Actualités 2012

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Re: Actualités concours 2012

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Éthylotests obligatoires pour les discothèques

La mesure entre en vigueur le 1er décembre. 31 % des accidents mortels sont aujourd'hui dus à l'alcool.

«Soufflez vous saurez !» Cette petite phrase va figurer dans 5500 établissements en France. À compter du 1er décembre en effet, tous les débits de boissons autorisés à fermer entre 2 heures et 7 heures du matin vont devoir s'équiper de ce dispositif permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique, avec l'obligation de le faire savoir par le biais de ce slogan. Discothèques, bars à ambiance musicale, cabarets ou encore bars d'hôtels sont concernés.

Selon les nouvelles dispositions publiées dans un arrêté d'août dernier, les responsables des établissements auront le choix entre l'éthylotest chimique ou l'éthylotest électronique fixe ou portable. Quel que soit le modèle retenu, ils devront s'assurer que le contrôle pourra s'effectuer dans un délai inférieur à quinze minutes. Ce qui correspond à un éthylotest électronique pour 300 personnes, selon le texte. Pour les éthylotests chimiques, l'arrêté indique que «leur nombre doit être au moins égal au quart de la capacité d'accueil de l'établissement et ne peut être inférieur à 50».

Par ailleurs, les gérants pourront décider de rendre payant ce service. «Un moyen de responsabiliser les usagers des établissements et éviter que cela vire au jeu entre clients», dit-on au Synhorcat (Syndicat national des hôteliers restaurateurs cafetiers traiteurs).

Depuis plusieurs semaines déjà, et pour être prêts le jour J, les établissements ont fait partir les commandes de ces appareils entièrement à leur charge. Pour réduire les coûts, le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL) a notamment négocié pour ses adhérents une réduction de 20 % sur les tarifs.

Du côté des fournisseurs, on se frotte bien sûr les mains. Cette nouvelle réglementation ouvre la voie à de nouveaux marchés. «En France, 12 produits, représentés par six à huit marques, ont été certifiés par le Laboratoire national de métrologie et d'essais», indique Daniel Orgeval, président de l'association de promotion pour le dépistage d'alcoolémie et des drogues. Parmi eux : Dräger, Ethylo, Contralco ou encore Pelimex. «C'est certain, nos commandes sont en hausse», indique Bertrand Jermann, président d'Ethylo, qui ajoute : «Cette réglementation crée une dynamique : des établissements non concernés par cet arrêté veulent aussi recourir à ces dispositifs de dépistage d'alcool.» Des restaurants, des entreprises ou des mairies, pour leurs salles des fêtes, investissent en effet dans les éthylotests.

Réserves sur leur efficacité
Pour l'heure, ce n'est pas toujours de gaieté de cœur que les discothèques et autres lieux de nuit se soumettent à cette nouvelle réglementation. Patrick Malvaës, responsable du Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs, émet pour sa part de grandes réserves sur leur efficacité. Au Syndicat national des hôteliers restaurateurs cafetiers traiteurs, où l'on approuve ces règles, on rappelle toutefois que plus de 80 % de l'alcool vendu en France l'est dans des lieux autres que ces établissements de nuit. «La solution serait de rendre obligatoire un éthylotest dans chaque voiture», ajoute-t-on. Dernièrement, le ministre de l'Intérieur s'est d'ailleurs déclaré favorable à une telle mesure.

Du côté des responsables de la Sécurité routière, on espère que ces équipements créeront de nouvelles habitudes d'auto-contrôle. Car les enjeux sont réels : à ce jour, 31 % des accidents mortels sont imputables à l'alcool.

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Hépatites B et C : attention aux pédicures et manucures


Par Aude Rambaud - le 28/11/2011
Un rapport pointe un risque faible de transmission de ces virus dans certains instituts.
Ressortir de chez son manucure avec l'hépatite B ou C ? Il ne s'agit pas d'un mauvais scénario de série B mais bien d'une possibilité rappelée lors du dernier congrès du Collège américain de gastroentérologie, il y a deux semaines. Le département de la Santé de l'État de Virginie a mené son enquête et effectué une méta-analyse montrant que des cas d'hépatites B et C sont effectivement associés à la fréquentation d'instituts de manucure, de pédicure ou encore de barbiers. Ces résultats sont à prendre avec prudence, compte tenu de l'hétérogénéité des personnes suivies et des protocoles d'études mais «le lien entre les deux ne peut être exclu si le matériel à usage multiple n'est pas désinfecté selon des normes prévues à cet effet», reconnaît le Dr David Johnson, évaluateur du rapport à l'école de médecine d'Eastern Virginie.
Cette information, peu connue du grand public, n'est en fait pas nouvelle. Une étude française menée en 2001 établissait déjà ce lien de cause à effet. Les auteurs avaient recherché les risques de transmission du virus de l'hépatite C chez des personnes non transfusées et non toxicomanes. «Près de 70% des cas sont liés à une transfusion ou à l'usage de drogue en intraveineuse, explique le Pr Patrice Cacoub, service de médecine interne de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et coauteur de l'étude. Cela signifie que, dans 30 % des cas, nous ne connaissons pas le mode de transmission», précise-t-il. Au terme de l'étude, les auteurs avaient identifié quinze facteurs de risque, parmi lesquels figurent la fréquentation des cabinets d'acupuncture, les soins chez l'esthéticienne, la manucurie ou encore la pédicurie.
S'il est difficile de chiffrer les cas associés à ces voies de transmission, la déclaration obligatoire de l'hépatite B facilite le suivi épidémiologique de cette maladie. L'Institut national de veille sanitaire n'a pas recensé à ce jour de cas liés à des soins esthétiques mais a par exemple repéré des contaminations dues à des actes d'acupuncture pratiqués avec des aiguilles à usage unique mais réutilisées. Une infection aiguë avait été signalée dans le Languedoc-Roussillon en 2008 chez une adolescente ayant eu des séances d'acupuncture. Les autorités de santé avaient finalement identifié 4 cas supplémentaires impliquant la même souche virale chez des personnes ayant fréquenté le même cabinet.
Matériel à usage unique Pour Michèle Lamoureux, présidente de la Confédération nationale artisanale des instituts de beauté, le risque infectieux n'existe pas dès lors que les personnes se rendent dans des instituts de beauté tenus par des esthéticiennes formées. «Les professionnelles diplômées ont consacré deux années d'études incluant des cours de biologie. Elles connaissent les risques de transmission des maladies et respectent scrupuleusement les consignes d'hygiène apprises pendant leur formation pour les prévenir, assure-t-elle. Tout le matériel réutilisable est systématiquement désinfecté entre chaque client, que ce soit les brosses, les spatules, les coupelles, les limes, etc.» Pour elle, le risque viendrait plutôt des petites boutiques, le plus souvent tenues par des Asiatiques sans formation qui affichent centres de beauté, de relaxation ou encore ongleries.
Des données datant de 2003 laissent pourtant penser que certains professionnels sont moins scrupuleux que d'autres. L'étude de 30 cabinets de pédicurie de la région Centre par la Direction régionale des affaires sanitaires et sociales montrait de nombreuses insuffisances en matière d'hygiène. Les pédicures-podologues sont des paramédicaux et doivent respecter des mesures définies par une circulaire de la Direction générale de la santé. Cela pourrait être un gage de sécurité, et pourtant… Les résultats révélaient dans certains cas l'absence de nettoyage préalable à la désinfection, l'utilisation de détergents à la place de désinfectants, la réutilisation de lames de gouge ou de bistouri mal stérilisés alors qu'il existe du matériel à usage unique.
Plusieurs pratiques esthétiques sont contraintes par la loi en matière d'hygiène et de salubrité. C'est le cas des salons de coiffure, des centres de tatouage ou de perçage, du maquillage permanent ou encore des UV mais rien pour la beauté des pieds et des mains.
Les mesures d'hygiène devraient théoriquement être identiques à celles appliquées pour les dispositifs médicaux en contact avec des muqueuses ou la peau lésée superficiellement. C'est-à-dire subir lavage et traitement bactéricide, fongicide ou encore virucide. Michèle Lamoureux assure que c'est le cas. Pour sa part, le Dr David Johnson préfère conseiller aux utilisateurs de ces centres de venir avec leur propre matériel, coupes ongles, rasoirs, limes, pour plus de sécurité !
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Les incivilités envers les professeurs sont en hausse

Les incivilités et les cas de petites violences, les insultes se multiplient . Parfois, les parents eux-mêmes sont en cause.

Le harcèlement envers les personnels d'éducation est en hausse dans les établissements scolaires avec 6,6% des dossiers traités contre 5,7% en 2009-2010, selon la Fédération autonome de solidarité qui assure la protection juridique de la moitié des enseignants français et possède donc une bonne vision des conflits à l'école. Les cas de violences subies impliquent des enseignants dans 34% des cas, leur hiérarchie dans 29% des cas.

La majorité de ces dossiers, qui impliquent souvent des parents d'élèves, concerne des incivilités et des cas de petites violences, des propos malveillants, insultants, menaçants. Sont inclus également des actions portant atteinte à la réputation de l'enseignant: lettre anonyme de dénonciation adressée à la hiérarchie, tracts diffamants distribués aux parents d'élèves. Il convient toutefois de rapporter ce chiffre aux 460.000 adhérents de la FAS soit 0,6% de cette population concernée.

Les conflits entre personnels ont également augmenté. Selon Daniel Husson, l'un des responsables de la FAS, «certains chefs d'établissement développent une culture managériale qui n'est pas toujours bien vécue par les enseignants.»

Les préjudices informatiques, en forte hausse dans le passé, se sont stabilisés. Cependant après les mails outrageants ou menaçants, les contrevenants utilisent désormais des sites internet complets mettant en cause les professeurs, mais aussi des échanges sur les réseaux sociaux.

D'après les statistiques, les élèves sont impliqués dans 65% des cas d'agression physique légère, 64% des cas de préjudice informatique et 50% dans les dégradations de biens.

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Restos du cœur : Bientôt amputés d'un quart de leurs revenus ?

Les Restos du cœur ouvrent leur 27e campagne, mais une épée de Damoclès plane au-dessus de leur tête. D'ici deux ans, l'aide alimentaire européenne va venir à manquer considérablement alors que celle-ci représente 23 % de son budget et que l'association ne cesse d'accueillir du monde.

Faire plus avec moins. Les Restos du cœur feraient de plus en plus face à cette équation au fil des années. Depuis sa création, il y a 27 ans, l'association compterait douze fois plus de bénéficiaires, selon sa présidence. Au cours des trois dernières années, 25% de personnes en plus ont encore été accueillies. Mais alors que s'ouvre cette nouvelle campagne, les Restos du cœur n'auraient plus que deux ans avant une échéance de taille : la nette diminution du Programme européen d’aide aux plus démunis (PEAD).

23% de son budget
Si l'association fonctionne majoritairement avec les dons de particuliers (44 % de son budget), cette aide européenne reste considérable pour elle. En 2010, la France, par le biais du PEAD, a ainsi bénéficié d’un budget de 78,1 millions d’euros. Ce qui représente pour les Restos du Cœur chaque année 2 tonnes de lait concentré ou encore 1,3 tonne de macaroni, et 553.000 kg de crème dessert…! En tout, ce sont plus de 31.000 tonnes de denrées sur les 112.000 palettes de denrées livrées aux centres de distributions des Restos, peut-on lire sur le site de l'association.

Ce programme représente une enveloppe de 500 millions d’euros dans l'UE, il bénéficie à 18 millions d’européens. En France, il représente 23% du budget des Restos soit 18.5 millions d’euros, et presque 50% du budget des autres associations caritatives bénéficiaires du programme, telles que le Secours populaire, la Croix rouge ou la Banque alimentaire.

"Deux ans pour convaincre l’Allemagne"
Créé en 1987, le PEAD jusque là reversait la moitié des stocks européens de denrées alimentaires aux plus démunis. Ces stocks sont conservés dans le but de jouer sur la régulation des prix européens. Pendant des années, le coût de stockage étant important, supérieur parfois au coût de la matière première, le don de ces denrées aux associations caritatives européennes ne posait donc pas de problème. Sauf qu'aujourd'hui, en temps de crise, une baisse importante des stocks a amené, ces dernières années, la Commission européenne à combler les manques en achetant directement sur le marché.

En avril dernier, alors que la commission avait proposé aux 27 pays membres de maintenir le système actuel en l'état, sept Etats se sont déclarés favorables à sa suppression. Pour l'Allemagne ou encore l'Angleterre, ce programme relève, en effet, des politiques sociales de chaque pays et non des politiques agricoles qui rentrent dans le cadre de la PAC (politique agricole commune) alors en pleine réforme et en pleines discussions. La justice européenne avait donc annulé, dans la foulée, une partie du règlement relatif au financement du PEAD, jugeant que l'achat direct de produits sur les marchés devait rester « l'exception », limitant donc l’action du PEAD à l’écoulement des stocks disponibles.

« On va bénéficier de ce PEAD pendant encore deux ans. Avant cette échéance nous allons entreprendre une mission de sensibilisation avec d’autres associations allemandes pour convaincre l’Allemagne de la nécessité de ce plan », a ainsi déclaré Olivier Berthe, président des Restos du cœur
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Sida : Les idées reçues persistent

Une étude sociologique menée France en 2010 et révélée ce lundi dévoile des statistiques étonnantes sur le virus de sida. Les premiers résultats concernant l'Ile-de-France montrent que les clichés ont la peau dure.

A quelques jours de la journée mondiale de la lutte contre le sida, jeudi 1er décembre, une étude de grande ampleur réalisée en 2010 auprès de 25.000 personnes sur toute la France dévoile ses premiers résultats pour la région parisienne – les résultats nationaux seront connus début 2012. Cette enquête sociologique « sur les connaissances, attitudes, croyances et comportements face au VIH » a été conduite par l'Observatoire régional de santé. Ainsi, 27 % des Franciliens craignent « beaucoup ou pas mal le sida », loin devant le cancer ou les accidents de la route. Un chiffre en forte baisse depuis 1994, qui s'élevait à l'époque à 40 %.

« Le sida semble moins craint en tant que maladie car il est perçu comme moins mortel et davantage comme maladie chronique », déclare Nathalie Beltzer qui a mené l'enquête entre janvier et juillet 2010 auprès de 2.781 personnes d'Ile-de-France. « Les conséquences de la maladie sont moins craintes, mais cela n'empêche pas les jeunes de s'interroger plus fréquemment sur le fait d'avoir été ou non contaminés », affirme-t-elle.

Clichés
Aujourd'hui, 99% des personnes interrogées savent que le virus du sida peut se transmettre « lors de rapports sexuels sans préservatif » ou « lors d'une piqûre de drogue avec une seringue déjà utilisée ». Les clichés ont la vie longue puisque 21% continuent de penser que le virus peut se transmettre par une piqûre de moustique, 13% dans les toilettes publiques et 6 % en buvant dans le verre d'une personne porteuse du virus. Des taux relativement stables par rapport à l'enquête de 2004.

On peut donc se demander ce que savent aujourd'hui les Franciliens des modes de transmission de ce virus. Si l'utilisation du préservatif est devenue un acte banal pour les trois quarts des habitants de la région parisienne – en nette hausse depuis 1994 –, il n'en reste pas moins que les jeunes âgés de 18 à 30 ans et vivant dans cette région sont les moins bien informés sur ce point et restent donc encore trop peu nombreux à se protéger.

En 2011, 72,4% des Franciliens ont déjà fait au moins un test de dépistage contre 59,7% en 2004. Ce sont eux qui feraient le plus de test en France
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Culture du maïs OGM : Autorisée mais le gouvernement veut agir

Les ministres de l'Agriculture et de l'Écologie ne sont pas satisfaits de la décision prise par le Conseil d'État. Ce dernier a en effet annulé, lundi, la suspension de culture du maïs OGM Monsanto.

« Je suis plus déterminée et plus convaincue encore qu'en 2008 de la nécessité pour nous d'interdire la culture du Monsanto 810 en France ». Les mots de Nathalie Kosciusko-Morizet sont forts. La ministre de l'Écologie ne veut pas céder face aux défenseurs des OGM. Pour elle, pas question de cultiver le maïs. Pourtant, le Conseil d'État en a décidé autrement. Il a en effet annulé lundi la suspension de culture du maïs OGM Monsanto prise par le gouvernement français en février 2008.

Dans sa décision, le Conseil d'État argumente. « Tirant les conséquences de l’arrêt de la Cour de justice européenne (en septembre), le Conseil d’État relève que le ministre de l’Agriculture n’a pu justifier de sa compétence pour prendre les arrêtés, faute d’avoir apporté la preuve de l’existence d’un niveau de risque particulièrement élevé pour la santé ou l’environnement », a dit le Conseil. Réponse directe de la ministre de l'Écologie. « Nous sommes en ce moment même en train d'étudier les modalités juridiques pour poursuivre cette interdiction » a-t-elle déclaré. « Quatre études sont venus conforter les inquiétudes qu'on avait en 2008 », a-t-elle ajouté en précisant que le Haut Conseil des biotechnologies avait notamment fait état de « lacunes dans la surveillance » des effets du Monsanto 810 sur les insectes.

François Hollande aussi
Nathalie Kosciusko-Morizet n'est pas la seule à avoir réagi. Bruno Le Maire, s'exprimant devant quelques journalistes à l'Assemblée nationale, a lui aussi affirmé que le gouvernement restait «défavorable» à ce type de culture car « il reste encore trop d'incertitudes sur les conséquences pour l'environnement ». Le candidat socialiste à la présidentielle François Hollande, par la voix de sa porte-parole, a demandé le dépôt d'une « nouvelle procédure activant la clause de sauvegarde sur des bases juridiques plus solides ».

Du côté des ONG le même appel à l'action rapide du gouvernement a été lancé: « Si le gouvernement ne fait pas le nécessaire, en mettant en place une nouvelle interdiction, on risque de voir réapparaître les OGM dans nos champs dès le printemps prochain », a prévenu Sylvain Tardy, directeur des campagnes de Greenpeace France. Figure de proue de la lutte contre les OGM, José Bové s'est aussi exprimé disant, « il ne se passe pas une semaine depuis 2008 sans qu'une nouvelle information ne vienne étayer le dossier à charge contre la variété de maïs de Monsanto 810 ».

Pour le moment, Mosanto a donc gagné une bataille mais sans doute pas la guerre. Le gouvernement n'a pas l'intention de lâcher ce dossier.
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Cantine : le tableau des mauvais payeurs provoque la colère

De plus en plus de communes doivent faire face aux impayés de la cantine. A Ruffec, en Charente, le système mis en place provoque un tollé.

On avait déjà vu des enfants mis au pain et à l’eau parce que leurs parents tardaient à payer la cantine. A Saint-Herblain (Loire-Atlantique), deux collégiens se sont vu privés de livres à la dernière rentrée… pour les mêmes raisons. Chaque fois, ces décisions municipales soulèvent un tollé. Ruffec, bourgade charentaise de quelque 5000 âmes, menée par un maire divers gauche excédé par le montant des impayés de cantine, a inventé un nouveau concept. Pointer sur un tableau à la cantine, avec une panoplie de bouilles d’oursons, verts, bleus ou rouges, accolés aux noms des enfants, les bons, les moyens et mauvais payeurs. L’initiative de l’édile, qui plaide n’en avoir pas mesuré les conséquences, a provoqué les larmes d’enfants qui se voyaient ainsi stigmatisés et la fureur des parents d’élèves locaux.

Une mesure jugée discriminatoire

Pas question de nier les difficultés financières des communes ni, souligne la FCPE, association de parents d’élèves qui dénonce cette « mesure discriminatoire », de justifier que des parents ne paient pas les repas de leurs enfants. Mais des parents aux psys en passant par les juristes, tous critiquent la méthode consistant à faire peser sur les enfants la « faute » de leurs parents. Sachant que les maires ont tout pouvoir de se faire payer par des moyens légaux, actionnés contre les adultes.

En principe, tempère Isabelle Mainsion, membre du comité directeur de l’Association des maires de France, qui ne prône certainement pas la méthode Ruffec et « n’ose penser que son maire ait pensé mal faire ». Mais « la restauration scolaire, explique-t-elle, butte souvent sur la difficulté technique à suivre au plus près les impayés » dont le montant croît ces dernières années au point que beaucoup de villes les intègrent carrément dans leurs budgets. Faut-il en imaginer des oursons jugés de toute part « injustes, psychologiquement dévastateurs et dangereux pour la paix sociale »? Et pourquoi pas demain pointer du doigt d’autres récalcitrants du chéquier? A l’étranger, des sociétés de recouvrement privées ne s’embarrassent déjà plus de ces principes pour harceler publiquement les mauvais payeurs en tout genre.


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Message par maistre7 »

Droit au logement opposable : les ménages en attente de relogement toujours plus nombreux

"Monsieur le Président de la République, faisons enfin appliquer la loi Dalo!" Dans son cinquième rapport, publié mercredi 30 novembre, le comité de suivi du droit au logement opposable (DALO), a choisi d'en appeler aux plus hautes autorités de l'Etat pour dénoncer une situation qui empire. Presque quatre ans après l'entrée en vigueur de la loi, au 1er janvier 2008, les ménages en attente de relogement sont toujours plus nombreux et les demandes d'hébergement s'envolent. En 2011, en Ile-de-France, qui concentre 62% des recours, pour la première fois, le taux de relogement des ménages prioritaires a baissé. D'après les projections faites par les experts, fin 2011, seulement 5060 ménages devraient voir leur demande satisfaite, alors qu'ils étaient près de 6000 en 2010. "L'écart entre les prioritaires et les relogés se creuse donc, actuellement au rythme de 7000 par an, soit près de 600 par mois", analyse le comité de suivi. Dans ces conditions, plus de 4000 familles franciliennes déclarées éligibles au DALO en 2008 attendent toujours une attribution de HLM, trois ans plus tard. S'y ajoutent des demandeurs plus récents, désignés prioritaires en2009 et 2010. Au total, près de 20 000 ménages n'ont pas été servis.
Entrée en vigueur le 1er janvier 2008, la loi DALO, votée en mars 2007, a tout de même permis, au niveau national, le logement ou l'hébergement de 40 000 familles. Mais, 27 500 décisions positives sont en souffrance.

Pour Bernard Lacharme, secrétaire général du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées, "l'Etat ne met pas tout en œuvre pour mobiliser le parc social existant et aucune des propositions du comité pour trouver des logements dans le parc privé n'ont été testées".
Ce manque de zèle conduit, selon le comité de suivi, à des situations "scandaleuses". "En 2011, nous avons eu connaissance de plusieurs cas où un ménage prioritaire n'a pas obtenu de relogement mais en revanche a été expulsé par la force publique", explique M. Lacharme.

Autre signe d'inquiétude : l'augmentation des recours déposés en vue de l'obtention d'une place d'hébergement. Le volet hébergement de la loi, qui n'était pas au cœur du texte, prend une proportion plus importante que prévue, en raison de l'engorgement de toute la chaîne de l'urgence sociale. Sur 64 départements ayant enregistré des recours hébergement ; 38 ont un retard significatif. Là encore, c'est en Ile-de-France que se concentrent les plus grandes difficultés. En 2011, la part des recours hébergement a atteint, au niveau national, 15% contre 13% en 2010 et 7% en 2008. "Dans certains départements, les demandeurs d'hébergement ont reçu pour toute réponse la liste des structures susceptibles de les accueillir. A eux de se débrouiller", déplore M. Lacharme.

Dans ce contexte, les condamnations de l'Etat par le tribunal administratif pour non-mise en œuvre des décisions de logement ou d'hébergement sont constantes. 4 600 décisions au bénéfice du demandeur DALO ont été rendues. En 2011, le montant des astreintes payées par l'Etat ont atteint 9,3 millions d'euros. Ces sommes ont été reversées à un fonds régional d'aide au logement, c'est-à-dire… à l'Etat. En revanche, et ce n'était pas prévu par la loi, certains demandeurs ont engagé, avec l'aide d'associations, des recours en indemnités auprès des tribunaux administratifs. 14 personnes ont obtenu gain de cause mais les sommes à payer par l'Etat ne sont pas suffisamment lourdes pour faire véritablement pression sur la puissance publique. Les choses pourraient changer en 2012. A cette date, tous les ménages mal logés, et non plus seulement les catégories prioritaires, seront en droit de réclamer à l'Etat un toit et d'entamer une procédure DALO.



Catherine Rollot
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Message par Memo »

Les parents inquiets de l'abus d'alcool des adolescents

Par Marie-Estelle Pech - le 28/11/2011
La consommation d'alcool des jeunes est préoccupante. Selon les parents, celle des filles aurait augmenté de 74% ces dernières années.
Les parents déclarent à 83 % que la consommation d'alcool par les jeunes est pour eux une source d'inquiétude, et ce dans tous les milieux sociaux. Selon cette étude réalisée en octobre auprès de 557 parents d'enfants scolarisés par OpinionWay pour le compte de l'APEL, cette inquiétude est renforcée par le sentiment d'une dégradation de la situation, concernant notamment les filles. Ils sont 74 % à estimer que la consommation d'alcool des filles a augmenté depuis leur époque contre 59 % pour les garçons.
40 % des parents s'inquiètent du « binge drinking »En revanche, comme souvent dans les sondages, quand il s'agit d'évoquer la consommation d'alcool de ses propres enfants, l'appréciation est différente : seulement 14 % des parents ayant au moins un enfant de 12 ans ou plus estiment que leur consommation a augmenté par rapport à la leur, contre 58 % qui estiment qu'elle a stagné ; 27 % d'entre eux considèrent même que cette consommation a diminué. Le paradoxe est donc très fort : les parents projettent leur inquiétude sur les autres mais affichent leur confiance envers leurs enfants. Réalité ou illusion ? s'interroge l'étude. Qui sont donc ces jeunes qui consomment trop d'alcool ?
Pour 40 % des parents interrogés, ce qu'il y a de plus inquiétant dans la consommation des jeunes, c'est le fait qu'ils consomment «de plus en plus souvent de l'alcool de façon excessive, jusqu'à l'ivresse ». C'est une description assez fidèle du «binge drinking» une mode venue d'Angleterre. Ils s'alarment aussi du fait que les jeunes ne puissent plus envisager une soirée entre amis sans qu'il y ait de l'alcool (20 %).
La société valorise l'alcool selon les parentsUne majorité (56 %) accuse l'état d'esprit général qui valorise l'alcool comme le principal facteur qui favorise la consommation chez les jeunes, tandis qu'ils ne sont qu'un tiers (35 %) à accuser le manque de contrôle des sorties et fréquentations des jeunes par leurs parents. Autrement dit, cette augmentation de la consommation, tout comme la lutte contre cette dernière n'est pas, selon eux, de leur ressort.
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L'état de santé des Français s'améliore


Par damien Mascret - le 28/11/2011
Un rapport récent note que la mortalité prématurée diminue.
Il y a sept ans, 100 objectifs étaient inscrits dans une loi pour servir de cap à la santé publique. Le bilan 2011 est plutôt satisfaisant.
• Espérance de vie : toujours plus !
Ces dix dernières années, l'espérance de vie à la naissance n'a cessé de s'allonger en France. Elle est même la plus élevée d'Europe pour les femmes et les hommes âgés aujourd'hui de 65 ans. Les premières peuvent espérer vivre encore 22,8 ans, les seconds 18,6 ans. Calculée à la naissance, l'espérance de vie est certes un peu moins élevée, mais elle atteint tout de même 84,8 ans pour les femmes et 78,1 ans pour les hommes. Plus intéressantes encore, les données de mortalité prématurée, établies en considérant qu'il est prématuré de mourir avant l'âge de 65 ans, révèlent une notable amélioration. «En 2008, précise le rapport de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Dresse), on comptait 108 825 décès prématurés, soit 20 % de l'ensemble des décès.» Contre environ 124 800 en 2000. On observe une baisse régulière de cette mortalité prématurée : moins 15 % entre 2000 et 2008.



La diminution est encore plus marquée (moins 18 %) si l'on se concentre sur la partie «évitable» de la mortalité prématurée. C'est-à-dire les décès qui pourraient être évités par une réduction des comportements à risque :tabagisme, alcool, conduites routières dangereuses, etc. À la clé, une diminution descancers, cirrhoses, accidents de la circulation, suicides… Cela concerne encore plus les hommes que les femmes. On remarque d'importantes disparités régionales avec un gradient Nord-Sud : la mortalité la plus élevée est observée dans le Nord-Pas-de-Calais ainsi qu'en Bretagne et la mortalité la plus basse en Ile-de-France et en Alsace. Toutefois, la diminution régulière de la mortalité évitable ne doit pas cacher une réalité moins glorieuse : en Europe, après les nouveaux adhérents d'Europe centrale, les Pays baltes et la Belgique, c'est encore en France que l'on observe chez les hommes le taux de mortalité évitable le plus élevé.
» Cirrhose : les causes, les signes, les traitements
• Alcool : on boit moins, mais trop.
On y est presque ! Il faudrait que les Français de plus de 14 ans consomment moins de 11,5 litres d'alcool pur par an (soit l'équivalent de 3 verres d'alcool standard par jour) pour que l'objectif soit atteint. Nous en sommes à 12,4 litres. En fait, les femmes sont déjà au-dessous (2 verres par jour en moyenne) mais les hommes sont encore à 4 verres par jour. Restons confiants puisqu'après une stagnation autour de 14,5 litres par an dans les années 1990, la tendance à la baisse se poursuit. Mêmechez les jeunes de 17 ans, la consommation excessive d'alcool a diminué entre 2003 et 2008 : de moitié pour les filles et d'un tiers pour les garçons. Les ivresses répétées chez les jeunes se stabilisent (un jeune sur quatre dans l'année) après une hausse importante entre 2003 et 2005. Il est vrai que les aînés ne donnent pas l'exemple puisque des alcoolisations excessives ponctuelles sont rapportées par une femme sur cinq et un homme sur deux entre 25 et 54 ans.
» Un adolescent sur trois a déjà connu une ivresse alcoolique
» Existe-t-il des médicaments pour guérir l'alcoolisme ?
• Tabac : les fumeurs résistent
Soyons clairs : l'objectif n'est pas atteint, loin de là. Sur cinq années, les experts de la santé publique espéraient réduire de 33 % à 25 % la prévalence des fumeurs quotidiens. Ils sont toujours 32,4 %. Même résistance pour les femmes, puisque la prévalence reste à 26 % en 2010 alors que l'objectif était de passer de 26 % à 20 %. «Les seules tranches d'âge pour lesquelles on observe une diminution de prévalence entre 2005 et 2010 sont les femmes de 15-19 ans (- 10 %), les hommes de 20-25 ans (- 10 %) et ceux de 65-75 ans (- 7 %)», note le rapport de la Dresse. La bonne nouvelle est de voir le tabagisme quotidien diminuer chez les jeunes de 17 ans : entre 2000 et 2008, il est passé de 40 % à 28 % chez les filles et de 42 % à 30 % chez les garçons. On sait que les hausses du prix du tabac sont particulièrement sensibles chez les jeunes. Les efforts de prévention doivent toutefois se poursuivre, en particulier en direction des plus jeunes car plus on commence tôt à fumer et plus le risque de dépendance ultérieure est important, or l'âge de la première cigarette est toujours autour de 13 ans et demi.
» Arrêter de fumer
» La dépendance tabagique
• Diabète : surveillance insuffisante
Près de 3 millions de diabétiques sont traités en France pour un diabète et l'objectif est qu'au moins 80 % d'entre eux fassent régulièrement les examens nécessaires à leur surveillance. En effet, la maladie étant invisible, il faut vérifier régulièrement différents paramètres (glycémie, fond d'œil, fonction rénale, pression artérielle). Le bilan 2011 montre que la réalisation des examens varie entre 18 et 71 % selon les paramètres considérés.
» Le diabète et ses complications
• Hypertension artérielle : la moitié des hypertendus ignorent leur maladie
La dernière (et première !) grande enquête représentative des 18-74 ans date de 2006. Elle montre que l'évolution de la fréquence de l'hypertension artérielle sur dix ans, chez les 35-64 ans, a diminué de 7,5 % pour les hommes et de 18,5 % pour les femmes. L'ennui est que de nombreux hypertendus ignorent leur maladie. C'est en effet le cas pour 59 % des femmes hypertendues et 47 % des hommes.
» L'hypertension artérielle : les signes, les traitements, vivre avec
• Maladies chroniques : explosion des affections de longue durée
Les maladies chroniques (cancer, obésité, problème de vue, maladies cardio-vasculaires…) devaient répondre à plusieurs objectifs de santé publique. Elles touchent une personne sur trois après 15 ans et c'est pourquoi leur prise en charge est aussi au cœur de la santé publique. L'enjeu est d'envergure. La Dresse rappelle que, «en 2009, 1,4 million de nouvelles affections longue durée (ALD) ont été prises en charge par la collectivité, soit une augmentation d'environ 40 % depuis 2000». Cette augmentation traduit paradoxalement une amélioration de l'espérance de vie des malades et de la qualité des soins. Elle s'explique entre autres par un diagnostic précoce du cancer et l'efficacité accrue des thérapeutiques, une meilleure prise en charge du diabète, de l'hypertension, la prévention des récidives des pathologies cardio-vasculaires.
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Les universités fauchées par la réforme de l’autonomie

Une université sur deux pourrait présenter un déficit en 2011, mettant en péril la réforme de l’autonomie.

« Les chiffres qui courent, c’est plutôt que la moitié des universités auraient du mal à boucler leur budget, et 2012 risque d’être plus compliquée », dit-on dans l’entourage d’un président d’université autonome. Une université sur deux pourrait ainsi présenter un déficit en 2011. Pire, pour avoir présenté deux déficits successifs en 2009 et 2010, sept établissements d’enseignement supérieur, parmi lesquels des universités comme Paris-VI - Jussieu, viennent d’être placés sous la surveillance des recteurs. S’il ne s’agit que de sept universités sur 83, plusieurs ont été étonnées de ne pas figurer sur la liste parue à l’approche du renouvellement des présidences d’universités début 2012. En cause, la réforme de l’autonomie des universités qui aurait entraîné de nouveaux coûts et de nouvelles dépenses. Conséquences ? Gels de postes, formations remises en question, non-reconduction de nombreux contractuels.

Un moyen de lutter contre la crise
« L’autonomie des universités a un certain nombre de conséquences financières. Les présidents d’université ne sont pas devenus fous. Il manque de l’argent pour y faire face », a déclaré mardi aux Echos Louis Vogel, président de la Conférence des présidents d’université. « Cette affaire a été traitée un peu selon le dicton : “L’intendance suivra”. Non, l’intendance ne suivra pas ! La société française doit être prête à mettre de l’argent dans ses universités, c’est aussi un moyen de lutter contre la crise. » Le président de l’université de Nantes, Yves Lecointe, « persiste à croire que la réforme LRU est une bonne réforme, car elle a donné la possibilité aux universités de faire elles-mêmes leur choix, notamment au niveau des ressources humaines » et en les repositionnant « comme acteurs de leur territoire ». Le ministre Laurent Wauquiez a bien dégagé 14,5 millions et rappelé qu’aucun gouvernement n’avait jamais consacré autant de moyens à l’enseignement supérieur et à la recherche, mais selon le monde universitaire le compte n’y est pas
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Failles dans le dépistage du sida : 50.000 Français ignorent qu’ils sont contaminés

La contamination par le sida ne faiblit guère en France, où les efforts du dépistage restent insuffisants et les tests réalisés encore trop tardivement.



Trente ans après la découverte du VIH, la lutte pour améliorer le retard au dépistage constitue un enjeu majeur, a martelé mardi le Dr Jean-Yves Grall, le directeur général de la santé. L’Institut national de veille sanitaire (InVS) et de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) ont présenté mardi les dernières données épidémiologiques sur le sida en France. Le constat est amer : le dépistage stagne et le nombre de nouvelles contaminations ne baisse pas, à environ 7.000 cas par an. « Pour une pathologie aussi grave, cela reste énorme », a souligné Caroline Semaille, de l’InVS. D’autant que 50.000 Français ignorent qu’ils sont contaminés par le VIH. A la veille de la Journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre, outre la nécessité de se protéger lors des rapports sexuels, les autorités de santé martèlent un objectif : réduire de 80 % à 90 % les nouvelles infections d’ici à cinq ans en triplant le nombre de tests de dépistage. Le point sur l’épidémie.

Stagnation des dépistages et des séropositivités découvertes
Depuis 2008, le nombre de cas de séropositivité découverts reste stable, alors qu’il avait diminué entre 2004 et 2007. En 2010, sur 5 millions de tests de sérologie réalisés, environ 6.300 personnes ont ainsi pris connaissance de leur séropositivité. Près de huit dépistages sur dix sont réalisés en laboratoires de ville et seuls 8 % ont lieu lors d’une consultation de dépistage anonyme et gratuit. L’Ile-de-France concentre 44 % des nouveaux cas d’infections, tandis que la Guadeloupe et la Guyane en représentent 9 %. Pour l’InVS, ces données constituent avant tout un « état des lieux » qui permettra de mesurer l’impact des stratégies mises en place par le plan initié en 2010 pour améliorer le dépistage.

Augmentation chez les homosexuels masculins et les plus de 50 ans.
C’est une mauvaise nouvelle : la seule catégorie où le nombre de découvertes de contaminations augmente de façon marquée est celle des hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes. L’an dernier, 2.500 homosexuels ont appris leur séropositivité, « le plus souvent diagnostiqués à la suite d’une prise de risque », indique l’InVS. Agés de 37 ans en moyenne, ils représentent 40 % de l’ensemble des découvertes. Fait préoccupant : la part des homosexuels de moins de 25 ans découvrant leur statut positif est en hausse régulière depuis 2003. Chez les hétérosexuels, le nombre de découvertes diminue faiblement depuis deux ans pour atteindre 3.600 cas l’an dernier. Les personnes nées à l’étranger représentent 2.500 de ces cas, en majorité des femmes, d’origine subsaharienne. « Il est nécessaire de rester très prudent, car la transmission des autres infections sexuellement transmissibles persiste », tempère l’InVS. Autre fait notable, la classe d’âge des plus de 50 ans augmente chaque année depuis 2003, totalisant 18 % des découvertes en 2010.

Trop de dépistages à un stade tardif
Parmi les découvertes de séropositivité en 2010, 15 % sont intervenues à un stade sida. Un chiffre stable depuis 2007, mais peu satisfaisant. Aujourd’hui, seulement 36 % des diagnostics sont réalisés à un stade précoce. « Près de 70 % des personnes découvrent leur séropositivité alors qu’un traitement aurait déjà pu leur être proposé », déplore l’Inpes. Plus grave, environ 50.000 Français sont contaminés sans le savoir. Les plus touchés par ce retard de dépistage sont les plus de 40 ans ayant des rapports hétérosexuels. Or, selon les autorités de santé, « dépister précocement représente à la fois un bénéfice pour la personne, mais aussi pour la collectivité, en réduisant le nombre de transmissions du VIH dans la population ». Non seulement car la connaissance de son statut séropositif entraîne une diminution des pratiques à risques, mais aussi parce que la mise sous traitement antirétroviral permet de réduire la quantité de virus dans l’organisme.

Banaliser le dépistage et réduire le retard de diagnostic
A la veille de la Journée mondiale de lutte contre le sida, l’Inpes et le ministère de la Santé réactivent une vaste campagne médiatique (*). Son slogan : « Le dépistage fait partie de votre vie sexuelle. Faites le test du VIH et des autres IST. » Objectif : banaliser ce geste anonyme et gratuit pour « doubler puis tripler » le nombre de dépistages. Les moins de 25 ans, « pour lesquels la perception du risque est peut-être abstraite », sont particulièrement visés. Parmi les autres axes, les autorités sanitaires veulent renforcer le rôle des médecins de ville : s’ils diagnostiquent moins de seniors, « ils dépistent plus d’homosexuels masculins et de personnes à un stade précoce que leurs confrères hospitaliers », note l’InVS. Par ailleurs, la Direction générale de la santé a agréé 32 structures associatives pour réaliser près de 64.500 « tests rapides à orientation diagnostique » (TROD) l’an prochain. Visant les publics les plus concernés, mais qui échappent aujourd’hui au dépistage, ils livrent le résultat en 30 minutes.

(*) Informations sur www.sida-info-service.org ou 0.800.840.800

Vers une fin de la pandémie ?

Pour la première fois, l’hypothèse de voir à long terme la pandémie s’achever n’est plus jugée fantaisiste : « La science, l’appui politique et la riposte communautaire commencent à produire des résultats tangibles et certains », a affirmé Michel Sidibé, directeur exécutif d’Onusida, en présentant le dernier rapport de l’organisation. En effet, jamais autant de personnes n’ont vécu avec le virus du sida dans le monde : en 2010, ils étaient 34 millions, dont 68 % pour le seul continent africain. Près de la moitié des séropositifs ont accès à un traitement, ce qui a permis de sauver 700.000 vies en 2010. Autre avancée : les nouvelles infections (2,7 millions, dont 390.000 enfants) régressent, atteignant leur niveau le plus bas depuis 1997
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Prostitution : Bientôt une loi pour l'abolir

Abolir la prostitution. Une proposition de loi comprenant la possibilité de poursuivre les clients sera déposée le 6 décembre à l'Assemblée nationale, selon des sources parlementaires.

Ce jour-là, les députés examineront d'abord une proposition de résolution signée de députés de tous bords (PS, Parti de gauche, PCF, Verts, UMP, Nouveau Centre) et affirmant la position abolitionniste de la France sur la prostitution, a expliqué le député UMP Guy Geoffroy, rapporteur d'une mission d'information parlementaire sur la prostitution en France. La proposition de résolution a été « signée par les responsables de tous les groupes politiques de l'Assemblée nationale », s'est-il réjoui.

Après le vote de cette résolution sera déposée, dans la foulée, la proposition de loi visant à inscrire dans le code pénal « ce qui dans la résolution relève du domaine législatif », et en particulier la pénalisation des clients de la prostitution, grande nouveauté dans le droit français, a expliqué le député.

Sous la présidence de la députée PS Danielle Bousquet, la mission parlementaire avait conclu au printemps que la pénalisation du client constituait « à terme la meilleure piste pour voir diminuer la prostitution en France, là où tous les pays qui ont réglementé cette activité l'ont vu augmenter ». Le rapport des élus proposait des peines allant jusqu'à 6 mois de prison et 3.000 euros d'amende. Selon Mme Bousquet, le vote de la loi pourrait prendre plusieurs mois.

Relire l'interview accordée par Guy Geoffroy et Danielle Bousquet à France-Soir, en août dernier.

L'exemple Suédois
Les députés se sont inspirés de l'exemple de la Suède, où le recours à la prostitution est puni par la loi depuis 1999. Lors d'une réunion mardi à l'Assemblée nationale d'associations abolitionnistes, l'avocate féministe suédoise Gunilla Ekberg a rappelé qu'avant la pénalisation des clients, « 13,8% des hommes en Suède avaient acheté quelqu'un », alors que la proportion est tombée depuis à 7,8%. Actuellement, en France, rien n'est prévu contre les clients. Une loi de 2003 a rendu le racolage passif passible de deux mois d'emprisonnement et de 3.750 euros d'amende.

Devant l'Assemblée nationale, des membres du Strass (Syndicat du travail sexuel), mais aussi des associations comme Act Up ou Aides, ont manifesté mardi contre la pénalisation des clients. Environ 20.000 personnes se prostituent en France. Près de 80% sont des femmes, les clients étant à 99% des hommes
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Arrêts maladie : L'UMP trouve autre chose

Les députés UMP et le gouvernement aurait trouvé un compromis ce mardi concernant les indemnités en cas d'arrêts maladie dans le privé. Au lieu d'un quatrième jour de carence, ils proposent une baisse de l'indemnisation journalière de la Sécurité sociale pour les salariés « les mieux payés ».

La mesure n'était pas très populaire. Rajouter un jour de carence pour les salariés du privé afin de faire des économies budgétaires avait largement créé la pagaille au sein de la majorité ces dernières semaines. Alors, le 22 novembre, les députés de la majorité avaient obtenu de Matignon qu'une autre solution, permettant une économie de 200 millions d'euros selon certains élus UMP, soit recherchée.

Cette mesure avait, en effet, été adoptée très vite par la majorité pour en faire oublier une autre également impopulaire avancée fin septembre par Bercy : un nouveau mode de calcul aboutissant à une moindre indemnisation de la Sécurité sociale pour les arrêts maladie (50 % du salaire net au lieu de 60 % du brut) dans le privé. Ce mardi, les députés UMP et le gouvernement ont donc fini par trouver un accord à l'occasion du petit-déjeuner de la majorité à l'Elysée : la baisse des indemnités journalières pour les salariés percevant un salaire supérieur à 1,8 fois le Smic, soit 2.500 euros brut mensuels. Le plafond des indemnités de la Sécurité sociale passera donc désormais de 48,20 euros par jour à 40,40.

La solution pour les fonctionnaires n'a pas été trouvée
Un peu plus tôt, pour faire accepter cette solution du quatrième jour de carence dans le privé à l'ensemble des élus UMP, le gouvernement avait aussi ajouté à sa copie la création d'un jour de carence dans la fonction publique, qui elle en compte aucun quand les salariés du privé en comptent déjà trois.

Mais dans ce nouvel accord, trouvé mardi, la solution pour les fonctionnaires n'a pas encore été trouvée. Le gouvernement serait encore en train de chercher un moyen d'étendre la création d'un jour de carence pour la fonction publique, proposition qui a été votée par les députés le 16 novembre. Or dans le même temps ce mardi, la commission des Finances du Sénat, à majorité de gauche, a annoncé vouloir supprimer la journée de carence pour les fonctionnaires. « Les conventions collectives couvrent intégralement 80% des salariés, qui ne perdent donc pas de rémunération au cours des trois premiers jours de congés maladie », a ainsi déclaré la rapporteure générale de la commission des Finances Nicole Bricq (PS). « Pour quelles raisons tous les agents publics devraient-ils perdre un jour de rémunération en cas de maladie ? », interroge-t-elle. « Les salariés du public, notamment ceux qui sont les moins bien rémunérés, subiraient une perte de salaire avec le risque que certains renoncent à leurs congé maladie, mettant ainsi en péril leur santé » ajoute-t-elle. Ce projet de budget sera, lui, voté au Sénat la semaine prochaine avant de revenir à l'Assemblée nationale qui aura in fine le dernier mot.

"Ils sont moins souvent malades"
Concernant les congés maladies dans le privé, le député UMP et rapporteur du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), Yves Bur, a immédiatement justifié ce nouvel accord trouvé mardi au sein de la majorité. Selon lui, « ce sont les salariés les mieux payés qui seront touchés » par cette baisse de plafond des indemnités. « Ceux-ci sont plus souvent couverts par leur employeur pour leur perte de salaire en cas d'arrêts-maladie. Par ailleurs, ils sont moins souvent malades que les salariés moins bien rémunérés », a-t-il encore argué.

La mesure doit être présentée officiellement aux députés mardi après-midi, lors du vote définitif par l'Assemblée nationale du PLFSS, mais elle sera prise par décret
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Confidentialité : accord entre Facebook et les autorités américaines

Facebook serait-il vraiment en train de faire un effort sur la confidentialité ? Les autorités américaines et Facebook ont annoncé mardi un accord censé mettre fin à des poursuites de la Commission fédérale du commerce (FTC), qui accuse le site internet d'avoir violé ses propres promesses sur la confidentialité des données de ses usagers.
«Le règlement proposé suppose que Facebook prenne plusieurs mesures pour s'assurer qu'il honore ses promesses à l'avenir, y compris (....) en demandant le consentement explicite des consommateurs avant que leurs informations soient partagées au-delà de ce qui est prévu par leur réglage de confidentialité», a expliqué la FTC dans un communiqué.

Mark Zuckerberg reconnaît des «erreurs» sur la confidentialité

Le PDG fondateur de Facebook Mark Zuckerberg a convenu mardi sur le blog de sa société qu'elle avait commis «un paquet d'erreurs», notamment «une mauvaise mise en oeuvre quand nous avons changé notre modèle de confidentialité il y a deux ans». Ces erreurs ont, selon lui, «souvent éclipsé une grande partie du bon travail que nous avons fait».

L'accord prévoit notamment que Facebook obtienne l'approbation des internautes avant de changer la façon dont leurs données sont communiquées et se soumette à des audits indépendants sur ses pratiques en la matière pendant 20 ans. «Cela veut dire que nous prenons un engagement clair et à long terme pour faire ce que nous avons toujours essayé de faire et prévoyons de continuer à faire, en donnant (aux internautes) les outils pour qu'ils contrôlent qui a accès à leurs informations», assure Mark Zuckerberg.

En août dernier, Max Schrems, un étudiant autrichien, avait démontré que les données effacées par les utilisateurs de Facebook ne disparaissent pas vraiment, mais restent stockées par la société. «Quand on efface quelque chose dans Facebook, on ne fait que le cacher à soi-même», résumait ainsi le jeune Autrichien, qui avait déposé plainte devant l’Autorité de protection de la vie privée, en Irlande (DPC), où se trouve le siège européen de Facebook.
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