Culture Générale
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Re: Actualités 2012
Le Québec s'attaque à l'industrie du tabac
Le gouvernement du Québec a annoncé, vendredi 8 juin, qu'il allait réclamer en justice plus de soixante milliards de dollars à l'industrie du tabac, en compensation des coûts du tabagisme pour le système de santé de la province canadienne.
Cette requête, qui vise aussi bien les fabricants canadiens qu'étrangers, tient compte des coûts assumés par la province depuis 1970 et de ceux prévus d'ici à 2030, a déclaré le ministre de la justice du Québec, Jean-Marc Fournier. "Nous déposons aujourd'hui une requête particulièrement détaillée et documentée, qui s'appuie [sur] plus de 1 300 documents émanant des fabricants eux-mêmes ainsi que sur une évaluation rigoureuse du coût des soins de santé liés au tabac", a déclaré le ministre.
Elle a été déposée devant la Cour supérieure du Québec à Montréal, où l'industrie du tabac conteste par ailleurs une loi adoptée en 2009 par la province autorisant ce type de recours. La poursuite vise les fabricants de produits du tabac qui "ont été membres, à un moment ou un autre, d'un des quatre grands groupes mondiaux", soit British American Tobacco, Rothmans, Philip Morris et R.J. Reynolds, a précisé le ministère de la justice.
DES CONSOMMATEURS INDUITS EN ERREUR
La décision de tenir compte des coûts futurs s'explique "par le fait que les fumeurs continuent d'éprouver des problèmes de santé importants tout au long de leur vie", a-t-il expliqué à la presse. "Ces fabricants ont omis d'informer les consommateurs, parmi lesquels on retrouve de nombreux enfants et adolescents, sur les caractéristiques véritables de leur produit et les ont induits en erreur sur les effets nocifs", a-t-il ajouté. "Nous croyons que ces agissements ont été faits volontairement et de façon concertée", a-t-il déclaré.
"Nous sommes très préoccupés des effets du tabagisme sur la population du Québec et des coûts qu'il engendre pour l'Etat québécois. Il est temps que les fabricants des produits du tabac assument leurs responsabilités", a-t-il poursuivi. Le montant réclamé par la province comprend deux grandes catégories de dépenses : le coût des soins de santé prodigués à des fumeurs et le coût des programmes associés à la lutte contre le tabagisme du ministère de la santé du Québec.
Le Québec devient ainsi la cinquième des dix provinces du Canada à poursuivre l'industrie du tabac pour obtenir compensation des coûts du tabagisme, après la Colombie-Britannique, le Nouveau-Brunswick, Terre-Neuve et l'Ontario. Cette dernière, la province la plus peuplée du Canada, a engagé une poursuite pour réclamant un montant de 50 milliards de dollars en 2009. Les autres provinces ont aussi annoncé leur intention de faire de même ou sont sur le point de le faire, a indiqué M. Fournier.
Le monde
Le gouvernement du Québec a annoncé, vendredi 8 juin, qu'il allait réclamer en justice plus de soixante milliards de dollars à l'industrie du tabac, en compensation des coûts du tabagisme pour le système de santé de la province canadienne.
Cette requête, qui vise aussi bien les fabricants canadiens qu'étrangers, tient compte des coûts assumés par la province depuis 1970 et de ceux prévus d'ici à 2030, a déclaré le ministre de la justice du Québec, Jean-Marc Fournier. "Nous déposons aujourd'hui une requête particulièrement détaillée et documentée, qui s'appuie [sur] plus de 1 300 documents émanant des fabricants eux-mêmes ainsi que sur une évaluation rigoureuse du coût des soins de santé liés au tabac", a déclaré le ministre.
Elle a été déposée devant la Cour supérieure du Québec à Montréal, où l'industrie du tabac conteste par ailleurs une loi adoptée en 2009 par la province autorisant ce type de recours. La poursuite vise les fabricants de produits du tabac qui "ont été membres, à un moment ou un autre, d'un des quatre grands groupes mondiaux", soit British American Tobacco, Rothmans, Philip Morris et R.J. Reynolds, a précisé le ministère de la justice.
DES CONSOMMATEURS INDUITS EN ERREUR
La décision de tenir compte des coûts futurs s'explique "par le fait que les fumeurs continuent d'éprouver des problèmes de santé importants tout au long de leur vie", a-t-il expliqué à la presse. "Ces fabricants ont omis d'informer les consommateurs, parmi lesquels on retrouve de nombreux enfants et adolescents, sur les caractéristiques véritables de leur produit et les ont induits en erreur sur les effets nocifs", a-t-il ajouté. "Nous croyons que ces agissements ont été faits volontairement et de façon concertée", a-t-il déclaré.
"Nous sommes très préoccupés des effets du tabagisme sur la population du Québec et des coûts qu'il engendre pour l'Etat québécois. Il est temps que les fabricants des produits du tabac assument leurs responsabilités", a-t-il poursuivi. Le montant réclamé par la province comprend deux grandes catégories de dépenses : le coût des soins de santé prodigués à des fumeurs et le coût des programmes associés à la lutte contre le tabagisme du ministère de la santé du Québec.
Le Québec devient ainsi la cinquième des dix provinces du Canada à poursuivre l'industrie du tabac pour obtenir compensation des coûts du tabagisme, après la Colombie-Britannique, le Nouveau-Brunswick, Terre-Neuve et l'Ontario. Cette dernière, la province la plus peuplée du Canada, a engagé une poursuite pour réclamant un montant de 50 milliards de dollars en 2009. Les autres provinces ont aussi annoncé leur intention de faire de même ou sont sur le point de le faire, a indiqué M. Fournier.
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Re: Actualités 2012
Les avions d'Air France bientôt branchés sur Internet
Le Point.fr - Publié le 11/06/2012 à 09:31
La connexion sera possible en vol depuis son ordinateur ou son smartphone. À des prix vertigineux...
Air France-KLM, longtemps réticente vis-à-vis du surf en vol, vient de se décider à entrer dans l'ère du numérique céleste. Le groupe, en difficulté financière, maintient néanmoins ses investissements en direction du client ainsi que ceux touchant à la sécurité des vols. Aussi, en février prochain, un Boeing 777-300 d'Air France et un autre de KLM vont, en partenariat avec Panasonic, tester la connexion à bord lors de vols intercontinentaux... puis la satisfaction des passagers qui rempliront un questionnaire en ligne. Cette innovation doit être resituée dans le contexte de l'entreprise. Alexandre de Juniac, nouveau P-DG et ancien de Thales, vient du numérique, alors que Jean-Cyril Spinetta, longtemps aux commandes de la compagnie, n'était pas très porté sur ces technologies. Aussi les services marketing d'Air France étaient-ils peu enclins à lancer des projets qui ne soulevaient pas l'enthousiasme en comité de direction. Enfin, le modèle économique d'Internet en l'air n'est toujours pas évident. Les équipements embarqués sur les avions sont coûteux et lourds, les communications par satellite de la bande Ku sont très chères. Certaines compagnies sont parties trop tôt vers cette technologie et on se souvient de la faillite de "Connexion by Boeing", arrêtée en 2006 au bout de deux ans. La problématique commerciale reste entière : comment faire payer une poignée d'euros de plus à un passager de la classe affaires qui a déjà acheté son billet 5 000 euros ?
Le prix et la tranquillité
Air France n'a pas encore tranché sur le tarif du mégaoctet à 12 000 mètres d'altitude. Il est vraisemblable que l'usage du téléphone pour des appels vocaux ou l'envoi de SMS seront débités directement par l'opérateur de l'abonné comme une communication internationale. Un accord de roaming avec la compagnie aérienne sera nécessaire, ainsi que l'autorisation des pays survolés.
Le temps passé sur Internet ou à regarder les programmes de télévision depuis son ordinateur portable ou sa tablette, connectés en Wi-Fi dans la cabine, sera facturé par la compagnie. Lufthansa, par exemple, demande 10,95 euros par heure ou 3 500 miles de fidélisation.
Ces nouvelles technologies permettent de gagner des clients... ou d'en perdre. Les compagnies restent très prudentes notamment vis-à-vis de l'utilisation du téléphone à bord. Un seul passager peut en gêner des dizaines d'autres dans un avion qui, lui, est de plus en plus silencieux. Les altercations entre passagers sont fréquentes dans le TGV, où les zones sans téléphone sont rarement respectées. Aussi est-il envisagé de n'autoriser les appels qu'à certains moments du vol et de les interdire la nuit. Air France va profiter de cette année de test pour affiner le mode d'emploi.
Toutes les grandes compagnies s'y intéressent
Oman Air a été la première compagnie au monde à proposer téléphone et Internet à bord, en mars 2010. Les autres compagnies du Golfe, Emirates et Etihad, ont suivi. En Europe, Lufthansa a pris une longueur d'avance sur ce service maintenant disponible sur 60 % de la flotte long-courrier. British Airways ne l'offre que sur deux avions, ceux reliant le London City Airport à New York, mais convient, au travers d'un récent sondage, que c'est une attente majeure de la clientèle. Tous les avions de Turkish Airlines devraient être connectés d'ici à la fin de l'année et le service sera gratuit. Singapore Airlines équipe ses avions, mais sans la voix. Aux États-Unis, la majorité des avions offrent une technologie différente qui fait appel à des relais radio au sol et ne fonctionne qu'au-dessus du sol américain.
Thierry Vigoureux
Le Point.fr - Publié le 11/06/2012 à 09:31
La connexion sera possible en vol depuis son ordinateur ou son smartphone. À des prix vertigineux...
Air France-KLM, longtemps réticente vis-à-vis du surf en vol, vient de se décider à entrer dans l'ère du numérique céleste. Le groupe, en difficulté financière, maintient néanmoins ses investissements en direction du client ainsi que ceux touchant à la sécurité des vols. Aussi, en février prochain, un Boeing 777-300 d'Air France et un autre de KLM vont, en partenariat avec Panasonic, tester la connexion à bord lors de vols intercontinentaux... puis la satisfaction des passagers qui rempliront un questionnaire en ligne. Cette innovation doit être resituée dans le contexte de l'entreprise. Alexandre de Juniac, nouveau P-DG et ancien de Thales, vient du numérique, alors que Jean-Cyril Spinetta, longtemps aux commandes de la compagnie, n'était pas très porté sur ces technologies. Aussi les services marketing d'Air France étaient-ils peu enclins à lancer des projets qui ne soulevaient pas l'enthousiasme en comité de direction. Enfin, le modèle économique d'Internet en l'air n'est toujours pas évident. Les équipements embarqués sur les avions sont coûteux et lourds, les communications par satellite de la bande Ku sont très chères. Certaines compagnies sont parties trop tôt vers cette technologie et on se souvient de la faillite de "Connexion by Boeing", arrêtée en 2006 au bout de deux ans. La problématique commerciale reste entière : comment faire payer une poignée d'euros de plus à un passager de la classe affaires qui a déjà acheté son billet 5 000 euros ?
Le prix et la tranquillité
Air France n'a pas encore tranché sur le tarif du mégaoctet à 12 000 mètres d'altitude. Il est vraisemblable que l'usage du téléphone pour des appels vocaux ou l'envoi de SMS seront débités directement par l'opérateur de l'abonné comme une communication internationale. Un accord de roaming avec la compagnie aérienne sera nécessaire, ainsi que l'autorisation des pays survolés.
Le temps passé sur Internet ou à regarder les programmes de télévision depuis son ordinateur portable ou sa tablette, connectés en Wi-Fi dans la cabine, sera facturé par la compagnie. Lufthansa, par exemple, demande 10,95 euros par heure ou 3 500 miles de fidélisation.
Ces nouvelles technologies permettent de gagner des clients... ou d'en perdre. Les compagnies restent très prudentes notamment vis-à-vis de l'utilisation du téléphone à bord. Un seul passager peut en gêner des dizaines d'autres dans un avion qui, lui, est de plus en plus silencieux. Les altercations entre passagers sont fréquentes dans le TGV, où les zones sans téléphone sont rarement respectées. Aussi est-il envisagé de n'autoriser les appels qu'à certains moments du vol et de les interdire la nuit. Air France va profiter de cette année de test pour affiner le mode d'emploi.
Toutes les grandes compagnies s'y intéressent
Oman Air a été la première compagnie au monde à proposer téléphone et Internet à bord, en mars 2010. Les autres compagnies du Golfe, Emirates et Etihad, ont suivi. En Europe, Lufthansa a pris une longueur d'avance sur ce service maintenant disponible sur 60 % de la flotte long-courrier. British Airways ne l'offre que sur deux avions, ceux reliant le London City Airport à New York, mais convient, au travers d'un récent sondage, que c'est une attente majeure de la clientèle. Tous les avions de Turkish Airlines devraient être connectés d'ici à la fin de l'année et le service sera gratuit. Singapore Airlines équipe ses avions, mais sans la voix. Aux États-Unis, la majorité des avions offrent une technologie différente qui fait appel à des relais radio au sol et ne fonctionne qu'au-dessus du sol américain.
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Re: Actualités 2012
Grossesse : Le génome d'un foetus établi sans amiosynthèse
Le génome d'un foetus a pu être établi à partir de la salive et du sang des parents.
Génétique. Des travaux publiés mercredi aux Etats-Unis révèlent que des chercheurs sont parvenus à séquencer le génome d'un foetus lors de la grossesse à partir d'un échantillon de sang de la mère et de salive du père. Cette technique, non-envahissante, est jugée plus sûre que les prélèvements de fluide d'ordinaire effectués dans l'utérus. Cette procédure est en effet la plus courante pour effectuer des tests destinés à détecter certains troubles génétiques comme la présence de trois copies du chromosome 21, responsable de la trisomie 21 (le mongolisme).
Une technique plus précise
Les auteurs de cette étude parue dans la revue médicale Science Translational Medicine ont ainsi expliqué que le séquençage du génome du foetus permet de détecter un nombre nettement plus grand de variations génétiques et de façon plus détaillée. A noter: le sang a été prélevé alors que la mère entrait dans sa 18e semaine de grossesse. Jacob Kitzman et Matthew Snyder, de l'Université de Washington à Seattle (Etat de Washington, nord-ouest) ont également précisé que ces échantillons sanguin de la mère et de salive du père contenaient suffisamment d'informations génétiques pour séquencer le génome du foetus. Cette méthode a ensuite été répétée avec un autre couple dont la femme était plus près du début de sa grossesse. Les chercheurs ont pu vérifié l'exactitude de leur séquençage foetal et de leurs prédictions génétiques à partir du sang du cordon ombilical prélevé à la naissance.
Découvrir des troubles
Les scientifiques savent depuis longtemps que le plasma sanguin d'une femme enceinte contient des cellules de l'ADN de l'enfant à naître et que l'ADN foetal apparaît dans le plasma de la mère quelques semaines après la conception. Un enfant peut par ailleurs présenter des variations génétiques non-partagées avec aucun de ses parents. Ces nouvelles variations peuvent également apparaître pendant la formation de l'oeuf, du sperme ou près de la conception. Et alors que ces nouvelles mutations sont la source d'une proportion importante des troubles génétiques, les auteurs de cette étude estiment que les découvrir est essentiel pour établir un diagnostic génétique prénatal complet.
France soir
Le génome d'un foetus a pu être établi à partir de la salive et du sang des parents.
Génétique. Des travaux publiés mercredi aux Etats-Unis révèlent que des chercheurs sont parvenus à séquencer le génome d'un foetus lors de la grossesse à partir d'un échantillon de sang de la mère et de salive du père. Cette technique, non-envahissante, est jugée plus sûre que les prélèvements de fluide d'ordinaire effectués dans l'utérus. Cette procédure est en effet la plus courante pour effectuer des tests destinés à détecter certains troubles génétiques comme la présence de trois copies du chromosome 21, responsable de la trisomie 21 (le mongolisme).
Une technique plus précise
Les auteurs de cette étude parue dans la revue médicale Science Translational Medicine ont ainsi expliqué que le séquençage du génome du foetus permet de détecter un nombre nettement plus grand de variations génétiques et de façon plus détaillée. A noter: le sang a été prélevé alors que la mère entrait dans sa 18e semaine de grossesse. Jacob Kitzman et Matthew Snyder, de l'Université de Washington à Seattle (Etat de Washington, nord-ouest) ont également précisé que ces échantillons sanguin de la mère et de salive du père contenaient suffisamment d'informations génétiques pour séquencer le génome du foetus. Cette méthode a ensuite été répétée avec un autre couple dont la femme était plus près du début de sa grossesse. Les chercheurs ont pu vérifié l'exactitude de leur séquençage foetal et de leurs prédictions génétiques à partir du sang du cordon ombilical prélevé à la naissance.
Découvrir des troubles
Les scientifiques savent depuis longtemps que le plasma sanguin d'une femme enceinte contient des cellules de l'ADN de l'enfant à naître et que l'ADN foetal apparaît dans le plasma de la mère quelques semaines après la conception. Un enfant peut par ailleurs présenter des variations génétiques non-partagées avec aucun de ses parents. Ces nouvelles variations peuvent également apparaître pendant la formation de l'oeuf, du sperme ou près de la conception. Et alors que ces nouvelles mutations sont la source d'une proportion importante des troubles génétiques, les auteurs de cette étude estiment que les découvrir est essentiel pour établir un diagnostic génétique prénatal complet.
France soir
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Comme tu voulais un avis, je te donne le mien: c'est Très bien!cerisette08 a écrit :Le soin peut il être non verbale
Intro:
Communication non verbale: mode de communication n'ayant pas recours au verbe c'est à dire utilisé - consciemment ou non - sans le recours du langage, porte sur le langage corporel et sur l'environnement qui nous entoure
Soins : ils impliquent non seulement la recherche, l'étude et la connaissance de la santé, mais également l'application de cette connaissance aux fins d'améliorer la santé, de guérir des maladies, et d'améliorer le fonctionnement du corps.
Dvlpt:
La parole importante
=> pour les patient:
* permet de situer le mal, de le décrire.
* notion psychologique: extérioriser sa peur, décrire ses émotions, "soupape" de l'ame
=> pour les soignant:
* explication des soins, de la maladie
* amorcé la discutions avec le patient
La parole obselette
=> si pas de possibilité de parler:
* patient dans le coma, non communicant (ne savant pas parler), les nourrirons
=> si pas envie de parler:
* pour ne pas être au courant de leur état
=> les gestes aussi sont important:
* atittudes: sourire, regard
* gestes: douceur dans les soins, main compatissante sur une épaule, massage si personnes allitée, mettre de la musique, ouvrir les fenêtre.
(ex: histoire d'une ESI avec un patient "muet" qui lui a remis une pantoufle tombé et qui lui a dis merci)
CCl:
Si la parole parait importante dans notre société, pour nous exprimé et nous faire comprendre mais il existe un part non négligeable de langage non verbale qui dans le soins peut faire toute la différence...
Alors j'avais fais un plan en 10 minutes et finalement au moment de vous écrire j'ai refais autrement mais avec en gros les même idée dites moi ce que vous en pensez, je suis septique sur mon plan...

Re: Actualités 2012
Ces couples séparés qui partagent le même toit
L'Ined s'est penché sur le cas des ménages dissous qui vivent ensemble pour des raisons éducatives ou économiques.
Ils se séparèrent et… continuèrent à vivre sous le même toit. À l'époque des divorces éclairs et des vies amoureuses successives, des couples à contre-courant optent pour le «vivre ensemble séparé». Ce sont les «LTA», les «living together apart», comme les ont baptisés des sociologues américains. Ces drôles de colocataires partagent leur désamour au sein du même foyer, le temps d'élever leurs enfants ou pour se mettre à l'abri des risques économiques de la rupture.
Un choix que revendique Stéphanie, une Parisienne d'une cinquantaine d'années qui continue de partager le lit de son mari, son café du matin et son rôti de veau du soir, mais sans les élans du cœur. Certes, elle doit s'accommoder des découchages et des dîners écourtés, mais «notre tribu et tout ce que nous avons construit depuis plus de vingt ans mérite mieux qu'une séparation», plaide cette mère de trois grands enfants. Son époux, qui a «délocalisé» sa vie sentimentale, dit préférer continuer de vivre dans un grand appartement et se tenir à l'écart des embrouillaminis d'une famille recomposée.
Après tout, cette formule du «vivre ensemble séparé» n'est-elle pas une histoire vieille comme l'amour? Pas pour le chercheur de l'Ined, Claude Martin, auteur d'une comparaison franco-américaine sur ce mode de vie. «Si, statistiquement parlant, la proportion de couples insatisfaits qui restent ensemble est certainement plus faible aujourd'hui que dans les années 1950, les couples dans le désamour qui aujourd'hui ne se séparent pas sont plus conscients de leur condition que dans le passé», explique-t-il dans son étude.
10% des familles pauvres seraient concernées aux États-Unis
Nourri par la crise économique, le phénomène, difficile à évaluer, semble plus aigu et plus visible. Ainsi, dans une Amérique touchée de plein fouet par la crise des subprimes, environ 10% des familles pauvres seraient concernées, rapporte Claude Martin. En France, le chercheur s'est penché sur des trajectoires de couples des classes moyennes. Pour eux, le maintien du lien parental constitue l'une des principales justifications à cet arrangement. Roland, un professeur de lycée de 49 ans, a ainsi supporté un «véritable chaos conjugal». «Elle (sa femme) m'a souvent menacé de partir avec eux, loin, et de me faire une guerre à distance dans le cadre d'un divorce hyperconflictuel… Alors, j'ai choisi d'attendre, de rester aux côtés de mes enfants et de les voir grandir…», raconte cet homme prêt à subir les désagréments d'une situation ambiguë plutôt que d'affronter la solitude. «La nouvelle division du temps et de l'espace engendre de nombreuses frictions, note Claude Martin. Ceux qui le peuvent vont faire chambre à part. La répartition des tâches est remise en cause: l'organisation de la cuisine, du linge. Et ce, parfois, dans une ambiance de plomb.»
En période de crise immobilière, le logement peut aussi constituer le ciment du couple. La difficulté de financer un nouvel appartement ou de vendre une maison prolonge alors la vie commune des tourtereaux dépris l'un de l'autre. «Certains clients attendent quelques années avant de faire exploser leur couple. Ils savent que la facture peut être lourde, surtout quand ils doivent de surcroît financer les études supérieures de leurs enfants. Ils font le calcul qu'ils vivront mieux dans un seul appartement, avec deux salaires, et en partageant les frais de scolarité», décrit Me Hélène Poivey-Leclercq, spécialiste du droit familial. Après avoir listé les conséquences du divorce avec son avocat, Madeleine, employée dans une librairie, a eu «l'impression d'un gouffre qui s'ouvrait»devant elle. Peur du déclassement social, manque de foi dans un avenir meilleur... elle a choisi le statu quo. «Comme si le coût économique et parental du divorce était trop élevé aujourd'hui», résume Claude Martin.
Le Figaro
L'Ined s'est penché sur le cas des ménages dissous qui vivent ensemble pour des raisons éducatives ou économiques.
Ils se séparèrent et… continuèrent à vivre sous le même toit. À l'époque des divorces éclairs et des vies amoureuses successives, des couples à contre-courant optent pour le «vivre ensemble séparé». Ce sont les «LTA», les «living together apart», comme les ont baptisés des sociologues américains. Ces drôles de colocataires partagent leur désamour au sein du même foyer, le temps d'élever leurs enfants ou pour se mettre à l'abri des risques économiques de la rupture.
Un choix que revendique Stéphanie, une Parisienne d'une cinquantaine d'années qui continue de partager le lit de son mari, son café du matin et son rôti de veau du soir, mais sans les élans du cœur. Certes, elle doit s'accommoder des découchages et des dîners écourtés, mais «notre tribu et tout ce que nous avons construit depuis plus de vingt ans mérite mieux qu'une séparation», plaide cette mère de trois grands enfants. Son époux, qui a «délocalisé» sa vie sentimentale, dit préférer continuer de vivre dans un grand appartement et se tenir à l'écart des embrouillaminis d'une famille recomposée.
Après tout, cette formule du «vivre ensemble séparé» n'est-elle pas une histoire vieille comme l'amour? Pas pour le chercheur de l'Ined, Claude Martin, auteur d'une comparaison franco-américaine sur ce mode de vie. «Si, statistiquement parlant, la proportion de couples insatisfaits qui restent ensemble est certainement plus faible aujourd'hui que dans les années 1950, les couples dans le désamour qui aujourd'hui ne se séparent pas sont plus conscients de leur condition que dans le passé», explique-t-il dans son étude.
10% des familles pauvres seraient concernées aux États-Unis
Nourri par la crise économique, le phénomène, difficile à évaluer, semble plus aigu et plus visible. Ainsi, dans une Amérique touchée de plein fouet par la crise des subprimes, environ 10% des familles pauvres seraient concernées, rapporte Claude Martin. En France, le chercheur s'est penché sur des trajectoires de couples des classes moyennes. Pour eux, le maintien du lien parental constitue l'une des principales justifications à cet arrangement. Roland, un professeur de lycée de 49 ans, a ainsi supporté un «véritable chaos conjugal». «Elle (sa femme) m'a souvent menacé de partir avec eux, loin, et de me faire une guerre à distance dans le cadre d'un divorce hyperconflictuel… Alors, j'ai choisi d'attendre, de rester aux côtés de mes enfants et de les voir grandir…», raconte cet homme prêt à subir les désagréments d'une situation ambiguë plutôt que d'affronter la solitude. «La nouvelle division du temps et de l'espace engendre de nombreuses frictions, note Claude Martin. Ceux qui le peuvent vont faire chambre à part. La répartition des tâches est remise en cause: l'organisation de la cuisine, du linge. Et ce, parfois, dans une ambiance de plomb.»
En période de crise immobilière, le logement peut aussi constituer le ciment du couple. La difficulté de financer un nouvel appartement ou de vendre une maison prolonge alors la vie commune des tourtereaux dépris l'un de l'autre. «Certains clients attendent quelques années avant de faire exploser leur couple. Ils savent que la facture peut être lourde, surtout quand ils doivent de surcroît financer les études supérieures de leurs enfants. Ils font le calcul qu'ils vivront mieux dans un seul appartement, avec deux salaires, et en partageant les frais de scolarité», décrit Me Hélène Poivey-Leclercq, spécialiste du droit familial. Après avoir listé les conséquences du divorce avec son avocat, Madeleine, employée dans une librairie, a eu «l'impression d'un gouffre qui s'ouvrait»devant elle. Peur du déclassement social, manque de foi dans un avenir meilleur... elle a choisi le statu quo. «Comme si le coût économique et parental du divorce était trop élevé aujourd'hui», résume Claude Martin.
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Re: Actualités 2012
Les failles de la lutte contre le diabète
Par Delphine Chayet - le 08/06/2012
Selon un rapport de l'Igas, le système de soins français peine à s'adapter à une maladie longtemps dénuée de symptômes.
Avec trois millions de malades traités, le diabète est aujourd'hui la première maladie chronique en France, devant les cancers et les pathologies cardio-vasculaires. Son coût progresse de 1 milliard d'euros par an, pour atteindre aujourd'hui 13 milliards. Pourtant, le dépistage, la surveillance et le traitement de cette maladie métabolique, dont les complications sont à l'origine d'une importante mortalité, ne sont pas à la hauteur, selon un rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) publié cette semaine. L'enjeu est crucial alors que la prévalence du diabète ne cesse d'augmenter du fait du vieillissement de la population et de l'augmentation du taux d'obésité.
• Un suivi et une surveillance des patients «insatisfaisants»
C'est sur les médecins généralistes que repose la prise en charge des diabétiques de type 2. Il s'agit notamment de détecter précocement l'apparition des complications, de s'assurer de la bonne prise du traitement ou encore d'éduquer le patient aux règles de nutrition et d'hygiène de vie importantes pour ralentir l'évolution de la maladie. Mais l'organisation des soins de premier recours, conçue pour faire face à des pathologies aiguës, est mal adaptée à cette surveillance au long cours. Plusieurs points faibles sont relevés par l'Igas: isolement et insuffisante formation des médecins, rémunération à l'acte inappropriée pour faire de l'éducation thérapeutique, absence de suivi actif des patients… Conséquence: malgré les efforts déployés ces dernières années, «la fréquence et la gravité des complications ne diminuent pas», constatent le Dr Gilles Lecoq, Danièle Jourdain-Menninger et Annick Morel, auteurs du rapport.
• De fortes inégalités géographiques et sociales
Le diabète touche davantage les populations précaires ou fragilisées et frappe de manière inégale sur le territoire. Le nord-est de la France concentre ainsi une forte prévalence du diabète et de l'obésité, à l'inverse des régions de l'ouest. Les taux les plus élevés sont cependant recensés en outre-mer. Des actions de prévention et de prise en charge sont mises en place par les autorités sanitaires, mais elles ne parviennent pas à cibler les populations à risque ni à les faire entrer dans le dispositif.
• Le dépistage du diabète et de l'obésité chez l'enfant à améliorer
Chez l'enfant et l'adolescent, le dépistage précoce de l'obésité «n'est pas encore suffisamment répandu», déplore l'Igas. Ce repérage, dont l'importance a été soulignée par la Haute Autorité de santé, suppose une meilleure utilisation des courbes d'indice de masse corporelle (IMC), qui figurent désormais dans les carnets de santé. Le rapport déplore aussi un dépistage «médiocre» du diabète de type 1 (insulinodépendant) chez les plus jeunes, alors qu'une découverte précoce est là encore capitale pour éviter un coma inaugural. L'inspection souhaite donc une sensibilisation du grand public et des médecins à la reconnaissance des signes fonctionnels du diabète: soif importante, envie fréquente d'uriner, fatigue, perte de poids, nausées ou vomissements, odeur acétonémique de l'haleine, etc.
• La sécurité et l'efficacité des antidiabétiques en question
La France est un des plus gros consommateurs européens des nouvelles générations d'antidiabétiques oraux. Ces médicaments posent pourtant, selon l'Igas, «des problèmes de qualité et de sécurité nécessitant une meilleure surveillance des autorités sanitaires, après leur autorisation de mise sur le marché». Les auteurs du rapport citent en exemple l'affaire des glitazones, finalement retirés en 2010 et 2011 en raison d'une balance bénéfice-risque défavorable. Les nouveaux antidiabétiques apparus dans la dernière décennie représentent encore aujourd'hui 15 % des traitements prescrits et approximativement la moitié des dépenses d'assurance-maladie, hors insuline, alors que «leur amélioration du service médical rendu est mineure (voire nulle)». La décision de rembourser ces médicaments mérite ainsi d'être mieux pesée et débattue. D'autant que les traitements oraux plus anciens - biguanides et sulfamides - ont fait la preuve de leur efficacité et sont peu coûteux.
Le Figaro
Par Delphine Chayet - le 08/06/2012
Selon un rapport de l'Igas, le système de soins français peine à s'adapter à une maladie longtemps dénuée de symptômes.
Avec trois millions de malades traités, le diabète est aujourd'hui la première maladie chronique en France, devant les cancers et les pathologies cardio-vasculaires. Son coût progresse de 1 milliard d'euros par an, pour atteindre aujourd'hui 13 milliards. Pourtant, le dépistage, la surveillance et le traitement de cette maladie métabolique, dont les complications sont à l'origine d'une importante mortalité, ne sont pas à la hauteur, selon un rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) publié cette semaine. L'enjeu est crucial alors que la prévalence du diabète ne cesse d'augmenter du fait du vieillissement de la population et de l'augmentation du taux d'obésité.
• Un suivi et une surveillance des patients «insatisfaisants»
C'est sur les médecins généralistes que repose la prise en charge des diabétiques de type 2. Il s'agit notamment de détecter précocement l'apparition des complications, de s'assurer de la bonne prise du traitement ou encore d'éduquer le patient aux règles de nutrition et d'hygiène de vie importantes pour ralentir l'évolution de la maladie. Mais l'organisation des soins de premier recours, conçue pour faire face à des pathologies aiguës, est mal adaptée à cette surveillance au long cours. Plusieurs points faibles sont relevés par l'Igas: isolement et insuffisante formation des médecins, rémunération à l'acte inappropriée pour faire de l'éducation thérapeutique, absence de suivi actif des patients… Conséquence: malgré les efforts déployés ces dernières années, «la fréquence et la gravité des complications ne diminuent pas», constatent le Dr Gilles Lecoq, Danièle Jourdain-Menninger et Annick Morel, auteurs du rapport.
• De fortes inégalités géographiques et sociales
Le diabète touche davantage les populations précaires ou fragilisées et frappe de manière inégale sur le territoire. Le nord-est de la France concentre ainsi une forte prévalence du diabète et de l'obésité, à l'inverse des régions de l'ouest. Les taux les plus élevés sont cependant recensés en outre-mer. Des actions de prévention et de prise en charge sont mises en place par les autorités sanitaires, mais elles ne parviennent pas à cibler les populations à risque ni à les faire entrer dans le dispositif.
• Le dépistage du diabète et de l'obésité chez l'enfant à améliorer
Chez l'enfant et l'adolescent, le dépistage précoce de l'obésité «n'est pas encore suffisamment répandu», déplore l'Igas. Ce repérage, dont l'importance a été soulignée par la Haute Autorité de santé, suppose une meilleure utilisation des courbes d'indice de masse corporelle (IMC), qui figurent désormais dans les carnets de santé. Le rapport déplore aussi un dépistage «médiocre» du diabète de type 1 (insulinodépendant) chez les plus jeunes, alors qu'une découverte précoce est là encore capitale pour éviter un coma inaugural. L'inspection souhaite donc une sensibilisation du grand public et des médecins à la reconnaissance des signes fonctionnels du diabète: soif importante, envie fréquente d'uriner, fatigue, perte de poids, nausées ou vomissements, odeur acétonémique de l'haleine, etc.
• La sécurité et l'efficacité des antidiabétiques en question
La France est un des plus gros consommateurs européens des nouvelles générations d'antidiabétiques oraux. Ces médicaments posent pourtant, selon l'Igas, «des problèmes de qualité et de sécurité nécessitant une meilleure surveillance des autorités sanitaires, après leur autorisation de mise sur le marché». Les auteurs du rapport citent en exemple l'affaire des glitazones, finalement retirés en 2010 et 2011 en raison d'une balance bénéfice-risque défavorable. Les nouveaux antidiabétiques apparus dans la dernière décennie représentent encore aujourd'hui 15 % des traitements prescrits et approximativement la moitié des dépenses d'assurance-maladie, hors insuline, alors que «leur amélioration du service médical rendu est mineure (voire nulle)». La décision de rembourser ces médicaments mérite ainsi d'être mieux pesée et débattue. D'autant que les traitements oraux plus anciens - biguanides et sulfamides - ont fait la preuve de leur efficacité et sont peu coûteux.
Le Figaro
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Re: Actualités 2012
Le bénévolat, nouveau facteur d'épanouissement personnel
Par Pascale Senk - le 11/06/2012
Une étude récente montre l'évolution de l'engagement associatif, loin du stéréotype de la dame patronesse.
L'époque où le bénévolat était le fait de dames patronnesses en mal d'activité est bien révolu. Une récente étude menée par Roger Sue et Jean-Michel Peter, du Centre de recherche sur les liens sociaux (CNRS/Université Paris Descartes) montre à la fois la grande vitalité de l'engagement associatif, mais aussi ses mutations profondes, que celles-ci concernent les motivations des bénévoles ou les bénéfices qu'ils retirent de leur engagement.
Pour mener cette recherche, les sociologues ont interviewé une soixantaine de bénévoles et analysé ces entretiens. Première découverte: les hommes sont légèrement plus nombreux que les femmes à s'engager et ils préfèrent le faire dans des secteurs tels que le sport, la culture ou les loisirs, quand celles-ci donnent dans l'action sociale éducative, religieuse ou humanitaire.
Au niveau de l'âge, si les seniors (un peu avant et un peu après la retraite) sont majoritaires dans cette population, on observe que 35% de jeunes de moins de 25 ans occupent désormais le secteur. Une présence que les chercheurs expliquent notamment par «la sensibilité de cette nouvelle génération au fondement profondément égalitaire du bénévolat» et par le besoin d'acquérir des compétences de plus en plus reconnues par des employeurs potentiels. Etre bénévole se révèle être «un plus» dans un CV.
«Une source de plaisir»
Deuxième grande mutation: ce sont toutes les classes sociales qui aident (y compris les chômeurs). «Nous ne sommes plus dans l'assistance aristocratique ou bourgeoise, expliquent les chercheurs, mais dans un espace de solidarité qui touche la société toute entière».
Enfin, un véritable changement de discours montre que le bénévolat est devenu «une source de loisir et de plaisir». Très autonomes, les volontaires d'aujourd'hui trouvent dans cette action au départ désintéressée une source d'épanouissement personnel qui dépasse toute idée de «mission». «Se connaître», «se produire», mais aussi «se réaliser»: tels sont les termes qui reviennent le plus souvent dans le discours des bénévoles pour qualifier leur motivations «Exprimer leur personnalité», «faire des rencontres enrichissantes» apparaissent aussi déterminants. Ainsi, «s'accomplir» aujourd'hui, comme y invite l'environnement social, peut passer désormais par d'autres voies que la vie professionnelle ou familiale. «Et, contrairement à ce que l'on peut entendre dans les médias, le lien social est plus que jamais présent», estiment les chercheurs.
Le figaro
Par Pascale Senk - le 11/06/2012
Une étude récente montre l'évolution de l'engagement associatif, loin du stéréotype de la dame patronesse.
L'époque où le bénévolat était le fait de dames patronnesses en mal d'activité est bien révolu. Une récente étude menée par Roger Sue et Jean-Michel Peter, du Centre de recherche sur les liens sociaux (CNRS/Université Paris Descartes) montre à la fois la grande vitalité de l'engagement associatif, mais aussi ses mutations profondes, que celles-ci concernent les motivations des bénévoles ou les bénéfices qu'ils retirent de leur engagement.
Pour mener cette recherche, les sociologues ont interviewé une soixantaine de bénévoles et analysé ces entretiens. Première découverte: les hommes sont légèrement plus nombreux que les femmes à s'engager et ils préfèrent le faire dans des secteurs tels que le sport, la culture ou les loisirs, quand celles-ci donnent dans l'action sociale éducative, religieuse ou humanitaire.
Au niveau de l'âge, si les seniors (un peu avant et un peu après la retraite) sont majoritaires dans cette population, on observe que 35% de jeunes de moins de 25 ans occupent désormais le secteur. Une présence que les chercheurs expliquent notamment par «la sensibilité de cette nouvelle génération au fondement profondément égalitaire du bénévolat» et par le besoin d'acquérir des compétences de plus en plus reconnues par des employeurs potentiels. Etre bénévole se révèle être «un plus» dans un CV.
«Une source de plaisir»
Deuxième grande mutation: ce sont toutes les classes sociales qui aident (y compris les chômeurs). «Nous ne sommes plus dans l'assistance aristocratique ou bourgeoise, expliquent les chercheurs, mais dans un espace de solidarité qui touche la société toute entière».
Enfin, un véritable changement de discours montre que le bénévolat est devenu «une source de loisir et de plaisir». Très autonomes, les volontaires d'aujourd'hui trouvent dans cette action au départ désintéressée une source d'épanouissement personnel qui dépasse toute idée de «mission». «Se connaître», «se produire», mais aussi «se réaliser»: tels sont les termes qui reviennent le plus souvent dans le discours des bénévoles pour qualifier leur motivations «Exprimer leur personnalité», «faire des rencontres enrichissantes» apparaissent aussi déterminants. Ainsi, «s'accomplir» aujourd'hui, comme y invite l'environnement social, peut passer désormais par d'autres voies que la vie professionnelle ou familiale. «Et, contrairement à ce que l'on peut entendre dans les médias, le lien social est plus que jamais présent», estiment les chercheurs.
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Re: Actualités 2012
Les bactéries, nos invisibles voisines de bureau
Par Martine Perez - le 08/06/2012
Des chercheurs ont analysé les microbes qui peuplent notre environnement de travail. Ces derniers seraient plus nombreux chez les hommes que chez leurs collègues féminines.
Qu'on le veuille ou non, le corps humain est investi par des bactéries diverses et variées, qui lorsque l'on est en bonne santé ne posent aucun problème, voire même constituent une «flore» qui nous protège contre les infections. Dans la bouche, le nez, le tube digestif, sur la peau, une multitude de bactéries vivent en bonne harmonie avec nous, sont nos alliées, nous défendent. En général. Même, nous égrenons ces bactéries «saprophytes» dans notre environnement, notamment sur les objets que nous touchons le plus, poignées de porte, téléphone…
Une enquête américaine publiée le 30 mai dans la revue PLos Onerévèle cependant que les bureaux des hommes contiennent bien plus de ces bactéries que ceux des femmes. Elle dévoile aussi que les germes que l'on retrouve à San Francisco et à New York sont exactement les mêmes.
«Les êtres humains passent de plus en plus de temps dans des lieux fermés. Mais finalement, nous connaissons peu de chose de la diversité des bactéries et des virus là où nous vivons, travaillons et nous détendons, explique le Dr Scott Kelley (Université de Californie), auteur principal de l'étude. Nous avons donc décidé d'examiner de plus près ces microbes qui nous entourent.»
Les chercheurs se sont penchés sur des dizaines de bureaux dans trois villes américaines et ont identifié plus de 500 types de bactéries différentes. Les plus abondantes proviennent de la peau, du nez, de la bouche et du tube digestif. Ils ont aussi découvert que les chaises et les téléphones grouillaient particulièrement de ces bactéries. L'écran, le clavier d'ordinateur et la souris semblant moins infestés. Enfin, les bureaux masculins étaient bien plus «pollués» par ces microbes inoffensifs que ceux des femmes. Mais dans les deux sexes, les types de bactéries étaient bien les mêmes.
Pour autant, pas de quoi s'affoler de la présence en grand nombre de ces microbes dans les bureaux, notamment masculins: ils sont invisibles et inodores et ne pourraient éventuellement menacer que des malades atteints d'une forme très sévère d'immunodépression.
Figaro
Par Martine Perez - le 08/06/2012
Des chercheurs ont analysé les microbes qui peuplent notre environnement de travail. Ces derniers seraient plus nombreux chez les hommes que chez leurs collègues féminines.
Qu'on le veuille ou non, le corps humain est investi par des bactéries diverses et variées, qui lorsque l'on est en bonne santé ne posent aucun problème, voire même constituent une «flore» qui nous protège contre les infections. Dans la bouche, le nez, le tube digestif, sur la peau, une multitude de bactéries vivent en bonne harmonie avec nous, sont nos alliées, nous défendent. En général. Même, nous égrenons ces bactéries «saprophytes» dans notre environnement, notamment sur les objets que nous touchons le plus, poignées de porte, téléphone…
Une enquête américaine publiée le 30 mai dans la revue PLos Onerévèle cependant que les bureaux des hommes contiennent bien plus de ces bactéries que ceux des femmes. Elle dévoile aussi que les germes que l'on retrouve à San Francisco et à New York sont exactement les mêmes.
«Les êtres humains passent de plus en plus de temps dans des lieux fermés. Mais finalement, nous connaissons peu de chose de la diversité des bactéries et des virus là où nous vivons, travaillons et nous détendons, explique le Dr Scott Kelley (Université de Californie), auteur principal de l'étude. Nous avons donc décidé d'examiner de plus près ces microbes qui nous entourent.»
Les chercheurs se sont penchés sur des dizaines de bureaux dans trois villes américaines et ont identifié plus de 500 types de bactéries différentes. Les plus abondantes proviennent de la peau, du nez, de la bouche et du tube digestif. Ils ont aussi découvert que les chaises et les téléphones grouillaient particulièrement de ces bactéries. L'écran, le clavier d'ordinateur et la souris semblant moins infestés. Enfin, les bureaux masculins étaient bien plus «pollués» par ces microbes inoffensifs que ceux des femmes. Mais dans les deux sexes, les types de bactéries étaient bien les mêmes.
Pour autant, pas de quoi s'affoler de la présence en grand nombre de ces microbes dans les bureaux, notamment masculins: ils sont invisibles et inodores et ne pourraient éventuellement menacer que des malades atteints d'une forme très sévère d'immunodépression.
Figaro
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Il manque des arguments de logiques (enquête de l'OMS, citation,...) et l'introduction est un peu trop étoffé sinon cela reste correct.cerisette08 a écrit :Le soin peut il être non verbale
Intro:
Communication non verbale: mode de communication n'ayant pas recours au verbe c'est à dire utilisé - consciemment ou non - sans le recours du langage, porte sur le langage corporel et sur l'environnement qui nous entoure
Soins : ils impliquent non seulement la recherche, l'étude et la connaissance de la santé, mais également l'application de cette connaissance aux fins d'améliorer la santé, de guérir des maladies, et d'améliorer le fonctionnement du corps.
Dvlpt:
La parole importante
=> pour les patient:
* permet de situer le mal, de le décrire.
* notion psychologique: extérioriser sa peur, décrire ses émotions, "soupape" de l'ame
=> pour les soignant:
* explication des soins, de la maladie
* amorcé la discutions avec le patient
La parole obselette
=> si pas de possibilité de parler:
* patient dans le coma, non communicant (ne savant pas parler), les nourrirons
=> si pas envie de parler:
* pour ne pas être au courant de leur état
=> les gestes aussi sont important:
* atittudes: sourire, regard
* gestes: douceur dans les soins, main compatissante sur une épaule, massage si personnes allitée, mettre de la musique, ouvrir les fenêtre.
(ex: histoire d'une ESI avec un patient "muet" qui lui a remis une pantoufle tombé et qui lui a dis merci)
CCl:
Si la parole parait importante dans notre société, pour nous exprimé et nous faire comprendre mais il existe un part non négligeable de langage non verbale qui dans le soins peut faire toute la différence...
Alors j'avais fais un plan en 10 minutes et finalement au moment de vous écrire j'ai refais autrement mais avec en gros les même idée dites moi ce que vous en pensez, je suis septique sur mon plan...
Infirmier depuis le 24 juillet 2015.
Re: Fiches culture générale 2012
Salut Papillon pour l'actualité je te conseil de suivre:
_http://www.infirmiers.com/forum/actualites-2012-t112902.html
(Les articles les plus récents sont à la fin...)
OU/ET
_http://oral-de-concours.over-blog.com/article-enfants-en-difficultes-l-alternative-au-placement-en-internat-106740032.html

_http://www.infirmiers.com/forum/actualites-2012-t112902.html
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Re: Fiches culture générale 2012
salut !Memo a écrit :Salut Papillon pour l'actualité je te conseil de suivre:
_http://www.infirmiers.com/forum/actualites-2012-t112902.html
(Les articles les plus récents sont à la fin...)
OU/ET
_http://oral-de-concours.over-blog.com/article-enfants-en-difficultes-l-alternative-au-placement-en-internat-106740032.html
merci à toi memo

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DE aide-soignante 2007
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Bonjour a toute et tous,
j'ai passé mon oral ce matin a l'ifsi cannes, j'ai beaucoup appris dapres ce que vous avait marqué ce qui me pousse a vous faire partager mon oral.
Le sujet etait etre citoyen qu'est ce que cela implique au quotidien?
j'ai fait un plan I) droit
droit de vote, de s'impliquer dans les association ,dans la ville, droit citoyenet droit de circuler librement, nationalité francaise, droit a la sécurité sociale
et II) devoir
respect des autres de la loie, ne pas laisser les autre dans le besoin, eviter toutes nuisance, payer ses impot taxe facture, scolariser les enfants...
bon j'ai pas briller mais elles avaient l'aire plus ou moins satisfaite.
Elles ne m'ont pas posé de question par rapport a mon exposer.
Ensuite les question c'etait de savoir ce que je faisait, je suis auxiliaire de vie scolaire
donc elles on voulu savoir ce que j'avais appris de cet experiences, comment j'en etait arriever la.
Ensuite elle m'ont demander comment j'allais financer ma formation, en quoi consister les etudes, dans qu'elle secteur si je n'avait pas peur de la mort, les qualiter d'une infirmieres mes qualités, mes loisirs, Elles m'ont dit que je parler vite mais bon apres c'est pas facil de savoir ce qu'elles en ont penser elles avaient l'aire satisfaite mais on est jamais sur de rien
reponse le 3 juillet , courage et merde a ceux qui l'on pas encore passer, allez y sur de vous et optimiste§
!
j'ai passé mon oral ce matin a l'ifsi cannes, j'ai beaucoup appris dapres ce que vous avait marqué ce qui me pousse a vous faire partager mon oral.
Le sujet etait etre citoyen qu'est ce que cela implique au quotidien?
j'ai fait un plan I) droit
droit de vote, de s'impliquer dans les association ,dans la ville, droit citoyenet droit de circuler librement, nationalité francaise, droit a la sécurité sociale
et II) devoir
respect des autres de la loie, ne pas laisser les autre dans le besoin, eviter toutes nuisance, payer ses impot taxe facture, scolariser les enfants...
bon j'ai pas briller mais elles avaient l'aire plus ou moins satisfaite.
Elles ne m'ont pas posé de question par rapport a mon exposer.
Ensuite les question c'etait de savoir ce que je faisait, je suis auxiliaire de vie scolaire
donc elles on voulu savoir ce que j'avais appris de cet experiences, comment j'en etait arriever la.
Ensuite elle m'ont demander comment j'allais financer ma formation, en quoi consister les etudes, dans qu'elle secteur si je n'avait pas peur de la mort, les qualiter d'une infirmieres mes qualités, mes loisirs, Elles m'ont dit que je parler vite mais bon apres c'est pas facil de savoir ce qu'elles en ont penser elles avaient l'aire satisfaite mais on est jamais sur de rien
reponse le 3 juillet , courage et merde a ceux qui l'on pas encore passer, allez y sur de vous et optimiste§
!
Sera finalement ifsi après tant de sacrifice et d'attente!
-
- Forcené
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Alors tu mettrais quoi comme arguments logique????Jonathan1 a écrit :Il manque des arguments de logiques (enquête de l'OMS, citation,...) et l'introduction est un peu trop étoffé sinon cela reste correct.cerisette08 a écrit :Le soin peut il être non verbale
Intro:
Communication non verbale: mode de communication n'ayant pas recours au verbe c'est à dire utilisé - consciemment ou non - sans le recours du langage, porte sur le langage corporel et sur l'environnement qui nous entoure
Soins : ils impliquent non seulement la recherche, l'étude et la connaissance de la santé, mais également l'application de cette connaissance aux fins d'améliorer la santé, de guérir des maladies, et d'améliorer le fonctionnement du corps.
Dvlpt:
La parole importante
=> pour les patient:
* permet de situer le mal, de le décrire.
* notion psychologique: extérioriser sa peur, décrire ses émotions, "soupape" de l'ame
=> pour les soignant:
* explication des soins, de la maladie
* amorcé la discutions avec le patient
La parole obselette
=> si pas de possibilité de parler:
* patient dans le coma, non communicant (ne savant pas parler), les nourrirons
=> si pas envie de parler:
* pour ne pas être au courant de leur état
=> les gestes aussi sont important:
* atittudes: sourire, regard
* gestes: douceur dans les soins, main compatissante sur une épaule, massage si personnes allitée, mettre de la musique, ouvrir les fenêtre.
(ex: histoire d'une ESI avec un patient "muet" qui lui a remis une pantoufle tombé et qui lui a dis merci)
CCl:
Si la parole parait importante dans notre société, pour nous exprimé et nous faire comprendre mais il existe un part non négligeable de langage non verbale qui dans le soins peut faire toute la différence...
Alors j'avais fais un plan en 10 minutes et finalement au moment de vous écrire j'ai refais autrement mais avec en gros les même idée dites moi ce que vous en pensez, je suis septique sur mon plan...
Technicienne de laboratoire en reconversion! ah non ESI........
St Malo - ADMISE
Charleville Mézières - ADMISE
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- Forcené
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- Inscription : 12 janv. 2011 11:47
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
hello je vous poste ce que j'ai fait hier soir... bonne lecture, n'hesité pas a me dire les defauts
« Les plus grandes victoires sont celles que l’on remporte sur soi-même » Bobby Jones
Intro
Les victoires sont …….. Tout au long de notre vie, nous subissons des traumatismes et des bonheurs. On dit que tous ce qui nous tue pas nous rend plus fort et donc que ce sont les plus grandes victoires que l’on remporte soi-même nous allons donc voir comment cette citation et celle proposé dans le sujet se révèlent être des vérités reconnues.
Dvlpt
I / Les épreuves de la vie :
Décès / La situation financière /situation sociale / situation familiale / situation professionnelle
II/ Conséquences :
Chômage / dépression / maladies / divorce / dépendance / isolement / misère sociale et financière / suicide
III/ Solutions :
Regard et réflexions sur ces décisions / compréhension de ses erreurs / décision de demande d’aide / décision de tout faire pour être heureux malgré les épreuves
Ccl
Malgré les épreuves de la vie l’homme tend toujours à devenir meilleur, a mieux réussir ce qu’il entreprend, que ce soit une vie familiale épanouie ou une carrière professionnelle brillante. Mais dans toutes ces étapes, une chose reste primordiale, c’est la santé…
En quoi les épreuves de la vie changent elles le sens de la vie ?
Je mettrais a peu près les même idées que précédemment dans le développement mais changerais l’intro et la conclusion
Ecouter, c’est presque répondre
Idées :
Discussion
Communication verbale
Communication non verbale => mimique du visage, gestes, exclamation
On entend donc on écoute et on réfléchit à ces idées => on émet diverses réactions, accord désaccord
Voilà désolé il commence à se faire tard et ce sujet me laisse sceptique. (il est 23h16)
La meilleure façon de se protéger, c’est de comprendre
Intro
Définition de protéger et de comprendre
Dvlpt
I / Prévention et ses moyens : capote, campagne de prévention
II / Compréhension des choses : Etudes sur les maladies par exemple, compréhension de la manière dont on en est arrivé là dans la vie
III/ Lois => faites pour nous aider à comprendre : contre l’alcool / programme de prévention dans les écoles
Ccl
Je partirais sur les limites de la prévention
Aujourd’hui, tous les gens ont la maladie de se soigner – Albert Willemetz
Alors là je sèche …
Intro
Définition de la maladie et de soigner
Dvlpt
I / explication du jeu de mot : Jeux de mots sur le fait que les gens sont « accro » aux médicaments => devient une dépendance donc une maladie au même titre que les addictions aux drogues (alcool – tabac)
II/ Les causes : Consommation de médicaments : français premier consommateur d’Europe car Sécurité sociale => plus facile de se soigner que dans d’autre pays (même si gros soucis : trou de la sécu / médecine à deux vitesse)
III / Les conséquences : financier => trou de la sécu / devenu un budget dans les ménage français - qualitatif => médecine à deux vitesse
Ccl
Prévention des risques de la surconsommation des médicaments induit dans notre manière de soigner, dans les conseils que l’on peut donner => rôle premier de l’infirmière de donner l’information
Bon si c’est venu mais en 15 minutes par contre
La télévision a pour but de transformer les téléspectateurs en consommateur – Albert Dupontel
Intro
Visée de la citation sur la publicité qui nous conditionne
Dvlpt
I/ Publicité : définition
II/ Comment ils nous conditionnent : moyen de pression sur les mœurs sociales
III/ Les conséquences : le fait que nous achetons
Ccl
Les campagnes de publicité télévisuelles à visée de prévention
C’est le mérite de la science, d’être exempt d’émotion
La science par définition ne reposant que sur des faits avérés et prouvés ne concerne pas la partie sensible de l’humanité (en gros c’est comme ça et pas autrement qu’on soit content ou pas !)
Mais ce fait de ne pas reposer sur les sentiments humain ne peut que la servir dans l’objectivité des découvertes.
:-/
Même si je conjugue ma vie à tous les modes, sur tous les temps, il manquera toujours le mode d’emploi
Super pessimiste je trouve comme déclaration, pas de plan, sauf détruire cette citation…
Une idée m’est venue comme ça pourquoi ne pas faire un plan type
I/ Même si l’on essaie de maitriser tous les éléments => études pour bonne situation professionnelle et économique / choix du conjoint, décision de faire des enfants ou non / mode de vie et alimentation saine
II/ La vie n’est faite que d’imprévus => on n’a effectivement pas le mode d’emploi : réaction des gens imprévue / conséquences indirectes positives / effets non désirés
C’est précisément dans les petites choses, où il ne songe pas soigner sa contenance, que l’homme dévoile son caractère.
Intro
A part dire que l’on est naturel que quand on est seule car
Dvlpt
I/ En société on joue toujours un jeu, pour cacher ses problèmes => ne pas faire voir que l’on ne va pas bien
II/ Dans la famille => rôle : protection par exemple
III/ Dans le secteur professionnel
Ccl
??? Téléréalité => danger de la perte de cette soupape de moment de solitude qui permet de pouvoir se « ressourcé » sans jouer de rôle ??? (Vraiment pas top, je préférais trouver un lien avec le sujet)
« Silence, on écoute » Que comprenez vous de cette phrase ? qu’en pensez vous ?
La pour le plan, ça va, c’est dans la question !
I/ Compréhension/explication de la phrase
II/ Ce que j’en pense
Apres pour le contenu c’est autre chose…..
« Les plus grandes victoires sont celles que l’on remporte sur soi-même » Bobby Jones
Intro
Les victoires sont …….. Tout au long de notre vie, nous subissons des traumatismes et des bonheurs. On dit que tous ce qui nous tue pas nous rend plus fort et donc que ce sont les plus grandes victoires que l’on remporte soi-même nous allons donc voir comment cette citation et celle proposé dans le sujet se révèlent être des vérités reconnues.
Dvlpt
I / Les épreuves de la vie :
Décès / La situation financière /situation sociale / situation familiale / situation professionnelle
II/ Conséquences :
Chômage / dépression / maladies / divorce / dépendance / isolement / misère sociale et financière / suicide
III/ Solutions :
Regard et réflexions sur ces décisions / compréhension de ses erreurs / décision de demande d’aide / décision de tout faire pour être heureux malgré les épreuves
Ccl
Malgré les épreuves de la vie l’homme tend toujours à devenir meilleur, a mieux réussir ce qu’il entreprend, que ce soit une vie familiale épanouie ou une carrière professionnelle brillante. Mais dans toutes ces étapes, une chose reste primordiale, c’est la santé…
En quoi les épreuves de la vie changent elles le sens de la vie ?
Je mettrais a peu près les même idées que précédemment dans le développement mais changerais l’intro et la conclusion
Ecouter, c’est presque répondre
Idées :
Discussion
Communication verbale
Communication non verbale => mimique du visage, gestes, exclamation
On entend donc on écoute et on réfléchit à ces idées => on émet diverses réactions, accord désaccord
Voilà désolé il commence à se faire tard et ce sujet me laisse sceptique. (il est 23h16)
La meilleure façon de se protéger, c’est de comprendre
Intro
Définition de protéger et de comprendre
Dvlpt
I / Prévention et ses moyens : capote, campagne de prévention
II / Compréhension des choses : Etudes sur les maladies par exemple, compréhension de la manière dont on en est arrivé là dans la vie
III/ Lois => faites pour nous aider à comprendre : contre l’alcool / programme de prévention dans les écoles
Ccl
Je partirais sur les limites de la prévention
Aujourd’hui, tous les gens ont la maladie de se soigner – Albert Willemetz
Alors là je sèche …
Intro
Définition de la maladie et de soigner
Dvlpt
I / explication du jeu de mot : Jeux de mots sur le fait que les gens sont « accro » aux médicaments => devient une dépendance donc une maladie au même titre que les addictions aux drogues (alcool – tabac)
II/ Les causes : Consommation de médicaments : français premier consommateur d’Europe car Sécurité sociale => plus facile de se soigner que dans d’autre pays (même si gros soucis : trou de la sécu / médecine à deux vitesse)
III / Les conséquences : financier => trou de la sécu / devenu un budget dans les ménage français - qualitatif => médecine à deux vitesse
Ccl
Prévention des risques de la surconsommation des médicaments induit dans notre manière de soigner, dans les conseils que l’on peut donner => rôle premier de l’infirmière de donner l’information
Bon si c’est venu mais en 15 minutes par contre
La télévision a pour but de transformer les téléspectateurs en consommateur – Albert Dupontel
Intro
Visée de la citation sur la publicité qui nous conditionne
Dvlpt
I/ Publicité : définition
II/ Comment ils nous conditionnent : moyen de pression sur les mœurs sociales
III/ Les conséquences : le fait que nous achetons
Ccl
Les campagnes de publicité télévisuelles à visée de prévention
C’est le mérite de la science, d’être exempt d’émotion
La science par définition ne reposant que sur des faits avérés et prouvés ne concerne pas la partie sensible de l’humanité (en gros c’est comme ça et pas autrement qu’on soit content ou pas !)
Mais ce fait de ne pas reposer sur les sentiments humain ne peut que la servir dans l’objectivité des découvertes.
:-/
Même si je conjugue ma vie à tous les modes, sur tous les temps, il manquera toujours le mode d’emploi
Super pessimiste je trouve comme déclaration, pas de plan, sauf détruire cette citation…
Une idée m’est venue comme ça pourquoi ne pas faire un plan type
I/ Même si l’on essaie de maitriser tous les éléments => études pour bonne situation professionnelle et économique / choix du conjoint, décision de faire des enfants ou non / mode de vie et alimentation saine
II/ La vie n’est faite que d’imprévus => on n’a effectivement pas le mode d’emploi : réaction des gens imprévue / conséquences indirectes positives / effets non désirés
C’est précisément dans les petites choses, où il ne songe pas soigner sa contenance, que l’homme dévoile son caractère.
Intro
A part dire que l’on est naturel que quand on est seule car
Dvlpt
I/ En société on joue toujours un jeu, pour cacher ses problèmes => ne pas faire voir que l’on ne va pas bien
II/ Dans la famille => rôle : protection par exemple
III/ Dans le secteur professionnel
Ccl
??? Téléréalité => danger de la perte de cette soupape de moment de solitude qui permet de pouvoir se « ressourcé » sans jouer de rôle ??? (Vraiment pas top, je préférais trouver un lien avec le sujet)
« Silence, on écoute » Que comprenez vous de cette phrase ? qu’en pensez vous ?
La pour le plan, ça va, c’est dans la question !
I/ Compréhension/explication de la phrase
II/ Ce que j’en pense
Apres pour le contenu c’est autre chose…..
Technicienne de laboratoire en reconversion! ah non ESI........
St Malo - ADMISE
Charleville Mézières - ADMISE
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Re: Fiches culture générale 2012
bonjours à tous. Je suis de chaumont et je souhaiterai des renseignements sur le concours IFSI.