Actualités 2012

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Re: Actualités concours 2012

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Amphétamines : un effet neurologique irréversible chez les ados


Si l’on sait depuis longtemps que les amphétamines ont des effets importants sur la chimie du cerveau, pour la première fois, une étude met en évidence les conséquences à long terme de l'usage de ce type de drogue sur l’activité neurobiologique et sur le comportement. C’est ce que révèlent des travaux publiés dans l’International Journal of Neuropsychopharmacology.

Les amphétamines, appelées aussi «speed», sont des drogues qui stimulent le système nerveux. La prise de ce type de stupéfiant entraîne une augmentation de l’attention et la perception, ce qui provoque à court terme une certaine euphorie, ainsi qu’une baisse de fatigue et de l'appétit. En Europe, on estime que 2% et 7% des adolescents ont déjà pris des amphétamines au cours de leur courte vie.
Gabriella Gobbi de l'université de McGill (Montréal, Canada) et ses collègues de l’Université de la Colombie-Britannique et de Yale ont étudié, chez la souris, les impacts de la prise d'amphétamines sur le cerveau et sur le comportement, pendant l’adolescence. Ils ont ainsi pu montrer que les effets des amphétamines peuvent, dans certains cas, être irréversibles, même longtemps après avoir arrêté de prendre ce type de drogue. Ils ont notamment constaté des perturbations importantes au niveau du fonctionnement de certains neurotransmetteurs, tels que la sérotonine, la dopamine, ou la noradrénaline. Ces dernières entraînent, chez les consommateurs de « speed », une hyperactivité et une inhibitions des émotions engendrant des comportements à risques.
S'il est montré que les dérèglements neurobiologiques induits par la prise d’amphétamines persistent à l’âge adulte chez les humains, de la même façon que chez les rongeurs, il est important de prendre en compte ces données en vue d’une campagne de sensibilisation auprès des populations consommatrices…
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Re: Actualités concours 2012

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Quand les hôpitaux publics "draguent" les jeunes médecins

Avec plus de 10 000 postes vacants, les hôpitaux publics cherchent par tous les moyens à attirer les jeunes médecins et internes dans leurs filets. C’est dans ce contexte de pénurie de personnel que la Fédération hospitalière de France (FHF) vient de lancer une campagne nationale de promotion du métier de médecin à l’hôpital public, à destination des internes, sous le slogan « Futurs médecins, laissez-vous guider par l’intérêt, choisissez l’hôpital public ».

Afin de lutter contre le manque chronique de médecins dans les services hospitaliers, la FHF n’a pas lésiné sur les moyens et a multiplié les supports. Revues, vidéos, un site Internet , et un lien sur le réseau social Facebook, font partie de l’arsenal de cette nouvelle campagne.

D’après les membres de FHF, il est primordial, pour un avenir serein, que les jeunes médecins choisissent l’exercice hospitalier. Pour cela, tous les arguments sont bons. Ainsi, le message est clair : préférer la filière de l’hôpital public, parce que c’est un travail en équipe, qui lie plusieurs disciplines, qui ouvre la porte vers la recherche, mais c’est aussi bénéficier de plateaux techniques de pointe… dur de ne pas être séduit !…

Et pourtant, entre 8 000 et 10 000 postes de praticiens hospitaliers (PH) sur 40 000, ne trouvent pas de titulaires. La raison évoquée par la FHF tient à l’image négative que véhiculent actuellement les hôpitaux publics. Un seul mot d’ordre : « valoriser » la filière publique auprès des jeunes médecins, leur permettre de découvrir le véritable visage de ces hôpitaux, et leur montrer l’intérêt de faire sa carrière dans ces établissements. Allez-vous vous laisser séduire ?…
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Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

pour info ce soir sur france 5 enquete de santé sur la profession d'infirmiere!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

Leucémie de l’enfant : le nucléaire ne serait pas en cause ?

Est ce que vivre à proximité d’un site nucléaire pourrait être un facteur de risques aggravant pour développer une leucémie chez les enfants ? A cette question, les opinions des experts divergent. Afin de mettre fin à la controverse, Jacqueline Clavel, épidémiologiste à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) vient d’annoncer qu’une nouvelle étude est en cours pour évaluer le réel impact du nucléaire sur la santé des plus jeunes.
En 2004, l’équipe d'épidémiologie environnementale des cancers, dirigée par Jacqueline Clavel a déjà publié une étude qui n’a pas permis de faire un lien entre un risque supplémentaire de développer une leucémie chez l’enfant quand ce dernier vit à proximité d’un site nucléaire. Trois ans plus tard, des travaux menés en Allemagne, qui ont permis de recueillir un certain nombre d’informations sur les populations germaniques ayant pour voisines une centrale nucléaire, montrent eux que le risque existe bien et tout particulièrement chez les petits jusqu’à leur cinquième année.
Ces données ont incité les chercheurs français à faire une nouvelle évaluation des risques. « Nous devrions publier les premiers résultats dans les mois à venir », espère Jacqueline Clavel. Toutefois, d’après les premières informations qu’elle a recueillies la chercheuse estime que les radiations ionisantes à faible dose peuvent être fortement suspectées dans le développement chez l’enfant de leucémie. Chaque année, on estime à plus de 470, le nombre de nouveaux cas.
Actuellement d’autres potentiels facteurs de risques sont à l’étude, tels que les champs magnétiques à extrêmement basse fréquence, générés par les lignes à haute tension, ou l'exposition au benzène de l'essence dans le trafic routier ou à proximité des stations services ou bien encore l'exposition chronique au radon, un gaz émis dans des vieux massifs granitiques. C’est en tout cas les autres pistes envisagées par le groupe de travail qui vient d’être créé par l'Autorité de la sûreté nucléaire (ASN), dans le but définir le réel impact des sites nucléaires sur la santé des enfants. Affaire à Suivre…

Article écrit le 2011-11-08 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalièreÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Message par missdu33 »

Un « nez » pour détecter la tuberculose

Après plus de deux ans de recherches, des chercheurs indiens viennent d’annoncer qu’ils ont enfin mis au point un "nez électronique" capable de détecter les cas de tuberculose dans le souffle du patient. Ce système, dont le prototype pourrait être testé dès 2013, coûterait moins de 25 euros et devrait permettre un diagnostic quasi-instantané.
Maladie infectieuse transmissible et non immunisante, la tuberculose est provoquée par une mycobactérie dont la plus connue est Mycobacterium tuberculosis, connue aussi sous le nom de bacille de Koch. Cette affection n’est contagieuse que lorsque les poumons sont atteints. Chaque année, elle tue à travers le monde plus de 1,7 millions de personnes.
Afin de lutter contre cette pandémie mondiale qui sévit tout particulièrement dans les pays pauvres et les pays en voie de développement, Ranjan Nanda du Centre international d'ingénierie génétique et de biotechnologie de New Delhi et ses collègues du groupe Next Dimension Technologies basé en Californie, essaient depuis plusieurs années de mettre au point un système simple d’utilisation, facilement transportable, et capable de diagnostiquer rapidement la maladie pour permettre de traiter au plus vite le patient infecté. C’est enfin chose faite, avec le « E-nez », véritable « nez électronique » capable de détecter dans l’haleine des traces de la maladie. Ce dernier, qui ressemble à un éthylotest, fonctionne sur piles et ne coûterait, à la commercialisation, qu’entre 15 et 22 euros.
D’après les chercheurs, le premier prototype du "E-nez" pourrait être testé dès la fin de l’année 2013 sur le terrain, et pourrait, à terme, permettre de sauver plus de 400 000 personnes touchées par la tuberculose. Affaire à suivre ….

Article écrit le 2011-11-07 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalièreÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

Message par sixela95 »

merci pour l'info c'est à 20h30?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

sixela95 a écrit :merci pour l'info c'est à 20h30?
oui c'est caÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

Message par sixela95 »

ok je vais l'enregistrer merciÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

de rien :DÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Message par sixela95 »

Les jeunes de plus en plus touchés par la pauvreté
Le Secours catholique préconise la création d'une allocation de soutien à l'autonomie des jeunes et l'extension du RSA aux jeunes travailleurs dès 18 ans.

Les jeunes sont aujourd'hui la catégorie de population la plus touchée par la pauvreté. C'est ce qu'établit le rapport annuel du Secours catholique publié aujourd'hui. Intitulé «Jeunes, une génération précaire», cette étude statistique sur l'évolution de la pauvreté en France tire la sonnette d'alarme sur l'ampleur de la précarité chez les 18-25 ans. Durant un an, l'association est intervenue auprès de 1.492.000 personnes, soit 2,3% de plus que l'année précédente.

Les chiffres sont parlants : 92% des personnes rencontrées vivent en-dessous du seuil de pauvreté, et même très en deça puisque leur revenu mensuel moyen est de 576 euros. Un constat confirmé par les chiffres de l'Insee : le taux de pauvreté est de 22,5% chez les 18-24 ans, contre 13,5% pour l'ensemble de la population.

Parmi les jeunes, 30% n'ont aucune ressource, plus de 40% sont au chômage et 36,1% vivent dans un «substitut de logement» (hôtel, pension, caravane, péniche, famille, rue, etc.) contre 20,1% des plus de 25 ans.

La pauvreté des jeunes est aussi celle de leur famille

A 24 ans, une licence de droit en poche et des CDD infructueux en entreprise, Thierry a dû réintégrer le domicile familial après un semblant d'autonomie donné par ses petits boulots. «Ce n'est pas faute de me bouger, désespère le jeune homme, mais je ne parviens pas à accrocher un minimum de salaire régulier pour vivre normalement. Toutes les portes se ferment les unes après les autres, heureusement que celle de mes parents est restée ouverte».

Comme lui, de nombreux jeunes en difficulté entre 22 et 25 ans habitent chez leurs parents. «La difficulté des jeunes à pouvoir s'autonomiser va croissante, commente Bernard Thibaud, secrétaire général du Secours catholique. Les trois facteurs qui soutenaient leur autonomie - la famille, l'emploi CDI et le logement - sont très fragilisés aujourd'hui».

Naturellement, «la pauvreté des jeunes est aussi celle de leurs familles», déduit l'association qui, d'après des calculs à revenus identiques, observe que la présence d'un jeune sans revenu dans un foyer diminue de 25% le revenu d'un couple, et de 33% celui d'une mère seule.

Inquiet de leur fragilisation, qui ébranle aussi leur confiance en l'avenir, le Secours catholique préconise, entre autres mesures, la création d'une allocation de soutien à l'autonomie des jeunes et l'extension du RSA activité aux jeunes travailleurs dès 18 ans. Il plaide aussi pour le maintien des prestations familiales jusqu'à l'âge de 20 ans pour le dernier enfant à charge.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

Adopter la moustache contre le cancer de la prostate

Par Cyrille Vanlerberghe, - le 08/11/2011 lefigaro.fr

Lancée comme une blague en 2004, la campagne de prévention «Movember» rencontre un succès grandissant dans le monde anglo-saxon.
En novembre, se laisser pousser la moustache peut aider à lutter contre le cancer de la prostate ainsi que d'autres maladies masculines. Ce n'est pas une blague, mais une opération très sérieuse lancée en Australie sous le nom de Movember, une contraction en anglais de november et de mo, argot pour moustache.
Le principe est simple : les participants se rasent de près le 1er novembre, puis se laissent pousser la moustache jusqu'à la fin du mois. L'apparition de poils au-dessus de la lèvre supérieure provoque la surprise des interlocuteurs et permet de lancer spontanément la conversation sur Movember, puis de faire parler des maladies masculines, cancer de la prostate en tête, et enfin de lever des fonds pour la recherche et l'accompagnement de ces maladies.
«Cette campagne est un moyen amusant et humoristique de faire passer un message tout à fait sérieux», résume Bill McIntyre, porte-parole de Movember à Londres. Le mouvement a démarré un peu comme une blague au sein d'un groupe d'amis à Adélaïde, en Australie, avant d'être repris depuis 2004 par la fondation caritative Movember, qui gère l'expansion du mouvement dans quatorze pays. Cette année, près de 590.000 hommes se sont inscrits sur le site movember.com pour essayer de récolter des dons, un chiffre en croissance de plus de 30 % en un an.
» Vidéo annonçant l'opération «Movember 2011» :
Le mouvement est déjà très actif dans le monde anglo-saxon, où il a récolté à ce jour 123 millions d'euros, mais fait son arrivée dans d'autres pays, comme la Belgique et l'Espagne. «Nous sentons un intérêt croissant en France, et nous avons l'intention d'y lancer sérieusement Movember l'année prochaine», promet Bill McIntyre.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Message par Memo »

Le Sénat retoque la taxation doublée des complémentaires santé

Le Sénat, désormais contrôlé par la gauche, a retoqué, mardi 8 novembre, le doublement de la taxation des contrats complémentaires santé voulu par le gouvernement pour revenir au niveau de taxation de 3,5 %, dans le cadre de l'examen du budget 2012 de la Sécurité sociale.
Le Sénat a ainsi confirmé en séance ce qu'il avait déjà voté la semaine dernière en commission : la suppression du doublement – de 3,5 % à 7 % – de la taxe sur les contrats "responsables et solidaires" (mutuelles, assurances, institutions de prévoyance) censé rapporter 1,1 milliard d'euros.

>> Lire : Budget de la Sécu : au Sénat, la gauche imprime sa marque

Les sénateurs ont adopté par 180 voix contre 164 deux amendements, l'un socialiste, l'autre communiste, demandant l'abrogation du doublement de la taxe sur les mutuelles complémentaires. Quatre UMP (Alain Fouché, Michel Doublet, Daniel Laurent et Catherine Procaccia) ont voté pour les amendements de la nouvelle majorité sénatoriale.

La mesure prévue par le gouvernement, annoncée par le premier ministre en août et incluse dans la loi de finances rectificative 2011, avait provoqué la colère de l'opposition. La Mutualité française avait contre-attaqué en affirmant que les mutuelles seraient contraintes d'augmenter en moyenne leurs tarifs de 4,7 % en 2012.

Les sénateurs ont proposé de compenser la perte occasionnée (1,1 milliard d'euros) pour moitié par une hausse du forfait social d'environ trois points et pour moitié par une hausse du prélèvement social sur les revenus du capital (soit une hausse de 0,5 point de ce taux, qui serait ainsi porté à 3,9 %).

LE mondeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Cancer : Pourquoi rester assis est un facteur de risque

Une étude américaine montre qu'en moyenne nous passons trop de temps assis. Cette mauvaise habitude accroît le risque de cancer.

Mettre les pieds sur le bureau pour s'étirer et relancer la circulation sanguine, traîner dans les couloirs ou encore aller à la machine à café plus que ce n'est déjà le cas... Autant de conseils que l'American Institute for Cancer Research (AICR) vient de livrer à l'intention de ses compatriotes. Cependant, pas sûr que tous les employeurs apprécient ces recommandations... Et pourtant, celles-ci permettraient de limiter les risques de cancer. Une petite marche d'une ou deux minutes toutes les heures diminuerait, en effet, les conséquences nocives sur la santé liées à un temps trop élevé à être resté assis. 

Si l'étude est américaine – elle a été réalisée d'après 46 analyses publiées entre 1996 et janvier 2011 outre-Atlantique –, ses conclusions peuvent tout à fait s'adapter aux Français dont le rythme de vie commence à ressembler de plus en plus à celui des Etat-Unis. Même si les Américains resteraient encore plus sédentaires que nos compatriotes.

60 % de notre journée assis
Selon cette étude, le temps moyen passé assis durant notre journée est de 60 % (transports en commun, télévision, ordinateur...). Le chiffre monte encore à 75 % en moyenne pour les employés de bureau. Ces 46 analyses médicales ont repris trois indicateurs connus pour montrer le risque de cancer accru à savoir le tour de hanches des volontaires, la résistance à l’insuline et un marqueur de l’inflammation. La résistance à l'insuline entraîne une accumulation de glucose dans le sang et à termes un diabète de type 2. Par ailleurs, la sédentarité entre aussi en jeu dans les risques de rechute, pour les personnes en rémission.

Autre révélation de l'étude : les deux heures de sport par semaine, pratiquées le week-end par exemple, ne suffisent pas à diminuer les risques de cancer. Elles ne compensent pas, en effet, les dangers de la position assise trop prolongée. La tâche est donc quotidienne. Tous les jours, levez-vous donc de votre siège le plus souvent possible

France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Sortie du nucléaire : «Un million d’emplois mis en péril», selon le PDG d'EDF

Face à nos lecteurs, Henri Proglio, PDG d’EDF, a, durant deux heures, répondu lundi à leurs questions sur les prix de l’électricité, l’ouverture à la concurrence du marché, la sécurité du parc nucléaire français, les leçons de la catastrophe de Fukushima. Il a, surtout, mis en garde contre les conséquences d’une sortie du nucléaire.


Jean-Luc Delcros. On évoque des risques de pénurie d’électricité pour cet hiver du fait notamment de l’arrêt de centrales nucléaire en Allemagne d’où nous importons du courant. Qu’en est-il ?

Un avis sur la sécurité de notre approvsionnement sera remis mercredi - aujourd’hui. NDLR - aux pouvoirs publics. En toute hypothèse, la France ne manquera pas d’électricité cet hiver (....). Nous avons été exporteur d’électricité l’an dernier, nous le serons encore cette année. (...) La France est l’un sinon le seul pays européen à avoir assuré son indépendance énergétique grâce à sa production nucléaire. S’y ajoute des moyens de production complémentaires, comme les énergies renouvelables qui sont et resteront encore un moment marginales pour des raisons de compétitivité. Nous n’avons donc pas de besoins d’importation de pays étranger quel qu’il soit, aussi bien l’Allemagne que l’Italie, l’Espagne ou tout autre. Cela n’exclue en revanche pas, mais pour des raisons strictement liées à l’optimisation, que nous puissions à certains moments bien précis, comme les heures de pointe par exemple, exporter et importer en même temps.



Elise Cokelaer-Detavenier. Comment justifiez-vous une augmentation de 30 % des tarifs en 5 ans, et le fait que l’on prévoit de nouvelles augmentations dans les années à venir ?

Ces hausses éventuelles ne sont qu’envisagées puisque rien n’a été annoncé pour le moment. La raison en est simple : en France, les tarifs sont régulés, et le resteront au moins jusqu’en 2015. Pour les particuliers, il est d’ailleurs fort à parier qu’ils le soient encore bien au-delà de cette date. En matière de tarifs, EDF soumet ses demandes, mais c’est l’Etat qui en dernier lieu décide. Il ne faut pas oublier que l’électricité française demeure de loin la moins chère d’Europe, 30 % en dessous de la moyenne dans les pays voisins, grâce à notre parc nucléaire et hydraulique. Evidemment, ce sont des infrastructures qui nécessitent des investissement très lourds, surtout dans un monde où l’énergie se fait de plus en plus rare, où les coûts de productions sont toujours plus élevés, et où la protection de l’environnement devient une préoccupation primordiale. Notre rôle est donc, malgré l’importance de ces investissement, de continuer d’assurer aux Français une évolution modérée et contrôlée des prix de l’électricité, je dirais de l’ordre de 2 à 3 % par an en euros constants. Grâce à ses choix audacieux, la France restera encore longtemps largement favorisée par rapport à bon nombre d’autres pays européens.

Taoufik Moumini. Les centrales nucléaires françaises resteront elles sûres, même si l’on prolonge leur durée de vie ?

S’il est arrivé pour des raisons économiques ou comptables que le groupe retarde ses investissements, dans la production mais également dans la distribution, EDF n’a pour autant jamais sacrifié la sûreté de ses centrales. En cas d’accident, l’entreprise n’y survivrait pas. Les centrales étaient initialement prévues pour durer 40 ans. Un peu partout dans le monde, les pouvoirs publics ont pris la décision d’étendre cette durée de vie. Aux Etats-Unis par exemple, elles ont été prolongées jusqu’à 70 ans et on parle même de les prolonger de 10 voire 20 ans de plus. En France, on parle de 60 ans. Il faut savoir que dans une centrale tous les équipement ont vocation a être remplacés, optimisés ou modernisés. Elles n’ont plus rien à voir aujourd’hui avec ce qu’elles étaient il y a trente ans. De nouveaux tests sont d’ailleurs actuellement en cours pour vérifier leur bon état.

Taoufik Moumini. En quoi les compteurs Linky sont-ils une avancées positives pour les consommateurs ? seront ils gratuits ? Peut-on être sûr que les données resteront confidentielles ?

Linky est un compteur intelligent et interractif. En traitant à distance un certain nombre de sujets, il autorise une lecture en temps réel et à distance des données et évite par exemple les écarts entre les estimations et votre consommation réelle, source d’encore trop d’erreurs. Après avoir été expérimenté sur 300 000 foyers, Linky se trouve désormais en situation de pouvoir être généralisé à toute la France, soit 35 millions de foyers, ce qui représente un investissement de 4,5 à 5 milliards d’euros ! Doit-il pour autant être facturé à nos clients ? Je ne pense pas. EDF peut largement se financer grâce aux économies et aux gains de productivité que permettra ce compteur. Mais à la condition que la règlementation soit revue afin de garantir pour mon entreprise un retour sur investissement. Sauf qu’actuellement, je suis dans l’obligation de le facturer au consommateur, à hauteur de 200 à 300 euros par foyer. Alors qu’on pourrait l’éviter par une évolution réglementaire nécessaire, et en faire cadeau à nos clients. Il faut savoir qu’aujourd’hui, les compteurs appartiennent au réseau qui appartient lui aux collectivités territoriales. Nous ne sommes que gestionnaire. Or je veux bien investir des milliards d’euros à la condition d’avoir devant moi la durée nécessaire pour amortir ces investissements et récupérer ma mise. Pour cela, il me semble normal de considérer que le nouveau compteur Linky m’appartient et que si une collectivité met fin au contrat de délégation de service, elle me rembourse les sommes non amorties.

Alain Bozarik. Pensez vous que les plus pauvres pourraient un jour bénéficier de l’électricité gratuitement ?

Je ne pense pas que cela soit souhaitable. Tout service, et l’électricité en est un, mérite d’être respecté. D’ailleurs, les gens les plus modestes sont souvent ceux qui revendiquent le moins la gratuité. Il y a un respect du service public. Et le respect passe par une contribution, fusse-t-elle modeste. Il est donc en revanche nécessaire d’avoir des tarifs sociaux. Nous en avons d’ailleurs demandé l’automatisation. 650 000 personnes en bénéficient aujourd’hui mais ce chiffre pourrait facilement être doublé. Nous venons également de signer un accord de coopération avec les pouvoirs publics et nous avons débloqué 50 millions d’euros pour permettre d’aider à la réhabilitation de logements pour les plus démunis. Si nous sommes à 100 % une entreprise, nous sommes également et peut-être avant tout un opérateur de service public, avec toutes les valeurs que cela comporte.

Jean-Luc Delcros. On évoque des risques de pénurie d’électricité pour cet hiver du fait notamment de l’arrêt de centrales nucléaire en Allemagne d’où nous importons du courant. Qu’en est-il ?

Un avis sur la sécurité de notre approvisionnement sera remis mercredi - aujourd’hui. NDLR - aux pouvoirs publics. En toute hypothèse, la France ne manquera pas d’électricité cet hiver (....). Nous avons été exporteur d’électricité l’an dernier, nous le serons encore cette année. (...) La France est l’un sinon le seul pays européen à avoir assuré son indépendance énergétique grâce à sa production nucléaire. S’y ajoutent des moyens de production complémentaires, comme les énergies renouvelables qui sont et resteront encore un moment marginales pour des raisons de compétitivités .

Taoufik Moumini. Les centrales nucléaires françaises resteront elles sûres si l’on prolonge leur durée de vie ?

EDF n’a jamais sacrifié la sûreté de ses centrales car, en cas d’accident, l’entreprise n’y survivrait pas. Elles étaient initialement prévues pour durer 40 ans. Un peu partout dans le monde, les pouvoirs publics ont pris la décision d’étendre cette durée de vie. Aux Etats-Unis par exemple, elles ont été prolongées jusqu’à 70 ans. En France, on parle de 60 ans. Il faut savoir que dans une centrale tous les équipement ont vocation a être remplacés, optimisés ou modernisés. Elles n’ont plus rien à avoir aujourd’hui avec ce qu’elles étaient il y a trente ans.

Jean-François Bouilly. La centrale de Fessenheim est la plus ancienne en France. Elle est, de plus, située dans une zone sismique. N’est-il pas dangereux de la laisser en service ?

Non, il n’y a aucune raison industrielle. A Fessenheim, le risque sismique a été réactualisé. La centrale pourrait résister à un tremblement de terre deux fois supérieur au séïsme historique qui a frappé la région auXIVe siècle. La tranche numéro 1 de Fessenheim a passé avec succès l’audit de l’Autorité de sûreté nucélaire (ASN) qui a autorisé sa prolongation pour dix ans. J’espère que l’avis de l’ASN sera de même nature pour la tranche numéro 2. Enfin, nous aurons d’ici trois mois des audits de sûreté «post-Fukushima». Les Français pourront alors se faire une opinion sur la sûreté de cette centrale.

Jean-Luc Delcros. Quelles leçons avez-vous tiré de Fukushima ?

A Fukushima, il y a eu 30 000 morts victimes du tsunami et deux morts causées par une explosion de gaz dans la centrale. Mon propos n’est pas de minimiser l’accident nucléaire. Si la centrale a résisté au tremblement de terre, c’est bien le tsunami qui a coupé les sources de refroidissement provoquant le réchauffement puis la fusion des coeurs de la centrale. Les systèmes français et japonais sont très différents. Au japon, l’opérateur Tepco gérait une centrale livrée clefs en main par l’Américain GE. En France, EDF est à la fois concepteur et exploitant et tous les accidents dans le monde sont analysés pour améliorer en permanence la sûreté de nos centrales qui sont reconnues comme étant les plus sûres. Plus globalement, Fukushima nous a appris que la sûreté nucléaire repose sur deux acteurs. Les autorités publiques et l’opérateur. D’ailleurs, le Premier ministre japonais a démissionné et Tepco ne survivra probablement pas à la catastrophe. Tous les pays qui aujourd’hui ont décidé de continuer leur programme nucléaire ont bien sûr tiré les leçons de Fukushima. La Grande-Bretagne, la Hollande, les pays d’Europe centrale, le Brésil, le Chili, la Turquie, l’Afrique du Sud, la Russie, le Vietnam, les Etats-Unis, la Chine ont considéré que le nucléaire faisait partie de leur mix énergétique pour les années qui viennent.

Jean-Luc Delcros. Des pays comme l’Allemagne, la Belgique, la Suisse ou l’Autriche ont abandonné le nucléaire après Fukushima....

L’Autriche est très proche historiquement de l’Allemagne. En Belgique, le sujet est différent. Il s’agit d’un désaccord financier avec son opérateur. On peut difficilement en tirer des conclusions. La Suisse dit vouloir sortir du nucléaire mais sans préciser quand. Quant à l’Italie, la décision a été prise à la suite d’un référendum qui mélangeait plusieurs questions. Et je le répète de très nombreux pays ont décidé de renforcer leur programme nucléaire après Fukushima.

Alain Bozaric. Si jamais il y avait une décision politique en France de sortir du nucléaire, quelles en seraient les conséquences ?

Je vous donne ma conviction, ensuite à chacun de se faire une opinion. D’abord, cela augmenterait probablement de 50% les émissions de gaz à effet de serre à cause de l’utilisation du charbon, du gaz et du pétrole pour remplacer le nucléaire. C’est ce que fait l’Allemgagne. En France, cela impliquerait aussi un investissement de 400 milliards d’euros pour remplacer le parc existant par des moyens de production alternatifs, ce qui se traduirait par un doublement de la facture d’électricité. J’ajoute qu’une telle décision menacerait 400.000 emplois directs et indirects de la filière nucléaire, 500.000 emplois dans les entreprises actuellement localisées en France et très gourmandes en énergie, comme l’aluminium, qui risquerait de partir à l’étranger. Il faut y ajouter 100.000 emplois futurs provenant du développement du nucléaire mondial à partir de la France. Au total, 1 million d’emplois seraient mis en péril et cela coûterait entre 0,5 et 1 point de PIB. Rien de tout cela n’est inimaginable. Techniquement, c’est faisable et on peut très bien choisir de le faire, voilà ce que cela impliquerait.

Elise Cokelaer-Detavenier. Pourquoi le chantier de l’EPR de Flamanville a-t-il pris autant de retard ?

L’EPR de Flamanville est la tête de série d’un réacteur de nouvelle génération, le premier construit en France. Cela fait vingt ans que la France n’avait pas construit de centrale nucléaire.Il faut un certain temps pour relancer les compétences non pas chez EDF mais chez les entreprises sous-traitantes. Cette période de mise au point sera gommé ensuite par l’effet de série. Nous construison deux EPR en Chine et nous allons en construire deux autres en Grande-Bretagne. En France, l’EPR de Flamanville sera mis en service en 2016 avec quatre ans de retard. Le projet initial était assez irréaliste puisque l’on prévoyait de construire une centrale de nouvelle génération en 40 mois. cela ne s’est jamais fait dans l’histoire du nucléaire mondial. C’est un problème de rôdage. Il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain et considérer que, parce que c’est compliqué de redémarrer une filière, il faut condamner les évolutions du nucléaire.

Alain Bozaric. Quels sont actuellement les grands investissements d’EDF dans la recherche et l’innovation ?

Ils sont nombreux. Nous avons plus de 2 000 chercheurs. Nous disposons du plus grand centre de recherche du monde mais EDF n’est pas que dans l’industrie électro-nucléaire. Nous nous intéressons aux grands projets hydrauliques, aux ressources et aux technologies d’énergies nouvelles comme le photovoltaïque, les énergies marines, les hydrauliennes en cours de test en Bretagne. Nous travaillons aussi sur les systèmes intelligents de transmission d’optimisation ou encore le stockage de l’énergie. Je veux souligner que l’un des grands enjeux d’EDF concerne le défi du renouvellement des compétences. La moitié de notre effectif va partir à la retraite dans les cinq ans qui viennent et dans les quatre ans en matière de nucléaire. Nous allons donc recruter et former plus de 5 000 personnes par an dans les trois ans à venir.

Elise Cokelaer-Detavenier. Quel est le salaire du PDG d’EDF ? Pensez-vous que les les grands patrons sont trop bien payés ?

Ce que je gagne est connu. J’ai une rémunération fixe de 1 million par an et une part variable qui peut atteindre les 600 000 euros. Je suis le patron le moins payé du CAC 40 alors quEDF est la deuxième entreprise française. Je suis loin aussi d’être le premier revenu d’EDF. Est-ce que les dirigeants sont trop payés ? Je ne fais pas de comparaison avec les vedettes du show-biz, ni du sport. Il y a parmi les dirigeants quelques exagérations mais je ne les citerai pas. Je ne fais pas partie de ceux pour qui le baromètre de la réussite passe par l’argent. Ce que je peux dire c’est que mes rémunérations sont votées par assemblées générales, par le conseil, tout le monde y a accès, à commencer par les salariés du groupe et leurs représentants et qu’il est naturel qu’il en soit ainsi.

Elise Cokelaer-Detavenier. Vous êtes proche de Nicolas Sarkozy. Si la gauche arrive au pouvoir en 2012, pensez-vous rester à la tête d’EDF ?

Je n’ai pas d’angoisse particulière à ce sujet. J’ai un actionnaire principal, l’Etat, qui décidera si je dois ou pas rester à la tête d’EDF. Je suis révocable comme n’importe quel président d’entreprise. J’en accepte le principe. J’avais quarante ans d’ancienneté dans mon activité précédente. Je suis venu sans aucune garantie pour occuper ce poste en me disant qu’il m’appartenait de faire la preuve par mon action de ce que je pouvais apporter à l’entreprise. Je connais le président de la République comme, de part mes anciennes fonctions à la tête d’un groupe de service public aux collectivités territoriales, je connais à peu près tout ce que la France compte d’élus de tous bords.

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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Yonne et Haute-Loire : deux élèves meurent d'un arrêt cardiaque en cours de sport

Deux drames successifs ont eut lieu dans des établissements scolaires à l'occasion d'un cours de sport. Un enfant de neuf ans est mort lundi d'un malaise cardiaque à Cuy, dans l'Yonne, durant son cours de sport. C'est le maire de cette commune de 800 habitants qui a révélé la nouvelle. Des faits similaires se sont produits dans un collège de Saint-Didier en Velay (Haute-Loire) toujours lundi. Cette fois, c'est un élève de 14 ans qui a trouvé la mort, toujours après son cours d'EPS.

Dans l'Yonne, l'enfant de 9 ans s'est plaint de douleurs dans la poitrine. «Ca s'est produit hier après-midi pendant le cours de sport des CM1-CM2. En début de séance, cet enfant s'est plaint de douleurs à la poitrine puis a fait un malaise. Une infirmière présente sur place a tenté de le ranimer sans succès avant l'arrivée du Smur», a déclaré à l'AFP François Sylvestre, le maire de Cuy, confirmant une information de l'Yonne Républicaine.

«Etant donné les circonstances de la mort, le rapport du médecin et le résultat des analyses sanguines, aucune suite pénale n'a été demandée», indique-t-on au parquet de Sens. Une cellule de soutien psychologique a été mise en place dans l'école, a précisé le maire.

Dans la Haute-Loire, le collégien de 14 ans s'écroule après un effort sportif. «L'accident est survenu vers 15h10, nous avons tout fait pour le récupérer, en vain», ont indiqué les pompiers, confirmant une information du quotidien Le Progrès. «Après un effort sportif, ce collégien s'est senti mal, a perdu connaissance et est décédé dans les minutes qui ont suivi», a précisé le parquet, soulignant que «c'est très douloureux pour la famille».

Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de la mort, a-t-il ajouté.

Une autopsie et des examens médicaux doivent être pratiqués mercredi à Saint-Etienne.




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