Cet article fait partie du dossier :
Profession infirmière et législation
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- Les infirmiers autorisés à vacciner sans prescription médicale pour plusieurs pathologies
- A l’issue des journées nationales des infirmiers en pratique avancée, l’ANFIPA élit sa nouvelle Présidente
- Epanouissement, polyvalence, équilibre... : exercice mixte, l’eldorado ?
- Convergence Infirmière s'alerte sur la parution d'un décret qui permet "le déconventionnement en urgence"
- Covid-19 positif et asymptomatique, un soignant peut-il être obligé à travailler ?
- Création d'un "métier intermédiaire de santé" : un projet de loi qui déclenche une grande hostilité
- Signalements, information préoccupante : les professionnels face au dilemme
- Etudiants paramédicaux, formation et covid-19 : un arrêté qui donne de la "souplesse"
- Etat d'urgence sanitaire : aménagements de la formation en soins infirmiers et modalités de délivrance du DEI
- Indemnisation des infirmiers requisionnés dans le cadre du COVID-19
- Bilan radiologique aux urgences : nouveau protocole de coopération pour les IOA
- Exercice de l’activité d’assistant médical : l'arrêté est paru
- J’utilise WhatsApp pour mon activité (para)médicale… c’est grave docteur ?
- Les heures supplémentaires déplafonnées à l'AP-HP
- Exercice illégal de la profession : coup de gueule de Convergence Infirmière
- Gestion des accidents d’exposition au sang : une instruction recommande
- Congé paternité : il sera allongé en cas d'hospitalisation de l'enfant à la naissance
- "Plus un établissement est important, plus il y a de situations conflictuelles"
- BCG : obligation vaccinale des professionnels de santé levée par décret
- Produits sanguins labiles : les IDE peuvent désormais surveiller en l’absence d’un médecin
- Grippe : Agnès Buzyn pourrait rétablir l'obligation vaccinale pour les soignants
- Soins de nuit doivent rimer avec prescription médicale
- Indemnités horokilométriques : IDEL 1, CPAM 0
- Faire face aux manifestations de violence à l'hôpital
- Clarification à propos de la laïcité dans les instituts de formation paramédicaux
- Vaccination antigrippale : les compétences infirmières reconnues
- Attention à l’interprétation de la nomenclature générale des actes professionnels...
- Officialisation de l'exercice infirmier en pratique avancée
- 30 921 ESI de 1ere année à admettre pour l'année universitaire 2018/2019
- Principe de responsabilité : focus sur l'exercice infirmier
- Inscription à l'Ordre de tous les infirmiers salariés actée par décret
- IPA : le décret signé mais toujours pas paru !
- Un avis pour « une sédation profonde explicitement létale » en fin de vie
- Les fiches juridiques de l'Ordre : consultez-les !
- Aide-soignant, infirmier, médecin… le fléau des glissements de compétences
- Tempête autour de la pratique avancée...
- Le projet de décret sur la pratique avancée en mode "concertation"
- Exercice partiel des professionnels de santé : le Parlement valide une ordonnance en la matière
- Application des actes exclusifs des IBODE : report envisagé au 1er juillet 2019
- Exercice partiel : malgré les résistances, le décret est paru...
- IDEL - Un nouvel acte qui sonne comme une reconnaissance
- Cumul d'emplois : hypocrisie d'un système ?
- Exercice partiel - Les infirmiers font part de leur inquiétude au Sénat
- Médecine : les infirmiers admissibles directement en 2e ou 3e année
- Election à l'ordre national des infirmiers : modalités revues
- Les compétences des infirmiers anesthésistes étendues par décret
- Accès partiel à la profession infirmière : vers des soins « low cost » ?
- Le Conseil d'Etat repousse l'exclusivité des Ibode sur certains actes
- Les infirmiers disposent d'un Code de déontologie
- Un cahier des charges publié pour former les tuteurs de stage
- L'entretien pré-don de sang par les infirmiers bientôt généralisé
- Accès partiel aux professions de santé : le HCPP dit non !
- Vers un exercice infirmier « partiel » pour certains professionnels de santé européens ?
- Quid du secret professionnel dans l'utilisation des réseaux sociaux ?
- Profession infirmière : une activité très réglementée...
- Exercice libéral et diversification : quelles règles ?
- Ehpad : l'administration des médicaments ne peut pas être faite par des ASH
- Code de déontologie infirmier : le projet de décret soumis à concertation
- Dépistage infirmier en milieu scolaire : une nouvelle réglementation
- Signalement de maltraitance sur enfants : les soignants protégés
- Spasad : un décret détaille l'organisation et les financements
- Congés des aides-soignants en IFSI : la DGOS se prononce
- Aspirations endo-trachéales : les aides à domicile habilitées
- Suppression de l'Ordre infirmier : Annie Le Houérou argumente
- Suppression de l'Ordre infirmier : pour ou contre ?
- Quid de la clause de non concurrence dans les contrats de collaboration
- Projet de loi de santé : plusieurs ajustements à venir
- Ancien djihadiste et futur infirmier, qu’en dit le droit ?
- Un décret clarifie le cadre juridique de la VAE
- Ehpad : l'aide à la prise de médicaments n'incombe pas qu'aux IDE
- La responsabilité des étudiants en soins infirmiers
- Retraite et compte pénibilité : des précisions
- Entretien préalable au don du sang : oui aux infirmiers
- IDEL : pas de remboursement au-delà de la prescription médicale
- Exercice hors compétence : quelle attitude adopter ?
- Abords veineux et artériels : place de l’IDE
- Quid de la prescription électronique
- La législation au cœur du Développement Professionnel Continu (DPC)
- Nouvelle réglementation pour praticiens et infirmiers hors UE
- Plus de dispositifs médicaux pour la prescription infirmière
- La santé au travail encadrée par deux décrets
- Legislation - Contraceptifs oraux : les infirmières habilitées au renouvellement
- La formation continue désormais obligatoire pour les infirmiers
- Législation - Six décrets encadrent le développement professionnel continu
- Alcoolémie/Stupéfiants – Un dépistage étendu aux infirmiers des urgences
- Renouvellement de la pilule par les infirmières : loi modifiée
- Prescription par téléphone en situation d’urgence : conditions de validité
- HPST : Une réforme de l’organisation des soins inscrite dans une réforme de l’État
- Le renouvellement des prescriptions de médicaments contraceptifs par les infirmiers, c'est possible
- L'extubation en salle de surveillance post-interventionnelle, par qui ? (Aspect règlementaire de l'acte)
- Le masque laryngé
- Nouveau decret compétence de la profession d'infirmier
- Les protocoles de soins validité et conditions d'application
- La procédure judiciaire pénale et le soignant
- La prescription médicale et son implication
- Le rôle de l'infirmier dans la prise en charge de la douleur
- Cours - Transversaux - Principes de droit à destination des infirmiers
- Définition du rôle propre de l'infirmier
- La requisition judiciaire et les infirmers de sapeurs pompiers
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- Et pourquoi pas un code de déontologie pour les aides-soignants ?
- La télémédecine est un mode d’exercice qui nécessite une interdisciplinarité
- Infirmier et aide-soignant : un duo ou un duel ?
- Profession aide-soignante : la fin d'un modèle ?
- Binôme infirmier/aide-soignant : je t’aime, moi non plus !
- Aide-soignant : nouveaux enjeux et défis d'une profession au cœur du soin
- "Si un métier est en train de bouger en ce moment, c’est celui d’aide-soignant !"
- La glycémie capillaire bientôt intégrée au référentiel de formation des aides-soignants ?
- Quid du partage d'informations entre professionnels ?
- Les modalités de l'expérimentation Asalee détaillées dans une instruction
- IDE, AS, AP, AMP... quels champs de collaboration ?
- Législation - Aide-soignant et dispensation des médicaments
- La collaboration aides-soignants infirmiers - Quiz sur la distribution des médicaments
- La collaboration aides-soignants infirmiers - Définition, domaine de compétence et responsabilité juridique (2ère partie)
- La collaboration aides-soignants infirmiers - Définition, domaine de compétence et responsabilité juridique (1ère partie)
- Distribution des médicaments, où en sommes nous ?
- Le refus de distribuer des médicaments par un aide-soignant jugé comme une faute professionnelle par le conseil d'état
- La collaboration aides-soignants infirmiers - La distribution des médicaments
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- Veille juridique du 16 au 31 avril 2022
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- Veille juridique du 15 au 31 janvier 2011
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- Dons de corps : une nouvelle règlementation après le scandale de Paris-Descartes
- Droit et pratique : la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des infirmiers, garante du respect de la déontologie
- Le don du sang ouvert sans conditions aux homosexuels
- Le projet de loi de bioéthique définitivement adopté par l'Assemblée nationale
- Don de sang et religions : certaines acceptent, d’autres voient rouge
- L’euthanasie en France et ailleurs, une question de vie ou de mort
- Refus de soins discriminatoires, dépassements abusifs : un décret fixe la procédure et durcit les pénalités
- "Qui suis-je pour subir un tel sort ? Sommes-nous des pestiférés ?"
- PMA : qu'est-ce que la mention "mère et mère" ?
- Révision des lois de bioéthique : entre éthique et politique
- Vincent Lambert : quels enjeux juridiques et éthiques ?
- Débat : Pour mieux combattre la maltraitance, il faut changer notre regard sur les personnes vulnérables
- La sédation profonde et continue, elle continue de faire débat dans les services !
- Loi sur les violences sexuelles : quid des professionnels de santé ?
- TFE - Ethique et soins de courte durée
- Photos de plaies, archivage et transmissions
- Le suicide des professionnels de santé : jusqu’où ira-t-on ?
- Don de son corps à la science, à l'enseignement et à la recherche
- La loi "Claeys-Leonetti" sur la fin de vie adoptée
- Farid Benyettou, infirmier diplômé d’État... et maintenant ?
- Décès, dossier médical, conjoint, pacs... le point sur
- Loi Leonetti : quel rôle pour les soignants ?
- Maltraitances : quid du secret médical
- Le projet d’un code de déontologie de la profession IDE : Une véritable réforme ?
- Le débat sur la légalisation de l’euthanasie en cours de discussion devant le Sénat
- Internet, nouvelles technologies, réseaux sociaux... Et secret professionnel
- Fin de vie – Les directives anticipées concernant le traitement
- Une réanimation qualifiée fautive par le tribunal administratif
- Code de déontologie des infirmières françaises
- Pouvons nous revendiquer un droit de mourir au nom du respect de la dignité et de l'autonomie de la volonté ?
- Euthanasie et droit
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- Le monde de la psychiatrie vent debout contre la teneur du décret sur l'irresponsabilité pénale
- Psychiatrie : limiter les mesures de contention et d'isolement
- Contention et isolement : instruction adressée aux établissements...
- Limiter et encadrer l'isolement et la contention en psychiatrie
- Contention : la dérive sécuritaire... Un appel est lancé !
- Quels critères pour retenir l’irresponsabilité pénale ? L’affaire Cocaign
- Troubles mentaux et irresponsabilité pénale, quelles évolutions depuis la réforme de 2008 ?
- Sécurité du patient et contention
- La réforme des régimes de protection des majeurs, quels sont les changements ? Loi du 5 mars 2007
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- Droits et soins : quelle place pour les familles ?
- Le patient expert : un patient résilient par excellence !
- "Je travaille dans un service où les violences verbales commencent à me peser !"
- Débat : Pour mieux combattre la maltraitance, il faut changer notre regard sur les personnes vulnérables
- Don d'organes et de tissus : ce qui change au 1er janvier 2017
- Coût des prestations délivrées par un établissement de santé à un patient
- Fin de vie : des textes réglementaires apportent des précisions
- Normes d’accessibilité du cabinet : êtes-vous prêts ?
- L'idée d'une judiciarisation croissante de la santé réfutée
- Patients/soignants : quelle gestion de l'information ?
- Droits des patients en 2011 : état des lieux
- La CRUQPC ou Commission des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge
- La personne de confiance et sa place dans la relation patient – professionnel de santé
- Prise en charge de la douleur : aspects médico-légaux
- L’allocation journalière d’accompagnement d’une personne en fin de vie
- De la maltraitance au signalement
- Consentement du malade en établissement de gériatrie
- Droit : quid du pouvoir des mots
- La protection de l'enfant : secret professionnel et maltraitance
- Droits des patients en fin de vie : La loi leonetti, faisons le point...
- Laïcité et établissements de santé
- Maltraitance - bientraitance des personnes âgées
- Remise à jour du livret d’accueil dans les établissements de santé
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Loi de santé
- "Maîtriser impérativement la dette sociale", préconise la Cour des comptes
- Présentation du PLFSS 2022 : "Les efforts d'investissements dans le système de santé se poursuivront"
- Un amendement clarifiant l'avortement pour risque psychosocial
- "Nous suivons un cap qui est le bon" : l'autosatisfecit de Buzyn devant la presse
- Assistants médicaux : pour une poignée de signataires !
- Création des assistants médicaux : les textes sont parus !
- Le Sénat adopte définitivement le projet de loi Santé
- Déploiement des assistants médicaux : un avenant signé pour des tâches "médico-administratives"...
- Assistants médicaux : concurrence frontale sur les actes des IDEL écartée
- Quel niveau de formation pour les assistants médicaux ?
- La psychiatrie sera-t-elle"l'oubliée" de la loi de Santé ?
- Loi santé : "assouplir les contraintes et décloisonner à tous les niveaux"
- Les assistants médicaux vont-ils "empiéter sur les plates-bandes des infirmiers"?
- Négos sur les assistants médicaux : les syndicats quittent la séance !
- Quelques "granules" ne suffiront pas face à une souffrance "à pleins tubes" !
- Des aides-soignants en passe de devenir des "auxiliaires médicaux" ?
- Assistant médical : "un niveau minimum de qualification d’aide-soignant"
- Ma Santé 2022 : c’est "9 + 1 chantiers en perspective"
- "Les compétences métier des infirmières vont bien au-delà de celles des assistants médicaux"
- Les assistants-médicaux : nouveau métier ou retour en arrière ?
- 4 000 postes d’assistants médicaux accessibles après une formation d’un an
- "Mme Buzyn, pourquoi ne pas tirer profit des compétences des infirmiers ?"
- Assistant médical : « une infirmière répond à tous ces critères » selon la DGOS
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L'Assemblée nationale a voté, dans la nuit de jeudi au vendredi 10 avril 2015, la suppression de l'ordre national des infirmiers dans le cadre du projet de loi de santé. Cependant, le processus législatif suit son cours. L'amendement doit encore être adopté par le Sénat pour que l'Ordre soit effectivement supprimé...

19 députés ont voté la suppression de l'Ordre des infirmiers. Quel avenir pour l'Ordre ?
Un amendement adopté par 19 voix contre 10 par les députés dans la nuit de jeudi au vendredi 10 avril 2015 supprime l'Ordre des infirmiers. L'amendement sur cette suppression était porté par la députée apparentée socialiste Annie Le Houerou (Côtes d'Armor), qui souligne la mauvaise gestion de l'ordre
, son défaut de représentativité
et le fait qu'il créérait des tensions dans la profession
. Dans l'exposé des motifs, Annie Le Houérou explique que l'amendement "supprime l'ordre infirmier et corrélativement supprime l'inscription automatique des infirmiers au tableau de l'ordre. Seule l'obligation d'enregistrement auprès de l'autorité compétente est maintenue pour tous
. Et d'ajouter que certaines des missions dévolues à l'ordre n'apparaissent pas opportunes. Tel est le cas, à l'occasion de l'inscription au tableau, de la vérification par l'ordre des garanties 'de compétence, de moralité et d'indépendance' requises pour l'exercice de la profession après que les contrôles d'identité et de casiers judiciaires aient été effectués à l'inscription à la formation
. En l'absence de l'ordre, les infirmiers doivent être contraints de s'inscrire sur le fichier Adeli. Il incombera ensuite aux Agences Régionales de Santé (ARS) de poursuivre leur travail annuel de recensement des professions de santé.
De son côté, la ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, Marisol Touraine, a indiqué que le sujet était ancien
et que la contestation de l'ordre venait presque exclusivement des infirmières salariées
. Elle avoue que l'ordre a connu des débuts difficiles
mais qu'une nouvelle équipe a réalisé un travail d'apaisement
. La ministre a également souligné que nous avons besoin de structures qui permettent de réguler, d'accompagner la profession
, particulièrement au moment où "nous mettons en place le virage ambulatoire". Bien qu'en mai 2014, la ministre avait estimé que l'avenir de l'ordre était "clairement menacé", elle ne souhaite pas sa suppression. Ce vote paraît en effet paradoxal alors que le Conseil d'Etat a récemment enjoint le Gouvernement de publier le décret édictant le code de déontologie des infirmiers d'ici au 31 décembre 2015.
Dans un communiqué de presse, Didier Borniche, président de l'Ordre national des infirmiers, explique que si quelques députés ont manifesté leur incompréhension du rôle et des missions de l'Ordre, cela ne remet en question ni la place de l'Ordre dans la profession, ni notre fonctionnement quotidien. Le projet de loi de santé et l'ensemble des amendements qui ont été apportés seront discutés au Sénat et, si nécessaire, en Commission mixte paritaire d'ici la fin de l'année. Nous savons pouvoir compter sur le bon sens de nombreux parlementaires y siégeant, qui nous ont déjà témoigné leur soutien
.
Non, l'Assemblée nationale n'a pas supprimé l'Ordre infirmier
Des réactions mitigées
A l'annonce de la suppression de l'Ordre des infirmiers, les réactions ne se sont pas faites attendre sur les réseaux sociaux. Ainsi, Maeva estime que cela permettra, comme l'a dit une personne, de detruire la profession petit-à-petit...
Pour emi, il aurait été plus intelligent de chercher à l'améliorer et à informer les ide de son utilité
. De son côté, Joelle avoue : Je ne comprends pas pourquoi certains IDE sont contents???? L'ordre créait une union entre les infirmiers... Une fois encore, diviser pour mieux régner et surtout une décision prise en pleine nuit évidemment...
. Frédéric estime lui que notre profession restera donc une profession mineure asservie aux médecins, incapable de se défendre parmi les professions de la santé, inapte à être pleinement actrice de son avenir... Merci messieurs dames, les députés... Les infirmiers et infirmières vous remercient
. D'autres encore pointent du doigt le fait que seuls 29 députés aient voté cette suppression.
Plusieurs infirmiers ont également applaudi cette nouvelle. Seb indique c'est cool des bonnes nouvelles de si bon matin ! Mais ça va faire un bon bordel! Bonne journée les IDE!
Depuis sa création, je n'ai vu aucun changement dans l'amélioration de nos conditions de travail. A moins que cet ordre ait été mis en place pour nous faire travailler avec de moins en moins de moyens??
, souligne Carole. Quant à Emmanuelle, elle indique 13 années que j'ai mon DE, jamais cotisé à cet ordre... Et surtout jamais vu la différence, entre avant son existence et après sa création!! Au contraire ma profession se porte toujours un peu plus mal!
. D'autres encore déplorent le fait d'avoir cotisé et souhaitent donc être remboursés...
Les syndicats infirmiers eux aussi n'ont pas manqué de réagir. Ainsi, la Fédération Nationale des Infirmiers (FNI), dans un communiqué de presse, se félicite de ce vote qu’elle considère comme une victoire pour la démocratie
. De son côté, le Syndicat national des infirmières et infirmiers libéraux (Sniil) s'insurge contre cette mesure qui fait revenir la profession infirmière dix ans en arrière
.
Bref, l'avenir de l'Ordre n'est pas encore totalement scellé. Karim Mameri, secrétaire général de l'Ordre National des Infirmiers, indique que l'amendement ne veut pas dire que la loi sera promulguée ainsi
. En effet, le projet de loi de santé et l'ensemble des amendements feront l'objet d'un vote solennel, le mardi 14 avril 2015, puis devront être adoptés par le Sénat. En cas de désaccord, le Gouvernement peut convoquer une commission mixte paritaire composée de sept députés et sept sénateurs qui doivent proposer un texte commun voté ensuite par l'Assemblée nationale et le Sénat. Cependant, en cas d'échec, une nouvelle lecture du texte a lieu au sein des deux assemblées (Sénat et Assemblée nationale) et le Gouvernement peut donner le dernier mot à l'Assemblée nationale. Karim Mameri souligne également que l'Ordre a su démontrer son utilité, notamment par la suppression de l'article 30bis
cette nuit, qui avait été demandée par l'Ordre des infirmiers.

Aurélie TRENTESSE Journaliste aurelie.trentesse@infirmiers.com @ATrentesse
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Commentaires (38)
zaltaar
7 commentaires
#38
Pour répondre à corto maltese
Que d'égo et de certitudes dans ton post...
Qu' as tu fait toi pour l'ordre? t'es tu ne serais ce que présenté pour être conseiller ?? (moi oui) as tu été élu ? ( moi oui) si oui n'as tu pas vu les jeux d'influence et manoeuvres dignes des meilleurs politiciens pour acquérir un soupçon de pouvoir en plus?? (moi oui)
N'as tu pas vu l'impuissance de l'ordre face aux politiques? le dédain , le manque de considération de l'état par rapport à celui ci? ne vois tu pas que M Touraine ne veux le conserver que pour imposer des dispositions aux infirmiers qui ne passeront pas d'elles mêmes mais qui ont besoin d'un pseudo soutien d'une organisation qui se veux représentative pour éviter l'affrontement avec les syndicats?
Demande bien autour de toi les actions de l'ordre face aux réformes récentes de la psychiatrie, aux réformes de la santé passées depuis 2006 et en cours et cherche les avis qui ont été exprimés...Cherche bien, tu vas pas en trouver beaucoup.
Concernant l'évolution de nos pratiques, je pense que l'on n'a pas dû prendre le même train, le tien ayant du certainement rester à quai, car je n'ai pas attendu l'ordre pour participer à des colloques, des formations,et m'adapter aux nouvelles technologies et avancées de la médecine ( l'ordre n'ayant jamais rien proposé à ce sujet), ni même réactualiser mes connaissances.
Tu veux faire avancer la profession? toi ? hospitalier? mais alors qu'attend tu pour être représentant d'une instance de l'hôpital et faire entendre ta voix et tes valeurs? Moi j'y suis et pourtant je ne suis pas représentant syndical...ni syndiqué d'ailleurs.Quand à la profession, elle n' a pas attendu l'ordre pour se bouger et c'est bien faire fi des grands mouvements infirmiers passé.
Bobonne te laisse donc à ton super téléphone pour jouer à tes jeux préférés, après les gosses, la bouffe et les courses je retournerais à ma passion, mon métier ...
Entre deux, regarde bien autour de toi, au delà des quatre murs, il y a un monde qui t'entoure...
Fanny1408
83 commentaires
#37
Le cumul des "professionnels de la profession"
Le cumul des "professionnels de la profession" :
OrdreInfirmiers=CIF=SNPI=COLLEGEINFIRMIER=ACADEMIEDESSCIENCES=ANFIIDE = Thierry Amouroux.
mickaelm
141 commentaires
#36
euh
j'ai très bien compris corto, que l'ordre n'est pas là pour la défense de nos intérêts professionnels et catégoriels. En conséquence je ne vois pas pourquoi je devrais payer pour quelque chose qui doit défendre les patients (que nous sommes tous potentiellement). Si cela doit se faire en plus de ce qui existe déjà et bien que la société, donc l'état le fasse.
Encore une fois il ne s'agit d'une méconnaissance mais d'un désaccord. L'ordre ne nous rassemble pas d'une seule voix, il prétend uniquement être la notre, ce que nous ne voulons pas...c'est quasiment une tentative de viol intellectuel, quand on dit non,.. bah ça veut dire non...quand aux éventuelles impacts des organisations professionnelles dans les choix des politiques de santé, ils sont inexistants.
Intéressez vous aux réels pouvoirs des ordres dans les pays où ils existent et vous verrez qu'ils n'ont aucun pouvoir de décision ou d'impositions...ils peuvent rendre des avis, que les gouvernements ne leur demandent pas, et faire des colloques ceci, des formations cela et demander de l'Argent à leurs membres mais c'est tout. Si le gouvernement Fr veut le faire perdurer c'est uniquement pour les économies qu'il peut faire en répercutant sur les infirmiers les coûts administratifs de leur référencement mais certainement pas pour répandre la bonne parole.
corto-maltese
3 commentaires
#35
Ps:
Le retour serait donc au moins de la représentation et de la considération... Mais il faudrait que tout le monde joue le jeu.
corto-maltese
3 commentaires
#34
je pense
que comme toi Mickael, beaucoup prennent l'ordre pour un syndicat... Ce qu'il n'est pas. Les syndicats pour la relation avec le patronat, l'ordre pour les relations avec les patients, l'état et le monde de la santé en tant que représentant de ses membres.
L'ordre, s'il n'avait qu'un bienfait, serait déjà celui de nous rassembler en une voix.
mickaelm
141 commentaires
#33
ouai ouai ouai
passons sur toute la partie que je ne comprends, j'ai un peu de mal à voir le lien entre ce que dit Zaltaar et les critiques que lui fait corto-maltese.
donc 30 euros, (qui initialement était 75): le montant n'est pas le problème, même 1 centime, c'est le fait d'exiger une somme à des professionnels alors mêmes qu'ils n'ont rien en retour, l'ONI le dit lui même ils ne s'occupent pas des conditions salariales et professionnelles.
Concernant la résistance au changement, merci de respecter les infirmier(e)s qui n'ont pas attendu l'ordre pour faire des DU, pas plus qu'ils n'ont attendu l'universitarisation des études pour faire de la recherche.
Sur la Bobonnomie, ce n'est pas les gesticulations de certains qui ont depuis bien longtemps raccroché la blouse, qui va faire en sorte d'avoir un impact sur l'estime de soi individuelle.
Intéressez vous au domaine de la santé mentale au travail et vous verrez qu'il faut sans conteste faire un distinguo entre ce qui est exprimé et ce qui est souhaité, désiré ou attendu...
plutôt que l'ordre, proposons aux IDE, de pouvoir faire des formations SUR leur temps de travail, et vous verrez qu'il y aura plus d'un candidat, ne serait que pour pouvoir fuir tout en étant rémunéré, (ce que d'autres ont faits)....
corto-maltese
3 commentaires
#32
La réaction...
Zaltaar, tu tiens ton rôle à la perfection. Un(e) digne représentant(e) de la profession "à l'ancienne", garant(e) d'une non évolution de la pratique, d'un bon chacun pour soi et d'une image immuable de bobonne à l'hôpital.
Je suis hospitalier et j'entends encore et encore ton discours raisonner dans les couloirs mais surtout dans la salle de pause, entre les anges de la télé-réalité et le prix du café à la machine...
"ça sert à rien" => mais si le dixième des professionnels avaient pris la peine d'aller sur le site de l'ordre, ils auraient pu pu apprendre un peu sur celui-ci!
Si seulement mes confrères étaient un peu plus impliqués et avaient une visions un peu à long terme que les misérables 30€ d'une cotisation!
Désolé mais je suis las et triste d'appartenir à la même corporation que des ménagères réac (car avec de tels propos c'est ce qu'elles demeurent) qui prennent mon métier pour une occupation.
zaltaar
7 commentaires
#31
D un autre côté
Faut pas se leurer, le lobbying de ceux qui voulaient cet ordre envers et contre tous y compris contre 80% de la profession va continuer...
C'est vrai qu'il est normal dans un processus qui se veut démocratique, qu'une poignée de personne élues par un cercle très restreint, changeant les durées de mandat, font des petits arrangements entre amis dirige, commande, juge et puni, et tout cela dans la terreur l'ensemble d'une population (infirmière)...
Les mêmes qui tirent à boulet rouge sur DAESH ou les dictatures....Il est bon parfois de nettoyer devant sa porte.
eusèbe
501 commentaires
#30
Le secrétaire général de l'oni s'exprime
"karim Mameri @karim_mameri
· 1 jil y a 1 jour
19 #députéspiednickelés à 12 872€ brut/mois veulent voir l'#infirmiere d'aujourd'hui comme une nonne. #touchepasamonordre .@socialistes76"
Le débat parlementaire vu par un dirigeant majeur de l'ordre : no comment...
yves14
32 commentaires
#29
bonne nouvelle
enfin un sursaut de démocratie de la part des réputés!
mais ne baissons pas les bras; que chacun demande à ses députés de transformer l'essai.
que les syndicats communiquent que si l'ordre réapparaît les ide seront de nouveau dans l'exercice illégal et ne viendront pas travailler: les hôpitaux et cliniques peuvent-ils se passer de nos services?
eusèbe
501 commentaires
#28
Comme les chats ?
L'ordre infirmier est dépendant de sa banque qui l'alimente en argent frais (les infirmiers, plus raisonnables gardant le leur pour eux), et du pouvoir politique qui vient de l'assommer (à juste titre).
L'ordre infirmier est mort-né au printemps 2008 après les élections (payées par le contribuable) qui ont montré un taux de plus de 86 % d'abstention ; l'ordre est mort une deuxième fois en juillet 2011 après son dépôt de bilan, sauvé cette fois-ci par sa banque via une intervention élyséenne ; nous assistons actuellement à sa troisième mort, supprimé (ou dissous_j'aime bien ce terme "ordinal") purement et simplement.
Peut-être l'ordre infirmier est-il comme les chats qui ont, parait-il 7 vies ?
La Vendômoise
6 commentaires
#27
UNISSONS NOUS
https://secure.avaaz.org/fr/petition/Mesdames_Le_Houerou_et_Lemorton_Monsieur_Milondeputes_et_senateurs_Le_maintien_de_lOrdre_Infirmier/?temlnjb
La Vendômoise
6 commentaires
#26
UNISSONS NOUS
http://51955210.swh.strato-hosting.eu/wp_anfiide/actualites/actualites/
https://secure.avaaz.org/fr/petition/Mesdames_Le_Houerou_et_Lemorton_Monsieur_Milondeputes_et_senateurs_Le_maintien_de_lOrdre_Infirmier/?temlnjb
Utilisateur supprimé
20 commentaires
#25
Pas un cent i ment
J'ai entendu l'ONI réclamer 75€ puis 45€.
C'est tout.
Merci Madame Annie Le Houerou
ONI v 2.0
suzanne25
6 commentaires
#24
Un beau gachis
Il y avait une structure qui pouvait fédérer la profession. Les infirmiers et les autres para médicaux réunis on aurait eu un puissance de lobby inimaginable. 2 millions de paramédicaux peuvent faire élire n'importe quel président(e) .
Vous vous êtes fait dessus, et vous en êtes fiers. Bravo.
mickaelm
141 commentaires
#23
(2)
je veux bien comprendre que certaines personnes avec un profil narcissique précis, puissent défendre l'ordre, j’aimerais néanmoins que celles-ci évitent de nous prendre pour des personnes déficitaires, car PERSONNE ne peut défendre la légitimité de l'ordre, et encore moins sa représentativité.
et si l'ordre avait pu participer aux modifications concernant les études il aurait été encore plus loin...et au risque de vous déplaire je ne partage pas l'idée selon laquelle l'universitarisation des études soit une amélioration, mais ceci est un autre problème mais qui s'inscrit dans la même logique que l'ordre c'est à dire que certaines personnes s'autolégitimisent pour définir ce que peuvent ou non faire les IDE, alors même qu'il existe un décret de compétences. Décret que certaines personne se permettent d'interpréter en affirmant que leur interprétation est la bonne, sans tenir compte des critères connexes, tels les moyens financiers et humains disponibles.
j'invite aussi les personnes qui parlent de nécessité de se regrouper à se poser certaines questions.
1 la grande majorité des IDE souhaite-t-elle se regrouper?
2 qui est le bénéficiaire de la "nécessité"? Il n'y a aucune étude sérieuse qui démontre que la qualité des soins soit supérieure lorsqu'il existe un ordre.
3 la représentativité n'est elle pas à aller questionner si ce n'est à l'unanimité au moins à la majorité?
mickaelm
141 commentaires
#22
bon commencement
Je suis vraiment étonné que l'on puisse encore montrer en exemple des pays comme le canada. Déjà pour commencer il y a un ordre par province, et ensuite contrairement à ce que dit iade 05, la grande majorité des infirmières est contre cet ordre. pourquoi?
1- cotisation à 450$/an
2- formation de plusieurs heures obligatoires par an (l'ordre en propose, elles sont payantes...ou alors vous pouvez vous rendre à l'assemblée générale de l'ordre car ces heures vous seront comptabilisées....)
3- AUCUN pouvoir de faire améliorer la qualité des soins, donc de défendre les citoyens. car il ne suffit pas d'écrire des articles ou de se faire prendre en photo avec tel ou tel politique pour avoir un réel pouvoir décisionnaire. Il y a une quinzaine d'Années, l'ordre existait déjà, le Québec a connu de telles coupures budgétaires qu'il n'y avait presque plus d'infirmière. beaucoup d'entre elles devaient faire des 16h d'affilés...pas bien sûr que la qualité des soins étaient assurée. plus tard on a donné la possibilité à des préposés aux bénéficiaires (entre l'ASH et l'Aide soignant) de faire les insulines des patients, alors qu'en même temps on obligeait les infirmières hospitalière a toujours faire vérifier leur préparation par une collègue, avec contre-signature et tout le tralala....quelle est la logique?
4- malgré leur formation, avec les évaluations qui vont avec, il faut encore qu'ils passent un examen auprès de l'ordre, examen qui demande une préparation du fait de la forme des questions....et comment savoir quelles sont les connaissances à avoir et comment les mettre en avant? c'Est simple il suffit de se procurer les livres et autres outils faits par l'ordre....mais bien évidemment ce n'Est pas gratuit.....
5- aucune transparence sur les comptes : qui touche combien?
concernant l'ONI, c'est assez drôle de lire ici, que la personne qui a présenté ce projet de suppression, n'a pas de légitimité, l'ONI n'en avait aucune non plus.
elhombredelamancha
64 commentaires
#21
de la critique syndicale...
profondément anti-ordinal , j ai tout de même suffisamment de bonne foi pour reconnaitre l absolue inutilité -au même titre que l ordre hein- des syndicats dans leur ensemble en ce qui concerne la défense de nos intérêts...
ce "combat" bien tardif que certains d entre eux ont mené contre l ordre n est qu opportunisme , posture et communication ...
peut être avions nous davantage besoin d une adhésion OBLIGATOIRE à un ensemble à (re)créer de syndicats catégoriels IDE que de la création d un ordre IDE dépourvu de toute utilité...mais là le pouvoir politique ne va quand même pas se tirer une balle dans le pied , ne rêvons pas ...
zaltaar
7 commentaires
#20
C'est vrai...
Que l'ONI a été très efficace depuis 2006, réaliser des conseils de discipline, alors que le code de déontologie n' a toujours pas été approuvé,c'est vrai qu'on l'a souvent entendu s'exprimer sur les différentes réformes de la santé depuis 8 ans (exepté il est vrai pour le glissement des taches récement car il avait le feu aux fesses).
C'est vrai qu'on l' a souvent entendu s'exprimer sur la précarisation des personnels salariés, ou la dégradation des conditions de travail....sa c'est de la défense de la profession....
Mais pour faire convoquer des honnètes travailleurs dans les gendarmeries ou faire du harcèlement là ils sont efficace.
Et qu'on me parle pas de légitimité d'exercice, moi j'ai un diplome d'état, reconnu par l'état, ai été formé par l'état, je ne vois pas de meilleur reconnaissance de droit d'exercice, mon diplome est français et j'ai pas fais mes études à l'étranger comme c'est le cas pour de nombreux auttres paramédicaux, kinés en tête.
Quand à l'histoire de l'oni et des rapports syndicaux, n'oubliez pas qu'il a été créé suite à un lobbying intense et de longue date de certains syndicats d'IDE libéraux, voulant faire main mise sur la direction de la profession.
Quelque schiffres:La profession c'est 500 000 personnes dont 80% de salariés privé/publique (donc 400 000) et 168110 inscrits....posez vous les bonnes questions sachant que les libéraux sont quasi tous affiliés à l'ordre .
Au fait, depuis 2006, quels ont été les prises de position de l'ONI?et ses actions?
Bonne réflection et j'espère vous avoir apporté un bon éclairage
Otthilie
2 commentaires
#19
Ah oui le Verbatim des débats ...
Votre discours est bien mieux rodé que le mien en effet ....Cependant l'entité professionnelle, l'Ordre Infirmier avec justement ...des infirmiers qui travaillent comme vous et moi dans le monde réel reste légitime. Je me permets alors de m'interroger sur ce qui vous tient à cœur, vous, à la place, remettre notre métier entre les mains d'une ancienne dirigeante d'un Zoopôle. C'est vraiment une vision étonnante de notre métier.
Nb: elle est comment votre ARS à vous ? Abordable ? Ne me dites pas que vous avez vos entrées aussi ... Et l'HAS une grosse machine ça, non ? On va se sentir vraiment écouté grâce à votre obstination à faire croire que la profession n'a pas besoin d'un ordre.
Personne n'attend plus une réponse objective de votre part
eusèbe
501 commentaires
#18
Rengaine...
Et l'on retrouve toujours le même discours anti-syndical, la résistance au changement, l'ordre rassembleur de la profession, les infirmiers qui n'ont rien compris, bref, les éternels et lassants couplets.
Le travail qu'a fait en amont Madame Le Houerou a été reconnu et salué, ce n'est donc pas une décision irréfléchie que de supprimer l'ordre.
La profession va pouvoir grandir.
Otthilie
2 commentaires
#17
Cela ne dérange personne ...?
Que les syndicats veulent garder la main mise sur notre profession?
Je suis infirmière donc un individu apolitique sur mon terrain de travail et je veux pouvoir me référer à un organisme professionnel qui l'est aussi. Que notre sort soit décidé par des politiques sous pression des syndicats en échange d'un quelconque avantage qui ne nous ne nous concerne en rien, moi ça me dérange.
Je ne suis pas une monnaie d'échange pour leurs petits arrangements. Leurs préoccupations dépassent notre quotidien, l'intégrité de chacun et nos soins auprès des plus vulnérables. Je soutiens donc l'Ordre Infirmier et j'encourage tous mes collègues qui sont capables de faire front à cette résistance au changement... et qui n'ont pas peur de se faire casser la gueule à la récrée de faire de même...
Motarde de DIJON
35 commentaires
#16
Bla bla bla...
Calmons nous!
Ne prenons pas pour argent comptant ce qui nous est dit. Méfions-nous des effets d'annonces...
Pour l'instant, l'Ordre des Infirmiers n'est pas supprimé comme on le raconte...
zaltaar
7 commentaires
#15
Détail...
168110 infirmiers inscrits?? combien de volontaires?? combien l'ont fait sans la peur du gendarme? et combien dans chaque catégorie salariés, libéraux?
Quelle gabegie...Que de rapports de force, et de guerres d'égo...
En passant par là...combien de cadres nous représentent dans les conseils (nationaux départementaux ou régionaux) c'est vrai qu'ils sont aux faits des difficultées quotidiennes des ide de terrain, et sont enclin à nous défendre, sauvegarder nos intérets, notre éthique, eux qui nous pressent comme des citrons à longueur de journée, préferant la quantité à la qualité du soin, épuisant leurs personnels jusqu'au burn out...
Moi aussi j'ai été conseiller, et je taierais ce que j'ai vu et entendu....je taierai tout sauf une chose, les représentants les plus intègres ont démissionné ou ne se sont pas représenté.
Posez vous la question de la représentativité quand de nombreux départements n'ont pas le nombre de représentant prévu par la loi, que vaut la parole de personnes qui rallongent leur durée de mandat de manière dictatoriale (je décide vous faites) évidement avant des élections qui remettraient leur position en jeu.
Personnellement, je peux me regarder dans la glace, je n'ai jamais touché un cents d'indemnité...mais combien en ont abusé et en abusent encore?? je serais très heureux de savoir les indemnités et les avantages des "gens d'en haut" sensés nous donner l'exemple, et combien de salire de jeunes diplomés cela représente....Je me réjouis certainement trop vite, mais faut arrèter cet obscurantisme qu'on nous vend à la sauce représentativité, ce n' est que jeux politiques et guerre d'égo cet ordre, rien de plus
La Vendômoise
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#14
Désolant...
Imaginez un regroupement de plus de 500 000 professionnels parlant d'une même voix…évidemment cela fait peur aux élus et aux syndicats. Quelle serait leur représentativité…et pourtant le rôle de chacun est différent et il y a de la place pour tout le monde.
Peut être que des dysfonctionnements subsistent au sein de l'ordre mais il n'a jamais été soutenu par notre profession. Alors c'est facile de dire qu'il divise. Se sont plutôt ses détracteurs qui nous divisent…et aujourd'hui ils se targuent d'avoir supprimé un regroupement de 168 110 professionnels…ce qui en fait le groupe le plus représentatif de notre profession!
eusèbe
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#13
Et puis une autre
http://www.fed-cfdt-sante-sociaux.org/content/abrogation-ordre-infirmier-essai-marque-transformer
eusèbe
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#12
Une réaction
http://www.fosps.com/vers-labrogation-de-lordre-national-infirmier/
dino
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#11
Post-scriptum
Si l'ONI s'était positionné du départ comme le porte parole des infirmiers, comme un interlocuteur face au gouvernement et au pouvoir médical, j'aurais dans doute mis en veilleuse mes critiques. Mais bien au contraire, il s'est retourné dés le départ contre la profession, mettant son énergie dans la création d'un fichier, la rédaction d'un soi-disant code de déontologie et - suite logique - la volonté de créer une instance disciplinaire pour mieux contrôler les troupes. Si vous voyez un progrès là-dedans, alors effectivement nous n'avons pas les mêmes valeurs et le débat est inutile.
elhombredelamancha
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#10
champagne !
a 30 ou 75 euros , comme il vous plaira ...
il est tout de même amusant de voir les rares , très rares derniers apôtres de l ordre de la très sainte anne sortir du bois et nous vendre de l uchronie sur leur bilan lamentable ...
aucune représentativité , aucune légitimité , aucune production digne d intérêt , des affaire de pognon (enfin celui des autres) et d influence douteuse , la contrainte pour les uns et le fait du prince pour les autres , des missions en doublon non remplies...bref , on arrête la gabegie et on renvoie tous ces aspirants à la grandeur administrative au boulot...
Ferinf
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#9
Encore et encore ...
L'Histoire ne se répète pas, elle bégaie...
Cette dame, élue par le peuple pour exercer la démocratie, qui est venue défendre un amendement devant 30 députés, n'a sans doute pas vu qu'un problème plus grand que celui de l'Ordre se trouvait dans son hémicycle. De quel droit pense-t-elle légiférer pour une profession de plus de 500 000 personnes avec son petit cercle restreint de quelques collègues ? C'est vraiment pour travailler ainsi qu'elle a sollicité un mandat ?
En ce qui concerne l'Ordre lui-même, je n'ai aucun doute sur sa pérennité. "Les chiens aboient et la caravane passe". Durant 27 années j'ai milité dans un syndicat des personnels de santé, que j'ai dû quitter suite à mon engagement dans l'Ordre. On peut voir aujourd'hui où en sont les conditions de travail pour les infirmiers... Et pourtant c'est exclusivement de leur ressort, et pas de celui de l'Ordre comme semble le croire des personnes qui n'ont manifestement jamais été syndiquées ou impliquées dans des associations professionnelles (sinon elles ne mentionneraient pas des erreurs aussi énormes).
Depuis 2006 je suis une conseillère ordinale et fière et de l'être, fière d'avoir rejoint une communauté européenne et internationale, fière de contribuer à l’émancipation de ma profession d'un carcan de "gentillesse" et "disponibilité". Nous sommes des professionnelles à part entière, et non pas des auxiliaires quelconques.
Si seulement toute l'énergie employée à vouloir détruire l'Ordre avait été mise à profit pour manifester notre fierté d'appartenir à une profession fédérée, à la fois multiple dans son exercice et unique dans ses valeurs et compétences.
L'Ordre des Infirmiers vivra ... car nous le valons bien !!!
Fan2bd
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#8
renseignez vous!
Il ne s’agit que d’un amendement à un projet de loi qui n’est donc pas applicable car la loi n’est pas promulguée. Le Sénat ne l’a pas encore examiné, le Conseil constitutionnel non plus. De surcroît cet amendement a fait l’objet d’un avis défavorable du Gouvernement. Une toute petite proportion de députés l’a voté (19 personnes/577).
Par conséquent cette information diffusée dans la presse ne change strictement rien à l’existence juridique de l’Ordre
De plus les élus font un travail au quotidien considérable, le plus souvent sur leur temps personnel. Ils ne sont pas rémunérés pour cela.
Prenez contact avec vos élus, demandez à les rencontrer, à discuter avec eux.
Vous vous ferez ainsi votre propre opinion, sans être instrumentalisés par certains.
dino
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#7
Ppfff...
...tout ça pour ça ; des années de polémiques pour en arriver là, à savoir que cet ordre est bel et bien une usine à gaz malfaisante. En tout cas, cela aura fait une p..... de diversion durant un moment ; pendant que l'on parle de l'ONI, on oublie de parler des choses qui fâchent réellement dans la profession.
Cela dit, ne crions pas victoire trop rapidement ; méfions-nous du petit cirque législatif avec tous les recours possibles...
oktanol
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#6
Catastrophe
Si cette mesure passe, la profession infirmière sera émiettée, non représentée et comme au bon vieux temps, à la botte des médecins. L'ordre voulait vous donner votre indépendance! Le prix de l'indépendance et de représenter (enfin) les +500'000 infirmiers en France: 30€ par ans pour les salariés!! L'Ordre des médecins: 300€, l'Ordre des Sages Femmes: 145€.
Un argument des "contre Ordre": "Ouai on a rien vu comme évolution, l'Ordre n'a rien fait depuis 2006": Vous ne cotisez pas! Malgré le fait que vous soyez en exercice illégal de la profession d'infirmier, vous ne cotisez pas, l'Ordre ne peut donc EVIDEMENT pas avoir le poids qu'il pourrait avoir: imaginez un organisme représentatif des 500'000 infirmiers français: on aurait enfin un poids. Mais non les infirmières et infirmiers n'ont encore rien compris à la devise: "L'union fait la force".
Pour répondre à certains, l'Ordre n'a pas "créé une grande division au sein de la profession". L'Ordre veut rassembler: ce sont les infirmiers qui se divisent, car ils n'ont rien compris, il y a beaucoup de désinformation au sujet de l'Ordre. Bref je trouve ça navrant...
Un jeune IDE.
zaltaar
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#5
Enfin...
Enfin la disparition de cet ordre....
A quoi a t il servi jusqu a aujourdhui?? a rien.
Si gaver les conseillers nationaux ( j ai entendu des sommes telles que 5000 euro par mois), des indemnités indécentes quand la plupart rament tous les jours pour finir les fins de mois, un ordre sans légitimité, pour preuve, nombre de conseils départementaux n' a pas pu faire élire le nombre de conseillers établis par la loi, faute de volontaire.
Il se targue de représenter....20% des professionnels, la plupart du temps sous la contrainte.
Quand à ses actions....comment dirais je...depuis 2006...
Création d 'un code de déontologie toujours pas validé par le gouvernement, par contre dès les premières semaines de création, on avait déjà mis en place les instances répressives, payé un fabuleux voyage à Madame la présidente au Maroc , et on parlait déjà des indemnitées de chacun, les ide libérales représentantes touchant le plus gros paquet (au niveau départemental)
Quand à la représentativité...Historique ment, cet ordre a été voulu par les ide libérales histoire de s'octroyer un pouvoir certain dans un jeu politique qui nous dépasse, et n'a jamais eu l'approbation des salariés du publique ou du privé, il suffit juste de regarder les taux de participation ridicules.
Et la représentativité par rapport au gouvernement, ils rigolent bien avec ces marionnettes, je me souviens avoir reçu la veille un document concernant la refonte de la psychiatrie (2008 ou 2009 de mémoire) pour un avis à donner le lendemain par les instances dirigeantes, sa c'est de l'estime pour des instances représentatives...Et je ne vous dis même pas l'ambiance lors des conseils , si on avait malheur de sortir du rang, on se faisait remettre à sa place comme il le falait...Au fait, juste une question comme cela...comment se fait il que la plupart des conseillers (et/ou présidents) soient cadres ou cadre sup??Ou n'ayant que très peu d 'activité professionnelle? A oui, les cadres sa représente mieux une profession...
sebastien dubitatif
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#4
en effet bravo!!
bonjour ,
voila une fois de plus un exemple de l'autoritarisme politique de certains députés qui votent la nuit, en tout petit comité sur l’existence d'une instance représentative d'une profession de plus de 400 000 travailleurs....
"oups", on dirait un discours communiste ... ....!!!
enfin une fois de plus nos cher députés discréditent leur propre images, rôles et missions sur l'attente de l'ensemble des français . et après ils s’étonnent que beaucoup n'aillent plus voté!!
à ce demander lesquels vaudrait mieux "supprimer"!!!!!
avec tout ça la profession risque de mettre un brave moment pour grandir.
bien à vous
perika
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#3
Mouais...
Je ne suis pas un fervent defenseur de l'Ordre tel qu'il nous a été vendu mais je pense qu'effectivement, au lieu de le supprimer, il fallait le refondre de A à Z.
Effectivement, 500000 professionnels peuvent prétendre à un organe REPRESENTATIF et DEFENSEUR...
Je ne me rejouirai donc pas de sa suppression.
Par contre, le vote de cette nuit montre une chose : nos dirigeants n'ont rien à faire de notre profession ! 29 votants sur les 577 que compte l'Assemblée Nationale ! C'est honteux de montrer autant de mépris pour notre profession !
IADE 05
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#2
Suppression Ordre Infirmier
Je suis révoltée par le suppression de l'ordre infirmier. Certes il a été très mal vendu et ses débuts ont été plus que chaotiques mais c'est le seul organe qui aurait pu nous regrouper et nous représenter. Pratiquement 500 000 IDE en France et du coup autant de moutons. Si l'Ordre avait été mieux implanté nous n'aurions pas eu la réforme des études d'infirmières que nous avons eu en 2009. L'universitarisation oui c'est bien mais si c'est pour des conventions entre les IFSI et les fac de médecine quel progrès ! On n'a même pas été capables de créer des facultés de sciences infirmières. Les canadiens ne sont pas bons en tout mais demandez à une infirmière canadienne ce qu'elle pense de l'ordre infirmier. On revient 50 ans en arrière. On la met quand lea cornette?
eusèbe
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#1
Bravo !
La loi du 21 décembre 2006, d'origine parlementaire, était née d'un gros mensonge et a créé, au sein de la profession, une grande division.
Malgré l'argent et le lobbying, la détermination des infirmiers a eu raison de cet anachronisme.
Les Députés rectifient l'erreur de leurs prédécesseurs, la boucle est bouclée.
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