Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Merci beaucoup Dowbette !!
Tout ce que tu dis j'en avais déjà entendu parler sauf que j'etais tellement loin d'imaginer que les personnes atteintes du SIDA devaient payer tous leurs soins que je t'avoue que je ne comprenais pas pourquoi certains faisaient la greve.
J'ai vraiment honte. Comme quoi il vaut mieux poser les questions.
merci encore

Tout ce que tu dis j'en avais déjà entendu parler sauf que j'etais tellement loin d'imaginer que les personnes atteintes du SIDA devaient payer tous leurs soins que je t'avoue que je ne comprenais pas pourquoi certains faisaient la greve.

merci encore

Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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samedi 15 mars 2008
Euthanasie : l'« irrecevabilité » requise
Lundi, un juge de Dijon doit examiner la requête de Chantal Sébire qui veut qu'on l'aide à mourir.Le procureur estime que la demande est irrecevable.
Le procureur de la République de Dijon a requis, hier, « l'irrecevabilité de la requête » de Chantal Sébire. Atteinte depuis huit ans d'une maladie orpheline incurable qui lui déforme le visage et lui fait subir de violentes douleurs, cette ex-professeure des écoles, âgée de 52 ans, a demandé à la justice le droit d'être euthanasiée. Le jugement a été mis en délibéré à lundi.
Pour Étienne Daures, procureur général à la cour d'appel de Dijon, cette demande inédite en France, n'est pas compatible avec « l'état actuel de la loi » sur la fin de vie, dite loi Leonetti. « Cette requête est une première dans le monde judiciaire, mais nous ne demandons que l'application de la loi du 22 avril 2005 sur les droits des malades », assure, de son côté, Me Gilles Antonowicz, avocat de Mme Sébire.
Cette loi tend à instaurer un droit au « laisser mourir », mais ne permet pas aux médecins de provoquer intentionnellement la mort. Jeudi, la garde des Sceaux, Rachida Dati, tout comme la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, avaient réaffirmé leur opposition à l'« euthanasie active » et à la modification de la loi. A contrario, l'ex-garde des Sceaux, Marylise Lebranchu, estime que « nous ne pouvons rester dans notre satisfaction de ce premier texte de loi » et exhorte ses collègues députés à s'atteler dès maintenant à la tâche.
Chantal Sébire s'est déjà vu proposer d'être plongée dans un coma artificiel. La loi autorise l'utilisation massive de médicaments afin de supprimer toute souffrance, « même si l'utilisation de ces médicaments abrège la vie », comme le rappelait, jeudi, le député UMP Jean Leonetti. L'issue fatale aurait été atteinte au bout de quelques jours, sans que les médecins puissent être inquiétés par la justice.
« Pas le moindre espoir »
Mme Sébire refuse cette option. Sa demande de mourir, en gardant sa conscience jusqu'au bout, pose un problème encore inédit à la justice française. Si la requête est jugée recevable, lundi, la question de l'évolution de la loi sera clairement posée. Si elle est considérée comme irrecevable, le statu quo sera prolongé.
Réagissant à la proposition d'une nouvelle expertise médicale de sa cliente, proposée par l'Élysée, Me Gilles Antonowicz se dit « sceptique. Cette proposition arrive après huit ans de maladie. Dans l'état où elle est, a priori, il n'y a pas le moindre espoir pour Chantal Sébire ».
De son côté, le président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), Jean-Luc Romero, s'est indigné des propos tenus, jeudi, par la ministre du Logement Christine Boutin : « Oser prétendre que l'esthétique de Chantal la pousse à demander la mort est aussi scandaleux que mensonger ».
Euthanasie : l'« irrecevabilité » requise
Lundi, un juge de Dijon doit examiner la requête de Chantal Sébire qui veut qu'on l'aide à mourir.Le procureur estime que la demande est irrecevable.
Le procureur de la République de Dijon a requis, hier, « l'irrecevabilité de la requête » de Chantal Sébire. Atteinte depuis huit ans d'une maladie orpheline incurable qui lui déforme le visage et lui fait subir de violentes douleurs, cette ex-professeure des écoles, âgée de 52 ans, a demandé à la justice le droit d'être euthanasiée. Le jugement a été mis en délibéré à lundi.
Pour Étienne Daures, procureur général à la cour d'appel de Dijon, cette demande inédite en France, n'est pas compatible avec « l'état actuel de la loi » sur la fin de vie, dite loi Leonetti. « Cette requête est une première dans le monde judiciaire, mais nous ne demandons que l'application de la loi du 22 avril 2005 sur les droits des malades », assure, de son côté, Me Gilles Antonowicz, avocat de Mme Sébire.
Cette loi tend à instaurer un droit au « laisser mourir », mais ne permet pas aux médecins de provoquer intentionnellement la mort. Jeudi, la garde des Sceaux, Rachida Dati, tout comme la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, avaient réaffirmé leur opposition à l'« euthanasie active » et à la modification de la loi. A contrario, l'ex-garde des Sceaux, Marylise Lebranchu, estime que « nous ne pouvons rester dans notre satisfaction de ce premier texte de loi » et exhorte ses collègues députés à s'atteler dès maintenant à la tâche.
Chantal Sébire s'est déjà vu proposer d'être plongée dans un coma artificiel. La loi autorise l'utilisation massive de médicaments afin de supprimer toute souffrance, « même si l'utilisation de ces médicaments abrège la vie », comme le rappelait, jeudi, le député UMP Jean Leonetti. L'issue fatale aurait été atteinte au bout de quelques jours, sans que les médecins puissent être inquiétés par la justice.
« Pas le moindre espoir »
Mme Sébire refuse cette option. Sa demande de mourir, en gardant sa conscience jusqu'au bout, pose un problème encore inédit à la justice française. Si la requête est jugée recevable, lundi, la question de l'évolution de la loi sera clairement posée. Si elle est considérée comme irrecevable, le statu quo sera prolongé.
Réagissant à la proposition d'une nouvelle expertise médicale de sa cliente, proposée par l'Élysée, Me Gilles Antonowicz se dit « sceptique. Cette proposition arrive après huit ans de maladie. Dans l'état où elle est, a priori, il n'y a pas le moindre espoir pour Chantal Sébire ».
De son côté, le président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), Jean-Luc Romero, s'est indigné des propos tenus, jeudi, par la ministre du Logement Christine Boutin : « Oser prétendre que l'esthétique de Chantal la pousse à demander la mort est aussi scandaleux que mensonger ».
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Kazuhiro Nogi AFP ¦ Tony Blair lors d'une réunion du G20 des pays les plus polluants le 15 mars 2008 à Makuhari (Japon)
Les 20 pays les plus polluants de la planète ont débuté samedi une réunion de deux jours au Japon pour évoquer la lutte contre le réchauffement climatique, une réunion marquée par un discours de Tony Blair qui a prévenu qu'un éventuel statu quo serait "irresponsable".
Lancé en 2005 à l'initiative de M. Blair, alors Premier ministre britannique, le "G20" rassemble, outre les grands pays industrialisés du G8 - Etats-Unis, Japon, Allemagne, Royaume-Uni, France, Italie, Canada et Russie -, d'autres pays développés et les grands pays émergents (Chine, Inde, Brésil, etc.).
Il constitue un forum de discussion consacré à la lutte contre le réchauffement climatique, qui regroupe les pays responsables de 80% de l'ensemble des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Hôte de la rencontre à Makuhari (région de Tokyo), le gouvernement japonais a voulu faire de ces deux jours un tremplin avant le sommet du G8 en juillet, qu'il présidera également et qu'il a placé sous le signe de la lutte contre le réchauffement climatique.
Il a reçu le soutien sur ce point de Tony Blair, qui dirige aujourd'hui un "groupe d'experts internationaux", soutenus par les Etats-Unis et l'Union européenne (UE), destinés à favoriser l'élaboration d'un compromis international sur le sujet.
"Nous avons atteint un moment critique pour une décision sur le changement climatique", a souligné M. Blair devant les représentants des pays du G20, de hauts bureaucrates pour la plupart mais peu de ministres.
Selon lui, "ne pas réussir à agir contre le changement climatique maintenant serait profondément inexcusable et irresponsable" et "au sommet du G8 cette année à Hokkaido (nord), c'est notre destin qui sera en jeu".
Pour lui, la question, c'est: "Pouvons-nous nous mettre d'accord sur un objectif mondial contraignant de 50% de réduction d'émissions ?".
En 2007, les pays du G8 se sont mis d'accord pour étudier une réduction de 50% des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050, mais aucune contrainte n'a été mise en place.
C'est toutefois sous l'égide de l'ONU qu'un accord international doit être négocié pour prendre le relais du protocole de Kyoto.
Ce protocole a imposé aux pays industrialisés des réductions d'émissions entre 1990 et la période 2008-2012, mais sa portée a été réduite par le refus des Etats-Unis de le ratifier.
L'administration Bush lui a notamment reproché de ne pas imposer de réductions aux pays émergents à forte croissance, comme la Chine.
Un accord conclu à la conférence climat de Bali (Indonésie) fin 2007 a prévu de nouvelles négociations qui seront lancées fin mars à Bangkok, en vue d'un accord post-Kyoto d'ici fin 2009.
L'UE souhaite un texte qui imposerait des obligations chiffrées de réduction d'émission à chaque Etat.
Mais les Etats-Unis sont réticents à cette idée, tout comme leur allié japonais qui a défendu samedi une approche "sectorielle", avec des réductions d'émissions par branches industrielles.
Une idée qui ne plaît pas aux pays en développement, ont déclaré des membres d'ONG assistants aux débats fermés à la presse.
Ces pays, Chine et Inde en tête, ont insisté pour que les pays riches leur apportent des aides technologiques et financières, et ne veulent pas se voir imposer les mêmes obligations que les pays développés, selon les ONG.
Mais pour diminuer nettement la pollution, "les émissions des pays riches devront s'approcher de zéro et celles des pays pauvres devront, à terme, baisser au fur et à mesure de leur industrialisation", a prévenu M. Blair.
Kazuhiro Nogi AFP ¦ Tony Blair lors d'une réunion du G20 des pays les plus polluants le 15 mars 2008 à Makuhari (Japon)
© 2008 AFP
20Minutes.fr avec AFP, éditions du 15/03/2008 - 09h32
dernière mise à jour : 15/03/2008 - 21h03
Les 20 pays les plus polluants de la planète ont débuté samedi une réunion de deux jours au Japon pour évoquer la lutte contre le réchauffement climatique, une réunion marquée par un discours de Tony Blair qui a prévenu qu'un éventuel statu quo serait "irresponsable".
Lancé en 2005 à l'initiative de M. Blair, alors Premier ministre britannique, le "G20" rassemble, outre les grands pays industrialisés du G8 - Etats-Unis, Japon, Allemagne, Royaume-Uni, France, Italie, Canada et Russie -, d'autres pays développés et les grands pays émergents (Chine, Inde, Brésil, etc.).
Il constitue un forum de discussion consacré à la lutte contre le réchauffement climatique, qui regroupe les pays responsables de 80% de l'ensemble des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Hôte de la rencontre à Makuhari (région de Tokyo), le gouvernement japonais a voulu faire de ces deux jours un tremplin avant le sommet du G8 en juillet, qu'il présidera également et qu'il a placé sous le signe de la lutte contre le réchauffement climatique.
Il a reçu le soutien sur ce point de Tony Blair, qui dirige aujourd'hui un "groupe d'experts internationaux", soutenus par les Etats-Unis et l'Union européenne (UE), destinés à favoriser l'élaboration d'un compromis international sur le sujet.
"Nous avons atteint un moment critique pour une décision sur le changement climatique", a souligné M. Blair devant les représentants des pays du G20, de hauts bureaucrates pour la plupart mais peu de ministres.
Selon lui, "ne pas réussir à agir contre le changement climatique maintenant serait profondément inexcusable et irresponsable" et "au sommet du G8 cette année à Hokkaido (nord), c'est notre destin qui sera en jeu".
Pour lui, la question, c'est: "Pouvons-nous nous mettre d'accord sur un objectif mondial contraignant de 50% de réduction d'émissions ?".
En 2007, les pays du G8 se sont mis d'accord pour étudier une réduction de 50% des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050, mais aucune contrainte n'a été mise en place.
C'est toutefois sous l'égide de l'ONU qu'un accord international doit être négocié pour prendre le relais du protocole de Kyoto.
Ce protocole a imposé aux pays industrialisés des réductions d'émissions entre 1990 et la période 2008-2012, mais sa portée a été réduite par le refus des Etats-Unis de le ratifier.
L'administration Bush lui a notamment reproché de ne pas imposer de réductions aux pays émergents à forte croissance, comme la Chine.
Un accord conclu à la conférence climat de Bali (Indonésie) fin 2007 a prévu de nouvelles négociations qui seront lancées fin mars à Bangkok, en vue d'un accord post-Kyoto d'ici fin 2009.
L'UE souhaite un texte qui imposerait des obligations chiffrées de réduction d'émission à chaque Etat.
Mais les Etats-Unis sont réticents à cette idée, tout comme leur allié japonais qui a défendu samedi une approche "sectorielle", avec des réductions d'émissions par branches industrielles.
Une idée qui ne plaît pas aux pays en développement, ont déclaré des membres d'ONG assistants aux débats fermés à la presse.
Ces pays, Chine et Inde en tête, ont insisté pour que les pays riches leur apportent des aides technologiques et financières, et ne veulent pas se voir imposer les mêmes obligations que les pays développés, selon les ONG.
Mais pour diminuer nettement la pollution, "les émissions des pays riches devront s'approcher de zéro et celles des pays pauvres devront, à terme, baisser au fur et à mesure de leur industrialisation", a prévenu M. Blair.
Kazuhiro Nogi AFP ¦ Tony Blair lors d'une réunion du G20 des pays les plus polluants le 15 mars 2008 à Makuhari (Japon)
© 2008 AFP
20Minutes.fr avec AFP, éditions du 15/03/2008 - 09h32
dernière mise à jour : 15/03/2008 - 21h03
Kazuhiro Nogi AFP ¦ Tony Blair lors d'une réunion du G20 des pays les plus polluants le 15 mars 2008 à Makuhari (Japon)
Les 20 pays les plus polluants de la planète ont débuté samedi une réunion de deux jours au Japon pour évoquer la lutte contre le réchauffement climatique, une réunion marquée par un discours de Tony Blair qui a prévenu qu'un éventuel statu quo serait "irresponsable".
Lancé en 2005 à l'initiative de M. Blair, alors Premier ministre britannique, le "G20" rassemble, outre les grands pays industrialisés du G8 - Etats-Unis, Japon, Allemagne, Royaume-Uni, France, Italie, Canada et Russie -, d'autres pays développés et les grands pays émergents (Chine, Inde, Brésil, etc.).
Il constitue un forum de discussion consacré à la lutte contre le réchauffement climatique, qui regroupe les pays responsables de 80% de l'ensemble des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Hôte de la rencontre à Makuhari (région de Tokyo), le gouvernement japonais a voulu faire de ces deux jours un tremplin avant le sommet du G8 en juillet, qu'il présidera également et qu'il a placé sous le signe de la lutte contre le réchauffement climatique.
Il a reçu le soutien sur ce point de Tony Blair, qui dirige aujourd'hui un "groupe d'experts internationaux", soutenus par les Etats-Unis et l'Union européenne (UE), destinés à favoriser l'élaboration d'un compromis international sur le sujet.
"Nous avons atteint un moment critique pour une décision sur le changement climatique", a souligné M. Blair devant les représentants des pays du G20, de hauts bureaucrates pour la plupart mais peu de ministres.
Selon lui, "ne pas réussir à agir contre le changement climatique maintenant serait profondément inexcusable et irresponsable" et "au sommet du G8 cette année à Hokkaido (nord), c'est notre destin qui sera en jeu".
Pour lui, la question, c'est: "Pouvons-nous nous mettre d'accord sur un objectif mondial contraignant de 50% de réduction d'émissions ?".
En 2007, les pays du G8 se sont mis d'accord pour étudier une réduction de 50% des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050, mais aucune contrainte n'a été mise en place.
C'est toutefois sous l'égide de l'ONU qu'un accord international doit être négocié pour prendre le relais du protocole de Kyoto.
Ce protocole a imposé aux pays industrialisés des réductions d'émissions entre 1990 et la période 2008-2012, mais sa portée a été réduite par le refus des Etats-Unis de le ratifier.
L'administration Bush lui a notamment reproché de ne pas imposer de réductions aux pays émergents à forte croissance, comme la Chine.
Un accord conclu à la conférence climat de Bali (Indonésie) fin 2007 a prévu de nouvelles négociations qui seront lancées fin mars à Bangkok, en vue d'un accord post-Kyoto d'ici fin 2009.
L'UE souhaite un texte qui imposerait des obligations chiffrées de réduction d'émission à chaque Etat.
Mais les Etats-Unis sont réticents à cette idée, tout comme leur allié japonais qui a défendu samedi une approche "sectorielle", avec des réductions d'émissions par branches industrielles.
Une idée qui ne plaît pas aux pays en développement, ont déclaré des membres d'ONG assistants aux débats fermés à la presse.
Ces pays, Chine et Inde en tête, ont insisté pour que les pays riches leur apportent des aides technologiques et financières, et ne veulent pas se voir imposer les mêmes obligations que les pays développés, selon les ONG.
Mais pour diminuer nettement la pollution, "les émissions des pays riches devront s'approcher de zéro et celles des pays pauvres devront, à terme, baisser au fur et à mesure de leur industrialisation", a prévenu M. Blair.
Kazuhiro Nogi AFP ¦ Tony Blair lors d'une réunion du G20 des pays les plus polluants le 15 mars 2008 à Makuhari (Japon)
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Lancé en 2005 à l'initiative de M. Blair, alors Premier ministre britannique, le "G20" rassemble, outre les grands pays industrialisés du G8 - Etats-Unis, Japon, Allemagne, Royaume-Uni, France, Italie, Canada et Russie -, d'autres pays développés et les grands pays émergents (Chine, Inde, Brésil, etc.).
Il constitue un forum de discussion consacré à la lutte contre le réchauffement climatique, qui regroupe les pays responsables de 80% de l'ensemble des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Hôte de la rencontre à Makuhari (région de Tokyo), le gouvernement japonais a voulu faire de ces deux jours un tremplin avant le sommet du G8 en juillet, qu'il présidera également et qu'il a placé sous le signe de la lutte contre le réchauffement climatique.
Il a reçu le soutien sur ce point de Tony Blair, qui dirige aujourd'hui un "groupe d'experts internationaux", soutenus par les Etats-Unis et l'Union européenne (UE), destinés à favoriser l'élaboration d'un compromis international sur le sujet.
"Nous avons atteint un moment critique pour une décision sur le changement climatique", a souligné M. Blair devant les représentants des pays du G20, de hauts bureaucrates pour la plupart mais peu de ministres.
Selon lui, "ne pas réussir à agir contre le changement climatique maintenant serait profondément inexcusable et irresponsable" et "au sommet du G8 cette année à Hokkaido (nord), c'est notre destin qui sera en jeu".
Pour lui, la question, c'est: "Pouvons-nous nous mettre d'accord sur un objectif mondial contraignant de 50% de réduction d'émissions ?".
En 2007, les pays du G8 se sont mis d'accord pour étudier une réduction de 50% des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050, mais aucune contrainte n'a été mise en place.
C'est toutefois sous l'égide de l'ONU qu'un accord international doit être négocié pour prendre le relais du protocole de Kyoto.
Ce protocole a imposé aux pays industrialisés des réductions d'émissions entre 1990 et la période 2008-2012, mais sa portée a été réduite par le refus des Etats-Unis de le ratifier.
L'administration Bush lui a notamment reproché de ne pas imposer de réductions aux pays émergents à forte croissance, comme la Chine.
Un accord conclu à la conférence climat de Bali (Indonésie) fin 2007 a prévu de nouvelles négociations qui seront lancées fin mars à Bangkok, en vue d'un accord post-Kyoto d'ici fin 2009.
L'UE souhaite un texte qui imposerait des obligations chiffrées de réduction d'émission à chaque Etat.
Mais les Etats-Unis sont réticents à cette idée, tout comme leur allié japonais qui a défendu samedi une approche "sectorielle", avec des réductions d'émissions par branches industrielles.
Une idée qui ne plaît pas aux pays en développement, ont déclaré des membres d'ONG assistants aux débats fermés à la presse.
Ces pays, Chine et Inde en tête, ont insisté pour que les pays riches leur apportent des aides technologiques et financières, et ne veulent pas se voir imposer les mêmes obligations que les pays développés, selon les ONG.
Mais pour diminuer nettement la pollution, "les émissions des pays riches devront s'approcher de zéro et celles des pays pauvres devront, à terme, baisser au fur et à mesure de leur industrialisation", a prévenu M. Blair.
Kazuhiro Nogi AFP ¦ Tony Blair lors d'une réunion du G20 des pays les plus polluants le 15 mars 2008 à Makuhari (Japon)
© 2008 AFP
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Euthanasie: le point de vue de Barbarin
L'Archevêque de Lyon, Philippe Barbarin, a estimé qu'"il ne faut jamais légiférer sous le coup de l'émotion", en réponse à une question sur la demande d'euthanasie d'une femme de 52 ans, atteinte d'une maladie incurable à Dijon, dans un entretien publié par Aujourd'hui en France.
Les malades atteints de maux incurables "ont besoin de notre compassion, de notre présence et d'une infinie délicatesse pleine de silence et de respect. Mais il ne faut jamais légiférer sous le coup de l'émotion", a-t-il jugé. "Personne n'a le droit de donner la mort", a-t-il ajouté.
Chantal Sébire, une ancienne institutrice de 52 ans, mère de trois enfants, défigurée et rendue aveugle une "esthesioneuroblastome", une tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale qui provoque des souffrances "atroces", a déposé une requête devant le tribunal de grande instance de Dijon pour obtenir le droit d'être euthanasiée. Le jugement doit être rendu demain.
Source : AFP
L'Archevêque de Lyon, Philippe Barbarin, a estimé qu'"il ne faut jamais légiférer sous le coup de l'émotion", en réponse à une question sur la demande d'euthanasie d'une femme de 52 ans, atteinte d'une maladie incurable à Dijon, dans un entretien publié par Aujourd'hui en France.
Les malades atteints de maux incurables "ont besoin de notre compassion, de notre présence et d'une infinie délicatesse pleine de silence et de respect. Mais il ne faut jamais légiférer sous le coup de l'émotion", a-t-il jugé. "Personne n'a le droit de donner la mort", a-t-il ajouté.
Chantal Sébire, une ancienne institutrice de 52 ans, mère de trois enfants, défigurée et rendue aveugle une "esthesioneuroblastome", une tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale qui provoque des souffrances "atroces", a déposé une requête devant le tribunal de grande instance de Dijon pour obtenir le droit d'être euthanasiée. Le jugement doit être rendu demain.
Source : AFP
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EUTHANASIE
Chantal Sébire ne fera pas appel
NOUVELOBS.COM | 16.03.2008 | 11:42
Le procureur de la République de Dijon avait requis "l'irrecevabilité de la requête" de l'ancienne institutrice atteinte d'une maladie orpheline, et qui avait demandé le droit d'être euthanasiée.
Chantal Sébire, qui a demandé à la justice le droit d'être euthanasiée en raison d'une maladie incurable dont elle est atteinte, a laissé entendre samedi 15 mars qu'elle ne ferait pas appel si sa demande était rejetée lundi à Dijon, dans l'émission "Revu et Corrigé" de France 5.
Le procureur de la République de Dijon avait requis "l'irrecevabilité de la requête" de Chantal Sébire lors de l'audience en référé mercredi devant le président du TGI.
Interrogée par le présentateur Paul Amar sur son attitude en cas d'avis défavorable, Mme Sébire a déclaré par téléphone: "si le vice-président du tribunal de Dijon dit effectivement qu'il confirme l'avis du procureur, je respecte sa décision".
"Dans la légalité jusqu'au bout"
"Qu'est-ce que vous voulez, je peux faire appel après (mais) ça me servirait à quoi ? Je voulais simplement montrer que je menais un combat pour alerter et que derrière ce combat j'allais dans la légalité jusqu'au bout", a-t-elle poursuivi.
Chantal Sébire a également confirmé qu'elle était prête à aller à l'étranger pour obtenir ce qu'elle désire.
"Je sais maintenant comment me procurer ce dont j'ai besoin, et si je ne me le procure pas en France, je me le procurerai ailleurs", a-t-elle expliqué, tout en soulignant que si elle n'obtenait pas le droit à l'euthanasie dans la légalité, elle ne "(partira) pas en paix". Chantal Sébire a également tenu à répondre aux propos de la ministre du Logement Christine Boutin qui s'était déclarée jeudi à RMC "scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme".
"Que Madame Boutin endure ce que j'endure simplement 24 heures"
"C'est quand même grave de banaliser la maladie (...) Ce n'est pas la difformité de mon visage qui me dérange, j'en ai strictement rien à faire, et que si je mène ce combat, c'est parce que la souffrance est telle que je demande de l'aide. Je souhaite à madame Boutin, sans aucune méchanceté, qu'elle endure ce que j'endure simplement 24 heures", lui a répondu Chantal Sébire.
Chantal Sébire est une ancienne institutrice de 52 ans, mère de trois enfants, défigurée et rendue aveugle une "esthesioneuroblastome", une tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale.
Une maladie très rare - seuls un millier de cas ont été recensés dans le monde depuis 20 ans - dont l'évolution provoque une déformation spectaculaire et irréversible du visage et des souffrances "atroces", selon Chantal Sébire.
Chantal Sébire ne fera pas appel
NOUVELOBS.COM | 16.03.2008 | 11:42
Le procureur de la République de Dijon avait requis "l'irrecevabilité de la requête" de l'ancienne institutrice atteinte d'une maladie orpheline, et qui avait demandé le droit d'être euthanasiée.
Chantal Sébire, qui a demandé à la justice le droit d'être euthanasiée en raison d'une maladie incurable dont elle est atteinte, a laissé entendre samedi 15 mars qu'elle ne ferait pas appel si sa demande était rejetée lundi à Dijon, dans l'émission "Revu et Corrigé" de France 5.
Le procureur de la République de Dijon avait requis "l'irrecevabilité de la requête" de Chantal Sébire lors de l'audience en référé mercredi devant le président du TGI.
Interrogée par le présentateur Paul Amar sur son attitude en cas d'avis défavorable, Mme Sébire a déclaré par téléphone: "si le vice-président du tribunal de Dijon dit effectivement qu'il confirme l'avis du procureur, je respecte sa décision".
"Dans la légalité jusqu'au bout"
"Qu'est-ce que vous voulez, je peux faire appel après (mais) ça me servirait à quoi ? Je voulais simplement montrer que je menais un combat pour alerter et que derrière ce combat j'allais dans la légalité jusqu'au bout", a-t-elle poursuivi.
Chantal Sébire a également confirmé qu'elle était prête à aller à l'étranger pour obtenir ce qu'elle désire.
"Je sais maintenant comment me procurer ce dont j'ai besoin, et si je ne me le procure pas en France, je me le procurerai ailleurs", a-t-elle expliqué, tout en soulignant que si elle n'obtenait pas le droit à l'euthanasie dans la légalité, elle ne "(partira) pas en paix". Chantal Sébire a également tenu à répondre aux propos de la ministre du Logement Christine Boutin qui s'était déclarée jeudi à RMC "scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme".
"Que Madame Boutin endure ce que j'endure simplement 24 heures"
"C'est quand même grave de banaliser la maladie (...) Ce n'est pas la difformité de mon visage qui me dérange, j'en ai strictement rien à faire, et que si je mène ce combat, c'est parce que la souffrance est telle que je demande de l'aide. Je souhaite à madame Boutin, sans aucune méchanceté, qu'elle endure ce que j'endure simplement 24 heures", lui a répondu Chantal Sébire.
Chantal Sébire est une ancienne institutrice de 52 ans, mère de trois enfants, défigurée et rendue aveugle une "esthesioneuroblastome", une tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale.
Une maladie très rare - seuls un millier de cas ont été recensés dans le monde depuis 20 ans - dont l'évolution provoque une déformation spectaculaire et irréversible du visage et des souffrances "atroces", selon Chantal Sébire.
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Coucou !
Encore une de mes fameuses questions :
C'est parce que Boutin est Membre de la Commission nationale consultative des droits de l’homme qu'elle s'est permise d'emettre cette critique ? Est ce que pour legiferer ou non l'euthanasie on demande l'avis aux membres de la Commission ?
je dormirais peut etre moins bete ce soir
Encore une de mes fameuses questions :
C'est parce que Boutin est Membre de la Commission nationale consultative des droits de l’homme qu'elle s'est permise d'emettre cette critique ? Est ce que pour legiferer ou non l'euthanasie on demande l'avis aux membres de la Commission ?
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EXPULSIONS LOCATIVES
Logement : 600 personnes ont manifesté à Paris
NOUVELOBS.COM | 15.03.2008 | 17:48
Alors que la trêve hivernale des expulsions locatives touche à sa fin, les associations dénoncent l'absurdité d'un système qui met à la rue des personnes que la loi Dalo oblige à reloger.
Près de 600 personnes ont manifesté samedi 15 mars à Paris en faveur du droit au logement à la veille de la fin de la trêve hivernale des expulsions locatives.
Sous des banderoles clamant notamment "un toit, c'est un droit, pas d'expulsion", les manifestants ont quitté la place de la République vers 14H45 pour rejoindre l'île de la Cité, où se trouvent à la fois la préfecture de police et le palais de justice, deux bâtiments clef dans les processus d'expulsion.
Une trentaine d'associations, comme le Dal (Droit au logement), le Cal (Comité action logement) ou Jeudi Noir, avaient appelé à cette manifestation pour souligner l'absurdité d'un système qui met à la rue des personnes que la loi Dalo (Droit au logement opposable) sur le droit au logement opposable oblige à reloger.
Les personnes expulsées de leur logement sont en effet parmi les publics prioritaires du Dalo qui, si aucun relogement ne leur est proposé au bout d'une période de six mois, seront en droit d'engager des poursuites judiciaires contre l'Etat.
Six catégories de public prioritaires
Selon la loi votée en mars 2007, les commissions de médiation départementales ont été mises en place au 1er janvier et enregistrent les demandes de logement des six catégories de public prioritaires.
Les associations, dans leur appel à manifester, affirment que "plus de 120.000 ménages seront mis à la porte cette année.... alors que les loyers et l'immobilier n'ont jamais été aussi chers (...) et qu'avec des revenus faibles, modestes et même moyens il n'est plus possible de se loger décemment".
En plus de leurs revendications habituelles demandant l'arrêt des expulsions, les associations font part, cette année, de leurs craintes au sujet du livret A dont la collecte - actuellement de quelque 19 milliards d'euros - finance le logement social.
Suivant des injonctions de l'Union européenne, le gouvernement envisage de "banaliser" le livret A, à savoir ouvrir sa distribution à tout le secteur bancaire.
Craintes à propos du livret A
Des associations comme le Dal, mais aussi plusieurs syndicalistes craignent un captage des fonds de ce livret A par les banques vers d'autres produits financiers, menaçant ainsi le financement d'un logement social qu'ils jugent plus nécessaire que jamais.
Parmi les revendications qui seront mises en avant lors de la manifestation de samedi figureront "la défense du logement social" ou l'"arrêt des ventes de HLM".
Selon une des promesses électorales du candidat Nicolas Sarkozy, la ministre du Logement Christine Boutin s'est engagée à mettre en vente, chaque année, 40.000 logements HLM auprès de leurs occupants pour dégager des liquidités pour la construction de nouveaux logements sociaux
Des associations comme Jeudi Noir, qui se veut le défenseur des "jeunes galériens du logement", mettent aussi en avant des revendications sur le développement et la réhabilitation du logement des travailleurs migrants, des jeunes et des étudiants.
Logement : 600 personnes ont manifesté à Paris
NOUVELOBS.COM | 15.03.2008 | 17:48
Alors que la trêve hivernale des expulsions locatives touche à sa fin, les associations dénoncent l'absurdité d'un système qui met à la rue des personnes que la loi Dalo oblige à reloger.
Près de 600 personnes ont manifesté samedi 15 mars à Paris en faveur du droit au logement à la veille de la fin de la trêve hivernale des expulsions locatives.
Sous des banderoles clamant notamment "un toit, c'est un droit, pas d'expulsion", les manifestants ont quitté la place de la République vers 14H45 pour rejoindre l'île de la Cité, où se trouvent à la fois la préfecture de police et le palais de justice, deux bâtiments clef dans les processus d'expulsion.
Une trentaine d'associations, comme le Dal (Droit au logement), le Cal (Comité action logement) ou Jeudi Noir, avaient appelé à cette manifestation pour souligner l'absurdité d'un système qui met à la rue des personnes que la loi Dalo (Droit au logement opposable) sur le droit au logement opposable oblige à reloger.
Les personnes expulsées de leur logement sont en effet parmi les publics prioritaires du Dalo qui, si aucun relogement ne leur est proposé au bout d'une période de six mois, seront en droit d'engager des poursuites judiciaires contre l'Etat.
Six catégories de public prioritaires
Selon la loi votée en mars 2007, les commissions de médiation départementales ont été mises en place au 1er janvier et enregistrent les demandes de logement des six catégories de public prioritaires.
Les associations, dans leur appel à manifester, affirment que "plus de 120.000 ménages seront mis à la porte cette année.... alors que les loyers et l'immobilier n'ont jamais été aussi chers (...) et qu'avec des revenus faibles, modestes et même moyens il n'est plus possible de se loger décemment".
En plus de leurs revendications habituelles demandant l'arrêt des expulsions, les associations font part, cette année, de leurs craintes au sujet du livret A dont la collecte - actuellement de quelque 19 milliards d'euros - finance le logement social.
Suivant des injonctions de l'Union européenne, le gouvernement envisage de "banaliser" le livret A, à savoir ouvrir sa distribution à tout le secteur bancaire.
Craintes à propos du livret A
Des associations comme le Dal, mais aussi plusieurs syndicalistes craignent un captage des fonds de ce livret A par les banques vers d'autres produits financiers, menaçant ainsi le financement d'un logement social qu'ils jugent plus nécessaire que jamais.
Parmi les revendications qui seront mises en avant lors de la manifestation de samedi figureront "la défense du logement social" ou l'"arrêt des ventes de HLM".
Selon une des promesses électorales du candidat Nicolas Sarkozy, la ministre du Logement Christine Boutin s'est engagée à mettre en vente, chaque année, 40.000 logements HLM auprès de leurs occupants pour dégager des liquidités pour la construction de nouveaux logements sociaux
Des associations comme Jeudi Noir, qui se veut le défenseur des "jeunes galériens du logement", mettent aussi en avant des revendications sur le développement et la réhabilitation du logement des travailleurs migrants, des jeunes et des étudiants.
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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Dowbette a écrit :Je pense qu'il y a une erreur dans l'article, il était question de 200 cas recensés en 20 ans et pas un millier. Enfin c'est ce que j'ai lu dans plusieurs articles et entendu à la télé.
C'est possible, je ferai attention la prochaine fois

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La prothèse oculaire expliquée aux enfants…
[14 mars 2008 - 09:34]
« Mon œil nouveau ». Ce petit livret, publié par l’Association Rétinostop, est destiné aux petits qui vont recevoir ou ont reçu une prothèse oculaire. Il leur raconte la nouvelle vie du chat TINO et de son amie Mirabelle. L’une et l’autre ont en commun… d’avoir perdu un œil.
C’est le fruit d’une collaboration entre des parents d’enfants en cours de traitement, des adultes guéris, des soignants, des psychologues et des ocularistes, c’est-à-dire des spécialistes de la prothèse oculaire.
Avec délicatesse, les auteurs abordent la perte d’un œil par l’enfant, qu’elle soit consécutive à un accident ou à un rétinoblastome. Peu connue du grand public, c’est la seule tumeur maligne de l’œil chez l’enfant. Et son traitement nécessite dans certains cas de remplacer l’œil malade par une prothèse.
Ce livret peut être obtenu gratuitement auprès du site de l’association : www.retinostop.org ou en écrivant à Rétinostop, Projet TINO, 26 rue d’Ulm, 75248 Paris Cedex 05.
[14 mars 2008 - 09:34]
« Mon œil nouveau ». Ce petit livret, publié par l’Association Rétinostop, est destiné aux petits qui vont recevoir ou ont reçu une prothèse oculaire. Il leur raconte la nouvelle vie du chat TINO et de son amie Mirabelle. L’une et l’autre ont en commun… d’avoir perdu un œil.
C’est le fruit d’une collaboration entre des parents d’enfants en cours de traitement, des adultes guéris, des soignants, des psychologues et des ocularistes, c’est-à-dire des spécialistes de la prothèse oculaire.
Avec délicatesse, les auteurs abordent la perte d’un œil par l’enfant, qu’elle soit consécutive à un accident ou à un rétinoblastome. Peu connue du grand public, c’est la seule tumeur maligne de l’œil chez l’enfant. Et son traitement nécessite dans certains cas de remplacer l’œil malade par une prothèse.
Ce livret peut être obtenu gratuitement auprès du site de l’association : www.retinostop.org ou en écrivant à Rétinostop, Projet TINO, 26 rue d’Ulm, 75248 Paris Cedex 05.
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Santé publique : le lobby du sel perd une bataille
[14 mars 2008 - 16:15]
C’est un « ouf » de soulagement. Pierre Meneton, un chercheur de l’Institut national de la Santé et de la Recherche médicale (INSERM) attaqué en diffamation par le comité des salines de France a été relaxé hier par le tribunal correctionnel de Paris. Il était poursuivi pour les avoir accusés de minimiser les risques de l’excès de sel sur la santé.
Pour l’Association française des Diabétiques (AFD) qui se réjouit de cette décision, il s’agit d’un « jugement essentiel : il reconnait le rôle de désinformation des lobbys dans ce secteur. » Mais pour Pierre Meneton, le combat est loin d’être gagné. « Ce problème n’est pas résolu. Nous attendons toujours que les pouvoirs publics appliquent les recommandations françaises et internationales qui vont toutes dans le même sens : réduire la teneur en sel des aliments préparés. »
En effet, le sel a beau être blanc, gris, raffiné, fin ou en fleur, de table ou de cuisine, lorsqu’il est consommé en excès il n’est pas bon pour la santé. Il peut être à l’origine d’une hypertension artérielle, d’accidents cardiovasculaires, de complications rénales… Des effets néfastes amplifiés pour les personnes diabétiques. On estime ainsi à 25 000 le nombre de Français qui décèdent chaque année des suites d’une consommation excessive de sodium.
[14 mars 2008 - 16:15]
C’est un « ouf » de soulagement. Pierre Meneton, un chercheur de l’Institut national de la Santé et de la Recherche médicale (INSERM) attaqué en diffamation par le comité des salines de France a été relaxé hier par le tribunal correctionnel de Paris. Il était poursuivi pour les avoir accusés de minimiser les risques de l’excès de sel sur la santé.
Pour l’Association française des Diabétiques (AFD) qui se réjouit de cette décision, il s’agit d’un « jugement essentiel : il reconnait le rôle de désinformation des lobbys dans ce secteur. » Mais pour Pierre Meneton, le combat est loin d’être gagné. « Ce problème n’est pas résolu. Nous attendons toujours que les pouvoirs publics appliquent les recommandations françaises et internationales qui vont toutes dans le même sens : réduire la teneur en sel des aliments préparés. »
En effet, le sel a beau être blanc, gris, raffiné, fin ou en fleur, de table ou de cuisine, lorsqu’il est consommé en excès il n’est pas bon pour la santé. Il peut être à l’origine d’une hypertension artérielle, d’accidents cardiovasculaires, de complications rénales… Des effets néfastes amplifiés pour les personnes diabétiques. On estime ainsi à 25 000 le nombre de Français qui décèdent chaque année des suites d’une consommation excessive de sodium.
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Interdiction de l'hormone de croissance: l'occasion manquée de 1985
AFP - Vendredi 14 mars, 19h26
PARIS (AFP) - En 1985, les Etats-Unis, puis de nombreux pays, interdisent l'hormone de croissance prélevée sur les cadavres, jugée trop dangereuse, mais la France attendra encore trois ans: le tribunal correctionnel de Paris a tenté vendredi de comprendre pourquoi.
Jean-Claude Job, ancien président de France Hypophyse, l'association qui avait le monopole de ce traitement pour enfants petits, se souvient de la réunion du 25 avril 1985: "on commençait tranquillement à étudier les dossiers quand la séance est interrompue par un télégramme de Kabi convoquant à Copenhague pour le dimanche prochain les utilisateurs d'hormones de croissance".
Kabi, c'est le fabricant danois d'hormones qui vient de se voir interdire le marché américain, dont les autorités ont décidé de bannir l'hormone de croissance extractive, c'est-à-dire celle fabriquée à partir de l'hypophyse, glande crânienne prélevée sur les cadavres.
Washington a des raisons: en novembre 1984, un jeune Texan traité avec cette hormone est mort de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ). Un deuxième cas a suivi en février 1985. Puis une jeune femme décède en Grande-Bretagne.
Les autorités sanitaires réalisent que les méthodes de stérilisation des hormones n'inactivent pas le prion, agent infectieux de la MCJ, raison pour laquelle sept médecins et pharmaciens répondent aujourd'hui devant la justice de la mort en France de 111 jeunes.
Le 27 avril 1985, à Copenhague, les responsables de France Hypophyse, du laboratoire Uria de l'institut Pasteur et de la pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) --opérant différentes phases du traitement-- entendent Kabi annoncer l'arrêt de sa production.
De retour à Paris, les Français sont dubitatifs. Il est vrai que les connaissances sont floues et que le prion vient juste d'être découvert.
Pour Fernand Dray, chef d'Uria, ces morts sont dues à la méthode d'extraction américaine, "ancienne" et "vraiment impure".
Henri Cerceau, directeur de la PCH, se demande s'il ne s'agit pas "d'un magnifique coup de marketing de Kabi pour lancer son hormone de synthèse".
Car cette nouvelle hormone, complètement sûre, est en phase de mise au point dans de nombreux pays.
Même en France, relève la procureur, certains hôpitaux l'utilisaient déjà. Aucun des prévenus n'est au courant. "J'espère que ce n'était pas Kabi qui faisait de l'expérimentation sauvage", s'exclame Marc Mollet, ancien chef de service de la PCH.
Début mai, ces responsables demandent son avis à Jacques Dangoumeau, directeur de la pharmacie au ministère de la Santé.
"J'ai bien compris qu'on me demandait un parapluie", se rappelle-t-il. Quelques jours plus tard, il leur répond: "la qualité du système français (...) justifie de ne pas interrompre le très remarquable travail réalisé par France Hypophyse".
"Je me suis un peu laissé aller. J'en ai remis une louche. Ils voulaient entendre qu'ils travaillaient bien. Cela ne mange pas de pain", relativise-t-il.
Jean-Claude Job affirme avoir aussi consulté largement. "Tout le monde m'a dit: il ne faut pas arrêter", assure-t-il, d'autant qu'arrêter signifiait interrompre les traitements pendant des mois.
Grande-Bretagne, Canada, Belgique, Pays-Bas, Suède... interdisent l'hormone extractive. Le 14 mai, France Hypophyse décide de poursuivre mais en inactivant le prion à l'urée, une méthode efficace validée en juin par Jacques Dangoumeau.
Malheureusement, selon l'accusation, tous les lots anciens ne sont pas rappelés et seront injectés aux enfants.
Il faudra attendre juin 1988 pour que la France passe à l'hormone de synthèse.
AFP - Vendredi 14 mars, 19h26
PARIS (AFP) - En 1985, les Etats-Unis, puis de nombreux pays, interdisent l'hormone de croissance prélevée sur les cadavres, jugée trop dangereuse, mais la France attendra encore trois ans: le tribunal correctionnel de Paris a tenté vendredi de comprendre pourquoi.
Jean-Claude Job, ancien président de France Hypophyse, l'association qui avait le monopole de ce traitement pour enfants petits, se souvient de la réunion du 25 avril 1985: "on commençait tranquillement à étudier les dossiers quand la séance est interrompue par un télégramme de Kabi convoquant à Copenhague pour le dimanche prochain les utilisateurs d'hormones de croissance".
Kabi, c'est le fabricant danois d'hormones qui vient de se voir interdire le marché américain, dont les autorités ont décidé de bannir l'hormone de croissance extractive, c'est-à-dire celle fabriquée à partir de l'hypophyse, glande crânienne prélevée sur les cadavres.
Washington a des raisons: en novembre 1984, un jeune Texan traité avec cette hormone est mort de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ). Un deuxième cas a suivi en février 1985. Puis une jeune femme décède en Grande-Bretagne.
Les autorités sanitaires réalisent que les méthodes de stérilisation des hormones n'inactivent pas le prion, agent infectieux de la MCJ, raison pour laquelle sept médecins et pharmaciens répondent aujourd'hui devant la justice de la mort en France de 111 jeunes.
Le 27 avril 1985, à Copenhague, les responsables de France Hypophyse, du laboratoire Uria de l'institut Pasteur et de la pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) --opérant différentes phases du traitement-- entendent Kabi annoncer l'arrêt de sa production.
De retour à Paris, les Français sont dubitatifs. Il est vrai que les connaissances sont floues et que le prion vient juste d'être découvert.
Pour Fernand Dray, chef d'Uria, ces morts sont dues à la méthode d'extraction américaine, "ancienne" et "vraiment impure".
Henri Cerceau, directeur de la PCH, se demande s'il ne s'agit pas "d'un magnifique coup de marketing de Kabi pour lancer son hormone de synthèse".
Car cette nouvelle hormone, complètement sûre, est en phase de mise au point dans de nombreux pays.
Même en France, relève la procureur, certains hôpitaux l'utilisaient déjà. Aucun des prévenus n'est au courant. "J'espère que ce n'était pas Kabi qui faisait de l'expérimentation sauvage", s'exclame Marc Mollet, ancien chef de service de la PCH.
Début mai, ces responsables demandent son avis à Jacques Dangoumeau, directeur de la pharmacie au ministère de la Santé.
"J'ai bien compris qu'on me demandait un parapluie", se rappelle-t-il. Quelques jours plus tard, il leur répond: "la qualité du système français (...) justifie de ne pas interrompre le très remarquable travail réalisé par France Hypophyse".
"Je me suis un peu laissé aller. J'en ai remis une louche. Ils voulaient entendre qu'ils travaillaient bien. Cela ne mange pas de pain", relativise-t-il.
Jean-Claude Job affirme avoir aussi consulté largement. "Tout le monde m'a dit: il ne faut pas arrêter", assure-t-il, d'autant qu'arrêter signifiait interrompre les traitements pendant des mois.
Grande-Bretagne, Canada, Belgique, Pays-Bas, Suède... interdisent l'hormone extractive. Le 14 mai, France Hypophyse décide de poursuivre mais en inactivant le prion à l'urée, une méthode efficace validée en juin par Jacques Dangoumeau.
Malheureusement, selon l'accusation, tous les lots anciens ne sont pas rappelés et seront injectés aux enfants.
Il faudra attendre juin 1988 pour que la France passe à l'hormone de synthèse.
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Demande d'euthanasie: Chantal Sébire ne fera pas appel si sa requête est rejetée
AFP - Samedi 15 mars, 20h56
DIJON (AFP) - Chantal Sébire, qui a demandé à la justice le droit d'être euthanasiée en raison d'une maladie incurable dont elle est atteinte, a laissé entendre samedi qu'elle ne ferait pas appel si sa demande était rejetée lundi à Dijon, dans l'émission "revu et Corrigé" de France 5.
Le procureur de la République de Dijon avait requis mercredi "l'irrecevabilité de la requête" de Mme Sébire, lors de l'audience en référé. Le jugement sera rendu lundi.
Interrogée par le présentateur Paul Amar sur son attitude en cas d'avis défavorable, Mme Sébire a déclaré par téléphone: "si le vice-président du tribunal de Dijon dit effectivement qu'il confirme l'avis du procureur, je respecte sa décision".
"Qu'est-ce que vous voulez, je peux faire appel après (mais) ça me servirait à quoi ? Je voulais simplement montrer que je menais un combat pour alerter et que derrière ce combat j'allais dans la légalité jusqu'au bout", a-t-elle poursuivi.
Chantal Sébire a également confirmé qu'elle était prête à aller à l'étranger pour obtenir ce qu'elle désire.
"Je sais maintenant comment me procurer ce dont j'ai besoin, et si je ne me le procure pas en France, je me le procurerai ailleurs", a-t-elle expliqué, tout en soulignant que si elle n'obtenait pas le droit à l'euthanasie dans la légalité, elle ne "(partira) pas en paix".
Mme Sébire a également tenu à répondre aux propos de la ministre du Logement Christine Boutin qui s'était déclarée jeudi à RMC "scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme".
"C'est quand même grave de banaliser la maladie (...) Ce n'est pas la difformité de mon visage qui me dérange, j'en ai strictement rien à faire, et que si je mène ce combat, c'est parce que la souffrance est telle que je demande de l'aide. Je souhaite à madame Boutin, sans aucune méchanceté, qu'elle endure ce que j'endure simplement 24 heures", lui a répondu Mme Sébire.
Mme Sébire est une ancienne institutrice de 52 ans, mère de trois enfants, défigurée et rendue aveugle une "esthesioneuroblastome", une tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale.
Une maladie très rare - seuls un millier de cas ont été recensés dans le monde depuis 20 ans - dont l'évolution provoque une déformation spectaculaire et irréversible du visage et des souffrances "atroces", selon Mme Sébire.
AFP - Samedi 15 mars, 20h56
DIJON (AFP) - Chantal Sébire, qui a demandé à la justice le droit d'être euthanasiée en raison d'une maladie incurable dont elle est atteinte, a laissé entendre samedi qu'elle ne ferait pas appel si sa demande était rejetée lundi à Dijon, dans l'émission "revu et Corrigé" de France 5.
Le procureur de la République de Dijon avait requis mercredi "l'irrecevabilité de la requête" de Mme Sébire, lors de l'audience en référé. Le jugement sera rendu lundi.
Interrogée par le présentateur Paul Amar sur son attitude en cas d'avis défavorable, Mme Sébire a déclaré par téléphone: "si le vice-président du tribunal de Dijon dit effectivement qu'il confirme l'avis du procureur, je respecte sa décision".
"Qu'est-ce que vous voulez, je peux faire appel après (mais) ça me servirait à quoi ? Je voulais simplement montrer que je menais un combat pour alerter et que derrière ce combat j'allais dans la légalité jusqu'au bout", a-t-elle poursuivi.
Chantal Sébire a également confirmé qu'elle était prête à aller à l'étranger pour obtenir ce qu'elle désire.
"Je sais maintenant comment me procurer ce dont j'ai besoin, et si je ne me le procure pas en France, je me le procurerai ailleurs", a-t-elle expliqué, tout en soulignant que si elle n'obtenait pas le droit à l'euthanasie dans la légalité, elle ne "(partira) pas en paix".
Mme Sébire a également tenu à répondre aux propos de la ministre du Logement Christine Boutin qui s'était déclarée jeudi à RMC "scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme".
"C'est quand même grave de banaliser la maladie (...) Ce n'est pas la difformité de mon visage qui me dérange, j'en ai strictement rien à faire, et que si je mène ce combat, c'est parce que la souffrance est telle que je demande de l'aide. Je souhaite à madame Boutin, sans aucune méchanceté, qu'elle endure ce que j'endure simplement 24 heures", lui a répondu Mme Sébire.
Mme Sébire est une ancienne institutrice de 52 ans, mère de trois enfants, défigurée et rendue aveugle une "esthesioneuroblastome", une tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale.
Une maladie très rare - seuls un millier de cas ont été recensés dans le monde depuis 20 ans - dont l'évolution provoque une déformation spectaculaire et irréversible du visage et des souffrances "atroces", selon Mme Sébire.
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