Actualités 2012
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Re: Actualités 2012
Météo : 10 aliments pour mieux lutter contre le froid
L'hiver est là, avec son cortège de petit bobos : rhume, fatigue, gerçures... Grâce à une alimentation équilibrée, boostez votre organisme et passez l'hiver en toute tranquillité. Voici 10 les aliments anti-froid incontournables.
1- Agrumes
Riches en vitamine C, les agrumes (orange, citron, pamplemousse, clémentine...) sont de puissants anti-infectieux. Ils ont pour effet de renforcer notre système immunitaire, et ainsi éloigner les rhumes et autres petits maux de l'hiver. Qu'il soit consommé en milk-shake, en jus ou encore entier, vous pouvez en consommer à volonté !
2- Gingembre
Cet excellent remède anti-froid est un compagnon idéal pour passer l'hiver. Il améliore notamment la circulation sanguine. Infusé, râpé sur une salade ou tout simplement cru, vous pouvez le consommer au quotidien.
3- Chocolat noir
Hormis le fait que le chocolat noir (70% de cacao de préférence) s'avère être un excellent remède contre la baisse de moral, le cacao est aussi particulièrement riche en magnésium. Idéal pour retrouver du tonus, même au cœur de l'hiver !
4- Avocat
La période hivernale est généralement rude pour notre peau : irritations, tiraillements, gerçures... L'avocat, riche en lipides mono-insaturés, en vitamines B et E, en oligo-éléments et minéraux, permet de nourrir de l'intérieur votre épiderme et de lutter efficacement contre la déperdition énergétique. Si votre peau est sensible, n'hésitez pas à l'utiliser également en masque de beauté.
5- Ail
L’ail est un puissant antibiotique naturel qui permet de lutter de façon plus efficaces contre les risques d’infections. N’hésitez donc pas à le consommer sans modération.
6- Fruits secs
Les abricots secs, bananes et figues séchées, pruneaux, raisins secs et autres noix, amandes et noisettes font parties des aliments à favoriser dans notre alimentation au cours de la période hivernale. Ils sont riches en acides gras essentiels mais aussi en minéraux tels que le magnésium, le fer, le cuivre, le sélénium, le manganèse ou le zinc.
7- Soupe de légumes
Idéale pour se réchauffer après une sortie dans le froid, le potage est le plat incontournable de l’hiver pour faire le plein de fibres, vitamines et minéraux. Privilégiez les légumes de saison et variez leur composition : carottes, pommes de terre, choux fleur, navets, courgettes, champignons et potirons...
8- Miel
Idéal pour lutter contre la fatigue hivernale, le miel regorge de bienfaits : potassium, magnésium et fer, mais aussi des protéines et des vitamines A, B, C et E.
9- Pâtes, riz complet, céréales et lentilles
Les sucres lents sont alliés de choix au cours de la période hivernale. En effet, votre corps a besoin de calories pour se réchauffer.
10- Thé vert
C’est un puissant antiviral que l'on peut boire de manière préventive ou curative en cas de coup de froid. Qui plus est, le thé vert a d'importantes vertus anti-oxydantes.
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
L'hiver est là, avec son cortège de petit bobos : rhume, fatigue, gerçures... Grâce à une alimentation équilibrée, boostez votre organisme et passez l'hiver en toute tranquillité. Voici 10 les aliments anti-froid incontournables.
1- Agrumes
Riches en vitamine C, les agrumes (orange, citron, pamplemousse, clémentine...) sont de puissants anti-infectieux. Ils ont pour effet de renforcer notre système immunitaire, et ainsi éloigner les rhumes et autres petits maux de l'hiver. Qu'il soit consommé en milk-shake, en jus ou encore entier, vous pouvez en consommer à volonté !
2- Gingembre
Cet excellent remède anti-froid est un compagnon idéal pour passer l'hiver. Il améliore notamment la circulation sanguine. Infusé, râpé sur une salade ou tout simplement cru, vous pouvez le consommer au quotidien.
3- Chocolat noir
Hormis le fait que le chocolat noir (70% de cacao de préférence) s'avère être un excellent remède contre la baisse de moral, le cacao est aussi particulièrement riche en magnésium. Idéal pour retrouver du tonus, même au cœur de l'hiver !
4- Avocat
La période hivernale est généralement rude pour notre peau : irritations, tiraillements, gerçures... L'avocat, riche en lipides mono-insaturés, en vitamines B et E, en oligo-éléments et minéraux, permet de nourrir de l'intérieur votre épiderme et de lutter efficacement contre la déperdition énergétique. Si votre peau est sensible, n'hésitez pas à l'utiliser également en masque de beauté.
5- Ail
L’ail est un puissant antibiotique naturel qui permet de lutter de façon plus efficaces contre les risques d’infections. N’hésitez donc pas à le consommer sans modération.
6- Fruits secs
Les abricots secs, bananes et figues séchées, pruneaux, raisins secs et autres noix, amandes et noisettes font parties des aliments à favoriser dans notre alimentation au cours de la période hivernale. Ils sont riches en acides gras essentiels mais aussi en minéraux tels que le magnésium, le fer, le cuivre, le sélénium, le manganèse ou le zinc.
7- Soupe de légumes
Idéale pour se réchauffer après une sortie dans le froid, le potage est le plat incontournable de l’hiver pour faire le plein de fibres, vitamines et minéraux. Privilégiez les légumes de saison et variez leur composition : carottes, pommes de terre, choux fleur, navets, courgettes, champignons et potirons...
8- Miel
Idéal pour lutter contre la fatigue hivernale, le miel regorge de bienfaits : potassium, magnésium et fer, mais aussi des protéines et des vitamines A, B, C et E.
9- Pâtes, riz complet, céréales et lentilles
Les sucres lents sont alliés de choix au cours de la période hivernale. En effet, votre corps a besoin de calories pour se réchauffer.
10- Thé vert
C’est un puissant antiviral que l'on peut boire de manière préventive ou curative en cas de coup de froid. Qui plus est, le thé vert a d'importantes vertus anti-oxydantes.
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités 2012
Cancer du sein : une nouvelle promotion du dépistage organisé
Le Point.fr - Publié le 03/02/2012 à 12:14
Les autorités sanitaires affirment qu'il est plus efficace et moins coûteux que le dépistage individuel.
Depuis 2004, la France a mis en place un dépistage organisé du cancer du sein afin de permettre à toutes les femmes de 50 à 74 ans d'accéder à une prise en charge précoce. Huit ans plus tard, seule la moitié des 4,3 millions de personnes concernées en a bénéficié, et 10 % des femmes ont toujours recours au dépistage individuel. Ce que regrettent vivement les responsables de la Haute Autorité de santé (HAS) et de l'Institut national du cancer (Inca). Ce matin, lors d'une conférence de presse, ils ont énuméré de nouvelles recommandations, visant à améliorer cette situation.
"Malgré une nette augmentation au fil des années, la participation au dépistage organisé reste inférieure à la cible de 80 % des Françaises bénéficiaires d'une mammographie et il varie beaucoup selon les départements", regrette le Pr Jean-Luc Harousseau, le président de la HAS. Or le rapport publié aujourd'hui indique clairement les avantages du dépistage organisé : le fait que tous les clichés soient soumis à une double lecture permet d'identifier 9 % de cancers supplémentaires, soit 1 300 cas de plus par an qui ont échappé aux radiologues lors de l'examen. Il insiste aussi sur le fait que tous les radiologues participant au dépistage organisé bénéficient d'une formation continue (ainsi que leurs assistants), que leur matériel est évalué et que les "mauvais clichés" sont refaits. Et évidemment aussi sur le fait que les patientes n'ont rien à débourser.
Autant d'arguments confirmés par le Pr Agnès Buzin, la présidente de l'Inca qui ajoute quelques chiffres : 53 000 nouveaux cancers du sein devraient être dépistés en 2012. Actuellement, le taux de survie à 5 ans est de 85 %, mais il pourrait progresser puisqu'il existe un lien direct entre le stade auquel la tumeur maligne a été diagnostiquée et la survie. "Le dépistage précoce agit sur la qualité de vie, en permettant des traitements moins lourds et moins mutilants", précise-t-elle. "Le dépistage organisé est donc une source d'équité dans l'accès aux soins et de qualité grâce à la double lecture qui pourrait permettre de sauver 3 000 vies de plus par an s'il était généralisé."
Aujourd'hui, 30 millions de femmes ont déjà été invitées à y participer, 15 millions ont subi une mammographie dans ce cadre, ce qui a permis de dépister 100 000 cancers. Certes, la recherche systématique de tumeurs présente un certain nombre de risques : ceux de surdiagnostic, et donc de surtraitement, ainsi que celui lié aux irradiations répétées, susceptibles de provoquer des cancers "radio-induits". Et pourtant, les experts sont formels : nulle part dans le monde, il n'a été prouvé que ces dangers étaient suffisants pour remettre en cause le rapport bénéfice/risque du dépistage organisé. Un retour en arrière n'est donc pas envisagé. D'où ces recommandations visant à "relancer" le dépistage organisé, puisque le nombre de femmes qui s'y soumettent a tendance à stagner.
C'est pourquoi la HAS plaide pour que le dépistage organisé devienne progressivement la modalité unique de détection du cancer du sein pour les Françaises de 50 à 74 ans. Cela permettrait de réaliser des économies, tant au niveau de la société (elles sont estimées à 3 millions d'euros par an) que des femmes. D'autant que ces dernières subissent trop souvent des échographies inutiles, sources de "faux positifs" erronés, en plus des fréquents dépassements d'honoraires. Néanmoins, c'est par des mesures incitatives fortes, et non par une menace de déremboursement des dépistages individuels, que la HAS entend augmenter le nombre de patientes participant au dépistage collectif.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le Point.fr - Publié le 03/02/2012 à 12:14
Les autorités sanitaires affirment qu'il est plus efficace et moins coûteux que le dépistage individuel.
Depuis 2004, la France a mis en place un dépistage organisé du cancer du sein afin de permettre à toutes les femmes de 50 à 74 ans d'accéder à une prise en charge précoce. Huit ans plus tard, seule la moitié des 4,3 millions de personnes concernées en a bénéficié, et 10 % des femmes ont toujours recours au dépistage individuel. Ce que regrettent vivement les responsables de la Haute Autorité de santé (HAS) et de l'Institut national du cancer (Inca). Ce matin, lors d'une conférence de presse, ils ont énuméré de nouvelles recommandations, visant à améliorer cette situation.
"Malgré une nette augmentation au fil des années, la participation au dépistage organisé reste inférieure à la cible de 80 % des Françaises bénéficiaires d'une mammographie et il varie beaucoup selon les départements", regrette le Pr Jean-Luc Harousseau, le président de la HAS. Or le rapport publié aujourd'hui indique clairement les avantages du dépistage organisé : le fait que tous les clichés soient soumis à une double lecture permet d'identifier 9 % de cancers supplémentaires, soit 1 300 cas de plus par an qui ont échappé aux radiologues lors de l'examen. Il insiste aussi sur le fait que tous les radiologues participant au dépistage organisé bénéficient d'une formation continue (ainsi que leurs assistants), que leur matériel est évalué et que les "mauvais clichés" sont refaits. Et évidemment aussi sur le fait que les patientes n'ont rien à débourser.
Autant d'arguments confirmés par le Pr Agnès Buzin, la présidente de l'Inca qui ajoute quelques chiffres : 53 000 nouveaux cancers du sein devraient être dépistés en 2012. Actuellement, le taux de survie à 5 ans est de 85 %, mais il pourrait progresser puisqu'il existe un lien direct entre le stade auquel la tumeur maligne a été diagnostiquée et la survie. "Le dépistage précoce agit sur la qualité de vie, en permettant des traitements moins lourds et moins mutilants", précise-t-elle. "Le dépistage organisé est donc une source d'équité dans l'accès aux soins et de qualité grâce à la double lecture qui pourrait permettre de sauver 3 000 vies de plus par an s'il était généralisé."
Aujourd'hui, 30 millions de femmes ont déjà été invitées à y participer, 15 millions ont subi une mammographie dans ce cadre, ce qui a permis de dépister 100 000 cancers. Certes, la recherche systématique de tumeurs présente un certain nombre de risques : ceux de surdiagnostic, et donc de surtraitement, ainsi que celui lié aux irradiations répétées, susceptibles de provoquer des cancers "radio-induits". Et pourtant, les experts sont formels : nulle part dans le monde, il n'a été prouvé que ces dangers étaient suffisants pour remettre en cause le rapport bénéfice/risque du dépistage organisé. Un retour en arrière n'est donc pas envisagé. D'où ces recommandations visant à "relancer" le dépistage organisé, puisque le nombre de femmes qui s'y soumettent a tendance à stagner.
C'est pourquoi la HAS plaide pour que le dépistage organisé devienne progressivement la modalité unique de détection du cancer du sein pour les Françaises de 50 à 74 ans. Cela permettrait de réaliser des économies, tant au niveau de la société (elles sont estimées à 3 millions d'euros par an) que des femmes. D'autant que ces dernières subissent trop souvent des échographies inutiles, sources de "faux positifs" erronés, en plus des fréquents dépassements d'honoraires. Néanmoins, c'est par des mesures incitatives fortes, et non par une menace de déremboursement des dépistages individuels, que la HAS entend augmenter le nombre de patientes participant au dépistage collectif.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
La viande : à consommer avec modération !
Le Point.fr - Publié le 01/02/2012 à 08:06
Le Point.fr ouvre son espace Débattre à Laurent Chevallier, médecin consultant en nutrition, attaché au CHU de Montpellier.
Depuis 30 ans, la consommation de viande de boucherie diminue lentement avec une décélération encore plus nette en 2011 (- 2,7 %). En cause, les prix élevés et le pouvoir d'achat en baisse, mais aussi l'évolution des mentalités qui nous fait nous interroger : faut-il continuer à consommer beaucoup de viande ?
Inquiets, les acteurs de la filière viande s'emploient à démontrer que nous ne mangeons pas trop de viande. Ils sont dans leur rôle. Ce qui intrigue, c'est l'implication de scientifiques au discours réducteur pour tenter de convaincre que renoncer à la viande rouge nous vouerait très probablement - entre autres - à des carences en fer. Cela a été ainsi annoncé lors d'une réunion conjointe entre les académies d'agriculture et de médecine en décembre dernier, où des intervenants académiciens ont déployé un discours parfois approximatif avec des chiffres pas toujours exacts.
Faut-il rappeler que plusieurs publications scientifiques ont montré que, sauf régimes extrêmes, les végétariens ne sont pas carencés en fer, même si leurs réserves peuvent être plus faibles que celles des omnivores. La consommation de viande en petite quantité participe à un bon équilibre nutritionnel, mais elle n'est pas indispensable pour l'homme s'il prend notamment du poisson ou, comme dans certaines contrées du monde, des insectes et des larves. Par ailleurs, la consommation de viande, même s'il existe des morceaux maigres, entraîne globalement un apport en matières grasses dites saturées qui participent au développement des maladies cardiovasculaires et, en plus, concentrent des polluants, qui s'incrustent dans toutes les graisses animales telles que les polluants organiques persistants type dioxine, et ne sont pas sans effets sur la santé.
Le bifteck pollue plus que les lentilles
Il a été dit également que, contrairement aux conclusions de plusieurs études scientifiques, la viande rouge ne favorise pas le cancer du côlon, au niveau où elle est consommée en moyenne en France, c'est-à-dire l'équivalent de deux steaks par semaine. Soit, mais le consommateur moyen n'existe pas, et pour ceux qui en consomment deux fois plus, soit probablement plusieurs millions de personnes, le risque n'est plus à exclure. De plus, outre le colon, une récente étude évoque les risques d'apparition de cancer de la prostate en fonction du degré de consommation et de cuisson.
En matière d'environnement, la contre-offensive est aussi lancée. On explique que le bilan écologique des ruminants n'est pas mauvais, car les prairies qu'ils pâturent stockent du carbone, contribuent à la biodiversité et utilisent des espaces où l'herbe est seule capable de pousser. Sauf que les ruminants sont de plus en plus nourris avec de l'ensilage de maïs, des céréales et du tourteau de soja. On ne peut aussi que constater qu'il faut dix fois plus de surface pour produire un kilo de protéines sous forme de viande de boeuf que sous forme de haricots ou de lentilles. Et le bifteck que l'on met dans son assiette émet 10 à 20 fois plus de gaz à effet de serre qu'un plat de lentilles.
Il ne s'agit pas pour autant de renoncer à la viande, mais de poser certaines limites. La création d'une haute autorité de l'expertise scientifique - formellement indépendante - est plus que jamais nécessaire face aux discours approximatifs.
Par le Dr Laurent Chevallier, consultant en nutrition et Claude Aubert, ingénieur agronomeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le Point.fr - Publié le 01/02/2012 à 08:06
Le Point.fr ouvre son espace Débattre à Laurent Chevallier, médecin consultant en nutrition, attaché au CHU de Montpellier.
Depuis 30 ans, la consommation de viande de boucherie diminue lentement avec une décélération encore plus nette en 2011 (- 2,7 %). En cause, les prix élevés et le pouvoir d'achat en baisse, mais aussi l'évolution des mentalités qui nous fait nous interroger : faut-il continuer à consommer beaucoup de viande ?
Inquiets, les acteurs de la filière viande s'emploient à démontrer que nous ne mangeons pas trop de viande. Ils sont dans leur rôle. Ce qui intrigue, c'est l'implication de scientifiques au discours réducteur pour tenter de convaincre que renoncer à la viande rouge nous vouerait très probablement - entre autres - à des carences en fer. Cela a été ainsi annoncé lors d'une réunion conjointe entre les académies d'agriculture et de médecine en décembre dernier, où des intervenants académiciens ont déployé un discours parfois approximatif avec des chiffres pas toujours exacts.
Faut-il rappeler que plusieurs publications scientifiques ont montré que, sauf régimes extrêmes, les végétariens ne sont pas carencés en fer, même si leurs réserves peuvent être plus faibles que celles des omnivores. La consommation de viande en petite quantité participe à un bon équilibre nutritionnel, mais elle n'est pas indispensable pour l'homme s'il prend notamment du poisson ou, comme dans certaines contrées du monde, des insectes et des larves. Par ailleurs, la consommation de viande, même s'il existe des morceaux maigres, entraîne globalement un apport en matières grasses dites saturées qui participent au développement des maladies cardiovasculaires et, en plus, concentrent des polluants, qui s'incrustent dans toutes les graisses animales telles que les polluants organiques persistants type dioxine, et ne sont pas sans effets sur la santé.
Le bifteck pollue plus que les lentilles
Il a été dit également que, contrairement aux conclusions de plusieurs études scientifiques, la viande rouge ne favorise pas le cancer du côlon, au niveau où elle est consommée en moyenne en France, c'est-à-dire l'équivalent de deux steaks par semaine. Soit, mais le consommateur moyen n'existe pas, et pour ceux qui en consomment deux fois plus, soit probablement plusieurs millions de personnes, le risque n'est plus à exclure. De plus, outre le colon, une récente étude évoque les risques d'apparition de cancer de la prostate en fonction du degré de consommation et de cuisson.
En matière d'environnement, la contre-offensive est aussi lancée. On explique que le bilan écologique des ruminants n'est pas mauvais, car les prairies qu'ils pâturent stockent du carbone, contribuent à la biodiversité et utilisent des espaces où l'herbe est seule capable de pousser. Sauf que les ruminants sont de plus en plus nourris avec de l'ensilage de maïs, des céréales et du tourteau de soja. On ne peut aussi que constater qu'il faut dix fois plus de surface pour produire un kilo de protéines sous forme de viande de boeuf que sous forme de haricots ou de lentilles. Et le bifteck que l'on met dans son assiette émet 10 à 20 fois plus de gaz à effet de serre qu'un plat de lentilles.
Il ne s'agit pas pour autant de renoncer à la viande, mais de poser certaines limites. La création d'une haute autorité de l'expertise scientifique - formellement indépendante - est plus que jamais nécessaire face aux discours approximatifs.
Par le Dr Laurent Chevallier, consultant en nutrition et Claude Aubert, ingénieur agronomeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
CANCER : la Journée mondiale de lutte sous le signe de l'espoir - l'Express
A l'occasion de la Journée mondiale contre le cancer, l'OMS recommande d'éviter les facteurs de risques comme le tabagisme, l'obésité, la consommation insuffisante de fruits et légumes, le manque d'exercice, l'alcool...
REUTERS
Ce samedi est un jour dédié à la lutte contre le cancer: l'occasion de faire le point sur les avancées de la recherche durant l'année écoulée. Nouvelles thérapies et traitements prometteurs, les progrès sont bien là.
"Recherche sur les cancers: tout s'accélère": c'est le titre d'un webdocumentaire présenté et financé par l'Institut National du Cancer (INCa) et l'association de recherche ARC à l'occasion de la Journée mondiale contre la maladie, ce samedi.
Un optimisme affiché qui peut surprendre quand regarde les chiffres. Première cause de mortalité dans le monde, la maladie a touché 365 000 nouvelles personnes en France en 2011. Statistiquement, les cancers les plus ravageurs sont ceux du poumon, de l'estomac, du foie, du colon et du sein.
Pourtant, les scientifiques s'accordent à dire que des progrès importants ont été accomplis ces dernières années. Des recherches qui font qu'aujourd'hui, une personne sur deux guérit de cette maladie. Aperçu des nouveaux traitements:
Des techniques de séquençage génétique plus rapides
La maladie est mieux appréhendée. Il faut désormais quelques jours, voire quelques heures pour réaliser le séquençage du génome d'une tumeur. Un exploit notamment réalisé par une machine présentée au dernier Forum économique mondial de Davos.
Cancer de la peau: un traitement "miracle"
La présentation d'un nouveau traitement a créé l'évènement lors d'un grand colloque mondial de cancérologie, l'ASCO, qui s'est tenu aux Etats-Unis en juin dernier. Son nom: le vemurafenib, un nouvel agent qui cible un gène mutant spécifique aux cancers de la peau. Son action empêcherait la production d'une protéine responsable du développement de ce cancer. Le risque de décès serait réduit de 63%.
Cancer du sein: une prévention spécifique pour les femmes à risque
Une étude réalisée par des chercheurs de l'Université de Buffalo, aux Etats-Unis, a conclu que l'aromasine, un médicament bloquant les oestrogènes chez les femmes ménopausées, permet de diminuer d'environ deux-tiers l'apparition d'une tumeur du sein. Ce médicament, déjà utilisé dans le cas d'une récidive, pourrait alors être prescrit pour prévenir la maladie, lorsque les femmes présentent des antécédents personnels ou familiaux. Une alternative au tamoxifène, un médicament efficace mais qui avait des effets secondaires importants.
Cancer de la prostate: un vaccin thérapeutique prometteur
Des chercheurs de Seattle ont mis au point un vaccin thérapeutique pour les cancers de la prostate, appelé Provenge, qui a obtenu une autorisation de mise sur le marché. Son principe: stimuler les défenses immunitaires des patients pour prolonger leur durée de vie.
Sur la base de ce progrès, l'Inserm français a alors étudié des vaccins potentiels pour d'autres tumeurs, notamment le cancer de la peau et de l'utérus. Leurs spécificités: ils agissent directement sur les cellules cancéreuses qui sont attaquées par stimulation du système immunitaire.
Le développement des thérapies ciblées
Les thérapies qui ciblent les anomalies génétiques spécifiques au type de cancer font figure de vraie révolution. Selon l'INCa, 28 laboratoires régionaux proposent en France des tests permettant de mettre en oeuvre des traitements adaptés aux tumeurs. Ils concernent le cancer du sein, du poumon et le cancer colorectal. Ces thérapies sur mesure sont promises à un grand avenir.
L'accompagnement et la prévention
30% des cancers pourraient être évités en changeant son mode de vie
Ce dernier volet est loin d'être secondaire: l'OMS a rappelé qu'environ 30% des cancers pourraient être évités en changeant son mode de vie, notamment en luttant contre le tabagisme qui constitue le plus grand facteur de cancer. Depuis quelques années, nombre de campagnes ont sensibilisé le public à ces risques, comme l'alcool et le manque d'exercice physique.
Côté diagnostic, la rapidité est de mise. L'accent a été mis ces dernières années sur le développement d'une approche individualisée, doublée d'un accès plus rapide au traitement.
Des performances rendues possibles par le Plan cancer 2009-2013, selon l'INCa. Mis en place par le ministère de la Santé, il a contribué selon l'Institut à mutualiser les moyens des chercheurs et à mieux coordonner leurs recherches.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
A l'occasion de la Journée mondiale contre le cancer, l'OMS recommande d'éviter les facteurs de risques comme le tabagisme, l'obésité, la consommation insuffisante de fruits et légumes, le manque d'exercice, l'alcool...
REUTERS
Ce samedi est un jour dédié à la lutte contre le cancer: l'occasion de faire le point sur les avancées de la recherche durant l'année écoulée. Nouvelles thérapies et traitements prometteurs, les progrès sont bien là.
"Recherche sur les cancers: tout s'accélère": c'est le titre d'un webdocumentaire présenté et financé par l'Institut National du Cancer (INCa) et l'association de recherche ARC à l'occasion de la Journée mondiale contre la maladie, ce samedi.
Un optimisme affiché qui peut surprendre quand regarde les chiffres. Première cause de mortalité dans le monde, la maladie a touché 365 000 nouvelles personnes en France en 2011. Statistiquement, les cancers les plus ravageurs sont ceux du poumon, de l'estomac, du foie, du colon et du sein.
Pourtant, les scientifiques s'accordent à dire que des progrès importants ont été accomplis ces dernières années. Des recherches qui font qu'aujourd'hui, une personne sur deux guérit de cette maladie. Aperçu des nouveaux traitements:
Des techniques de séquençage génétique plus rapides
La maladie est mieux appréhendée. Il faut désormais quelques jours, voire quelques heures pour réaliser le séquençage du génome d'une tumeur. Un exploit notamment réalisé par une machine présentée au dernier Forum économique mondial de Davos.
Cancer de la peau: un traitement "miracle"
La présentation d'un nouveau traitement a créé l'évènement lors d'un grand colloque mondial de cancérologie, l'ASCO, qui s'est tenu aux Etats-Unis en juin dernier. Son nom: le vemurafenib, un nouvel agent qui cible un gène mutant spécifique aux cancers de la peau. Son action empêcherait la production d'une protéine responsable du développement de ce cancer. Le risque de décès serait réduit de 63%.
Cancer du sein: une prévention spécifique pour les femmes à risque
Une étude réalisée par des chercheurs de l'Université de Buffalo, aux Etats-Unis, a conclu que l'aromasine, un médicament bloquant les oestrogènes chez les femmes ménopausées, permet de diminuer d'environ deux-tiers l'apparition d'une tumeur du sein. Ce médicament, déjà utilisé dans le cas d'une récidive, pourrait alors être prescrit pour prévenir la maladie, lorsque les femmes présentent des antécédents personnels ou familiaux. Une alternative au tamoxifène, un médicament efficace mais qui avait des effets secondaires importants.
Cancer de la prostate: un vaccin thérapeutique prometteur
Des chercheurs de Seattle ont mis au point un vaccin thérapeutique pour les cancers de la prostate, appelé Provenge, qui a obtenu une autorisation de mise sur le marché. Son principe: stimuler les défenses immunitaires des patients pour prolonger leur durée de vie.
Sur la base de ce progrès, l'Inserm français a alors étudié des vaccins potentiels pour d'autres tumeurs, notamment le cancer de la peau et de l'utérus. Leurs spécificités: ils agissent directement sur les cellules cancéreuses qui sont attaquées par stimulation du système immunitaire.
Le développement des thérapies ciblées
Les thérapies qui ciblent les anomalies génétiques spécifiques au type de cancer font figure de vraie révolution. Selon l'INCa, 28 laboratoires régionaux proposent en France des tests permettant de mettre en oeuvre des traitements adaptés aux tumeurs. Ils concernent le cancer du sein, du poumon et le cancer colorectal. Ces thérapies sur mesure sont promises à un grand avenir.
L'accompagnement et la prévention
30% des cancers pourraient être évités en changeant son mode de vie
Ce dernier volet est loin d'être secondaire: l'OMS a rappelé qu'environ 30% des cancers pourraient être évités en changeant son mode de vie, notamment en luttant contre le tabagisme qui constitue le plus grand facteur de cancer. Depuis quelques années, nombre de campagnes ont sensibilisé le public à ces risques, comme l'alcool et le manque d'exercice physique.
Côté diagnostic, la rapidité est de mise. L'accent a été mis ces dernières années sur le développement d'une approche individualisée, doublée d'un accès plus rapide au traitement.
Des performances rendues possibles par le Plan cancer 2009-2013, selon l'INCa. Mis en place par le ministère de la Santé, il a contribué selon l'Institut à mutualiser les moyens des chercheurs et à mieux coordonner leurs recherches.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
Le magazine de la santé, le 03/02/2012
Sommaire :
1. le syndrome de Rokitanski MRKH.
2. Les soupes
3. Prostitution étudiante(santé mentale et physique)
4. Hypnose et chirurgie
5. Prothèses mammaires
1. LE SYNDROME de Mayer Rokitansky Küster Hauser MRKH.
Une fille une sur 4500 sont nées sans vagin, sans utérus ou parfois avec l’appareil génital partiellement formé.
En langage médicale : une aplasie utero vaginale
L’appareil génital féminin est fait d’un vagin mesurant entre 8 à 12cm, d’un utérus, de 2 trompes et de 2 ovaires.
Fonctionnement : dés la puberté, les ovaires,sous l’influence des hormones produites par le cerveau, produisent chaque mois des plusieurs ovocytes (des gamètes femelles)); et durant le cycle l’ovaire fabrique des hormones d’abord de estrogène ensuite la progestérone qui prépareront la muqueuse utérine pour recevoir un futur embryon en cas de fécondation mais comme la fécondation se produit rarement , l’ovaire va arrêter de fabriquer les hormones et la muqueuse utérine se défait partiellement et les règles apparaissent.
Explication du syndrome MRKH :
C’est en l’absence de règle lors de la puberté que l’on diagnostique la maladie MRKH grâce à une IRM ou un scanner.
Tous les autres signes de féminités sont présents, les chromosomes sexuels XX sont présents également, les organes génitaux extérieurs (lèvres, clitoris) sont là mais c’est la cupule vaginale qui est toute petite ou absente.
Ces jeunes femmes ne peuvent pas avoir de rapports sexuels avec pénétration et ne peuvent pas avoir d’enfants.
Si l’appareil génital est partiel, elles peuvent avoir des rapports mais douloureux et ne pourront pas non plus avoir d’enfants;
Le traitement :
Pour pouvoir avoir des rapports sexuels, il faut utiliser un dilatateur vaginal, cela permet de gagner plusieurs centimètres,ou une chirurgie reconstructrice du vagin.
Les répercussions mentales : la plupart de ces filles et qui apprennent qu’elles ont le syndrome, ont du mal à accepter leur maladie ne se sentent pas femme. Mais une fois opérées elles se sentent comme les autres, peuvent avoir des rapports sexuels normaux, mais ne pourront toujours pas avoir d’enfant.
Cette maladie est souvent associée à des maladies osseuses ou des anomalies rénales.
La chirurgie réparatrice de vagin, le chirurgien greffe un segment du colon à la cupule vaginale.
Parfois cette méthode n’est pas possible et donc le chirurgien va créer un espace entre la vessie et le rectum, et un dilateur va être installé qu’il retirera au bout de 6 mois pour pas l’espace crée se referme et la patiente devra continuer ensuite les dilatateurs.
2. LES SOUPES :
Les soupes prêtes à l’emploi 8 français sur 10 en consomment.
Les soupes hydratent car elles sont composées de 4% d’eau chacune.
Elles sont composées de légumes et donc de vitamines, sels minéraux et oligoéléments en bonne quantité.
La différence entre la soupe toute prêtes et maison c’est la quantité des légumes, le conseil est de bien regarder les ingrédients sur les emballages, et elles perdent leurs vertus à force de les réchauffer, elles sont composées également de fibres. Souvent consommer en entrée, elle permet de consommer moins ensuite le repas principale et donc moins de calories!
Les soupes toutes prêtes ont moins de sel, en 10 ans on a diminué de 19% le taux de sodium.
Les soupes ne font pas grandir ! Mais il faut, sans punir, influencer les enfants à en consommer!
3. LA PROSTITUTION ETUDIANTE
20 000 personnes se prostituent en France dont la prostitution occasionnelle ! La prostitution étudiante existe depuis très longtemps mais en augmentation et est liée à la précarité chez les étudiants et certainement liée à la prostitution par Internet qui facilite le passage à l’acte.
La précarité : Pour payer leurs études, mais aussi à cause de la société dite de consommation.
Internet : le chat entraîne parfois sur ce phénomène.
Conséquences sur la santé : problèmes gynécologiques parfois non soignés (infection, déchirure vaginale, IVG à répétition), la plupart se rendent compte qu’elles ont un problème gynécologique quand elles arrêtent de se prostituer et il y aussi des impacts psychiques.
La campagne de sensibilisation : pas assez de discussion avec les étudiants, il y a de la prévention à l’université, au collège ( 4ème), pour faire prendre conscience de la réalité de la prostitution et faire évoluer le regard et faire réfléchir les filles et les garçons sur les stéréotypes( Banalité, idée toute faite et sans originalité).On est dans une production sociale qui révèle des rapports de dominations très présents et faire réfléchir les jeunes pour que les mentalités évoluent.
Plus on se prostitue plus la prostitution dure.
4. HYPNOSE ET CHIRURGIE / ses limites
Si le patient souffre lors de l’opération, il peut sortir de l’hypnose, alors l’anesthésiste l’aide avec un somnifère mais même en utilisant un hypnotique, les bien faits de l’hypnose demeure.Il n’y a pas d’échec avec l’hypnose, c’est seulement se sentir autrement pendant un moment !
Une anesthésiste du CHU de Nantes, pratique l’ hypnose au service gastrœntérologie (exemple : la patiente doit subir des coloscopies régulièrement car elle a des antécédents familiaux du cancer du colon, d’habitude sous anesthésie générale, mais ayant une réelle phobie, elle choisit l’hypnose, tout se déroulait bien malheureusement il y eut une complication, la patiente ressent la douleur, et risque de sortir de l’hypnose, une assistante est intervenue en faisant un appui sur son ventre et l’anesthésiste lui injecte un hypnotique tout, reprend normalement).
Il n’est pas évident de pratiquer une coloscopie sous hypnose, à cause des passages étroits du colon.
L’équipe du CHU de Nantes pratique l’hypnose pour traiter aussi la douleur aigue ou chronique et même pour les patients en fin de vie.
5. LES PROTHESES MAMMAIRES (quels risques?)
Elles sont utilisés pour des raisons d’esthétisme ou reconstructrice notamment après un cancer du sein avec ablation, beaucoup de questions se posent concernant ces prothèses mammaires.
Qui les fabrique ? Que contiennent-elles? Comment est contrôlé le processus de production?
Un peu d’anatomie : le sein est composé d’une glande mammaire lui-même composé d’un tissu de soutien, et d’un tissu graisseux enveloppe le tout, et 80% environ de graisse constitue le volume du sein. Le tout repose sur un muscle « le pectoral », au milieu du sein on trouve l’aréole de couleurs et tailles différentes, autour de l’aréole peut se trouver des follicules pileux, quelques glandes sudoripares, l’aréole est centré par le mamelon qui lui est l’orifice d’où sort le lait maternel.
Les prothèses mammaires sont soit remplies avec du sérum physiologique ou du silicone, normalement biocompatible avec une fuite éventuelle mais peuvent néanmoins conduire à une inflammation et imposer une substitution rapide de la prothèse. Les plus chers ne sont pas toujours les meilleurs. Il faut les choisir selon l’anatomie de la patiente. On peut la mettre sous le muscle ou sous la peau. Il faut un suivi strict (long dans le temps).
La durabilité des prothèses en silicone est de 10 ans ensuite elle se rompre, elle ne sont pas à vie tandis que les prothèses sérum physiologique donne de très bon résultats si elle est placé sous le muscle,si on a une bonne qualité de peau, elles peuvent se garder à vie, pas de danger si elle se rompre.
La fabrication : exemple : les laboratoires sebbins (eise française)
Le directeur général Diederik Van Goor déclare : la qualité et sécurité de produit est au cœur de notre entreprise et c’est pour nous très important, on a donc mis en place des prothèses et on vérifie chaque produit à chaque étape de la production;
Le choix des matières premières : une enveloppe de bonne qualité et un gel silicone médical, on mélange les deux et on passe au « trempage », ensuite le démoulage, ensuite une batterie de tests. L’AFSAS fait aussi des contrôles, ensuite elles seront exportées dans différents pays.
La graisse du ventre prise pour mettre au sein pourrait donner le cancer.
La douleur : la pose rétro pectorale, sous le muscle, est douloureux.
Autour de la prothèse, une coque se forme.
Si une patiente porte une prothèse PIP, l’opération n’est pas prise en charge pour la retirer car la société n’existe plus.
Rien n’est prouvé que les prothèses PIP donnent le cancer du sein.
Les prothèses, aujourd’hui à part bien sûr les PIP, sont plus sûres qu’avant !
Une mammographie est conseillée tous les ans, pour dépister un cancer ! La sensibilité du sein n’est plus.
Divers :
Le mal de dos : la colonne est constitué de 33 vertèbres empilées les unes sur les autres, entre ces vertèbres il y a un disque vertébral limitant les frottements osseux et qui va servir d’amortisseur, et il y a des ligaments qui permettent la stabilité de la colonne.
Aux centre des vertèbres, il y a la moelle épinière, de chaque côté des nerfs .
Avec l’âge les ligaments s’épaississent, les os se calcifient, le disque vertébral va s‘user, et l’arthrose apparaît progressivement.
Et ces différents éléments, peuvent être à l’origine d’un rétrécissement du canal rachidien, provoquant une compression des nerfs, on parle alors de canal lombaire étroit et c’est cette compression qui va donner des douleurs dans le bas du dos, des cuisses et des fourmillements dans les jambes, l’opération est nécessaire quand cela devient invalidant et quand un traitement médicamenteux (infiltration) n’ont pas donné de résultats.
3 régions concernées par la douleur :
- la nuque : travailler des heures devant un ordinateur !
- le thorax : mauvaises postures, douleur au milieu du dos.
- le bas du dos: lumbago suite au port de charges lourdes.
[b]Livres à lire :[/b]
L’armoire des robes oubliées de Riikka Pulkkinen
Alors que sa grand-mère Elsa se meurt d’un cancer foudroyant et que tous ses proches se rassemblent pour adoucir ses derniers jours, Anna découvre que, derrière le mariage apparemment heureux de ses grands-parents, se cache un drame qui a marqué à jamais tous les membres de sa famille. Une vieille robe trouvée par hasard, et dont elle apprend qu’elle aurait appartenu à une certaine Eeva, va réveiller le passé. Cette Eeva, dont on ne lui a jamais parlé, aurait été, dans les années 60, la nourrice de sa mère. Mais Anna ne tarde pas à comprendre qu’elle a été beaucoup plus qu’une employée et que son grand-père, peintre célèbre, l’a profondément aimée… Née en Finlande en 1980, Riikka Pulkkinen étudie la littérature et la philosophie à l'université d'Helsinki. En 2006, elle publie son premier roman, Raja (La Frontière), qui l'impose d'emblée comme un des jeunes écrivains les plus doués de sa génération. Son second roman, L’armoire des robes oubliées, publié en 2010, confirme son talent. Sélectionné pour le plus grand prix littéraire finlandais, le Finlandia Prize, encensé par la critique, L’armoire des robes oubliées, l'une des sensations de la Foire de Francfort 2010, a déjà été vendu dans douze pays.
J’ai réussi à rester en vie de Joyce Carol Oates
Le matin du 11 février 2008, Raymond Smith, le mari de Joyce Carol Oates, s’est réveillé avec un mauvais rhume. Il respire mal et son épouse décide de l’emmener aux urgences où l’on diagnostique une pneumonie sans gravité. Pour plus de sûreté, on le garde en observation. Une semaine plus tard, au moment même où il devait rentrer chez lui, Raymond meurt d’une violente et soudaine infection nosocomiale. Sans avertissement ni préparation d’aucune sorte, Joyce est soudain confrontée à la terrible réalité du veuvage. Au vide. À l’absence sans merci.
J’ai réussi à rester en vie est la chronique du combat d’une femme pour tenter de remonter de ce puits sans fond. De poursuivre une existence amputée du partenariat qui l’a soutenue et définie pendant près d’un demi-siècle. En proie à l’angoisse de la perte, à la désorientation de la survivante cernée par un cauchemar de démarches administratives, et les absurdités pathétiques du commerce du deuil, Oates décrit l’innommable expérience du chagrin, dont elle ne peut s’extraire qu’à grand peine, de temps à autre, en se tournant vers ses amis.
Avec sa lucidité coutumière, parfois sous-tendue d’un humour noir irrésistible (quand, par exemple, elle se lamente sur l’absurdité des luxueux paniers gargantuesques de saucissons et de pop corn au chocolat déposés devant sa porte en manière de condoléances), elle nous offre à travers ce livre, qui ne ressemble à rien de ce qu’elle a écrit jusqu’ici, non seulement une émouvante histoire d’amour, mais aussi le portrait d’une Joyce Carol Smith inconnue et formidablement attachante.
bonne lecture, cristal
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Sommaire :
1. le syndrome de Rokitanski MRKH.
2. Les soupes
3. Prostitution étudiante(santé mentale et physique)
4. Hypnose et chirurgie
5. Prothèses mammaires
1. LE SYNDROME de Mayer Rokitansky Küster Hauser MRKH.
Une fille une sur 4500 sont nées sans vagin, sans utérus ou parfois avec l’appareil génital partiellement formé.
En langage médicale : une aplasie utero vaginale
L’appareil génital féminin est fait d’un vagin mesurant entre 8 à 12cm, d’un utérus, de 2 trompes et de 2 ovaires.
Fonctionnement : dés la puberté, les ovaires,sous l’influence des hormones produites par le cerveau, produisent chaque mois des plusieurs ovocytes (des gamètes femelles)); et durant le cycle l’ovaire fabrique des hormones d’abord de estrogène ensuite la progestérone qui prépareront la muqueuse utérine pour recevoir un futur embryon en cas de fécondation mais comme la fécondation se produit rarement , l’ovaire va arrêter de fabriquer les hormones et la muqueuse utérine se défait partiellement et les règles apparaissent.
Explication du syndrome MRKH :
C’est en l’absence de règle lors de la puberté que l’on diagnostique la maladie MRKH grâce à une IRM ou un scanner.
Tous les autres signes de féminités sont présents, les chromosomes sexuels XX sont présents également, les organes génitaux extérieurs (lèvres, clitoris) sont là mais c’est la cupule vaginale qui est toute petite ou absente.
Ces jeunes femmes ne peuvent pas avoir de rapports sexuels avec pénétration et ne peuvent pas avoir d’enfants.
Si l’appareil génital est partiel, elles peuvent avoir des rapports mais douloureux et ne pourront pas non plus avoir d’enfants;
Le traitement :
Pour pouvoir avoir des rapports sexuels, il faut utiliser un dilatateur vaginal, cela permet de gagner plusieurs centimètres,ou une chirurgie reconstructrice du vagin.
Les répercussions mentales : la plupart de ces filles et qui apprennent qu’elles ont le syndrome, ont du mal à accepter leur maladie ne se sentent pas femme. Mais une fois opérées elles se sentent comme les autres, peuvent avoir des rapports sexuels normaux, mais ne pourront toujours pas avoir d’enfant.
Cette maladie est souvent associée à des maladies osseuses ou des anomalies rénales.
La chirurgie réparatrice de vagin, le chirurgien greffe un segment du colon à la cupule vaginale.
Parfois cette méthode n’est pas possible et donc le chirurgien va créer un espace entre la vessie et le rectum, et un dilateur va être installé qu’il retirera au bout de 6 mois pour pas l’espace crée se referme et la patiente devra continuer ensuite les dilatateurs.
2. LES SOUPES :
Les soupes prêtes à l’emploi 8 français sur 10 en consomment.
Les soupes hydratent car elles sont composées de 4% d’eau chacune.
Elles sont composées de légumes et donc de vitamines, sels minéraux et oligoéléments en bonne quantité.
La différence entre la soupe toute prêtes et maison c’est la quantité des légumes, le conseil est de bien regarder les ingrédients sur les emballages, et elles perdent leurs vertus à force de les réchauffer, elles sont composées également de fibres. Souvent consommer en entrée, elle permet de consommer moins ensuite le repas principale et donc moins de calories!
Les soupes toutes prêtes ont moins de sel, en 10 ans on a diminué de 19% le taux de sodium.
Les soupes ne font pas grandir ! Mais il faut, sans punir, influencer les enfants à en consommer!
3. LA PROSTITUTION ETUDIANTE
20 000 personnes se prostituent en France dont la prostitution occasionnelle ! La prostitution étudiante existe depuis très longtemps mais en augmentation et est liée à la précarité chez les étudiants et certainement liée à la prostitution par Internet qui facilite le passage à l’acte.
La précarité : Pour payer leurs études, mais aussi à cause de la société dite de consommation.
Internet : le chat entraîne parfois sur ce phénomène.
Conséquences sur la santé : problèmes gynécologiques parfois non soignés (infection, déchirure vaginale, IVG à répétition), la plupart se rendent compte qu’elles ont un problème gynécologique quand elles arrêtent de se prostituer et il y aussi des impacts psychiques.
La campagne de sensibilisation : pas assez de discussion avec les étudiants, il y a de la prévention à l’université, au collège ( 4ème), pour faire prendre conscience de la réalité de la prostitution et faire évoluer le regard et faire réfléchir les filles et les garçons sur les stéréotypes( Banalité, idée toute faite et sans originalité).On est dans une production sociale qui révèle des rapports de dominations très présents et faire réfléchir les jeunes pour que les mentalités évoluent.
Plus on se prostitue plus la prostitution dure.
4. HYPNOSE ET CHIRURGIE / ses limites
Si le patient souffre lors de l’opération, il peut sortir de l’hypnose, alors l’anesthésiste l’aide avec un somnifère mais même en utilisant un hypnotique, les bien faits de l’hypnose demeure.Il n’y a pas d’échec avec l’hypnose, c’est seulement se sentir autrement pendant un moment !
Une anesthésiste du CHU de Nantes, pratique l’ hypnose au service gastrœntérologie (exemple : la patiente doit subir des coloscopies régulièrement car elle a des antécédents familiaux du cancer du colon, d’habitude sous anesthésie générale, mais ayant une réelle phobie, elle choisit l’hypnose, tout se déroulait bien malheureusement il y eut une complication, la patiente ressent la douleur, et risque de sortir de l’hypnose, une assistante est intervenue en faisant un appui sur son ventre et l’anesthésiste lui injecte un hypnotique tout, reprend normalement).
Il n’est pas évident de pratiquer une coloscopie sous hypnose, à cause des passages étroits du colon.
L’équipe du CHU de Nantes pratique l’hypnose pour traiter aussi la douleur aigue ou chronique et même pour les patients en fin de vie.
5. LES PROTHESES MAMMAIRES (quels risques?)
Elles sont utilisés pour des raisons d’esthétisme ou reconstructrice notamment après un cancer du sein avec ablation, beaucoup de questions se posent concernant ces prothèses mammaires.
Qui les fabrique ? Que contiennent-elles? Comment est contrôlé le processus de production?
Un peu d’anatomie : le sein est composé d’une glande mammaire lui-même composé d’un tissu de soutien, et d’un tissu graisseux enveloppe le tout, et 80% environ de graisse constitue le volume du sein. Le tout repose sur un muscle « le pectoral », au milieu du sein on trouve l’aréole de couleurs et tailles différentes, autour de l’aréole peut se trouver des follicules pileux, quelques glandes sudoripares, l’aréole est centré par le mamelon qui lui est l’orifice d’où sort le lait maternel.
Les prothèses mammaires sont soit remplies avec du sérum physiologique ou du silicone, normalement biocompatible avec une fuite éventuelle mais peuvent néanmoins conduire à une inflammation et imposer une substitution rapide de la prothèse. Les plus chers ne sont pas toujours les meilleurs. Il faut les choisir selon l’anatomie de la patiente. On peut la mettre sous le muscle ou sous la peau. Il faut un suivi strict (long dans le temps).
La durabilité des prothèses en silicone est de 10 ans ensuite elle se rompre, elle ne sont pas à vie tandis que les prothèses sérum physiologique donne de très bon résultats si elle est placé sous le muscle,si on a une bonne qualité de peau, elles peuvent se garder à vie, pas de danger si elle se rompre.
La fabrication : exemple : les laboratoires sebbins (eise française)
Le directeur général Diederik Van Goor déclare : la qualité et sécurité de produit est au cœur de notre entreprise et c’est pour nous très important, on a donc mis en place des prothèses et on vérifie chaque produit à chaque étape de la production;
Le choix des matières premières : une enveloppe de bonne qualité et un gel silicone médical, on mélange les deux et on passe au « trempage », ensuite le démoulage, ensuite une batterie de tests. L’AFSAS fait aussi des contrôles, ensuite elles seront exportées dans différents pays.
La graisse du ventre prise pour mettre au sein pourrait donner le cancer.
La douleur : la pose rétro pectorale, sous le muscle, est douloureux.
Autour de la prothèse, une coque se forme.
Si une patiente porte une prothèse PIP, l’opération n’est pas prise en charge pour la retirer car la société n’existe plus.
Rien n’est prouvé que les prothèses PIP donnent le cancer du sein.
Les prothèses, aujourd’hui à part bien sûr les PIP, sont plus sûres qu’avant !
Une mammographie est conseillée tous les ans, pour dépister un cancer ! La sensibilité du sein n’est plus.
Divers :
Le mal de dos : la colonne est constitué de 33 vertèbres empilées les unes sur les autres, entre ces vertèbres il y a un disque vertébral limitant les frottements osseux et qui va servir d’amortisseur, et il y a des ligaments qui permettent la stabilité de la colonne.
Aux centre des vertèbres, il y a la moelle épinière, de chaque côté des nerfs .
Avec l’âge les ligaments s’épaississent, les os se calcifient, le disque vertébral va s‘user, et l’arthrose apparaît progressivement.
Et ces différents éléments, peuvent être à l’origine d’un rétrécissement du canal rachidien, provoquant une compression des nerfs, on parle alors de canal lombaire étroit et c’est cette compression qui va donner des douleurs dans le bas du dos, des cuisses et des fourmillements dans les jambes, l’opération est nécessaire quand cela devient invalidant et quand un traitement médicamenteux (infiltration) n’ont pas donné de résultats.
3 régions concernées par la douleur :
- la nuque : travailler des heures devant un ordinateur !
- le thorax : mauvaises postures, douleur au milieu du dos.
- le bas du dos: lumbago suite au port de charges lourdes.
[b]Livres à lire :[/b]
L’armoire des robes oubliées de Riikka Pulkkinen
Alors que sa grand-mère Elsa se meurt d’un cancer foudroyant et que tous ses proches se rassemblent pour adoucir ses derniers jours, Anna découvre que, derrière le mariage apparemment heureux de ses grands-parents, se cache un drame qui a marqué à jamais tous les membres de sa famille. Une vieille robe trouvée par hasard, et dont elle apprend qu’elle aurait appartenu à une certaine Eeva, va réveiller le passé. Cette Eeva, dont on ne lui a jamais parlé, aurait été, dans les années 60, la nourrice de sa mère. Mais Anna ne tarde pas à comprendre qu’elle a été beaucoup plus qu’une employée et que son grand-père, peintre célèbre, l’a profondément aimée… Née en Finlande en 1980, Riikka Pulkkinen étudie la littérature et la philosophie à l'université d'Helsinki. En 2006, elle publie son premier roman, Raja (La Frontière), qui l'impose d'emblée comme un des jeunes écrivains les plus doués de sa génération. Son second roman, L’armoire des robes oubliées, publié en 2010, confirme son talent. Sélectionné pour le plus grand prix littéraire finlandais, le Finlandia Prize, encensé par la critique, L’armoire des robes oubliées, l'une des sensations de la Foire de Francfort 2010, a déjà été vendu dans douze pays.
J’ai réussi à rester en vie de Joyce Carol Oates
Le matin du 11 février 2008, Raymond Smith, le mari de Joyce Carol Oates, s’est réveillé avec un mauvais rhume. Il respire mal et son épouse décide de l’emmener aux urgences où l’on diagnostique une pneumonie sans gravité. Pour plus de sûreté, on le garde en observation. Une semaine plus tard, au moment même où il devait rentrer chez lui, Raymond meurt d’une violente et soudaine infection nosocomiale. Sans avertissement ni préparation d’aucune sorte, Joyce est soudain confrontée à la terrible réalité du veuvage. Au vide. À l’absence sans merci.
J’ai réussi à rester en vie est la chronique du combat d’une femme pour tenter de remonter de ce puits sans fond. De poursuivre une existence amputée du partenariat qui l’a soutenue et définie pendant près d’un demi-siècle. En proie à l’angoisse de la perte, à la désorientation de la survivante cernée par un cauchemar de démarches administratives, et les absurdités pathétiques du commerce du deuil, Oates décrit l’innommable expérience du chagrin, dont elle ne peut s’extraire qu’à grand peine, de temps à autre, en se tournant vers ses amis.
Avec sa lucidité coutumière, parfois sous-tendue d’un humour noir irrésistible (quand, par exemple, elle se lamente sur l’absurdité des luxueux paniers gargantuesques de saucissons et de pop corn au chocolat déposés devant sa porte en manière de condoléances), elle nous offre à travers ce livre, qui ne ressemble à rien de ce qu’elle a écrit jusqu’ici, non seulement une émouvante histoire d’amour, mais aussi le portrait d’une Joyce Carol Smith inconnue et formidablement attachante.
bonne lecture, cristal

Dernière modification par cristal74270 le 05 févr. 2012 15:58, modifié 1 fois.
Présélection (jva) pour 2015.
Concours 2015 en Rhône-Alpes
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Re: Actualités 2012
J'ai juste une petite question, tu es sûr, pour le syndrome de Rokitansky, qu'une femme sur 4500 est concernée ?
Moi j'ai noté 1/450 000Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Moi j'ai noté 1/450 000Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités 2012
j'ai également retenu une incidence de 1/4500, ces chiffres m'avaient interpellé à moi aussi, d'ailleurs c'est pour cette raison que je l'ai retenue.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.jch1992 a écrit :J'ai juste une petite question, tu es sûr, pour le syndrome de Rokitansky, qu'une femme sur 4500 est concernée ?
Moi j'ai noté 1/450 000
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Re: Actualités 2012
je vais vérifier de suite !Sebcbien a écrit :j'ai également retenu une incidence de 1/4500, ces chiffres m'avaient interpellé à moi aussi, d'ailleurs c'est pour cette raison que je l'ai retenue.jch1992 a écrit :J'ai juste une petite question, tu es sûr, pour le syndrome de Rokitansky, qu'une femme sur 4500 est concernée ?
Moi j'ai noté 1/450 000

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Re: Actualités 2012
L’HYPNOSE ET LA CHIRURGIE
1. Se faire opérer sous hypnose
L’hypnose est souvent pratiquée lors des chirurgies dites de surface (ablation de la thyroïde, plastique….)
L’anesthésiste est formé à cette méthode.
Avant l’opération et l’hypnose, l’anesthésiste administre au patient un calmant en comprimé.
L’hypnose se pratique tout au long de la chirurgie, l’anesthésiste utilise un souvenir agréable appartenant au patient, parle très lentement et l’opération se fait sous anesthésie locale.
2. L’hypnose et la chirurgie générale
L’hypnose est une alternative à la chirurgie générale, si c’est bien sur possible.
Le patient ne passe pas par la salle de réveil, après l’opération le patient se sent très bien.
Les patients n’ont pas la notion du temps quand ils sont sous hypnoses, et une opération par exemple pour une ablation de la thyroïde dure en moyenne 2 heures, le patient pensera qu’il y resté 25 minutes selon les dires d’une patiente, et les patients sortent le jour même de l’hôpital.
Le Dr Sylvie Vrignaud Anesthésiste Hypnothérapeute CHU de Nantes, utilise l’hypnose avec de la musique, cette méthode représente ¼ de son activité
3. La préparation du bloc opératoire
Il faut un calme absolue, pas de bipeur, téléphone et les machines ne bipent pas!
Ex: un patient se fait hypnotiser pour une ablation de la glande parathyroïde, il est anxieux ! Le chirurgien sait que l’anesthésiste va le détendre. C’est l’anesthésiste qui conduit l’opération.
Le patient est sorti de son état hypnotique de ce fait l’anesthésiste lui administre de l’analgésique afin qu’il reparte dans son hypnose et c’est chose faite.
Finalement, après l’opération, le patient est détendu, pas de douleur, il ressent juste comme il dit : « des petits pics ».
4. HYPNOSE ET CHIRURGIE / ses limites
Si le patient souffre lors de l’opération, il peut sortir de l’hypnose, alors l’anesthésiste l’aide avec un somnifère mais même en utilisant un hypnotique, les bien faits de l’hypnose demeure. Il n’y a pas d’échec avec l’hypnose, c’est seulement se sentir autrement pendant un moment !
Une anesthésiste du CHU de Nantes, pratique l’ hypnose au service gastroentérologie (exemple : la patiente doit subir des coloscopies régulièrement car elle a des antécédents familiaux du cancer du colon, d’habitude sous anesthésie générale, mais ayant une réelle phobie, elle choisit l’hypnose, tout se déroulait bien malheureusement il y eut une complication, la patiente ressent la douleur, et risque de sortir de l’hypnose, une assistante est intervenue en faisant un appui sur son ventre et l’anesthésiste lui injecte un hypnotique, tout reprend normalement).
Il n’est pas évident de pratiquer une coloscopie sous hypnose, à cause des passages étroits du colon.
L’équipe du CHU de Nantes pratique l’hypnose pour traiter aussi la douleur aigue ou chronique et même pour les patients en fin de vie (exemple d’une patiente d’environ 50 ans, atteinte d’un cancer, une infirmière anesthésiste l’a hypnotiser pour qu’elle se détende afin de partir dans un état non anxieux, cette patiente est décédée quelques heures plus tard)
b]L’HYPNOSE ET LA CHIRURGIE [/b]
1. Se faire opérer sous hypnose
L’hypnose est souvent pratiquée lors des chirurgies dites de surface (ablation de la thyroïde, plastique….)
L’anesthésiste est formé à cette méthode.
Avant l’opération et l’hypnose, l’anesthésiste administre au patient un calmant en comprimé.
L’hypnose se pratique tout au long de la chirurgie, l’anesthésiste utilise un souvenir agréable appartenant au patient, parle très lentement et l’opération se fait sous anesthésie locale.
2. L’hypnose et la chirurgie générale
L’hypnose est une alternative à la chirurgie générale, si c’est bien sur possible.
Le patient ne passe pas par la salle de réveil, après l’opération le patient se sent très bien.
Les patients n’ont pas la notion du temps quand ils sont sous hypnoses, et une opération par exemple pour une ablation de la thyroïde dure en moyenne 2 heures, le patient pensera qu’il y resté 25 minutes selon les dires d’une patiente, et les patients sortent le jour même de l’hôpital.
Le Dr Sylvie Vrignaud Anesthésiste Hypnothérapeute CHU de Nantes, utilise l’hypnose avec de la musique, cette méthode représente ¼ de son activité
3. La préparation du bloc opératoire
Il faut un calme absolue, pas de bipeur, téléphone et les machines ne bipent pas!
Ex: un patient se fait hypnotiser pour une ablation de la glande parathyroïde, il est anxieux ! Le chirurgien sait que l’anesthésiste va le détendre. C’est l’anesthésiste qui conduit l’opération.
Le patient est sorti de son état hypnotique de ce fait l’anesthésiste lui administre de l’analgésique afin qu’il reparte dans son hypnose et c’est chose faite.
Finalement, après l’opération, le patient est détendu, pas de douleur, il ressent juste comme il dit : « des petits pics ».
4. HYPNOSE ET CHIRURGIE / ses limites
Si le patient souffre lors de l’opération, il peut sortir de l’hypnose, alors l’anesthésiste l’aide avec un somnifère mais même en utilisant un hypnotique, les bien faits de l’hypnose demeure. Il n’y a pas d’échec avec l’hypnose, c’est seulement se sentir autrement pendant un moment !
Une anesthésiste du CHU de Nantes, pratique l’ hypnose au service gastroentérologie (exemple : la patiente doit subir des coloscopies régulièrement car elle a des antécédents familiaux du cancer du colon, d’habitude sous anesthésie générale, mais ayant une réelle phobie, elle choisit l’hypnose, tout se déroulait bien malheureusement il y eut une complication, la patiente ressent la douleur, et risque de sortir de l’hypnose, une assistante est intervenue en faisant un appui sur son ventre et l’anesthésiste lui injecte un hypnotique, tout reprend normalement).
Il n’est pas évident de pratiquer une coloscopie sous hypnose, à cause des passages étroits du colon.
L’équipe du CHU de Nantes pratique l’hypnose pour traiter aussi la douleur aigue ou chronique et même pour les patients en fin de vie (exemple d’une patiente d’environ 50 ans, atteinte d’un cancer, une infirmière anesthésiste l’a hypnotiser pour qu’elle se détende afin de partir dans un état non anxieux, cette patiente est décédée quelques heures plus tard)
5. HOPITAL NECKER DE PARIS
Cette hôpital pour enfant utilise également ce procédé pour traiter la douleur, et détourner l'attention de l'enfant sachant que les enfants sont plus réceptifs que les adultes.
exemple : Quand nous racontons une histoire à un enfant, nus faisons de l'hypnose conversationnelle selon les dires des spécialistes.
Une infirmière anesthésiste pratique cette hypnose avec une petite fille, dans cet exemple, l'infirmière et l'enfant sont 2 princesses, cette évocation à caractère hypnotique permet à l'enfant d'être dans son imaginaire et de se déconnecter de l réalité, la petite oublie son appréhension d'aller au bloc opératoire et tous les médecins se prêtent au jeu.
Cela permet également à l'enfant d'être apaiser avant une anesthésie générale.
Les bénéfices de cette hypnose se font ressentir aussi au réveil, l'enfant est calme.
l'autohypnose chez l'enfant, sert aussi à effacer l'appréhension à des soins (piqûres) quotidiens et atténue la douleur : l'enfant choisit la zone où il veut être piqué et grâce à cette pratique la zone est insensible et l'enfant ne sent pas la douleur.
bien à vous Cristal
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
1. Se faire opérer sous hypnose
L’hypnose est souvent pratiquée lors des chirurgies dites de surface (ablation de la thyroïde, plastique….)
L’anesthésiste est formé à cette méthode.
Avant l’opération et l’hypnose, l’anesthésiste administre au patient un calmant en comprimé.
L’hypnose se pratique tout au long de la chirurgie, l’anesthésiste utilise un souvenir agréable appartenant au patient, parle très lentement et l’opération se fait sous anesthésie locale.
2. L’hypnose et la chirurgie générale
L’hypnose est une alternative à la chirurgie générale, si c’est bien sur possible.
Le patient ne passe pas par la salle de réveil, après l’opération le patient se sent très bien.
Les patients n’ont pas la notion du temps quand ils sont sous hypnoses, et une opération par exemple pour une ablation de la thyroïde dure en moyenne 2 heures, le patient pensera qu’il y resté 25 minutes selon les dires d’une patiente, et les patients sortent le jour même de l’hôpital.
Le Dr Sylvie Vrignaud Anesthésiste Hypnothérapeute CHU de Nantes, utilise l’hypnose avec de la musique, cette méthode représente ¼ de son activité
3. La préparation du bloc opératoire
Il faut un calme absolue, pas de bipeur, téléphone et les machines ne bipent pas!
Ex: un patient se fait hypnotiser pour une ablation de la glande parathyroïde, il est anxieux ! Le chirurgien sait que l’anesthésiste va le détendre. C’est l’anesthésiste qui conduit l’opération.
Le patient est sorti de son état hypnotique de ce fait l’anesthésiste lui administre de l’analgésique afin qu’il reparte dans son hypnose et c’est chose faite.
Finalement, après l’opération, le patient est détendu, pas de douleur, il ressent juste comme il dit : « des petits pics ».
4. HYPNOSE ET CHIRURGIE / ses limites
Si le patient souffre lors de l’opération, il peut sortir de l’hypnose, alors l’anesthésiste l’aide avec un somnifère mais même en utilisant un hypnotique, les bien faits de l’hypnose demeure. Il n’y a pas d’échec avec l’hypnose, c’est seulement se sentir autrement pendant un moment !
Une anesthésiste du CHU de Nantes, pratique l’ hypnose au service gastroentérologie (exemple : la patiente doit subir des coloscopies régulièrement car elle a des antécédents familiaux du cancer du colon, d’habitude sous anesthésie générale, mais ayant une réelle phobie, elle choisit l’hypnose, tout se déroulait bien malheureusement il y eut une complication, la patiente ressent la douleur, et risque de sortir de l’hypnose, une assistante est intervenue en faisant un appui sur son ventre et l’anesthésiste lui injecte un hypnotique, tout reprend normalement).
Il n’est pas évident de pratiquer une coloscopie sous hypnose, à cause des passages étroits du colon.
L’équipe du CHU de Nantes pratique l’hypnose pour traiter aussi la douleur aigue ou chronique et même pour les patients en fin de vie (exemple d’une patiente d’environ 50 ans, atteinte d’un cancer, une infirmière anesthésiste l’a hypnotiser pour qu’elle se détende afin de partir dans un état non anxieux, cette patiente est décédée quelques heures plus tard)
b]L’HYPNOSE ET LA CHIRURGIE [/b]
1. Se faire opérer sous hypnose
L’hypnose est souvent pratiquée lors des chirurgies dites de surface (ablation de la thyroïde, plastique….)
L’anesthésiste est formé à cette méthode.
Avant l’opération et l’hypnose, l’anesthésiste administre au patient un calmant en comprimé.
L’hypnose se pratique tout au long de la chirurgie, l’anesthésiste utilise un souvenir agréable appartenant au patient, parle très lentement et l’opération se fait sous anesthésie locale.
2. L’hypnose et la chirurgie générale
L’hypnose est une alternative à la chirurgie générale, si c’est bien sur possible.
Le patient ne passe pas par la salle de réveil, après l’opération le patient se sent très bien.
Les patients n’ont pas la notion du temps quand ils sont sous hypnoses, et une opération par exemple pour une ablation de la thyroïde dure en moyenne 2 heures, le patient pensera qu’il y resté 25 minutes selon les dires d’une patiente, et les patients sortent le jour même de l’hôpital.
Le Dr Sylvie Vrignaud Anesthésiste Hypnothérapeute CHU de Nantes, utilise l’hypnose avec de la musique, cette méthode représente ¼ de son activité
3. La préparation du bloc opératoire
Il faut un calme absolue, pas de bipeur, téléphone et les machines ne bipent pas!
Ex: un patient se fait hypnotiser pour une ablation de la glande parathyroïde, il est anxieux ! Le chirurgien sait que l’anesthésiste va le détendre. C’est l’anesthésiste qui conduit l’opération.
Le patient est sorti de son état hypnotique de ce fait l’anesthésiste lui administre de l’analgésique afin qu’il reparte dans son hypnose et c’est chose faite.
Finalement, après l’opération, le patient est détendu, pas de douleur, il ressent juste comme il dit : « des petits pics ».
4. HYPNOSE ET CHIRURGIE / ses limites
Si le patient souffre lors de l’opération, il peut sortir de l’hypnose, alors l’anesthésiste l’aide avec un somnifère mais même en utilisant un hypnotique, les bien faits de l’hypnose demeure. Il n’y a pas d’échec avec l’hypnose, c’est seulement se sentir autrement pendant un moment !
Une anesthésiste du CHU de Nantes, pratique l’ hypnose au service gastroentérologie (exemple : la patiente doit subir des coloscopies régulièrement car elle a des antécédents familiaux du cancer du colon, d’habitude sous anesthésie générale, mais ayant une réelle phobie, elle choisit l’hypnose, tout se déroulait bien malheureusement il y eut une complication, la patiente ressent la douleur, et risque de sortir de l’hypnose, une assistante est intervenue en faisant un appui sur son ventre et l’anesthésiste lui injecte un hypnotique, tout reprend normalement).
Il n’est pas évident de pratiquer une coloscopie sous hypnose, à cause des passages étroits du colon.
L’équipe du CHU de Nantes pratique l’hypnose pour traiter aussi la douleur aigue ou chronique et même pour les patients en fin de vie (exemple d’une patiente d’environ 50 ans, atteinte d’un cancer, une infirmière anesthésiste l’a hypnotiser pour qu’elle se détende afin de partir dans un état non anxieux, cette patiente est décédée quelques heures plus tard)
5. HOPITAL NECKER DE PARIS
Cette hôpital pour enfant utilise également ce procédé pour traiter la douleur, et détourner l'attention de l'enfant sachant que les enfants sont plus réceptifs que les adultes.
exemple : Quand nous racontons une histoire à un enfant, nus faisons de l'hypnose conversationnelle selon les dires des spécialistes.
Une infirmière anesthésiste pratique cette hypnose avec une petite fille, dans cet exemple, l'infirmière et l'enfant sont 2 princesses, cette évocation à caractère hypnotique permet à l'enfant d'être dans son imaginaire et de se déconnecter de l réalité, la petite oublie son appréhension d'aller au bloc opératoire et tous les médecins se prêtent au jeu.
Cela permet également à l'enfant d'être apaiser avant une anesthésie générale.
Les bénéfices de cette hypnose se font ressentir aussi au réveil, l'enfant est calme.
l'autohypnose chez l'enfant, sert aussi à effacer l'appréhension à des soins (piqûres) quotidiens et atténue la douleur : l'enfant choisit la zone où il veut être piqué et grâce à cette pratique la zone est insensible et l'enfant ne sent pas la douleur.
bien à vous Cristal

Dernière modification par cristal74270 le 05 févr. 2012 15:05, modifié 1 fois.
Présélection (jva) pour 2015.
Concours 2015 en Rhône-Alpes
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Re: Actualités 2012
hello, j'ai donc vérifier en réécoutant le magazine de la santé concernant cette maladie, et le présentateur dit bien 1/4500 sont nées sans vagin etc....cristal74270 a écrit :je vais vérifier de suite !Sebcbien a écrit :j'ai également retenu une incidence de 1/4500, ces chiffres m'avaient interpellé à moi aussi, d'ailleurs c'est pour cette raison que je l'ai retenue.jch1992 a écrit :J'ai juste une petite question, tu es sûr, pour le syndrome de Rokitansky, qu'une femme sur 4500 est concernée ?
Moi j'ai noté 1/450 000
par contre il n'y a pas le chiffre 2 après MRKH , bien à vous cristal

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Re: Actualités 2012
Merci pour ces résumés!!
Alerte aux particules fines lundi : Comment réagir ?
Une alerte aux particules fines a été émise, qui vise la journée de lundi en Ile-de-France. La préfecture de police de Paris recommande aux Franciliens de baisser leur chauffage et de réduire la vitesse sur route.
D'où viennent les particules fines?
Elles sont pour beaucoup d'entre elles liées à une combustion. Celle des chaudières anciennes à bois, celle aussi des moteurs automobiles ou de l'industrie. À la clé, des particules de suie, de cendres, mais aussi de métaux lourds et autres produits chimiques... Et c'est en hiver, lorsque la « colonne d'air » est la plus stable, c'est-à-dire dans des périodes où il y a peu d'intempéries et de mouvement d'air, qu'elles se font le plus ressentir. La Belgique, les régions Midi-Pyrénées, la Haute-Normandie, la Touraine, ont déjà connu des alertes cet hiver.
Quels sont leurs effets?
Le propre de ces particules fines, d'un diamètre inférieur à 10 microns, c'est justement d'être fines. Et plus elles le sont, plus elles sont potentiellement dangereuses. Les PM (2,5), d'un diamètre inférieur à 2,5 microns, par exemple, peuvent entrer jusqu'aux alvéoles pulmonaires, et à terme causer des mutations, voire des cancers. Les scientifiques estiment ainsi que chaque année, 42.000 décès prématurés seraient dus à ces particules. C'est la raison pour laquelle, le « Grenelle de l'environnement » avait prévu de réduire ces émissions de 30%.
Que faire en cas d'alerte?
Il est recommandé aux personnes sensibles aux polluants atmosphériques (enfants, personnes âgées, asthmatiques et insuffisants respiratoires) de « privilégier les activités calmes » et « d'éviter toute activité physique et sportive intense ».
Comment agir pour revenir à la normale?
Une fois le seuil atteint, ce qui devrait arriver lundi soir, la situation devrait durer au moins 24 heures. La préfecture de police de Paris recommande, afin de faire revenir les chiffres dans le « vert », de :
- Baisser le chauffage domestique à 18 degrés, et d'éviter les feux de cheminées.
- Limiter la vitesse à 60 km/h sur le périphérique parisien, à 110 km/h au lieu de 130 km/h, à 90 km/h pour les portions à 110 et à 70 km/h pour les axes normalement limités à 90 km/h.
- Différer si possible les déplacements, ou de privilégier les transports en commun ou les transports propres : marche, vélo et véhicules peu polluant.
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Alerte aux particules fines lundi : Comment réagir ?
Une alerte aux particules fines a été émise, qui vise la journée de lundi en Ile-de-France. La préfecture de police de Paris recommande aux Franciliens de baisser leur chauffage et de réduire la vitesse sur route.
D'où viennent les particules fines?
Elles sont pour beaucoup d'entre elles liées à une combustion. Celle des chaudières anciennes à bois, celle aussi des moteurs automobiles ou de l'industrie. À la clé, des particules de suie, de cendres, mais aussi de métaux lourds et autres produits chimiques... Et c'est en hiver, lorsque la « colonne d'air » est la plus stable, c'est-à-dire dans des périodes où il y a peu d'intempéries et de mouvement d'air, qu'elles se font le plus ressentir. La Belgique, les régions Midi-Pyrénées, la Haute-Normandie, la Touraine, ont déjà connu des alertes cet hiver.
Quels sont leurs effets?
Le propre de ces particules fines, d'un diamètre inférieur à 10 microns, c'est justement d'être fines. Et plus elles le sont, plus elles sont potentiellement dangereuses. Les PM (2,5), d'un diamètre inférieur à 2,5 microns, par exemple, peuvent entrer jusqu'aux alvéoles pulmonaires, et à terme causer des mutations, voire des cancers. Les scientifiques estiment ainsi que chaque année, 42.000 décès prématurés seraient dus à ces particules. C'est la raison pour laquelle, le « Grenelle de l'environnement » avait prévu de réduire ces émissions de 30%.
Que faire en cas d'alerte?
Il est recommandé aux personnes sensibles aux polluants atmosphériques (enfants, personnes âgées, asthmatiques et insuffisants respiratoires) de « privilégier les activités calmes » et « d'éviter toute activité physique et sportive intense ».
Comment agir pour revenir à la normale?
Une fois le seuil atteint, ce qui devrait arriver lundi soir, la situation devrait durer au moins 24 heures. La préfecture de police de Paris recommande, afin de faire revenir les chiffres dans le « vert », de :
- Baisser le chauffage domestique à 18 degrés, et d'éviter les feux de cheminées.
- Limiter la vitesse à 60 km/h sur le périphérique parisien, à 110 km/h au lieu de 130 km/h, à 90 km/h pour les portions à 110 et à 70 km/h pour les axes normalement limités à 90 km/h.
- Différer si possible les déplacements, ou de privilégier les transports en commun ou les transports propres : marche, vélo et véhicules peu polluant.
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Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités 2012
Les amis, meilleurs remèdes contre les coups durs
Par Cyrille Vanlerberghe - le 03/02/2012
Les enfants supportent mieux les moments difficiles quand ils sont accompagnés par un ami proche.
Les bienfaits de l'amitié sont depuis longtemps loués par les poètes et les écrivains. Cette fois, ce sont des scientifiques qui viennent de prouver que la présence d'amis avait des effets psychologiques et même physiologiques clairement mesurables.
D'après une étude menée à Montréal par des chercheurs de l'université Concordia (Canada) avec des collègues américains des universités de Cincinnati et d'Omaha, les enfants supportent bien mieux les moments difficiles quand ils sont accompagnés par un ami proche.
«La présence d'un bon copain exerce un effet psychologique et physiologique immédiat sur l'enfant vivant une situation désagréable», remarque William Bukowski, coauteur de l'étude parue dans la revue américaine Developmental Psychology et professeur à l'Université Concordia. «Nous avons constaté une hausse notable du taux de cortisol de même qu'une baisse de l'estime de soi chez l'enfant qui assume seul une dispute avec un camarade de classe ou une réprimande de son professeur.»
Les scientifiques ont travaillé avec une centaine d'écoliers (55 garçons et 48 filles) âgés de 10 à 11 ans dans une école de Montréal. On leur a demandé de raconter plusieurs fois par jour les expériences qu'ils avaient eues vingt minutes auparavant, et de dire comment ils se sentaient, le tout pendant quatre jours. On leur a aussi fait des prélèvements de salive pour mesurer les niveaux de cortisol, une hormone fabriquée en réponse au stress.
Les amis plus que la familleDe manière générale, quand l'enfant était accompagné d'un bon ami lors d'une expérience négative, il secrétait moins de cortisol et sa confiance en lui était moins affectée. C'est la première fois que les bénéfices immédiats de l'amitié pour l'enfant sont aussi clairement établis, même si des études précédentes avaient déjà montré que les amis aidaient les enfants lors des processus d'adaptation. Ces conclusions sont importantes, car «la sécrétion excessive de cortisol peut entraîner d'importantes modifications physiologiques comme l'immunosuppression et le ralentissement de la formation osseuse», explique William Bukowski. «Un niveau de stress élevé peut même ralentir le développement de l'enfant.»
Au-delà de l'enfance, l'importance du soutien émotionnel en cas de grave maladie est déjà prise en compte par de nombreux médecins. Mais on se focalise souvent à tort sur la famille rapprochée, alors que plusieurs études montrent plutôt que les bénéfices proviennent principalement des amis proches.
En 2004, une étude australienne menée pendant 10 ans et publiée dans le British Medical Journal avait ainsi prouvé que les personnes âgées avec de nombreux amis avaient un risque de décès abaissé de 22 % par rapport à ceux qui n'avaient pas d'amis. Le nombre et la proximité des membres de la famille n'avait en revanche aucune incidence notable.
L'importance des réseaux sociaux et de l'amitié a aussi des côtés négatifs, car le risque d'obésité augmente de 60 % chez les gens dont les amis ont eux-mêmes pris du poids, d'après des travaux publiés en 2007 dans le New England Journal of Medicine.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Par Cyrille Vanlerberghe - le 03/02/2012
Les enfants supportent mieux les moments difficiles quand ils sont accompagnés par un ami proche.
Les bienfaits de l'amitié sont depuis longtemps loués par les poètes et les écrivains. Cette fois, ce sont des scientifiques qui viennent de prouver que la présence d'amis avait des effets psychologiques et même physiologiques clairement mesurables.
D'après une étude menée à Montréal par des chercheurs de l'université Concordia (Canada) avec des collègues américains des universités de Cincinnati et d'Omaha, les enfants supportent bien mieux les moments difficiles quand ils sont accompagnés par un ami proche.
«La présence d'un bon copain exerce un effet psychologique et physiologique immédiat sur l'enfant vivant une situation désagréable», remarque William Bukowski, coauteur de l'étude parue dans la revue américaine Developmental Psychology et professeur à l'Université Concordia. «Nous avons constaté une hausse notable du taux de cortisol de même qu'une baisse de l'estime de soi chez l'enfant qui assume seul une dispute avec un camarade de classe ou une réprimande de son professeur.»
Les scientifiques ont travaillé avec une centaine d'écoliers (55 garçons et 48 filles) âgés de 10 à 11 ans dans une école de Montréal. On leur a demandé de raconter plusieurs fois par jour les expériences qu'ils avaient eues vingt minutes auparavant, et de dire comment ils se sentaient, le tout pendant quatre jours. On leur a aussi fait des prélèvements de salive pour mesurer les niveaux de cortisol, une hormone fabriquée en réponse au stress.
Les amis plus que la familleDe manière générale, quand l'enfant était accompagné d'un bon ami lors d'une expérience négative, il secrétait moins de cortisol et sa confiance en lui était moins affectée. C'est la première fois que les bénéfices immédiats de l'amitié pour l'enfant sont aussi clairement établis, même si des études précédentes avaient déjà montré que les amis aidaient les enfants lors des processus d'adaptation. Ces conclusions sont importantes, car «la sécrétion excessive de cortisol peut entraîner d'importantes modifications physiologiques comme l'immunosuppression et le ralentissement de la formation osseuse», explique William Bukowski. «Un niveau de stress élevé peut même ralentir le développement de l'enfant.»
Au-delà de l'enfance, l'importance du soutien émotionnel en cas de grave maladie est déjà prise en compte par de nombreux médecins. Mais on se focalise souvent à tort sur la famille rapprochée, alors que plusieurs études montrent plutôt que les bénéfices proviennent principalement des amis proches.
En 2004, une étude australienne menée pendant 10 ans et publiée dans le British Medical Journal avait ainsi prouvé que les personnes âgées avec de nombreux amis avaient un risque de décès abaissé de 22 % par rapport à ceux qui n'avaient pas d'amis. Le nombre et la proximité des membres de la famille n'avait en revanche aucune incidence notable.
L'importance des réseaux sociaux et de l'amitié a aussi des côtés négatifs, car le risque d'obésité augmente de 60 % chez les gens dont les amis ont eux-mêmes pris du poids, d'après des travaux publiés en 2007 dans le New England Journal of Medicine.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
La dépression influencée par le niveau d'étude des parents
Par Jean-Luc Nothias - le 03/02/2012
Parvenus à l'âge adulte, les enfants issus de familles où le niveau d'études est élevé sont moins susceptibles de souffrir de désordres mentaux.
Les dépressions sont bien connues pour être complexes, souvent multifactorielles, aussi bien dans leur origine, leur déroulement et leur traitement. Un nouvel élément vient de s'ajouter à la liste déjà longue des phénomènes pouvant les favoriser: la santé mentale à l'âge adulte serait influencée par le niveau d'études... des parents (publié dans Social Science & Medicine).
Amélie Quesnel-Vallée, médecin et sociologue à l'université McGill de Montréal (Canada) et Mikes Taylor, sociologue à l'université d'État de Floride (États-Unis) ont passé au crible les données recueillies lors d'une vaste étude étude américaine, la National Longitudinal Survey orf Youth 1979. Celle-ci s'est intéressée à 12.686 hommes et femmes qui avaient entre 14 et 22 ans au moment de leur entrée dans l'étude en 1979. Ils ont eu un entretien annuel jusqu'en 1994, puis des rencontres biennales par la suite.
Les chercheurs se sont intéressés à quatre critères: le niveau d'étude des parents, celui des enfants, les revenus familiaux et les symptômes dépressifs. Résultat, plus le niveau d'éducation parental est élevé, moins leurs enfants à l'âge adulte risquent de souffrir de pathologies mentales. «Cependant, nous avons aussi trouvé que ce résultat pourrait aussi être dû au fait que les parents avec un niveau élevé d'études tendaient à avoir des enfants eux aussi avec un bon niveau d'études, donc avec des métiers bien rémunérés», modère Amélie Quesnel-Vallée. D'où l'importance, estime-t-elle, de favoriser, pour toutes les couches de la population, l'accès à l'éducation.
En France, la dépression toucherait aujourd'hui plus de 3 millions de personnes de 15 à 75 ans. Près de 8 millions de Français ont vécu ou vivront une dépression au cours de leur vie, selon la grande étude Anadep telle que finalisée en 2009.
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Par Jean-Luc Nothias - le 03/02/2012
Parvenus à l'âge adulte, les enfants issus de familles où le niveau d'études est élevé sont moins susceptibles de souffrir de désordres mentaux.
Les dépressions sont bien connues pour être complexes, souvent multifactorielles, aussi bien dans leur origine, leur déroulement et leur traitement. Un nouvel élément vient de s'ajouter à la liste déjà longue des phénomènes pouvant les favoriser: la santé mentale à l'âge adulte serait influencée par le niveau d'études... des parents (publié dans Social Science & Medicine).
Amélie Quesnel-Vallée, médecin et sociologue à l'université McGill de Montréal (Canada) et Mikes Taylor, sociologue à l'université d'État de Floride (États-Unis) ont passé au crible les données recueillies lors d'une vaste étude étude américaine, la National Longitudinal Survey orf Youth 1979. Celle-ci s'est intéressée à 12.686 hommes et femmes qui avaient entre 14 et 22 ans au moment de leur entrée dans l'étude en 1979. Ils ont eu un entretien annuel jusqu'en 1994, puis des rencontres biennales par la suite.
Les chercheurs se sont intéressés à quatre critères: le niveau d'étude des parents, celui des enfants, les revenus familiaux et les symptômes dépressifs. Résultat, plus le niveau d'éducation parental est élevé, moins leurs enfants à l'âge adulte risquent de souffrir de pathologies mentales. «Cependant, nous avons aussi trouvé que ce résultat pourrait aussi être dû au fait que les parents avec un niveau élevé d'études tendaient à avoir des enfants eux aussi avec un bon niveau d'études, donc avec des métiers bien rémunérés», modère Amélie Quesnel-Vallée. D'où l'importance, estime-t-elle, de favoriser, pour toutes les couches de la population, l'accès à l'éducation.
En France, la dépression toucherait aujourd'hui plus de 3 millions de personnes de 15 à 75 ans. Près de 8 millions de Français ont vécu ou vivront une dépression au cours de leur vie, selon la grande étude Anadep telle que finalisée en 2009.
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Re: Actualités 2012
La mortalité du paludisme sous-évaluée
La maladie causerait deux fois plus de décès que ce qu’estime l’Organisation mondiale de la Santé révèle une nouvelle étude qui suscite la controverse.
Le paludisme aurait causé plus de 1,2 million de décès en 2010 au lieu des 655 millions estimés par l’OMS, affirment des chercheurs de l’Institut de métrologie sanitaire et d'évaluation, de l'Université de Washington (USA), dans la revue médicale The Lancet. Une étude qui assombrit quelque peu les bonnes nouvelles communiquées ces derniers mois sur le front de la lutte contre cette maladie. L’Organisation Mondiale de la Santé déclarant notamment que les efforts entrepris ces dix dernières années avaient permis de sauver un million de vies.
Mais si l’estimation du nombre de décès a fortement augmenté dans cette étude, les grandes tendances annoncées par l’OMS et les ONG sont confirmées : la mortalité du paludisme est bien en baisse, particulièrement en Afrique, suite à l’intensification des efforts de lutte contre les moustiques vecteurs du parasite et à un meilleur accès aux soins.
Ces nouveaux chiffres découlent d’une compilation des données récoltées entre 1980 et 2010, et de modèles prédictifs intégrant la prévalence du Plasmodium falciparum (le plus dangereux des parasites), les résistances médicamenteuses et les mesures antivectorielles. Les chercheurs ont également interrogé l’entourage de défunts afin de réaliser un diagnostic a posteriori.
Les résultats indiquent que les décès dus au paludisme ont augmenté de 995.000 en 1980 jusqu'à un pic de 1.817.000 en 2004 pour ensuite diminuer à 1.238.000 en 2010. En Afrique, le nombre des décès atteignait 493.000 en 1980, 1.613.000 en 2004 et 1.133.000 en 2010. Ils permettent aussi de relever un fait nouveau : 42% des morts sont des personnes âgées de 15 ans et plus. Un pourcentage bien plus élevé que prévu.
Cette étude, financée par La Fondation Bill & Melinda Gates, et les chiffres annoncés sont désapprouvés par l’OMS qui maintient son estimation et pointe un problème de sur-diagnostic lié aux méthodes utilisées. Le débat est loin d’être tranché, retenons déjà l’efficacité des mesures déployées depuis 2004 en soulignant que ces progrès, pour qu’ils perdurent, nécessitent un maintien des moyens opérationnels et donc de l’argent frais.
Sciences et Avenir.fr
03/02/2012Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La maladie causerait deux fois plus de décès que ce qu’estime l’Organisation mondiale de la Santé révèle une nouvelle étude qui suscite la controverse.
Le paludisme aurait causé plus de 1,2 million de décès en 2010 au lieu des 655 millions estimés par l’OMS, affirment des chercheurs de l’Institut de métrologie sanitaire et d'évaluation, de l'Université de Washington (USA), dans la revue médicale The Lancet. Une étude qui assombrit quelque peu les bonnes nouvelles communiquées ces derniers mois sur le front de la lutte contre cette maladie. L’Organisation Mondiale de la Santé déclarant notamment que les efforts entrepris ces dix dernières années avaient permis de sauver un million de vies.
Mais si l’estimation du nombre de décès a fortement augmenté dans cette étude, les grandes tendances annoncées par l’OMS et les ONG sont confirmées : la mortalité du paludisme est bien en baisse, particulièrement en Afrique, suite à l’intensification des efforts de lutte contre les moustiques vecteurs du parasite et à un meilleur accès aux soins.
Ces nouveaux chiffres découlent d’une compilation des données récoltées entre 1980 et 2010, et de modèles prédictifs intégrant la prévalence du Plasmodium falciparum (le plus dangereux des parasites), les résistances médicamenteuses et les mesures antivectorielles. Les chercheurs ont également interrogé l’entourage de défunts afin de réaliser un diagnostic a posteriori.
Les résultats indiquent que les décès dus au paludisme ont augmenté de 995.000 en 1980 jusqu'à un pic de 1.817.000 en 2004 pour ensuite diminuer à 1.238.000 en 2010. En Afrique, le nombre des décès atteignait 493.000 en 1980, 1.613.000 en 2004 et 1.133.000 en 2010. Ils permettent aussi de relever un fait nouveau : 42% des morts sont des personnes âgées de 15 ans et plus. Un pourcentage bien plus élevé que prévu.
Cette étude, financée par La Fondation Bill & Melinda Gates, et les chiffres annoncés sont désapprouvés par l’OMS qui maintient son estimation et pointe un problème de sur-diagnostic lié aux méthodes utilisées. Le débat est loin d’être tranché, retenons déjà l’efficacité des mesures déployées depuis 2004 en soulignant que ces progrès, pour qu’ils perdurent, nécessitent un maintien des moyens opérationnels et donc de l’argent frais.
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03/02/2012Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités 2012
Le miel, une solution d'avenir contre les infections bactériennes ?
Alors que les bactéries Streptococcus pyogenes développent des moyens de résister aux antibiotiques, des chercheurs ont découvert une nouvelle arme pour prévenir et traiter les infections qu'elles provoquent : le miel.
Les meilleurs remèdes se trouvent souvent dans la nature. L’aspirine est issue du saule, des anticancéreux puissants proviennent de l’if (Taxol) ou d'une éponge (discodermolide), pour citer les principes actifs les plus célèbres.
À cette longue liste, on pourrait également ajouter le miel de manuka, résultant du labeur des abeilles australiennes et néo-zélandaises auprès des fleurs de manuka (Leptospermum scoparium). Son pouvoir antibiotique a déjà été révélé sur plus de 80 espèces bactériennes, même s’il n’est exploité que par la médecine traditionnelle.
Des chercheurs de l’université de Cardiff ont montré dans la revue Microbiology que ce miel pouvait aussi être utilisé contre la bactérie Streptococcus pyogenes, et détruire des populations capables de s’organiser pour survivre à des antibiotiques.
Les bactéries se font des biofilms
Cette bactérie se retrouve à l’occasion sur notre peau, elle est notamment impliquée dans des infections consécutives à des plaies. En cas de blessure, ces pathogènes s'infiltrent, s’agglomèrent et forment un biofilm qui crée une barrière empêchant l’action des antibiotiques. En parallèle, ces bactéries développent une résistance accrue aux médicaments conventionnels. Dans ces conditions, les plaies ne cicatrisent pas et deviennent chroniques.
Les bactéries Streptococcus pyogenes sont de forme sphérique et elles s'agrègent entre elles pour former des chaînettes. Des estimations chiffrent à 700 millions le nombre d'infections qu'elles causent chaque année, parmi lesquelles environ 200.000 sont mortelles.
Les scientifiques ont donc soumis des populations de Streptococcus pyogenes en culture à ce fameux miel de manuka et en ont relevé différentes observations. D’une part, en présence du nectar sucré, les colonies bactériennes n’arrivent plus à croître. D’autre part, de faibles concentrations de miel suffisent pour empêcher la formation du biofilm protecteur. Enfin, quand il est déjà établi, des quantités plus importantes sont suffisantes pour désagréger et détruire les cellules le composant.
Le miel de manuka, l’antibiotique du futur
En y regardant de plus près, les mécanismes en jeu se précisent. En temps normal, les bactéries utilisent des molécules de leur membrane pour se lier à une protéine présentée par les cellules humaines endommagées, la fibronectine. Une fois bien ancrées, les streptocoques peuvent produire leur film protecteur.
« Nous avons découvert que le miel réduit l’expression de la protéine de surface bactérienne, empêchant ainsi la liaison à la fibronectine humaine, ce qui résulte en un biofilm de piètre qualité » commente Sarah Maddocks, qui a dirigé l’étude. Ce qui facilite la lutte contre l'infection !
Un succès de plus à l’actif du miel de manuka, qui ferait selon les auteurs un très bon traitement contre certaines maladies infectieuses. La résistance aux médicaments étant de plus en plus forte, il faut trouver des solutions alternatives. Celle-ci pourrait bien être efficace, et ne devrait pas compter parmi les plus onéreuses…
Futura scienceÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Alors que les bactéries Streptococcus pyogenes développent des moyens de résister aux antibiotiques, des chercheurs ont découvert une nouvelle arme pour prévenir et traiter les infections qu'elles provoquent : le miel.
Les meilleurs remèdes se trouvent souvent dans la nature. L’aspirine est issue du saule, des anticancéreux puissants proviennent de l’if (Taxol) ou d'une éponge (discodermolide), pour citer les principes actifs les plus célèbres.
À cette longue liste, on pourrait également ajouter le miel de manuka, résultant du labeur des abeilles australiennes et néo-zélandaises auprès des fleurs de manuka (Leptospermum scoparium). Son pouvoir antibiotique a déjà été révélé sur plus de 80 espèces bactériennes, même s’il n’est exploité que par la médecine traditionnelle.
Des chercheurs de l’université de Cardiff ont montré dans la revue Microbiology que ce miel pouvait aussi être utilisé contre la bactérie Streptococcus pyogenes, et détruire des populations capables de s’organiser pour survivre à des antibiotiques.
Les bactéries se font des biofilms
Cette bactérie se retrouve à l’occasion sur notre peau, elle est notamment impliquée dans des infections consécutives à des plaies. En cas de blessure, ces pathogènes s'infiltrent, s’agglomèrent et forment un biofilm qui crée une barrière empêchant l’action des antibiotiques. En parallèle, ces bactéries développent une résistance accrue aux médicaments conventionnels. Dans ces conditions, les plaies ne cicatrisent pas et deviennent chroniques.
Les bactéries Streptococcus pyogenes sont de forme sphérique et elles s'agrègent entre elles pour former des chaînettes. Des estimations chiffrent à 700 millions le nombre d'infections qu'elles causent chaque année, parmi lesquelles environ 200.000 sont mortelles.
Les scientifiques ont donc soumis des populations de Streptococcus pyogenes en culture à ce fameux miel de manuka et en ont relevé différentes observations. D’une part, en présence du nectar sucré, les colonies bactériennes n’arrivent plus à croître. D’autre part, de faibles concentrations de miel suffisent pour empêcher la formation du biofilm protecteur. Enfin, quand il est déjà établi, des quantités plus importantes sont suffisantes pour désagréger et détruire les cellules le composant.
Le miel de manuka, l’antibiotique du futur
En y regardant de plus près, les mécanismes en jeu se précisent. En temps normal, les bactéries utilisent des molécules de leur membrane pour se lier à une protéine présentée par les cellules humaines endommagées, la fibronectine. Une fois bien ancrées, les streptocoques peuvent produire leur film protecteur.
« Nous avons découvert que le miel réduit l’expression de la protéine de surface bactérienne, empêchant ainsi la liaison à la fibronectine humaine, ce qui résulte en un biofilm de piètre qualité » commente Sarah Maddocks, qui a dirigé l’étude. Ce qui facilite la lutte contre l'infection !
Un succès de plus à l’actif du miel de manuka, qui ferait selon les auteurs un très bon traitement contre certaines maladies infectieuses. La résistance aux médicaments étant de plus en plus forte, il faut trouver des solutions alternatives. Celle-ci pourrait bien être efficace, et ne devrait pas compter parmi les plus onéreuses…
Futura scienceÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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