Actualités 2012
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
300 kg de cannabis à bord, il force un barrage et perd le contrôle de son véhicule
Hier vers 8 heures, les services de la police aux frontières des P.-O. effectuaient un de leurs contrôles habituels dans le secteur du Boulou et soumettaient un conducteur à vérifications lorsqu'un second véhicule, en provenance d'Espagne, a soudain fait irruption, refusant de se soumettre.
Il force le barrage
Selon les premiers éléments, l'automobiliste a forcé le barrage et a réussi à prendre la fuite en direction d'Argelès. Pris en chasse, l'homme qui circulait semble-t-il a très grande vitesse a alors perdu le contrôle sur la voie rapide à hauteur de Palau-del-Vidre et a percuté de plein fouet la rambarde de sécurité. Sous la violence du choc, la voiture, immatriculée en région picarde, s'est immédiatement immobilisée.
Légèrement blessé
Le conducteur a été très légèrement blessé. Son état ne nécessitant pas son transport aux urgences, il a été immédiatement placé en garde à vue par les fonctionnaires de la PAF qui ont aussitôt cherché à comprendre les raisons de sa fuite et ont entamé la fouille de la voiture.
300 kg de cannabis
Et, à l'intérieur, ils ont découvert des tablettes renfermant de la résine de cannabis, placées dans plusieurs sacs, pour un poids total de plus de 300 kg.
Le suspect, de nationalité française, mais qui ne serait pas domicilié dans les P.-O., était toujours entendu hier soir. Il devait être remis aux services de la police judiciaire. De plus, la JIRS (juridiction inter-régionale spécialisée) de Marseille pourrait être saisie afin de poursuivre les investigations et tenter d'identifier d'éventuelles ramifications de ce trafic.
Midi libreÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Hier vers 8 heures, les services de la police aux frontières des P.-O. effectuaient un de leurs contrôles habituels dans le secteur du Boulou et soumettaient un conducteur à vérifications lorsqu'un second véhicule, en provenance d'Espagne, a soudain fait irruption, refusant de se soumettre.
Il force le barrage
Selon les premiers éléments, l'automobiliste a forcé le barrage et a réussi à prendre la fuite en direction d'Argelès. Pris en chasse, l'homme qui circulait semble-t-il a très grande vitesse a alors perdu le contrôle sur la voie rapide à hauteur de Palau-del-Vidre et a percuté de plein fouet la rambarde de sécurité. Sous la violence du choc, la voiture, immatriculée en région picarde, s'est immédiatement immobilisée.
Légèrement blessé
Le conducteur a été très légèrement blessé. Son état ne nécessitant pas son transport aux urgences, il a été immédiatement placé en garde à vue par les fonctionnaires de la PAF qui ont aussitôt cherché à comprendre les raisons de sa fuite et ont entamé la fouille de la voiture.
300 kg de cannabis
Et, à l'intérieur, ils ont découvert des tablettes renfermant de la résine de cannabis, placées dans plusieurs sacs, pour un poids total de plus de 300 kg.
Le suspect, de nationalité française, mais qui ne serait pas domicilié dans les P.-O., était toujours entendu hier soir. Il devait être remis aux services de la police judiciaire. De plus, la JIRS (juridiction inter-régionale spécialisée) de Marseille pourrait être saisie afin de poursuivre les investigations et tenter d'identifier d'éventuelles ramifications de ce trafic.
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Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
L’inquiétant bilan de santé de nos médecins
Dans la région, ils sont plus nombreux en moyenne qu’en France, mais aussi plus âgés et surmenés. La pénurie menace.
Quel est le profil des médecins du Languedoc-Roussillon ? Une thèse de médecine donne une image inédite de la profession. L’auteur, Carole Wieger, a réalisé un travail "exceptionnel", salué par le président du jury Philippe Lambert, généraliste à Sète. Plus riche que les habituels états des lieux. Elle confirme d’abord qu’avec 11 498 médecins, soit "365 pour 100 000 habitants, le Languedoc-Roussillon est la 3e région française la mieux dotée en médecins après l’Ile-de-France et Paca".
La situation est, on le sait, disparate. Une "très forte densité médicale" dans l’Hérault avec 437,1 pour 100 000 habitants, mais dans l’arrière-pays (Bédarieux, Le Bousquet-d’Orb...) une "diminution de l’offre de soins (...) inquiétante". La métropole régionale reste attractive : 42 % des nouveaux inscrits à l’Ordre régional s’installent à Montpellier.
Autre indication : "La population médicale est plus âgée en moyenne" (51 ans) que sur le reste du territoire. En revanche, comme partout ailleurs, la profession se féminise : chez les moins de 35 ans, 7 praticiens sur 10 sont des femmes, elles s’installent en moyenne à 33 ans, contre 37 ans chez les hommes. Enfin, ici, 51 % des médecins sont des généralistes. Mais il ne manque pas de spécialistes. "La densité médicale régionale dans toutes les spécialités est supérieure au niveau national, à l’exception de la gynécologie obstétrique et de la psychiatrie", souligne la thèse qui rappelle que la région est aussi 2e pour la consommation de soins en France.
Carole Wieger : "De statut de surdotée, la région va basculer dans celui de sous-dotée"
Ce que l’on sait moins : la situation ne va pas durer. "Entre 2007 et 2011, 101 médecins généralistes partis à la retraite n’auraient pas été remplacés", souligne Carole Wieger, qui rappelle que pendant des années, il n’y a "pas eu de correspondance entre le numerus clausus et le nombre de postes d’internat ouverts cinq ans plus tard". Si, en 2011, la situation s’équilibre enfin, ce n’est pas sans difficulté : "Les pouvoirs publics nous ont entendus. On a obtenu 60 internes de plus cette année, soit 175 postes. Mais on a du mal à leur trouver des formations", souligne Philippe Lambert. Et pour rééquilibrer les chiffres, ce sera peut-être trop tard. Un gouffre s’est creusé.
"La région a enregistré une baisse de 48,7 % des nouvelles inscriptions en trente ans", constate la thésarde. A l’inverse, au 1er janvier 2010, "le nombre de sortants a progressé de 190 % par rapport au 1er janvier 1998". "De statut de région surdotée, le Languedoc-Roussillon va basculer dans celui de sous-dotée", annonce Carole Wieger, qui prédit une baisse de 30 % de la densité médicale à l’horizon 2030, la plus forte de France juste derrière la Corse (- 35 %).
Dans le même temps, "c’est dans la région que la part des plus de 60 ans dans la population va le plus augmenter", précise la thésarde. De quoi inquiéter une profession fragilisée.
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Dans la région, ils sont plus nombreux en moyenne qu’en France, mais aussi plus âgés et surmenés. La pénurie menace.
Quel est le profil des médecins du Languedoc-Roussillon ? Une thèse de médecine donne une image inédite de la profession. L’auteur, Carole Wieger, a réalisé un travail "exceptionnel", salué par le président du jury Philippe Lambert, généraliste à Sète. Plus riche que les habituels états des lieux. Elle confirme d’abord qu’avec 11 498 médecins, soit "365 pour 100 000 habitants, le Languedoc-Roussillon est la 3e région française la mieux dotée en médecins après l’Ile-de-France et Paca".
La situation est, on le sait, disparate. Une "très forte densité médicale" dans l’Hérault avec 437,1 pour 100 000 habitants, mais dans l’arrière-pays (Bédarieux, Le Bousquet-d’Orb...) une "diminution de l’offre de soins (...) inquiétante". La métropole régionale reste attractive : 42 % des nouveaux inscrits à l’Ordre régional s’installent à Montpellier.
Autre indication : "La population médicale est plus âgée en moyenne" (51 ans) que sur le reste du territoire. En revanche, comme partout ailleurs, la profession se féminise : chez les moins de 35 ans, 7 praticiens sur 10 sont des femmes, elles s’installent en moyenne à 33 ans, contre 37 ans chez les hommes. Enfin, ici, 51 % des médecins sont des généralistes. Mais il ne manque pas de spécialistes. "La densité médicale régionale dans toutes les spécialités est supérieure au niveau national, à l’exception de la gynécologie obstétrique et de la psychiatrie", souligne la thèse qui rappelle que la région est aussi 2e pour la consommation de soins en France.
Carole Wieger : "De statut de surdotée, la région va basculer dans celui de sous-dotée"
Ce que l’on sait moins : la situation ne va pas durer. "Entre 2007 et 2011, 101 médecins généralistes partis à la retraite n’auraient pas été remplacés", souligne Carole Wieger, qui rappelle que pendant des années, il n’y a "pas eu de correspondance entre le numerus clausus et le nombre de postes d’internat ouverts cinq ans plus tard". Si, en 2011, la situation s’équilibre enfin, ce n’est pas sans difficulté : "Les pouvoirs publics nous ont entendus. On a obtenu 60 internes de plus cette année, soit 175 postes. Mais on a du mal à leur trouver des formations", souligne Philippe Lambert. Et pour rééquilibrer les chiffres, ce sera peut-être trop tard. Un gouffre s’est creusé.
"La région a enregistré une baisse de 48,7 % des nouvelles inscriptions en trente ans", constate la thésarde. A l’inverse, au 1er janvier 2010, "le nombre de sortants a progressé de 190 % par rapport au 1er janvier 1998". "De statut de région surdotée, le Languedoc-Roussillon va basculer dans celui de sous-dotée", annonce Carole Wieger, qui prédit une baisse de 30 % de la densité médicale à l’horizon 2030, la plus forte de France juste derrière la Corse (- 35 %).
Dans le même temps, "c’est dans la région que la part des plus de 60 ans dans la population va le plus augmenter", précise la thésarde. De quoi inquiéter une profession fragilisée.
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Re: Actualités concours 2012
Merci a tous pour l'actu et le magazine de la santé !
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INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Violences à la maison de retraite : les salariées nient les coups
Les avocates de la défense ont remis en cause la gravité des gestes dénoncés.
On se souvient de l’émoi provoqué mi-septembre (Midi Libre du 15 septembre) lorsque le directeur de la maison de retraite “Les Acacias” à Magalas, village proche de Béziers, a porté plainte contre deux de ses employées, veilleuses de nuit sans formation, pour "violence sur une personne vulnérable n’ayant pas entraîné d’incapacité".
Hier, lors de leurs comparutions devant le tribunal correctionnel de Béziers, les deux prévenues et leurs avocates ont démonté les accusations point à point.
Des rivalités entre les salariés de l'établissement
Elles ont été dénoncées par des collègues et il apparaît que certaines rivalités existaient entre les équipes. Si elles ont reconnu des faits en garde à vue et dans le bureau de la direction (elles ont été mises à pied), c’est "sous la pression". À la barre, la plus âgée admet que face à la crise de démence de la résidente : "Je lui ai mis son tranchant de la main dans la bouche pour qu’elle se rende compte que cela m’avait fait mal quand elle m’avait mordu."
La plus jeune reconnaît elle aussi : "J’ai levé les bras pour essayer de la calmer et je lui ai donné une tape sur la joue involontairement." Une de ses anciennes collègues l’aurait entendu dire : "Elle m’en a mis une et je lui en ai mis une." La prévenue se justifie : "C’est une façon de parler." Et il existait des antagonismes entre les deux femmes. Dans cette affaire, très médiatisée, il a aussi été question de fessées, d’injures...
Six mois avec sursis requis
La vice-procureur Élodie Torrés ne veut s’attacher qu’aux faits établis : "Ni plus, ni moins. Il n’y a pas dans ce dossier de maltraitance récurrente. Le médecin légiste n’a pas constaté de lésions permanentes." La représentante du parquet parle de comportements déplacés sur des personnes particulièrement vulnérables. Elle requiert six mois de prison avec sursis et interdiction de travailler avec des personnes âgées.
Les avocates de la défense mettent en avant le manque de formation de leurs clientes qui se retrouvaient seules la nuit avec de plus en plus de responsabilités. Et elles citent des témoignages favorables aux deux femmes dont celui de la fille d’une des victimes : "Moi, je n’y arrive plus. Je suppose que si ma mère avait essayé de me faire la même chose j’aurai agi de même." La défense a plaidé la relaxe. Le jugement a été mis en délibéré au 18 octobre.
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Les avocates de la défense ont remis en cause la gravité des gestes dénoncés.
On se souvient de l’émoi provoqué mi-septembre (Midi Libre du 15 septembre) lorsque le directeur de la maison de retraite “Les Acacias” à Magalas, village proche de Béziers, a porté plainte contre deux de ses employées, veilleuses de nuit sans formation, pour "violence sur une personne vulnérable n’ayant pas entraîné d’incapacité".
Hier, lors de leurs comparutions devant le tribunal correctionnel de Béziers, les deux prévenues et leurs avocates ont démonté les accusations point à point.
Des rivalités entre les salariés de l'établissement
Elles ont été dénoncées par des collègues et il apparaît que certaines rivalités existaient entre les équipes. Si elles ont reconnu des faits en garde à vue et dans le bureau de la direction (elles ont été mises à pied), c’est "sous la pression". À la barre, la plus âgée admet que face à la crise de démence de la résidente : "Je lui ai mis son tranchant de la main dans la bouche pour qu’elle se rende compte que cela m’avait fait mal quand elle m’avait mordu."
La plus jeune reconnaît elle aussi : "J’ai levé les bras pour essayer de la calmer et je lui ai donné une tape sur la joue involontairement." Une de ses anciennes collègues l’aurait entendu dire : "Elle m’en a mis une et je lui en ai mis une." La prévenue se justifie : "C’est une façon de parler." Et il existait des antagonismes entre les deux femmes. Dans cette affaire, très médiatisée, il a aussi été question de fessées, d’injures...
Six mois avec sursis requis
La vice-procureur Élodie Torrés ne veut s’attacher qu’aux faits établis : "Ni plus, ni moins. Il n’y a pas dans ce dossier de maltraitance récurrente. Le médecin légiste n’a pas constaté de lésions permanentes." La représentante du parquet parle de comportements déplacés sur des personnes particulièrement vulnérables. Elle requiert six mois de prison avec sursis et interdiction de travailler avec des personnes âgées.
Les avocates de la défense mettent en avant le manque de formation de leurs clientes qui se retrouvaient seules la nuit avec de plus en plus de responsabilités. Et elles citent des témoignages favorables aux deux femmes dont celui de la fille d’une des victimes : "Moi, je n’y arrive plus. Je suppose que si ma mère avait essayé de me faire la même chose j’aurai agi de même." La défense a plaidé la relaxe. Le jugement a été mis en délibéré au 18 octobre.
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Re: Actualités concours 2012
Décès après un repas au McDonald's : l’autopsie n’a pas encore révélé tous ses secrets
"Nous n’avons pas encore reçu les résultats des analyses bactériologiques." C’est le procureur de Nîmes, Robert Gély, qui l’affirme après avoir diligenté une enquête auprès de la brigade de gendarmerie de Laudun. Une autopsie de la victime avait été pratiquée le lendemain (nos précédentes éditions). Mais il faudra encore attendre quelques jours pour connaître les raisons exactes de décès.
La Gardoise a-t-elle été victime d'une crise cardiaque ?
Il y a une semaine, vers 16 h, prise d’un malaise, une Gardoise de 55 ans décède chez elle, au Pin (Gard). Quelques heures avant, elle avait déjeuné dans un McDonald’s, à Bagnols-sur-Cèze (Gard). "Nous avons plutôt les signes d’un problème cardiaque", avait alors expliqué le procureur.
La direction de McDonald’s avait, par communiqué, insisté sur le fait "qu’aucun lien avéré n’a été fait entre McDonald’s et le décès de cette personne. Notre restaurant a eu la visite de la Direction départementale de la protection des populations qui n’a pas eu d’observation particulière à formuler et la traçabilité des produits vérifiés s’est révélée conforme
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"Nous n’avons pas encore reçu les résultats des analyses bactériologiques." C’est le procureur de Nîmes, Robert Gély, qui l’affirme après avoir diligenté une enquête auprès de la brigade de gendarmerie de Laudun. Une autopsie de la victime avait été pratiquée le lendemain (nos précédentes éditions). Mais il faudra encore attendre quelques jours pour connaître les raisons exactes de décès.
La Gardoise a-t-elle été victime d'une crise cardiaque ?
Il y a une semaine, vers 16 h, prise d’un malaise, une Gardoise de 55 ans décède chez elle, au Pin (Gard). Quelques heures avant, elle avait déjeuné dans un McDonald’s, à Bagnols-sur-Cèze (Gard). "Nous avons plutôt les signes d’un problème cardiaque", avait alors expliqué le procureur.
La direction de McDonald’s avait, par communiqué, insisté sur le fait "qu’aucun lien avéré n’a été fait entre McDonald’s et le décès de cette personne. Notre restaurant a eu la visite de la Direction départementale de la protection des populations qui n’a pas eu d’observation particulière à formuler et la traçabilité des produits vérifiés s’est révélée conforme
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Re: Actualités concours 2012
De rien Debella!! Bonne journée à tous!!
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Re: Actualités concours 2012
Pour les personnes âgées, dans fin de vie, il y a vie
ENQUÊTEUne enquête inédite auprès d’octogénaires et de nonagénaires indique un rejet de la légalisation de l’euthanasie.
source: liberation
Ils ont beau être malades, vieux, très vieux même, ils veulent vivre, mourir le plus tard possible. Et surtout, ne leur parlez pas d’euthanasie… C’est le paradoxe saisissant d’une enquête sur les personnes âgées, rendue publique aujourd’hui, au cours d’un colloque. Contrairement aux sondages qui font état d’une opinion très favorable à la légalisation de l’euthanasie - avec toujours au moins plus de 70% d’avis pour -, les premiers intéressés, les personnes âgées, n’en veulent pas. «Même très vieux, même très malades, ils veulent surtout vivre», disent les auteurs de cette recherche, le Dr Véronique Fournier, directrice du Centre d’éthique clinique de l’hôpital Cochin à Paris, et le professeur Denis Berthiau, juriste.
Ce constat est beaucoup moins banal qu’on ne le croit. La très grande vieillesse se caractérise par une perte de l’autonomie physique, quand ce n’est pas aussi la perte des fonctions cognitives. Une situation perçue comme un calvaire. Elle l’est, mais pour qui ? On demande rarement l’avis des personnes très âgées. «La préoccupation de tous ceux que nous avons rencontrés concerne le sens de la vie qui reste, et non le sens de la mort. Et 70% ne s’expriment pas vraiment sur leur mort», note le Dr Fournier. Le point de départ est une enquête sur les «directives anticipées», cette drôle de chose créée par la loi sur la fin de vie de 2005 : «Toute personne majeure peut rédiger des directives anticipées pour le cas où elle serait un jour hors d’état d’exprimer sa volonté. Ces directives indiquent les souhaits de la personne relatifs à sa fin de vie.»
Le centre d’éthique de Cochin a interrogé près de 200 personnes de plus de 75 ans, certaines vivant en maison de retraite, d’autres suivies en cardiologie ou en cancérologie. D’autres enfin, menacées par une maladie de type Alzheimer. 90 % des personnes interrogées disent ne pas connaître le concept des «directives anticipées». 83 % disent «qu’elles ne sont pas intéressées, et qu’elles ne s’en saisiront pas». Préparer leur mort «médicalement» les indiffère . Mais en parler, assurément. Pour autant, 10 % des personnes interrogées souhaitent «à un moment donné, une aide active à mourir». Selon l’enquête, elles «voudraient que les médecins puissent délivrer la mort, en toute fin de vie, dans le cadre de leur exercice quotidien.»Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ENQUÊTEUne enquête inédite auprès d’octogénaires et de nonagénaires indique un rejet de la légalisation de l’euthanasie.
source: liberation
Ils ont beau être malades, vieux, très vieux même, ils veulent vivre, mourir le plus tard possible. Et surtout, ne leur parlez pas d’euthanasie… C’est le paradoxe saisissant d’une enquête sur les personnes âgées, rendue publique aujourd’hui, au cours d’un colloque. Contrairement aux sondages qui font état d’une opinion très favorable à la légalisation de l’euthanasie - avec toujours au moins plus de 70% d’avis pour -, les premiers intéressés, les personnes âgées, n’en veulent pas. «Même très vieux, même très malades, ils veulent surtout vivre», disent les auteurs de cette recherche, le Dr Véronique Fournier, directrice du Centre d’éthique clinique de l’hôpital Cochin à Paris, et le professeur Denis Berthiau, juriste.
Ce constat est beaucoup moins banal qu’on ne le croit. La très grande vieillesse se caractérise par une perte de l’autonomie physique, quand ce n’est pas aussi la perte des fonctions cognitives. Une situation perçue comme un calvaire. Elle l’est, mais pour qui ? On demande rarement l’avis des personnes très âgées. «La préoccupation de tous ceux que nous avons rencontrés concerne le sens de la vie qui reste, et non le sens de la mort. Et 70% ne s’expriment pas vraiment sur leur mort», note le Dr Fournier. Le point de départ est une enquête sur les «directives anticipées», cette drôle de chose créée par la loi sur la fin de vie de 2005 : «Toute personne majeure peut rédiger des directives anticipées pour le cas où elle serait un jour hors d’état d’exprimer sa volonté. Ces directives indiquent les souhaits de la personne relatifs à sa fin de vie.»
Le centre d’éthique de Cochin a interrogé près de 200 personnes de plus de 75 ans, certaines vivant en maison de retraite, d’autres suivies en cardiologie ou en cancérologie. D’autres enfin, menacées par une maladie de type Alzheimer. 90 % des personnes interrogées disent ne pas connaître le concept des «directives anticipées». 83 % disent «qu’elles ne sont pas intéressées, et qu’elles ne s’en saisiront pas». Préparer leur mort «médicalement» les indiffère . Mais en parler, assurément. Pour autant, 10 % des personnes interrogées souhaitent «à un moment donné, une aide active à mourir». Selon l’enquête, elles «voudraient que les médecins puissent délivrer la mort, en toute fin de vie, dans le cadre de leur exercice quotidien.»Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Alcool. Les beuveries affectent plus le cerveau des filles
Source Ouest France
Les adolescentes particulièrement vulnérables à une consommation excessive d'alcool
Reuters
Le cerveau des jeunes filles est plus endommagé que celui des garçons par les beuveries, révèle une étude publiée vendredi aux Etats-Unis, qui avertit que leurs neurones sont affectés bien au-delà du mal de tête du lendemain.
Des chercheurs des universités de Californie à San Diego (UCSD) et de Stanford ont étudié le cerveau de 95 jeunes femmes, dont 40 ont participé à des beuveries (au moins quatre verres à la suite pour une femme, cinq pour les garçons).
L'activité du cerveau réduite à la suite de beuveries
L'activité dans plusieurs régions du cerveau, notamment les capacités d'attention et de mémoire, est réduite à la suite de beuveries chez ces dernières par rapport aux adolescentes qui ne boivent jamais d'alcool, explique Susan Tapert, professeur de psychiatrie à Stanford et co-auteur de l'étude.
«Cela suggère que les adolescentes pourraient être particulièrement vulnérables aux effets négatifs d'une consommation excessive d'alcool», selon la chercheuse.
Pourquoi les cerveaux féminins sont-ils plus sensibles à l'alcool que ceux des hommes ? D'abord parce que leur développement cérébral a en général un ou deux ans d'avance sur les garçons, explique Susan Tapert. Au même âge, les dommages sont donc plus graves. Parmi les autres facteurs, l'étude évoque les différences hormonales entre les sexes, un métabolisme plus lent chez les filles, ainsi qu'un indice de masse graisseuse supérieur et un poids en moyenne inférieur.
Les effets sont visibles même quand les beuveries sont rares
Les participantes à l'étude se sont toutes saoulées lors de soirées avant d'enchaîner de longues périodes de sobriété.
Mais malgré la rareté des beuveries, les effets sur le cerveau ont pu être clairement identifiés, s'alarme Edith Sullivan, professeur en psychiatrie et sciences du comportement à l'Ecole de médecine de Stanford. «Cette étude montre que chez un jeune --collégien, lycéen ou étudiant-- les risques pour les fonctions cognitives et du cerveau durent longtemps après qu'il se soit remis d'une gueule de bois», explique la chercheuse.
L'étude, qui sera publiée en octobre, note que trois lycéens américains de terminale sur dix disent avoir participé à une beuverie dans le mois précédent.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Source Ouest France
Les adolescentes particulièrement vulnérables à une consommation excessive d'alcool
Reuters
Le cerveau des jeunes filles est plus endommagé que celui des garçons par les beuveries, révèle une étude publiée vendredi aux Etats-Unis, qui avertit que leurs neurones sont affectés bien au-delà du mal de tête du lendemain.
Des chercheurs des universités de Californie à San Diego (UCSD) et de Stanford ont étudié le cerveau de 95 jeunes femmes, dont 40 ont participé à des beuveries (au moins quatre verres à la suite pour une femme, cinq pour les garçons).
L'activité du cerveau réduite à la suite de beuveries
L'activité dans plusieurs régions du cerveau, notamment les capacités d'attention et de mémoire, est réduite à la suite de beuveries chez ces dernières par rapport aux adolescentes qui ne boivent jamais d'alcool, explique Susan Tapert, professeur de psychiatrie à Stanford et co-auteur de l'étude.
«Cela suggère que les adolescentes pourraient être particulièrement vulnérables aux effets négatifs d'une consommation excessive d'alcool», selon la chercheuse.
Pourquoi les cerveaux féminins sont-ils plus sensibles à l'alcool que ceux des hommes ? D'abord parce que leur développement cérébral a en général un ou deux ans d'avance sur les garçons, explique Susan Tapert. Au même âge, les dommages sont donc plus graves. Parmi les autres facteurs, l'étude évoque les différences hormonales entre les sexes, un métabolisme plus lent chez les filles, ainsi qu'un indice de masse graisseuse supérieur et un poids en moyenne inférieur.
Les effets sont visibles même quand les beuveries sont rares
Les participantes à l'étude se sont toutes saoulées lors de soirées avant d'enchaîner de longues périodes de sobriété.
Mais malgré la rareté des beuveries, les effets sur le cerveau ont pu être clairement identifiés, s'alarme Edith Sullivan, professeur en psychiatrie et sciences du comportement à l'Ecole de médecine de Stanford. «Cette étude montre que chez un jeune --collégien, lycéen ou étudiant-- les risques pour les fonctions cognitives et du cerveau durent longtemps après qu'il se soit remis d'une gueule de bois», explique la chercheuse.
L'étude, qui sera publiée en octobre, note que trois lycéens américains de terminale sur dix disent avoir participé à une beuverie dans le mois précédent.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
La molécule du Mediator a été brevetée comme coupe-faim
LEMONDE.FR Avec AFP | 11.10.11 | 20h56
Le Mediator n'est pas un coupe-faim. C'est du moins la position adoptée par les laboratoires Servier depuis le début de l'affaire qui secoue l'entreprise. Pourtant, selon Le Canard enchaîné daté du mercredi 12 octobre, ils le savaient. Ils l'avaient eux-mêmes présenté comme tel lorsqu'ils avaient fait breveter la molécule benfluorex dans plusieurs pays.
LA MOLÉCULE A ÉTÉ DÉPOSÉE EN MARS 1967
L'hebdomadaire rappelle qu'il y a plus de quarante ans, en 1967, lorsque Servier s'attaque au marché américain, il dépose le brevet n° 3 607 909. Dans le résumé de ce brevet, on peut lire : "Ces molécules possèdent une activité anorexigène, analgésique, anticonvulsivante et de régulation du métabolisme des lipides." Un fac-similé produit par Le Canard enchaîné informe que la molécule a été déposée ("filed") en mars 1967 et brevetée ("patented") en septembre 1971.
"L'effet coupe-faim arrive bel et bien en tête de tous les bénéfices attribués à cette merveilleuse trouvaille, qui, exception faite de cors aux pieds, soigne à peu près tout", note le journal satirique, qui poursuit : "Selon le document américain, le même brevet avait déjà été déposé en France. Dès 1966, un brevet dit de 'base' présente les propriétés anorexigènes de la molécule."
Le patron des laboratoires Servier, Jacques Servier, est de nouveau convoqué par le juge d'instruction le 9 novembre dans le cadre de l'enquête sur le Mediator, selon son avocat, Hervé Témime. Il a été mis en examen, ainsi que cinq sociétés du groupe, notamment pour tromperie et escroquerie. Cinq millions de personnes ont pris du Mediator de 1976 à 2009, année d'interdiction du médicament soupçonné d'avoir provoqué de graves lésions cardiaques chez des milliers de patients.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
LEMONDE.FR Avec AFP | 11.10.11 | 20h56
Le Mediator n'est pas un coupe-faim. C'est du moins la position adoptée par les laboratoires Servier depuis le début de l'affaire qui secoue l'entreprise. Pourtant, selon Le Canard enchaîné daté du mercredi 12 octobre, ils le savaient. Ils l'avaient eux-mêmes présenté comme tel lorsqu'ils avaient fait breveter la molécule benfluorex dans plusieurs pays.
LA MOLÉCULE A ÉTÉ DÉPOSÉE EN MARS 1967
L'hebdomadaire rappelle qu'il y a plus de quarante ans, en 1967, lorsque Servier s'attaque au marché américain, il dépose le brevet n° 3 607 909. Dans le résumé de ce brevet, on peut lire : "Ces molécules possèdent une activité anorexigène, analgésique, anticonvulsivante et de régulation du métabolisme des lipides." Un fac-similé produit par Le Canard enchaîné informe que la molécule a été déposée ("filed") en mars 1967 et brevetée ("patented") en septembre 1971.
"L'effet coupe-faim arrive bel et bien en tête de tous les bénéfices attribués à cette merveilleuse trouvaille, qui, exception faite de cors aux pieds, soigne à peu près tout", note le journal satirique, qui poursuit : "Selon le document américain, le même brevet avait déjà été déposé en France. Dès 1966, un brevet dit de 'base' présente les propriétés anorexigènes de la molécule."
Le patron des laboratoires Servier, Jacques Servier, est de nouveau convoqué par le juge d'instruction le 9 novembre dans le cadre de l'enquête sur le Mediator, selon son avocat, Hervé Témime. Il a été mis en examen, ainsi que cinq sociétés du groupe, notamment pour tromperie et escroquerie. Cinq millions de personnes ont pris du Mediator de 1976 à 2009, année d'interdiction du médicament soupçonné d'avoir provoqué de graves lésions cardiaques chez des milliers de patients.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Actualités concours 2012
Pollution de l'air et accouchements prématurés étroitement liés
Des chercheurs américains dévoilent, dans une étude publiée dans la revue Environmental Health, que la pollution de l'air favoriserait les accouchements prématurés.
Les statistiques des accouchements prématurés sont affolants : aux Etats-Unis, un bébé sur huit naît avant 37 semaines de grossesse. Un phénomène que l'on relie bien souvent à l'âge toujours en augmentation des futures mères et aux procréations médicalement assistées. Mais ce n'est pas tout. La pollution de l'air serait aussi un facteur non négligeable.
Selon une enquête réalisée par des chercheurs de l'université de Californie à Los Angeles, le risque de prématurité serait accru de 10 à 30 % avec la pollution. « On savait que la pollution de l’air était associée à un faible poids de naissance et au risque d’accouchement prématuré. Nos résultats montrent que les hydrocarbures aromatiques polycycliques doivent être considérés comme un sujet particulier de préoccupation. D’autant que les sources de ces polluants ne sont pas uniquement automobiles », souligne Beate Ritz, un des auteurs de l’étude.
Risque accru de 30 %
L'étude a été menée sur 100.000 naissances entre 2004 et 2005 dans un rayon de 8 km autour d'une station d'analyse de la qualité de l'air. Il en ressort que le trafic automobile, et donc l'exposition aux hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), accroît le risque de prématurité de 30 %. De la même manière, le nitrate d'ammonium, également lié à la pollution de l'air, mais aussi à la pollution de l'industrie, augmenterait le risque de 21 %. Le benzène et les particules fines issues du diesel amplifieraient le danger de 10%. La concentration de ces polluants augmenterait en hiver, mais serait plus faible sur les zones côtières, en raison du vent notamment.
Comment éviter les risques de pollution et se protéger lorsque l'on est enceinte ? Eviter au maximum, dans les grandes villes, les grosses artères, privilégier la campagne à la ville. Et en dernier recours, manger plus sainement, histoire au moins de compenser les effets de la pollution.
Par Alice Lemard
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Des chercheurs américains dévoilent, dans une étude publiée dans la revue Environmental Health, que la pollution de l'air favoriserait les accouchements prématurés.
Les statistiques des accouchements prématurés sont affolants : aux Etats-Unis, un bébé sur huit naît avant 37 semaines de grossesse. Un phénomène que l'on relie bien souvent à l'âge toujours en augmentation des futures mères et aux procréations médicalement assistées. Mais ce n'est pas tout. La pollution de l'air serait aussi un facteur non négligeable.
Selon une enquête réalisée par des chercheurs de l'université de Californie à Los Angeles, le risque de prématurité serait accru de 10 à 30 % avec la pollution. « On savait que la pollution de l’air était associée à un faible poids de naissance et au risque d’accouchement prématuré. Nos résultats montrent que les hydrocarbures aromatiques polycycliques doivent être considérés comme un sujet particulier de préoccupation. D’autant que les sources de ces polluants ne sont pas uniquement automobiles », souligne Beate Ritz, un des auteurs de l’étude.
Risque accru de 30 %
L'étude a été menée sur 100.000 naissances entre 2004 et 2005 dans un rayon de 8 km autour d'une station d'analyse de la qualité de l'air. Il en ressort que le trafic automobile, et donc l'exposition aux hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), accroît le risque de prématurité de 30 %. De la même manière, le nitrate d'ammonium, également lié à la pollution de l'air, mais aussi à la pollution de l'industrie, augmenterait le risque de 21 %. Le benzène et les particules fines issues du diesel amplifieraient le danger de 10%. La concentration de ces polluants augmenterait en hiver, mais serait plus faible sur les zones côtières, en raison du vent notamment.
Comment éviter les risques de pollution et se protéger lorsque l'on est enceinte ? Eviter au maximum, dans les grandes villes, les grosses artères, privilégier la campagne à la ville. Et en dernier recours, manger plus sainement, histoire au moins de compenser les effets de la pollution.
Par Alice Lemard
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J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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Re: Actualités concours 2012
Un rapport identifie 26 pays fortement touchés par la faim
L'Institut international de recherche sur l'alimentation (IFPRI) s'est associé à trois ONG pour tirer la sonnette d'alarme sur 26 pays, pour la plupart en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud, qui continuent d'afficher des niveaux de faim "alarmants".
Publié mardi 11 octobre, le rapport sur l'Indice de la faim dans le Monde 2011, co-signé par l'IFPRI, ACTED (ONG française), Concern Worldwide (ONG irlandaise) et Welthungerhilfe (ONG allemande), montre que "le nombre de personnes qui souffrent de la faim a reculé depuis 1990, mais pas de manière significative, puisqu'il demeure à un niveau élevé correspondant à une situation 'grave'".
S'appuyant sur des données recueillies entre 2004 et 2009, l'IFPRI a calculé cet indice de la faim (Global Hunger Index ou GHI) à partir de trois critères : le taux de sous-alimentation, le taux de sous-alimentation infantile et le taux de mortalité infantile, avant de classer les pays en 5 catégories : GIH "bas", "modéré", "grave", "alarmant" et "très alarmant".
DES PROGRÈS SUR LA SOUS-ALIMENTATION INFANTILE
Au niveau mondial, le GHI 2011 a diminué de 26 % par rapport à 1990, passant de 19,7 à 14,6 ("grave"), en particulier grâce à la baisse de la sous-alimentation infantile, explique le rapport. Parmi les 26 pays les plus affectés par la faim (sur un total de 122 pays pour lequel l'indice a été calculé), les quatre qui présentent un indice "très alarmant", se situent tous en Afrique subsaharienne : Burundi, Tchad, Erythrée et République démocratique du Congo (RDC).
De même, dans six pays, la faim a empiré entre 1990 et 2011 : la RDC, le Burundi, la Corée du Nord, les Comores, le Swaziland et la Côte d'Ivoire. "Le cas de la RDC ressort particulièrement", note le rapport, qui souligne que le conflit et l'instabilité politique y ont accru le niveau de faim. A l'inverse, entre 1990 et 2011, 19 pays sont sortis des catégories "alarmantes" et "très alarmantes" : parmi eux, l'Angola, le Bangladesh, l'Ethiopie, le Mozambique, le Nicaragua, le Niger et le Vietnam.
CHANGEMENT CLIMATIQUE ET FÉBRILITÉ DES MARCHÉS AGRICOLES
"La hausse récente du niveau et de la volatilité des prix agricoles constitue, comme en 2008, une menace pour la pérennité de la sécurité alimentaire mondiale", note le rapport. Il met en cause "l'utilisation accrue des produits agricoles pour la fabrication de biocarburants, les phénomènes météorologiques extrêmes et le changement climatique, ainsi que l'augmentation excessive du volume des transactions sur les marchés à terme agricoles".
En l'absence de données suffisantes, le classement ne tient pas compte de la situation en Afghanistan, en Irak, en Papouasie-Nouvelle-Guinée et en Somalie. Il ne reflète pas non plus l'impact de la crise alimentaire de 2010-2011, ni la famine qui touche actuellement la Corne de l'Afrique, précise le rapport
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L'Institut international de recherche sur l'alimentation (IFPRI) s'est associé à trois ONG pour tirer la sonnette d'alarme sur 26 pays, pour la plupart en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud, qui continuent d'afficher des niveaux de faim "alarmants".
Publié mardi 11 octobre, le rapport sur l'Indice de la faim dans le Monde 2011, co-signé par l'IFPRI, ACTED (ONG française), Concern Worldwide (ONG irlandaise) et Welthungerhilfe (ONG allemande), montre que "le nombre de personnes qui souffrent de la faim a reculé depuis 1990, mais pas de manière significative, puisqu'il demeure à un niveau élevé correspondant à une situation 'grave'".
S'appuyant sur des données recueillies entre 2004 et 2009, l'IFPRI a calculé cet indice de la faim (Global Hunger Index ou GHI) à partir de trois critères : le taux de sous-alimentation, le taux de sous-alimentation infantile et le taux de mortalité infantile, avant de classer les pays en 5 catégories : GIH "bas", "modéré", "grave", "alarmant" et "très alarmant".
DES PROGRÈS SUR LA SOUS-ALIMENTATION INFANTILE
Au niveau mondial, le GHI 2011 a diminué de 26 % par rapport à 1990, passant de 19,7 à 14,6 ("grave"), en particulier grâce à la baisse de la sous-alimentation infantile, explique le rapport. Parmi les 26 pays les plus affectés par la faim (sur un total de 122 pays pour lequel l'indice a été calculé), les quatre qui présentent un indice "très alarmant", se situent tous en Afrique subsaharienne : Burundi, Tchad, Erythrée et République démocratique du Congo (RDC).
De même, dans six pays, la faim a empiré entre 1990 et 2011 : la RDC, le Burundi, la Corée du Nord, les Comores, le Swaziland et la Côte d'Ivoire. "Le cas de la RDC ressort particulièrement", note le rapport, qui souligne que le conflit et l'instabilité politique y ont accru le niveau de faim. A l'inverse, entre 1990 et 2011, 19 pays sont sortis des catégories "alarmantes" et "très alarmantes" : parmi eux, l'Angola, le Bangladesh, l'Ethiopie, le Mozambique, le Nicaragua, le Niger et le Vietnam.
CHANGEMENT CLIMATIQUE ET FÉBRILITÉ DES MARCHÉS AGRICOLES
"La hausse récente du niveau et de la volatilité des prix agricoles constitue, comme en 2008, une menace pour la pérennité de la sécurité alimentaire mondiale", note le rapport. Il met en cause "l'utilisation accrue des produits agricoles pour la fabrication de biocarburants, les phénomènes météorologiques extrêmes et le changement climatique, ainsi que l'augmentation excessive du volume des transactions sur les marchés à terme agricoles".
En l'absence de données suffisantes, le classement ne tient pas compte de la situation en Afghanistan, en Irak, en Papouasie-Nouvelle-Guinée et en Somalie. Il ne reflète pas non plus l'impact de la crise alimentaire de 2010-2011, ni la famine qui touche actuellement la Corne de l'Afrique, précise le rapport
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Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
OMS : la tuberculose recule pour la première fois dans le monde
La tuberculose recule pour la première fois dans le monde, a annoncé, mardi 11 octobre, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui a toutefois appelé les Etats à investir davantage dans la lutte contre les formes de la maladie résistantes aux médicaments.
Selon le rapport annuel de l'OMS sur la tuberculose (en anglais), 8,8 millions de personnes ont contracté le bacille l'an dernier, contre 9,4 millions l'année précédente. Le nombre de morts est aussi descendu à 1,4 million, le plus bas niveau depuis dix ans, après avoir atteint un sommet à 1,8 million en 2003.
"La tuberculose tue moins et moins de gens contractent la maladie. C'est un progrès majeur. Mais il ne faut pas relâcher les efforts", a commenté le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon. "Des millions de gens continuent à contracter la maladie chaque année et trop de gens en meurent. Je plaide pour des efforts sérieux et soutenus en faveur de la prévention et des soins contre la tuberculose, surtout en direction des plus pauvres et des plus vulnérables de la planète", a ajouté M. Ban.
LA LUTTE EST SOUS-FINANCÉE
La lutte contre la maladie nécessiterait en effet un milliard de dollars supplémentaires en 2012, selon le rapport. Les efforts de lutte contre la tuberculose multirésistante sont particulièrement sous-financés. En 2010, 46 000 personnes dans le monde ont été traitées pour des cas de tuberculose multirésistante, soit 16 % seulement du total de la population atteinte. Ces patients sont victimes d'une bactérie qui ne répond pas au traitement habituel de six mois et doivent être soignés pendant deux ans à l'aide de médicaments moins puissants et plus chers.
Au cours de la décennie écoulée, les progrès les plus notables ont été réalisés au Kenya et en Tanzanie, où les cas de tuberculose ont reculé après s'être envolés parallèlement à l'épidémie de sida. Des avancées majeures ont été accomplies au Brésil et en Chine, où le nombre de morts est passé d'environ 200 000 à 50 000 par an en l'espace de vingt ans. Dans le même temps, la prévalence de la maladie est passée dans ce pays de 215 à 108 cas pour 100 000 habitants
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La tuberculose recule pour la première fois dans le monde, a annoncé, mardi 11 octobre, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui a toutefois appelé les Etats à investir davantage dans la lutte contre les formes de la maladie résistantes aux médicaments.
Selon le rapport annuel de l'OMS sur la tuberculose (en anglais), 8,8 millions de personnes ont contracté le bacille l'an dernier, contre 9,4 millions l'année précédente. Le nombre de morts est aussi descendu à 1,4 million, le plus bas niveau depuis dix ans, après avoir atteint un sommet à 1,8 million en 2003.
"La tuberculose tue moins et moins de gens contractent la maladie. C'est un progrès majeur. Mais il ne faut pas relâcher les efforts", a commenté le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon. "Des millions de gens continuent à contracter la maladie chaque année et trop de gens en meurent. Je plaide pour des efforts sérieux et soutenus en faveur de la prévention et des soins contre la tuberculose, surtout en direction des plus pauvres et des plus vulnérables de la planète", a ajouté M. Ban.
LA LUTTE EST SOUS-FINANCÉE
La lutte contre la maladie nécessiterait en effet un milliard de dollars supplémentaires en 2012, selon le rapport. Les efforts de lutte contre la tuberculose multirésistante sont particulièrement sous-financés. En 2010, 46 000 personnes dans le monde ont été traitées pour des cas de tuberculose multirésistante, soit 16 % seulement du total de la population atteinte. Ces patients sont victimes d'une bactérie qui ne répond pas au traitement habituel de six mois et doivent être soignés pendant deux ans à l'aide de médicaments moins puissants et plus chers.
Au cours de la décennie écoulée, les progrès les plus notables ont été réalisés au Kenya et en Tanzanie, où les cas de tuberculose ont reculé après s'être envolés parallèlement à l'épidémie de sida. Des avancées majeures ont été accomplies au Brésil et en Chine, où le nombre de morts est passé d'environ 200 000 à 50 000 par an en l'espace de vingt ans. Dans le même temps, la prévalence de la maladie est passée dans ce pays de 215 à 108 cas pour 100 000 habitants
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Re: Actualités concours 2012
Un rapport souligne les inégalités entre écoles riches et écoles pauvres
S'alarmant des inégalités devenues "très criantes" entre écoles riches et écoles pauvres, des organisations ont réclamé mercredi 12 octobre un débat public pour redéfinir les responsabilités entre l'Etat et les communes.
Les écarts en matière de crédits de fonctionnement entre les écoles peuvent varier de 1 à 10, "à savoir de 13 euros jusqu'à 130 euros par an et par élève" pour financer le matériel scolaire, les fournitures, les sorties, les activités pédagogiques ou l'équipement informatique, a pointé Sébastien Sihr, du SNUipp-FSU (principal syndicat du primaire) lors de la présentation d'une enquête à la presse.
Cette enquête intitulée "L'argent de l'école : en quête d'égalité", également présentée par Vanik Berberian de l'Association des maires ruraux de France (AMRF) et Philippe Seferian de l'Association nationale des directeurs de l'éducation des villes (Andev), a été réalisée au premier semestre 2011 et a porté sur 1 422 réponses provenant de 95 départements et de 791 communes.
POINT DE RUPTURE
Les différences entre écoles riches et écoles pauvres sont dues aux capacités de financement des villes et au "bon vouloir des politiques municipales", a dit M. Sihr. "Il faut changer la donne puisque nous sommes aujourd'hui dans un point de rupture entre le principe de gratuité et celui d'égalité", a-t-il ajouté.
"La réglementation n'a pas évolué, elle date du début du XXe siècle alors que les missions demandées à l'école ont évolué sans pour autant remettre à plat les responsabilités et les moyens que chacun devait assumer", a dit le responsable du syndicat d'enseignants. Aussi, "nous voulons, avec l'AMRF et l'Andev, ouvrir un débat public sur les questions de redéfinition des responsabilités et d'accompagnement des moyens", a-t-il ajouté.
Les organisations réclament la création d'un "cartable de base pour les élèves afin qu'ils aient accès aux mêmes savoirs sur tout le territoire", et d'un "fond de péréquation abondé par l'Etat qui viendrait aider les communes déshéritées". "Les élus sont un peu fatigués et agacés des relations qui n'existent pas avec l'éducation nationale. On a l'impression de ne pas être accompagnés et d'avoir de plus en plus à supporter des missions qui incombent à l'Etat", comme les enseignements artistiques, a dit M. Berberian.
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S'alarmant des inégalités devenues "très criantes" entre écoles riches et écoles pauvres, des organisations ont réclamé mercredi 12 octobre un débat public pour redéfinir les responsabilités entre l'Etat et les communes.
Les écarts en matière de crédits de fonctionnement entre les écoles peuvent varier de 1 à 10, "à savoir de 13 euros jusqu'à 130 euros par an et par élève" pour financer le matériel scolaire, les fournitures, les sorties, les activités pédagogiques ou l'équipement informatique, a pointé Sébastien Sihr, du SNUipp-FSU (principal syndicat du primaire) lors de la présentation d'une enquête à la presse.
Cette enquête intitulée "L'argent de l'école : en quête d'égalité", également présentée par Vanik Berberian de l'Association des maires ruraux de France (AMRF) et Philippe Seferian de l'Association nationale des directeurs de l'éducation des villes (Andev), a été réalisée au premier semestre 2011 et a porté sur 1 422 réponses provenant de 95 départements et de 791 communes.
POINT DE RUPTURE
Les différences entre écoles riches et écoles pauvres sont dues aux capacités de financement des villes et au "bon vouloir des politiques municipales", a dit M. Sihr. "Il faut changer la donne puisque nous sommes aujourd'hui dans un point de rupture entre le principe de gratuité et celui d'égalité", a-t-il ajouté.
"La réglementation n'a pas évolué, elle date du début du XXe siècle alors que les missions demandées à l'école ont évolué sans pour autant remettre à plat les responsabilités et les moyens que chacun devait assumer", a dit le responsable du syndicat d'enseignants. Aussi, "nous voulons, avec l'AMRF et l'Andev, ouvrir un débat public sur les questions de redéfinition des responsabilités et d'accompagnement des moyens", a-t-il ajouté.
Les organisations réclament la création d'un "cartable de base pour les élèves afin qu'ils aient accès aux mêmes savoirs sur tout le territoire", et d'un "fond de péréquation abondé par l'Etat qui viendrait aider les communes déshéritées". "Les élus sont un peu fatigués et agacés des relations qui n'existent pas avec l'éducation nationale. On a l'impression de ne pas être accompagnés et d'avoir de plus en plus à supporter des missions qui incombent à l'Etat", comme les enseignements artistiques, a dit M. Berberian.
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Re: Actualités concours 2012
Un diplôme de français pour devenir français
En visite à la Préfecture de police, Claude Guéant a défendu la réforme imposant un contrôle renforcé de la maîtrise de la langue.
Dans le cadre des procédures de naturalisation, le contrôle de la maîtrise du français va être renforcé. Les candidats à la nationalité française vont en effet devoir prouver qu'ils parlent correctement notre langue. Publiés au Journal officiel mercredi, plusieurs arrêtés et décrets, qui complètent la loi du 16 juin dernier sur l'immigration, précisent les toutes nouvelles dispositions qui entreront en vigueur dès l'an prochain.
À compter du 1er janvier 2012, les étrangers auront l'obligation d'accéder à un certain niveau en français. Selon le jargon technocratique, il leur faudra avoir le niveau B1 du cadre européen commun de référence pour les langues du Conseil de l'Europe. Plus prosaïquement, ils devront posséder la même maîtrise du français à l'oral qu'un élève de 3e. Selon l'un des arrêtés, ils devront comprendre le «langage nécessaire à la gestion de la vie quotidienne et aux situations de la vie courante». Selon le même texte, ils devront être en mesure d'«émettre un discours simple et cohérent sur des sujets familiers ».
Autre nouveauté, ces postulants devront aussi rapporter la preuve qu'ils ont ce niveau requis en produisant l'une des pièces énumérées par l'arrêté. Ils pourront fournir un diplôme français de niveau supérieur ou égal au brevet des collèges. Autre voie possible: l'obtention d'une attestation délivrée par un organisme agréé comme la Chambre de commerce et d'industrie de Paris ou par des structures qui obtiendront le nouveau label -«français langue d'intégration». Ce dernier va être lancé dès janvier prochain par le ministère de l'Intérieur. Autant de pièces à produire qui seront à la charge de l'étranger.
Ce nouveau dispositif qui concerne les candidats à la nationalité française par voie de naturalisation ou en raison de leur mariage avec un ou une Française, instaure un cadre plus strict. Une organisation qui se rapproche de modèles étrangers comme celui de l'Allemagne ou de la Finlande.
Jusqu'alors, si la maîtrise du français, preuve d'assimilation à notre société, était demandée, elle faisait l'objet d'une évaluation sans doute parfois plus approximative. Rendez-vous était pris dans une préfecture et un agent estimait le niveau au cours d'un entretien d'assimilation organisé au bureau de naturalisation.
130.000 naturalisations en 2010
En visite mercredi dans un de ces services à la Préfecture de police à Paris, le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a rappelé l'esprit de cette réforme: «Il faut faire en sorte que les personnes immigrées s'intègrent et puissent vivre en respectant les principes de la République. Une exigence qui vaut encore plus pour celui qui accède à la nationalité française.» À ceux qui pourraient le suspecter de vouloir freiner la politique d'intégration par le biais de ces nouvelles contraintes, le ministre s'en défend: «L'objectif n'est pas quantitatif. Il s'agit de faire en sorte que les naturalisations soient réussies.» L'an passé, près de 130.000 personnes ont acquis la nationalité française, dont environ 90.000 par la procédure de naturalisation.
Ces nouvelles exigences seront complétées par deux autres nouveautés. Le Haut Conseil à l'intégration finalise l'élaboration d'une charte des droits et des devoirs qui sera ensuite signée par chaque personne devenant française.
Enfin, un nouveau questionnaire pourrait voir le jour et être soumis à chaque étranger afin d'évaluer ses connaissances en matière d'histoire de France. Aujourd'hui testé à la Préfecture de Paris, il pourrait être généralisé s'il s'avère concluant.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
En visite à la Préfecture de police, Claude Guéant a défendu la réforme imposant un contrôle renforcé de la maîtrise de la langue.
Dans le cadre des procédures de naturalisation, le contrôle de la maîtrise du français va être renforcé. Les candidats à la nationalité française vont en effet devoir prouver qu'ils parlent correctement notre langue. Publiés au Journal officiel mercredi, plusieurs arrêtés et décrets, qui complètent la loi du 16 juin dernier sur l'immigration, précisent les toutes nouvelles dispositions qui entreront en vigueur dès l'an prochain.
À compter du 1er janvier 2012, les étrangers auront l'obligation d'accéder à un certain niveau en français. Selon le jargon technocratique, il leur faudra avoir le niveau B1 du cadre européen commun de référence pour les langues du Conseil de l'Europe. Plus prosaïquement, ils devront posséder la même maîtrise du français à l'oral qu'un élève de 3e. Selon l'un des arrêtés, ils devront comprendre le «langage nécessaire à la gestion de la vie quotidienne et aux situations de la vie courante». Selon le même texte, ils devront être en mesure d'«émettre un discours simple et cohérent sur des sujets familiers ».
Autre nouveauté, ces postulants devront aussi rapporter la preuve qu'ils ont ce niveau requis en produisant l'une des pièces énumérées par l'arrêté. Ils pourront fournir un diplôme français de niveau supérieur ou égal au brevet des collèges. Autre voie possible: l'obtention d'une attestation délivrée par un organisme agréé comme la Chambre de commerce et d'industrie de Paris ou par des structures qui obtiendront le nouveau label -«français langue d'intégration». Ce dernier va être lancé dès janvier prochain par le ministère de l'Intérieur. Autant de pièces à produire qui seront à la charge de l'étranger.
Ce nouveau dispositif qui concerne les candidats à la nationalité française par voie de naturalisation ou en raison de leur mariage avec un ou une Française, instaure un cadre plus strict. Une organisation qui se rapproche de modèles étrangers comme celui de l'Allemagne ou de la Finlande.
Jusqu'alors, si la maîtrise du français, preuve d'assimilation à notre société, était demandée, elle faisait l'objet d'une évaluation sans doute parfois plus approximative. Rendez-vous était pris dans une préfecture et un agent estimait le niveau au cours d'un entretien d'assimilation organisé au bureau de naturalisation.
130.000 naturalisations en 2010
En visite mercredi dans un de ces services à la Préfecture de police à Paris, le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a rappelé l'esprit de cette réforme: «Il faut faire en sorte que les personnes immigrées s'intègrent et puissent vivre en respectant les principes de la République. Une exigence qui vaut encore plus pour celui qui accède à la nationalité française.» À ceux qui pourraient le suspecter de vouloir freiner la politique d'intégration par le biais de ces nouvelles contraintes, le ministre s'en défend: «L'objectif n'est pas quantitatif. Il s'agit de faire en sorte que les naturalisations soient réussies.» L'an passé, près de 130.000 personnes ont acquis la nationalité française, dont environ 90.000 par la procédure de naturalisation.
Ces nouvelles exigences seront complétées par deux autres nouveautés. Le Haut Conseil à l'intégration finalise l'élaboration d'une charte des droits et des devoirs qui sera ensuite signée par chaque personne devenant française.
Enfin, un nouveau questionnaire pourrait voir le jour et être soumis à chaque étranger afin d'évaluer ses connaissances en matière d'histoire de France. Aujourd'hui testé à la Préfecture de Paris, il pourrait être généralisé s'il s'avère concluant.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
46% des femmes achètent seules leur voiture
Selon une enquête du site au feminin.com, elles ne dialoguent plus avec leur compagnon avant l'achat d'un véhicule et avouent clairement préfèrer consulter le Net.
On s'en doutait mais une enquête le confirme : l'acquisition d'une voiture n'est plus l'affaire exclusive des hommes. Selon une enquête menée par auféminin.com auprès de 1800 femmes en France, en Allemagne, en Espagne et en Pologne, les femmes sont même 46 % à acheter seules leur voiture. Quand il s'agit de leur usage personnel, elles ne consultent même plus leur mari avant. Elles préfèrent se forger leur propre opinion en allant, en un clic, surfer sur internet pour 70 % d'entre elles.
Des acheteuses très «accros» aux marques Françaises
En consultant les sites dédiés aux véhicules, les sites généralistes et les experts, elles se renseignent sur les options, la puissance du véhicule, le prix … et se révèlent imbattables.
Interrogées, les Françaises admettent faire des choix bien peu exotiques car ce sont les marques de l'Hexagone qui remportent leur adhésion : Renault, Peugeot et Citroën.
Globalement, la femme se comporte en bonne ménagère rationnelle pour arrêter son choix. Quand l'homme prendra plus volontiers la voiture de ses rêves, elle regardera avant tout le prix (74 %), puis en deuxième position la consommation de la voiture. 55 % s'intéressent au design.
Elles veulent du fonctionnel et du solide
Et quand l'époux s'extasie durant des heures sur la puissance du moteur et les options dernier cri, la femme n'y prête guère attention. Ce qui lui faut c'est avant tout du fonctionnel et du solide qui tient la route. Par peur du problème mécanique et de la panne ? Sans doute, car elles sont de plus en plus nombreuses à prendre le volant seules. 22 % conduisent seules 7 jours sur 7 et 46 % très régulièrement. La voiture est avant tout pour la femme utilitaire : pour aller au travail ou faire des courses.
Quant à la préservation de l'environnement et l'acquisition éventuelle d'une voiture hybride, la question leur traverse bien l'esprit. Mais 55 % estiment que la somme à débourser pour un tel véhicule est encore trop élevée
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Selon une enquête du site au feminin.com, elles ne dialoguent plus avec leur compagnon avant l'achat d'un véhicule et avouent clairement préfèrer consulter le Net.
On s'en doutait mais une enquête le confirme : l'acquisition d'une voiture n'est plus l'affaire exclusive des hommes. Selon une enquête menée par auféminin.com auprès de 1800 femmes en France, en Allemagne, en Espagne et en Pologne, les femmes sont même 46 % à acheter seules leur voiture. Quand il s'agit de leur usage personnel, elles ne consultent même plus leur mari avant. Elles préfèrent se forger leur propre opinion en allant, en un clic, surfer sur internet pour 70 % d'entre elles.
Des acheteuses très «accros» aux marques Françaises
En consultant les sites dédiés aux véhicules, les sites généralistes et les experts, elles se renseignent sur les options, la puissance du véhicule, le prix … et se révèlent imbattables.
Interrogées, les Françaises admettent faire des choix bien peu exotiques car ce sont les marques de l'Hexagone qui remportent leur adhésion : Renault, Peugeot et Citroën.
Globalement, la femme se comporte en bonne ménagère rationnelle pour arrêter son choix. Quand l'homme prendra plus volontiers la voiture de ses rêves, elle regardera avant tout le prix (74 %), puis en deuxième position la consommation de la voiture. 55 % s'intéressent au design.
Elles veulent du fonctionnel et du solide
Et quand l'époux s'extasie durant des heures sur la puissance du moteur et les options dernier cri, la femme n'y prête guère attention. Ce qui lui faut c'est avant tout du fonctionnel et du solide qui tient la route. Par peur du problème mécanique et de la panne ? Sans doute, car elles sont de plus en plus nombreuses à prendre le volant seules. 22 % conduisent seules 7 jours sur 7 et 46 % très régulièrement. La voiture est avant tout pour la femme utilitaire : pour aller au travail ou faire des courses.
Quant à la préservation de l'environnement et l'acquisition éventuelle d'une voiture hybride, la question leur traverse bien l'esprit. Mais 55 % estiment que la somme à débourser pour un tel véhicule est encore trop élevée
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