Concours printemps 2012

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Nounou77
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Re: Petite Pensée...

Message par Nounou77 »

Zackfair a écrit :Merci :D et m**** à tous le monde !!!!!!!
De rien ^^ Alors alors ça a été ?? =)
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Re: Petite Pensée...

Message par Nounou77 »

Dolce62 a écrit :Sa y est c'est le grand jour. Pour ma part sa sera à St. Venant dans le pas de Calais. Je décolle d'ici 15 min, le stresse monte.

M.... À tous.
Enfin fini ^^ Moi je l'ai passé aux Murets à La Queue-En-Brie (ds le 94 Val de Marne). Alors ça a donné quoi ?
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Re: Petite Pensée...

Message par Nounou77 »

rubis226 a écrit :bon courage à tout le monde et en particulier à ma meilleure amie qui le passe aujourd'hui à Logne
Mercii, je viens de rentrer =)
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Nounou77
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Re: Petite Pensée...

Message par Nounou77 »

zest a écrit :Merci et m**** a tous et toutes ... c est mon premier et seul concours ifsi a passer pour 2012...je stresse...a tt a l heure!!
Alors ça c'est bien passé ?? ^^
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zest
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Re: Petite Pensée...

Message par zest »

Coucou i'm back...bon ben euh..perplexe sceptique :choque: ...je sais pas trop quoi y penser si ce n'est que je m'attendais a d'autres choses :? ...concrétement beaucoup de réflexion a faire :roll: ... deux analyses, une synthése...5 petits calculs en croix...je m'attendais a des définitions :D , des analyses de cas médicaux :D ...j'aurai davantage appréçié car je sais meme pas quoi penser de l 'eventuel résultat... :?:

Ils ont garder les livrets donc en résumé

1er cas : nouvelle AS en long sejour, j'arrive depuis 15 jours et je remarque que les portes des residents restent ouvertes en continues la journée, selon les autres AS c'est pour "eviter les odeurs...", "pour jeter un oeil sur les résidents", "les résidents apprécient cette proximité" (je sais plus trop la 3e justification)... analysez cette pratique

2e cas: On est AS, on rencontre Mme D au supermarché qui nous parle de la mauvaise entente entre sa mere hospitalisée dans le meme hopital que nous en moyen sejour mais service different, elle l'a manipule brusquement, elle l'a meme cogner, laisse la patiente avec son pijama taché d 'urine en demandant a sa fille de le faire elle meme... en 20 a 30 lignes comment reagissez vous.

3eme cas , 120 dossiers, calculer chaques nombres de dossiers a partir de pourcentages...j'ai aussi calculer les diagrammes de soins...fallait il ou non je ne sais pas... et faire une synthese d'une reunion a son collegue.



Voilà je suis encore sous le coup de l'émotion...je ne sais pas quoi en penser... et vous?????
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vanessa8078
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Re: Je pars défaitiste :/

Message par vanessa8078 »

Mais non t'inquiètes pas comme ça. Leur système de notation est bien plus complexe que ça. 10 réponses sur l'ensemble des tests c'est pas catastrophique . Gardes espoir.
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Siaana
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Re: Je pars défaitiste :/

Message par Siaana »

Merci de ne pas utiliser de langage sms sur le forum :)
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Re: Petite Pensée...

Message par Nounou77 »

zest a écrit :Coucou i'm back...bon ben euh..perplexe sceptique :choque: ...je sais pas trop quoi y penser si ce n'est que je m'attendais a d'autres choses :? ...concrétement beaucoup de réflexion a faire :roll: ... deux analyses, une synthése...5 petits calculs en croix...je m'attendais a des définitions :D , des analyses de cas médicaux :D ...j'aurai davantage appréçié car je sais meme pas quoi penser de l 'eventuel résultat... :?:

Ils ont garder les livrets donc en résumé

1er cas : nouvelle AS en long sejour, j'arrive depuis 15 jours et je remarque que les portes des residents restent ouvertes en continues la journée, selon les autres AS c'est pour "eviter les odeurs...", "pour jeter un oeil sur les résidents", "les résidents apprécient cette proximité" (je sais plus trop la 3e justification)... analysez cette pratique

2e cas: On est AS, on rencontre Mme D au supermarché qui nous parle de la mauvaise entente entre sa mere hospitalisée dans le meme hopital que nous en moyen sejour mais service different, elle l'a manipule brusquement, elle l'a meme cogner, laisse la patiente avec son pijama taché d 'urine en demandant a sa fille de le faire elle meme... en 20 a 30 lignes comment reagissez vous.

3eme cas , 120 dossiers, calculer chaques nombres de dossiers a partir de pourcentages...j'ai aussi calculer les diagrammes de soins...fallait il ou non je ne sais pas... et faire une synthese d'une reunion a son collegue.



Voilà je suis encore sous le coup de l'émotion...je ne sais pas quoi en penser... et vous?????
Hey, ah moi je l'ai passé en tant que bachelière ^^
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Kayth
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Re: Concours printemps 2012

Message par Kayth »

Ayezzzz enfin fait ce foutu écrit ! Les tests psy étaient abordables mais comme même un peu complexe, la plupart je ne l'ai avais jamais vu auparavant. Le texte je l'ai retrouvé sur internet à peu prés je vous le met ainsi ce qui me reste des questions. Dis moi ce que vous en pensés pour que je compare mes réponses avec les votre!

Colocation, nécessité ou art de vivre ?

La colocation est un véritable phénomène de société. Jeunes actifs ou personnes âgées, tout le monde peut être concerné. Si l’aspect financier est souvent prépondérant, les adeptes de la cohabitation recherchent aussi plus de confort et une vie sociale enrichissante.

Viens chez moi, j’habite chez une copine … » un phénomène aujourd’hui loin d’être marginal, puisque 20 % des Français, et même jusqu’à 28 %des 25-34 ans ont déjà essayé ce mode de vie. Popularisé par le film L’Auberge espagnole, il est désormais entré dans les mœurs. Plusieurs sites internet lui sont d’ailleurs consacrés.

Face à la hausse du coût de la vie, des loyers et à la pénurie de logements dans certaines agglomérations, la colocation a de l’avenir. « C’est une nécessité financière avant tout », confirme Jérémy, 27 ans, qui habite à la Rochelle. « Ce sont les circonstances qui m’ont poussé vers la colocation. J’avais besoin d’indépendance, mais vu le prix des loyers et les cautions demandées … »

Cette difficulté à joindre les deux bouts amène de nouveaux publics vers ce mode d’hébergement alternatif : jeunes actifs, salariés au pouvoir d’achat rogné, retraités et adeptes de la vie en communauté, il faut aussi compter avec les accidents de la vie (séparation, chômage…) qui conduisent à la colocation pour raisons économiques. Cohabiter permet en effet aux occupants de réduire leur part de loyer. Etudiants ou travailleurs saisonniers peuvent ainsi s’installer chez des personnes âgées, en contrepartie d’un loyer modique et de quelques services rendus. Ces initiatives permettent de développer une réelle solidarité et un dialogue entre générations.



Dépenser moins pour être mieux logé

Outre l’aspect économique, de nombreuses raisons permettent d’expliquer le choix de ce mode de vie. L’union faisant la force, la colocation permet d’accéder à un confort qu’on ne pourrait pas envisager en solitaire. 68 % des personnes interrogées (sur échantillon de 809 jeunes de 16 à 25 ans) estiment ainsi que c’est un moyen de dépenser moins pour être mieux logé. Oublié le studio minuscule, place aux grands espaces ! C’est aussi l’occasion de mener une vie sociale riche. Fini les longues soirées d’hiver passées seul devant la télé, et vive les sorties et soirées organisées entre amis. Enfin, vivre à plusieurs, c’est apprendre à accepter les défauts des autres et travailler sur soi-même.

Pour tous ceux qui souhaitent franchir le pas, de nombreux sites internet proposent des petites annonces dans ce domaine. Un nouveau concept vient également de naître : les rencontres express entre colocataires potentiels. Elles reprennent le principe des rendez-vous (speed-datings) organisés pour trouver l’élu de son cœur. Il s’agit là de mettre en relation ceux qui cherchent à partager leur future habitation et ceux qui souhaitent trouver le colocataire idéal. Pour l’instant, ce concept n’existe toutefois que dans les grandes agglomérations.

Pour une colocation réussie, mieux vaut bien se renseigner. La cohabitation peut en effet vite devenir un chemin de croix … D’abord, il faut trouver un bailleur qui accepte de loger plusieurs personnes sous un même toit. Si la pratique s’est démocratisée, elle n’est pas encore du goût de tous les propriétaires. Ensuite, si vous en avez la possibilité, emménagez avec une personne de votre entourage plutôt qu’avec un inconnu. Une colocation n’est viable à long terme que si l’on a un minimum d’affinités et des styles de vie assez proches. « il faut avoir des vies qui se complètent, mais on n’est pas marié avec son colocataire. Il ne faut pas oublier que tout « capoter » du jour au lendemain », confirme Jérémy. Etudiants studieux et fêtards invétérés font rarement bon ménage… Une fois installé, il est préférable de fixer quelques règles de vie. Assurez-vous également que votre acolyte a les moyens de régler son loyer. En effet, il n’est pas rare que les propriétaires ajoutent une clause de solidarité sur le contrat de bail. Celle-ci permet au bailleur de se retourner contre les autres habitants du logement si l’un d’eux fait défaut pour le paiement du loyer et des charges. De plus, cette clause stipule que même après son départ, le colocataire reste solidaire des dettes jusqu’à l’expiration du bail. Chacun doit avoir signé le contrat de bail et se retrouve donc considéré du fait comme cotitulaire du bail. De cette signature découlent plusieurs obligations juridiques ; paiements du loyer et des charges, entretien des lieux. Le bailleur se doit, lui, de remettre un logement décent et de s’occuper des réparations à sa charge. Quand le logement est sous-loué, les occupants dont le nom ne figure pas sur le contrat de bail ne sont pas considérés comme des colocataires. Dès lors, ils n’ont aucun droit sur le logement (même s’ils contribuent au paiement du loyer), et n’ont pas d’obligations à l’égard du propriétaire. Enfin, il convient que tous les résidents soient assurés au titre de leur responsabilité civile locative.

71% des 16-25ans considèrent la colocation avant tout comme une nécessité économique.55 % des colocataires sont de jeunes salariés âgés de 20 à 35 ans, tandis que 40 % sont étudiants
62 %des colocations se font entre amis, 26 % entre inconnus et 12% entre membres d’une même famille

« Les seniors aussi » Jean Michel Thomas, fondateur du site coloc-senior.fr

La majorité des personnes qui postent des annonces sur notre site ont entre 50 et 60 ans. Ce sont surtout des femmes, souvent divorcées. Il faut franchir le cap. Pour une personne ayant longtemps vécu seule ou en couple, ce n’est pas facile de passer à la colocation.

Dans les grandes villes, la motivation première est de payer un loyer moins élevé. A la campagne, c’est surtout pour éviter la solitude. Par le biais de la colocation, certaines personnes recherchent sans doute aussi l’âme sœur.

Si ces formalités administratives ne vous font pas peur, sachez que 76 % des actuels ou ex-colocataires estiment que la colocation réserve « beaucoup de bons moments » au final. Alors, paré pour être acteur de votre propre Auberge espagnole.

Question 1 :

Dégagez trois idées favorisant la colocation et deux qui la favorise moins.

Question 2 :

"La colocation est un véritable phénomène de société. Jeunes actifs ou personnes âgées, tout le monde peut être concerné." En vous appuyant sur le texte (dont les données chiffrées) démontrer qui est la population qui pratique la colocation

Question 3 :

" Enfin, vivre à plusieurs, c'est accepter les défauts des autres et travailler sur soi "
Que pensez-vous de cette affirmation ? (réponse comportant intro, dev et conclusion)

Voili voilou... Le concours de Gonesse
Nounou77
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Re: Concours printemps 2012

Message par Nounou77 »

Kayth a écrit :Ayezzzz enfin fait ce foutu écrit ! Les tests psy étaient abordables mais comme même un peu complexe, la plupart je ne l'ai avais jamais vu auparavant. Le texte je l'ai retrouvé sur internet à peu prés je vous le met ainsi ce qui me reste des questions. Dis moi ce que vous en pensés pour que je compare mes réponses avec les votre!

Colocation, nécessité ou art de vivre ?

La colocation est un véritable phénomène de société. Jeunes actifs ou personnes âgées, tout le monde peut être concerné. Si l’aspect financier est souvent prépondérant, les adeptes de la cohabitation recherchent aussi plus de confort et une vie sociale enrichissante.

Viens chez moi, j’habite chez une copine … » un phénomène aujourd’hui loin d’être marginal, puisque 20 % des Français, et même jusqu’à 28 %des 25-34 ans ont déjà essayé ce mode de vie. Popularisé par le film L’Auberge espagnole, il est désormais entré dans les mœurs. Plusieurs sites internet lui sont d’ailleurs consacrés.

Face à la hausse du coût de la vie, des loyers et à la pénurie de logements dans certaines agglomérations, la colocation a de l’avenir. « C’est une nécessité financière avant tout », confirme Jérémy, 27 ans, qui habite à la Rochelle. « Ce sont les circonstances qui m’ont poussé vers la colocation. J’avais besoin d’indépendance, mais vu le prix des loyers et les cautions demandées … »

Cette difficulté à joindre les deux bouts amène de nouveaux publics vers ce mode d’hébergement alternatif : jeunes actifs, salariés au pouvoir d’achat rogné, retraités et adeptes de la vie en communauté, il faut aussi compter avec les accidents de la vie (séparation, chômage…) qui conduisent à la colocation pour raisons économiques. Cohabiter permet en effet aux occupants de réduire leur part de loyer. Etudiants ou travailleurs saisonniers peuvent ainsi s’installer chez des personnes âgées, en contrepartie d’un loyer modique et de quelques services rendus. Ces initiatives permettent de développer une réelle solidarité et un dialogue entre générations.



Dépenser moins pour être mieux logé

Outre l’aspect économique, de nombreuses raisons permettent d’expliquer le choix de ce mode de vie. L’union faisant la force, la colocation permet d’accéder à un confort qu’on ne pourrait pas envisager en solitaire. 68 % des personnes interrogées (sur échantillon de 809 jeunes de 16 à 25 ans) estiment ainsi que c’est un moyen de dépenser moins pour être mieux logé. Oublié le studio minuscule, place aux grands espaces ! C’est aussi l’occasion de mener une vie sociale riche. Fini les longues soirées d’hiver passées seul devant la télé, et vive les sorties et soirées organisées entre amis. Enfin, vivre à plusieurs, c’est apprendre à accepter les défauts des autres et travailler sur soi-même.

Pour tous ceux qui souhaitent franchir le pas, de nombreux sites internet proposent des petites annonces dans ce domaine. Un nouveau concept vient également de naître : les rencontres express entre colocataires potentiels. Elles reprennent le principe des rendez-vous (speed-datings) organisés pour trouver l’élu de son cœur. Il s’agit là de mettre en relation ceux qui cherchent à partager leur future habitation et ceux qui souhaitent trouver le colocataire idéal. Pour l’instant, ce concept n’existe toutefois que dans les grandes agglomérations.

Pour une colocation réussie, mieux vaut bien se renseigner. La cohabitation peut en effet vite devenir un chemin de croix … D’abord, il faut trouver un bailleur qui accepte de loger plusieurs personnes sous un même toit. Si la pratique s’est démocratisée, elle n’est pas encore du goût de tous les propriétaires. Ensuite, si vous en avez la possibilité, emménagez avec une personne de votre entourage plutôt qu’avec un inconnu. Une colocation n’est viable à long terme que si l’on a un minimum d’affinités et des styles de vie assez proches. « il faut avoir des vies qui se complètent, mais on n’est pas marié avec son colocataire. Il ne faut pas oublier que tout « capoter » du jour au lendemain », confirme Jérémy. Etudiants studieux et fêtards invétérés font rarement bon ménage… Une fois installé, il est préférable de fixer quelques règles de vie. Assurez-vous également que votre acolyte a les moyens de régler son loyer. En effet, il n’est pas rare que les propriétaires ajoutent une clause de solidarité sur le contrat de bail. Celle-ci permet au bailleur de se retourner contre les autres habitants du logement si l’un d’eux fait défaut pour le paiement du loyer et des charges. De plus, cette clause stipule que même après son départ, le colocataire reste solidaire des dettes jusqu’à l’expiration du bail. Chacun doit avoir signé le contrat de bail et se retrouve donc considéré du fait comme cotitulaire du bail. De cette signature découlent plusieurs obligations juridiques ; paiements du loyer et des charges, entretien des lieux. Le bailleur se doit, lui, de remettre un logement décent et de s’occuper des réparations à sa charge. Quand le logement est sous-loué, les occupants dont le nom ne figure pas sur le contrat de bail ne sont pas considérés comme des colocataires. Dès lors, ils n’ont aucun droit sur le logement (même s’ils contribuent au paiement du loyer), et n’ont pas d’obligations à l’égard du propriétaire. Enfin, il convient que tous les résidents soient assurés au titre de leur responsabilité civile locative.

71% des 16-25ans considèrent la colocation avant tout comme une nécessité économique.55 % des colocataires sont de jeunes salariés âgés de 20 à 35 ans, tandis que 40 % sont étudiants
62 %des colocations se font entre amis, 26 % entre inconnus et 12% entre membres d’une même famille

« Les seniors aussi » Jean Michel Thomas, fondateur du site coloc-senior.fr

La majorité des personnes qui postent des annonces sur notre site ont entre 50 et 60 ans. Ce sont surtout des femmes, souvent divorcées. Il faut franchir le cap. Pour une personne ayant longtemps vécu seule ou en couple, ce n’est pas facile de passer à la colocation.

Dans les grandes villes, la motivation première est de payer un loyer moins élevé. A la campagne, c’est surtout pour éviter la solitude. Par le biais de la colocation, certaines personnes recherchent sans doute aussi l’âme sœur.

Si ces formalités administratives ne vous font pas peur, sachez que 76 % des actuels ou ex-colocataires estiment que la colocation réserve « beaucoup de bons moments » au final. Alors, paré pour être acteur de votre propre Auberge espagnole.

Question 1 :

Dégagez trois idées favorisant la colocation et deux qui la favorise moins.

Question 2 :

"La colocation est un véritable phénomène de société. Jeunes actifs ou personnes âgées, tout le monde peut être concerné." En vous appuyant sur le texte (dont les données chiffrées) démontrer qui est la population qui pratique la colocation

Question 3 :

" Enfin, vivre à plusieurs, c'est accepter les défauts des autres et travailler sur soi "
Que pensez-vous de cette affirmation ? (réponse comportant intro, dev et conclusion)

Voili voilou... Le concours de Gonesse
Coucou, on a eu le même sujet lol ^^
Voici ce que j'en pense pour les tests psycho et le texte exact de cg :
http://www.infirmiers.com/forum/venez-r ... -1635.html
Pour les questions exactes et mes réponses (ce que j'ai mis)en culture gé :
http://www.infirmiers.com/forum/venez-r ... -1650.html
Voilà, dis-moi ce que t'en penses stp ^^
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Re: Je pars défaitiste :/

Message par Picsou80 »

vanessa8078 a écrit :Mais non t'inquiètes pas comme ça. Leur système de notation est bien plus complexe que ça. 10 réponses sur l'ensemble des tests c'est pas catastrophique . Gardes espoir.
Ouuii c'est vrai tu as raison j'espère m'être attrapé sur la culture générale au moins...En tout cas on étaient beaucoup (au moins 900)
KellyH
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Re: Concours printemps 2012

Message par KellyH »

Bonjour

J'aurais voulu avoir un renseignement concernant les test psy.
J'ai passé mon premier concours hier et lors des test les réponses étaient proposées sous la forme de A B C D et un grand nombre de D correspondait à "autre réponse"
Et ma question est: Est ce possible que la bonne réponse ne soit pas proposée et qu'il faut alors répondre D ?

Merci
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madeleine91
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Re: Concours printemps 2012

Message par madeleine91 »

Je croise les doigtspour Saint denis mais j'éspère que les notes se feront en fonction des autres :oops:
Parce que les tests d'aptitudes je les ai trouvé dures :choque:
Est ce que dans le premier exercice vous avez trouvez que Diana est en première?
et dans le test d'organisation il fallait compter le temps de la gare de lyon en métro soit 5 min plus les 5 min vers le bureau?
J'éspère l'avoir se sera une roue de secours en espérant que j'ai réussi L'APHP!!!
- 2012-2015 infirmière
- Infirmière urgences, réanimation, SSPI
- Entrée en école d'infirmière anesthésiste pour Octobre 2018! :D
madeleine91
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Re: Concours printemps 2012

Message par madeleine91 »

dans ma dernière question une partie j'ai dit:
- que les grandes agglomérations sont attractives et qu'ils y a une localisation des activités notamment professionnelles
_ parlé de surpopulation sur-urbanisation
- augmentation de divorces donc de familles monoparentales donc situation instable précaire
_ vieillissement de la population donc colocation va permettre de pallier à la solitude et aussi que cela représente une aide financière pour ceux ayant un retraite faible
_ les étudiants ( alléger les dépenses)
ensuite j'ai parlé des avantages:
_ colocation avec pers agéées permet l'aide intergénérationnelle
_ permet de se socialiser en apprennant les régles en collectivité
_ partage solidarité et un moyen de lutter contre l'individualisme en prenant en considération l'autre et en accéptant défauts et qualités
_ permet de développer la tolérance
( et j'ai dit pleins d'autres choses ) m'en rappelle plus...
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Zackfair
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Re: Concours printemps 2012

Message par Zackfair »

ça l'air d'être bien et tu as fais ça en trente lignes ?!
Se faire battre est excusable,se faire surprendre est inexcusable Napoléon
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki

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