Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Traitement de l'infarctus: danger des stents recouverts
VIENNE - Les médecins devraient réfléchir à deux fois avant d'implanter des stents diffuseurs de médicaments chez les patients victimes d'un infarctus: le risque de mourir deux ans après l' intervention est cinq fois plus élevé que chez ceux qui se sont fait implanter des ressorts de métal simple, selon une étude française.
Présentée mardi à Vienne lors du Congrès de la société européenne de cardiologie, l'étude a été menée par l'équipe du Pr Gabriel Steg (hôpital Bichat-Claude Bernard, Paris). Au total 94 hôpitaux de 14 pays différents ont collaboré et 2.298 personnes ont pu être suivies pendant deux ans.
Ces stents sont implantés pour maintenir une artère ouverte au cours d'une angioplastie.
"Face à cette augmentation de la mortalité, nous devons peut-être faire marche arrière en terme d'utilisation des stents diffuseurs des médicaments", a déclaré le Pr Steg, qui présentait l'étude.
Les résultats ne sont pas définitifs, mais les scientifiques insistent sur les différences existent entre les deux groupes de patients.
Et compte-tenu de la polémique, les stents recouverts de médicaments étant accusés de favoriser la survenue de thromboses mortelles chez certains patients, les médecins ont déclaré que cette étude allait probablement avoir des répercussions sur le traitement des troubles cardiaques.
Une étude suédoise présentée dimanche au même congrès de Vienne, montrait, elle, qu'après quatre ans, aucune différence significative n'était établie entre les deux types de stents. Mais l'étude concernant des patients stables, à l'opposé de patients ayant été victimes d'un infarctus, les experts ont estimé que les deux études n'étaient pas contradictoires.
"Les stents recouverts ne conviennent pas à tout le monde", a estimé le Dr Eckhart Fleck, directeur de la cardiologie de l'Institut allemand du coeur de Berlin, et un des porte-parole de la société européenne. Selon lui, il n'est pas forcément nécessaire de payer un stent plus cher. Les stents recouverts coûtent environ 1687.21 euros (2.300 dollars), alors que les autres ne coutent que 513 euros (700 dollars).
En cas d'urgence, quand il existe une caillot sanguin dans l'artère rompue, le stent recouvert peut être dangereux, entraînant plus de caillots et rendant le débit sanguin difficile. Cette étude risque de calmer l'enthousiasme des médecins concernant l'utilisation de ces stents, a estimé le Dr Spencer King, cardiologue du centre Fuqua Arts, Atlanta et porte-parole du collège américain de cardiologie.
Quand les stents recouverts ont été introduits sur le marché en 2003, ils sont devenus le matériel médical le plus rapidement vendu de l'histoire récente. Mais quand sont apparus les premières inquiétudes, les ventes se sont effondrées. Aux Etats-Unis, alors qu'on en implantait chez 90% des malades, on ne le fait plus que chez 70% d'entre eux. Une diminution qui, selon Spnecer King, n'est rien d'autre qu'une correction de l'hyperexcitation que ces produits ont entrainée.
Pour le Pr Steg, ces stents gardent toute leur place dans le dispositif thérapeutique, dans la mesure où les patients sont bien choisis. Selon Fleck, le receveur idéal serait le patient stable possédant des vaisseaux étroits, capable de prendre des anti-coagulants pendant au moins six mois. AP
VIENNE - Les médecins devraient réfléchir à deux fois avant d'implanter des stents diffuseurs de médicaments chez les patients victimes d'un infarctus: le risque de mourir deux ans après l' intervention est cinq fois plus élevé que chez ceux qui se sont fait implanter des ressorts de métal simple, selon une étude française.
Présentée mardi à Vienne lors du Congrès de la société européenne de cardiologie, l'étude a été menée par l'équipe du Pr Gabriel Steg (hôpital Bichat-Claude Bernard, Paris). Au total 94 hôpitaux de 14 pays différents ont collaboré et 2.298 personnes ont pu être suivies pendant deux ans.
Ces stents sont implantés pour maintenir une artère ouverte au cours d'une angioplastie.
"Face à cette augmentation de la mortalité, nous devons peut-être faire marche arrière en terme d'utilisation des stents diffuseurs des médicaments", a déclaré le Pr Steg, qui présentait l'étude.
Les résultats ne sont pas définitifs, mais les scientifiques insistent sur les différences existent entre les deux groupes de patients.
Et compte-tenu de la polémique, les stents recouverts de médicaments étant accusés de favoriser la survenue de thromboses mortelles chez certains patients, les médecins ont déclaré que cette étude allait probablement avoir des répercussions sur le traitement des troubles cardiaques.
Une étude suédoise présentée dimanche au même congrès de Vienne, montrait, elle, qu'après quatre ans, aucune différence significative n'était établie entre les deux types de stents. Mais l'étude concernant des patients stables, à l'opposé de patients ayant été victimes d'un infarctus, les experts ont estimé que les deux études n'étaient pas contradictoires.
"Les stents recouverts ne conviennent pas à tout le monde", a estimé le Dr Eckhart Fleck, directeur de la cardiologie de l'Institut allemand du coeur de Berlin, et un des porte-parole de la société européenne. Selon lui, il n'est pas forcément nécessaire de payer un stent plus cher. Les stents recouverts coûtent environ 1687.21 euros (2.300 dollars), alors que les autres ne coutent que 513 euros (700 dollars).
En cas d'urgence, quand il existe une caillot sanguin dans l'artère rompue, le stent recouvert peut être dangereux, entraînant plus de caillots et rendant le débit sanguin difficile. Cette étude risque de calmer l'enthousiasme des médecins concernant l'utilisation de ces stents, a estimé le Dr Spencer King, cardiologue du centre Fuqua Arts, Atlanta et porte-parole du collège américain de cardiologie.
Quand les stents recouverts ont été introduits sur le marché en 2003, ils sont devenus le matériel médical le plus rapidement vendu de l'histoire récente. Mais quand sont apparus les premières inquiétudes, les ventes se sont effondrées. Aux Etats-Unis, alors qu'on en implantait chez 90% des malades, on ne le fait plus que chez 70% d'entre eux. Une diminution qui, selon Spnecer King, n'est rien d'autre qu'une correction de l'hyperexcitation que ces produits ont entrainée.
Pour le Pr Steg, ces stents gardent toute leur place dans le dispositif thérapeutique, dans la mesure où les patients sont bien choisis. Selon Fleck, le receveur idéal serait le patient stable possédant des vaisseaux étroits, capable de prendre des anti-coagulants pendant au moins six mois. AP
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Roselyne Bachelot cherche de nouveaux financements dans la santé
PARIS (Reuters) - Le gouvernement recherche des financements nouveaux "les plus justes" et les "moins pénalisants" pour l'économie permettant la prise en charge des nouvelles dépenses de santé, déclare Roselyne Bachelot.
"Nous préparons plusieurs réformes structurelles qui devront aboutir entre fin 2007 et mi-2008", souligne la ministre de la Santé dans Les Echos, à paraître mercredi.
Pour Roselyne Bachelot, "la maîtrise des dépenses et la qualité des soins sont le fil rouge de ces réformes."
Mais "il faudra également nous pencher sur la question des recettes de l'assurance-maladie : il s'agit de trouver les financements nouveaux les plus justes et les moins pénalisants pour l'économie, afin de prendre en charge les nouvelles dépenses liées à l'amélioration de la prise en charge", explique-t-elle.
Selon la ministre, "des nouvelles recettes permettant d'atteindre simultanément des objectifs de santé publique peuvent s'avérer pertinentes." C'est déjà aujourd'hui le cas du tabac."
Interrogée sur l'hostilité soulevée par le projet de franchise non remboursée de 50 centimes par boîte de médicament et par acte paramédical, et de 2 euros par transport médical, Roselyne Bachelot insiste sur le fait qu'elle va permettre de financer "des besoins sanitaires nouveaux, croissants, mal couverts", à savoir la maladie d'Alzheimer, le cancer et les soins palliatifs.
"C'est vrai que cela représente un effort important demandé aux Français, mais quelle était l'alternative ? Augmenter à nouveau les cotisations ou la CSG ? Ce n'est pas le choix que nous avons fait", ajoute-t-elle.
La ministre souligne qu'un plafond de 50 euros par an est prévu pour préserver les plus malades, "ainsi que l'exonération pour les moins de 16 ans, les femmes enceintes et les bénéficiaires de la CMU, ce qui représente près de 10 millions de personnes."
PARIS (Reuters) - Le gouvernement recherche des financements nouveaux "les plus justes" et les "moins pénalisants" pour l'économie permettant la prise en charge des nouvelles dépenses de santé, déclare Roselyne Bachelot.
"Nous préparons plusieurs réformes structurelles qui devront aboutir entre fin 2007 et mi-2008", souligne la ministre de la Santé dans Les Echos, à paraître mercredi.
Pour Roselyne Bachelot, "la maîtrise des dépenses et la qualité des soins sont le fil rouge de ces réformes."
Mais "il faudra également nous pencher sur la question des recettes de l'assurance-maladie : il s'agit de trouver les financements nouveaux les plus justes et les moins pénalisants pour l'économie, afin de prendre en charge les nouvelles dépenses liées à l'amélioration de la prise en charge", explique-t-elle.
Selon la ministre, "des nouvelles recettes permettant d'atteindre simultanément des objectifs de santé publique peuvent s'avérer pertinentes." C'est déjà aujourd'hui le cas du tabac."
Interrogée sur l'hostilité soulevée par le projet de franchise non remboursée de 50 centimes par boîte de médicament et par acte paramédical, et de 2 euros par transport médical, Roselyne Bachelot insiste sur le fait qu'elle va permettre de financer "des besoins sanitaires nouveaux, croissants, mal couverts", à savoir la maladie d'Alzheimer, le cancer et les soins palliatifs.
"C'est vrai que cela représente un effort important demandé aux Français, mais quelle était l'alternative ? Augmenter à nouveau les cotisations ou la CSG ? Ce n'est pas le choix que nous avons fait", ajoute-t-elle.
La ministre souligne qu'un plafond de 50 euros par an est prévu pour préserver les plus malades, "ainsi que l'exonération pour les moins de 16 ans, les femmes enceintes et les bénéficiaires de la CMU, ce qui représente près de 10 millions de personnes."
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Sarkozy confie à Larcher une mission sur l'hôpital public
PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy a demandé à l'ex-ministre de l'Emploi Gérard Larcher d'organiser une concertation sur les missions de l'hôpital public, annonce mardi l'Elysée dans un communiqué.
Le président de la République avait annoncé le 22 mai le lancement de cette concertation lors d'un déplacement au centre hospitalier de Dunkerque.
La mission présidée par Gérard Larcher, ancien président de la Fédération hospitalière de France, sera composée de personnalités qualifiées issues du monde hospitalier, des autres domaines de l'offre de soins, du secteur médico-social et des systèmes de financement, précise l'Elysée.
Nicolas Sarkozy installera cette commission début octobre.
PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy a demandé à l'ex-ministre de l'Emploi Gérard Larcher d'organiser une concertation sur les missions de l'hôpital public, annonce mardi l'Elysée dans un communiqué.
Le président de la République avait annoncé le 22 mai le lancement de cette concertation lors d'un déplacement au centre hospitalier de Dunkerque.
La mission présidée par Gérard Larcher, ancien président de la Fédération hospitalière de France, sera composée de personnalités qualifiées issues du monde hospitalier, des autres domaines de l'offre de soins, du secteur médico-social et des systèmes de financement, précise l'Elysée.
Nicolas Sarkozy installera cette commission début octobre.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Hépatite A dans les Côtes d'Armor: levée de l'interdiction de pêche à pied de coquillages
BREST - La préfecture des Côtes d'Armor a annoncé la levée mardi soir de l'interdiction de la pêche à pied de coquillages en baie de Paimpol, décrétée après une épidémie d'hépatite A qui a contaminé jusqu'à présent 59 personnes.
Selon la prefecture, la contamination de ces personnes "correspond à un épisode passé, bien circonscrit dans le temps: 8 au 19 juillet" Mais elle ne donne pas d'explications précises sur l'origine de l'épidémie.
Parmi les malades âgés de quatre à 64, 24 résident dans le département et trente-cinq n'ont fait qu'y passer, tous pendant la période incriminée. Neuf d'entre eux ont été brièvement hospitalisés. AP
BREST - La préfecture des Côtes d'Armor a annoncé la levée mardi soir de l'interdiction de la pêche à pied de coquillages en baie de Paimpol, décrétée après une épidémie d'hépatite A qui a contaminé jusqu'à présent 59 personnes.
Selon la prefecture, la contamination de ces personnes "correspond à un épisode passé, bien circonscrit dans le temps: 8 au 19 juillet" Mais elle ne donne pas d'explications précises sur l'origine de l'épidémie.
Parmi les malades âgés de quatre à 64, 24 résident dans le département et trente-cinq n'ont fait qu'y passer, tous pendant la période incriminée. Neuf d'entre eux ont été brièvement hospitalisés. AP
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Un enfant libyen prochainement opéré à Marseille
MARSEILLE (Reuters) - L'Assistance publique des hôpitaux de Marseille (AP-HM) a confirmé mardi avoir été sollicitée pour accueillir le jeune libyen Ramadan Mohamed Saleh, qui devrait subir une nouvelle opération du coeur dans un établissement marseillais.
"Les équipes médicales et chirurgicales de l'AP-HM, très souvent impliquées dans des programmes de coopération et de transfert de compétences au plan international, ont effectivement été sollicitées pour prendre en charge le petit Mohamed", dit-elle dans un communiqué. "L'AP-HM prépare actuellement sa venue en liaison avec les autorités françaises et libyennes."
Le nom de l'enfant, qui a été opéré une première fois à Marseille en 2006, a été cité par Cécilia Sarkozy dans un entretien accordé à l'Est Républicain où elle s'est exprimée sur son rôle dans les négociations avec la Libye ayant abouti à la libération des cinq infirmières bulgares et du médecin d'origine palestinienne condamnés à mort par la justice libyenne.
Une polémique a éclaté sur la transparence de cette affaire après l'annonce d'accords de défense conclus avec la Libye dans la foulée du voyage à Tripoli de Cécilia Sarkozy et de Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée, ainsi que de la commissaire européenne aux Relations extérieure, Benita Ferrero-Waldner, mobilisée depuis longtemps sur ce dossier.
Cécilia Sarkozy a assuré qu'à "(son) niveau, il ne s'est agi que de contreparties d'ordre médical".
"J'ai offert à l'hôpital de Benghazi des médecins chargés de former leurs homologues libyens, des équipements, des traitements contre le sida et des visas rapides pour que des cas urgents puissent venir se faire traiter en France", a-t-elle déclaré.
MARSEILLE (Reuters) - L'Assistance publique des hôpitaux de Marseille (AP-HM) a confirmé mardi avoir été sollicitée pour accueillir le jeune libyen Ramadan Mohamed Saleh, qui devrait subir une nouvelle opération du coeur dans un établissement marseillais.
"Les équipes médicales et chirurgicales de l'AP-HM, très souvent impliquées dans des programmes de coopération et de transfert de compétences au plan international, ont effectivement été sollicitées pour prendre en charge le petit Mohamed", dit-elle dans un communiqué. "L'AP-HM prépare actuellement sa venue en liaison avec les autorités françaises et libyennes."
Le nom de l'enfant, qui a été opéré une première fois à Marseille en 2006, a été cité par Cécilia Sarkozy dans un entretien accordé à l'Est Républicain où elle s'est exprimée sur son rôle dans les négociations avec la Libye ayant abouti à la libération des cinq infirmières bulgares et du médecin d'origine palestinienne condamnés à mort par la justice libyenne.
Une polémique a éclaté sur la transparence de cette affaire après l'annonce d'accords de défense conclus avec la Libye dans la foulée du voyage à Tripoli de Cécilia Sarkozy et de Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée, ainsi que de la commissaire européenne aux Relations extérieure, Benita Ferrero-Waldner, mobilisée depuis longtemps sur ce dossier.
Cécilia Sarkozy a assuré qu'à "(son) niveau, il ne s'est agi que de contreparties d'ordre médical".
"J'ai offert à l'hôpital de Benghazi des médecins chargés de former leurs homologues libyens, des équipements, des traitements contre le sida et des visas rapides pour que des cas urgents puissent venir se faire traiter en France", a-t-elle déclaré.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Don d'organes : en parler, avec son médecin
Par Destination Santé Destination Sante - Mercredi 5 septembre, 09h00
D'après une récente enquête réalisée par l'Agence de Biomédecine, 95% des jeunes de 16 à 25 ans considèrent leur médecin comme un « vecteur d'information fiable » sur le don d'organes. Pour faciliter l'échange, l'Agence vient donc de créer de nouveaux outils pédagogiques à destination des médecins.
Au cours de ce mois de septembre, tous les praticiens vont recevoir par courrier, un bloc de feuillets détachables, destinés à leurs jeunes patients. Chaque feuillet mentionne l'adresse d'un site d'information dédié au don et à la greffe d'organe. Il est accessible à l'adresse suivante : www.ledonlagreffeetmoi.com.
Rappelons qu'en 2006, et même si 4 428 greffes ont pu être réalisées, 239 patients sont décédés faute de greffon disponible. Pour augmenter le nombre des malades effectivement greffés, « il est essentiel d'inciter chacun à communiquer sa décision sur le don de ses organes à ses proches », insiste l'Agence. Quand le choix du défunt n'est pas connu en effet, la famille hésite et peut parfois, s'opposer au prélèvement. En France, près du tiers des prélèvements possibles ne sont pas effectués du fait de l'opposition des proches…
Source : Agence de Biomédecine, août 2007
Par Destination Santé Destination Sante - Mercredi 5 septembre, 09h00
D'après une récente enquête réalisée par l'Agence de Biomédecine, 95% des jeunes de 16 à 25 ans considèrent leur médecin comme un « vecteur d'information fiable » sur le don d'organes. Pour faciliter l'échange, l'Agence vient donc de créer de nouveaux outils pédagogiques à destination des médecins.
Au cours de ce mois de septembre, tous les praticiens vont recevoir par courrier, un bloc de feuillets détachables, destinés à leurs jeunes patients. Chaque feuillet mentionne l'adresse d'un site d'information dédié au don et à la greffe d'organe. Il est accessible à l'adresse suivante : www.ledonlagreffeetmoi.com.
Rappelons qu'en 2006, et même si 4 428 greffes ont pu être réalisées, 239 patients sont décédés faute de greffon disponible. Pour augmenter le nombre des malades effectivement greffés, « il est essentiel d'inciter chacun à communiquer sa décision sur le don de ses organes à ses proches », insiste l'Agence. Quand le choix du défunt n'est pas connu en effet, la famille hésite et peut parfois, s'opposer au prélèvement. En France, près du tiers des prélèvements possibles ne sont pas effectués du fait de l'opposition des proches…
Source : Agence de Biomédecine, août 2007
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Santé mentale : l'« appel à l'action » de l'OMS
Par Destination Santé Destination Sante - Mercredi 5 septembre, 10h00
Une grande partie des pays en développement consacre à la santé mentale moins de 1% de leur budget total pour la santé. Une « situation affligeante » pour l'OMS qui les appelle à augmenter leur soutien dans ce domaine. Cet appel fait partie d'une série de six exposés sur le sujet publiés cette semaine dans le Lancet.
Dans le monde, plus de la moitié des personnes souffrant de troubles mentaux graves ne sont pas traités. Et la très grande majorité de ceux qui présentent des souffrances modérées ne le sont pas non plus. Et pour cause. Les pays les plus pauvres comptent en moyenne « 0,05 psychiatre et 0,16 infirmier psychiatrique pour 100 000 habitants »… Soit près de 200 fois moins qu'un pays comme la France !
Les conséquences d'une telle maigreur des services de santé mentale sont sérieuses. « Lorsqu'ils ne sont pas traités, les troubles mentaux privent ceux qui en souffrent de la possibilité de se sortir de la pauvreté et les empêchent de réclamer leurs droits », souligne le Dr Catherine le Galès-Camus, sous-directeur général de l'OMS pour les maladies non transmissibles et la santé mentale. Or selon les estimations, il ne faudrait pas plus de 3 dollars environ par personne pour délivrer les soins de base… Et il y a urgence. « Dans la situation actuelle, les personnes atteintes de maladie mentale sont au mieux ignorées et, au pire, subissent dans de nombreux pays une discrimination active », conclut l'OMS.
Par Destination Santé Destination Sante - Mercredi 5 septembre, 10h00
Une grande partie des pays en développement consacre à la santé mentale moins de 1% de leur budget total pour la santé. Une « situation affligeante » pour l'OMS qui les appelle à augmenter leur soutien dans ce domaine. Cet appel fait partie d'une série de six exposés sur le sujet publiés cette semaine dans le Lancet.
Dans le monde, plus de la moitié des personnes souffrant de troubles mentaux graves ne sont pas traités. Et la très grande majorité de ceux qui présentent des souffrances modérées ne le sont pas non plus. Et pour cause. Les pays les plus pauvres comptent en moyenne « 0,05 psychiatre et 0,16 infirmier psychiatrique pour 100 000 habitants »… Soit près de 200 fois moins qu'un pays comme la France !
Les conséquences d'une telle maigreur des services de santé mentale sont sérieuses. « Lorsqu'ils ne sont pas traités, les troubles mentaux privent ceux qui en souffrent de la possibilité de se sortir de la pauvreté et les empêchent de réclamer leurs droits », souligne le Dr Catherine le Galès-Camus, sous-directeur général de l'OMS pour les maladies non transmissibles et la santé mentale. Or selon les estimations, il ne faudrait pas plus de 3 dollars environ par personne pour délivrer les soins de base… Et il y a urgence. « Dans la situation actuelle, les personnes atteintes de maladie mentale sont au mieux ignorées et, au pire, subissent dans de nombreux pays une discrimination active », conclut l'OMS.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Pensez à vos poumons… mangez équilibré !
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 2 heures 21 minutes
La lutte contre l'asthme commencerait parfois… dans l'assiette. Et chez les adolescents, dans une assiette bien équilibrée. Selon un travail américano-canadien en effet, une carence en fruits, légumes et oméga-3 augmenterait le risque de déficience respiratoire. Surtout chez les ados, et surtout lorsqu'ils sont fumeurs.
Le Pr Jane Burns de la Harvard School of Public Health à Boston, et ses collègues de Santé Canada ont suivi 2 112 jeunes Américains et Canadiens. Pendant un an, ces derniers ont régulièrement répondu à des questionnaires normalisés sur leur hygiène de vie, leur capacité respiratoire et leurs habitudes alimentaires.
Il en ressort que pour se développer normalement, un poumon « adolescent » exige certains aliments. Des fruits et des légumes bien sûr, mais également du poisson pour un apport optimal en oméga-3. « Des repas pauvres en vitamines C, E et en acides gras de type oméga-3 sont associés à une diminution des fonctions pulmonaires et à un risque accru de bronchites, de sifflements et d'asthme » expliquent les auteurs. Sans surprise, les fumeurs lorsqu'en plus ils se nourrissent mal, sont les premiers concernés. « Le plus important, c'est de sensibiliser les adolescents à l'impact de l'alimentation sur leur santé respiratoire ». Et plus largement, sur leur santé tout court…
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 2 heures 21 minutes
La lutte contre l'asthme commencerait parfois… dans l'assiette. Et chez les adolescents, dans une assiette bien équilibrée. Selon un travail américano-canadien en effet, une carence en fruits, légumes et oméga-3 augmenterait le risque de déficience respiratoire. Surtout chez les ados, et surtout lorsqu'ils sont fumeurs.
Le Pr Jane Burns de la Harvard School of Public Health à Boston, et ses collègues de Santé Canada ont suivi 2 112 jeunes Américains et Canadiens. Pendant un an, ces derniers ont régulièrement répondu à des questionnaires normalisés sur leur hygiène de vie, leur capacité respiratoire et leurs habitudes alimentaires.
Il en ressort que pour se développer normalement, un poumon « adolescent » exige certains aliments. Des fruits et des légumes bien sûr, mais également du poisson pour un apport optimal en oméga-3. « Des repas pauvres en vitamines C, E et en acides gras de type oméga-3 sont associés à une diminution des fonctions pulmonaires et à un risque accru de bronchites, de sifflements et d'asthme » expliquent les auteurs. Sans surprise, les fumeurs lorsqu'en plus ils se nourrissent mal, sont les premiers concernés. « Le plus important, c'est de sensibiliser les adolescents à l'impact de l'alimentation sur leur santé respiratoire ». Et plus largement, sur leur santé tout court…
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Le pape se préoccupe des bouleversements climatiques
AFP - il y a 1 heure 5 minutes
CITE DU VATICAN (AFP) - Le pape Benoît XVI a exprimé mercredi sa préoccupation devant les changements climatiques dans un salut adressé au cours de son audience hebdomadaire aux participants d'un symposium sur l'environnement qui doit s'ouvrir jeudi au Groenland.
"L'attention aux ressources en eau et aux changements climatiques sont des sujets de grande importance pour toute la famille humaine", a souligné le chef de l'Eglise catholique.
Il a salué "la prise de conscience croissante de la nécessité de préserver l'environnement" et a appelé à "prier et travailler pour un plus grand respect des merveilles de la création divine".
Le message que le pape a lu à l'issue de son audience hebdomadaire était destiné aux participants d'un symposium international sur la protection de l'environnement dans l'Arctique, qui doit s'ouvir jeudi sur la côte ouest du Groenland sous la présidence du patriarche oecuménique orthodoxe de Constantinople Bartholomée Ier.
Dimanche déjà, pendant une rencontre avec 500.000 jeunes catholiques italiens à Lorette (centre de l'Italie), Benoît XVI avait lancé un appel à protéger la planète.
Montrant du doigt "un développement qui n'a pas toujours su protéger les équilibres fragiles de la nature", il avait encouragé les jeunes pèlerins à "faire des choix courageux avant qu'il ne soit trop tard".
AFP - il y a 1 heure 5 minutes
CITE DU VATICAN (AFP) - Le pape Benoît XVI a exprimé mercredi sa préoccupation devant les changements climatiques dans un salut adressé au cours de son audience hebdomadaire aux participants d'un symposium sur l'environnement qui doit s'ouvrir jeudi au Groenland.
"L'attention aux ressources en eau et aux changements climatiques sont des sujets de grande importance pour toute la famille humaine", a souligné le chef de l'Eglise catholique.
Il a salué "la prise de conscience croissante de la nécessité de préserver l'environnement" et a appelé à "prier et travailler pour un plus grand respect des merveilles de la création divine".
Le message que le pape a lu à l'issue de son audience hebdomadaire était destiné aux participants d'un symposium international sur la protection de l'environnement dans l'Arctique, qui doit s'ouvir jeudi sur la côte ouest du Groenland sous la présidence du patriarche oecuménique orthodoxe de Constantinople Bartholomée Ier.
Dimanche déjà, pendant une rencontre avec 500.000 jeunes catholiques italiens à Lorette (centre de l'Italie), Benoît XVI avait lancé un appel à protéger la planète.
Montrant du doigt "un développement qui n'a pas toujours su protéger les équilibres fragiles de la nature", il avait encouragé les jeunes pèlerins à "faire des choix courageux avant qu'il ne soit trop tard".
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Plus de 5.200 places d'accueil en crèches à Paris entre 2001 et 2008
"Plus de 5.200 places d'accueil" en crèches et haltes-garderies auront été créées à Paris à la fin de la mandature en mars 2008, conformément aux engagements de Bertrand Delanoë, a annoncé mercredi Olga Trostiansky, adjointe à la petite enfance et à la famille.
"Je suis heureuse d'annoncer que cet objectif nouveau a été atteint", a-t-elle dit en inaugurant avec la maire PS du XIIème Michèle Blumenthal une nouvelle crèche de 66 places, impasse Druinot (XIIème). D'ici la fin 2007, plus de 440 places auront été ouvertes dans cet arrondissement "à la population rajeunie".
La mairie souligne qu'entre mars 2001 et mars 2007, 4.516 places d'accueil des jeunes enfants ont été créees à Paris. Depuis mars dernier, de nombreux établissements ont ouvert, augmentant de plus de 860 places la capacité d'accueil, souligne la mairie.
En 2001,le maire PS de Paris avait pris l'engagement auprès des Parisiens de créer 4.500 places d'accueil pour les jeunes enfants. La précédente mandature de droite avait crée "moins de 1.000 berceaux", avait-il rappelé.
Ainsi ont notamment été ouvertes des crèches collectives rue Rambuteau (IIIème), avenue Saint-Mandé et impasse Druinot (XIIème), rue Félix Faure (XVème), rue de Nantes (XIXème), rue d'Avron (XXème) ou des haltes-garderies dans la mairie du Xème, boulevard Masséna (XIIIème).
Le nombre de places d'accueil collectif à Paris a augmenté de 18% entre le 1er janvier 2001 et le 31 mars 2007, selon la mairie.
A compter de la rentrée 2007, le CESU (chèque emploi service universel) prépayé sera accepté comme moyen de paiement dans les établissements municipaux de jeunes enfants (crèche, halte-garderie, jardin maternel, jardin d'enfant etc).
D'autre part, la mairie annonce la création d'un site internet d'information et de service: www.paris-servicesfamilles.com.fr, pour faciliter l'accueil au domicile des parents par un salarié (en janvier 2007, 11.898 enfants de moins de 3 ans bénéficiaient de ce mode de garde).
Il permet de simuler le coût des modes d'accueil, localiser des familles cherchant à partager la garde de leurs enfants, fournit des informations sur les aides de la CAF et de la Ville, des documents types (contrat de travail).
Enfin, le service parisien de la Protection maternelle et infantile (PMI) lance dans ses centres des actions de prévention de l'obésité infantile en direction de 2.000 familles. Actuellement, selon la mairie, 10% des enfants parisiens de 5/6 ans seraient concernés par l'obésité.
"Plus de 5.200 places d'accueil" en crèches et haltes-garderies auront été créées à Paris à la fin de la mandature en mars 2008, conformément aux engagements de Bertrand Delanoë, a annoncé mercredi Olga Trostiansky, adjointe à la petite enfance et à la famille.
"Je suis heureuse d'annoncer que cet objectif nouveau a été atteint", a-t-elle dit en inaugurant avec la maire PS du XIIème Michèle Blumenthal une nouvelle crèche de 66 places, impasse Druinot (XIIème). D'ici la fin 2007, plus de 440 places auront été ouvertes dans cet arrondissement "à la population rajeunie".
La mairie souligne qu'entre mars 2001 et mars 2007, 4.516 places d'accueil des jeunes enfants ont été créees à Paris. Depuis mars dernier, de nombreux établissements ont ouvert, augmentant de plus de 860 places la capacité d'accueil, souligne la mairie.
En 2001,le maire PS de Paris avait pris l'engagement auprès des Parisiens de créer 4.500 places d'accueil pour les jeunes enfants. La précédente mandature de droite avait crée "moins de 1.000 berceaux", avait-il rappelé.
Ainsi ont notamment été ouvertes des crèches collectives rue Rambuteau (IIIème), avenue Saint-Mandé et impasse Druinot (XIIème), rue Félix Faure (XVème), rue de Nantes (XIXème), rue d'Avron (XXème) ou des haltes-garderies dans la mairie du Xème, boulevard Masséna (XIIIème).
Le nombre de places d'accueil collectif à Paris a augmenté de 18% entre le 1er janvier 2001 et le 31 mars 2007, selon la mairie.
A compter de la rentrée 2007, le CESU (chèque emploi service universel) prépayé sera accepté comme moyen de paiement dans les établissements municipaux de jeunes enfants (crèche, halte-garderie, jardin maternel, jardin d'enfant etc).
D'autre part, la mairie annonce la création d'un site internet d'information et de service: www.paris-servicesfamilles.com.fr, pour faciliter l'accueil au domicile des parents par un salarié (en janvier 2007, 11.898 enfants de moins de 3 ans bénéficiaient de ce mode de garde).
Il permet de simuler le coût des modes d'accueil, localiser des familles cherchant à partager la garde de leurs enfants, fournit des informations sur les aides de la CAF et de la Ville, des documents types (contrat de travail).
Enfin, le service parisien de la Protection maternelle et infantile (PMI) lance dans ses centres des actions de prévention de l'obésité infantile en direction de 2.000 familles. Actuellement, selon la mairie, 10% des enfants parisiens de 5/6 ans seraient concernés par l'obésité.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Une greffée britannique voit son coeur exposé
Une Britannique ayant subi une transplantation cardiaque s'est retrouvé nez à nez avec son ancien coeur dans une exposition temporaire dans le centre de Londres, une expérience selon elle "surréaliste et incroyable".
Jennifer Sutton, 23 ans, souffrait d'une cardiomyopathie depuis son adolescence. Après avoir subi une transplantation en juin, elle n'a pas hésité à faire don de son ancien coeur à l'occasion d'une exposition temporaire de la "Wellcome collection" consacrée au muscle cardiaque dans sa dimension médicale et culturelle. Elle souhaitait par ce geste sensibiliser le public sur le don d'organe et sur sa maladie.
"C'était un peu surréaliste et en même temps incroyable de voir cet organe qui m'a causé tant de souffrance et d'angoisse", a déclaré la jeune femme après avoir visité l'exposition. "J'étais très curieuse et impatiente de le voir mais en même temps j'essaie d'aimer le coeur que j'ai désormais".
"C'est bizarre de penser que je suis là, vivante, et qu'il a fait partie de moi à un moment donné", a-t-elle poursuivi.
Jennifer Sutton a ressenti les premiers symptômes de sa maladie à l'âge de 18 ans, alors qu'elle étudiait la zoologie. Les médecins ont diagnostiqué une cardiomyopathie et la jeune femme a subi une transplantation en juin.
Une Britannique ayant subi une transplantation cardiaque s'est retrouvé nez à nez avec son ancien coeur dans une exposition temporaire dans le centre de Londres, une expérience selon elle "surréaliste et incroyable".
Jennifer Sutton, 23 ans, souffrait d'une cardiomyopathie depuis son adolescence. Après avoir subi une transplantation en juin, elle n'a pas hésité à faire don de son ancien coeur à l'occasion d'une exposition temporaire de la "Wellcome collection" consacrée au muscle cardiaque dans sa dimension médicale et culturelle. Elle souhaitait par ce geste sensibiliser le public sur le don d'organe et sur sa maladie.
"C'était un peu surréaliste et en même temps incroyable de voir cet organe qui m'a causé tant de souffrance et d'angoisse", a déclaré la jeune femme après avoir visité l'exposition. "J'étais très curieuse et impatiente de le voir mais en même temps j'essaie d'aimer le coeur que j'ai désormais".
"C'est bizarre de penser que je suis là, vivante, et qu'il a fait partie de moi à un moment donné", a-t-elle poursuivi.
Jennifer Sutton a ressenti les premiers symptômes de sa maladie à l'âge de 18 ans, alors qu'elle étudiait la zoologie. Les médecins ont diagnostiqué une cardiomyopathie et la jeune femme a subi une transplantation en juin.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Mattel va rappeler une série d'accessoires de la poupée Barbie
Le géant américain du jouet Mattel a annoncé mardi un nouveau rappel de jouets - le troisième de l'été - portant pour l'essentiel sur des accessoires de sa poupée vedette Barbie.
Sept accessoires de la célèbre blonde seraient potentiellement dangereux pour la santé des enfants en raison d'une teneur élevée en plomb, provenant des colorants utilisés: des chiens et des chats miniatures, ainsi que des dînettes.
844.000 pièces concernées
Le rappel concerne aussi trois jeux pour enfants en âge pré-scolaire commercialisés sous la marque Fisher-Price: deux trains (de la ligne «GeoTrax») et un instrument de musique à percussion.
Au total, 844.000 pièces sont concernées par cette mesure: 522.000 aux Etats-Unis et 322.000 dans le reste du monde, ajoute Mattel dans un communiqué.
Déjà deux retraits massifs
Mattel demande à ses clients de ne pas rendre les produits défectueux aux détaillants, mais de s'adresser directement à lui. Le groupe américain affirme qu'il a pris cette décision de manière volontaire, à la suite d'un réexamen de ses relations avec ses fournisseurs chinois. Plusieurs ont été depuis exclus de la liste de ses sous-traitants.
Mattel a déjà effectué deux retraits massifs de jouets au cours des dernières semaines, à chaque fois en raison de teneurs en plomb élevées. Annoncé le 1er août, le premier retrait portait sur 1,5 million de jouets, notamment des figurines de la série Elmo. Plus tard au cours du même mois, le groupe américain avait rappelé 250.000 voitures du film d'animation «Cars».
Barbie
Quatre autres jouets, vendus à plus de neuf millions d'exemplaires au cours des quatre dernières années, avaient dû faire l'objet d'une mesure similaire parce qu'ils incluaient de minuscules aimants, pouvant être mortels si avalés. Ces aimants étaient notamment vendus avec des produits Barbie et Batman.
A chaque fois, les produits incriminés avaient été fabriqués en Chine. Le rappel annoncé mardi est la conséquence des contrôles mis en place par Mattel à la suite de ses divers scandales. «A la suite des enquêtes en cours, nous avons découvert de nouveaux produits affectés. Par conséquent, plusieurs sous-traitants ne fabriquent plus de jouets pour Mattel».
Le géant américain du jouet Mattel a annoncé mardi un nouveau rappel de jouets - le troisième de l'été - portant pour l'essentiel sur des accessoires de sa poupée vedette Barbie.
Sept accessoires de la célèbre blonde seraient potentiellement dangereux pour la santé des enfants en raison d'une teneur élevée en plomb, provenant des colorants utilisés: des chiens et des chats miniatures, ainsi que des dînettes.
844.000 pièces concernées
Le rappel concerne aussi trois jeux pour enfants en âge pré-scolaire commercialisés sous la marque Fisher-Price: deux trains (de la ligne «GeoTrax») et un instrument de musique à percussion.
Au total, 844.000 pièces sont concernées par cette mesure: 522.000 aux Etats-Unis et 322.000 dans le reste du monde, ajoute Mattel dans un communiqué.
Déjà deux retraits massifs
Mattel demande à ses clients de ne pas rendre les produits défectueux aux détaillants, mais de s'adresser directement à lui. Le groupe américain affirme qu'il a pris cette décision de manière volontaire, à la suite d'un réexamen de ses relations avec ses fournisseurs chinois. Plusieurs ont été depuis exclus de la liste de ses sous-traitants.
Mattel a déjà effectué deux retraits massifs de jouets au cours des dernières semaines, à chaque fois en raison de teneurs en plomb élevées. Annoncé le 1er août, le premier retrait portait sur 1,5 million de jouets, notamment des figurines de la série Elmo. Plus tard au cours du même mois, le groupe américain avait rappelé 250.000 voitures du film d'animation «Cars».
Barbie
Quatre autres jouets, vendus à plus de neuf millions d'exemplaires au cours des quatre dernières années, avaient dû faire l'objet d'une mesure similaire parce qu'ils incluaient de minuscules aimants, pouvant être mortels si avalés. Ces aimants étaient notamment vendus avec des produits Barbie et Batman.
A chaque fois, les produits incriminés avaient été fabriqués en Chine. Le rappel annoncé mardi est la conséquence des contrôles mis en place par Mattel à la suite de ses divers scandales. «A la suite des enquêtes en cours, nous avons découvert de nouveaux produits affectés. Par conséquent, plusieurs sous-traitants ne fabriquent plus de jouets pour Mattel».
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Eric Besson "plutôt favorable" à la TVA sociale
Eric Besson "plutôt favorable" à la TVA sociale
Reuters - il y a 6 minutes
PARIS (Reuters) - Eric Besson, secrétaire d'Etat à la Prospective et à l'Evaluation des politiques publiques, se déclare plutôt favorable à l'instauration d'une "TVA sociale", à condition qu'elle soit le fruit d'une large concertation.
"Je suis rentré dans cette question de façon neutre, je n'avais pas d'idée préconçue. A titre personnel, j'en ressors plutôt favorable", a-t-il déclaré sur RTL.
"J'ai eu le sentiment, après avoir regardé les expériences étrangères - l'Allemagne, le Danemark -, que ce serait plutôt bon pour la compétitivité et plutôt bon pour l'emploi", a-t-il ajouté.
Dans un communiqué, le Parti socialiste a rappelé son opposition à la "TVA sociale", mesure "socialement injuste, économiquement dangereuse et moralement condamnable".
Le PS estime qu'Eric Besson "dit tout haut ce que le gouvernement s'efforce de taire, quitte à se faire contredire ensuite par l'entourage de N. Sarkozy qui entretient cyniquement cette cacophonie pour déterminer jusqu'où elle peut aller".
Eric Besson a précisé qu'il rendrait la semaine prochaine le rapport sur le sujet que le Premier ministre François Fillon lui a commandé en juin.
La "TVA sociale" envisagée par le gouvernement consiste à augmenter la taxe sur la valeur ajoutée tout en baissant les cotisations sociales patronales.
L'objectif recherché par le gouvernement est d'abaisser le coût du travail tout en diversifiant les sources de financement de la protection sociale.
Pour Eric Besson, le succès de la mise en place d'une telle mesure dépend de trois conditions : que les entreprises "jouent le jeu" en répercutant dans leurs prix la baisse des cotisations sociales, que "les perspectives économiques internationales soient bonnes" et que l'accord ait fait l'objet d'un dialogue approfondi avec les partenaires sociaux.
"Le président et le Premier veulent qu'il y ait une concertation très large sur l'avenir du financement de la protection sociale", a-t-il expliqué.
"Notre système de financement de la protection sociale basé essentiellement sur les salaires date du lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Là, on réfléchit sur les 20 ans ou les 30 ans qui viennent, je pense que ça vaut le coup de prendre le temps d'une concertation qui soit très approfondie", a-t-il ajouté.
Eric Besson a précisé que la mesure, si elle est mise en place, ne s'appellera pas "TVA sociale" afin de ne pas braquer l'opinion, qui y est défavorable selon les sondages.
"C'est un mauvais mot", a reconnu Eric Besson.
Les Français "l'ont compris comme un impôt nouveau. Or, ce serait un transfert pour l'emploi, pour alléger le coût du travail, pour assurer le financement de la protection sociale (...) donc ça n'a rien à voir avec un nouvel impôt", a-t-il assuré.
Reuters - il y a 6 minutes
PARIS (Reuters) - Eric Besson, secrétaire d'Etat à la Prospective et à l'Evaluation des politiques publiques, se déclare plutôt favorable à l'instauration d'une "TVA sociale", à condition qu'elle soit le fruit d'une large concertation.
"Je suis rentré dans cette question de façon neutre, je n'avais pas d'idée préconçue. A titre personnel, j'en ressors plutôt favorable", a-t-il déclaré sur RTL.
"J'ai eu le sentiment, après avoir regardé les expériences étrangères - l'Allemagne, le Danemark -, que ce serait plutôt bon pour la compétitivité et plutôt bon pour l'emploi", a-t-il ajouté.
Dans un communiqué, le Parti socialiste a rappelé son opposition à la "TVA sociale", mesure "socialement injuste, économiquement dangereuse et moralement condamnable".
Le PS estime qu'Eric Besson "dit tout haut ce que le gouvernement s'efforce de taire, quitte à se faire contredire ensuite par l'entourage de N. Sarkozy qui entretient cyniquement cette cacophonie pour déterminer jusqu'où elle peut aller".
Eric Besson a précisé qu'il rendrait la semaine prochaine le rapport sur le sujet que le Premier ministre François Fillon lui a commandé en juin.
La "TVA sociale" envisagée par le gouvernement consiste à augmenter la taxe sur la valeur ajoutée tout en baissant les cotisations sociales patronales.
L'objectif recherché par le gouvernement est d'abaisser le coût du travail tout en diversifiant les sources de financement de la protection sociale.
Pour Eric Besson, le succès de la mise en place d'une telle mesure dépend de trois conditions : que les entreprises "jouent le jeu" en répercutant dans leurs prix la baisse des cotisations sociales, que "les perspectives économiques internationales soient bonnes" et que l'accord ait fait l'objet d'un dialogue approfondi avec les partenaires sociaux.
"Le président et le Premier veulent qu'il y ait une concertation très large sur l'avenir du financement de la protection sociale", a-t-il expliqué.
"Notre système de financement de la protection sociale basé essentiellement sur les salaires date du lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Là, on réfléchit sur les 20 ans ou les 30 ans qui viennent, je pense que ça vaut le coup de prendre le temps d'une concertation qui soit très approfondie", a-t-il ajouté.
Eric Besson a précisé que la mesure, si elle est mise en place, ne s'appellera pas "TVA sociale" afin de ne pas braquer l'opinion, qui y est défavorable selon les sondages.
"C'est un mauvais mot", a reconnu Eric Besson.
Les Français "l'ont compris comme un impôt nouveau. Or, ce serait un transfert pour l'emploi, pour alléger le coût du travail, pour assurer le financement de la protection sociale (...) donc ça n'a rien à voir avec un nouvel impôt", a-t-il assuré.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
« Non » aux acides gras trans
« Non » aux acides gras trans
[5 septembre 2007 - 14:21]
Le Bureau européen des Unions de Consommateurs (BEUC) a demandé à la Commission européenne que soit mentionnée la teneur en acides gras trans des produits alimentaires. Ces derniers sont porteurs de risques cardio-vasculaires. Viennoiseries, biscuits, chips, margarines et certaines huiles en regorgent.
Le BEUC rappelle ainsi que ces acides gras « se forment lors du processus d’hydrogénation des huiles végétales, (dans) lequel de l’hydrogène est ajouté pour rendre ces dernières plus solides ». Une technique très répandue chez les industriels, qui augmente ainsi la durée de conservation de leurs produits. Ce processus leur donne également une forme, une texture voire un goût plus attrayants.
« Mais à quel prix ? » s’interroge le BEUC. Car si les acides gras permettent à faible coût de préserver la fraîcheur de ces produits, ils obstruent surtout… nos artères ! Ils augmentent par conséquent les risques cardio-vasculaires. Confrontés à cette « bombe à retardement », plusieurs pays ont décidé de limiter voire d’interdire le recours à ces substances.
C’est le cas du Canada, de l’Etat de New York aux Etats-Unis ou du Danemark. Ce dernier pays aurait d’ailleurs connu « une diminution de 20% de la mortalité due à des maladies cardiaques depuis leur interdiction » en 2003. Partant, le BEUC interpelle la Commission européenne « pour qu’elle interdise ou du moins étiquette clairement (les acides gras trans), pour permettre aux consommateurs de faire un choix éclairé ».
[5 septembre 2007 - 14:21]
Le Bureau européen des Unions de Consommateurs (BEUC) a demandé à la Commission européenne que soit mentionnée la teneur en acides gras trans des produits alimentaires. Ces derniers sont porteurs de risques cardio-vasculaires. Viennoiseries, biscuits, chips, margarines et certaines huiles en regorgent.
Le BEUC rappelle ainsi que ces acides gras « se forment lors du processus d’hydrogénation des huiles végétales, (dans) lequel de l’hydrogène est ajouté pour rendre ces dernières plus solides ». Une technique très répandue chez les industriels, qui augmente ainsi la durée de conservation de leurs produits. Ce processus leur donne également une forme, une texture voire un goût plus attrayants.
« Mais à quel prix ? » s’interroge le BEUC. Car si les acides gras permettent à faible coût de préserver la fraîcheur de ces produits, ils obstruent surtout… nos artères ! Ils augmentent par conséquent les risques cardio-vasculaires. Confrontés à cette « bombe à retardement », plusieurs pays ont décidé de limiter voire d’interdire le recours à ces substances.
C’est le cas du Canada, de l’Etat de New York aux Etats-Unis ou du Danemark. Ce dernier pays aurait d’ailleurs connu « une diminution de 20% de la mortalité due à des maladies cardiaques depuis leur interdiction » en 2003. Partant, le BEUC interpelle la Commission européenne « pour qu’elle interdise ou du moins étiquette clairement (les acides gras trans), pour permettre aux consommateurs de faire un choix éclairé ».
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Mortalité maternelle et infantile : 10,5 millions de morts
Mortalité maternelle et infantile : 10,5 millions de morts par an… pratiquement tous évitables !
[5 septembre 2007 - 13:05]
Chaque année plus de 500 000 femmes meurent en couches. Et plus de 10 millions d’enfants n’atteignent pas l’âge de 5 ans. Principalement en Afrique, en Asie centrale et méridionale. C’est pour mettre un terme à cette hécatombe qu’est né Le Partenariat pour la Santé de la Mère, du Nouveau-né et de l’Enfant (PMNCH).
Réunis récemment à Dar es Salaam en Tanzanie, les membres de ce nouveau partenariat mondial sont des représentants de gouvernements, des agences de l’ONU, d’ONG. Mais également des professionnels de santé, des donateurs publics ou privés, des fondations et institutions universitaires et de recherche…
Leur mission est claire : oeuvrer pour la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD). Autrement dit réduire la mortalité infantile des deux tiers et la mortalité maternelle des trois quart d’ici 2015. La tâche est rude… Elle exige une coordination entre les différents partenaires et agences qui interviennent sur le terrain.
C’est la raison pour laquelle le PMNCH a vu le jour. « La santé maternelle est un problème complexe nécessitant une série de compétences et aucun des partenaires n’est en mesure d’en venir à bout tout seul », explique le Dr Luc de Bernis, du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) et membre du nouveau Partenariat. « Le PMNCH va nous aider à organiser un plaidoyer et à harmoniser les messages afin que tous les partenaires travaillent dans le même but ». Il y a urgence. Chaque minute dans le monde, une femme meurt en donnant la vie…
[5 septembre 2007 - 13:05]
Chaque année plus de 500 000 femmes meurent en couches. Et plus de 10 millions d’enfants n’atteignent pas l’âge de 5 ans. Principalement en Afrique, en Asie centrale et méridionale. C’est pour mettre un terme à cette hécatombe qu’est né Le Partenariat pour la Santé de la Mère, du Nouveau-né et de l’Enfant (PMNCH).
Réunis récemment à Dar es Salaam en Tanzanie, les membres de ce nouveau partenariat mondial sont des représentants de gouvernements, des agences de l’ONU, d’ONG. Mais également des professionnels de santé, des donateurs publics ou privés, des fondations et institutions universitaires et de recherche…
Leur mission est claire : oeuvrer pour la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD). Autrement dit réduire la mortalité infantile des deux tiers et la mortalité maternelle des trois quart d’ici 2015. La tâche est rude… Elle exige une coordination entre les différents partenaires et agences qui interviennent sur le terrain.
C’est la raison pour laquelle le PMNCH a vu le jour. « La santé maternelle est un problème complexe nécessitant une série de compétences et aucun des partenaires n’est en mesure d’en venir à bout tout seul », explique le Dr Luc de Bernis, du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) et membre du nouveau Partenariat. « Le PMNCH va nous aider à organiser un plaidoyer et à harmoniser les messages afin que tous les partenaires travaillent dans le même but ». Il y a urgence. Chaque minute dans le monde, une femme meurt en donnant la vie…
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée