Urgences, la série
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- daphnée
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ALINE PITT a écrit :daphnée a écrit :scarlatine a écrit :le mieux c t quand meme romano et le bras coupe par l'helico !!!
ah non çà a été l'une des plus belles conneries des scénaristes ça![]()
Tout à fait d'accord! Même si après c'était vraiment très drôle avec sa prothèseUn jour il a pincé les fesses de l'autre hystérique de Sam qui bien entendu en a fait tout un foin...
Le truc le plus à ch*** reste quand même la mort de mon pauvre Docteur RomanoVraiment trop nul de le faire mourir comme ça
Pendant des années, romano était un peu le perso antipathique : on le détestait pour les misères qu'il faisait. Certains le détestaient, d'autres adoraient le détester et certains l'adoraient tout court (comme moi

Et puis sa mort, mon dieu : encore plus grosse erreur que la perte de son bras

Je vends mes charmes Et mes armes Ma violence et ma douceur. Je vends ce que je vaux Et si ça ne vaut pas un clou Tant pis, je donnerai tout. Je vends mon âme au diable et j'envoie ma vie en l'air;
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scarlatine a écrit :daphnée a écrit :scarlatine a écrit :le mieux c t quand meme romano et le bras coupe par l'helico !!!
ah non çà a été l'une des plus belles conneries des scénaristes ça![]()
c t ironiq ....
faut deviner

Je vends mes charmes Et mes armes Ma violence et ma douceur. Je vends ce que je vaux Et si ça ne vaut pas un clou Tant pis, je donnerai tout. Je vends mon âme au diable et j'envoie ma vie en l'air;
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daphnée a écrit :scarlatine a écrit :daphnée a écrit :scarlatine a écrit :le mieux c t quand meme romano et le bras coupe par l'helico !!!
ah non çà a été l'une des plus belles conneries des scénaristes ça![]()
c t ironiq ....
faut deviner

moi j'ai du mal a adhérer a la nouvelle saison, je prégérais aussi avant mais moi c'est la mort de marc green que je regrette
oui c'est moi croustibat, non je n'ai pas changé!
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Ce qui est intéressant dans cette série, c'est que dans l'ensemble c'est très bien décrit :
-les cas présentés sont (généralement) vraissemblables ; les thérapeutiques utilisées sont les bonnes ; on a par contre souvent une élasticité du temps (la thérapeutique agit tout de suite), et un racourcissement de la démarche diagnostique (le médecin a tout de suite l'idée de l'examen qui va donner la réponse) ;
-un grand nombre d'autres choses sont également tout à fait réalistes, en particulier les réactions humaines, mais aussi les rapports des humains entre eux au travail ; par exemple, lors du crash de l'hélico qui coûte la vie à Romano, Susan est le médecin le plus ancien, elle aurait dû coordonner les secours, faire le tri, distribuer les tâches etc. Or son ami est blessé dans l'accident, et elle démissionne complètement de ce rôle (qui est récupéré par Abby, je ne sais plus si elle est étudiante en médecine ou infirmière) pour s'occuper des blessés les plus graves, dont son ami ; quand Weaver passe aux urgences, en quelques phrases elle fait un résumé tout à fait pertinent de la situation et le balance à Susan ; les reflexions de Weaver sont tout à fait pertinentes, mais c'est peut-être pas le meilleur moment pour en faire part à Susan, surtout sans y associer quelques remarques positives (en général, on est un peu vidé et sensible après ce genre de situation...) ;
-actuellement, Weaver, après avoir bien intrigué (son évolution est d'ailleurs tout à fait réaliste, en particulier le tour de p... qu'elle joue à Green), s'est ménagé une place pépère, qui est beaucoup plus administrative que soignante ; du coup, elle a perdu un peu la main ; elle s'en rend compte et elle est écartelée entre la nécessité de pratiquer la médecine d'urgence pour entretenir ses connaissances et son savoir-faire, et son rôle administratif, qu'elle abandonne un peu en ce moment (et si la série est bien faite, elle devrait subir un retour de bâton à cause de ça, à moins qu'elle soit assez adroite pour le gérer) ;
-autre exemple, le renvoie et la réintégration de Connie, et le renvoie probablement définitif de Eve ; l'une a un passé de bon sujet au sein du service (et Eve fait un vrai coup de p... à Sam en la faisant participer à son renvoi), et l'autre a souvent raison mais ses façons de faire ne sont pas tendres (et donc on ne la regrettera pas).
Alors, plutôt que de m'intéresser aux déboires amoureux des uns et des autres (et dans une série fermée, il y a forcemment des couples qui se font et se défont et s'emmèlent, sans toujours que ça soit logique), je préfère lire la série à un autre niveau, c'est tout aussi passionnant.
Ensuite, on peut regarder comment le scénario ménage une porte de sortie à chaque acteur, pour pouvoir le remplacer, le virer, voire le réadmettre (Connie, Suzan...) en cas de besoin. Green, il a été malade pendant combien d'épisodes ? Le temps qu'il se décide si l'offre financière valait le coup de s'enfermer dans cette carrière. Doug Ross (George Clooney) a su tirer son épingle du jeu, et quitter la série pour continuer une carrière au cinéma, sans s'interdire complètement un petit come back occasionnel (et probablement bien rémunéré, puisqu'il a ému les coeurs des téléspectratices, donc il aurait des chances de faire remonter l'audience).
-les cas présentés sont (généralement) vraissemblables ; les thérapeutiques utilisées sont les bonnes ; on a par contre souvent une élasticité du temps (la thérapeutique agit tout de suite), et un racourcissement de la démarche diagnostique (le médecin a tout de suite l'idée de l'examen qui va donner la réponse) ;
-un grand nombre d'autres choses sont également tout à fait réalistes, en particulier les réactions humaines, mais aussi les rapports des humains entre eux au travail ; par exemple, lors du crash de l'hélico qui coûte la vie à Romano, Susan est le médecin le plus ancien, elle aurait dû coordonner les secours, faire le tri, distribuer les tâches etc. Or son ami est blessé dans l'accident, et elle démissionne complètement de ce rôle (qui est récupéré par Abby, je ne sais plus si elle est étudiante en médecine ou infirmière) pour s'occuper des blessés les plus graves, dont son ami ; quand Weaver passe aux urgences, en quelques phrases elle fait un résumé tout à fait pertinent de la situation et le balance à Susan ; les reflexions de Weaver sont tout à fait pertinentes, mais c'est peut-être pas le meilleur moment pour en faire part à Susan, surtout sans y associer quelques remarques positives (en général, on est un peu vidé et sensible après ce genre de situation...) ;
-actuellement, Weaver, après avoir bien intrigué (son évolution est d'ailleurs tout à fait réaliste, en particulier le tour de p... qu'elle joue à Green), s'est ménagé une place pépère, qui est beaucoup plus administrative que soignante ; du coup, elle a perdu un peu la main ; elle s'en rend compte et elle est écartelée entre la nécessité de pratiquer la médecine d'urgence pour entretenir ses connaissances et son savoir-faire, et son rôle administratif, qu'elle abandonne un peu en ce moment (et si la série est bien faite, elle devrait subir un retour de bâton à cause de ça, à moins qu'elle soit assez adroite pour le gérer) ;
-autre exemple, le renvoie et la réintégration de Connie, et le renvoie probablement définitif de Eve ; l'une a un passé de bon sujet au sein du service (et Eve fait un vrai coup de p... à Sam en la faisant participer à son renvoi), et l'autre a souvent raison mais ses façons de faire ne sont pas tendres (et donc on ne la regrettera pas).
Alors, plutôt que de m'intéresser aux déboires amoureux des uns et des autres (et dans une série fermée, il y a forcemment des couples qui se font et se défont et s'emmèlent, sans toujours que ça soit logique), je préfère lire la série à un autre niveau, c'est tout aussi passionnant.
Ensuite, on peut regarder comment le scénario ménage une porte de sortie à chaque acteur, pour pouvoir le remplacer, le virer, voire le réadmettre (Connie, Suzan...) en cas de besoin. Green, il a été malade pendant combien d'épisodes ? Le temps qu'il se décide si l'offre financière valait le coup de s'enfermer dans cette carrière. Doug Ross (George Clooney) a su tirer son épingle du jeu, et quitter la série pour continuer une carrière au cinéma, sans s'interdire complètement un petit come back occasionnel (et probablement bien rémunéré, puisqu'il a ému les coeurs des téléspectratices, donc il aurait des chances de faire remonter l'audience).
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