Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
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Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Malheureusement on me le dit souvent, je suis trop exigeant, d'autant plus avec tous les outils dont on dispose actuellement. Entre protocole et bonne pratique pourquoi perdre du temps à réfléchir ? Si le cas s'arrêtait aux calculs de dose, je laisserai volontiers passer, mais ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres. Et en psychiatrie les patients en font les frais ; leur parole est réduite, ils sont étudiés et non plus rencontrés, l'être en devient transparent, inutile, seul le symptôme compte ; et pour celui-là on a les outils à appliquer, la bonne pratique. Les formations se réduisent alors la simple utilisation de l'objet et les soignants ne sont plus que de simples exécutants.
Ma pratique n'est pas parfaite mais elle découle de mes apprentissages et de réflexions cohérentes que je remet en question dès que possible mais sur la base d'explications et pas juste d'un "c''est comme ça".
Merci d'être passé par là Leopold, ça me rassure un peu. Je ne sais pas où l'on va, mais ce qui est sur c'est que quand on prendra de trop ce chemin, j'irais voir ailleurs !
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Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Il y a la bonne pratique et la réalité.brrruno a écrit :Non effectivement, mais 6 au lieu de 5, la TVA est de 20%. Il n'y a pas grand danger non plus, ce n'est qu'une goutte. Mais j’étais surtout curieux de la réaction fasse à la bonne pratique !
(Le loxapac peut avoir un goutte à goutte ?)
En l'occurence, qu'il s'agisse de gouttes ou de pipettes, je ne pense pas que le patient ait toujours la dose exactement prescrite.
Mais peut-être que vous, vous faîtes lécher le fond du gobelet au patient afin qu'il n'en perdre pas une goutte?
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Exigeant de quoi ? de travailler n importe comment ?c est sur que c est plus rapide de prendre a la seringue que de compter les gouttes , en fait tu es le partisan du moindre effort , je plains les pauvres ESI que tu vas former avec la seringue , et qui auront un beau 0 a cause de tes mauvaises pratiques .brrruno a écrit :Malheureusement on me le dit souvent, je suis trop exigeant, d'autant plus avec tous les outils dont on dispose actuellement. Entre protocole et bonne pratique pourquoi perdre du temps à réfléchir ? Si le cas s'arrêtait aux calculs de dose, je laisserai volontiers passer, mais ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres. Et en psychiatrie les patients en font les frais ; leur parole est réduite, ils sont étudiés et non plus rencontrés, l'être en devient transparent, inutile, seul le symptôme compte ; et pour celui-là on a les outils à appliquer, la bonne pratique. Les formations se réduisent alors la simple utilisation de l'objet et les soignants ne sont plus que de simples exécutants.
Ma pratique n'est pas parfaite mais elle découle de mes apprentissages et de réflexions cohérentes que je remet en question dès que possible mais sur la base d'explications et pas juste d'un "c''est comme ça".
Merci d'être passé par là Leopold, ça me rassure un peu. Je ne sais pas où l'on va, mais ce qui est sur c'est que quand on prendra de trop ce chemin, j'irais voir ailleurs !
La ya pas besoin de réfléchir de comment on fait ou pas , c est comme ca et pas autrement ; on compte les gouttes , et on enlève pas le compte goutte pour plonger la seringue dedans .
Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Pertinente remarque, vous avez suivi le fond de la discussion des quelques derniers posts à ce que je vois !augusta a écrit :Il y a la bonne pratique et la réalité.brrruno a écrit :Non effectivement, mais 6 au lieu de 5, la TVA est de 20%. Il n'y a pas grand danger non plus, ce n'est qu'une goutte. Mais j’étais surtout curieux de la réaction fasse à la bonne pratique !
(Le loxapac peut avoir un goutte à goutte ?)
En l'occurence, qu'il s'agisse de gouttes ou de pipettes, je ne pense pas que le patient ait toujours la dose exactement prescrite.
Mais peut-être que vous, vous faîtes lécher le fond du gobelet au patient afin qu'il n'en perdre pas une goutte?
Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Mais pas toutes, et à quel niveau ? Là est la question...brrruno a écrit :Et si ces pratiques sont acceptées c'est peut être juste parce qu'il y a des gens qui sont capable de réfléchir.
Il y a celui qui va être scrupuleux et l'autre qui va envoyer une "giclée" sans se poser de questions.
Donc, dans le doute, on va au plus simple : utiliser la pipette correspondant au produit : toute le monde sait faire.
La pensée unique en matière de bonnes pratiques, c'est le meilleur qui soit.brrruno a écrit : Est-ce que ce qui m'effraie le plus c'est le ridicule des remarques (j'ai d'abord écrit "réflexion") ou l'impossibilité de sortir de la (non) pensée unique ?
Pas de place pour les élucubrations personnelle : il y a une notice, on l'applique, point barre.
C'est bien, vous êtes bon en maths !brrruno a écrit :Petite explication de la loi de Tate : m = γkR/g
Mais ça ne sert pas à grand chose si on décide de laisser libre cours à sa "créativité"…qui n'a pas sa place ici.
Ce que je veux dire est du plus simple : pourquoi aller s'e**erder à faires de comptes d'apothicaire avec une seringue, et avec un risque d'erreur énorme, alors que chaque TTT a sa pipette, facile à utiliser.
30 gouttes par rapport à quoi (=dose originelle) ?brrruno a écrit : s'il y a des variables, vous pourrez toujours délivrer 30 gouttes mais avec une quantité de principe actif variable (sans doute faible, mais pas inexistante).
Je vous le demande !Leopold Anasthase a écrit :Demander aux gens de réfléchir, de savoir faire des calculs de dose, mais où va-t-on ?

Exact !augusta a écrit :En l'occurrence, qu'il s'agisse de gouttes ou de pipettes, je ne pense pas que le patient ait toujours la dose exactement prescrite. Mais peut-être que vous, vous faîtes lécher le fond du gobelet au patient afin qu'il n'en perdre pas une goutte?

"Il suffit de nous regarder pour voir comment une forme de vie intelligente peut se développer d'une manière que nous n'aimerions pas rencontrer."
Stephen HAWKING
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Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Le moindre effort serait à mon avis de fuir la réflexion et d'appliquer bêtement un protocole (ou de passer son temps à compter des gouttes plutôt que d'être auprès du patient). Pour l'instant vous êtes incapable de me dire ce qui fait que je travaille n'importe comment, du coup les attaques se multiplient (d'abord la seringue qui traîne sans capuchon, maintenant la question du moindre effort, des étudiants qui auraient 0 par ma faute), mais finalement il n'y a toujours pas d'argument. Une simple démonstration que 30 gouttes de valium (en prescription) ne seraient finalement pas équivalentes à 10mg, ou que je mette en danger le patient ! Qu'il faut mieux s'acharner à son compte goutte dans un moment d'agitation (mais certains ont la solution : isolement contention injection) plutôt de privilégier un temps de présence. D'ailleurs vous ne m'avez pas répondu, jamais vous n'avez des flacons avec un goutte à goutte bouché ou qui ne goutte pas bien ? Parce que ce sont des situations fréquemment rencontré et je suis curieux de savoir comment vous les gérez ! (en perçant avec une aiguille pour le flacon bouché ? en secouant votre flacon lorsqu'il coule difficilement ? Ça m'intrigue parce que je ne sais pas s'il y a une recommandation de bonne pratique dans cette situation). La question s'adresse principalement à Caqui mais comme précédemment si quelqu'un d'autre veut apporter sa bonne pratique je suis preneur.caqui13 a écrit : Exigeant de quoi ? de travailler n importe comment ?c est sur que c est plus rapide de prendre a la seringue que de compter les gouttes , en fait tu es le partisan du moindre effort , je plains les pauvres ESI que tu vas former avec la seringue , et qui auront un beau 0 a cause de tes mauvaises pratiques .
La ya pas besoin de réfléchir de comment on fait ou pas , c est comme ca et pas autrement ; on compte les gouttes , et on enlève pas le compte goutte pour plonger la seringue dedans .
Pour information annexe au sujet, quand je discute avec les étudiants j'essaie de mettre en avant la compréhension de ce qu'ils font. Qu'ils comptent les gouttes, prélèvent à la seringue, où effectuent une conversion pour trouver l'équivalence entre goutte et cp ou autre. Par contre je leur rappelle toujours qu'ils auront à faire durant leurs études (et après) à des gens pour qui la capacité de réflexion se limite au miroir (

Alors oui dans la société actuelle je suis sans doute un très mauvais professionnel, peut être même un très mauvais citoyen, parce que j'aime la culture sous toutes ses formes, j'aime réfléchir sur ce que je fais et comment je le fais même si c'est de plus en plus déplacé. Heureusement vous n'êtes pas encore la représentation de l'ensemble de la profession.
Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Alors dans l'ordre inverse, je laisserai Leopold disserter la dessus s'il le souhaite, personnellement j'en ai une petite idée, c'est assez percutant !Jo_bis a écrit :La pensée unique en matière de bonnes pratiques, c'est le meilleur qui soit.brrruno a écrit : Est-ce que ce qui m'effraie le plus c'est le ridicule des remarques (j'ai d'abord écrit "réflexion") ou l'impossibilité de sortir de la (non) pensée unique ?
Pas de place pour les élucubrations personnelle : il y a une notice, on l'applique, point barre.
C'est bien, vous êtes bon en maths !brrruno a écrit :Petite explication de la loi de Tate : m = γkR/g
Mais ça ne sert pas à grand chose si on décide de laisser libre cours à sa "créativité"…qui n'a pas sa place ici.
Ce que je veux dire est du plus simple : pourquoi aller s'e**erder à faires de comptes d'apothicaire avec une seringue, et avec un risque d'erreur énorme, alors que chaque TTT a sa pipette, facile à utiliser.
30 gouttes par rapport à quoi (=dose originelle) ?brrruno a écrit : s'il y a des variables, vous pourrez toujours délivrer 30 gouttes mais avec une quantité de principe actif variable (sans doute faible, mais pas inexistante).
Je vous le demande !Leopold Anasthase a écrit :Demander aux gens de réfléchir, de savoir faire des calculs de dose, mais où va-t-on ?![]()
30 gouttes par rapport à la sacro-sainte notice qui dit que tant de gouttes équivaut à tant de mg ou de ml. Ne faisons pas des médecins des imbéciles, lorsqu'ils prescrivent des gouttes, c'est parce qu'ils ont une idée de la quantité de principe actif qu'il y a derrière (du moins je l'espère pour eux). Mais je suis assez dubitatif quant au fait que vous posiez cette question parce que la réponse était dans le fil de discussion. Il est vrai qu'une formule mathématique peut vite impressionner et faire douter de la compréhension que l'on a du texte mais je vous ai connu plus pertinent(e) en d'autres discussions.
Il me semble qu'il y a plus de possibilité d'erreur en comptant 100 gouttes Nozinan qu'en en prélevant 2.5 ml par exemple, mais il faut être à l'aise avec et je ne crois pas avoir dit qu'il faut faire comme moi. (Pour info la loi de Tate c'est pour les gouttes à gouttes et ca ne fonctionne pas avec les pipettes avec pistons). Pour information le fonctionnement des équivalences n'est pas une créativité personnelle (même si j'en aurais été très fier), il s'agit d'un apprentissage fait au cours de la formation pour faire des calculs de dose qui n'ont rien de compte d'apothicaire. C'est une des connaissances qui relève du métier d'infirmier, je suis étonné que vous ne l'ayez pas apprise.
Il semblerait que les labos aient entendu le désarroi des infirmiers endormi du cerveau (j'espère qu'il n'est qu'endormi) : https://www.vidal.fr/actualites/21599/l ... _40_mg_ml/
Triste vérité, finalement ce chemin annoncé par Leopold a bien été pris. Du coup je pense qu'il va être temps pour moi d'aller voir ailleurs, je vous laisse dans votre fabrique à crétin !
Puisque je m'en vais je vais être un peu direct pour le dernier point (qui était le premier pour ceux dont le bulbe n'est pas totalement mort !) Hitler proposait aussi des bonnes pratiques. Appliquez bien et soyez de bons petits soldats.
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Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Je ne comprends ni votre réaction, ni votre problème de gouttes.brrruno a écrit : Puisque je m'en vais je vais être un peu direct pour le dernier point (qui était le premier pour ceux dont le bulbe n'est pas totalement mort !) Hitler proposait aussi des bonnes pratiques. Appliquez bien et soyez de bons petits soldats.
Un flacon qui goutte mal, secouez-le un grand coup, il fonctionne.
Plus de pipette et plus de flacon d'avance? Penchez-vous sur l'organisation de la pharmacie (stock non adapté, et lieu de rangement des pipettes à trouver).
Personnellement, il me semblerait plus simple d'utiliser les pipettes fournies par le laboratoire et adaptées à chaque produit, plutôt que de faire des calculs pour transposer le nombre de goutte prescrit en ml.
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Je n ai jamais de goutte a goutte bouché , car 1 flacon de valium , fait 1 vacation .brrruno a écrit :Le moindre effort serait à mon avis de fuir la réflexion et d'appliquer bêtement un protocole (ou de passer son temps à compter des gouttes plutôt que d'être auprès du patient). Pour l'instant vous êtes incapable de me dire ce qui fait que je travaille n'importe comment, du coup les attaques se multiplient (d'abord la seringue qui traîne sans capuchon, maintenant la question du moindre effort, des étudiants qui auraient 0 par ma faute), mais finalement il n'y a toujours pas d'argument. Une simple démonstration que 30 gouttes de valium (en prescription) ne seraient finalement pas équivalentes à 10mg, ou que je mette en danger le patient ! Qu'il faut mieux s'acharner à son compte goutte dans un moment d'agitation (mais certains ont la solution : isolement contention injection) plutôt de privilégier un temps de présence. D'ailleurs vous ne m'avez pas répondu, jamais vous n'avez des flacons avec un goutte à goutte bouché ou qui ne goutte pas bien ? Parce que ce sont des situations fréquemment rencontré et je suis curieux de savoir comment vous les gérez ! (en perçant avec une aiguille pour le flacon bouché ? en secouant votre flacon lorsqu'il coule difficilement ? Ça m'intrigue parce que je ne sais pas s'il y a une recommandation de bonne pratique dans cette situation). La question s'adresse principalement à Caqui mais comme précédemment si quelqu'un d'autre veut apporter sa bonne pratique je suis preneur.caqui13 a écrit : Exigeant de quoi ? de travailler n importe comment ?c est sur que c est plus rapide de prendre a la seringue que de compter les gouttes , en fait tu es le partisan du moindre effort , je plains les pauvres ESI que tu vas former avec la seringue , et qui auront un beau 0 a cause de tes mauvaises pratiques .
La ya pas besoin de réfléchir de comment on fait ou pas , c est comme ca et pas autrement ; on compte les gouttes , et on enlève pas le compte goutte pour plonger la seringue dedans .
Pour information annexe au sujet, quand je discute avec les étudiants j'essaie de mettre en avant la compréhension de ce qu'ils font. Qu'ils comptent les gouttes, prélèvent à la seringue, où effectuent une conversion pour trouver l'équivalence entre goutte et cp ou autre. Par contre je leur rappelle toujours qu'ils auront à faire durant leurs études (et après) à des gens pour qui la capacité de réflexion se limite au miroir ().
Alors oui dans la société actuelle je suis sans doute un très mauvais professionnel, peut être même un très mauvais citoyen, parce que j'aime la culture sous toutes ses formes, j'aime réfléchir sur ce que je fais et comment je le fais même si c'est de plus en plus déplacé. Heureusement vous n'êtes pas encore la représentation de l'ensemble de la profession.
Pour les 100 gouttes de Nozinan : il y a la PIPETTE donc on compte pas .
Ce n est absolument pas un calcul de dose :10 gouttes de valium c ' est 10 gouttes de valium ( a la seringue tu prend 1 seringue a insuline ?????? )
Je te le repete , tu le prends mal , je m en fous ; tu travailles MAL , et le pire c est que tu essayes de me donner des leçons sur les traitements en psychiatrie .
Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
C'est la moindre des choses….brrruno a écrit :lorsqu'ils prescrivent des gouttes, c'est parce qu'ils ont une idée de la quantité de principe actif qu'il y a derrière (du moins je l'espère pour eux).
Pour moi, non.brrruno a écrit :Il me semble qu'il y a plus de possibilité d'erreur en comptant 100 gouttes Nozinan qu'en en prélevant 2.5 ml par exemple,
Si vous devez compter 100 gouttes de XXX, demandez au médecin un dosage supérieur et le tour est joué, et comme vous le dites à juste titre, ils connaissent la quantité de principe actif, donc vous ne compterez jamais 100 gouttes.
C'est ça la réflexion IDE.
Vous aimez vous compliquer la vie ?
Alors qu'il y a 1000 fois plus simple.
Je pense que vous voulez "intellectualiser" un geste thérapeutique basique pour tout le monde, sauf vous…
On nous apprenait à penser efficacement et de manière adaptée, pas à faire du totalement inutile.brrruno a écrit :C'est une des connaissances qui relève du métier d'infirmier, je suis étonné que vous ne l'ayez pas apprise.
Oui mais derrière les propos de Léopold, on sent une réelle pratique, une réelle réflexion, un réel professionnalisme, pas de l'esbrouffe.brrruno a écrit :Triste vérité, finalement ce chemin annoncé par Leopold a bien été pris.
Ça ne s'improvise pas et ce n'est pas accessible à tout le monde.
Stop. Point Godwin (Loi de Godwin).brrruno a écrit :Hitler proposait aussi des bonnes pratiques. Appliquez bien et soyez de bons petits soldats.
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Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Vous venez de gagner un point Godwin.brrruno a écrit :Hitler proposait aussi des bonnes pratiques. Appliquez bien et soyez de bons petits soldats.
En fait, il faudrait peut-être lire ce qu'écrit brrruno. Il n'a jamais écrit qu'il fallait utiliser une seringue pour administrer le diazépam en gouttes. Il a écrit qu'il serait possible de s'intéresser à ce qu'il y a dans une goutte de médicament, à la taille des gouttes, aux raisons qui existent de se tromper… Et peut-être même qu'on peut s'intéresser aux médicaments et (mais là il exagère) aux patients. Qu'au lieu d'appliquer une prescription sans se poser de questions, on peut s'en poser. Qu'au lieu de se bouffer le nez sur des histoires d'exécution de prescription, on peut se demander pourquoi on nous prend pour des abrutis. Je le cite « Pour information annexe au sujet, quand je discute avec les étudiants j'essaie de mettre en avant la compréhension de ce qu'ils font. »La pensée unique en matière de bonnes pratiques, c'est le meilleur qui soit.
Je pose la question : faut-il absolument prendre les infirmiers pour des imbéciles et faire des protocoles pour tout et n'importe quoi, ou faut-il faire appel à leur sens de la réflexion et leur apprendre à calculer ?
Le point Godwin étant atteint, je ne donnerai pas suite à cette discussion. Mais rien n'interdit de la reprendre ailleurs...
Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Je ne comprend pas ou il y a matière a réfléchir .Leopold Anasthase a écrit :Vous venez de gagner un point Godwin.brrruno a écrit :Hitler proposait aussi des bonnes pratiques. Appliquez bien et soyez de bons petits soldats.En fait, il faudrait peut-être lire ce qu'écrit brrruno. Il n'a jamais écrit qu'il fallait utiliser une seringue pour administrer le diazépam en gouttes. Il a écrit qu'il serait possible de s'intéresser à ce qu'il y a dans une goutte de médicament, à la taille des gouttes, aux raisons qui existent de se tromper… Et peut-être même qu'on peut s'intéresser aux médicaments et (mais là il exagère) aux patients. Qu'au lieu d'appliquer une prescription sans se poser de questions, on peut s'en poser. Qu'au lieu de se bouffer le nez sur des histoires d'exécution de prescription, on peut se demander pourquoi on nous prend pour des abrutis. Je le cite « Pour information annexe au sujet, quand je discute avec les étudiants j'essaie de mettre en avant la compréhension de ce qu'ils font. »La pensée unique en matière de bonnes pratiques, c'est le meilleur qui soit.
Je pose la question : faut-il absolument prendre les infirmiers pour des imbéciles et faire des protocoles pour tout et n'importe quoi, ou faut-il faire appel à leur sens de la réflexion et leur apprendre à calculer ?
Le point Godwin étant atteint, je ne donnerai pas suite à cette discussion. Mais rien n'interdit de la reprendre ailleurs...
Si il est prescrit 30 gouttes de valium ( effectivement égales a 1 ml ) , on COMPTE les gouttes et on ne fait pas comme brrruno qui enlève le goutte a goutte pour prélever a la seringue 1 cc .
Ce n est pas un protocole c est l utilisation du flacon de valium qui est comme ca et pas autrement , pour le loxapac il y a une pipette donc on utilise la pipette , idem pour l haldol par exemple .
Si il y a un flacon compte goutte , et bien il faut compter les gouttes , c est les bonnes pratiques tout simplement , il n y a ni calcul de dose , ni protocole , ni réflexion a avoir .
Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Vous parlez donc sans connaitre les problèmes des flacons qui ne gouttent pluscaqui13 a écrit : Je n ai jamais de goutte a goutte bouché , car 1 flacon de valium , fait 1 vacation .

C'est fou le nombre de gens qui se font de la peine parce qu'ils ne savent pas se servir du langage. Howard Buten.
Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
Non , mais vs allez me l expliquer , vs m avez l air de bien vs y connaitre .vanille64 a écrit :Vous parlez donc sans connaitre les problèmes des flacons qui ne gouttent pluscaqui13 a écrit : Je n ai jamais de goutte a goutte bouché , car 1 flacon de valium , fait 1 vacation .
Re: Contrat pédagogique : remise en question partiel av note 10
caqui13 a écrit :Non , mais vs allez me l expliquer , vs m avez l air de bien vs y connaitre .vanille64 a écrit : Vous parlez donc sans connaitre les problèmes des flacons qui ne gouttent plus


.
C'est fou le nombre de gens qui se font de la peine parce qu'ils ne savent pas se servir du langage. Howard Buten.