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Criminalité : Nouveau record d'incarcérations en février

Le 1er février, le nombre de détenus dans les prisons françaises a atteint 65.699 personnes, soit une hausse de 6,4% en un an, et de 1,4% en un mois.

Au 1er février 2012, 65.699 personnes étaient incarcérées en France, ce qui représente une hausse de 6,4 % par rapport au mois de février 2010 (61.771). Le mois précédent, il y avait 64.787 personnes incarcérées, ce qui représente une hausse mensuelle de 1,4 %. Le nombre de personnes prévenues (incarcérées en préventive avant jugement, NDLR) s’élève à 16.463 pour 49.236 personnes condamnées, soit 25 % des personnes incarcérées (contre 25,1 % au 1er janvier 2012). Au 1er février 2011, on dénombrait 16.361 prévenus, soit une hausse de 0,6 % par rapport à 2010.

Toujours au 1er février 2012, les mineurs détenus sont 723, ce qui représente une hausse de 1,5 % par rapport au mois précédent (712 au 1er octobre 2011). Les mineurs détenus représentent 1,1 % des personnes incarcérées. Au total, 11.314 personnes bénéficient d’un aménagement de peine sous écrou, soit 19,3 % de l’ensemble des personnes écrouées condamnées.

Parc pénitentiaire plus important
Les aménagements de peine ont pour leur part progressé de 23,9 % en un an (9.133 au 1er février 2011) et de 50,5 % en deux ans (7.519 au 1er février 2010). Il y a ainsi 936 personnes bénéficiant d’une mesure de placement à l’extérieur (1.044 au 1er février 2011), 1.954 d’une mesure de semi-liberté (1.758 au 1er février 2011) et 8.424 d’un placement sous surveillance électronique (6.331 au 1er février 2011).

Par ailleurs, 500 personnes sont placées sous surveillance électronique de fin de peine (SEFIP), soit une baisse de 5,3 % par rapport au mois précédent (528 au 1er janvier 2012). Le parc pénitentiaire compte 57.213 places opérationnelles, grâce aux ouvertures des nouveaux établissements entre 2008 et 2011 - Mont-de-Marsan, Saint-Denis de la Réunion, Roanne, Lyon-Corbas, Nancy-Maxéville, Poitiers-Vivonne, Béziers, Le Mans, Bourg-en-Bresse, Rennes-Vezin, Le Havre et Lille-Annœullin. Cela représente, en trois ans, une hausse de 12,3 % de la capacité opérationnelle du parc pénitentiaire (52.589 places au 1er février 2009).

Enfin, selon une étude de l'Observatoire de la délinquance publiée cette semaine, 17,3% des actes commis sont le fait d'étrangers
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Travail le dimanche : Sarkozy veut élargir ses conditions

Nicolas Sarkozy ne se cache plus. S'il est réélu, il souhaite "élargir les conditions d'ouverture des magasins le dimanche".

Le sujet tient à cœur de Nicolas Sarkozy depuis de nombreuses semaines. Le travail le dimanche est l'une de ses préoccupations majeures. S'il a toujours pris position, le président de la République avait du mal à faire passer cette idée. Candidat depuis deux jours, il se dévoile. S'il est réélu, le chef de l'État souhaite « élargir les conditions d'ouverture des magasins le dimanche », selon une déclaration lue vendredi en son nom par le secrétaire d'Etat au commerce Frédéric Lefebvre.

C'est « vous donner plus de liberté, c'est de la croissance pour vos commerces, c'est de l'emploi pour les Français », a-t-il notamment ajouté, dans cette déclaration lue aux Etats généraux du commerce à Bercy. Cette mesure représente aussi « du pouvoir d'achat » pour les salariés et permettra « le renforcement de l'attractivité touristique pour que la France soit forte », est-il ajouté dans la déclaration, sans préciser quelle forme prendraient ces "assouplissements" en matière d'ouverture dominicale.

Le Conseil du commerce de France demande la possibilité pour les commerçants d'ouvrir librement 10 à 12 dimanches par an, même lorsqu'ils sont situés hors zone touristique. Le loi sur le travail du dimanche du 10 août 2009 permet des ouvertures de magasins le dimanche qui varient en fonction du type de commerce et du lieu (communes touristiques ou périmètre spécifique). En dehors des cas prévus par cette loi, tous les magasins peuvent ouvrir cinq dimanches par an sur autorisation préfectorale. Il pourrait y avoir du changement en 2012
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Homéopathie : 36% des Français sont des "utilisateurs réguliers"

Plus d'un tiers des Français sont des "utilisateurs réguliers" de médicaments homéopathiques et 77% font confiance à ces traitements, selon un sondage Ipsos diffusé ce vendredi par le numéro un du secteur, le groupe français Boiron.

Les Français plébisitent l'homéopathie. C'est ce qui ressort de l'enquête d'opinion réalisée par l'institut Ipsos pour le compte de Boiron, leader du secteur en France, rendue publique ce vendredi.

En effet, selon cette enquête, 36% des Français déclarent utiliser « de temps en temps » ou « très régulièrement » des médicaments homéopathiques. Ce niveau représente une progression de 15 points par rapport à une précédente étude sur le même sujet, réalisée par Ipsos en 2004.

D'après l'enquête réalisée du 5 au 11 janvier 2012 par téléphone auprès de 1.005 personnes, 16% déclarent utiliser « très régulièrement » des médicaments homéopathiques alors qu'ils n'étaient que 5% dans l'enquête de 2004. En outre, 66% des personnes interrogées déclarent avoir utilisé au moins une fois des médicaments homéopathiques dans leur vie. Parmi eux, 56% se classent comme « utilisateurs actuels » de remèdes homéopathiques, un niveau en hausse de 17 points par rapport à 2004.

Un niveau de confiance élevé
Les mêmes sondés déclarent à 77% faire « tout à fait » ou « plutôt » confiance à l'homéopathie. Ainsi, le niveau de confiance déclarée pour l'homéopathie est comparable à celui pour les médicaments anti-douleurs, et supérieur à celui affiché pour les antibiotiques et antidépresseurs (68%).

« La crédibilité des médicaments homéopathiques est de plus en plus reconnue », a déclaré vendredi la directrice d'Ipsos Santé, Laïla Idtaleb, qui a supervisé l'enquête, lors d'une présentation à Paris. Même si l'homéopathie bénéficie de remboursements par la Sécurité sociale française et d'un réseau de plus de 5.000 médecins homéopathes dans le pays, son principe et son efficacité restent aujourd'hui encore sujet à controverses.

En 2005, la revue médicale britannique The Lancet avait publié une méta-analyse (analyse d'un ensemble d'études sur le même sujet) indiquant que l'efficacité des remèdes homéopathiques était comparable à celle de placebo. Une conclusion qui n'a, semble-t-il, pas convaincu les Français
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Les bons marcheurs vivent mieux et plus longtemps

Le Point.fr - Publié le 16/02/2012 à 18:07 - Modifié le 16/02/2012 à 18:25
Selon une étude américaine, la vitesse de marche serait un bon indicateur pour connaître la probabilité de développer des démences.

À l'heure où l'on prône la "slow food" et où l'on déplore le surmenage et la course à la suractivité, une étude vient tout chambouler. Pour vivre vieux et en bonne santé, il faudrait... marcher vite !

Contre toute attente, prendre son temps ne retarderait donc pas l'échéance ultime. Bien au contraire. Selon une étude américaine, la vitesse de marche d'un individu influerait sur la probabilité qu'il aurait à développer une démence dans le futur. Autre conclusion : la force de préhension d'une personne donnerait des indications quant à sa vulnérabilité aux accidents vasculaires cérébraux. Selon les chercheurs donc, les plus exposés à la démence sont ceux qui marchaient lentement étant plus jeunes. Quant à ceux qui ont une bonne poigne, ils seraient davantage préservés des accidents vasculaires cérébraux.

Symptômes ?

Ce n'est pas la première fois qu'un lien de causalité est établi entre marche lente et santé fragile, mais les scientifiques affirment que de plus amples études seraient nécessaires pour comprendre ces mécanismes. Pour cette étude du Centre médical de Boston, 2 410 personnes de 62 ans d'âge moyen ont été soumises à des scanners cérébraux et à des enregistrements de la vitesse de marche et de la force de préhension. Onze ans plus tard, 34 personnes avaient développé une démence et 79 avaient eu un accident vasculaire cérébral, selon les résultats présentés lors de la réunion annuelle de l'Académie américaine de neurologie.

Pour le docteur Marie Janson, directeur du développement au centre britannique Recherche sur Alzheimer, une nouvelle piste de recherche s'ouvre : "Bien que cette étude n'ait pas encore été publiée dans son intégralité, elle soulève des questions importantes : par exemple, la difficulté à marcher pourrait-elle précéder d'autres symptômes associés à la démence ?" La vitesse de marche et la poigne pourraient-elles être un signe précurseur de démence ou de risques cardiaques ?


Le docteur Anne Corbett, directrice de recherche à la Société Alzheimer, ne veut pas aller trop vite en besogne, et préfère prendre son temps, réclamant davantage de recherches. "La bonne nouvelle, c'est qu'il y a beaucoup de choses que vous pouvez faire pour réduire votre risque de développer une démence", rappelle-t-elle auprès de la BBC. "Nous vous recommandons d'avoir une alimentation saine et équilibrée, de ne pas fumer, de maintenir un poids santé, de faire de l'exercice régulièrement. Et de vérifier votre pression artérielle et votre cholestérol régulièrement." Qui va lentement ne va pas forcément sûrement...
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Ados enceintes, Jeannette Bougrab sonne l'alarme

Le Point.fr - Publié le 16/02/2012 à 13:21
Pour la secrétaire d'État à la Jeunesse, "être enceinte à 13 ou 14 ans, ce n'est pas la normalité".

C'est ce matin que le professeur Israël Nisand, le docteur Brigitte Letombe (gynécologues-obstétriciens) et Sophie Marinopoulos (psychologue) ont remis leur rapport à la secrétaire d'État à la Jeunesse. Il contient dix-huit propositions destinées à éviter les grossesses non prévues chez les jeunes filles. À cette occasion, Jeannette Bougrab s'inquiète de la fascination actuelle de certaines jeunes pour la maternité et de l'accès à l'information et à la contraception. Entretien.

Le Point.fr : Les grossesses chez les très jeunes filles vous inquiètent-elles ?


Jeannette Bougrab : Oui et c'est même le premier thème abordé dans la préface du professeur Nisand. Il commence par la chanson Aurélie de Colonel Reyel. L'histoire de cette jeune fille de 16 ans qui attend un enfant et qui refuse l'avortement malgré les conseils de ses parents et de ses amis a été vue plus de 22 millions de fois sur Internet. La série télévisée Clem, dont les héroïnes sont des adolescentes enceintes, a réuni plus de neuf millions de téléspectateurs sur TF1. Aux États-Unis, il y a même une téléréalité où l'on suit des gamines de 15 ans enceintes.

À l'évidence, certaines filles sont fascinées par le fait d'avoir un bébé très tôt. Or être enceinte à 13 ou 14 ans, ce n'est pas la normalité. Comme vous le savez, je suis Arabe et ma mère a été mariée à 13 ans. À cet âge, une jeune fille doit avoir la vie devant elle, avoir des amis et gagner progressivement son autonomie. Elle ne doit pas être obligée d'arrêter ses études ni risquer de passer ensuite sa vie entre missions d'intérim, contrats précaires et chômage. Ce n'est pas l'avenir dont je rêve pour les jeunes filles.

Le problème essentiel n'est-il pas celui de l'information ?


Oui et surtout dans les milieux défavorisés, car c'est là que le nombre de grossesses précoces abouties est le plus important et que celui d'interruptions volontaires de grossesse progresse le plus. En pratique, quand une jeune fille se pose des questions, ses parents - s'ils le peuvent - l'emmènent consulter leur médecin de famille, voire un gynécologue. Mais dans certains milieux, il est impossible d'aborder ces sujets. Néanmoins, les jeunes filles peuvent avoir accès gratuitement à l'information et à la contraception si elles se rendent dans un centre de planning familial. Ça, c'est pour la théorie. En pratique, il n'existe pas de tels centres partout en France et les jeunes filles n'osent pas y aller. Celles que l'on voit franchir la porte d'un tel centre sont parfois considérées comme des "putes" et se font agresser. Moi, si j'avais dit à ma mère que je prenais la pilule, j'aurais pris une "grande rouste". Il faut donc que ces jeunes filles aillent loin de chez elles pour bénéficier de ces services gratuits de façon vraiment anonyme.

D'où le rôle majeur joué par les infirmières scolaires...

Non seulement elles peuvent donner l'information nécessaire aux jeunes, mais en plus, elles ont la possibilité de délivrer la "pilule du lendemain". Les jeunes ont confiance en elles. Mais il ne faut pas oublier ceux qui fréquentent les centres de formation d'apprentis et tous ceux qui sortent chaque année du système scolaire sans aucun diplôme. Il faut toucher ces mineurs, dont le nombre est évalué à 223 000 par an.

Il est aussi impératif que l'éducation à la sexualité ne se fasse pas en regardant des films pornos. Parce qu'ils manquent de lieux d'écoute et de dialogue, les garçons et les filles vont sur Internet. Selon les chiffres du CSA, 30 % des films pornographiques sont vus par des gamins de moins de 14 ans. C'est dramatique de penser qu'ils se construisent à travers ces représentations des relations sexuelles. C'est d'ailleurs pourquoi nous réfléchissons, avec le ministère de la Culture, au moyen de rendre payante la première page des sites pornos.

Revenons à la contraception. Votre principal but est-il de fournir gratuitement la pilule à toutes les jeunes filles pour éviter les avortements ?

Nous voulons avoir une démarche transversale, qui ne consiste pas uniquement à parler de grossesse avec les jeunes filles et à leur donner la pilule. Il faut aborder plus largement tout ce qui concerne le corps, masculin comme féminin. Je veux, certes, faciliter l'accès à la contraception pour les jeunes filles, mais aussi améliorer la prévention des infections sexuellement transmises puisque, actuellement, les jeunes se protègent moins. Or le sida reste une menace sérieuse

Enfin, on parle toujours de la pilule, mais la plupart du temps, elle n'est pas adaptée aux gamines ; il vaut mieux leur proposer le patch, l'anneau ou l'implant, qui évitent les accidents. Malheureusement, ces nouveaux modes de contraception ne sont pas remboursés. Nous travaillons actuellement avec les laboratoires pharmaceutiques, qui sont prêts à faire d'importants efforts. Et c'est par la concertation que nous comptons améliorer la situation des jeunes.
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Google se lance dans le diagnostic médical


Par Pauline Fréour - le 16/02/2012
Un internaute qui entre des symptômes dans la version anglophone du moteur de recherche se voit désormais proposer une liste de pathologies pouvant correspondre à son cas. Le corps médical émet de «fortes réserves».
Surfant sur l'appétence des internautes pour les informations relatives à la santé - 30% des Français se seraient déjà renseignés par ce biais selon une étude récente - Google présentait lundi un nouvel outil qui risque de conforter les hypocondriaques dans leur névrose. Le géant américain propose désormais à un internaute faisant des recherches sur un symptôme une liste de pathologies connexes. Par exemple, si l'internaute entre l'expression «douleur abdominale du côté droit», le moteur va lui suggérer, sous le champ de recherche, «appendicite», «kyste ovarien», «hernie», «calculs rénaux» et «syndrome de l'intestin irritable». Et impossible d'échapper à ce diagnostic algorithmique, Google n'ayant apparemment pas prévu de bouton «masquer» pour ce service qui n'est pour l'instant disponible que depuis le territoire américain.



Si l'on peut imaginer qu'une personne s'interrogeant sur des symptômes soit heureuse de trouver ce nouveau degré d'information, la sélection, quant à elle, rend plus sceptique. Car l'internaute a-t-il vraiment conscience que «cette liste n'est pas rédigée par des médecins et ne tient, évidemment pas lieu de conseils provenant d'experts médicaux», comme le précise Google sur son blog - mais pas en clair à côté des résultats de recherche? (il existe bien un lien «Comment ça marche?» mais il est probable que la majorité des internautes le survoleront sans s'y arrêter). Le résultat s'appuie en effet tout simplement sur les associations de recherches les plus fréquentes: si, pour 1000 recherches sur «mal de crâne», 60% sont suivies sur le même ordinateur d'une recherche sur «migraine», alors cette pathologie fera partie de la liste désormais proposées en association avec «mal de tête». Et ce, quelle que soit la pertinence des sites les plus consultés par les internautes - Wikipédia compris.
Au Conseil national de l'Ordre des médecins (Cnom), on émet «des réserves fortes» devant cette initiative qui «profite d'un créneau d'inquiétude et d'interrogation, dans un contexte où l'accessibilité à un médecin se réduit», explique le vice-président de l'organisme Jacques Lucas. «Avant, les gens fonctionnaient par bouche-à-oreille ou bien consultaient des encyclopédies médicales, des manuels. Mais au moins, la rédaction de ces derniers avait été supervisée par des médecins», rappelle le médecin, qui est délégué aux systèmes d'information en santé au sein du Cnom. Pas question néanmoins de nier à Internet une utilité dans l'information des patients. «Nous recommandons simplement au public de vérifier la pertinence des sites qu'ils consultent, en cherchant par exemple si l'information a été rédigée ou validée par des médecins». C'est dans ce but qu'un label «Health on the net (HON)» a été créé à destination des sites web santé en 2007. «Mais il reste peu connu du public et mal référencé», déplore Jacques Lucas
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Re: Actualités 2012

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Une puce pour remplacer les piqûres


Par Pauline Fréour - le 17/02/2012
Une puce commandée à distance pour délivrer un médicament sous la peau à des instants précis a été testée avec succès sur des femmes souffrant d'ostéoporose.
Les femmes atteintes d'ostéoporose sévère doivent se soumettre à des injections hormonales quotidiennes pour contrer leur perte osseuse. Un traitement contraignant qui, s'il n'est pas bien observé, perd en efficacité. C'est à ce type de patients soumis à des piqûres régulières qu'est destinée la puce mise en au point par la société américaine MicroCHIPS, dont le premier essai clinique est présenté dans la revue Science Translational Medicine. Insérée sous la peau des malades et commandée à distance par wifi, celle-ci permet de délivrer à un moment choisi des doses de médicament, sans douleur ni effet secondaire constaté. Les implants utilisés jusqu'à présent ne permettent qu'une diffusion continue du produit.
L'étude clinique a été menée au Danemark sur un groupe de huit femmes souffrant d'ostéoporose. L'équipe médicale leur a implanté au niveau de la taille une puce de la taille d'une petite pièce de monnaie, accompagnée d'un récepteur équivalent à un pacemaker (5 cm de long, 3 cm de large et 1cm d'épaisseur). La procédure peut être conduite par un médecin généraliste sous anesthésie locale, selon les auteurs de l'étude.
Les puces implantées pour l'essai comportaient chacune 20 minuscules réservoirs remplis de teriparatide (le médicament traitant l'ostéoporose) sous une forme concentrée. Pour les fermer, des nanoparticules d'or qui se dissolvent quand elles sont soumises à un petit courant électrique. Celui-ci est généré à la demande par le boîtier récepteur, commandé par des ondes électro-magnétiques d'une fréquence précise, qui peuvent par exemple être émises depuis un ordinateur ou un téléphone portable programmés pour cet usage. Le produit est alors libéré dans le système sanguin du patient. Selon le Pr Robert Langer du Massachusetts Institute of Technology (MIT), l'un des auteurs de l'étude, il serait possible de réserver une plage de fréquences à l'usage de ce dispositif médical, pour éviter la libération accidentelle du produit par des signaux parasites émanant d'autres appareils (téléphones, réseau wifi…).
Commercialisation espérée dans 5 ansLes participantes, âgées de 65 à 70 ans, ont été suivies pendant 12 mois. Selon les résultats, le dispositif n'a pas fonctionné dans un cas sur huit. Mais les 7 autres patientes ont reçu leur dose quotidienne de teriparatide aussi efficacement que si elles avaient eu des injections par seringues, sans effets secondaires notables.
Grâce à ce dispositif, «les malades n'auront plus à se souvenir de prendre leur médicament ou à subir les douleurs des injections multiples nécessaires pour traiter l'ostéoporose», explique le Dr Robert Farra, patron de MicroCHIPS et l'un des co-auteurs de l'étude avec des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT), de la faculté de médecine de Harvard et de l'Université Case Western Reserve (Ohio). «Les médecins pourront ajuster à distance et en douceur la thérapie de leurs malades».
Reste pour la société à surmonter encore quelques obstacles. Sur le plan technique tout d'abord: l'entreprise n'est parvenue à produire qu'une seule puce avec 20 doses. Les autres puces testées n'avaient qu'une partie de leurs réservoirs remplis, ce qui n'a toutefois pas nui à leur fonctionnement. MicroCHIPS assure pouvoir à terme produire des puces dotées de 400 doses. L'entreprise estime que son produit pourrait être utile pour traiter d'autres pathologies comme le diabète, la sclérose en plaque ou certains cancers. Elle espère pouvoir le mettre sur le marché d'ici à 5 ans.
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Re: Actualités 2012

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Le recours à l'IVG en hausse chez les moins de 25 ans

Par Gabriel Petitpont - le 16/02/2012
Un rapport sur la sexualité des adolescents propose de libéraliser l'accès à la contraception.
«La sexualité des adolescents ne doit plus être un tabou! Il est urgent de la regarder en face», a déclaré jeudi matin Jeannette Bougrab, secrétaire d'État à la Jeunesse et à la Vie associative devant un parterre de journalistes. Juste avant la conférence de presse, le gynécologue Israël Nisand lui avait remis son rapport sur la contraception et l'avortement des jeunes filles. Ce rapport, publié aux éditions Odile Jacob sous le titre Et si on parlait de sexe à nos ados? Pour éviter les grossesses non prévues chez les jeune filles, devrait faire couler beaucoup d'encre, tant par le constat qu'il dresse que par ses 18 propositions.
L'état des lieux dressé dans ce rapport est alarmant. Il relève 90.000 avortements par an chez les moins de 25 ans, dont 12.000 chez les 15-17 ans et 17.000 chez les 17-19 ans. «Des chiffres en augmentation de 5% chaque année depuis 20 ans», explique Israël Nisan.
«Mieux vaut prévenir que guérir»Par ailleurs, le rapport souligne un paradoxe spécifique à la France: «L'IVG est gratuite et anonyme, ainsi que la pilule du lendemain, alors que la contraception est payante et nécessite l'autorisation parentale». Pour remédier à cette situation, le rapport préconise notamment «d'assurer aux jeunes mineures l'accessibilité, la gratuité et l'anonymat des différents modes de contraception». Une mesure qui répond, pour Jeannette Bougrab, au principe: «mieux vaut prévenir que guérir».
Selon la ministre, «parler de sa vie intime avec ses parents n'est déjà pas chose aisée, même en France en 2011». «Il faut donc accentuer les efforts en matière d'éducation sexuelle et de sensibilisation des adolescents», poursuit-elle.
Si l'on refuse d'aborder ces questions avec les jeunes, ils chercheront par eux même les réponses à leurs questions». Nombre d'entre eux se retrouvent à «surfer sur les sites pornographiques». D'après le rapport, 30% des consommateurs de pornographie seraient âgés de 13 et 14 ans! Une enquête européenne montre que 80% des garçons de 14 à 18 ans et 45% des filles du même âge ont vu un film porno dans l'année écoulée! Un phénomène qui, d'après les auteurs du rapport, ne serait pas sans effet sur «l'évolution de la nature des relations homme-femme dans les générations à venir». Pour faire face au problème, le rapport propose de rendre payant tout accès à la pornographie.
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Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Fin de vie: un nouveau rapport polémique


Par Agnès Leclair - le 15/02/2012
Deux tiers des mourants auraient besoin de soins palliatifs, encore insuffisamment développés
Le débat sur l'euthanasie se poursuit dans un climat toujours aussi électrique. Dernier épisode en date: le rapport de l'Observatoire national de la fin de vie publié mercredi. Cet organisme, créé en 2010 pour apporter un éclairage dépassionné sur le sujet, a déclenché une nouvelle polémique. Deux de ses membres, Emmanuel Hirsch, professeur d'éthique à la tête du collectif «Plus digne la vie», et la psychologue Marie de Hennezel ont démissionné de l'instance. Le premier confie qu'il voulait «éviter le conflit d'intérêt et retrouver une plus grande liberté de parole». La seconde critique l'emploi du fonds de dotation de la structure (450.000 euros annuels). Ce rapport, qui compile des recherches déjà publiées et des nouveaux travaux, est une première pierre pour nuancer les nombreuses idées reçues qui circulent sur la fin de vie», défend le président de l'Observatoire, le Pr Régis Aubry, chef du service des soins palliatifs du CHU de Besançon. Voici ses principaux constats.

• En France, la mort est très médicaliséeLa France est l'un des pays où l'on meurt le plus à l'hôpital en comparaison avec d'autres pays européens. Environ 58% des décès y ont lieu. En Europe, la part des décès dans des établissements de santé est variable: elle s'élève à plus de 62% en Suède contre seulement 33,9% aux Pays-Bas. Selon l'observatoire, cette médicalisation importante de la fin de vie, notamment pour les personnes atteintes de cancer, traduit une attente parfois excessive vis-à-vis de la médecine. «L'accompagnement de fin de vie devrait reprendre du terrain sur la médicalisation», prône Régis Aubry.
• Les soins palliatifs sont loin de bénéficier à tousLes deux tiers des personnes en fin de vie relèvent de soins palliatifs, soit 322.000 personnes par an. Or, seuls un tiers des patients qui meurent à l'hôpital semblent en bénéficier. Dans les services des urgences, sur les deux tiers des patients qui en auraient besoin, seuls 7,5% en bénéficient, avance l'observatoire qui a réalisé cette projection. «La culture palliative ne s'est pas développée», commente Régis Aubry. Seuls 2,6% des généralistes ont pu bénéficier de formation à l'accompagnement de la fin de la vie et seuls 15% des paramédicaux ont été formés aux soins palliatifs ces cinq dernières années.
• Euthanasie: peu de recherchesUne étude de l'Ined sur les situations de fin de vie en France est attendue dans quelques semaines. L'observatoire cite une étude menée en Belgique, pays qui a dépénalisé l'euthanasie, selon laquelle un tiers des euthanasies seraient réalisées sans demande explicite du patient.
• Le droit des malades: manque de connaissances et conflitsDeux Français sur trois ignorent qu'il existe une loi qui interdit l'acharnement thérapeutique qui donne le droit au malade de refuser un traitement qu'il estime être devenu «déraisonnable». Le médecin a lui aussi le droit d'interrompre des traitements qu'il juge disproportionnés. Cette appréciation peut engendrer des conflits. Peu nombreux, ils n'ont apparemment rien à voir avec les affaires de demande d'euthanasie médiatisée. Ils opposeraient plus souvent l'équipe médicale et paramédicale que le médecin et le malade.
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par stepit42 »

ok merci Memo ;)

je n'ai pas fait en 10 minutes les sujets: j'ai vraiment expliquer pour que vous voyez ce que j'aurais mis...
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par stepit42 »

kysa a écrit :J'ai lu toutes les réponses précédentes et j'ai quelques remarques :)

Alors Seb: subit est bien sans le e ;)
Ensuite pour le bruit tu parle des MCV tu entends juste la hausse de la tension artérielle ou d'autres pathologies encore?
Sinon tu as de bonnes idées, et le reste est bien fait :)

Lilavati: On ne dit pas boite de nuit mais discothèque, faut faire attention au vocabulaire pas trop familier ;) sinon le reste est bien et tu te rapproche de Seb.

Tilily: Pour ta question sur l'eau tu oublie tout ce qui est pollution causée par l'homme c'est dommage car tu as de super idées!
Et sinon petit détail, c'est CO2 (avec le deux en bas) et pas CO² mais ce n'est qu'une notation, mais soyons précis ;)
Sinon tu passes quel concours à Lyon?

Stephi: J'aime bien ta réponse pour le bruit, pour l'eau par contre tu développe trop les moyens de lutte alors qu'on te demande les causes, ne perds pas le sens premier de la question, il faut en parler mais rapidement en conclusion et pas le développer autant.
Pour les méthodes, malheureusement tu en cite plus que 4 (même si elles sont bonnes) et ce n'est pas la consigne. Fais bien attention à respecter les consignes le jour J sinon tu seras pénalisée :)

oui je sais qu'il fallait en cietr quatre mais qq1 avait mis qu'il/elle n'avait pas trop d'idées alors j'ai voulu en citer + :D en tout cas merci d'avoir partagé tes avis
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par stepit42 »

et pour ce qu'il en est de la question sur les causes de dégradation de notre richesse en eau: je pensais que toutes les questions dites "développées" sont à développer ( :fleche: ) càd intro développement et conclusion. Et donc j'ai mis les moyens de lutte parce que je les aurai mise dans ma 2ème partie en tant que "solutions". J'espère que j'ai réussi à me faire comprendre. :D
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par stepit42 »

Je n'en avais jamais entendu parler. :choque:

POLLUTION DE L'EAU: EUTROPHISATION DES ÉCOSYSTÈMES AQUATIQUES

L'eutrophisation est le phénomène d'asphyxie des écosystèmes aquatiques résultant de la prolifération d'algues, qui consomment tout l'oxygène nécessaire à la vie de l'écosystème.
Ce phénomène résulte d'un apport trop riche de substances nutritives dans la rivière ou dans le lac concerné.
Cette pollution de l'eau est principalement due au phosphore (contenu dans les phosphates, présents dans les lessives notamment) et à l'azote (contenu dans l'ammonium et les nitrates présents dans les engrais).
Les algues qui se développent grâce à ces substances nutritives absorbent de grandes quantités d'oxygène lorsqu'elles meurent et se décomposent. Leur prolifération provoque l'appauvrissement, puis la mort de l'écosystème aquatique présent : il ne bénéficie plus de l'oxygène nécessaire pour vivre.
Ce phénomène s'intensifie avec la profondeur du lac ou de la rivière, notamment des lacs profonds qui sont naturellement peu oxygénés. La propagation des bactéries aérobies (elles se développent en l'absence d'oxygène) qui se nourrissent des algues en décomposition provoque la disparition de l'oxygène, ainsi que la production de méthane et de sulfure d'hydrogène.
Le phénomène d'eutrophisation est fortement aggravé et accéléré par les rejets agricoles, domestiques ou industriels dans les cours d'eau et les lacs. Appelé dystrophisation, cet état se traduit par l'accumulation des algues et des bactéries aérobies, qui absorbent l'oxygène présent dans l'eau et provoquent la mort de tous les écosystèmes aquatiques : une dystrophisation peut détruire tout un écosystème en quelques années. Des zones mortes d'une très grande superficie résultent de ces phénomènes.
Pour lutter contre l'eutrophisation et la dystrophisation, il s'agit :
d'arrêter tous les rejets de substances nutritives dans le cours d'eau pollué
d'enlever les algues qui pullulent dans le cours d'eau
d'aérer de façon mécanique le cours d'eau, pour accélérer le processus d'épuration
globalement, de réduire ou de stopper la présence de phosphates ou de nitrates dans les engrais ou les produits ménagers
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Re: difficultes en culture G

Message par debella »

Je suis dans le meme cas que vous...
JE fais une prépa...ET on a traité 2 sujets...
Ca me desespere, j'ai du mal a faire des phrases courtes.
On nous apprend pas a faire de plan et developement...

Dans mon livre j'ai 5-6 sujets... JE pense en acheter un cette semaine, mais bon ca me fait ch**r 1 mois avant le concours, mais bon je veux mettre toutes les chances de mon coté ...

Vous avez un livre bien a me proposer ??! Merci
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mouchou64
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par mouchou64 »

Bonjour à tous!
Je n'ai pas grand chose à rajouter,vous vous complétez et vous avez bien travaillé!

Lilavati a écrit :Voici les miennes, Sebcbien j'ai publié avant de regardé tes réponses pour ne pas être influencée, je regarde de suite après :D

En quoi le bruit peut il être considéré comme une pollution?
Une source de pollution cause des effets mesurables sur la santé des individus ou sur leur confort. C’est le cas du bruit, qui est considéré comme une pollution sonore. Pour quelles raisons est-il source de gêne ?
A partir d’un certain niveau de décibel, le bruit est dérangeant, voire dangereux pour la santé.
Principalement perçu dans les grandes villes, la pollution sonore provient du trafic routier, ferroviaire ou aérien. Egalement dans certaines professions comme pour le personnel de boite de nuit ou encore les ouvriers des usines.
Il peut provoquer des problèmes de santé, source de fatigue et de stress, il peut être à l’origine d’insomnie, de maux de tête. Aussi, il a des effets néfastes sur l’audition, l’individu ressent des bourdonnements, l’ouïe peut diminuer jusqu’à entraîner la surdité.Egalement des conséquences psychologiques telles que l'irritabilité,le manque d'attention,l'agressivité,le déséquilibre mental (le bruit est à l'origine de 20% des internements psychiatriques).
En ce sens, on peut considérer le bruit comme étant une pollution. Certaines mesures sont possibles pour en limiter les effets, il existe des normes d’insonorisation des logements, des règlementations sur l’utilisation d’appareils bruyants ou encore le port de casque protecteur aux professionnels,limitation du niveau sonore des appareils ménagers.



Quelles sont les causes de dégradation de notre richesse mondiale en eau?
L'eau potable ne représente qu'un pourcentage faible d'eau sur la terre (environ 6%) et les activités des hommes risquent de mettre en péril ces réserves de deux manières : la pollution et l'épuisement des ressources.

Le fonctionnement de notre société implique l’usage d’énergies par les centrales nucléaires, de produits chimiques dans les agricultures, de déchets industriels ou domestiques dans nos rivières, de rejets d’eaux usées… Tout ceci est source de dégradation de la richesse mondiale en eau, les nappes phréatiques sont de plus en plus polluées et leur niveau est souvent insuffisant, on observe une raréfaction de l’eau.
Parmi les causes du manque d'eau,on peut citer l'accroissement de la population mondiale car les besoins en eau potable augmentent.La surconssomation et le gaspillage ainsi que le dévelloppement des activités agricoles qui entrainent arrosage et irrigation des récoltes.Pour toutes ces raisons,nos réserves sont en péril,certains pays manquent déjà d'eau et souffrent de maladies infectieuses.
Afin de préserver les ressources naturelles en eau il faut envisager des solutions dans la lutte contre toutes les pollutions, utiliser cette ressource de façon plus économe par les particuliers, les agriculteurs ou encore les collectivités.
Une prise de conscience politique et individuelle est donc vitale.


Citez quatre moyens individuels de lutte contre la pollution de l'air?

L'air comme l'eau,les végétaux et les animaux,est sujet à de nombreuses dégradations.Différents Etats ont lancé des politiques de prévention et de lutte contre la pollution mais il est indispensable d'agir également de manière individuelle et concrète;

- nous pouvons lutter contre la pollution atmosphérique en préférant le covoiturage afin de limiter nos déplacements(ainsi que la marche où le vélo pour les petits trajets :clin: ),
- en diminuant le chauffage dans nos logements et les climatiseurs électriques dans les voitures et logements, par l’utilisation de voitures électriques
-en effectuant régulièrement des contrôles techniques anti-polluant sur nos appareils(comme faire réviser et régler régulièrement sa chaudière).
-En triant nos déchets,on favorise le recyclage et l'on diminue donc la masse de déchets incinérés.

Ces exemples ne sont qu'une petite partie de ce qu'il est possible de faire à un niveau individuel.Chacun doit être conscient et agir efficacement s'il veut préserver sa qualité de vie ainsi que celle des générations à venir.


et voilà...je prépare la suite!
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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