datant de 2003 laissent pourtant penser que certains professionnels sont moins scrupuleux que d'autres. L'étude de 30 cabinets de pédicurie de la région Centre par la Direction régionale des affaires sanitaires et sociales montrait de nombreuses insuffisances en matière d'hygiène. Les pédicures-podologues sont des paramédicaux et doivent respecter des mesures définies par une circulaire de la Direction générale de la santé. Cela pourrait être un gage de sécurité, et pourtant… Les résultats révélaient dans certains cas l'absence de nettoyage préalable à la désinfection, l'utilisation de détergents à la place de désinfectants, la réutilisation de lames de gouge ou de bistouri mal stérilisés alors qu'il existe du matériel à usage unique.
Plusieurs pratiques esthétiques sont contraintes par la loi en matière d'hygiène et de salubrité. C'est le cas des salons de coiffure, des centres de tatouage ou de perçage, du maquillage permanent ou encore des UV mais rien pour la beauté des pieds et des mains.
Les mesures d'hygiène devraient théoriquement être identiques à celles appliquées pour les dispositifs médicaux en contact avec des muqueuses ou la peau lésée superficiellement. C'est-à-dire subir lavage et traitement bactéricide, fongicide ou encore virucide. Michèle Lamoureux assure que c'est le cas. Pour sa part, le Dr David Johnson préfère conseiller aux utilisateurs de ces centres de venir avec leur propre matériel, coupes ongles, rasoirs, limes, pour plus de sécurité !
Le figaro
Par Aude Rambaud - le 28/11/2011
Un rapport pointe un risque faible de transmission de ces virus dans certains instituts.
Ressortir de chez son manucure avec l'hépatite B ou C ? Il ne s'agit pas d'un mauvais scénario de série B mais bien d'une possibilité rappelée lors du dernier congrès du Collège américain de gastroentérologie, il y a deux semaines. Le département de la Santé de l'État de Virginie a mené son enquête et effectué une méta-analyse montrant que des cas d'hépatites B et C sont effectivement associés à la fréquentation d'instituts de manucure, de pédicure ou encore de barbiers. Ces résultats sont à prendre avec prudence, compte tenu de l'hétérogénéité des personnes suivies et des protocoles d'études mais «le lien entre les deux ne peut être exclu si le matériel à usage multiple n'est pas désinfecté selon des normes prévues à cet effet», reconnaît le Dr David Johnson, évaluateur du rapport à l'école de médecine d'Eastern Virginie.
Cette information, peu connue du grand public, n'est en fait pas nouvelle. Une étude française menée en 2001 établissait déjà ce lien de cause à effet. Les auteurs avaient recherché les risques de transmission du virus de l'hépatite C chez des personnes non transfusées et non toxicomanes. «Près de 70% des cas sont liés à une transfusion ou à l'usage de drogue en intraveineuse, explique le Pr Patrice Cacoub, service de médecine interne de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et coauteur de l'étude. Cela signifie que, dans 30 % des cas, nous ne connaissons pas le mode de transmission», précise-t-il. Au terme de l'étude, les auteurs avaient identifié quinze facteurs de risque, parmi lesquels figurent la fréquentation des cabinets d'acupuncture, les soins chez l'esthéticienne, la manucurie ou encore la pédicurie.
S'il est difficile de chiffrer les cas associés à ces voies de transmission, la déclaration obligatoire de l'hépatite B facilite le suivi épidémiologique de cette maladie. L'Institut national de veille sanitaire n'a pas recensé à ce jour de cas liés à des soins esthétiques mais a par exemple repéré des contaminations dues à des actes d'acupuncture pratiqués avec des aiguilles à usage unique mais réutilisées. Une infection aiguë avait été signalée dans le Languedoc-Roussillon en 2008 chez une adolescente ayant eu des séances d'acupuncture. Les autorités de santé avaient finalement identifié 4 cas supplémentaires impliquant la même souche virale chez des personnes ayant fréquenté le même cabinet.
Matériel à usage unique Pour Michèle Lamoureux, présidente de la Confédération nationale artisanale des instituts de beauté, le risque infectieux n'existe pas dès lors que les personnes se rendent dans des instituts de beauté tenus par des esthéticiennes formées. «Les professionnelles diplômées ont consacré deux années d'études incluant des cours de biologie. Elles connaissent les risques de transmission des maladies et respectent scrupuleusement les consignes d'hygiène apprises pendant leur formation pour les prévenir, assure-t-elle. Tout le matériel réutilisable est systématiquement désinfecté entre chaque client, que ce soit les brosses, les spatules, les coupelles, les limes, etc.» Pour elle, le risque viendrait plutôt des petites boutiques, le plus souvent tenues par des Asiatiques sans formation qui affichent centres de beauté, de relaxation ou encore ongleries.
Des données datant de 2003 laissent pourtant penser que certains professionnels sont moins scrupuleux que d'autres. L'étude de 30 cabinets de pédicurie de la région Centre par la Direction régionale des affaires sanitaires et sociales montrait de nombreuses insuffisances en matière d'hygiène. Les pédicures-podologues sont des paramédicaux et doivent respecter des mesures définies par une circulaire de la Direction générale de la santé. Cela pourrait être un gage de sécurité, et pourtant… Les résultats révélaient dans certains cas l'absence de nettoyage préalable à la désinfection, l'utilisation de détergents à la place de désinfectants, la réutilisation de lames de gouge ou de bistouri mal stérilisés alors qu'il existe du matériel à usage unique.
Plusieurs pratiques esthétiques sont contraintes par la loi en matière d'hygiène et de salubrité. C'est le cas des salons de coiffure, des centres de tatouage ou de perçage, du maquillage permanent ou encore des UV mais rien pour la beauté des pieds et des mains.
Les mesures d'hygiène devraient théoriquement être identiques à celles appliquées pour les dispositifs médicaux en contact avec des muqueuses ou la peau lésée superficiellement. C'est-à-dire subir lavage et traitement bactéricide, fongicide ou encore virucide. Michèle Lamoureux assure que c'est le cas. Pour sa part, le Dr David Johnson préfère conseiller aux utilisateurs de ces centres de venir avec leur propre matériel, coupes ongles, rasoirs, limes, pour plus de sécurité !
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Re: Actualités concours 2012
Les incivilités envers les professeurs sont en hausse
Les incivilités et les cas de petites violences, les insultes se multiplient . Parfois, les parents eux-mêmes sont en cause.
Le harcèlement envers les personnels d'éducation est en hausse dans les établissements scolaires avec 6,6% des dossiers traités contre 5,7% en 2009-2010, selon la Fédération autonome de solidarité qui assure la protection juridique de la moitié des enseignants français et possède donc une bonne vision des conflits à l'école. Les cas de violences subies impliquent des enseignants dans 34% des cas, leur hiérarchie dans 29% des cas.
La majorité de ces dossiers, qui impliquent souvent des parents d'élèves, concerne des incivilités et des cas de petites violences, des propos malveillants, insultants, menaçants. Sont inclus également des actions portant atteinte à la réputation de l'enseignant: lettre anonyme de dénonciation adressée à la hiérarchie, tracts diffamants distribués aux parents d'élèves. Il convient toutefois de rapporter ce chiffre aux 460.000 adhérents de la FAS soit 0,6% de cette population concernée.
Les conflits entre personnels ont également augmenté. Selon Daniel Husson, l'un des responsables de la FAS, «certains chefs d'établissement développent une culture managériale qui n'est pas toujours bien vécue par les enseignants.»
Les préjudices informatiques, en forte hausse dans le passé, se sont stabilisés. Cependant après les mails outrageants ou menaçants, les contrevenants utilisent désormais des sites internet complets mettant en cause les professeurs, mais aussi des échanges sur les réseaux sociaux.
D'après les statistiques, les élèves sont impliqués dans 65% des cas d'agression physique légère, 64% des cas de préjudice informatique et 50% dans les dégradations de biens.
Le figaro
Les incivilités et les cas de petites violences, les insultes se multiplient . Parfois, les parents eux-mêmes sont en cause.
Le harcèlement envers les personnels d'éducation est en hausse dans les établissements scolaires avec 6,6% des dossiers traités contre 5,7% en 2009-2010, selon la Fédération autonome de solidarité qui assure la protection juridique de la moitié des enseignants français et possède donc une bonne vision des conflits à l'école. Les cas de violences subies impliquent des enseignants dans 34% des cas, leur hiérarchie dans 29% des cas.
La majorité de ces dossiers, qui impliquent souvent des parents d'élèves, concerne des incivilités et des cas de petites violences, des propos malveillants, insultants, menaçants. Sont inclus également des actions portant atteinte à la réputation de l'enseignant: lettre anonyme de dénonciation adressée à la hiérarchie, tracts diffamants distribués aux parents d'élèves. Il convient toutefois de rapporter ce chiffre aux 460.000 adhérents de la FAS soit 0,6% de cette population concernée.
Les conflits entre personnels ont également augmenté. Selon Daniel Husson, l'un des responsables de la FAS, «certains chefs d'établissement développent une culture managériale qui n'est pas toujours bien vécue par les enseignants.»
Les préjudices informatiques, en forte hausse dans le passé, se sont stabilisés. Cependant après les mails outrageants ou menaçants, les contrevenants utilisent désormais des sites internet complets mettant en cause les professeurs, mais aussi des échanges sur les réseaux sociaux.
D'après les statistiques, les élèves sont impliqués dans 65% des cas d'agression physique légère, 64% des cas de préjudice informatique et 50% dans les dégradations de biens.
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Re: Actualités concours 2012
Restos du cœur : Bientôt amputés d'un quart de leurs revenus ?
Les Restos du cœur ouvrent leur 27e campagne, mais une épée de Damoclès plane au-dessus de leur tête. D'ici deux ans, l'aide alimentaire européenne va venir à manquer considérablement alors que celle-ci représente 23 % de son budget et que l'association ne cesse d'accueillir du monde.
Faire plus avec moins. Les Restos du cœur feraient de plus en plus face à cette équation au fil des années. Depuis sa création, il y a 27 ans, l'association compterait douze fois plus de bénéficiaires, selon sa présidence. Au cours des trois dernières années, 25% de personnes en plus ont encore été accueillies. Mais alors que s'ouvre cette nouvelle campagne, les Restos du cœur n'auraient plus que deux ans avant une échéance de taille : la nette diminution du Programme européen d’aide aux plus démunis (PEAD).
23% de son budget
Si l'association fonctionne majoritairement avec les dons de particuliers (44 % de son budget), cette aide européenne reste considérable pour elle. En 2010, la France, par le biais du PEAD, a ainsi bénéficié d’un budget de 78,1 millions d’euros. Ce qui représente pour les Restos du Cœur chaque année 2 tonnes de lait concentré ou encore 1,3 tonne de macaroni, et 553.000 kg de crème dessert…! En tout, ce sont plus de 31.000 tonnes de denrées sur les 112.000 palettes de denrées livrées aux centres de distributions des Restos, peut-on lire sur le site de l'association.
Ce programme représente une enveloppe de 500 millions d’euros dans l'UE, il bénéficie à 18 millions d’européens. En France, il représente 23% du budget des Restos soit 18.5 millions d’euros, et presque 50% du budget des autres associations caritatives bénéficiaires du programme, telles que le Secours populaire, la Croix rouge ou la Banque alimentaire.
"Deux ans pour convaincre l’Allemagne"
Créé en 1987, le PEAD jusque là reversait la moitié des stocks européens de denrées alimentaires aux plus démunis. Ces stocks sont conservés dans le but de jouer sur la régulation des prix européens. Pendant des années, le coût de stockage étant important, supérieur parfois au coût de la matière première, le don de ces denrées aux associations caritatives européennes ne posait donc pas de problème. Sauf qu'aujourd'hui, en temps de crise, une baisse importante des stocks a amené, ces dernières années, la Commission européenne à combler les manques en achetant directement sur le marché.
En avril dernier, alors que la commission avait proposé aux 27 pays membres de maintenir le système actuel en l'état, sept Etats se sont déclarés favorables à sa suppression. Pour l'Allemagne ou encore l'Angleterre, ce programme relève, en effet, des politiques sociales de chaque pays et non des politiques agricoles qui rentrent dans le cadre de la PAC (politique agricole commune) alors en pleine réforme et en pleines discussions. La justice européenne avait donc annulé, dans la foulée, une partie du règlement relatif au financement du PEAD, jugeant que l'achat direct de produits sur les marchés devait rester « l'exception », limitant donc l’action du PEAD à l’écoulement des stocks disponibles.
« On va bénéficier de ce PEAD pendant encore deux ans. Avant cette échéance nous allons entreprendre une mission de sensibilisation avec d’autres associations allemandes pour convaincre l’Allemagne de la nécessité de ce plan », a ainsi déclaré Olivier Berthe, président des Restos du cœur
France soir
Les Restos du cœur ouvrent leur 27e campagne, mais une épée de Damoclès plane au-dessus de leur tête. D'ici deux ans, l'aide alimentaire européenne va venir à manquer considérablement alors que celle-ci représente 23 % de son budget et que l'association ne cesse d'accueillir du monde.
Faire plus avec moins. Les Restos du cœur feraient de plus en plus face à cette équation au fil des années. Depuis sa création, il y a 27 ans, l'association compterait douze fois plus de bénéficiaires, selon sa présidence. Au cours des trois dernières années, 25% de personnes en plus ont encore été accueillies. Mais alors que s'ouvre cette nouvelle campagne, les Restos du cœur n'auraient plus que deux ans avant une échéance de taille : la nette diminution du Programme européen d’aide aux plus démunis (PEAD).
23% de son budget
Si l'association fonctionne majoritairement avec les dons de particuliers (44 % de son budget), cette aide européenne reste considérable pour elle. En 2010, la France, par le biais du PEAD, a ainsi bénéficié d’un budget de 78,1 millions d’euros. Ce qui représente pour les Restos du Cœur chaque année 2 tonnes de lait concentré ou encore 1,3 tonne de macaroni, et 553.000 kg de crème dessert…! En tout, ce sont plus de 31.000 tonnes de denrées sur les 112.000 palettes de denrées livrées aux centres de distributions des Restos, peut-on lire sur le site de l'association.
Ce programme représente une enveloppe de 500 millions d’euros dans l'UE, il bénéficie à 18 millions d’européens. En France, il représente 23% du budget des Restos soit 18.5 millions d’euros, et presque 50% du budget des autres associations caritatives bénéficiaires du programme, telles que le Secours populaire, la Croix rouge ou la Banque alimentaire.
"Deux ans pour convaincre l’Allemagne"
Créé en 1987, le PEAD jusque là reversait la moitié des stocks européens de denrées alimentaires aux plus démunis. Ces stocks sont conservés dans le but de jouer sur la régulation des prix européens. Pendant des années, le coût de stockage étant important, supérieur parfois au coût de la matière première, le don de ces denrées aux associations caritatives européennes ne posait donc pas de problème. Sauf qu'aujourd'hui, en temps de crise, une baisse importante des stocks a amené, ces dernières années, la Commission européenne à combler les manques en achetant directement sur le marché.
En avril dernier, alors que la commission avait proposé aux 27 pays membres de maintenir le système actuel en l'état, sept Etats se sont déclarés favorables à sa suppression. Pour l'Allemagne ou encore l'Angleterre, ce programme relève, en effet, des politiques sociales de chaque pays et non des politiques agricoles qui rentrent dans le cadre de la PAC (politique agricole commune) alors en pleine réforme et en pleines discussions. La justice européenne avait donc annulé, dans la foulée, une partie du règlement relatif au financement du PEAD, jugeant que l'achat direct de produits sur les marchés devait rester « l'exception », limitant donc l’action du PEAD à l’écoulement des stocks disponibles.
« On va bénéficier de ce PEAD pendant encore deux ans. Avant cette échéance nous allons entreprendre une mission de sensibilisation avec d’autres associations allemandes pour convaincre l’Allemagne de la nécessité de ce plan », a ainsi déclaré Olivier Berthe, président des Restos du cœur
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Re: Actualités concours 2012
Sida : Les idées reçues persistent
Une étude sociologique menée France en 2010 et révélée ce lundi dévoile des statistiques étonnantes sur le virus de sida. Les premiers résultats concernant l'Ile-de-France montrent que les clichés ont la peau dure.
A quelques jours de la journée mondiale de la lutte contre le sida, jeudi 1er décembre, une étude de grande ampleur réalisée en 2010 auprès de 25.000 personnes sur toute la France dévoile ses premiers résultats pour la région parisienne – les résultats nationaux seront connus début 2012. Cette enquête sociologique « sur les connaissances, attitudes, croyances et comportements face au VIH » a été conduite par l'Observatoire régional de santé. Ainsi, 27 % des Franciliens craignent « beaucoup ou pas mal le sida », loin devant le cancer ou les accidents de la route. Un chiffre en forte baisse depuis 1994, qui s'élevait à l'époque à 40 %.
« Le sida semble moins craint en tant que maladie car il est perçu comme moins mortel et davantage comme maladie chronique », déclare Nathalie Beltzer qui a mené l'enquête entre janvier et juillet 2010 auprès de 2.781 personnes d'Ile-de-France. « Les conséquences de la maladie sont moins craintes, mais cela n'empêche pas les jeunes de s'interroger plus fréquemment sur le fait d'avoir été ou non contaminés », affirme-t-elle.
Clichés
Aujourd'hui, 99% des personnes interrogées savent que le virus du sida peut se transmettre « lors de rapports sexuels sans préservatif » ou « lors d'une piqûre de drogue avec une seringue déjà utilisée ». Les clichés ont la vie longue puisque 21% continuent de penser que le virus peut se transmettre par une piqûre de moustique, 13% dans les toilettes publiques et 6 % en buvant dans le verre d'une personne porteuse du virus. Des taux relativement stables par rapport à l'enquête de 2004.
On peut donc se demander ce que savent aujourd'hui les Franciliens des modes de transmission de ce virus. Si l'utilisation du préservatif est devenue un acte banal pour les trois quarts des habitants de la région parisienne – en nette hausse depuis 1994 –, il n'en reste pas moins que les jeunes âgés de 18 à 30 ans et vivant dans cette région sont les moins bien informés sur ce point et restent donc encore trop peu nombreux à se protéger.
En 2011, 72,4% des Franciliens ont déjà fait au moins un test de dépistage contre 59,7% en 2004. Ce sont eux qui feraient le plus de test en France
France soir
Une étude sociologique menée France en 2010 et révélée ce lundi dévoile des statistiques étonnantes sur le virus de sida. Les premiers résultats concernant l'Ile-de-France montrent que les clichés ont la peau dure.
A quelques jours de la journée mondiale de la lutte contre le sida, jeudi 1er décembre, une étude de grande ampleur réalisée en 2010 auprès de 25.000 personnes sur toute la France dévoile ses premiers résultats pour la région parisienne – les résultats nationaux seront connus début 2012. Cette enquête sociologique « sur les connaissances, attitudes, croyances et comportements face au VIH » a été conduite par l'Observatoire régional de santé. Ainsi, 27 % des Franciliens craignent « beaucoup ou pas mal le sida », loin devant le cancer ou les accidents de la route. Un chiffre en forte baisse depuis 1994, qui s'élevait à l'époque à 40 %.
« Le sida semble moins craint en tant que maladie car il est perçu comme moins mortel et davantage comme maladie chronique », déclare Nathalie Beltzer qui a mené l'enquête entre janvier et juillet 2010 auprès de 2.781 personnes d'Ile-de-France. « Les conséquences de la maladie sont moins craintes, mais cela n'empêche pas les jeunes de s'interroger plus fréquemment sur le fait d'avoir été ou non contaminés », affirme-t-elle.
Clichés
Aujourd'hui, 99% des personnes interrogées savent que le virus du sida peut se transmettre « lors de rapports sexuels sans préservatif » ou « lors d'une piqûre de drogue avec une seringue déjà utilisée ». Les clichés ont la vie longue puisque 21% continuent de penser que le virus peut se transmettre par une piqûre de moustique, 13% dans les toilettes publiques et 6 % en buvant dans le verre d'une personne porteuse du virus. Des taux relativement stables par rapport à l'enquête de 2004.
On peut donc se demander ce que savent aujourd'hui les Franciliens des modes de transmission de ce virus. Si l'utilisation du préservatif est devenue un acte banal pour les trois quarts des habitants de la région parisienne – en nette hausse depuis 1994 –, il n'en reste pas moins que les jeunes âgés de 18 à 30 ans et vivant dans cette région sont les moins bien informés sur ce point et restent donc encore trop peu nombreux à se protéger.
En 2011, 72,4% des Franciliens ont déjà fait au moins un test de dépistage contre 59,7% en 2004. Ce sont eux qui feraient le plus de test en France
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Re: Actualités concours 2012
Culture du maïs OGM : Autorisée mais le gouvernement veut agir
Les ministres de l'Agriculture et de l'Écologie ne sont pas satisfaits de la décision prise par le Conseil d'État. Ce dernier a en effet annulé, lundi, la suspension de culture du maïs OGM Monsanto.
« Je suis plus déterminée et plus convaincue encore qu'en 2008 de la nécessité pour nous d'interdire la culture du Monsanto 810 en France ». Les mots de Nathalie Kosciusko-Morizet sont forts. La ministre de l'Écologie ne veut pas céder face aux défenseurs des OGM. Pour elle, pas question de cultiver le maïs. Pourtant, le Conseil d'État en a décidé autrement. Il a en effet annulé lundi la suspension de culture du maïs OGM Monsanto prise par le gouvernement français en février 2008.
Dans sa décision, le Conseil d'État argumente. « Tirant les conséquences de l’arrêt de la Cour de justice européenne (en septembre), le Conseil d’État relève que le ministre de l’Agriculture n’a pu justifier de sa compétence pour prendre les arrêtés, faute d’avoir apporté la preuve de l’existence d’un niveau de risque particulièrement élevé pour la santé ou l’environnement », a dit le Conseil. Réponse directe de la ministre de l'Écologie. « Nous sommes en ce moment même en train d'étudier les modalités juridiques pour poursuivre cette interdiction » a-t-elle déclaré. « Quatre études sont venus conforter les inquiétudes qu'on avait en 2008 », a-t-elle ajouté en précisant que le Haut Conseil des biotechnologies avait notamment fait état de « lacunes dans la surveillance » des effets du Monsanto 810 sur les insectes.
François Hollande aussi
Nathalie Kosciusko-Morizet n'est pas la seule à avoir réagi. Bruno Le Maire, s'exprimant devant quelques journalistes à l'Assemblée nationale, a lui aussi affirmé que le gouvernement restait «défavorable» à ce type de culture car « il reste encore trop d'incertitudes sur les conséquences pour l'environnement ». Le candidat socialiste à la présidentielle François Hollande, par la voix de sa porte-parole, a demandé le dépôt d'une « nouvelle procédure activant la clause de sauvegarde sur des bases juridiques plus solides ».
Du côté des ONG le même appel à l'action rapide du gouvernement a été lancé: « Si le gouvernement ne fait pas le nécessaire, en mettant en place une nouvelle interdiction, on risque de voir réapparaître les OGM dans nos champs dès le printemps prochain », a prévenu Sylvain Tardy, directeur des campagnes de Greenpeace France. Figure de proue de la lutte contre les OGM, José Bové s'est aussi exprimé disant, « il ne se passe pas une semaine depuis 2008 sans qu'une nouvelle information ne vienne étayer le dossier à charge contre la variété de maïs de Monsanto 810 ».
Pour le moment, Mosanto a donc gagné une bataille mais sans doute pas la guerre. Le gouvernement n'a pas l'intention de lâcher ce dossier.
France soir
Les ministres de l'Agriculture et de l'Écologie ne sont pas satisfaits de la décision prise par le Conseil d'État. Ce dernier a en effet annulé, lundi, la suspension de culture du maïs OGM Monsanto.
« Je suis plus déterminée et plus convaincue encore qu'en 2008 de la nécessité pour nous d'interdire la culture du Monsanto 810 en France ». Les mots de Nathalie Kosciusko-Morizet sont forts. La ministre de l'Écologie ne veut pas céder face aux défenseurs des OGM. Pour elle, pas question de cultiver le maïs. Pourtant, le Conseil d'État en a décidé autrement. Il a en effet annulé lundi la suspension de culture du maïs OGM Monsanto prise par le gouvernement français en février 2008.
Dans sa décision, le Conseil d'État argumente. « Tirant les conséquences de l’arrêt de la Cour de justice européenne (en septembre), le Conseil d’État relève que le ministre de l’Agriculture n’a pu justifier de sa compétence pour prendre les arrêtés, faute d’avoir apporté la preuve de l’existence d’un niveau de risque particulièrement élevé pour la santé ou l’environnement », a dit le Conseil. Réponse directe de la ministre de l'Écologie. « Nous sommes en ce moment même en train d'étudier les modalités juridiques pour poursuivre cette interdiction » a-t-elle déclaré. « Quatre études sont venus conforter les inquiétudes qu'on avait en 2008 », a-t-elle ajouté en précisant que le Haut Conseil des biotechnologies avait notamment fait état de « lacunes dans la surveillance » des effets du Monsanto 810 sur les insectes.
François Hollande aussi
Nathalie Kosciusko-Morizet n'est pas la seule à avoir réagi. Bruno Le Maire, s'exprimant devant quelques journalistes à l'Assemblée nationale, a lui aussi affirmé que le gouvernement restait «défavorable» à ce type de culture car « il reste encore trop d'incertitudes sur les conséquences pour l'environnement ». Le candidat socialiste à la présidentielle François Hollande, par la voix de sa porte-parole, a demandé le dépôt d'une « nouvelle procédure activant la clause de sauvegarde sur des bases juridiques plus solides ».
Du côté des ONG le même appel à l'action rapide du gouvernement a été lancé: « Si le gouvernement ne fait pas le nécessaire, en mettant en place une nouvelle interdiction, on risque de voir réapparaître les OGM dans nos champs dès le printemps prochain », a prévenu Sylvain Tardy, directeur des campagnes de Greenpeace France. Figure de proue de la lutte contre les OGM, José Bové s'est aussi exprimé disant, « il ne se passe pas une semaine depuis 2008 sans qu'une nouvelle information ne vienne étayer le dossier à charge contre la variété de maïs de Monsanto 810 ».
Pour le moment, Mosanto a donc gagné une bataille mais sans doute pas la guerre. Le gouvernement n'a pas l'intention de lâcher ce dossier.
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Re: Actualités concours 2012
Cantine : le tableau des mauvais payeurs provoque la colère
De plus en plus de communes doivent faire face aux impayés de la cantine. A Ruffec, en Charente, le système mis en place provoque un tollé.
On avait déjà vu des enfants mis au pain et à l’eau parce que leurs parents tardaient à payer la cantine. A Saint-Herblain (Loire-Atlantique), deux collégiens se sont vu privés de livres à la dernière rentrée… pour les mêmes raisons. Chaque fois, ces décisions municipales soulèvent un tollé. Ruffec, bourgade charentaise de quelque 5000 âmes, menée par un maire divers gauche excédé par le montant des impayés de cantine, a inventé un nouveau concept. Pointer sur un tableau à la cantine, avec une panoplie de bouilles d’oursons, verts, bleus ou rouges, accolés aux noms des enfants, les bons, les moyens et mauvais payeurs. L’initiative de l’édile, qui plaide n’en avoir pas mesuré les conséquences, a provoqué les larmes d’enfants qui se voyaient ainsi stigmatisés et la fureur des parents d’élèves locaux.
Une mesure jugée discriminatoire
Pas question de nier les difficultés financières des communes ni, souligne la FCPE, association de parents d’élèves qui dénonce cette « mesure discriminatoire », de justifier que des parents ne paient pas les repas de leurs enfants. Mais des parents aux psys en passant par les juristes, tous critiquent la méthode consistant à faire peser sur les enfants la « faute » de leurs parents. Sachant que les maires ont tout pouvoir de se faire payer par des moyens légaux, actionnés contre les adultes.
En principe, tempère Isabelle Mainsion, membre du comité directeur de l’Association des maires de France, qui ne prône certainement pas la méthode Ruffec et « n’ose penser que son maire ait pensé mal faire ». Mais « la restauration scolaire, explique-t-elle, butte souvent sur la difficulté technique à suivre au plus près les impayés » dont le montant croît ces dernières années au point que beaucoup de villes les intègrent carrément dans leurs budgets. Faut-il en imaginer des oursons jugés de toute part « injustes, psychologiquement dévastateurs et dangereux pour la paix sociale »? Et pourquoi pas demain pointer du doigt d’autres récalcitrants du chéquier? A l’étranger, des sociétés de recouvrement privées ne s’embarrassent déjà plus de ces principes pour harceler publiquement les mauvais payeurs en tout genre.
Le Parisien
De plus en plus de communes doivent faire face aux impayés de la cantine. A Ruffec, en Charente, le système mis en place provoque un tollé.
On avait déjà vu des enfants mis au pain et à l’eau parce que leurs parents tardaient à payer la cantine. A Saint-Herblain (Loire-Atlantique), deux collégiens se sont vu privés de livres à la dernière rentrée… pour les mêmes raisons. Chaque fois, ces décisions municipales soulèvent un tollé. Ruffec, bourgade charentaise de quelque 5000 âmes, menée par un maire divers gauche excédé par le montant des impayés de cantine, a inventé un nouveau concept. Pointer sur un tableau à la cantine, avec une panoplie de bouilles d’oursons, verts, bleus ou rouges, accolés aux noms des enfants, les bons, les moyens et mauvais payeurs. L’initiative de l’édile, qui plaide n’en avoir pas mesuré les conséquences, a provoqué les larmes d’enfants qui se voyaient ainsi stigmatisés et la fureur des parents d’élèves locaux.
Une mesure jugée discriminatoire
Pas question de nier les difficultés financières des communes ni, souligne la FCPE, association de parents d’élèves qui dénonce cette « mesure discriminatoire », de justifier que des parents ne paient pas les repas de leurs enfants. Mais des parents aux psys en passant par les juristes, tous critiquent la méthode consistant à faire peser sur les enfants la « faute » de leurs parents. Sachant que les maires ont tout pouvoir de se faire payer par des moyens légaux, actionnés contre les adultes.
En principe, tempère Isabelle Mainsion, membre du comité directeur de l’Association des maires de France, qui ne prône certainement pas la méthode Ruffec et « n’ose penser que son maire ait pensé mal faire ». Mais « la restauration scolaire, explique-t-elle, butte souvent sur la difficulté technique à suivre au plus près les impayés » dont le montant croît ces dernières années au point que beaucoup de villes les intègrent carrément dans leurs budgets. Faut-il en imaginer des oursons jugés de toute part « injustes, psychologiquement dévastateurs et dangereux pour la paix sociale »? Et pourquoi pas demain pointer du doigt d’autres récalcitrants du chéquier? A l’étranger, des sociétés de recouvrement privées ne s’embarrassent déjà plus de ces principes pour harceler publiquement les mauvais payeurs en tout genre.
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Re: Fiches culture générale 2012
bonjour,
oui c'est une très bonne idée, d'autant que moi, j'ai jamais pu suivre votre rythme depuis que je suis sur le forum.
j'ai également un problème , comme il a été dit pour savoir comment tout retenir, parce que justement , le par coeur n'est pas mon truc, du tout...
alors j'ai mis un temps monstrueux à essayer de trouver quelque chose qui m'aide à mémoriser, et j'ai trouvé ça, mais je ne sais pas si ça passe en post
je pense que ce sera plus facile pour moi mais pas sur
j'essai de poster sur un très vieux thème voir ce que ça donne, voilà :
LA FAMILLE
base de la sté, agent essentiel de socialisation => enjeu politique
bonne : assure transmission de valeurs traditionnelles ≠ néfaste : perpétue transmission inégalités sociales
DEFINITION
sociologie famille au sens large liés par le sang et alliés
famille restreinte vivant dans le même foyer
≠
statisticiens gpe de 2 personnes vivant ds le même foyer ≠ ménage : occupant d'1 logemt même si personne seule
DONNEES STATISTIQUES
273000 mariages soit 10000 de moins qu'en 2003 ET 134000 divorces ( soit 49% )
834000 naissances soit 40000 qu'en 2003
140000 déclarations de PACS dont 94% entre partenaires de sexe opposés
DESCRIPTIF
fonctions reproduction avant qd product° de biens = survie : primordiale (travail des enfants) ≠ aujourd'hui rôle mineur
protection - subvenir aux besoins essentiels garde et entretien
- assurer qualité de relation ac eux et ds le couple équilibre psychologique
- entraide générationnelle vivace & multiforme réciprocité
socialisation - par l'éducation , les normes de pensée et de comportement propre à notre culture
- transmission capital culturel = connaissances au travers de discussions – activités communes et habitudes
économique - hausse W féminin + baisse production de biens Ms hausse consommation
- allongemt espérance de vie fait baisser l'option prise pr héritage en faveur de la donation pr la transmission de biens
nouveau visage mutat° en qqs décénies = crise mariage : * majorité de naissances hors mariage 52% vs 6%
=> règle : reconnaissance paternelle
* de – en – ( depuis 2001- enfant = engagmt > )
* de + en + tard (h:30;f:28 soit + 4,6ans )
ménage : * 1/3 ss enfant
* nucléaire : éloignmt géographq gds parents
relat° : * mère W : autonomie+contribut° financière * h : + de soins et d'éducat° Ms f : 80% encore * éducat° +permissive+allongmt études+ouverture => enfants restent + lgtps ( insert° difficile)
union : * + fragile qqsoit CSP + hausse ddes conjointes car baisse stigmatisat° exigences +gde ds couple + émancipat° des femmes refusent de subir alcool etc...
* divorces Ms – en rég° catholiq + rurale
conséquences : +rs modèles familliaux : - traditionnelles : 73,4%
- monoparentales : 18,6% : 2* + nbx qu'il y a 30 ans - + de 3millions d'enfant ( 85% mère)
- recomposées : 8% : 2 millions d'enfants
==> la vie de famille se vit de + en + par séquences
==> 30000 enfants enfants dans une famille homoparentale
PROBLEMES
hausse de la solitude évolution la + marquante 8,4 millions de personnes dont 5 millions de femmes et 50% de + de 55 ans
ressenti - négatif sentiment d'exclusion- perte de confiance en soi – angoisse ==> autoenfermemt +suicide poss
- positif retrouver une identité – investissement professionnel
société dvlppmt d'1 marché pr les célibataire : industriel et agroalimentaire + explosion sites de rencontre
progression du divorce pr faute encore nbx malgrès la baisse – option si griefs ressentis ou opposit° de l'un.-longue procédure, coûteuse, agressive
=> compromet l'avenir serein des enfants & maintien des liens ac famille & amis
ce qui aboutit le + svt aux torts partagés
prestat° compensatoires pénalisantes encore tp en vue d'en priver l'autre aux torts exclusifs
souffrance celle des enfants : JAF veille aux intérêts de l'enfant qui est confié à 1 seul parent sauf garde alternée.
Parfois troubles des enfants : échec scolaire-insomnie-repli sur soi etc ...= idm si remariage : perte de repère parfois
=>à relativiser car s'estompent ac le tps : certains le vivent comme un soulagemt – surinvestissmt scolaire- autonomie
monoparentalité - si bien doté financièrement et culturellement alors réorganisation aisée ac entraide familliale et bon salaire
- sinon et svt cepdt c'est la précarité : * professionnelle : taux de chômage + élévé et emploi + précaire svt
* économique : frais de logmt et de garde pr 1 seul salaire peu élevé
* relationnelle : habitat en zone urbaine sensible + éloigmt familal, social
- système d'aide public sous estime les effets de cette dimension culturelle
- montrés du doigt ds les débas sur la délinquence ou la perte de repères
défaillance rôle éducatif causes - familles destabilisées par remariage ou divorce
- absence ou démission de tp de pères ou image dévalorisée par chômage ou alcoolisme ..
- parents surchargés par difficultés financières ou emploi pr trouver le tps de s'occuper de l'enfant
- difficultés qu'ont certaines familles étrangères entre les normes françaises et leurs coutumes
- enfant roi : surinvestissement de l'enfant qui reste souvent le seul lien sûr => mq d'interdits+respect des autres+frustr
conséquences - mal être croissant des adolescents car carence éducatives d'où troubles psychiques voir suicides, comportements déviants ( délinquance, toxicomanie) ou échec scolaire par absence
homoparentalité en question - l' AMP, l'adoption non ouverte aux homosexuels pourtant études montrent que les enfant n'ont pas plus de pbs
- l'enfant a un parent officiel = biologique ou adoptif mais l'autre n'a aucun droit
- le mariage entre 2 personnes de même sexe est interdit
hausse coût de l'enfant - source de richesse - pr les parents = de bonheur
- pr la démocratie = consommation, impôts, côtisations sociales, main d'oeuvre
==> mais il coûte cher :
* aux parents : entretien, garde, loisirs, études de + en + longues
* à l'Etat : prestations familiales, avantages fiscaux, financmt mode de garde, ets scolaire
LES REMEDES : LA POLITIQUE FAMILIALE
acteurs secrétariat d' Etat à la famille = dont dépend la politique familiale, concertée ac les autres ministères, les partenaires sociaux, les associations familiales.
Juin 2009 = le haut conseil de la famille il fixe les objectifs essentiels de la politique familiale
objectifs la promotion de la famille valeur essentielle base de l'éducation + cohésion sociale
s'adapte à l'évolut° des moeurs « à chacun sa famille, à chacun son droit »
encouragemt à la natalité versmt prest° familiales + mesures pr favoriser l'activité des femmes
aide aux familles les plus modestes
soutien à la famille et à la parentalité limiter le nb d'enfants ayant des difficultés d'intégration
évolut° du droit loi du 15/11/1999 =PACS , loi réformée en 2006 * réponse à l'évolution des moeurs en donnant un statut légal
=> hausse du concubinage, baisse mariage, couple homosexuels
= signature contrant enregistré au tribunal d'instance
+ de 300 000 pacs ont été signés
* aide mutuelle matérielle
solidarité à l'égard des dettes pr vie courante +régime séparation de biens
évolut° du droit (suite) bénéfice des droits accordés aux couples mariés :
de logement ( droit au bail )
de fiscalité déclaration d'impôt commune)
succession ( droits réduits +élevés toutefois que pr les couples mariés)
de W ( prise de congés, vœux de mutation des fonctionnaires )
obtention d'un titre de séjour ( pour un partenaire étranger pacsé avec un français )
de prestations sociales ( droit à l'assurance maladie-maternité pr le partenaire à la charge effective d'un assuré social )
* aucun droit à l'adoption ou l'AMP
12/05/2004 réforme du divorce : il n'est pas une faute mais entérine une faillite du couple.
=> Pacification et simplification tout en responsabilisant les parents
-choix des motifs de séparation + type de divorce se fait aps la conciliat° avant qd requête initiale
- divorce par requête conjointe en hausse 55% des cas, prononcé par jugé à l'issue d'une seule audience
- divorce/cceptat° principe de rupture cad ss aucune faute juste un simple accord en hausse 21% cas
- divorce pr faute en baisse 15% des cas, ssi violat° grave ( violence conjugales...)
époux divorcé à ses torts exclusifs peut recevoir qd m prestation compensatoire
les héritiers de celui-ci ne sont tenus de la payer que dans la limite de la succession
- divorce pr alteration définitive du lien conjugal 11% de cas remplace celui pr rupture de vie commune
peut être engagé par 1 seul et aps 2 ans de suspension de vie commune
le ddeur n'a + le devoir de secours ( financièremt) ms peut verser 1 prestat° compensatoire progresse
mesures pr le lien de filiation et de coparentalité
4/03/2002 = loi relative à la famille qui réaffirme l'égale responsabilité entre père et mère
- 2005 : les enfants peuvent porter le nom du père ou de la mère ou accolés; si conflit alors nom du père
le nom choisi pour le premier enfant vaut pour les autres
- parents non mariés + reconnaissance ts les 2 ds la 1ère année : exerce autorité en commun
- si divorce, je juge peut proposer médiation familiale pr faciliter exercice conjoint
possibilité de garde alternée reconnue par le code civil
pr favoriser lien père-enfant
- 2002 : congé paternité durée de 2semaines à la naissance ou ds le 1er mois + 100% du salaire < PSS
- carnet de santé : devoir du père +conseils vs maltraitance + droits
- aide aux pères divorcés : favorise droit à l'hébergement, accès a logement social + facile meme si non
non gardien de l'enfant + bénéfice pr enfant SS du père + mère
- ets scolaires sont tenus d'envoyer bulletins scolaires au père et à la mère
réforme droit de la filiation : sécurisé + égalité de droits entre enfants qqsoit leur condition de naissance
- 2001 : succession égale entre légitimes et naturels - 2002 : aussi adutérins
- suppression distinction juridique naturel/légitime ainsi que l'obligation pr une mère de reconnaître son enfant
actions des CAF vrst prestat° familiales prestations ASF-API-RSA-AGED-AFEAMA-AJPP-PAJE-AF-CP-AR-ALF-
act° sociale pr les familles - aide financière pr famille en difficulté pr payer logmt-dette-vacances-loisirs-études
- Wrs socx orientent ds démarche quotidienne
- CAF subventionne crèches et haltes garderie pr alléger coût et gère centre de vacances
autres mesures concilier famille et W - aides * hausse aide garde des enfants de – de 3 ans
* congé parental : si au – 2 enfants permet à 1 parent de ne + Wer pdt 1 an
revenu = complément libre choix d'activité
et jusqu'à 3 ans ac complément optionnel de libre choix d'activité
- limites * insuffisance offre de garde : obstacle au libre choix de garde
* congé parental svt ce sont les femmes. Profit des enfant ok ms pèse lourd sur carriere
faiblement rémunéré , il profite surtout si ddr emploi non indemnisé + ss qualificat°
projet : raccourcir à 1 an et mieux payé + 60jrs au père non transférable+prime si /2
aider et responsabiliser les parents - pts info familles : aide a dom-soutien scolaire- oriente – médiation familiale
- dvlppmt de la médiation familiale
- instauration d'un contrat de responsabilité parentale et mise en place de modules de soutien à la fonction parentale .
aider les familles nombreuses - carte enfant-famille pour les familles de 1 ou 2 enfants de – de 18 ans bénéficiaire de l' ARS
elle offre des réductions de 25% à 50% sur certains trains
en faveur de l'homoparentalité - 2002 : partage de l'exercice parental peut être demandé au juge , ms long et coûteux
- 2 propositions fortment contestées st à l'étude :
* statut de beau parent pr homoparents + monoparents recomposés pr faciliter démarche
* instauration d'1 contrat d'union civile qui aurait lieu en mairie ( mariage exclu)
oui c'est une très bonne idée, d'autant que moi, j'ai jamais pu suivre votre rythme depuis que je suis sur le forum.
j'ai également un problème , comme il a été dit pour savoir comment tout retenir, parce que justement , le par coeur n'est pas mon truc, du tout...

alors j'ai mis un temps monstrueux à essayer de trouver quelque chose qui m'aide à mémoriser, et j'ai trouvé ça, mais je ne sais pas si ça passe en post
je pense que ce sera plus facile pour moi mais pas sur
j'essai de poster sur un très vieux thème voir ce que ça donne, voilà :
LA FAMILLE
base de la sté, agent essentiel de socialisation => enjeu politique
bonne : assure transmission de valeurs traditionnelles ≠ néfaste : perpétue transmission inégalités sociales
DEFINITION
sociologie famille au sens large liés par le sang et alliés
famille restreinte vivant dans le même foyer
≠
statisticiens gpe de 2 personnes vivant ds le même foyer ≠ ménage : occupant d'1 logemt même si personne seule
DONNEES STATISTIQUES
273000 mariages soit 10000 de moins qu'en 2003 ET 134000 divorces ( soit 49% )
834000 naissances soit 40000 qu'en 2003
140000 déclarations de PACS dont 94% entre partenaires de sexe opposés
DESCRIPTIF
fonctions reproduction avant qd product° de biens = survie : primordiale (travail des enfants) ≠ aujourd'hui rôle mineur
protection - subvenir aux besoins essentiels garde et entretien
- assurer qualité de relation ac eux et ds le couple équilibre psychologique
- entraide générationnelle vivace & multiforme réciprocité
socialisation - par l'éducation , les normes de pensée et de comportement propre à notre culture
- transmission capital culturel = connaissances au travers de discussions – activités communes et habitudes
économique - hausse W féminin + baisse production de biens Ms hausse consommation
- allongemt espérance de vie fait baisser l'option prise pr héritage en faveur de la donation pr la transmission de biens
nouveau visage mutat° en qqs décénies = crise mariage : * majorité de naissances hors mariage 52% vs 6%
=> règle : reconnaissance paternelle
* de – en – ( depuis 2001- enfant = engagmt > )
* de + en + tard (h:30;f:28 soit + 4,6ans )
ménage : * 1/3 ss enfant
* nucléaire : éloignmt géographq gds parents
relat° : * mère W : autonomie+contribut° financière * h : + de soins et d'éducat° Ms f : 80% encore * éducat° +permissive+allongmt études+ouverture => enfants restent + lgtps ( insert° difficile)
union : * + fragile qqsoit CSP + hausse ddes conjointes car baisse stigmatisat° exigences +gde ds couple + émancipat° des femmes refusent de subir alcool etc...
* divorces Ms – en rég° catholiq + rurale
conséquences : +rs modèles familliaux : - traditionnelles : 73,4%
- monoparentales : 18,6% : 2* + nbx qu'il y a 30 ans - + de 3millions d'enfant ( 85% mère)
- recomposées : 8% : 2 millions d'enfants
==> la vie de famille se vit de + en + par séquences
==> 30000 enfants enfants dans une famille homoparentale
PROBLEMES
hausse de la solitude évolution la + marquante 8,4 millions de personnes dont 5 millions de femmes et 50% de + de 55 ans
ressenti - négatif sentiment d'exclusion- perte de confiance en soi – angoisse ==> autoenfermemt +suicide poss
- positif retrouver une identité – investissement professionnel
société dvlppmt d'1 marché pr les célibataire : industriel et agroalimentaire + explosion sites de rencontre
progression du divorce pr faute encore nbx malgrès la baisse – option si griefs ressentis ou opposit° de l'un.-longue procédure, coûteuse, agressive
=> compromet l'avenir serein des enfants & maintien des liens ac famille & amis
ce qui aboutit le + svt aux torts partagés
prestat° compensatoires pénalisantes encore tp en vue d'en priver l'autre aux torts exclusifs
souffrance celle des enfants : JAF veille aux intérêts de l'enfant qui est confié à 1 seul parent sauf garde alternée.
Parfois troubles des enfants : échec scolaire-insomnie-repli sur soi etc ...= idm si remariage : perte de repère parfois
=>à relativiser car s'estompent ac le tps : certains le vivent comme un soulagemt – surinvestissmt scolaire- autonomie
monoparentalité - si bien doté financièrement et culturellement alors réorganisation aisée ac entraide familliale et bon salaire
- sinon et svt cepdt c'est la précarité : * professionnelle : taux de chômage + élévé et emploi + précaire svt
* économique : frais de logmt et de garde pr 1 seul salaire peu élevé
* relationnelle : habitat en zone urbaine sensible + éloigmt familal, social
- système d'aide public sous estime les effets de cette dimension culturelle
- montrés du doigt ds les débas sur la délinquence ou la perte de repères
défaillance rôle éducatif causes - familles destabilisées par remariage ou divorce
- absence ou démission de tp de pères ou image dévalorisée par chômage ou alcoolisme ..
- parents surchargés par difficultés financières ou emploi pr trouver le tps de s'occuper de l'enfant
- difficultés qu'ont certaines familles étrangères entre les normes françaises et leurs coutumes
- enfant roi : surinvestissement de l'enfant qui reste souvent le seul lien sûr => mq d'interdits+respect des autres+frustr
conséquences - mal être croissant des adolescents car carence éducatives d'où troubles psychiques voir suicides, comportements déviants ( délinquance, toxicomanie) ou échec scolaire par absence
homoparentalité en question - l' AMP, l'adoption non ouverte aux homosexuels pourtant études montrent que les enfant n'ont pas plus de pbs
- l'enfant a un parent officiel = biologique ou adoptif mais l'autre n'a aucun droit
- le mariage entre 2 personnes de même sexe est interdit
hausse coût de l'enfant - source de richesse - pr les parents = de bonheur
- pr la démocratie = consommation, impôts, côtisations sociales, main d'oeuvre
==> mais il coûte cher :
* aux parents : entretien, garde, loisirs, études de + en + longues
* à l'Etat : prestations familiales, avantages fiscaux, financmt mode de garde, ets scolaire
LES REMEDES : LA POLITIQUE FAMILIALE
acteurs secrétariat d' Etat à la famille = dont dépend la politique familiale, concertée ac les autres ministères, les partenaires sociaux, les associations familiales.
Juin 2009 = le haut conseil de la famille il fixe les objectifs essentiels de la politique familiale
objectifs la promotion de la famille valeur essentielle base de l'éducation + cohésion sociale
s'adapte à l'évolut° des moeurs « à chacun sa famille, à chacun son droit »
encouragemt à la natalité versmt prest° familiales + mesures pr favoriser l'activité des femmes
aide aux familles les plus modestes
soutien à la famille et à la parentalité limiter le nb d'enfants ayant des difficultés d'intégration
évolut° du droit loi du 15/11/1999 =PACS , loi réformée en 2006 * réponse à l'évolution des moeurs en donnant un statut légal
=> hausse du concubinage, baisse mariage, couple homosexuels
= signature contrant enregistré au tribunal d'instance
+ de 300 000 pacs ont été signés
* aide mutuelle matérielle
solidarité à l'égard des dettes pr vie courante +régime séparation de biens
évolut° du droit (suite) bénéfice des droits accordés aux couples mariés :
de logement ( droit au bail )
de fiscalité déclaration d'impôt commune)
succession ( droits réduits +élevés toutefois que pr les couples mariés)
de W ( prise de congés, vœux de mutation des fonctionnaires )
obtention d'un titre de séjour ( pour un partenaire étranger pacsé avec un français )
de prestations sociales ( droit à l'assurance maladie-maternité pr le partenaire à la charge effective d'un assuré social )
* aucun droit à l'adoption ou l'AMP
12/05/2004 réforme du divorce : il n'est pas une faute mais entérine une faillite du couple.
=> Pacification et simplification tout en responsabilisant les parents
-choix des motifs de séparation + type de divorce se fait aps la conciliat° avant qd requête initiale
- divorce par requête conjointe en hausse 55% des cas, prononcé par jugé à l'issue d'une seule audience
- divorce/cceptat° principe de rupture cad ss aucune faute juste un simple accord en hausse 21% cas
- divorce pr faute en baisse 15% des cas, ssi violat° grave ( violence conjugales...)
époux divorcé à ses torts exclusifs peut recevoir qd m prestation compensatoire
les héritiers de celui-ci ne sont tenus de la payer que dans la limite de la succession
- divorce pr alteration définitive du lien conjugal 11% de cas remplace celui pr rupture de vie commune
peut être engagé par 1 seul et aps 2 ans de suspension de vie commune
le ddeur n'a + le devoir de secours ( financièremt) ms peut verser 1 prestat° compensatoire progresse
mesures pr le lien de filiation et de coparentalité
4/03/2002 = loi relative à la famille qui réaffirme l'égale responsabilité entre père et mère
- 2005 : les enfants peuvent porter le nom du père ou de la mère ou accolés; si conflit alors nom du père
le nom choisi pour le premier enfant vaut pour les autres
- parents non mariés + reconnaissance ts les 2 ds la 1ère année : exerce autorité en commun
- si divorce, je juge peut proposer médiation familiale pr faciliter exercice conjoint
possibilité de garde alternée reconnue par le code civil
pr favoriser lien père-enfant
- 2002 : congé paternité durée de 2semaines à la naissance ou ds le 1er mois + 100% du salaire < PSS
- carnet de santé : devoir du père +conseils vs maltraitance + droits
- aide aux pères divorcés : favorise droit à l'hébergement, accès a logement social + facile meme si non
non gardien de l'enfant + bénéfice pr enfant SS du père + mère
- ets scolaires sont tenus d'envoyer bulletins scolaires au père et à la mère
réforme droit de la filiation : sécurisé + égalité de droits entre enfants qqsoit leur condition de naissance
- 2001 : succession égale entre légitimes et naturels - 2002 : aussi adutérins
- suppression distinction juridique naturel/légitime ainsi que l'obligation pr une mère de reconnaître son enfant
actions des CAF vrst prestat° familiales prestations ASF-API-RSA-AGED-AFEAMA-AJPP-PAJE-AF-CP-AR-ALF-
act° sociale pr les familles - aide financière pr famille en difficulté pr payer logmt-dette-vacances-loisirs-études
- Wrs socx orientent ds démarche quotidienne
- CAF subventionne crèches et haltes garderie pr alléger coût et gère centre de vacances
autres mesures concilier famille et W - aides * hausse aide garde des enfants de – de 3 ans
* congé parental : si au – 2 enfants permet à 1 parent de ne + Wer pdt 1 an
revenu = complément libre choix d'activité
et jusqu'à 3 ans ac complément optionnel de libre choix d'activité
- limites * insuffisance offre de garde : obstacle au libre choix de garde
* congé parental svt ce sont les femmes. Profit des enfant ok ms pèse lourd sur carriere
faiblement rémunéré , il profite surtout si ddr emploi non indemnisé + ss qualificat°
projet : raccourcir à 1 an et mieux payé + 60jrs au père non transférable+prime si /2
aider et responsabiliser les parents - pts info familles : aide a dom-soutien scolaire- oriente – médiation familiale
- dvlppmt de la médiation familiale
- instauration d'un contrat de responsabilité parentale et mise en place de modules de soutien à la fonction parentale .
aider les familles nombreuses - carte enfant-famille pour les familles de 1 ou 2 enfants de – de 18 ans bénéficiaire de l' ARS
elle offre des réductions de 25% à 50% sur certains trains
en faveur de l'homoparentalité - 2002 : partage de l'exercice parental peut être demandé au juge , ms long et coûteux
- 2 propositions fortment contestées st à l'étude :
* statut de beau parent pr homoparents + monoparents recomposés pr faciliter démarche
* instauration d'1 contrat d'union civile qui aurait lieu en mairie ( mariage exclu)
Esquirole : 221 ème LC
Hauteville : 91 ème LC
Hauteville : 91 ème LC
Re: Fiches culture générale 2012
ok , en fait il y a des fleches à la base et elles ne passent pas ,
bon , tant pis
bon , tant pis
Esquirole : 221 ème LC
Hauteville : 91 ème LC
Hauteville : 91 ème LC
Re: Actualités concours 2012
Droit au logement opposable : les ménages en attente de relogement toujours plus nombreux
"Monsieur le Président de la République, faisons enfin appliquer la loi Dalo!" Dans son cinquième rapport, publié mercredi 30 novembre, le comité de suivi du droit au logement opposable (DALO), a choisi d'en appeler aux plus hautes autorités de l'Etat pour dénoncer une situation qui empire. Presque quatre ans après l'entrée en vigueur de la loi, au 1er janvier 2008, les ménages en attente de relogement sont toujours plus nombreux et les demandes d'hébergement s'envolent. En 2011, en Ile-de-France, qui concentre 62% des recours, pour la première fois, le taux de relogement des ménages prioritaires a baissé. D'après les projections faites par les experts, fin 2011, seulement 5060 ménages devraient voir leur demande satisfaite, alors qu'ils étaient près de 6000 en 2010. "L'écart entre les prioritaires et les relogés se creuse donc, actuellement au rythme de 7000 par an, soit près de 600 par mois", analyse le comité de suivi. Dans ces conditions, plus de 4000 familles franciliennes déclarées éligibles au DALO en 2008 attendent toujours une attribution de HLM, trois ans plus tard. S'y ajoutent des demandeurs plus récents, désignés prioritaires en2009 et 2010. Au total, près de 20 000 ménages n'ont pas été servis.
Entrée en vigueur le 1er janvier 2008, la loi DALO, votée en mars 2007, a tout de même permis, au niveau national, le logement ou l'hébergement de 40 000 familles. Mais, 27 500 décisions positives sont en souffrance.
Pour Bernard Lacharme, secrétaire général du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées, "l'Etat ne met pas tout en œuvre pour mobiliser le parc social existant et aucune des propositions du comité pour trouver des logements dans le parc privé n'ont été testées".
Ce manque de zèle conduit, selon le comité de suivi, à des situations "scandaleuses". "En 2011, nous avons eu connaissance de plusieurs cas où un ménage prioritaire n'a pas obtenu de relogement mais en revanche a été expulsé par la force publique", explique M. Lacharme.
Autre signe d'inquiétude : l'augmentation des recours déposés en vue de l'obtention d'une place d'hébergement. Le volet hébergement de la loi, qui n'était pas au cœur du texte, prend une proportion plus importante que prévue, en raison de l'engorgement de toute la chaîne de l'urgence sociale. Sur 64 départements ayant enregistré des recours hébergement ; 38 ont un retard significatif. Là encore, c'est en Ile-de-France que se concentrent les plus grandes difficultés. En 2011, la part des recours hébergement a atteint, au niveau national, 15% contre 13% en 2010 et 7% en 2008. "Dans certains départements, les demandeurs d'hébergement ont reçu pour toute réponse la liste des structures susceptibles de les accueillir. A eux de se débrouiller", déplore M. Lacharme.
Dans ce contexte, les condamnations de l'Etat par le tribunal administratif pour non-mise en œuvre des décisions de logement ou d'hébergement sont constantes. 4 600 décisions au bénéfice du demandeur DALO ont été rendues. En 2011, le montant des astreintes payées par l'Etat ont atteint 9,3 millions d'euros. Ces sommes ont été reversées à un fonds régional d'aide au logement, c'est-à-dire… à l'Etat. En revanche, et ce n'était pas prévu par la loi, certains demandeurs ont engagé, avec l'aide d'associations, des recours en indemnités auprès des tribunaux administratifs. 14 personnes ont obtenu gain de cause mais les sommes à payer par l'Etat ne sont pas suffisamment lourdes pour faire véritablement pression sur la puissance publique. Les choses pourraient changer en 2012. A cette date, tous les ménages mal logés, et non plus seulement les catégories prioritaires, seront en droit de réclamer à l'Etat un toit et d'entamer une procédure DALO.
Catherine Rollot
Le Monde
"Monsieur le Président de la République, faisons enfin appliquer la loi Dalo!" Dans son cinquième rapport, publié mercredi 30 novembre, le comité de suivi du droit au logement opposable (DALO), a choisi d'en appeler aux plus hautes autorités de l'Etat pour dénoncer une situation qui empire. Presque quatre ans après l'entrée en vigueur de la loi, au 1er janvier 2008, les ménages en attente de relogement sont toujours plus nombreux et les demandes d'hébergement s'envolent. En 2011, en Ile-de-France, qui concentre 62% des recours, pour la première fois, le taux de relogement des ménages prioritaires a baissé. D'après les projections faites par les experts, fin 2011, seulement 5060 ménages devraient voir leur demande satisfaite, alors qu'ils étaient près de 6000 en 2010. "L'écart entre les prioritaires et les relogés se creuse donc, actuellement au rythme de 7000 par an, soit près de 600 par mois", analyse le comité de suivi. Dans ces conditions, plus de 4000 familles franciliennes déclarées éligibles au DALO en 2008 attendent toujours une attribution de HLM, trois ans plus tard. S'y ajoutent des demandeurs plus récents, désignés prioritaires en2009 et 2010. Au total, près de 20 000 ménages n'ont pas été servis.
Entrée en vigueur le 1er janvier 2008, la loi DALO, votée en mars 2007, a tout de même permis, au niveau national, le logement ou l'hébergement de 40 000 familles. Mais, 27 500 décisions positives sont en souffrance.
Pour Bernard Lacharme, secrétaire général du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées, "l'Etat ne met pas tout en œuvre pour mobiliser le parc social existant et aucune des propositions du comité pour trouver des logements dans le parc privé n'ont été testées".
Ce manque de zèle conduit, selon le comité de suivi, à des situations "scandaleuses". "En 2011, nous avons eu connaissance de plusieurs cas où un ménage prioritaire n'a pas obtenu de relogement mais en revanche a été expulsé par la force publique", explique M. Lacharme.
Autre signe d'inquiétude : l'augmentation des recours déposés en vue de l'obtention d'une place d'hébergement. Le volet hébergement de la loi, qui n'était pas au cœur du texte, prend une proportion plus importante que prévue, en raison de l'engorgement de toute la chaîne de l'urgence sociale. Sur 64 départements ayant enregistré des recours hébergement ; 38 ont un retard significatif. Là encore, c'est en Ile-de-France que se concentrent les plus grandes difficultés. En 2011, la part des recours hébergement a atteint, au niveau national, 15% contre 13% en 2010 et 7% en 2008. "Dans certains départements, les demandeurs d'hébergement ont reçu pour toute réponse la liste des structures susceptibles de les accueillir. A eux de se débrouiller", déplore M. Lacharme.
Dans ce contexte, les condamnations de l'Etat par le tribunal administratif pour non-mise en œuvre des décisions de logement ou d'hébergement sont constantes. 4 600 décisions au bénéfice du demandeur DALO ont été rendues. En 2011, le montant des astreintes payées par l'Etat ont atteint 9,3 millions d'euros. Ces sommes ont été reversées à un fonds régional d'aide au logement, c'est-à-dire… à l'Etat. En revanche, et ce n'était pas prévu par la loi, certains demandeurs ont engagé, avec l'aide d'associations, des recours en indemnités auprès des tribunaux administratifs. 14 personnes ont obtenu gain de cause mais les sommes à payer par l'Etat ne sont pas suffisamment lourdes pour faire véritablement pression sur la puissance publique. Les choses pourraient changer en 2012. A cette date, tous les ménages mal logés, et non plus seulement les catégories prioritaires, seront en droit de réclamer à l'Etat un toit et d'entamer une procédure DALO.
Catherine Rollot
Le Monde
Concours Nancy Laxou Automne 2012
Concours APHP Automne 2012
Concours APHP Automne 2012
Re: Actualités concours 2012
Les parents inquiets de l'abus d'alcool des adolescents
Par Marie-Estelle Pech - le 28/11/2011
La consommation d'alcool des jeunes est préoccupante. Selon les parents, celle des filles aurait augmenté de 74% ces dernières années.
Les parents déclarent à 83 % que la consommation d'alcool par les jeunes est pour eux une source d'inquiétude, et ce dans tous les milieux sociaux. Selon cette étude réalisée en octobre auprès de 557 parents d'enfants scolarisés par OpinionWay pour le compte de l'APEL, cette inquiétude est renforcée par le sentiment d'une dégradation de la situation, concernant notamment les filles. Ils sont 74 % à estimer que la consommation d'alcool des filles a augmenté depuis leur époque contre 59 % pour les garçons.
40 % des parents s'inquiètent du « binge drinking »En revanche, comme souvent dans les sondages, quand il s'agit d'évoquer la consommation d'alcool de ses propres enfants, l'appréciation est différente : seulement 14 % des parents ayant au moins un enfant de 12 ans ou plus estiment que leur consommation a augmenté par rapport à la leur, contre 58 % qui estiment qu'elle a stagné ; 27 % d'entre eux considèrent même que cette consommation a diminué. Le paradoxe est donc très fort : les parents projettent leur inquiétude sur les autres mais affichent leur confiance envers leurs enfants. Réalité ou illusion ? s'interroge l'étude. Qui sont donc ces jeunes qui consomment trop d'alcool ?
Pour 40 % des parents interrogés, ce qu'il y a de plus inquiétant dans la consommation des jeunes, c'est le fait qu'ils consomment «de plus en plus souvent de l'alcool de façon excessive, jusqu'à l'ivresse ». C'est une description assez fidèle du «binge drinking» une mode venue d'Angleterre. Ils s'alarment aussi du fait que les jeunes ne puissent plus envisager une soirée entre amis sans qu'il y ait de l'alcool (20 %).
La société valorise l'alcool selon les parentsUne majorité (56 %) accuse l'état d'esprit général qui valorise l'alcool comme le principal facteur qui favorise la consommation chez les jeunes, tandis qu'ils ne sont qu'un tiers (35 %) à accuser le manque de contrôle des sorties et fréquentations des jeunes par leurs parents. Autrement dit, cette augmentation de la consommation, tout comme la lutte contre cette dernière n'est pas, selon eux, de leur ressort.
Le figaro
Par Marie-Estelle Pech - le 28/11/2011
La consommation d'alcool des jeunes est préoccupante. Selon les parents, celle des filles aurait augmenté de 74% ces dernières années.
Les parents déclarent à 83 % que la consommation d'alcool par les jeunes est pour eux une source d'inquiétude, et ce dans tous les milieux sociaux. Selon cette étude réalisée en octobre auprès de 557 parents d'enfants scolarisés par OpinionWay pour le compte de l'APEL, cette inquiétude est renforcée par le sentiment d'une dégradation de la situation, concernant notamment les filles. Ils sont 74 % à estimer que la consommation d'alcool des filles a augmenté depuis leur époque contre 59 % pour les garçons.
40 % des parents s'inquiètent du « binge drinking »En revanche, comme souvent dans les sondages, quand il s'agit d'évoquer la consommation d'alcool de ses propres enfants, l'appréciation est différente : seulement 14 % des parents ayant au moins un enfant de 12 ans ou plus estiment que leur consommation a augmenté par rapport à la leur, contre 58 % qui estiment qu'elle a stagné ; 27 % d'entre eux considèrent même que cette consommation a diminué. Le paradoxe est donc très fort : les parents projettent leur inquiétude sur les autres mais affichent leur confiance envers leurs enfants. Réalité ou illusion ? s'interroge l'étude. Qui sont donc ces jeunes qui consomment trop d'alcool ?
Pour 40 % des parents interrogés, ce qu'il y a de plus inquiétant dans la consommation des jeunes, c'est le fait qu'ils consomment «de plus en plus souvent de l'alcool de façon excessive, jusqu'à l'ivresse ». C'est une description assez fidèle du «binge drinking» une mode venue d'Angleterre. Ils s'alarment aussi du fait que les jeunes ne puissent plus envisager une soirée entre amis sans qu'il y ait de l'alcool (20 %).
La société valorise l'alcool selon les parentsUne majorité (56 %) accuse l'état d'esprit général qui valorise l'alcool comme le principal facteur qui favorise la consommation chez les jeunes, tandis qu'ils ne sont qu'un tiers (35 %) à accuser le manque de contrôle des sorties et fréquentations des jeunes par leurs parents. Autrement dit, cette augmentation de la consommation, tout comme la lutte contre cette dernière n'est pas, selon eux, de leur ressort.
Le figaro
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie